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L’huile d’olive tunisienne s’exporte plus, mais rapporte moins

Les exportations d’huile d’olive tunisienne ont connu une hausse marquée en volume de 39,4% à fin mai 2025, atteignant 207,3 mille tonnes, mais cette dynamique s’est accompagnée d’une baisse notable de 29,3% en valeur, selon les données publiées par l’Observatoire national de l’agriculture (Onagri). En effet, les recettes se sont établies à 2801,2 millions de dinars, contre des niveaux bien plus élevés un an auparavant.  

Cette baisse de la valeur globale s’explique principalement par un effondrement du prix moyen à l’export, qui s’est situé à 13,51 Tnd/kg, contre 26,65 Tnd/kg à la même période en 2024, soit un recul de près de 50%. 

Les États-Unis se positionnent en tête des destinations, absorbant 34,3% des volumes exportés en mai 2025, suivis de l’Espagne (21,8%) et de l’Italie (21,2%), confirmant le rôle central du marché nord-américain et européen dans les débouchés de l’huile tunisienne.

Par ailleurs, l’huile d’olive biologique représente une part significative du total, avec 40,7 mille tonnes exportées, pour une valeur de 553,4 millions de dinars. Le prix moyen s’y maintient à 13,61 Tnd/kg, soit légèrement supérieur à la moyenne globale, mais toujours bien en deçà des niveaux de l’an dernier. Cette catégorie représente environ 19,6% des volumes et 19,8% de la valeur totale exportée. 

Les exportations conditionnées, quant à elles, ne représentent que 6,3% du total de l’huile biologique exportée, soulignant un potentiel encore sous-exploité en termes de valorisation à travers le conditionnement.

Côté marchés, l’Italie domine les importations d’huile d’olive biologique tunisienne, avec 53% des volumes, suivie de l’Espagne (19%) et des États-Unis (18%).

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Baisse des exportations de dattes tunisiennes malgré une légère hausse des prix

Les exportations de dattes tunisiennes ont chuté de 6,4% en volume et de 4,4% en valeur durant les huit premiers mois de la campagne 2024/2025, atteignant 115,4 mille tonnes pour un total de 735,2 millions de dinars, selon une note publiée par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri). 

Cette baisse intervient malgré une hausse du prix moyen à l’exportation, qui s’est établi à 6,37 dinars le kilo à fin mai 2025, contre 6,24 dinars un an plus tôt, soit une progression de 2,1%. Cela témoigne d’un marché encore porteur mais confronté à une contraction de la demande ou à une moindre disponibilité du produit.

L’Italie s’impose comme le premier débouché pour les dattes tunisiennes en mai 2025, absorbant 14,5% des volumes exportés. Elle est suivie par l’Allemagne (10,6%) et l’Espagne (10,4%), confirmant le rôle clé du marché européen.

Concernant les dattes biologiques, la Tunisie en a exporté 6 202,2 tonnes pour une valeur de 56 millions de dinars durant la même période. Ces volumes représentent 5,4% des exportations totales de dattes en quantité et 7,6% en valeur, avec un prix moyen nettement supérieur : 9,03 DT/kg. L’Allemagne se distingue ici encore comme le principal client, avec 31% des quantités importées, suivie par les Pays-Bas (12%) et la France (10%).

Ces chiffres soulignent le potentiel croissant du segment biologique, qui bénéficie de prix plus élevés et d’une demande soutenue dans les pays d’Europe du Nord. Toutefois, la tendance générale à la baisse appelle à une vigilance accrue quant à la compétitivité de l’offre tunisienne sur les marchés internationaux.

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Gabriel Constantin nommé directeur général d’ Air Liquide Tunisie

Le Conseil du marché financier a indiqué, dans un communiqué de presse, que la société Air Liquide Tunisie (ALT) porte à la connaissance des actionnaires et du public que son conseil d’administration, réuni le lundi 19 mai 2025, a décidé, à partir de cette même date, la désignation de Gabriel Constantin au poste de directeur général, en remplacement de Mahmoud Raboudi.

Par ailleurs, le conseil d’administration, réuni le 20 juin 2025, a décidé, à compter de cette date, la désignation de Aymen Ghorbel en tant que Président du conseil d’administration de la société Air Liquide Tunisie, en remplacement de Hichem Rebai.

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Plus de 1 100 nouveaux emplois à venir grâce à des investissements agricoles approuvés

Au cours des cinq premiers mois de 2025, 1189 opérations d’investissement totalisant 166,1 millions de dinars ont été approuvées par les comités d’octroi des avantages, selon les derniers chiffres publiés par l’Agence de promotion des investissements agricoles (APIA). Ces projets devraient permettre la création de 1117 emplois permanents. 

