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L’Egypte s’engage dans la reconstruction de la Libye

Les projets Ă©gyptiens en Libye franchissent la barre des 2,5 milliards de dollars et leur valeur totale dĂ©passe les 5 milliards. Ce sont des informations relayĂ©es par Asharq Bloomberg. Elles rĂ©vĂšlent que Mohamed Rafea, le directeur gĂ©nĂ©ral de la FĂ©dĂ©ration des Chambres de commerce de Libye, a indiquĂ© que la valeur des initiatives des sociĂ©tĂ©s Ă©gyptiennes en Libye pourrait se multiplier par deux d’ici 2028; et ce pour atteindre 10 milliards de dollars. 

Il s’exprimait ainsi lors du quatriĂšme Forum d’affaires Ă©gypto-libyen, qui se dĂ©roulait samedi 19 juillet 2025 Ă  Alexandrie. De mĂȘme, il prĂ©voit que la valeur des initiatives des sociĂ©tĂ©s Ă©gyptiennes en Libye grimpera Ă  10 milliards de dollars d’ici 2028. Mohamed Rafea assure que « le Fonds de reconstruction libyen a allouĂ© 69 milliards de dinars (environ 12,7 milliards de dollars), dont une part significative est destinĂ©e aux sociĂ©tĂ©s Ă©gyptiennes ».

Un rassemblement de plus de 50 investisseurs libyens

Le quotidien Al-Ahram rapporte que le 4Ăšme Forum d’affaires Ă©gypto-libyen a rassemblĂ© plus de 50 investisseurs libyens et 300 entrepreneurs Ă©gyptiens. Il constitue ainsi une avancĂ©e significative dans le renforcement des relations Ă©conomiques entre les deux pays.

A souligner que cette Ă©dition du Forum vise Ă  stimuler les activitĂ©s commerciales, industrielles, agricoles et d’investissement. A cet effet, Alaa Ezz, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la FĂ©dĂ©ration des chambres de commerce Ă©gyptiennes, a mis en exergue les secteurs prometteurs que la Libye vise. Et notamment : l’industrie, l’agriculture, le transport, la logistique, la transformation alimentaire et l’aquaculture.

Dans ce cadre, il a exhortĂ© les entreprises Ă©gyptiennes Ă  profiter de ces opportunitĂ©s, en particulier dans le domaine de la reconstruction de la Libye. « Les sociĂ©tĂ©s Ă©gyptiennes possĂšdent une compĂ©tence avĂ©rĂ©e dans les domaines de la construction de routes, de l’assainissement, des ponts et du tourisme, qui peut largement apporter une contribution aux initiatives d’infrastructure en Libye ».

Un carrefour essentiel pour les investissements et les exportations

Aux dires d’Alaa Ezz, la Libye occupe actuellement la troisiĂšme position parmi les partenaires commerciaux de l’Égypte dans le monde arabe, aprĂšs l’Arabie Saoudite et les Émirats. Avec un marchĂ© dĂ©passant les 110 millions de consommateurs et des traitĂ©s de libre-Ă©change garantissant l’accĂšs Ă  trois milliards de consommateurs, l’Égypte s’affirme comme un carrefour essentiel pour les investissements et les exportations.

Pour sa part, Ahmed El-Wakil, qui prĂ©side aux destinĂ©s de la FĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale des chambres de commerce, a mis l’accent sur l’importance stratĂ©gique de ce lien. « La frontiĂšre de 1 200 kilomĂštres qui sĂ©pare l’Égypte de la Libye est un lien qui nous unit plutĂŽt qu’une sĂ©paration. Pour renforcer cette collaboration dans tous les secteurs, le rĂŽle du secteur privĂ© doit ĂȘtre central », affirme-t-il.

Bien que les exportations Ă©gyptiennes vers la Libye, Ă©valuĂ©es Ă  plus de 2 milliards de dollars, aient augmentĂ©, des difficultĂ©s demeurent, dont : l’absence d’ouverture de crĂ©dits; les dĂ©lais de remboursement; et les entraves Ă  la circulation des camions.

Une relance des entitĂ©s d’investissement libyennes nĂ©cessaire

Et Ahmed El-Wakil d’attirer l’attention sur le fait que « les investissements libyens en Égypte ont diminuĂ© de 25 %, avec seulement 511 entreprises inscrites ». D’oĂč son appel Ă  une relance des entitĂ©s d’investissement libyennes : « Il est nĂ©cessaire de redynamiser la Libyan Foreign Investment Company pour restaurer l’équilibre » 

Les deux pays envisagent un partenariat renforcĂ© pour dominer conjointement les marchĂ©s externes, notamment grĂące Ă  la Zone de libre-Ă©change continentale africaine (ZLECAf), qui offre un potentiel d’achat dĂ©passant 1,4 trillion de dollars. Des initiatives logistiques de grande envergure sont Ă  l’examen, tels qu’un hub international situĂ© prĂšs de la frontiĂšre de Salloum et des voies de transport transcontinentales reliant la mer Rouge Ă  l’Atlantique.

