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Rencontres sectorielles du Cetime à Sousse

Le Centre technique des industries mécaniques et électriques (Cetime) organise, la 2ᵉ édition de ses Rencontres sectorielles, dédiées aux secteurs de l’industrie aéronautique et automobile, qui se tiendra, le mardi 24 juin 2025, au siège de Novation City à Sousse.

Ces Rencontres sectorielles, organisées en collaboration avec Novation City, Gitas, Fedelec, FNM, Mecatronic, Fipa, Elentica, AHK et CRMN, constituent une plateforme de networking visant à encourager les échanges et collaborations entre les acteurs des différents secteurs industriels. Elle se tiennent chaque année autour de tables de réflexion dédiées à chaque secteur d’activité, l’occasion de discuter des enjeux spécifiques, d’explorer les opportunités de partenariats et de stimuler l’innovation. L’objectif principal est de renforcer les liens entre les acteurs privés et publics, tout en facilitant l’émergence de solutions concrètes et adaptées aux besoins des secteurs. Cette approche collaborative vise à créer des projets durables et mesurables.

Cette année, les organisateurs présenteront les résultats d’une récente étude sur le secteur aéronautique en Tunisie, ainsi que le Pacte automobile.

Au programme aussi une visite guidée des plateformes techniques du CRT-Cetime.

Cet événement se veut avant tout un catalyseur de synergie, dans le but de renforcer les partenariats existants et d’en créer de nouveaux.

Les tables de réflexion par thématique seront des lieux de partage d’idées novatrices et de propositions concrètes, tout en favorisant un climat de confiance et de collaboration entre les participants du même secteur d’activité.

Placé sous la tutelle du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, le Cetime est le partenaire et le conseiller technique des entreprises industrielles. Il dispose de 8 pôles de compétence : mécanique, électrique, électronique, métrologique, énergétique, d’appui aux PME, d’expertise technique, d’évaluation et de prototypage mécatronique.

Créé en 1982 pour accompagner le développement du secteur industriel en Tunisie, le Cetime emploie plus de 110 personnes et dispose de 2 directions régionales à Sousse et à Sfax. Il dispose de 15 laboratoires de contrôle technique pour offrir aux industriels les prestations d’analyse et d’essais dans ses domaines de compétence. Ainsi que d’une équipe d’experts pluridisciplinaires qui assure des missions d’expertises, de conseil, d’assistance, d’accompagnement, de formation et de qualification du personnel des entreprises industrielles.

Le Centre de ressources technologiques (CRT) de Sousse met à la disposition des PMEs et des établissements académiques et de recherches une plateforme d’ingénierie pour la conception, la simulation et la fabrication de prototype de produits mécaniques, électriques, électroniques, mécatroniques.

Le secteur des industries mécaniques et électriques (IME) en Tunisie compte 914 entreprises employant 10 salariés et plus pour un total de 157 983 emplois.

Les IME assure 51% du volume total des exportations industrielles tunisiennes, avec une valeur de plus de 24 milliards de dinars, plus de 30% des emplois de tout le secteur, et environ 20% des investissements étrangers.

Selon des chiffres officiels, les industries mécaniques, électriques et électroniques représentent 46% des exportations totales du pays. Celles-ci sont passées de 24,494 milliards de dinars en 2022 à 28,729 milliards de dinars en 2024. 76,6% de ces exportations sont destinées à l’Union européenne.

I. B. (avec communiqué).

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Officiel | Mohsen Trabelsi nouveau président du Club africain

Le docteur Mohsen Trabelsi a été élu nouveau président du Club africain (CA) lors de l’Assemblée générale élective du club, qui a eu lieu ce samedi 21 juin 2025.

Unique candidat à la présidence du Club Africain Mohsen Trabelsi a obtenu 370 voix, sachant que 472 adhérents ont pris part aux travaux de l’assemblée.

On notera que Dr Trabelsi qui est désormais à la tête du Club africain, était également son médecin.

Y. N.

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Mohamed Mrad primé à Casablanca pour son rôle bouleversant dans “JAD”, un film choc de Jamil Najjar

L’acteur tunisien Mohamed Mrad a été honoré du Prix du Meilleur Rôle Masculin au Festival du Film Arabe de Casablanca, pour sa performance intense dans JAD, un drame puissant signé Jamil Najjar. Une récompense méritée pour un rôle d’une rare intensité, à la fois sobre, habité, et profondément humain.