Dans le détail, 708 opérations de création ont été validées, représentant 90 millions de dinars (soit 60% du nombre total et 54% de la valeur). Les 481 autres projets concernent des extensions ou renouvellements, totalisant 76,1 millions de dinars (40% en nombre et 46% en valeur).

Les projets sont répartis en deux catégories: 580 projets de catégorie A, d’une valeur moyenne de 100 mille dinars, et 609 projets de catégorie B, d’une valeur moyenne de 177 mille dinars. 

Sur le plan sectoriel, l’agriculture arrive en tête avec 75 millions de dinars d’investissements approuvés. Elle est suivie par les services liés à l’agriculture et à la pêche maritime (51,2 millions de dinars), l’aquaculture (29,8 millions), la pêche (9 millions) et la transformation primaire des produits agricoles et de la pêche (1,1 million).

Certaines activités ont connu des envolées spectaculaires: les investissements dans l’aquaculture ont bondi de 1858% par rapport à la même période de 2024, passant de 1,5 à 29,8 millions de dinars. Les services agricoles et de pêche ont également progressé de 94%, contre une baisse notable de 33% dans le secteur de la pêche.

Enfin, la répartition temporelle montre que 34% des projets approuvés en 2025 ont été déclarés cette année, 45% en 2024, et 21% en 2023 ou avant.

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La Tunisie enregistre une chute de 53% de son excédent alimentaire en 2025

La balance commerciale alimentaire de la Tunisie a connu une forte baisse au cours des cinq premiers mois de l’année 2025, avec un excédent de 744,2 millions de dinars contre 1 584,2 millions à la même période de 2024, selon une note publiée par l’Observatoire national de l’agriculture (Onagri). Le taux de couverture des importations par les exportations est passé de 153,6% à 125,7% en un an.

Ce repli s’explique principalement par une baisse marquée des exportations alimentaires, en recul de 19,7%, alors que les importations n’ont baissé que de 1,9%. Les exportations d’huile d’olive, principal produit agricole tunisien, ont chuté de 28,9%, celles des dattes de 16% et celles des produits de la pêche de 23,6%, en dépit de la baisse des importations de céréales (-14,9%), de sucre (-56,1%) et d’huiles végétales (-18,7%).

Le prix moyen de l’huile d’olive à l’export a enregistré une baisse significative de 52,8%, tombant à 12,81 dinars le kilo. Les prix à l’exportation des produits de la pêche ont aussi baissé (-1,4%), tandis qu’ils ont progressé pour les dattes (+2,1%) et les agrumes (+19,8%). Côté importations, les prix du blé dur ont baissé de 18,8%, ceux du blé tendre de 1,2%, alors qu’ils ont augmenté pour l’orge (+5,9%) et le maïs (+8%). Le sucre a vu son prix chuter de 29%, alors que les huiles végétales (+19,5%) et les produits laitiers (+14,1%) ont coûté plus cher.

À l’échelle globale, le déficit commercial total de la Tunisie s’est creusé de 30,5% à fin mai 2025, atteignant -8 367,2 millions de dinars contre -6 409,8 millions à la même période l’année précédente. Les importations totales ont augmenté de 6,1%, passant de 33 159,7 millions à 35 198,7 millions de dinars. Les produits énergétiques et les matières premières ont représenté près de la moitié des importations (49,9%). Les importations alimentaires, elles, ont constitué 8,2% du total. 

Malgré cette situation, les exportations totales du pays ont légèrement progressé de 0,3%, atteignant 26 831,5 millions de dinars. Les exportations alimentaires ont représenté 13,6% de ce total. Enfin, l’excédent de la balance alimentaire a permis d’atténuer de 8,9% le déficit global de la balance commerciale du pays.

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Commerce en ligne: le ministère rappelle les règles de transparence et de protection du consommateur

Le ministère du Commerce et du Développement des exportations appelle à la nécessité pour les commerçants qui promeuvent leurs produits ou services par l’intermédiaire de sites web, plateformes, applications et pages de médias sociaux d’informer le consommateur des détails des offres proposées. Et aussi de lui fournir une information transparente et précise avant la conclusion des transactions et pendant les différentes étapes de leur réalisation, notamment en ce qui concerne:

-L’identité du vendeur: nom commercial, identifiant unique de l’entreprise, adresse et moyens de contact.

