Le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, a reçu le lundi 23 juin 2025 Mme Rana Taha. Elle lui a remis sa lettre de nomination officielle, signée par le secrétaire général des Nations Unies. Elle occupera désormais le poste de coordonnatrice résidente du système onusien en Tunisie.

Lors de cette rencontre, le ministre a rappelé les liens forts entre la Tunisie et l’ONU. Il a évoqué les étapes importantes de cette relation depuis l’indépendance. Il a aussi salué la contribution du pays aux missions de paix des Nations Unies.

Nafti a souligné que le contexte actuel exige une nouvelle approche. Il a appelé à accorder plus d’attention aux priorités tunisiennes. Parmi elles : la transition numérique et énergétique, la lutte contre la pauvreté, la réduction des inégalités entre les régions, la justice sociale, ainsi que la sécurité alimentaire et hydrique.

Il a également mis en avant l’initiative du président de la République. L’année 2025 a été placée sous le signe du renforcement du multilatéralisme et de la coopération avec l’ONU. Cette démarche vise à soutenir les efforts mondiaux pour la paix, la sécurité et le développement. Elle s’inscrit dans une vision humaine, fondée sur la solidarité et la coopération internationale.

De son côté, Rana Taha a affirmé l’engagement de l’ONU à renforcer ses actions en Tunisie. Elle a insisté sur l’importance d’une meilleure coordination des programmes communs. Elle souhaite qu’ils soient mieux adaptés aux besoins réels du pays.

La coordonnatrice a également évoqué la préparation du nouveau plan cadre de coopération. Celui-ci couvrira la période 2027-2030. Il visera à appuyer les efforts de développement en tenant compte des priorités fixées par la Tunisie.

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À seulement une semaine du tournoi de Wimbledon, Ons Jabeur a subi une défaite décevante dès son entrée en lice au tournoi WTA 250 d’Eastbourne.

Ce lundi, la Tunisienne a perdu en deux sets (7-5, 6-2) face à l’Australienne Maya Joint, classée 51e mondiale.

Actuellement 59e au classement WTA, Ons Jabeur voit cette contre-performance comme un signal d’alerte avant le Grand Chelem. Wimbledon se tiendra du 30 juin au 14 juillet 2025, et la joueuse devra se remettre rapidement pour préparer cette échéance majeure.

Cette élimination précoce pourrait peser sur sa confiance, mais elle garde toutes ses chances pour briller à Londres.

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Ce lundi 23 juin 2025, au Caire, la Tunisie a été choisie pour présider le centre régional Afrique du Nord du Centre africain de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC). Le ministre de la Santé, Dr Mustapha Ferjani, a conduit la délégation tunisienne à cette réunion.

Lors de cette rencontre, les ministres et chefs de délégation ont voté à l’unanimité en faveur de la Tunisie. Ainsi, bien que le siège du centre reste au Caire, Tunis dirigera désormais ses activités.

Cette décision récompense l’engagement constant de la Tunisie dans le domaine de la santé publique. Par ailleurs, elle traduit la confiance des pays africains dans la capacité tunisienne à impulser une nouvelle dynamique régionale.

Dans son discours, Dr Ferjani a remercié pour cette reconnaissance. Il a également souligné que ce choix valorise le rôle central de la Tunisie.

Il convient de rappeler que le centre régional Afrique du Nord était inactif depuis près de dix ans. Dorénavant, cette présidence marque le début d’une nouvelle étape. Elle vise à développer des stratégies sanitaires coordonnées et efficaces dans la région.

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Un entretien a eu lieu lundi 23 juin 2025 entre le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, et son homologue égyptien, Khaled Abdel Ghaffar, également vice-président du Conseil des ministres. La rencontre s’est tenue dans le cadre du renforcement des relations entre la Tunisie et l’Égypte.

