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L’excellence tunisienne en marche : l’équipe nationale de Kendo en route vers le Japon

Après un podium européen, la Fondation Abdelwaheb Ben Ayed (FABA) accompagne les préparatifs de l’équipe nationale tunisienne de Kendo pour une immersion exceptionnelle au Japon, entre entraînements de haut niveau et compétition internationale.

Quelques semaines après avoir brillé lors du Championnat d’Europe de Kendo, l’équipe nationale tunisienne se prépare à franchir une nouvelle étape historique : un déplacement au Japon, berceau de leur discipline. Ce voyage, prévu dans les prochaines semaines, s’inscrit dans un programme de perfectionnement sportif intensif, fruit d’un partenariat entre la Fondation Abdelwaheb Ben Ayed (FABA), Microcred Tunisie et l’équipe Tunisienne de Kendo.

Les jeunes athlètes tunisiens auront l’opportunité de s’entraîner au sein de dojos prestigieux au Japon, aux côtés de maîtres reconnus mondialement. Ces séances d’entraînement viseront à renforcer leur technique, affiner leur sens du combat, et s’imprégner de l’esprit profond du Kendo japonais, fondé sur le respect, la rigueur et la maîtrise de soi.

Le séjour comprendra également la participation à une grande compétition internationale, rassemblant les meilleures sélections venues d’Asie, d’Europe et d’Amérique. Une expérience unique, aussi bien sur le plan sportif que culturel, pour cette équipe qui n’a cessé de progresser ces dernières années.

« Accompagner ces jeunes vers le Japon, c’est leur offrir une passerelle vers l’excellence, mais aussi les encourager à rêver grand pour la Tunisie.» – Fondation Abdelwaheb Ben Ayed

Ce projet s’inscrit dans une vision partagée par FABA et Microcred : faire émerger une jeunesse tunisienne engagée, compétente et inspirante, capable de porter haut les valeurs du pays sur la scène mondiale.

Alors que les derniers préparatifs battent leur plein – visas, planification logistique, préparation physique et mentale -, l’enthousiasme est palpable chez les athlètes comme chez les encadrants. Tous s’apprêtent à vivre une aventure sportive et humaine inoubliable.

Suivez les temps forts de leur départ et de leur séjour au Japon sur :

  • fondation-faba.tn
  • Instagram / Facebook : @faba

 

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Orange Tunisie poursuit son engagement aux côtés de la génération Z avec le Challenge PFE 2025

Suite au succès de sa première édition, Orange Tunisie a relancé cette année le Challenge PFE (Projet de Fin d’Études), un concours visant à encourager la créativité et l’innovation des jeunes étudiants de la génération Z. Cette initiative reflète l’engagement constant de l’opérateur à soutenir et valoriser les compétences des jeunes talents tunisiens.

Le Challenge PFE a débuté fin 2024 avec la publication du PFE Book, un recueil de projets innovants partagé sur LinkedIn et diffusé auprès des universités partenaires. Parmi les 2538 candidatures reçues, 120 stagiaires ont été sélectionnés pour leur potentiel et leur créativité. Dès leur arrivée, ils ont bénéficié de sessions d’intégration « Welcome Day » pour découvrir la culture et les valeurs d’Orange Tunisie.

En avril 2025, les étudiants ont participé à un bootcamp dédié aux soft skills, abordant des thématiques clés telles que la prise de parole en public, la préparation du pitch, la communication interpersonnelle et la simulation d’entretiens de recrutement.

Après une phase de présélection, 26 stagiaires ont présenté leurs projets devant plusieurs comités d’experts, qui ont retenu les huit plus prometteurs.

Lors de la cérémonie de clôture, ces finalistes ont eu l’opportunité de défendre leurs idées devant le Directeur Général, des membres du COMEX, des experts, des collaborateurs d’Orange Tunisie et leurs collègues stagiaires. Cet événement a permis de mettre à l’honneur l’ensemble des participants et de récompenser les trois lauréats qui se sont distingués par l’originalité et la qualité de leurs projets.

Habib Latrech, Directeur des Ressources Humaines d’Orange Tunisie, a déclaré : « Avec cette deuxième édition du Challenge PFE, nous avons eu l’opportunité de célébrer la créativité et l’innovation de nos jeunes talents tout en réaffirmant notre engagement en tant qu’entreprise humaine et responsable, tournée vers l’avenir et au service de la génération Z. Nous sommes fiers de leur avoir offert des opportunités concrètes de développement et d’épanouissement professionnels. »

Rendez-vous pris pour la 3ème édition !

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Siliana : 47% de la récolte céréalière achevée avec 790 000 quintaux collectés

Le taux d’avancement de la récolte céréalière dans le gouvernorat de Siliana a atteint 47%, après la collecte de 790 mille quintaux.