Un rôle à fleur de peau

Dans JAD, Mohamed Mrad incarne un personnage pris au piège d’un système de santé à l’abandon. Sans éclats, sans artifice, il fait affleurer colère, impuissance et douleur avec une justesse déconcertante.

« Un rôle difficile, servi avec une sincérité désarmante. Mohamed Mrad atteint ici un sommet d’interprétation », a souligné un membre du jury.

Jamil Najjar, un réalisateur qui dérange avec finesse

Inspiré de faits réels, JAD dépeint les défaillances du système hospitalier tunisien, gangrené par la corruption et la négligence. Avec une mise en scène épurée et rigoureuse, Jamil Najjar capte la tension dans les silences, les regards, les gestes suspendus. Loin du spectaculaire, il donne toute la place à l’humain.

Une projection coup de poing

Dès sa première projection, JAD a bouleversé. Un long silence a suivi le générique, comme un hommage muet à la force du film et à ceux qu’il représente. Le public, saisi, n’est pas resté indemne.

Un casting de haute tenue

Aux côtés de Mohamed Mrad : Yasmine Dimassi, lumineuse et poignante, Abdelkrim Bennani, bouleversant de vérité. Tous participent à cette fresque à la fois intime et sociale, où la fiction rejoint une réalité criante.

Un message universel, un avenir international

Avec cette première distinction prestigieuse, Mohamed Mrad confirme son statut d’acteur majeur, engagé et sensible. Quant à Jamil Najjar, il s’affirme comme une voix essentielle du cinéma maghrébin.

JAD dépasse les frontières : par sa sincérité, son intensité et la gravité de son propos, il est promis à une belle carrière dans les festivals internationaux, et à une place de choix dans les  grands débats de société.

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Tunisie – Oman : vers un partenariat stratégique dans l’industrie, l’agriculture et les énergies renouvelables

Des responsables de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA) et une délégation du ministère omanais du Commerce et de l’Industrie ont discuté des préparatifs de la visite du ministre omanais de l’Industrie et de la Promotion de l’investissement en Tunisie prévue en septembre 2025.

La réunion, tenue, jeudi dernier à Tunis, présidée par Samir Majoul,  président de l’Organisation Patronale, en présence d’une délégation officielle du Sultanat d’Oman, conduite par le sous-secrétaire du ministère du Commerce et de l’Industrie, Salah Mousen a évoqué la possibilité d’organiser un forum d’affaires et des réunions bilatérales qui rassemblent les chefs d’entreprises des deux pays dans des secteurs prioritaires.

Les deux parties ont examiné les relations historiques distinguées entre la Tunisie et le Sultanat d’Oman, notamment, estimant toutefois que le niveau des échanges commerciaux reste encore en deçà des capacités des deux parties.

La réunion a abordé l’importance d’élever ces relations au niveau de partenariat réel et stratégique, en particulier à la lumière des incitations que le Sultanat offre aux investisseurs étrangers, et les compétences et progrès dont la Tunisie bénéficie dans de nombreux secteurs.

La réunion a également discuté des opportunités de coopération et d’intégration entre la Tunisie et le Sultanat d’Oman dans les domaines des industries pharmaceutiques, des énergies renouvelables et de l’agriculture, ainsi que des moyens de surmonter les défis logistiques et de stimuler les échanges, tout en soulignant l’importance d’exploiter le positionnement de la Tunisie et du Sultanat pour conquérir des marchés prometteurs.

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L’ARP examine un projet de loi pour la réforme du secteur cinématographique

Le président fondateur de l’Union professionnelle d’industrie cinématographique et audiovisuelle (UPICA), Mohamed Ali Ben Hamra, a annoncé dans un communiqué sur son compte officiel que l’ARP examine un projet de loi pour la réforme du secteur cinématographique en Tunisie.

Voici la traduction du texte :

Un projet de loi très attendu est actuellement à l’étude à l’Assemblée des représentants du peuple. Il vise une refonte complète du cadre juridique régissant un secteur resté marginalisé pendant de longues décennies.

Un secteur prometteur, mais freiné par l’absence de réformes :

Selon les experts entendus lors de la séance, la Tunisie a été pionnière dans l’organisation du secteur cinématographique dès les années 1960. Cependant, celui-ci a connu un fort déclin à partir des années 1990, en raison d’un arsenal juridique devenu obsolète. Le projet de loi en question entend répondre aux attentes des professionnels, en modernisant les textes, en simplifiant les procédures et en relançant une dynamique dans ce secteur stratégique au fort potentiel économique et culturel. Les intervenants ont souligné que l’objectif est de construire une industrie cinématographique rentable, génératrice d’emplois, créatrice de valeur ajoutée et intégrée durablement au tissu économique national.