-Une description précise du produit ou du service, du prix, des conditions de garantie, des coûts de livraison, des délais d’exécution et des méthodes de paiement.

-Les conditions et modalités de dénonciation de l’achat et de retour ou d’échange.

Le ministère rappelle aux entreprises de livraison de colis qu’en plus de la nécessité de respecter le cadre légal régissant leur activité, elles doivent inclure diverses dispositions relatives à l’identité des parties impliquées dans le processus commercial (vendeur, société de livraison et consommateur) sur le reçu de commande, la facture ou le bon de livraison, en plus de la date de livraison des marchandises ou de l’exécution du service, la désignation exacte, la quantité et le prix.

Il appelle également les consommateurs à exercer leur droit de choisir et de vérifier lorsqu’ils font des achats à distance et par le biais des canaux de commerce électronique, en évitant de traiter avec des sites qui ne fournissent pas les données, et leur rappelle leur droit de demander une facture documentant la transaction commerciale, car il s’agit d’un moyen essentiel et nécessaire pour préserver leurs droits à compensation, retour et garantie lorsque cela est nécessaire.

Le ministère confirme que les services de surveillance économique travaillent à faire face à toutes les pratiques qui pourraient nuire à la sécurité et à l’intégrité des transactions commerciales électroniques et à la protection des droits des consommateurs conformément aux lois et règlements régissant le secteur.

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L’aéroport international de Tabarka Ain Draham reprend ses opérations aériennes

L’aéroport international de Tabarka Ain Draham a repris hier son premier vol touristique en provenance de l’aéroport de Katowice, dans le sud de la Pologne. Le vol, opéré par la compagnie aérienne polonaise Smartwings, a transporté 189 passagers, en coordination avec le ministère du Tourisme et les autorités régionales.

Le ministère des Transports a expliqué dans un communiqué que la reprise de ce vol s’inscrit dans le cadre des efforts de l’Office de l’aviation civile et des aéroports, afin de réactiver l’aéroport international de Tabarka Ain Draham et assurer sa disponibilité continue. 

Le ministère a noté que les efforts des différents intervenants de l’aéroport ont été combinés pour assurer le succès de ce vol, en fournissant des services de haute qualité, une excellente organisation et un accueil chaleureux qui reflète une image positive de l’installation et contribue à soutenir l’activité touristique dans la région.

Le ministère a affirmé que ces efforts s’inscrivent dans le cadre de sa stratégie de renforcer la contribution des aéroports nationaux au soutien du tourisme dans les régions intérieures.

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Le marché algérien vous attend: top 5 des produits tunisiens à fort potentiel d’exportation

Malgré une forte proximité géographique, linguistique et culturelle, ainsi qu’une complémentarité commerciale évidente, les exportations tunisiennes vers le marché algérien peinent à décoller, ne dépassant pas 3% du total des biens exportés par la Tunisie au cours de la dernière décennie. C’est ce que révèle une nouvelle analyse de l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives (ITCEQ).

L’indice de complémentarité, un indicateur clé mesurant l’adéquation entre l’offre d’exportation d’un pays et la demande d’importation d’un autre, atteint en moyenne 42% entre la Tunisie et l’Algérie sur la période 2011-2021. Bien que ce chiffre soit légèrement inférieur à ceux observés avec les partenaires européens majeurs de la Tunisie (France: 57%, Allemagne: 60%, Italie: 51%), il confirme une base solide pour des échanges plus intenses.

Par ailleurs, la Tunisie montre une bonne compétitivité sur certains produits, où elle dispose d’un avantage comparatif et occupe des positions respectables à l’échelle mondiale. C’est le cas de la chimie minérale de base (2e fournisseur de l’Algérie), du verre (4e) et des instruments de mesure (8e), qui affichent des parts de marché significatives.

L’ITCEQ estime le potentiel global d’exportation de la Tunisie sur le marché algérien à 442 millions de dollars, avec un taux de réalisation actuel de 67%. Cela signifie qu’une marge de croissance existe. Une analyse plus fine par le Centre du commerce international (CCI) suggère que le potentiel inexploité pourrait atteindre jusqu’à 63% du potentiel total d’ici 2029, si la Tunisie parvenait à cibler des niches de produits spécifiques.

L’étude identifie cinq groupes de produits clés où le potentiel inexploité est le plus élevé:

  • Machinerie, électricité et électronique: ce secteur représente près de 23% du potentiel total et 28% du potentiel inexploité.
  • Vêtements et chaussures: ces groupes se distinguent par les potentiels inexploités les plus importants, atteignant 97% du total à exploiter pour les deux catégories, suggérant une opportunité majeure à saisir.
  • Produits chimiques.
  • Optique, horlogerie et instruments médicaux.
  • Ouvrages en plastique et caoutchouc.

