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Tunis – Après l’incendie : Les tristes vestiges de la Villa Yvonne

Toute une aile de la demeure délaissée de la rue du Luxembourg, est partie en fumée.

Les Tunisois se sont attachés à la Villa Yvonne. Malgré son état de vétusté, cette ancienne demeure qui se trouve dans une ruelle au quartier du Passage, est parée d’une aura de sympathie.

Ces dernières semaines, un incendie a détruit un pan entier de cette villa centenaire et depuis rien à signaler.

Ce fait accompli n’a été suivi de quasiment aucune explication et c’est toujours la bouteille à l’encre pour ce qui concerne l’avenir de cette ancienne demeure du centre-ville de Tunis.

Nos photos montrent l’état actuel de cet édifice.

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Tunisie : La dixième édition de Dream City en octobre

La dixième édition de Dream City aura lieu à Tunis du 3 au 19 octobre 2025 avec une forte participation internationale.

Dream City revient pour sa dixième édition et investira plusieurs lieux de Tunis. Festival pluridisciplinaire enraciné dans la cité, Dream City est une invitation à cheminer entre danse, théâtre, films, expositions, concerts et programme pour enfants.

Selon les organisateurs, le programme complet de la dixième édition sera dévoilé « pas à pas en juillet, comme une œuvre en devenir ». Ce qui est bel et bien dans l’esprit de ce festival plébiscité par le public culturel.

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Le couscous du Nouvel an hégirien : Entre coutumes et symboles

À l’occasion de Ras el Am, les familles tunisiennes ont pour tradition un couscous rituel riche en symboles.

Le Nouvel An devrait être célébré ce jeudi 26 juin. Selon le cycle lunaire, Ras el Am est fêté le premier jour du mois de Muharrem et il est de tradition lors de ce Ras el Am el Héjri de manger du couscous au qadid et aux fèves.

Ce couscous est tellement riche de symboles qu’il mérite quelques explications. D’abord, les grains utilisés pour la préparation de ce couscous rituel doivent provenir des provisions constituées pendant l’année précédente. Il en est de même pour les fèves sèches et bouillies qui doivent également provenir de la dernière récolte annuelle.

Survenant vingt jours après l’Aid El Kebir, le couscous du Nouvel An hégirien fait aussi appel à certaines parties de la viande du mouton sacrifié à cette occasion. Il s’agit, entre autres, du fameux qadid (des lanières de viande salée, épicée et séchée) auquel on ajoutera des morceaux provenant des conserves de l’année précédente.

Ainsi, la préparation de ce couscous obéit à une exigence d’antériorité pour tous les ingrédients. Cette symbolique est claire: la consommation en fin d’année de denrées prélevées sur d’anciennes provisions prouve qu’on n’a pas eu de pénurie alimentaire. Ce signe de prospérité est davantage souligné par l’ajout à l’ancien qadid de qadid nouveau. Là encore, le symbole est clair: lorsque les provisions de deux années se chevauchent dans le même repas rituel, c’est que l’abondance et la continuité sont bien là !

Ceci pour le fameux couscous “ bel qadid” qui succède au couscous “ bel osben” de l’Aid el Kebir. Il faut noter certaines autres traditions liées à Ras el Am: dans certaines régions, on agrémente ainsi le couscous d’œufs durs.

Une autre coutume voudrait que le jour de l’An, on consomme un potage léger pour que l’année passée facilement. On mange aussi des gâteaux pour que l’année soit douce. On évitera aussi d’utiliser des épices comme l’harissa pour que l’année ne soit pas brûlante.

Tout cela relève de la superstition, mais possède aussi son charme et fait partie du symbolisme augural.
Par ailleurs, pour fêter Ras el Am, on offre aux enfants, à Nabeul, des personnages en sucre coloré. Enfin, le début de l’ère hégirienne est comptabilisé à partir de l’émigration (Hégire) du Prophète à Médine, le 16 juillet 622. Bonne année 1447 !

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Tunisie – Festivals : Un été aux couleurs de l’Autriche

Entre jazz, fusion et classique, quatre soirées musicales autrichiennes sont au menu des festivals d’été.

Quatre participations autrichiennes ponctueront les festivals d’été et contribueront aux échanges culturels entre nos deux pays. Comme le veut une tradition bien ancrée, l’Autriche sera présente au festival international de musique symphonique d’El Djem avec des formations classiques.

De même, le Festival international de Sousse et le Festival international de Dougga accueilleront des musiciens autrichiens dans les répertoires jazz et fusion. Quel sera le profil de cette participation qui par ailleurs s’inscrit dans le cadre de la célébration des trois cents ans de relations diplomatiques entre l’Autriche et la Tunisie ?

Le festival de Dougga accueille le 4 juillet une formation autrichienne dont la fusion musicale est l’emblème. L’Afro Arabiq Walzer Archestra est en effet un ensemble musical qui mélange la Wiener Walzer (valse viennoise) avec des rythmes de Dakar, Tunis et Damas. L’ensemble multiculturel est inspiré par les traditions musicales arabes, ouest-africaines et autrichiennes.

Cette fusion unique crée un son distinctif qui a été décrit comme une « nouvelle créature » née dans l’espace intersidéral de l’innovation musicale. Les membres interprètent des compositions enflammées de divers artistes, d’un groupe de dix musiciens.
Sous la baguette de Harald Huber, l’orchestre mêle mélodies arabes, rythmes africains, sonorités d’Europe et improvisations jazz pour un show musical sans frontières.