L’un des axes majeurs du projet porte sur la restructuration du Centre national du cinéma et de l’image, à travers la clarification de ses missions, de ses sources de financement et du statut de ses agents. Il est proposé de soumettre les agents du Centre aux dispositions de la loi n°85 relative au statut général des agents des établissements et entreprises publics. Les experts ont également appelé à la création de mécanismes de financement alternatifs, notamment à travers la mise en place d’un fonds spécial dédié à l’investissement dans les secteurs du cinéma et de l’audiovisuel, inscrit dans la loi de finances 2026.

Une relance attendue par les créateurs et professionnels :

Les députés présents ont salué les mesures proposées pour dynamiser la production nationale, encourager l’investissement privé et renforcer la présence tunisienne dans les festivals internationaux. Toutefois, plusieurs parlementaires ont exprimé leur regret face au recul du cinéma tunisien, qu’ils jugent évitable en l’absence d’une réelle volonté politique et d’une vision stratégique claire. Ils ont insisté sur la nécessité de lever les obstacles structurels qui freinent les jeunes créateurs, notamment en matière d’accès au financement, de lourdeurs administratives liées aux autorisations de tournage et de difficultés d’importation du matériel technique.

La commission a conclu ses travaux en réaffirmant son engagement à accélérer l’adoption du projet de loi, dès la fin des auditions et des consultations avec les différentes parties concernées.

Donner un nouveau souffle à un secteur culturel stratégique longtemps négligé, malgré son potentiel pour porter haut l’image de la Tunisie sur les scènes régionale et internationale. À travers ce projet, la Tunisie ambitionne de réconcilier son riche passé cinématographique avec les défis actuels de l’économie culturelle. Grâce à une réforme structurelle, une gouvernance claire et des mécanismes de financement innovants, le pays espère relancer une industrie capable de créer, d’employer et de rayonner à nouveau.

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L’OACA lance des cartes à décompte pour le stationnement à l’aéroport Tunis-Carthage

L’Office de l’aviation civile et des aéroports (OACA) annonce le lancement des cartes à décompte pour le paiement des frais de stationnement au parking de l’aéroport international de Tunis-Carthage, à partir du dimanche 22 juin 2025.

L’OACA précise que cette carte à décompte peut être achetée auprès des caisses situées au parking du terminal ou au guichet unique de l’aérogare fret.

Le coût d’achat de la carte électronique, lors de la première acquisition, est de 30 dinars, comprenant 15 dinars pour la carte (support) et un rechargement initial minimal de 15 dinars de crédit prépayé.

La carte est rechargeable et utilisable dans les trois terminaux de l’aéroport Tunis-Carthage.

L’OACA souligne que l’utilisation de cette carte facilitera la circulation dans les parkings, améliorera la qualité des services à l’aéroport et permettra aux usagers de gagner du temps à la sortie.

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Nouveau système de paiement au parking de Tunis-Carthage

Nouveau système de paiement au parking de Tunis-Carthage

L’Office de l’aviation civile et des aéroports (OACA) a annoncé le lancement des cartes à décompte pour le paiement des frais de stationnement des voitures au parking de l’aéroport international de de Tunis-Carthage à partir de dimanche 22 juin 2025 L’OACA a indiqué que cette carte à décompte peut être achetée auprès de la caisse […]

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L’OACA lance des cartes de parking électroniques à l’aéroport Tunis-Carthage !

À partir du dimanche 22 juin 2025, l’Office de l’Aviation Civile et des Aéroports (OACA) mettra à disposition des cartes électroniques prépayées pour faciliter l’accès et la circulation dans les trois parkings de l’aéroport international de Tunis-Carthage.

Lors d’une intervention téléphonique ce jeudi 19 juin 2025 dans l’émission « Youm Said » sur les ondes de la Radio Nationale, Ali Tebassi, ingénieur général à l’OACA et directeur du service de gestion des parkings, a expliqué que l’objectif principal de ces cartes est de fluidifier les opérations d’entrée et de sortie des parkings, particulièrement à l’approche de la haute saison aéroportuaire.

Selon M. Tebassi, cette carte permettra aux usagers de gagner du temps et d’éviter le passage par les bornes de paiement.

Le lancement officiel de la vente de ces cartes aura lieu ce dimanche au parking principal et dans le hall de l’aérogare. Le prix de la carte est fixé à 15 dinars, avec une valeur de recharge minimale de 15 dinars. Elles seront valables pour les trois parkings de l’aéroport de Tunis-Carthage.