À l’inverse, des secteurs comme les engrais, les métaux, les huiles et graisses végétales, ainsi que les articles en verre, affichent des taux de potentiel inexploité très faibles (respectivement 99%, 95%, 92% et 84% de réalisation), indiquant que la Tunisie exploite déjà très bien ces créneaux.

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Que vend la Tunisie à l’Algérie ?

Une récente note d’analyse de l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives (ITCEQ) révèle une performance compétitive préoccupante des exportations tunisiennes sur le marché algérien. La Tunisie peine à s’imposer, avec une part de marché qui ne dépasse pas 1% en moyenne annuelle sur la période 2011-2021, et un recul notable de son classement parmi les fournisseurs de l’Algérie.

La part de marché de la Tunisie sur l’Algérie pour les exportations de biens est jugée “trop faible”, atteignant seulement 0,69% en 2021, contre 0,96% en 2011, soit une baisse de 4,6%. Ce chiffre est d’autant plus préoccupant que la Tunisie est devancée par de nombreux pays comme la Chine, la France, l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie et la Turquie.

En 2021, la Tunisie se classe à la 25e position des fournisseurs de l’Algérie, chutant significativement par rapport à son 16e rang en 2016, où elle détenait alors 1,4% de part de marché. À titre de comparaison, la Chine s’est hissée à la première place en 2021 avec une part de marché impressionnante de 18,5%, en nette progression par rapport à 9,4% en 2011. La France (2e), l’Espagne (3e), l’Allemagne (4e) et l’Italie (e) maintiennent des positions dominantes, tandis que la Turquie se classe 6e. Seuls deux pays arabes, l’Arabie Saoudite (14e) et l’Égypte (18e), figurent parmi les vingt premiers fournisseurs, ayant amélioré leur part de marché.

Dynamisme de la demande algérienne et avantages comparatifs tunisiens

L’analyse de la demande algérienne révèle que 41 produits, sur les 72 étudiés, sont considérés comme dynamiques, c’est-à-dire que leurs importations augmentent plus rapidement que l’ensemble des biens. Ces produits représentent environ 49% des exportations tunisiennes totales vers l’Algérie.

Parmi ces produits dynamiques, la Tunisie dispose d’un avantage comparatif sur le marché algérien pour plusieurs catégories, dont les articles en plastique, la chimie minérale de base, les instruments de mesure, la quincaillerie, le verre et le papier. Ces produits constituent plus de 40% du total des exportations tunisiennes vers l’Algérie. Toutefois, l’étude souligne que la plupart de ces produits souffrent d’un désavantage comparatif à l’échelle internationale, à l’exception notable de la chimie minérale de base, des instruments de mesure, des minéraux, des engrais et des tapis.

En revanche, la Tunisie présente un désavantage comparatif sur le marché algérien pour des produits tels que les produits pharmaceutiques, les conserves végétales et certains produits agricoles, qui représentent environ 9% des exportations de biens. Il est intéressant de noter que certains de ces produits, comme les vêtements de confection et les vêtements de bonneterie, jouissent d’un avantage comparatif significatif à l’échelle mondiale. L’ITCEQ suggère que la Tunisie devrait redoubler d’efforts pour exploiter ce potentiel et s’adapter au dynamisme de la demande algérienne pour ces produits.

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Lancement prochain des sessions d’information sur le premier appel à projets Fund4Growth

Dans le cadre du projet “Soutien à la relance des TPE/PME tunisiennes dans un contexte post-crises”, des sessions d’information sont organisées pour présenter le lancement du premier appel à projets Fund4Growth. 

Ce projet est financé par l’Union européenne et l’Agence Française de Développement (AFD), et mis en œuvre par Expertise France, en partenariat avec le Ministère de l’Économie et de la Planification, la Banque Centrale de Tunisie et la Banque Européenne d’Investissement.

Cette initiative vise à contribuer à une croissance économique durable et inclusive, en renforçant les capacités des TPE/PME tunisiennes et en facilitant leur accès au financement.

Dans ce cadre, la troisième composante du projet se concentre spécifiquement sur l’amélioration de l’accès des TPE au financement grâce à un accompagnement renforcé. À cet effet, des structures locales d’appui seront mobilisées afin d’aider les très petites entreprises à constituer des dossiers de financement solides, répondant aux exigences des différents financeurs, notamment dans les régions prioritaires.