Cette rencontre s’inscrit dans la continuité des orientations des présidents Kaïs Saïed et Abdel Fattah al-Sissi. L’objectif était de développer la coopération dans plusieurs domaines prioritaires liés à la santé.

Les discussions ont porté sur l’industrie pharmaceutique, le tourisme médical et les soins de rééducation. Les deux parties ont également évoqué le partage d’expériences et la collaboration technique et scientifique.

Les ministres ont exprimé leur volonté de traduire les relations solides entre leurs pays en actions concrètes. Ils ont souligné l’importance d’améliorer les services de santé et de garantir un meilleur accès aux soins.

Cette rencontre marque une étape vers un partenariat plus structuré. Elle reflète un engagement commun en faveur du développement des systèmes de santé en Tunisie et en Égypte.

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Lundi 23 juin, des explosions ont retenti à Doha. Selon plusieurs médias, l’Iran a tiré des missiles sur des bases militaires américaines situées au Qatar. Cette attaque intervient en réponse aux frappes lancées par les États-Unis, deux jours plus tôt, contre trois installations nucléaires iraniennes.

CNN, citant la télévision d’État iranienne, rapporte que l’Iran a clairement revendiqué cette opération, baptisée « annonce de la victoire », en lançant au moins six missiles vers le Qatar. Les cibles se trouvent à proximité de la base d’Al-Udeid, la plus grande base militaire américaine dans le Golfe. Elle abriterait près de 10 000 militaires et civils américains. Les autorités qataries n’ont pas encore communiqué officiellement sur l’origine des détonations.

Dans la nuit du 21 au 22 juin, les États-Unis ont frappé trois sites nucléaires stratégiques en Iran. Cette opération a ravivé les tensions dans toute la région. En réponse, l’Iran a rapidement annoncé qu’il prendrait des mesures de représailles contre les intérêts américains au Moyen-Orient.

Quelques heures avant ces explosions, le Qatar a suspendu son trafic aérien. Le ministère des Affaires étrangères a expliqué avoir pris cette décision par précaution, en raison de la détérioration rapide de la situation régionale.

NOW: Doha, Qatar.
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— ADAM (@AdameMedia) June 23, 2025

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Alors que les tensions militaires s’aggravent entre Téhéran et Washington, la menace d’une fermeture du détroit d’Hormuz inquiète les marchés. Intervenant ce lundi 23 juin 2025 dans l’émission Midi Show sur les onde de Mosaïque FM, l’économiste Ridha Chkoundali a mis en lumière les possibles répercussions de ce scénario sur les échanges internationaux, mais aussi sur la situation économique tunisienne.

Une zone clé sous pression

Chaque jour, environ un cinquième du pétrole et du gaz mondial passe par le détroit d’Hormuz. Ce couloir maritime est donc vital pour l’approvisionnement en énergie. L’Iran menace de le fermer pour répondre aux attaques américaines contre ses installations nucléaires. Selon Chkoundali, ce geste s’inscrit dans une montée des tensions. L’Iran pourrait aussi viser des bases américaines dans la région.

Des prix du pétrole en forte hausse

Si l’Iran bloque le détroit, les prix du pétrole grimperont vite. Les assurances maritimes coûteront plus cher à cause du risque. Les compagnies devront revoir leurs routes, ce qui augmentera les coûts. Plusieurs pays voisins de l’Iran, comme l’Arabie saoudite, l’Irak ou le Koweït, enverront moins de pétrole. Cela réduira l’offre mondiale et fera monter les prix.

Une situation difficile pour la Tunisie

La Tunisie achète presque toute son énergie à l’étranger. Une hausse du pétrole aura donc un impact direct. Les prix des produits augmenteront, ce qui réduira le pouvoir d’achat. Le gouvernement ne pourra sans doute pas atteindre son objectif de croissance de 3,2 %.