Il est également prévu que cette initiative soit étendue aux aéroports de Sfax et de Djerba-Zarzis à l’avenir.

Tunisie │ Ekuity Capital entre au capital de New Era Fund I

Ekuity Capital est entré au capital de New Era Fund I, un fonds d’investissement Early Stage dédié aux startups innovantes en Tunisie. Cette opération porte le montant du premier closing à 7 millions d’euros, sur un objectif de 15 millions, indique notre confrère Financial Africa.

Aux côtés de Smart Capital et d’UGFS North Africa, déjà présents lors du premier tour, Ekuity Capital renforce la crédibilité du fonds, qui cible les jeunes entreprises technologiques en phase d’amorçage et de série A et dont la stratégie repose sur trois secteurs à fort impact : l’intelligence artificielle (IA), la biotechnologie (biotech) et les technologies vertes (greentech).

Anciennement connu sous le nom de Consortium tuniso-koweïtien de développement (CTKD), Ekuity Capital est une joint-venture entre la Kuwait Investment Authority (KIA) et l’État tunisien. La société gère un portefeuille d’une quinzaine d’entreprises et plus de 800 millions de dinars (256 millions de dollars américains) d’actifs.

Le Fonds New Era I est géré par UGFS-VC, filiale de capital-risque d’United Gulf Financial Services-North Africa (UGFS-NA). Acteur reconnu du capital-investissement en Tunisie, UGFS-NA a structuré 20 fonds et investi dans plus de 100 startups et PME depuis plus de 15 ans.

Grâce à sa présence locale, son expertise sectorielle et son vaste réseau, UGFS-VC vise, à travers le Fonds New Era I, à soutenir la nouvelle génération d’entrepreneurs tunisiens et à accélérer l’émergence de champions technologiques régionaux.

I. B.

D’après Financial Africa

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Le Festival Jean Rouch s’ouvre à Tunis

Le Festival international Jean Rouch se tient du 18 au 22 juin 2025 au Cinéma Africa, à Tunis, avec le soutien du Comité du cinéma ethnographique du Festival Jean Rouch, en collaboration avec le magazine Screen Arabia, spécialisé dans le cinéma et les arts visuels en Tunisie et dans le monde arabe.

Le Festival Jean Rouch est l’un des plus importants événements européens consacrés au cinéma documentaire en sciences humaines et sociales. Il vise à promouvoir la diversité culturelle à travers les thématiques des films projetés, la professionnalisation des jeunes étudiants grâce à des ateliers et la découverte du monde du cinéma ethnographique par le public tunisien.

Fondé en 1982 par le réalisateur et ethnologue Jean Rouch (1917-2004), ce festival se déroule en France et à l’étranger avec des éditions hors les murs. Il représente non seulement une rencontre entre réalisateurs et chercheurs en sciences sociales, mais aussi une opportunité d’échange avec un public hétérogène.

L’édition 2024 hors-les-murs à Tunis a connu un succès sans précédent en termes d’organisation, de programmation et de fréquentation. Cette année, huit projections de films sont prévues, suivies de discussions avec les réalisateurs et accompagnées par des chercheurs en sciences sociales.

Une masterclass ouverte au public, animée par Ridha Tlili, réalisateur tunisien du film ‘‘La Couleur du phosphate’’, est également prévue pour clôturer le festival.

En complément des projections, des ateliers d’initiation à l’écriture documentaire et ethnographique seront organisés simultanément, à destination d’étudiants en cinéma et en anthropologie visuelle sélectionnés au Maghreb, en Afrique de l’Ouest et en Europe.

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La  décarbonisation mobilise acteurs publics et privés. Un observatoire en point de mire

La décarbonation industrielle est bel et bien à l’ordre du jour en Tunisie, bien que l’on ait mis du retard à s’y atteler dès lors que cela dicte  la mise en place d’un environnement propice offrant un accès au financement et aux compétences, ainsi qu’aux ressources telles que l’hydrogène propre et l’énergie renouvelable, et un […]

Coupe du Monde des Clubs : Boca Juniors et Benfica s’affrontent dans un choc prometteur

Mondial des clubs 2025Ce dimanche 16 juin à 23h (heure locale), Boca Juniors affronte le SL Benfica au Hard Rock Stadium pour leur premier match dans le groupe A de la Coupe du Monde des Clubs 2025. Ce duel entre deux clubs historiques s’annonce intense, chacun cherchant à marquer son territoire dans une compétition de plus en plus relevée.