Le chef du service des grandes cultures au commissariat régional au développement agricole, Mohamed Taher Azzouz a indiqué, jeudi, à l’Agence TAP, que les quantités de céréales collectés s’élèvent jusqu’à présent à 511 mille quintaux d’orge, 52 mille quintaux de blé tendre et 227 mille quintaux de blé dur.

Il a ajouté que certains centres de collecte ont connu un volume de stockage dépassant leur capacité, soulignant que 160 mille quintaux de céréales sont déjà stockés dans les silos de l’Office des céréales dans la région.

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Tunisie : coopération entre Culture et Protection civile pour préserver les trésors patrimoniaux

Dans le cadre du renforcement des efforts du ministère des affaires culturelles pour la protection et la préservation du patrimoine national, et dans le but de mieux se préparer face aux risques menaçant les biens culturels, une deuxième session de formation consacrée à l’élaboration d’un Plan de Sauvegarde des Biens Culturels (PSBC) s’est tenue au musée de Carthage, du 17 au 20 juin 2025, en collaboration avec l’Office national de la protection civile et avec la participation de plusieurs experts du domaine.

Cette session, informe le ministère des affaires culturelles sur sa page officielle, a permis de se familiariser avec les principes de gestion des risques dans les institutions culturelles, en particulier dans les réserves et les espaces d’exposition des musées. Les participants ont pu approfondir leur compréhension du cadre juridique, tant national qu’international, de la protection du patrimoine en situation d’urgence, et développer une méthodologie adaptée pour sa sauvegarde, notamment à travers les techniques d’évacuation et d’intervention en cas de catastrophe.

Les différents types de menaces pesant sur les biens culturels ont été analysés (séismes, incendies, inondations, actes de vandalisme ou de vol…), et un plan précis d’inventaire des biens culturels nationaux classés et exposés au risque a été établi, outre l’organisation des procédures opérationnelles nécessaires à leur sauvegarde.

L’objectif de cette formation est de renforcer la coopération entre les structures culturelles et les unités de la protection civile, ainsi que de consolider les compétences des spécialistes du patrimoine, en leur fournissant les outils et méthodes pratiques nécessaires à l’élaboration, pour la première fois en Tunisie, d’un plan opérationnel global et rigoureux pour la protection des biens culturels conservés dans les réserves et les ateliers de restauration, dans le cadre des travaux de rénovation du musée de Carthage. Ces plans seront également intégrés aux systèmes de sécurité et de prévention propres aux futurs espaces d’exposition et de stockage du musée, ajoute la même source.

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HIDE Tunis : un nouvel institut d’ingénierie numérique en anglais ouvre ses portes

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaïd, a affirmé, mercredi, lors de l’inauguration officielle du siège de l’Institut Supérieur d’Ingénierie Numérique de Tunis (Higher Institute of Digital Engineering of Tunis, HIDE), le soutien total de son ministère à cette nouvelle institution universitaire.

Selon un communiqué du département, Belaïd a assuré que tous les moyens seront mobilisés pour garantir le succès et le rayonnement de cet établissement d’enseignement supérieur.

À cette occasion, le ministre a salué l’effort de toutes les parties ayant contribué à la création de cet institut, qu’il considère comme un pilier essentiel de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans le pays.

Créé par décret en date du 8 juillet 2024, l’Institut Supérieur d’Ingénierie Numérique, rattaché à l’Université de Tunis, a pour vocation d’assurer un enseignement en ingénierie informatique exclusivement en langue anglaise.

En 2024-2025, l’établissement a accueilli 60 étudiants inscrits dans un cycle préparatoire intégré en ingénierie.

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Tunisie : le montant de la Zakât al-Maal 1447 fixé à 27 002 dinars

Le montant de la “Zakât al-Maal” pour l’année 1447 de l’hégire est fixé à 27002 dinars et 976 millimes, a annoncé mardi le Mufti de la République, Cheikh Hichem Ben Mahmoud. La “Zakât al-Maal” ou l’aumône obligatoire est versée, annuellement, en vertu des règles de solidarité de l’Islam.

Elle est versée sur la valeur des biens ayant atteint ou dépassé le “Nissab” selon un taux de 2,5 pour cent.

Le “Nissab de la Zakat al-Maal” désigne la fortune minimale au-delà de laquelle l’acquittement de l’aumône sur la fortune devient obligatoire.

Elle doit être versée aux personnes nécessiteuses ou celles qui sont lourdement endettées, tel que stipulé dans le Coran (verset 60 de la sourate al-Tawba), lit-on dans un communiqué du cabinet du Mufti (Diwan al-Ifta). Sa vocation est de favoriser le partage et la solidarité avec les plus démunis.

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Tunisie–UNICEF : élargissement des écoles de la deuxième chance et lutte contre le décrochage scolaire

Le ministre de l’éducation, Noureddine Nouri, a réaffirmé, mercredi, l’engagement de son département à renforcer davantage la coopération avec le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), notamment dans les domaines liés à l’amélioration des infrastructures éducatives.