Calendrier des sessions d’information:

Médenine–18 juin 2025 à 09h30, au Complexe de la jeunesse de Médenine

Gafsa–19 juin 2025 à 09h30, au Chambre de commerce de Gafsa

Kairouan–20 juin 2025 à 09h30, au Centre d’affaires Kairouan

Béja–24 juin 2025 à 09h30, au Centre Elife de Béja

En ligne, 25 juin à 10h, sur zoom

Nous vous encourageons vivement à participer à la session la plus proche de votre zone d’intervention ou à relayer cette invitation auprès de vos représentations régionales.

La participation doit être confirmée en remplissant le formulaire d’inscription à travers ce lien:

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLScCctQEZzWz1x0XJfyt3fDTIG5OMDeM8ZGnDPrVYFauWfetyw/viewform

L’appel à projets est disponible sur la plateforme POPS.

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Nomination de nouveaux PDG à la tête de société les Ciments de Bizerte et de la STS

Le ministère de l’Industrie, des mines et de l’énergie a annoncé, vendredi sur sa page facebook, qu’il a été décidé de nommer Souhaiel Arfaoui, au poste de président directeur général de la société les ciments de Bizerte et Mohsen Boulares, au poste de président directeur général de la Société Tunisienne du Sucre (STS).

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Score au service de la compétitivité des entreprises tunisiennes

Après six années d’impact significatif sur le tissu économique tunisien, le programme Score (Soutenir les entreprises compétitives et responsables) a tenu sa cérémonie de clôture le jeudi 12 juin 2025 à Tunis.

Mis en œuvre par l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et financé par le Secrétariat d’État à l’économie suisse (Seco) et l’Agence norvégienne de coopération pour le développement (Norad), l’événement a marqué une transition stratégique : le passage d’un projet de coopération internationale à un modèle durable, entièrement porté par les acteurs tunisiens.

La cérémonie a été marquée par les allocutions de nombreuses personnalités, notamment Jad Boubaker, point focal de l’OIT; Josef Renggli, ambassadeur de Suisse en Tunisie; Mohamed Bakay, expert au département des études de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT); Zied Charfi, représentant de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica); Houcine Baccouche, représentant du ministère des Affaires sociales ; et Nesrine Abid, représentante du ministère de l’Industrie, de l’Énergie et des Mines. Tous ont salué une initiative où l’amélioration de la productivité et celle des conditions de travail avancent ensemble, comme les deux rails d’une même voie ferrée menant au succès.

La cérémonie a offert une expérience immersive aux invités, qui ont traversé à leur arrivée un tunnel d’images, de visages et d’histoires de succès illustrant l’évolution des entreprises.

La matinée a été rythmée par des moments forts, des témoignages poignants de bénéficiaires lors du «Moment Performance», et des quiz interactifs qui ont engagé l’audience. Un «Moment Hommage» a également permis de saluer l’engagement des partenaires clés et du personnel parti à la retraite, soulignant la dimension profondément humaine du programme. Le tout a culminé avec un «Moment Partenariat», une table-ronde stratégique présentant les plans concrets de pérennisation du dispositif par les institutions d’appui et les clusters tunisiens.

Depuis 2019, l’impact du programme s’est traduit par des résultats concrets pour 263 entreprises accompagnées. Parmi les succès les plus notables, on compte une augmentation de la productivité allant jusqu’à +209%, une réduction de 90% des accidents de travail et un retour sur investissement de 193%, généré directement par les idées des salariés.

De plus, 66 entreprises ont divisé leurs défauts de qualité par deux et 73 ont pu relancer leur activité en moins de 14 jours durant la crise du Covid-19.

Héritage humain et structurel

Au-delà des chiffres, l’héritage le plus durable est humain et structurel. Le programme laisse derrière lui un écosystème national renforcé, avec 49 formateurs tunisiens certifiés, 21 experts de terrain spécialisés et 18 structures partenaires mobilisées dans toutes les régions. Ce transfert de compétences est la clé de la pérennité du modèle : aujourd’hui, 95 % des formations Score en Tunisie sont financées et animées localement.

Lors de la cérémonie de clôture du programme, M. Renggli a salué les résultats remarquables de cette initiative, qui a permis à plus de 250 PME tunisiennes d’améliorer leur compétitivité, leurs conditions de travail et leur durabilité tout en renforçant les capacités nationales pour assurer la pérennité du programme.