Des ambitions fortes de part et d’autre

Boca Juniors, monument du football argentin, fait son retour sur la scène mondiale avec la volonté de porter haut les couleurs sud-américaines. Malgré une forme en dents de scie (1 victoire, 1 nul, 2 défaites sur les 5 derniers matchs), les Xeneizes peuvent s’appuyer sur leur expérience et la passion de leur collectif pour surprendre.

En face, Benfica reste sur une bonne dynamique, avec 3 victoires lors de ses 5 derniers matchs. Le club lisboète veut confirmer sa montée en puissance sur la scène internationale après une saison européenne convaincante. Une victoire contre Boca leur permettrait de prendre une option importante pour la qualification.

Classement : avantage au Bayern Munich

Dans ce groupe A, le Bayern Munich a déjà pris une avance en s’imposant lors de la première journée, totalisant 3 points. Benfica et Boca sont à égalité avec Auckland City (0 point chacun), mais ont l’avantage de débuter face à face, avec une opportunité directe de se positionner dans la course.

Performances récentes : légère avance portugaise

Benfica montre une forme plus régulière que Boca sur les dernières semaines. Si les Argentins ont alterné entre victoires et défaites, les Portugais ont aligné des prestations solides, notamment en championnat national. Cela pourrait faire la différence dans ce match d’ouverture.

Un duel inédit à enjeu immédiat

Il s’agira de la première confrontation officielle entre Boca Juniors et SL Benfica. Ce face-à-face inédit entre deux clubs à l’ADN offensif attise la curiosité. Au-delà du prestige, c’est une qualification en jeu dans un groupe A très disputé.

Conclusion : une bataille tactique et symbolique

Ce Boca – Benfica promet d’opposer deux visions du jeu : la combativité sud-américaine face à la rigueur tactique européenne. Les deux équipes savent qu’une défaite pourrait compliquer la suite. Une rencontre à suivre de très près.

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Samir Majoul : « La décarbonisation est une question de survie économique »

Le président de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), Samir Majoul, a insisté sur la nécessité de créer un Observatoire de la décarbonisation industrielle, fruit d’un partenariat entre l’UTICA et le gouvernement. Cette structure aura pour mission de centraliser les données, les bonnes pratiques et les indicateurs de performance des entreprises engagées dans cette transition.

Cette annonce a été faite lors d’un atelier de réflexion organisé à Tunis sur le thème « Face au changement climatique : enjeux et stratégies de décarbonisation ». De même, il souligne l’urgence d’adapter les modèles industriels tunisiens aux nouvelles contraintes environnementales et commerciales.

Un impératif économique et environnemental

« La décarbonisation n’est plus une option, mais une nécessité », a déclaré Samir Majoul. Tout en rappelant que la Tunisie s’est engagée, dans le cadre de l’Accord de Paris et de ses contributions déterminées au niveau national (CDN), à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 45 % d’ici 2030.

Or, atteindre cet objectif nécessiterait une mobilisation financière de 14,4 milliards de dollars. Soit un défi de taille pour les entreprises tunisiennes, notamment les PME qui représentent l’épine dorsale de l’économie nationale.

« La réalité économique transforme la décarbonisation d’un enjeu environnemental en impératif de survie », a-t-il insisté. D’ailleurs, il évoque l’entrée en vigueur, dès 2026, du mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF) de l’Union européenne. Ce dispositif imposera des surcharges carbone sur les exportations tunisiennes vers l’UE, qui absorbe plus de 75 % des ventes à l’étranger du pays.

Coopération, financement et expertise locale

Pour réussir cette transition, Samir Majoul a appelé à :

  • Un dialogue public-privé pour identifier les leviers et outils nécessaires;

  • Une plateforme de financement vert dédiée aux entreprises tunisiennes;

  • Un centre d’expertise nationale en comptabilité carbone, afin de réduire la dépendance aux consultants étrangers.

Slim Jaoued, chargé de programme à la Fondation Konrad Adenauer (KAS), a abondé dans ce sens. Soulignant que la décarbonisation est une opportunité pour construire une société plus résiliente et plus juste. « Cela nécessite une intelligence collective, mobilisant experts, chercheurs, entreprises et associations », a-t-il déclaré.

Un marché carbone tunisien?

Sami Marrouki, président du Réseau Pacte Mondial Tunisie et de l’IRSET, a plaidé pour la création d’un marché carbone local, où les transactions s’effectueraient en dinars tunisiens. Il a également appelé à reporter l’application du MACF, arguant que la Tunisie n’est pas encore prête à y faire face.