Lors d’un entretien tenu au siège du ministère avec une délégation du Conseil d’administration de l’UNICEF, conduite par son président, Jonibek Ismoil Hikmat, représentant permanent du Tadjikistan auprès des Nations Unies, l’accent a été mis sur la solidité du partenariat entre la Tunisie et l’UNICEF et sur les efforts conjoints déployés pour le développement des capacités, l’échange d’expertise et l’amélioration des conditions de vie scolaire.

Selon un communiqué du ministère de l’éducation, les discussions ont également porté sur les actions concrètes engagées, telles que le soutien au transport scolaire, l’amélioration de l’accessibilité pour les élèves en situation de handicap et les programmes de lutte contre le décrochage scolaire.

A cette occasion, il a été convenu d’élargir le réseau des écoles de la deuxième chance à travers les différentes régions du pays.

Les membres de la délégation de l’UNICEF ont, de leur côté, exprimé leur satisfaction quant aux efforts réalisés à l’échelle nationale et aux résultats obtenus. Ils ont souligné leur volonté de poursuivre l’appui apporté à la Tunisie afin de promouvoir les meilleures pratiques éducatives et garantir un environnement d’apprentissage sain, équitable et motivant pour tous les enfants.

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Tunisie : lancement du projet TEC-EAU pour renforcer l’offre en eau par des technologies innovantes

Un nouveau projet de développement intitulé « TEC-EAU » visant à renforcer l’offre en eau en Tunisie à travers l’utilisation de technologies innovantes vient d’être lancé par le ministère de l’Agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche et l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Ce projet qui s’inscrit dans un contexte de rareté et de pression croissante sur les ressources en eau ambitionne d’évaluer la faisabilité de quatre solutions technologiques, a indiqué la FAO dans un communiqué publié, jeudi.

En effet les solutions en question permettront d’optimiser la mobilisation de l’eau et de diminuer l’évaporation dans les bassins d’eau, incluant petits et grands barrages.

Il prévoit d’identifier et de tester l’application de films monomoléculaires sur les barrages, de piloter des panneaux photovoltaïques flottants sur les retenues, outre l’exploration des opportunités d’ensemencement des nuages et l’augmentation de la recharge des nappes grâce à la technique des barrages souterrains dans le contexte tunisien.

Ces actions s’inscrivent dans une démarche visant à renforcer l’offre en eau et à favoriser la production d’énergie renouvelable en Tunisie, tout en tenant compte des spécificités locales telles que les ressources disponibles, le climat et les capacités techniques.

Le Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Agriculture, Hamadi Habaieb a mis en exergue l’importance des partenariats institutionnels et la relation entre science et recherche qui constituent un levier essentiel pour accompagner la Tunisie dans sa transition vers une gestion durable et résiliente de ses ressources hydriques, a rapporté la même source.

De son côté, le représentant de la FAO en Tunisie, Mohamed Amrani a réaffirmé l’engagement de l’organisation pour soutenir les initiatives innovantes en faveur de toutes les parties prenantes notamment aux agriculteurs, à travers des expériences de recherche pilotes qui serviraient de modèle à d’autres pays.

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Gafsa : la production de tomates de transformation atteint 63 000 tonnes en 2025

Dans le gouvernorat de Gafsa, la production des tomates de transformation est estimée cette saison à 63 000 tonnes contre 50 000 tonnes l’année dernière.

Cette hausse de la production s’explique notamment par l’extension des superficies cultivées, a indiqué à l’Agence TAP, le chef de service de la production végétale au commissariat régional au développement agricole (CRDA) de Gafsa, Kais Chelbi.

En effet, la culture de la tomate destinée à la transformation s’étend cette année dans la région sur une superficie totale de 630 hectares dont 90% (550 hectares) se trouvent dans les délégations de Sidi Aïch et Gafsa. Le reste est réparti entre les délégations de Sened, Zanouch, Belkhir et Gafsa Sud.

D’après la même source la récolte de cette année ne souffre d’aucune maladie et se distingue par une bonne qualité, ajoutant que le rendement moyen a atteint 100 tonnes par hectare.

Malgré la performance de la production, le secteur fait face à plusieurs défis dans la région. Parmi eux, le manque de structuration des agriculteurs en groupements ou organisations professionnelles, la cherté des intrants et du matériel agricole, la faiblesse des prix de vente à la production, des problèmes logistiques liés au transport et à la commercialisation du produit, en particulier en dehors du circuit des entreprises contractuelles, a fait remarquer la même source.

Les opérations de cueillette des tomates ont débuté au mois de juin et se poursuivent jusqu’à la fin du mois de juillet. Près de 90 % de la production sera destinée à la transformation industrielle, tandis que le reste servira à la consommation directe et au séchage.