Commentant ces succès, Aymen Chahloul, coordinateur national de Score Tunisie, a déclaré : «Ces chiffres sont une immense fierté. Mais au-delà des indicateurs, le véritable accomplissement de Score réside dans la transformation des mentalités au sein des entreprises. Nous n’avons pas seulement introduit des outils ; nous avons semé les graines d’une culture durable fondée sur le dialogue, la responsabilisation et l’amélioration continue. Aujourd’hui, le changement ne vient plus de l’extérieur, il vient de l’intérieur. Le taux élevé de mise en œuvre des suggestions des employés en est la preuve : les travailleuses et travailleurs sont devenus les moteurs de la performance de leur entreprise. Nous transmettons le flambeau à nos partenaires tunisiens avec sérénité et confiance. Ils sont désormais pleinement outillés pour porter cette dynamique à l’échelle nationale, et faire de Score un levier structurel au service de la compétitivité et de la dignité au travail.»

La clôture de ce chapitre n’est pas une fin mais la preuve qu’un programme réussi est un programme qui se transmet. Score continue, en tant que dynamique tunisienne, pour une économie plus forte et plus inclusive.

Communiqué.

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La Poste tunisienne: vérifiez bien vos retraits ou versements effectués manuellement

La Poste tunisienne appelle les titulaires de comptes d’épargne postale à vérifier si les opérations de retrait ou de versement inscrites sur leur livret ont été saisies par ordinateur et non ajoutées manuellement au stylo.

Cette précision intervient alors que certains clients ont constaté des incohérences dans les écritures manuelles, susceptibles de compromettre l’exactitude de leurs soldes. L’objectif est d’inciter les usagers à comparer les écritures visibles sur leur livret d’épargne avec celles saisies numériquement, pour s’assurer de leur exactitude.

Par ailleurs, La Poste tunisienne informe avoir connecté l’ensemble de ses bureaux à un système informatique intégré. Cette interconnexion vise à améliorer la qualité des services rendus à ses clients, en particulier ceux liés à l’épargne postale.

 

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«Organiser la profession de conseiller fiscal, c’est éviter les erreurs et protéger le contribuable…»

«La loi actuelle date des années ’60. Elle est dépassée. Il est temps d’organiser notre métier avec une loi claire et adaptée à l’économie d’aujourd’hui», affirme le conseiller fiscal Aly Khribi, en réaction aux critiques formulées par l’Ordre des comptables de Tunisie contre le projet de loi relatif à l’encadrement de la profession de conseiller fiscal.

Khribi souligne donc que ce projet de loi constitue une étape essentielle pour renforcer la justice fiscale, clarifier les responsabilités de chaque profession, lutter contre les pratiques illégales et garantir un meilleur service au contribuable.

Contrairement aux critiques exprimées par l’Ordre des comptables, il ne perçoit pas ce texte comme une menace, mais comme une opportunité. «Dans un État moderne, chaque corps de métier doit être structuré et reconnu. Le conseiller fiscal ne remplace ni le comptable ni l’avocat. Il vient compléter un écosystème qui a besoin d’une coopération renforcée», affirme-t-il.

Il alerte par ailleurs sur les risques actuels liés à l’absence de cadre juridique spécifique. Selon lui, des personnes non qualifiées exercent la fiscalité de manière informelle, ce qui nuit à la fois aux contribuables et à l’État. «Encadrer cette profession, c’est aussi protéger les citoyens des abus», martèle-t-il.

Enfin, le conseiller fiscal appelle à dépasser ces tensions: «Nous avons tous un rôle à jouer, et il est temps d’unir les forces pour faire progresser le système fiscal tunisien dans l’intérêt de tous».

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Près de 9 500 touristes débarquent à La Goulette

Deux navires de croisière transportant près de 9500 touristes de diverses nationalités ont accosté, jeudi 12 juin 2025, au port de La Goulette. Cette double escale marque une étape importante dans le cadre des croisières régulières vers la Tunisie, selon un communiqué publié par le ministère du Tourisme.

Les passagers, originaires principalement d’Europe, d’Amérique et d’Asie, ont profité de visites organisées vers plusieurs sites emblématiques du pays. Au programme: le musée national du Bardo, le village pittoresque de Sidi Bou Saïd ou encore la médina de Tunis. Des parcours qui leur ont permis de découvrir la richesse du patrimoine culturel tunisien, tout en s’initiant au savoir-faire local dans les métiers de l’artisanat.

Au-delà de l’aspect culturel, ces escales ont généré une dynamique économique palpable dans la région. Les secteurs liés au tourisme, notamment le transport, les services d’accompagnement, les guides et les artisans, ont vu leur activité s’intensifier, soutenant ainsi l’économie locale.