Ce mécanisme européen imposera des coûts supplémentaires sur les importations de produits à forte empreinte carbone, notamment dans les secteurs du fer, de l’acier, du ciment, des engrais et de l’électricité.

Avec TAP

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Décarbonation : l’UTICA propose un partenariat public-privé pour accompagner la transition industrielle

Le Président de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA) Samir Majoul a appelé, lundi, à la création d’un Observatoire de la décarbonisation industrielle qui sera le fruit d’un partenariat UTICA-Gouvernement..

«Cette structure sera chargée de centraliser les données, les bonnes pratiques et les indicateurs de performance des entreprises», a-t-il fait savoir lors d’un atelier de réflexion organisé, lundi, à Tunis, sous le thème : « Face au changement climatique : enjeux et stratégies de décarbonisation » .

Face à l’urgence climatique, la décarbonisation des modèles industriels n’est plus aujourd’hui une option mais une nécessité », a affirmé Majoul; ajoutant que cette démarche (décarbonation) est au cœur des engagements internationaux pris par la Tunisie, notamment, dans le cadre de l’Accord de Paris et de contributions déterminées au niveau national (CDN).

Selon la CDN de la Tunisie, il faut mobiliser 14,4 milliards de dollars pour atteindre les objectifs de réduction d’émissions de 45% d’ici 2030. Ce montant colossal représente un défi majeur pour les entreprises, particulièrement les PME qui constituent l’épine dorsale de l’économie tunisienne, a-t-il souligné, estimant que la réalité économique transforme, également, la décarbonisation d’un enjeu environnemental en impératif de survie économique.

Il a fait savoir que dès 2026, le Mécanisme d’Ajustement Carbone aux Frontières européennes s’appliquera progressivement aux produits tunisiens, d’autant plus, que plus de 75% des exportations tunisiennes sont destinées à l’Union européenne.

Aujourd’hui, le prix du carbone sur le marché international avoisine les 80 euros la tonne.

« Pour réussir la transition énergétique vers une économie bas carbone, il est essentiel de miser sur la coopération, l’innovation, l’adaptation du cadre réglementaire, la formation et l’accompagnement des entreprises », a-t-il expliqué.

Le président de l’UTICA a avancé que l’organisation patronale veut initier un dialogue constructif entre les acteurs publics et privés pour identifier ensemble les leviers, outils et partenariats à activer.

Pour ce faire, il a préconisé le développement d’une plateforme de financement vert spécifiquement dédiée aux entreprises tunisiennes, facilitant l’accès aux ressources financières nécessaires et la création d’un centre d’expertise nationale en comptabilité carbone, développant les compétences locales et réduisant la dépendance par rapport aux expertises étrangères.

De son côté, le chargé du programme Konrad Adenauer Stiftung(KAS) Tunisie, Slim Jaoued a souligné que la stratégie de décarbonisation n’est pas un luxe mais demeure, aujourd’hui, une nécessité et surtout une opportunité pour transformer la société vers un monde meilleur.

Pour avoir un nouveau modèle de développement et une société plus résiliente et plus juste, il a mis l’accent sur l’importance de l’intelligence collective et la mobilisation d’un réseau d’experts, de chercheurs, d’entreprises et d’associations.

Pour le président du réseau pacte mondial Tunisie et de l’IRSET (l’Institut de Responsabilité Sociétale des Entreprises en Tunisie) , Sami Marrouki a mis l’accent sur l’importance de la mise en place d’une approche de coopération entre le secteur public et privé afin d’identifier les solutions aux changements climatiques.

Et de poursuivre que la Tunisie est appelée à créer son marché carbone pour accompagner la transition écologique et pour que les transactions soient effectuées en dinar tunisien.

« Il est nécessaire d’œuvrer à reporter la date d’entrée en vigueur du mécanisme d’ajustement carbone aux frontières car la Tunisie n’est pas encore prête à appliquer cet instrument », a avancé Marrouki.

En fait, le MACF applique des coûts supplémentaires sur les biens importés sur le territoire de l’UE et dont la production affiche un bilan carbone supérieur à certain seuil d’un produit similaire fabriqué en Europe.

Les secteurs qui sont dans un premier temps couverts par ce nouveau mécanisme sont : le fer et l’acier, l’aluminium, le ciment, l’engrais et l’électricité.