Samedi 2 août, l’Orchestre du bal de l’Opéra de Vienne donnera un grand concert de musique classique dans l’amphithéâtre d’El Jem. Une expérience à ne pas manquer et une ouverture aux couleurs de l’Autriche.

Samedi 16 août : En clôture du festival international de musique symphonique d’El Djem, un concert avec le violoniste vedette Yury Revich est au programme. Il présentera un concert de clôture en compagnie de l’Orchestre symphonique tunisien et de talentueux jeunes musiciens autrichiens.

Enfin, vendredi, 8 août, le jeune trio jazzy Haezz sera au rendez-vous de la 66ème édition du festival international de Sousse. Rythmes entraînants et sons créatifs seront à l’ordre du jour de cette soirée de musique contemporaine.

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Tunis – Église Sainte-Croix : Une superbe restauration

L’ancienne église de la médina de Tunis accueille désormais un centre culturel municipal dans un édifice parfaitement restauré.

Les travaux de restauration de l’ancienne église Sainte-Croix ont littéralement transfiguré cet édifice qui a longtemps abrité la principale paroisse catholique de Tunis.

Ce bâtiment totalement rénové héberge aujourd’hui un centre culturel municipal. Menée avec l’appui de la Coopération italienne, la restauration permet de découvrir la beauté intacte de l’ancienne église et de son presbytère.

Ce nouvel espace vient renforcer le tissu culturel de la médina de Tunis et lui apporte une touche de grâce et une restauration en tous points remarquable.

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Dhaou, la Goulette et l’appel du large

Au port de pêche de la Goulette, Dhaou taquine le poisson et se souvient de ses années françaises.

Affable et s’exprimant dans un français châtié, Dhaou s’apprête à quitter le port de la Goulette à motocyclette. Il possède une barque et quotidiennement, lance dans la mer une ligne dotée d’une cinquantaine d’hameçons.

Il négocie ensuite le produit de sa pêche après avoir distrait sa part de poisson. Personnage haut en couleurs, Dhaou est inépuisable quand il s’agit d’évoquer la France où il a vécu de nombreuses années.

Il est tout aussi disert quand il est l’heure de raconter sa Goulette et sa passion pour la pêche. Chaque jour, avec la marée embarquée, il quitte le port pour le marché et brasse les heures claires de la Goulette.

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Tunisie – Snapshot : Et pourtant il penche et s’enfonce !

Plusieurs immeubles du Passage et de la Petite Sicile penchent et s’enfoncent. Que faire par rapport à cette situation ?

Certains immeubles de Tunis s’enfoncent irrémédiablement dans la vase des terrains lacustres sur lesquels ils ont été édifiés.

Âgés d’un demi-siècle et parfois d’une centaine d’années, ces immeubles penchent dangereusement et sont dans certains cas habités ou occupés par des bureaux.

Que font les services compétents dans ces cas qui se comptent par dizaines ? Et d’ailleurs existe-t-il un recensement de ces tours de Pise à la tunisienne ?

Notre photo représente un des immeubles penchés de la rue Cyrus le grand.

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Tunis – Avenue de Carthage : Un immeuble qui renaît

Édifié en 1906, cet immeuble de l’avenue de Carthage est en train de retrouver des couleurs.

Classé depuis 25 ans, l’immeuble Azerm qui se trouve sur l’avenue de Carthage est actuellement en cours de restauration.

Construit en 1906, cet édifice présente une façade ayant plusieurs éléments Art nouveau.

Si cet immeuble mérite une restauration, il est souhaitable qu’elle soit entreprise selon les règles de l’art afin que le bâtiment retrouve ses caractéristiques.

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Tunisie – Snapshot : Que reste-t-il de la TAT ?

Place Barcelone, l’ancien siège de la société des transports régionaux est en ruines. Dans l’indifférence générale.

Le patrimoine immobilier de certaines entreprises publiques est délaissé au point où il tombe en ruines sans que nul ne s’en soucie.

C’est le cas de l’ancienne gare routière de la TAT, une entreprise publique de transport régional.

Ces locaux sont abandonnés depuis des décennies et semblent quasiment oubliés par les instances qui en sont propriétaires.

Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres tant l’hypercentre de Tunis regorge d’édifices abandonnés.

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Snapshot : Où se cache cette croix de Malte dans les rues de Tunis ?

Croisée sur une porte au cœur de Tunis, cette croix de Malte se trouve sur la façade d’un édifice autrefois lié aux travailleurs maltais.

Dans Tunis, les rencontres subreptices relèvent souvent de l’enchantement. Sur les traces des bribes de mémoire, le photographe se trouve parfois confronté à l’inattendu.

Ainsi, cette croix de Malte qui pare le portail de l’ancienne Salle maltaise de la rue de Grèce.

Aujourd’hui, l’édifice héberge la troupe théâtrale de la ville de Tunis et garde quelques fragments de mémoire maltaise : deux inscriptions dont la date de fondation en 1893 et aussi cette croix.

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Snapshot : Les ruines de la plus grande librairie de Tunis

Il ne reste plus rien ou presque du siège jadis lumineux, de la Société tunisienne de diffusion. Seule une façade aveugle et des vestiges.

Jusqu’aux années 1980, la Société tunisienne de Diffusion avait belle allure et pouvait se targuer du titre de plus grande librairie de Tunisie.

Depuis, cette entreprise publique a périclité et disparu de la topographie urbaine. Que ce soit sur l’avenue de Carthage ou côté rue de Grèce, l’ancien siège social a été rasé ou continue à s’effondrer. Dans l’indifférence générale.

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