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Finance durable : Amen Bank se bat pour réduire l’écart dans la transition énergétique

Amen BANKAvec 47 MW de projets solaires financés, une avancée stratégique sur les lignes vertes internationales et un portefeuille en expansion vers les prêts durables, AMEN BANK confirme sa position de chef de file bancaire sur le créneau de la transition écologique en Tunisie. 

L’Amen Bank a activement participé au cinquième appel à projets solaires lancés par les pouvoirs publics. La banque a financé 35 centrales photovoltaïques, représentant une puissance cumulée de 47 MW. Un volume qui correspond à 24 % de la capacité totale autorisée (200 MW), ce qui en fait la première en termes de parts de marché sur ce segment.  La production annuelle estimée à près de 87 GWh équivaut à la consommation d’une ville de 45 000 habitant traduisant un impact concret et mesurable en matière d’indépendance énergétique et de réduction d’émissions.

Des reconnaissances nationales et internationales pour la stratégie Amen Bank

En 2024 et 2025, Amen Bank a été sacrée « Meilleure Banque Verte en Tunisie » par Global Banking & Finance Review. Sacrée en 2022, lors de la WENERCON, grande messe du secteur, par le prix du meilleur projet énergétique, elle a été la première à décaisser les fonds SUNREF (cofinancement européen pour l’efficacité énergétique) et a été sélectionnée par l’USAID comme partenaire bancaire exclusif du programme Power Tunisia, un dispositif orienté vers le financement de PME durables.

“Amen Bank confirme sa position de chef de file bancaire sur le créneau de la transition écologique en Tunisie.”

 

La feuille de route 2025–2027 avec pour fer de lance du concret !

Pour consolider son positionnement de banque engagée dans la transition énergétique et le développement durable, Amen Bank a programmé de généraliser les Corporate PPA (Power Purchase Agreements) pour l’autoconsommation industrielle, d’accompagner les producteurs indépendants (IPP) dans les futurs appels d’offres et d’émettre des obligations vertes afin de lever des fonds à grande échelle pour des projets exclusivement durables.

La banque est aussi décidée à développer une offre diversifiée de prêts responsables, incluant les Sustainability Linked Loans (SLL), les prêts verts, les crédits à impact ou encore les fonds de décarbonation. Elle déploie aujourd’hui un panel de financements verts provenant d’institutions européennes et multilatérales, ciblant particulièrement les PME, catalyseurs de la croissance économique locale.

La ligne KfW de 140 M€ destinée aux TPME tunisiennes et gérée par l’Amen Bank, finance les crédits de gestion, les fonds de roulement et les investissements et ce jusqu’à 2 MD par opération sur une durée de 7 ans, dont 1 an de différé.  Le taux d’intérêt est indexé sur le bailleur ainsi que la couverture de change.

“Bonifications pour les entreprises dirigées par des femmes et celles actives dans l’économie verte.”

 

La ligne de financement BIRD de 114 M€ provenant de la Banque mondiale vise les PME viables, classées 0 ou 1 (hors restructuration de dette avant 2019). Elle peut œuvrer à la consolidation du crédit jusqu’à 1,5 M TND (70 % du coût du projet) mais aussi être orientée vers des crédit investissement qui peuvent atteindre jusqu’à 15 M TND pour un seul projet remboursable sur 12 ans et au TMM + 3 %.

Les femmes entrepreneures avantagées !

Des bonifications sont prévues pour les entreprises dirigées par des femmes, situées en zones défavorisées ou actives dans l’économie verte.  Ces entrepreneures peuvent bénéficier de la ligne BEI de 170 M€ orientée vers les PME leur offrant un financement jusqu’à 12,5 M€ (ou équivalent TND).  Conjuguée aux financements suscités, un appui technique de 3 M€ est inclus pour assurer la conformité sociale et environnementale des projets.

Une attention particulière aux secteurs verts, sociaux et agricoles

Amen Bank propose également des mécanismes de financement adaptés à des secteurs spécifiques :  la ligne PRASOC vert pour les PME et TPME opérant dans l’agriculture, l’économie sociale et solidaire (ESS), le crédit agricole : jusqu’à 2 M TND (12 ans, 5 ans de grâce), le crédit ESS : jusqu’à 300 000 TND (7 ans, 2 ans de grâce) avec un taux fixe de 8 % ainsi que la ligne ADAPT de 25 M€, un Fonds d’appui à la transition écologique dans les secteurs agricoles, halieutiques et ruraux avec des subventions de 3 000 à 70 000 €, plafonnées à 16 % du coût total des projets. Ce dispositif s’étend jusqu’en mars 2028.

En associant ces outils financiers autour d’une vision intégrée, Amen Bank, ne se contente pas de verdir ses portefeuilles : elle crée un écosystème bancaire durable centré sur la performance, la transparence et la création de valeur.