En réponse à l’inflation, la Banque centrale pourrait encore augmenter son taux directeur. Cela rendrait les crédits plus chers pour les entreprises et les ménages. Le déficit commercial, qui s’était amélioré, repartira à la hausse. Le dinar tunisien risque alors de perdre de sa valeur face à l’euro et au dollar. La politique d’autonomie économique pourrait aussi en souffrir.

Une réponse collective nécessaire

Ridha Chkoundali appelle le gouvernement à agir vite. Il recommande à tous les acteurs économiques de travailler ensemble. Une bonne coordination permettra de limiter les dégâts. Il faut aussi chercher des solutions adaptées à la situation.

En résumé, une fermeture du détroit d’Hormuz aurait des effets en chaîne. La Tunisie, comme d’autres pays, devra s’adapter pour faire face à cette crise.

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Le décret présidentiel n°327 interdisant la sous-traitance dans le secteur public a été publié, ce mardi 17 juin, au Journal officiel de la République tunisienne

Le décret n°327 met fin au recours aux prestataires externes. Il modifie aussi des lois datant de 1983 et 1985. Par ce texte, l’État veut reprendre le contrôle direct sur ses services.

Le décret ordonne aussi la dissolution immédiate d’Itissalia Services. Cette société intervenait depuis longtemps dans la sous-traitance pour les services publics.

Ces mesures, entrées en vigueur dès leur publication, marquent une nouvelle étape dans la gestion du secteur public tunisien.

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Le renforcement du système de santé à l’Ariana a pris un nouvel élan la semaine dernière. Dans le cadre du programme Essaha Aziza, financé par l’Union européenne, plusieurs établissements de santé du gouvernorat ont reçu des équipements modernes et du personnel médical supplémentaire.

L’hôpital Mahmoud El Matri, l’hôpital local d’Ettadhamen et plusieurs centres de santé ont reçu de nouveaux équipements. Il s’agit notamment d’appareils d’électrocardiogramme, d’échographie fœtale, de radiologie numérique, ainsi que de matériel pour les laboratoires et les soins de rééducation.

Ce renforcement du système de santé à l’Ariana inclut aussi:

• trois médecins de santé publique,
• cinq assistants hospitalo-universitaires dans diverses spécialités,
• un dentiste et un spécialiste ORL,
• cinq techniciens supérieurs en soins d’urgence,
• deux infirmiers.

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La Tunisie s’apprête à lancer un projet tuniso-chinois de fabrication de médicaments biologiques. Ce partenariat associe le ministère de la Santé à l’entreprise chinoise Zy CRO, spécialisée dans les traitements biologiques et la recherche clinique.

Le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, a reçu une délégation de cette société. L’expert tunisien Moez Ben Ali, spécialiste des médicaments contre le cancer, était également présent, aux côtés de plusieurs cadres du ministère.

Les discussions ont porté sur la création d’un site de production en Tunisie. L’usine fabriquera des médicaments biologiques ainsi que des équipements médicaux. Le projet cible les marchés africain et moyen-oriental. Il s’agit de la première implantation de Zy CRO dans la région.

Le ministre a souligné la volonté de la Tunisie d’accueillir ce type de projets. Il a insisté sur l’importance du transfert de technologie et du renforcement de la souveraineté sanitaire. Le pays dispose, selon lui, des ressources humaines et du cadre nécessaire pour réussir.

Ce projet tuniso-chinois de fabrication de médicaments biologiques pourrait ouvrir de nouvelles perspectives pour l’industrie pharmaceutique locale. Il favoriserait aussi la création d’emplois et le développement de la recherche médicale en Tunisie.

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La Tunisie accueille, du 17 au 19 juin 2025, la vingt-troisième réunion régionale africaine sur l’interdiction des armes chimiques. Cet événement rassemble les autorités nationales des pays africains parties à la Convention sur ce sujet crucial. La cérémonie d’ouverture, présidée ce mardi par le ministre des Affaires étrangères Mohamed Ali Nafti, marque le lancement de ces trois jours de débats et d’échanges.