Cette dynamique dĂ©coule d’un premier forum qui s’était tenu au Caire en octobre de 2024. Y avaient Ă©tĂ© discutĂ©s des sujets tels que l’octroi de visas, l’ouverture des frontiĂšres et la facilitation des procĂ©dures pour les spĂ©cialistes Ă©gyptiens.

Enfin, l’accĂ©lĂ©ration de cette collaboration est facilitĂ©e par l’établissement des trois autres Forums d’affaires et financier entre l’Égypte et la Libye.

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Maroc : Stellantis produira 535 000 unités par an à Kenitra

La capacitĂ© de production de l’usine Stellantis Ă  Kenitra au Maroc se dĂ©veloppe : elle atteint dĂ©sormais 535 000 unitĂ©s par an, incluant 135 000 unitĂ©s de micromobilitĂ© 
 Plus de 3 000 postes de travail seront gĂ©nĂ©rĂ©s, accentuant la position du site comme un pĂŽle automobile clĂ© au Maroc.

 

L’usine Stellantis Ă  Kenitra dĂ©bute une nouvelle phase. L’extension du site a Ă©tĂ© inaugurĂ©e le mardi 16 juillet 2025, en prĂ©sence du chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, et du ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour. Cet Ă©vĂ©nement reprĂ©sente une Ă©tape significative dans la collaboration industrielle Ă©tablie entre le groupe automobile et le Maroc depuis 2016.

 

Plaque tournante automobile de premier plan

 

Avec une production pouvant atteindre 535 000 vĂ©hicules par an, dont 135 000 destinĂ©s Ă  la micromobilitĂ©, l’établissement de Kenitra se positionne comme un Ă©lĂ©ment clĂ© de la stratĂ©gie industrielle et technologique du Royaume.

Le Premier ministre a indiquĂ© qu’il s’agit d’une « collaboration modĂšle” qui reflĂšte l’engagement du Maroc Ă  consolider sa position dans les chaĂźnes de valeur internationales. D’ailleurs, Ryad Mezzour a mis l’accent sur le fait que cette nouvelle phase confirme la place prĂ©pondĂ©rante du Maroc en tant que plaque tournante automobile de premier plan, dĂ©passant un million d’automobiles fabriquĂ©es chaque annĂ©e.

Suite Ă  l’application de l’Accord-cadre, le projet industriel de Kenitra a largement surpassĂ© les buts fixĂ©s au dĂ©part. En effet, la Phase 1, qui concernait la construction et l’ouverture de l’usine, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e dans le respect des dĂ©lais. L’inauguration avait Ă©tĂ© effectuĂ©e par le Roi Mohammed VI en juin 2019.

Quant Ă  la Phase 2, elle a conduit Ă  une multiplication par deux de la capacitĂ© de production de l’usine, atteignant 200 000 vĂ©hicules par an dĂšs la fin de 2020, soit trois ans avant le planning initialement prĂ©vu.

 

Un écosystÚme industriel compétitif et résilient

 

D’ici Ă  2030, le montant des acquisitions effectuĂ©es auprĂšs de fournisseurs marocains devrait excĂ©der les 6 milliards d’euros, avec un objectif d’intĂ©gration locale fixĂ© Ă  75 %.

L’effet sur l’emploi est notable : plus de 3 000 nouveaux postes viendront s’ajouter aux 3 500 emplois existants.

Et dĂšs fĂ©vrier 2026, l’usine mettra en production les nouveaux vĂ©hicules de la plateforme Smart Car, ce qui permettra d’augmenter la capacitĂ© de production initiale de 200 000 Ă  400 000 vĂ©hicules par an


« Notre approche cherche Ă  gĂ©nĂ©rer de la valeur pour le pays en mettant en place un Ă©cosystĂšme industriel Ă  la fois compĂ©titif et rĂ©silient Â», a affirmĂ© Samir Cherfan, directeur des opĂ©rations pour le Moyen-Orient et l’Afrique au sein du groupe. « L’ouverture de l’extension de l’usine de Kenitra tĂ©moigne de la soliditĂ© du partenariat entre le gouvernement marocain et le groupe Stellantis qui a dĂ©butĂ© en 2016 pour faire progresser le secteur automobile. Depuis le commencement de cette coopĂ©ration, Stellantis a fourni de maniĂšre anticipĂ©e et au-delĂ  des stipulations du contrat Â».