Amel Belhadj Ali

Chiffres clés

  • 47 MW — Puissance cumulée des centrales photovoltaïques financées par Amen Bank.
  • 24 % — Part de marché d’Amen Bank dans les projets solaires tunisiens.
  • 87 GWh — Production annuelle estimée des projets financés, équivalant à la consommation de 45 000 habitants.
  • 140 M€ — Ligne de financement KfW pour les TPME tunisiennes gérée par Amen Bank.
  • 170 M€ — Ligne de financement BEI dédiée aux PME, avec un focus sur les entreprises dirigées par des femmes.

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Eté 2025 : quelles plages tunisiennes sont impropres à la baignade en 2025 ?

Le ministère de la santé a mis en garde contre la baignade dans 28 plages en raison de la pollution des eaux dans les gouvernorats de Tunis, Ben Arous, Ariana et Bizerte.

Dans le cadre du suivi de la qualité de l’eau de mer, le ministère a effectué des opérations de contrôle dans 539 points sur le littoral. Les résultats du mois de juin ont révélé que 71 pc des plages tunisiennes sont de bonnes qualité, alors que 28 points sont impropres à la baignade en raison de la pollution de l’eau.

Le ministère de la santé a indiqué, mercredi dans son communiqué, que les points impropres à la baignade en raison de la pollution de l’eau se répartissent comme suit:

Gouvernorat de Tunis: Un point interdit à la baignade à la plage de la rue Bach Hamba à la Goulette.

Gouvernorat de Ben Arous: 15 points interdits à la baignade:

-A 100 m au sud de la plage Marouan à Radès,
-En face du siège de la protection civile de Radès,
-A 100 m au nord de l’embouchure de Oued Meliane (Radès),
-En face de l’embouchure de Oued Maizet (Ezzahra),
-A l’embouchure de Oued Boukhamsa (Ezzahra)
-En face de la rue Salsa Major (Hammam-lif)
-En face de la rue de la méditerranée (Hammam-Lif)
-En face du Casino (Hammam-Lif)
-En face de la rue Habib Thameur (Hammam-Lif)
-En face de la rue Aziza Othmana (Hammam-Lif)
-L’ancienne embouchure Echaabia à Hammam-Lif
-A l’embouchure Oued Ayachia (Hammam-Lif)

Gouvernorat de l’Ariana: 6 points interdits à la baignade:

-A l’embouchure de la Sabkha à Raoued
-Devant le centre d’élevage des chevaux d’Akrout (Raoued)
-Au niveau du lotissement résidentiel (Raoued Plage)
-A la Cité des juges (Raoued)
-Au Canal du Golfe (Raoued)
-A 50 m au nord du canal du Golfe (Raoued)

Gouvernorat de Bizerte: 6 points interdits à la baignade:
-La plage de Jalta (Bizerte)
-La plage Baali (Menzel Jemil)
-Le port de pêche de Sidi Hachani à Menzel Abderrahmène
-Le Canal 1 de Zarzouna
-Le Canal 2 de Zarzouna

Le ministère de la santé a appelé les citoyens à éviter la baignade dans ces plages pour leur propre sécurité, soulignant que les opérations de contrôle de la qualité des plages se poursuivent.

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Industrie automobile : Yura Corporation double ses effectifs en Tunisie et mise sur Kairouan

Le géant sud-coréen «Yura Corporation», spécialisé dans la fabrication de câbles, fils et faisceaux de câble pour l’industrie automobile, implanté à Kairouan depuis 2007, compte renforcer sa présence en Tunisie, indique, mercredi, la FIPA.

L’Agence a accueilli, récemment, une délégation de cette entreprise sud-coréenne conduite par Kim Jong Gu, Directeur Général de la filiale tunisienne et Lee KangHoon, Business Development Executive Director du Groupe. La délégation a présenté un “programme ambitieux pouvant tripler les capacités d’emploi de ses sites en Tunisie”, .

Employant actuellement plus de 2500 personnes, le groupe envisage d’accroître ce nombre à plus de 5000 d’ici un an, ajoute la même source.

Lors de la réunion, les discussions ont porté, essentiellement, sur les programmes d’extension envisagés par le groupe sud-coréen dans les années à venir, réaffirmant l’intérêt du groupe pour le site tunisien en général et la région du Kairouan en particulier.

De leur côté, les représentants des structures d’appui participantes à la réunion ont affirmé leur engagement à soutenir le développement des activités du groupe, tout en rassurant les membres de la délégation quant à leur disponibilité à les accompagner lors des différentes phases d’extension envisagées, afin de permettre une mise en œuvre plus efficace de ses nouveaux projets d’extension.

Disposant de quatre unités de production implantées à Kairouan, Yura corporation est le fournisseur exclusif de KIA & Hyundai Motor Group de câblage automobile.