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Tout d’abord, dans son discours, le ministre a rappelé la fierté tunisienne liée à son identité africaine. Ensuite, il a souligné que les solutions aux défis du continent doivent venir d’Afrique elle-même. Par ailleurs, il a insisté sur l’importance de l’Agenda 2063 de l’Union africaine, notamment dans les domaines de la paix et de la sécurité.

De plus, M. Nafti a affirmé que la Tunisie soutient toutes les initiatives régionales et internationales. En effet, l’objectif est de renforcer la coopération entre les pays africains. À cet égard, il a cité l’initiative « Faire taire les armes à l’horizon 2030 » comme un exemple concret à suivre.

Cette réunion constitue une étape clé pour les États participants. En effet, elle favorise l’harmonisation des politiques nationales avec les objectifs de la Convention. Par conséquent, les participants échangent sur les meilleures pratiques pour interdire les armes chimiques. Ils définissent également des priorités communes afin de consolider la sécurité régionale.

Au total, 49 représentants venus de 45 pays africains participent à cette rencontre. Ils représentent leurs autorités nationales respectives. Par ailleurs, des experts de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques sont également présents. De plus, des membres du Comité national tunisien pour l’interdiction des armes chimiques prennent part aux débats.

Enfin, cet événement encourage aussi l’usage pacifique des sciences et technologies chimiques. Ainsi, il vise à soutenir le développement, mais aussi la stabilité du continent africain.

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Alors que le conflit entre Israël et l’Iran ne montre aucun signe d’apaisement depuis le lancement l’agression israélienne le 13 juin, les réactions se multiplient à l’échelle internationale. Cette situation a occupé une place centrale lors du sommet du G7, qui se tient actuellement au Canada.

Le chancelier allemand Friedrich Merz a réagi avec des propos particulièrement directs. Selon lui, Israël a eu « le courage » de faire « le sale boulot pour nous tous ». Il considère que l’État hébreu a pris ses responsabilités face à un régime qui, selon ses mots, « a apporté la mort et la destruction dans le monde ».

Par ailleurs, Friedrich Merz estime que ces frappes israéliennes étaient nécessaires. Dans une interview à la chaîne ZDF, il a déclaré que sans cette opération, le terrorisme du régime iranien aurait pu durer encore longtemps. Selon lui, l’Iran aurait même pu finir par se doter de l’arme nucléaire.

En complément, le chancelier allemand a confié à la chaîne Welt TV que le régime iranien était désormais « considérablement affaibli ». Il juge peu probable que celui-ci retrouve son influence passée. D’après lui, l’avenir de la République islamique est désormais incertain.

Sur le terrain, les tensions continuent de s’aggraver. Le 17 juin, Israël a affirmé avoir tué Ali Chadmani, chef d’état-major iranien en temps de guerre. En retour, l’Iran menace d’intensifier ses frappes dans les prochaines heures.

De son côté, le président américain Donald Trump s’est montré particulièrement menaçant. Sur sa plateforme Truth Social, il a exigé une « capitulation sans conditions » de l’Iran. Il affirme également que les États-Unis contrôlent désormais totalement l’espace aérien iranien. En outre, il assure savoir où se trouve le guide suprême iranien, tout en précisant ne pas avoir l’intention de le viser « pour le moment ».

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Alors que la Coupe du monde des clubs bat son plein, les supporters de l’Espérance Sportive de Tunis ont créé l’événement bien loin des stades. En plein cœur de New York, à Times Square, les inconditionnels des Sang et Or ont enflammé la célèbre place dans une ambiance festive et survoltée.

Au son des tambours et des chants emblématiques du club, drapés de rouge et jaune, les fans ont transformé l’avenue la plus emblématique de Manhattan en une véritable tribune populaire. Drapeaux au vent, slogans scandés avec ferveur : l’Espérance était à l’honneur, sous les écrans géants et les regards étonnés des passants.