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Pour dominer le monde de l’IA, Zuckerberg investit massivement

Meta Platforms Inc. mise sur l’avenir de l’intelligence artificielle en investissant massivement dans des supercalculateurs. RedĂ©finissant par consĂ©quent ses objectifs technologiques face Ă  ses concurrents. Dans ce cadre, Mark Zuckerberg, le patron de Meta, a rĂ©vĂ©lĂ©, lundi 14 juillet 2025, ĂȘtre en train de travailler Ă  la mise en place de rĂ©seaux informatiques d’une capacitĂ© de plusieurs gigawatts dans l’optique de crĂ©er une « superintelligence« .

Meta Platforms Inc., l’entreprise technologique majeure qui se cache derriĂšre Facebook, renforce ses initiatives dans le secteur de l’intelligence artificielle. Sous la direction de Mark Zuckerberg, la sociĂ©tĂ© a dĂ©clarĂ© un investissement considĂ©rable dans le dĂ©veloppement de superclusters spĂ©cialisĂ©s dans l’intelligence artificielle. Ces installations, dĂ©nommĂ©es “Prometheus“ et “Hyperion“, ont Ă©tĂ© Ă©laborĂ©es pour gĂ©rer d’énormes volumes de travail lors de la formation des modĂšles d’intelligence artificielle.

L’intention est limpide : surpasser les concurrents tels qu’OpenAI et Google. Ces actions signalent un nouveau chapitre pour Meta, qui est rĂ©solue Ă  se positionner en tĂȘte du secteur de l’intelligence artificielle.

Une IA capable d’effectuer des percĂ©es scientifiques

« Les laboratoires de superintelligence de Meta seront Ă©quipĂ©s des capacitĂ©s de calcul les plus avancĂ©es du secteur et, de loin, possĂ©deront la plus grande puissance numĂ©rique par chercheur ». C’est ce qu’a dĂ©clarĂ© le patron du groupe Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) dans une communication sur ses rĂ©seaux personnels. Il a ajoutĂ©, avec enthousiasme, « avoir hĂąte de collaborer avec les meilleurs chercheurs pour Ă©tendre les limites ».

Ainsi, Mark Zuckerberg fait un clin d’Ɠil aux nombreux recrutements effectuĂ©s courant les derniĂšres semaines par le gĂ©ant amĂ©ricain, parmi lesquels l’ancien d’Anthropic Joel Pobar, ainsi que trois ex-chercheurs du bureau zurichois d’OpenAI (Lucas Beyer, Alexander Kolesnikov et Xiaohua Zhai), dont les primes Ă  la signature atteindraient les 100 millions de dollars.

Il faut souligner que depuis l’introduction de ChatGPT par OpenAI, Meta est en retard dans le domaine de l’IA gĂ©nĂ©rative. Tous les dirigeants de l’industrie visent une IA qualifiĂ©e de « gĂ©nĂ©rale » ou de « superintelligence », dotĂ©e de capacitĂ©s cognitives qui surpasseraient celles de l’homme, capables d’effectuer des percĂ©es scientifiques et d’inventer elles-mĂȘmes des technologies.

A cet effet, Mark Zuckerberg a dĂ©clarĂ© : « Le premier rĂ©seau, que nous dĂ©signons sous le nom de Prometheus, devrait ĂȘtre opĂ©rationnel en 2026. Nous dĂ©veloppons Ă©galement Hyperion, qui sera capable de produire jusqu’à 5 gigawatts au fil du temps ». Les 5 gigawatts sont l’équivalent de la consommation annuelle d’électricitĂ© de 1 Ă  4 millions de mĂ©nages amĂ©ricains.

Un investissement dans les talents aussi

Meta ne se limite pas Ă  investir dans l’infrastructure, mais investit aussi dans les compĂ©tences. Elle a rĂ©cemment signĂ© un contrat de 14 milliards d’euros avec Scale AI, mettant en Ă©vidence sa dĂ©termination Ă  investir et Ă  recruter dans le domaine de l’IA. Meta a inaugurĂ© les Meta Superintelligence Labs en juin, une entitĂ© inĂ©dite rassemblant des chercheurs et des ingĂ©nieurs en IA parmi les plus talentueux sous un mĂȘme toit.