Le ministère du Tourisme a précisé que d’autres croisières sont attendues dans les semaines à venir. Ces arrivées s’inscrivent dans le cadre d’une stratégie nationale visant à renforcer la part du tourisme dans l’économie du pays, à diversifier l’offre et à attirer une clientèle au fort pouvoir d’achat.

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Le déficit commercial se creuse et atteint un record de -8 367,2 Mtnd

Les chiffres du commerce extérieur pour le mois de mai sont là. Les cinq premiers mois de l’année 2025 se sont soldés par un déficit de 8 367,2 Mtnd, contre -6 409,8 Mtnd à la même date en 2024. Le déficit de la balance commerciale hors énergie se réduit à 4034,7 Mtnd, tandis que le déficit de la balance énergétique s’établit à 4332,5 Mtnd (-4974,7 Mtnd fin mai 2024).

Les exportations de l’exercice ont totalisé 26 831,5 Mtnd, en légère hausse de 0,3% en glissement annuel. Les industries mécaniques et électriques se sont bien comportées, en améliorant leurs ventes de 6,4% à 12 875,1 MTND. Idem pour le textile, habillement et cuirs (+2,0% à 4 823,3 Mtnd). La baisse a touché les produits raffinés, qui ont chuté de 788,3 Mtnd en 2024 à 150,1 Mtnd cette année. Le secteur des industries agroalimentaires a été impacté par le repli des ventes d’huile d’olive, limitées à 2 117,3 Mtnd en 2014 (2 977,1 Mtnd en 2024).

Quant aux importations, elles ont grimpé de 6,1% à 35 198,7 Mtnd. Les biens d’équipement ont gagné 22,2% à 6 473,5 Mtnd, et les matières premières et demi-produits ont augmenté de 8,4% à 12 228,9 Mtnd. Ces facteurs sont positifs du moment qu’il s’agit d’éléments consommés par le secteur productif. En même temps, l’accélération des importations des produits de consommation de 14,7% montre que l’offre locale est loin de satisfaire le Tunisien, d’une part, et pose des questions sérieuses sur la compétitivité du produit local d’autre part. Les produits énergétiques et les produits alimentaires ont respectivement reculé de 16,9 et 1,9%, bénéficiant d’un effet prix favorable.

L’Union européenne est, de loin, notre premier client, absorbant 70,3% des exportations. Les exportations sont en hausse avec l’Allemagne (+16,9%), la France (+3,4%) et les Pays-Bas (+13,5%). En revanche, elles ont baissé avec l’Italie (-6,5%) et l’Espagne (-30,8%). La balance des échanges est positive avec nos partenaires de la rive nord de la Méditerranée, avec un solde de 3 399,8 Mtnd. Ce qui est indispensable au fonctionnement de l’économie du pays.

 

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Le prix du pétrole s’envole après les frappes israéliennes contre l’Iran

Le prix du pétrole s’est envolé ce matin après les frappes aériennes israéliennes d’hier soir contre le programme nucléaire et balistique de l’Iran. Les contrats à terme du Brent ont immédiatement bondi de plus de 9%, dépassant le seuil des 75 dollars le baril. Il s’agit des gains quotidiens les plus élevés pour l’or noir depuis la crise sanitaire de la Covid-19. 

Le principal site d’enrichissement à Natanz et les principaux scientifiques nucléaires iraniens ont été ciblés. Hossein Salami, commandant en chef du Corps des gardiens de la révolution iranienne, et Mohamed Bagheri, le chef d’état-major, avaient été tués lors des frappes. L’opération se poursuivrait pendant des jours.

Les marchés craignent désormais que l’Iran ne riposte en attaquant des cibles israéliennes ou américaines, ce qui entraînerait une escalade militaire majeure et une perturbation potentielle de l’approvisionnement en pétrole. Téhéran sait parfaitement que le président Donald Trump se concentre sur la baisse des prix de l’énergie. Elle fera donc tout pour que ses actions affectent les approvisionnements en pétrole du Moyen-Orient et augmentent les prix de l’essence et du diesel pour les Américains, ce qui est politiquement préjudiciable pour la Maison-Blanche.

Il faut dire que les marchés pétroliers ont largement sous-estimé les risques géopolitiques. Les récents développements montrent que ces risques sont tangibles, ce qui explique la montée rapide des cours. Les attaques israéliennes donneront lieu à une certaine forme de représailles, qui pourraient facilement échapper à tout contrôle.