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Bourse de Tunis : le Tunindex poursuit sa hausse, boosté par POULINA et Attijari Bank

La tendance haussière se poursuit sur le marché action Tunisien. Le benchmark a clôturé la séance du mercredi sur une progression de 1,19 % à 11 521,93 points dans un volume bien garni de 11,7 MD, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Une transaction de bloc d’une valeur de 1,7 MD portant sur le titre Poulina Group Holding a davantage dynamisé les échanges.

STA s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action du concessionnaire de la marque chinoise « chery » s’est bonifiée de 5,6 % à 23,400 D dans un volume de 42 mille dinars.

Le titre ATTIJARI BANK a terminé la séance sur une note d’optimisme. L’action de la banque privée s’est échangé une hausse de 5,4 % à 56,400 D. Les échanges sur la valeur ont été bien garnis, s’établissant à 512 mille dinars sur la séance.

Le titre SIPHAT a accusé la plus forte baisse de la séance. Dans un faible volume de 5 mille dinars, l’action du laboratoire pharmaceutique a reculé de 4,2 % à 8,230 Dt.

Le titre TUNISAIR a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action du transporteur porte-drapeau s’est pliée de 2,7 % à 0,360 D. La valeur a été échangée à hauteur de 4 mille dinars sur la séance.

Le titre POULINA GROUP HOLDING continue de chapeauter le palmarès des échanges pour la troisième séance consécutive. S’appréciant de 0,5 % à 15,280 D, la valeur a alimenté le marché avec des capitaux de 3,3 MD (soit 28 % du flux de la cote) et ce, grâce à la réalisation d’une transaction de bloc d’une valeur de 1,7 MD.

 

 

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Sidi Bouzid : un atelier national pour valoriser les ressources fourragères face aux défis climatiques

Un atelier national s’est tenu, mercredi, au Centre régional de recherche agricole (CRRA) à Sidi Bouzid sous le thème “Valorisation des ressources fourragères et alternatives pour le renforcement et la durabilité des systèmes de production animale”.

L’événement a réuni plusieurs chercheurs et intervenants du secteur des ressources fourragères, à l’initiative du Centre et dans le cadre d’un projet de valorisation des résultats de la recherche agricole financé par l’Institutiton de la recherche et de l’enseignement supérieur agricoles (IRESA).

Selon la chercheuse Nazhih El Ayeb, cet atelier vise à valoriser les résidus agricoles afin de réduire le coût de production des fourrages et d’assurer la durabilité des systèmes d’élevage dans différentes régions.

Face aux défis posés par le changement climatique et la raréfaction des ressources, un atelier organisé à l’Institut des Régions Arides (IRA) de Médenine a mis en lumière les efforts en cours pour diversifier et valoriser les ressources fourragères alternatives, adaptées aux conditions arides, à la salinité et aux stress environnementaux.

L’IRA œuvre à la valorisation de fourrages issus de productions directes et de résidus agricoles (tomates de serre, palmes, feuilles d’olivier), tout en explorant de nouvelles formes de transformation comme les cubes fourragers. Des chercheurs ont également présenté des travaux sur la préservation et l’amélioration des légumineuses locales (luzerne, fève égyptienne, pois des oiseaux, lentille), visant à renforcer leur rendement, leur résistance et leur valeur nutritive.

Le programme a mis l’accent sur les résultats du laboratoire d’élevage, le rôle de l’Office national des fourrages, l’introduction de l’Azolla comme alternative végétale, et l’usage de résidus de colza et de caroube. L’ensemble de ces initiatives s’inscrit dans une stratégie de durabilité, de préservation des ressources locales et de soutien à l’alimentation animale dans les régions arides.

 

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Monastir : formations en fusion de verre et pâte de verre pour jeunes artisans

Deux sessions de formation sont actuellement en cours au siège du commissariat régional de l’artisanat à Monastir, portant respectivement sur la confection de pièces et objets décoratifs en pâte de verre et sur la technique de “fusing” (fusion du verre).

Ces formations bénéficient à une vingtaine de participants de divers horizons, tous âges et niveaux d’instruction confondus.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, la sous-directrice au sein du commissariat régional, Samah Gâaloul, a précisé que cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un cycle de formations mises en œuvre par l’Office national de l’artisanat (ONA) en partenariat avec le programme “Tunisie Créative 2.0”.

Il s’agit d’un dispositif destiné aux jeunes porteurs de projets, les artisans ainsi qu’aux diplômés de l’enseignement supérieur, en leur offrant des opportunités de perfectionnement dans des spécialités fortement sollicitées sur les marchés local et international.

Les produits issus de la fusion de verre et du travail de la pâte de verre jouissent actuellement d’une forte demande sur les marchés mondiaux, d’où l’importance, selon lui, “de positionner la Tunisie à l’avant-garde en matière de formation dans ces domaines innovants, et d’inciter les artisans à s’aligner sur les tendances internationales, a indiqué à la TAP, le formateur au Centre des métiers d’art de Nabeul, Sofiane Ben Amor.