Un deuxième rassemblement est prévu aujourd’hui, à 18h (Heure de New York), au restaurant Liberty Point, à Philadelphie. Ce lieu, qui peut accueillir jusqu’à mille personnes, a été entièrement réservé pour les supporters de l’Espérance. Une réunion préparatoire au match s’y tiendra, organisée par le comité chargé de l’accueil et de la coordination des fans sur place.

Cette effervescence new-yorkaise survient alors que l’Espérance s’apprête à faire son entrée dans la compétition. Le club tunisien affrontera Flamengo dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 juin, au Lincoln Financial Field de Philadelphie. Le coup d’envoi sera donné à 21h (heure locale, GMT-4), soit à 2h du matin en Tunisie.

Cette rencontre, qui marque le début d’un tournoi crucial, oppose deux poids lourds du football continental. Flamengo, récent champion de la Copa Libertadores, débarque avec un effectif expérimenté et redoutable. Des noms tels que Danilo, Alex Sandro ou encore Jorginho témoignent de la puissance de l’équipe brésilienne, réputée pour son jeu intense et rythmé.

Face à ce géant sud-américain, l’Espérance avance avec ambition. Auréolée d’un doublé championnat-coupe et finaliste de la dernière Ligue des champions africaine, la formation tunisienne entend démontrer qu’elle peut tenir tête aux meilleures équipes du monde. L’international algérien Youcef Belaïli, en grande forme, sera l’un des atouts majeurs de l’Espérance. Sa créativité et sa capacité à faire la différence dans les moments clés pourraient bien déstabiliser la défense adverse.

L’enjeu est de taille : une victoire permettrait de se rapprocher des phases à élimination directe, tandis qu’une défaite placerait l’équipe sous pression pour le reste du tournoi. Pour les joueurs de l’Espérance, il s’agira non seulement de livrer une performance solide sur le plan tactique, mais aussi de porter haut les couleurs du football africain face à une référence mondiale.

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Mise à jour : La joueuse tunisienne Ons Jabeur, actuellement 54e au classement WTA, participera au tableau principal du tournoi WTA 500 de Berlin, malgré une élimination en qualifications ce dimanche. Elle bénéficiera ainsi d’un repêchage (lucky loser) et disputera son premier match ce lundi à 13h, contre l’Américaine Caroline Dolehide, classée 63e mondiale.

Face à Wang, Jabeur a connu un démarrage difficile, concédant sèchement la première manche (6-1). Elle est toutefois parvenue à réagir dans le second set, qu’elle a remporté 6 jeux à 3. Mais la Tunisienne, actuellement 54e au classement mondial, n’a pas su maintenir le rythme et a subi une lourde défaite dans l’ultime manche (6-0).

La veille, Ons Jabeur avait dû lutter pour venir à bout de la Française Elsa Jacquemot (113e). Menée après avoir perdu le premier set (4-6), elle avait réussi à égaliser en s’imposant 7-5, avant de remporter une dernière manche très disputée au tie-break (7-6), après avoir sauvé deux balles de match.

la Tunisienne aura une nouvelle opportunité de briller sur le gazon berlinois, grâce à son intégration de dernière minute dans le tableau final.

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Le ministère de la Santé a annoncé que le choix des centres de stage pour les jeunes médecins se déroulera à l’Institut supérieur des sciences infirmières de Tunis, du 16 au 19 juin 2025.

Les internes de cinquième année choisiront leur centre lundi de 9h à 11h. Ceux de quatrième année suivront à partir de 11h. Les troisièmes années effectueront leur choix mardi, les deuxièmes années mercredi, et les premières années jeudi.

Le ministère considère ce communiqué comme une convocation officielle. Il appelle les internes concernés à se présenter selon le calendrier fixé.