Le secrétaire d’État américain Marco Rubio a clairement indiqué que ces frappes sont une mesure unilatérale de Tel-Aviv contre l’Iran sans le soutien des États-Unis. Il a aussi mis en garde l’Iran contre le fait de viser les forces américaines dans la région. Concrètement, c’est l’élément clé pour le curseur des prix.

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Le budget de l’État affiche un excédent de 2 milliards de dinars au 1er trimestre 2025

Le budget de l’État tunisien a dégagé un excédent d’environ 2 milliards de dinars au cours du premier trimestre 2025, en hausse de 74% par rapport à la même période de 2024 (1,2 milliard de dinars), selon la note intitulée «Résultats provisoires de l’exécution du budget de l’État à fin mars 2025», publiée par le ministère des Finances.

Cette évolution est principalement liée à une augmentation des ressources budgétaires de 3,9%, qui ont atteint 12,5 milliards de dinars. Les recettes fiscales ont progressé de 7,7%, s’établissant à 11,2 milliards de dinars, tandis que les recettes non fiscales ont légèrement augmenté de 2%, pour avoisiner 1,2 milliard de dinars.

Les charges budgétaires ont, de leur côté, enregistré une baisse modérée de 0,6%, pour un total de 10,3 milliards de dinars. Dans le détail, les dépenses de rémunération ont augmenté de 3%, passant de 53,1 à 54,8 milliards de dinars à fin mars 2025. Les dépenses liées aux interventions ont connu une hausse de 16%, atteignant 2,4 milliards de dinars.

À l’inverse, les dépenses d’investissement et de gestion ont reculé de manière significative: -33,7% pour l’investissement (0,5 milliard de dinars) et -27,7% pour la gestion (0,2 milliard de dinars). Par ailleurs, les charges de financement, c’est-à-dire les intérêts de la dette, ont diminué de 10,4%, pour s’établir à 1,6 milliard de dinars contre 1,8 milliard un an plus tôt.

La structure des dépenses de l’État à fin mars 2025 se répartit comme suit: les rémunérations représentent 53,2% du total, suivies des interventions (23,3%), des charges de financement (15,9%), des dépenses d’investissement (5%) et des dépenses de gestion (2,6%).

Les ressources de trésorerie ont, quant à elles, enregistré une hausse de 49,8%, atteignant 5,5 milliards de dinars. Ces fonds ont été principalement mobilisés pour le remboursement du principal de la dette.

Enfin, le service de la dette publique a augmenté de 26% par rapport au premier trimestre 2024, passant de près de 7,2 milliards de dinars à plus de 9 milliards. La dette extérieure représente 57% de l’encours total, soit environ 5,2 milliards de dinars.

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7ᵉ édition de Miqyes: focus sur le développement durable

Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et la Conect ont présenté aujourd’hui les résultats de la deuxième enquête de la 7ᵉ édition du baromètre “Miqyes”, axée sur le développement durable. Réalisée auprès de 200 entreprises tunisiennes, cette étude vise à évaluer l’intégration des pratiques responsables dans leur fonctionnement et à identifier les leviers et freins à la transition durable.

63,5% des entreprises prévoient de lancer un programme environnemental et sociétal dans les cinq prochaines années. L’énergie apparaît comme le domaine prioritaire, traduisant une prise de conscience croissante des enjeux liés à l’efficacité énergétique et à la transition bas carbone.

Cependant, le manque de financement dédié reste le principal obstacle, avec plus de la moitié des actions financées sur fonds propres. Le déficit de compétences techniques constitue un autre frein majeur. 

Les actions les plus courantes concernent la gestion des déchets et la sensibilisation des employés. En revanche, peu d’entreprises mesurent leur empreinte carbone ou utilisent des énergies renouvelables. L’engagement reste souvent sectorisé et motivé par des contraintes réglementaires, en particulier dans l’industrie.

Un besoin de structuration et de reconnaissance

Seules 14% des entreprises utilisent un référentiel reconnu pour évaluer leur performance, et près de 43% ne communiquent pas sur leurs actions. Cette absence de mesure et de transparence limite l’impact et la valorisation des démarches responsables. Par ailleurs, 69% des entreprises se disent intéressées par une certification RSE, mais seules 15% ont déjà entamé un processus formel, montrant un besoin d’accompagnement pour franchir cette étape.

L’enquête Miqyes 2024 met en évidence un engagement croissant des PME tunisiennes en faveur du développement durable, mais aussi les défis importants à surmonter. Pour réussir cette transition, un appui ciblé en matière de financement, de compétences et de structuration s’avère indispensable.

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