Il a expliqué que la technique du fusion de verre consiste à assembler différentes variétés de verre, transparentes ou colorées, jusqu’à obtenir une pièce homogène pouvant servir de bijou ou d’élément de décoration.

Il a également salué l’enthousiasme des participants, notant que cette spécialité reste accessible sur le plan financier : un projet peut être lancé avec un budget d’environ 5 000 dinars, couvrant l’achat du four, du verre coloré et des équipements de base.

Par ailleurs, il a rappelé que le programme “Tunisie Créative” offre des possibilités de financement pour ce type d’initiatives, avec notamment des lignes de crédit à des conditions avantageuses.

Dans les prochains jours, le commissariat, en collaboration avec le même programme, prévoit d’organiser une session de formation en moulage sur mannequin dans le domaine de la haute couture, ainsi qu’un atelier consacré à la broderie sur tulle, une technique très recherchée sur le marché de l’emploi.

 

 

 

 

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Bouderbala reçoit l’Ordre des médecins : focus sur la responsabilité médicale et les réformes attendues

Le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Ibrahim Bouderbala, a reçu mercredi matin au palais du Bardo les membres du Conseil national de l’Ordre des médecins, conduits par la présidente du Conseil, Rim Ghachem Attia.

Les membres de la délégation ont souligné, au cours de l’entretien, les diverses préoccupations du secteur médical dans toutes ses spécialités, les lacunes juridiques entravant son fonctionnement et la nécessité de les combler en révisant plusieurs lois en vigueur depuis des décennies, ainsi qu’en mettant en place un cadre législatif en phase avec les évolutions rapides que connaît ce secteur important dans ses divers aspects.

Les membres du Conseil national de l’Ordre des médecins ont appelé à la promulgation d’un texte législatif permettant l’exercice de la médecine dans le cadre de sociétés, en raison des avantages que cette démarche présente, notamment pour le développement des services médicaux et leur amélioration qualitative, en plus de leur rapprochement du citoyen et de leur accessibilité dans les meilleures conditions.

Ils ont également souligné l’importance de la pratique médicale dans un cadre participatif, en matière d’échange d’expériences et de savoir-faire, permettant ainsi de fournir des services de meilleure qualité, en insistant sur l’impact positif de cette pratique sur les jeunes médecins, à travers la création d’opportunités d’emploi et d’acquisition d’expérience.

Par ailleurs, les membres de l’Ordre ont abordé la loi sur la responsabilité médicale, évoquant la nécessité de la réviser pour en faciliter l’application, notamment en ce qui concerne la garantie des droits des patients, la détermination de la responsabilité des prestataires de soins, et la mise en place de mécanismes d’indemnisation pour les dommages résultant d’erreurs médicales.

Ils ont également évoqué la poursuite du phénomène de migration des médecins tunisiens, ses effets négatifs sur le système de santé nationale et sur les services fournis, en plus de la grave pénurie de cadres médicaux. Ils ont estimé que les conditions de travail difficiles des médecins figurent parmi les principales causes de cette migration des jeunes médecins, et qu’il est nécessaire d’y remédier.

Le président de l’Assemblée des représentants du peuple a exprimé son appréciation pour les compétences médicales remarquables dont regorge le secteur, compétences qui ont fait leurs preuves dans diverses spécialités tant dans les secteurs public que privé, et qui ont réalisé des réussites aux niveaux national et international. Il a souligné que ces indicateurs positifs représentent une incitation à accorder davantage d’attention à ces compétences, en leur offrant les meilleures conditions de réussite et d’excellence.

Il a également salué le travail sérieux accompli par les professionnels de santé dans toutes leurs catégories et spécialités, afin de garantir les services de santé aux citoyens de la meilleure manière, illustrant ainsi l’importance du secteur de la santé, considéré comme l’un des domaines vitaux et de services les plus directement liés au citoyen.

 

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BCT : les recettes touristiques et les transferts des Tunisiens à l’étranger atteignent 6,8 milliards de dinars en 2025

Les recettes touristiques et les revenus du travail cumulés ont drainé, durant la période allant du 1er janvier au 20 juin 2025, 6,8 milliards de dinars, selon les indicateurs monétaires et financiers, rendus publics, mercredi, par la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

Les recettes touristiques ont enregistré une hausse de 8,5%, passant de 2,7 milliards de dinars, le 20 juin 2024, à 3 milliards de dinars, actuellement alors que les revenus du travail ont progressé de 8,4%, à 3,7 milliards de dinars, durant la même période.

L’ensemble de ces recettes ont permis de couvrir à hauteur de 89,5% des services de la dette extérieurs, lesquels ont dépassé les 7,6 milliards de dinars, à la date du 20 juin courant.

Pour ce qui est des avoirs nets en devises, ils ont légèrement régressé de 3,5%, à 23,3 milliards de dinars (l’équivalent de 101 jours d’importation), le 24 juin 2025, contre 24,1 milliards de dinars (111 jours d’importation), une année auparavant.