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Travel retail │ Avolta présente sa stratégie pour la Tunisie

Comme annoncé en janvier, Avolta a confirmé avoir remporté un contrat pour l’exploitation de 15 boutiques dans cinq aéroports clés de Tunisie, marquant ainsi son entrée sur le marché du travel retail dans notre pays. Ces nouveaux points de vente ouvriront dans cinq des principales portes d’entrée internationales: Tunis-Carthage, Djerba-Zarzis, Sfax-Thyna, Tozeur-Nefta et Tabarka-Aïn Draham. Avolta y occupera ainsi sa première présence opérationnelle et remplacera l’opérateur précédent, Atu Duty Free.

Cette opération s’inscrit dans la stratégie Destination 2027 d’Avolta et permet à l’entreprise de servir près de 80% des voyageurs aériens en Tunisie, marquant ainsi une nouvelle étape dans l’expérience client et le développement des expériences passagers dans ce hub méditerranéen et africain majeur.

Dans un entretien avec Global Travel Retail Magazine, le président-directeur général Emea d’Avolta, Luis Marin a parlé de la stratégie de l’entreprise derrière cette expansion majeure en Tunisie.

Le rebond du tourisme ancre le potentiel du marché

Forte d’opérations bien établies au Maroc et en Égypte voisins, et de plus de trois décennies d’expérience sur l’ensemble du continent, Avolta considère la Tunisie comme un atout stratégique pour sa présence régionale. «La Tunisie est l’un des marchés du travel retail les plus importants et les plus dynamiques du corridor méditerranéen et d’Afrique», souligne Marin.

Si le secteur touristique tunisien a connu des revers au cours de la dernière décennie, de la révolution du Printemps arabe de 2011 aux attentats de 2015 dans des destinations prisées comme Tunis et Sousse, les perspectives se sont considérablement améliorées ces dernières années, soutenues par un rebond mondial des voyages après la pandémie.

Marin souligne que la Stratégie nationale pour un tourisme durable 2035 du gouvernement est un moteur important du nouvel élan du secteur, qui vise à positionner la Tunisie comme l’une des destinations les plus compétitives et les plus respectueuses de l’environnement au monde. «Cette initiative devrait attirer de nouveaux segments de voyageurs à forte valeur ajoutée en Tunisie», affirme-t-il, soulignant que le tourisme reste au cœur de l’économie et de l’identité culturelle du pays.

Pour Avolta, la combinaison d’une économie stabilisée et d’une feuille de route touristique ambitieuse était idéale. «Nous renforçons notre présence dans l’une des principales destinations touristiques de la Méditerranée et souhaitons faire de la Tunisie l’une des destinations touristiques les plus prisées de la région», déclare Marin.

Des signes de progrès sont déjà visibles. L’année dernière, ces cinq aéroports gérés par l’Office de l’aviation civile et des aéroports (Oaca) ont accueilli environ 9 millions de passagers internationaux. Tunisair, la compagnie nationale, modernise actuellement sa flotte et étend son réseau de lignes, améliorant ainsi la connectivité entre l’Europe et l’Afrique de l’Ouest.

L’expansion d’Avolta en Tunisie vise également à renforcer les réseaux d’approvisionnement, à rationaliser les chaînes d’approvisionnement et à élargir l’accès aux données commerciales et à un vivier de talents qualifiés. «La Tunisie nous permet également de découvrir de nouveaux profils de clients en Afrique du Nord, ainsi que de nouvelles nationalités européennes», ajoute Marin.

Concevoir un parcours de vente unique en Tunisie

Dans le cadre de sa stratégie Destination 2027, Avolta s’attache à concevoir des magasins qui reflètent l’ADN de leurs aéroports et villes respectifs. Cela implique de combiner des concepts de vente internationaux avec des saveurs et spécialités locales, tout en intégrant les innovations numériques et les nouvelles technologies autant que possible.

Si les nouveaux magasins proposeront l’ensemble des catégories hors taxes, des parfums et cosmétiques aux spiritueux, en passant par le tabac et la confiserie, Avolta s’attache également à intégrer l’esprit et le caractère tunisiens au parcours d’achat.

«La Tunisie possède un patrimoine et une culture forts», explique Marin, soulignant la diversité des paysages du pays, allant de son littoral méditerranéen à ses vastes chaînes de montagnes et à l’immensité du désert du Sahara. «Avolta souhaite représenter tous ces éléments dans ses opérations. Nous souhaitons proposer aux voyageurs des produits qui rappellent la culture locale et offrir un service client reflétant l’hospitalité et la générosité des Tunisiens.»