Depuis le 12 juin, les jeunes médecins mènent une grève générale de cinq jours. Ils dénoncent l’absence de réponse à leurs revendications. Ce mouvement bloque les activités hospitalières et universitaires. Les services d’urgence et les gardes fonctionnent normalement. Plusieurs internes boycottent également la procédure de sélection des stages.

Malgré ce climat de tension, le ministère maintient le déroulement du processus. Il souhaite éviter tout retard dans la formation des internes.internes.

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Dès ce lundi 16 juin 2025, 64 065 élèves entament le concours d’entrée aux collèges pilotes. Ces candidats proviennent des 213 508 élèves inscrits en sixième année de l’enseignement de base.

Le concours se déroule sur trois jours. Le premier jour, les élèves passent les épreuves d’arabe et d’anglais. Le lendemain, ils enchaînent avec le français et l’éveil scientifique. Enfin, le troisième jour est consacré aux mathématiques.

Par rapport à l’année dernière, le nombre de candidats progresse nettement. En effet, on compte 5 113 élèves de plus qu’en 2024.

La répartition par genre montre une légère majorité de filles. Elles représentent 55 % des candidats, soit 35 127 élèves. De leur côté, les garçons sont 28 938, soit 45 %.

Les élèves se disputent 3 850 places dans les collèges pilotes. Le ministère de l’Éducation a fixé ce chiffre dans une décision publiée le 12 mai 2025.

Pour garantir un bon déroulement, le ministère a mobilisé 302 centres d’épreuves. Il a aussi prévu 27 centres de dépôt, un centre pour le braille et 8 centres de correction.

En parallèle, plusieurs mesures d’adaptation ont été prises. Douze élèves recevront des sujets en gros caractères. De plus, cinquante-quatre candidats bénéficieront d’un tiers de temps supplémentaire. Certains sujets seront également disponibles en braille.

Les résultats tomberont le dimanche 4 juillet.

Ensuite, les élèves du cycle de base général et technique passeront leur examen national. Ces épreuves commenceront le jeudi 19 juin et prendront fin le samedi 21 juin. Les résultats seront annoncés le lundi 7 juillet.

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Le sommet régional « Une seule santé – Un avenir sûr » s’est ouvert samedi 14 juin 2025 à l’Académie diplomatique de Tunis, réunissant des ministres de la Santé, de l’Agriculture et de l’Environnement venus de 18 pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Des représentants d’organisations internationales telles que l’OMS, la FAO, l’OMSA et le PNUE prennent également part aux travaux.

Lors de l’ouverture, Mustapha Ferjani, ministre tunisien de la Santé, a souligné la nécessité d’une action commune pour relever les défis majeurs que représentent les épidémies, la résistance aux antibiotiques et le changement climatique. Il a notamment déclaré : « Aucun ministère ne peut faire face seul à ces menaces ».

De son côté, Ezzedine Ben Cheikh, ministre de l’Agriculture, a alerté sur les risques liés aux maladies d’origine animale, insistant sur l’importance d’une collaboration renforcée entre les secteurs concernés. Par ailleurs, Habib Obeid, ministre de l’Environnement, a rappelé que la Constitution tunisienne garantit le droit à un environnement sain. Il a ainsi insisté sur la nécessité d’une approche intégrée pour préserver l’équilibre entre santé humaine et écosystèmes.

Organisé sur deux jours, ce sommet vise à concrétiser l’approche « Une seule santé », notamment en encourageant la coordination des politiques, le partage de données et la mise en place de projets communs de prévention. En somme, cette initiative répond aux défis sanitaires et environnementaux qui se renforcent et s’entrelacent.

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Après avoir franchi avec difficulté le premier tour des qualifications du tournoi WTA 500 de Berlin, Ons Jabeur s’apprête à défier ce dimanche la Chinoise Wang Xinyu pour tenter d’accéder au tableau principal.