La BCT a fait état, en outre, d’une hausse des billets et monnaies en circulation, de 12,4%, pour dépasser les 24,7 milliards de dinars.

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Bourse Tunis-Assurances Maghrebia : Publication du rapport ESG au titre de l’exercice 2024

Maghrebia, faisant partie d’UFI Group, est membre du Pacte Mondial des Nations Unies et adhère rigoureusement à cette initiative depuis 2009. Cet engagement volontaire en matière de durabilité a été consolidé par la mise en place de notre démarche de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise (RSE) initiée au début des années 2020 et pensée comme une évolution rendue logique et nécessaire par la croissance de l’activité du Groupe Maghrebia et de son impact sur la société dans son ensemble. La participation dès 2021 à un programme pilote proposé par le Centre International des Technologies de l’Environnement de Tunis (CITET) nous a apporté les bases méthodologiques nécessaires pour former et embarquer nos parties prenantes dans cette démarche. Ces concertations ont permis de convenir des 8 enjeux RSE prioritaires qui structureront nos plans d’actions, en concordance avec les Objectifs de Développement Durable (ODD) définis par les Nations Unies.

ASSURANCES MAGHREBIA, publie le rapport ESG au titre de l’exercice 2024.

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ALECSO lance la version arabe du projet « Compétences en innovation » pour une éducation numérique

L’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO) a annoncé, mercredi, le lancement de la version arabe du projet « Compétences en innovation », en partenariat avec la société Intel, la Millennium Foundation for Sustainable Education, la Classera Foundation for Smart Learning, et l’entreprise JP.

Ce projet vise à soutenir la transformation numérique dans le secteur de l’éducation arabe, à travers permettre aux enseignants d’intégrer la technologie dans leurs pratiques pédagogiques et en dotant les apprenants des compétences nécessaires pour l’avenir, telles que la pensée critique, la résolution de problèmes, la créativité, l’auto-apprentissage, l’intelligence numérique et la programmation.

Le projet vise également à réduire l’écart entre le système de l’éducation et les besoins du marché du travail, à travers la création d’une plateforme éducative arabe intégrée, contenant un contenu technique et scientifique renforçant les compétences du 21è siècle, répondant aux exigences de la quatrième révolution industrielle, et établissant un nouveau modèle pédagogique fondé sur la complémentarité entre la technologie et programmes éducatifs.

Le programme a été développé par la société Intel, et adapté aux spécificités des systèmes éducatifs arabes en collaboration avec le Centre arabe de la traduction et l’édition à Damas et une équipe d’experts en éducation.

À cette occasion, Mohamed Ould Amar, directeur général de l’ALECSO, a souligné que le monde connaît des mutations rapides dans les domaines technologique et cognitif, ce qui impose une révision profonde de la manière de former les enseignants et apprenants. Il a noté que l’éducation ne se limite plus à la transmission du savoir, mais tend à stimuler la créativité, développer les compétences, encourager la pensée critique et renforcer la capacité d’adaptation à des environnements changeants.

Il a expliqué que le projet « Compétences en innovation » incarne cette transformation à travers une méthodologie éducative interactive basée sur des scénarios réalistes, alliant savoir théorique et application pratique. Il a estimé que le programme constitue un outil efficace pour redéfinir le rôle de l’enseignant, désormais vu comme un leader et un guide, et non simplement un transmetteur d’informations.

Il a également indiqué que cette initiative s’inscrit dans la vision de l’ALECSO pour soutenir la transformation numérique de l’éducation dans le monde arabe, rappelant à ce sujet plusieurs projets précédents, tels que la Référence pour la transformation numérique, les plateformes de ressources éducatives ouvertes, une série de conférences sur l’intelligence artificielle dans l’éducation, ainsi que la Charte ALECSO sur l’éthique de l’intelligence artificielle, dont la préparation s’est achevée la semaine dernière.

De son côté, le directeur du département des technologies de l’information et de la communication à l’ALECSO, Mohamed Jomni, a souligné que le lancement de ce projet répond à la cadence accélérée de l’évolution numérique et à la nécessité urgente de former les enseignants aux compétences adaptées aux défis de la quatrième révolution industrielle, précisant que l’autonomisation des enseignants dans le monde arabe est toujours une priorité majeure pour l’ALECSO, et qu’il est temps de les transformer de simples transmetteurs de savoir en véritables stimulateurs de créativité, selon ses propos.

Jomni a précisé que le projet « Compétences en innovation » dépasse le simple cadre d’un programme de formation, pour devenir une plateforme éducative intégrée, fondée sur la créativité, la pensée critique et l’utilisation des outils numériques. Il a affirmé que le programme comprend plus de 140 heures d’activités éducatives technologiques et propose un parcours progressif de développement des capacités des enseignants, réparti sur quatre niveaux d’autonomisation technologique.

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