Alexandr Wang, ancien PDG de Scale AI, ainsi que Nat Friedman, ex-PDG de GitHub, supervisent ce projet. ConfrontĂ© Ă  une rĂ©ception mitigĂ©e des modĂšles de langage Llama 4 de Meta, Zuckerberg tente de rĂ©viser la stratĂ©gie de l’entreprise en termes de dĂ©veloppement d’IA, dans l’objectif d’atteindre ou dĂ©passer ses rivaux.

Dans cette optique, Meta a recrutĂ© des dirigeants de premier plan d’Apple, Anthropic et OpenAI afin de renforcer sa division Superintelligence Labs nouvellement créée.

Développements à suivre.

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Algérie : 4,5 % de croissance au premier trimestre 2025

En comparaison avec la mĂȘme pĂ©riode de 2024, l’économie algĂ©rienne a connu une meilleure performance au premier trimestre de 2025. D’aprĂšs le dernier rapport sur les comptes nationaux publiĂ© par l’Office national des statistiques (ONS), l’économie algĂ©rienne a enregistrĂ© une croissance de 4,5 % au cours du premier trimestre de 2025, contre 4,2 % pour la mĂȘme pĂ©riode de 2024. « Cette augmentation reflĂšte une nette amĂ©lioration de la performance de l’économie algĂ©rienne », explique l’ONS.

En termes de valeur nominale, le PIB de l’AlgĂ©rie a atteint 10 047,4 milliards de dinars au premier trimestre 2025. Soit une augmentation de 8,0 % par rapport aux 9 303,8 milliards de dinars rĂ©alisĂ©s lors du mĂȘme trimestre en 2024. Cette Ă©volution indique une hausse du niveau global des prix de 3,3 %. Ce qui est infĂ©rieur aux 4,3 % notĂ©s lors du premier trimestre de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente.

Les hydrocarbures en déclin

L’expansion a Ă©tĂ© stimulĂ©e par les domaines non liĂ©s aux hydrocarbures, Ă  5,7 %, comparĂ© Ă  4,3 % lors du premier trimestre 2024. Le rapport prĂ©cise que cette progression est le rĂ©sultat de la « diversification graduelle de l’économie algĂ©rienne, au-delĂ  du domaine des hydrocarbures ». Elle met l’accent sur la transformation radicale de l’économie algĂ©rienne qui s’éloigne progressivement de sa forte dĂ©pendance vis-Ă -vis des hydrocarbures.

En revanche, l’industrie des hydrocarbures a connu une rĂ©gression de 2,8 %, suite Ă  une modeste augmentation de 0,2 % au dĂ©but du premier trimestre 2024.

Selon l’ONS, la valeur ajoutĂ©e provenant de l’extraction des hydrocarbures a connu une baisse de 1,5 %, poursuivant ainsi la tendance dĂ©croissante de 2024 (-1,1 %). Dans certaines activitĂ©s comme le raffinage et la cokĂ©faction, la diminution Ă©tait d’autant plus marquĂ©e (-5,5 % par rapport Ă  une augmentation de 4,4 % l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente).

En termes nominaux, la valeur du secteur des hydrocarbures en AlgĂ©rie a atteint 1 429,7 milliards de DA durant cette pĂ©riode, marquant une baisse de 2,4 % par rapport au premier trimestre de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente oĂč elle s’élevait Ă  1 465 milliards de DA.

Des résultats exceptionnels affichés par certains secteurs

Mis Ă  part les hydrocarbures, le domaine agricole et certains secteurs de l’industrie ont affichĂ© des rĂ©sultats exceptionnels. En effet, la valeur ajoutĂ©e du secteur agricole a enregistrĂ© une augmentation de 6,1 % au premier trimestre 2025. Ce qui reprĂ©sente presque le double de sa progression durant la mĂȘme pĂ©riode en 2024 (3,1 %). « Cette tendance favorable dĂ©coule principalement d’une campagne cĂ©rĂ©aliĂšre rĂ©ussie et du renforcement des secteurs agricoles Ă  forte valeur ajoutĂ©e », indique le rapport.

Le secteur industriel algĂ©rien a Ă©galement affichĂ© une performance globale remarquable, avec une augmentation de 5,5 %, comparativement Ă  un modeste 2,3 % au premier trimestre de l’annĂ©e derniĂšre.

Cette rĂ©alisation, qui reflĂšte un « renforcement marquĂ© du dynamisme industriel », a Ă©tĂ© stimulĂ©e par diffĂ©rentes catĂ©gories manufacturiĂšres, y compris l’industrie alimentaire et du tabac (+5,6 %), celle du cuir et des chaussures (+15,4 %), les produits minĂ©raux non mĂ©talliques (+9,9 %), le textile et l’habillement (+5,9 %), ainsi que les autres industries manufacturiĂšres (+14,4 %).

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