Hier, la joueuse tunisienne, actuellement 54e mondiale, a dû puiser dans ses réserves pour venir à bout de la Française Elsa Jacquemot (113e). Menée après la perte du premier set (4-6), Jabeur est parvenue à inverser la tendance en s’imposant 7-5 dans la deuxième manche, avant de remporter le troisième set au tie-break (7-6), après avoir sauvé deux balles de match.

Ce dimanche, un nouveau défi l’attend face à Wang Xinyu, classée 48e au classement WTA. La Chinoise s’est qualifiée en battant l’Australienne Talia Gibson en trois sets également (3-6, 7-6, 7-5), ce qui annonce une confrontation serrée entre deux joueuses en quête de relance sur gazon.

Pour Jabeur, ce tournoi a une saveur particulière : elle y avait soulevé le trophée en 2022 après avoir battu Belinda Bencic en finale. Cette édition 2025 pourrait ainsi marquer le début d’un retour en forme, dans un tournoi où elle a déjà connu le succès.

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La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a présidé, samedi 14 juin 2025 un conseil ministériel consacré à un nouveau projet de loi sur les structures sportives.

Ce texte vise à remplacer la loi de 1995, jugée dépassée. Il propose une réorganisation complète du secteur sportif afin d’améliorer sa gouvernance et son efficacité. Selon la cheffe du gouvernement, la réforme est nécessaire pour corriger les dysfonctionnements passés et adapter le secteur aux normes nationales et internationales.

Le projet de loi, présenté par le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali, introduit plusieurs principes clés :

• Démocratisation des structures sportives, à travers l’adoption du vote pour la désignation des membres des fédérations et de leurs comités, afin de garantir transparence et neutralité ;
• Renforcement de la transparence, notamment par la modernisation des mécanismes de communication et de publication des données ;
• Amélioration de la gouvernance, pour assurer une gestion saine des ressources humaines et financières, et un déroulement équitable des compétitions ;
• Professionnalisation de la gestion des clubs sportifs, en mettant fin aux pratiques actuelles au profit d’un mode de fonctionnement plus clair et structuré ;
• Diversification des sources de financement des structures sportives ;
• Garantie de la pérennité du service public sportif, grâce à des dispositifs de contrôle rigoureux.

En clôturant le conseil, Sarra Zaafrani Zenzri a affirmé que ce projet de loi constitue un tournant décisif pour le secteur. Il ouvre une nouvelle étape, tournée vers une gouvernance plus intègre et plus efficace, et servira de socle à d’autres réformes législatives à venir dans le domaine sportif.

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Le président Kaïs Saïed a reçu, le 14 juin au palais de Carthage, quatre Tunisiens résidant en Suisse : Lilia Dridi, Chaouki Darâaoui, Lassâad Limam et Fadi Bettaïeb. Avec d’autres bénévoles, ils ont mené des démarches pour fournir à la Tunisie près de 200 bus en bon état, encore utilisés en Suisse, ainsi que des pièces de rechange.

Le président a salué leurs efforts engagés depuis 2023 pour concrétiser ce projet, soulignant son importance pour les infrastructures publiques. Il a rappelé que la Tunisie ne peut accepter que ce qui respecte sa dignité et celle de son peuple.

L’entretien a aussi porté sur le rôle des Tunisiens de l’étranger dans le soutien à l’économie nationale et la nécessité de simplifier les démarches pour faciliter leur contribution. Le président a évoqué les obstacles rencontrés par certains à l’étranger ou à leur retour en Tunisie, appelant à les supprimer rapidement.

Kaïs Saïed a également dénoncé des tentatives de détourner les bus vers un autre pays, avec l’appui de certaines parties à l’étranger et, regrettablement, en Tunisie. Il a affirmé que ceux qui nuisent à de telles initiatives n’auront plus leur place dans l’administration.

Il a conclu en réaffirmant sa volonté de construire une Tunisie dirigée par des responsables patriotes, attachés à l’intérêt général et à la souveraineté du pays.

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