Avolta proposera également des expériences de vente digitales et déploiera ses plateformes exclusives de bien-être et de beauté, Mind, Body & Soul et Haute Parfumerie, conçues pour répondre aux besoins des voyageurs d’aujourd’hui, de plus en plus à la recherche de produits de bien-être sophistiqués.

Comme pour toutes ses implantations mondiales, Avolta continuera de privilégier le client en Tunisie. «Nous continuerons à placer le client au cœur de toutes nos activités. Notre objectif principal est de satisfaire les voyageurs», conclut Marin.

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Italian Screens│ Le nouveau cinéma italien présenté à Tunis  

Avec l’événement «Italian Screens», le nouveau cinéma italien arrive à Tunis avec un cycle de projections dédié au meilleur du cinéma italien contemporain, programmé du 17 au 22 juin 2025 au cinéma L’Agora, à La Marsa, banlieue nord de Tunis.

L’initiative est promue par l’Institut culturel italien de Tunis dans le cadre de la huitième édition de «Fare Cinema», une manifestation organisée par le ministère italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale pour promouvoir l’industrie cinématographique italienne dans le monde.

Le projet, conçu par Roberto Stabile, responsable de l’internationalisation à la Direction générale du cinéma et de l’audiovisuel de Cinecittà, vise à soutenir la diffusion internationale du cinéma italien et à valoriser des instruments de soutien tels que le crédit d’impôt et les fonds pour la coproduction et la distribution internationale.

Seront projetés à cette occasion des films récents qui reflètent la diversité des styles et des thématiques du nouveau cinéma d’auteur italien, avec un accent particulier sur les coproductions italo-tunisiennes, témoignage d’une solide collaboration entre les deux pays.

Le cycle s’ouvrira avec le film ‘‘FolleMente’’ de Paolo Genovese, projeté le 17 juin à 19h.

Une table ronde est également prévue le 18 juin à 10h dans la salle Tahar Chériaa (CNCI) à la Cité de la Culture de Tunis, modérée par le réalisateur Mourad Ben Cheikh, avec les interventions de Habib Attia (Cinetelefilms), Mohammed Challouf, Badi Chouka, Ilaria Congiu, Francesco Lattarulo, Roberto Stabile (en visioconférence) et Ginella Vocca, directrice du MedFilm Festival.

Parmi les projections au programme : Breath’’, en présence de la réalisatrice Ilaria Congiu (mercredi à 18h); Asfour Jenna’’, en présence du réalisateur Mourad Ben Cheikh (mercredi à 22h); ‘Sulla terra leggeri’’ de Sara Fgaier (jeudi à 18h30); Diamanti’’ de Ferzan Ozpetek (vendredi à 18h30); ‘Vermiglio’’ de Maura Delpero (samedi à 18h30); ‘Il tempo che ci vuole’’ de Francesca Comencini (dimanche à 18h30).

Tous les films seront projetés en version originale avec sous-titres en français.

L’entrée est libre dans la limite des places disponibles.

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BIGTECH AFRICA 2025 : l’intelligence artificielle au cœur de l’innovation technologique panafricaine

BIGTECH 2024L’intelligence artificielle, thématique en vogue à l’échelle mondiale, sera, cette année au cœur, de la deuxième édition du salon « BIGTECH AFRICA » le rendez-vous panafricain de l’innovation technologique qui aura lieu, au Parc des expositions du Kram (Banlieue nord de Tunis), du 9 au 11 septembre 2025.

« Façonner l’avenir de la tech en Afrique », est la thématique centrale de cet évènement qui rassemblera entreprises et start-up et aussi les acteurs phares des nouvelles technologies dans le continent.

Le programme de la deuxième édition de « Bigtech Africa », s’articule autour de l’impact des technologies sur l’Afrique et son avenir numérique.

Les panels prévus traiteront surtout de l’IA Générative dans la Finance et les Télécoms, les technologies pour un développement durable et inclusif, le Sommet Africain de l’Investissement Startup (ASIS), le e-commerce au service de l’Afrique, la Tech et inclusion numérique et le futur de la technologie et de l’innovation mondiale.

En prévision de cet évènement organisé par le groupe TMP (Tunisie Place de Marché), un appel à idées pour l’organisation d’un Hackathon, de challenge ou de compétition technologique a été, aussi, lancé …

BIGTECH AFRICA ne se limite pas à l’exposition des plus récentes nouveautés du monde de la technologie, selon son organisateur. Il s’agit, aussi, d’une opportunité de mettre en lumière les innovations des entreprises, de rejoindre les leaders technologiques locaux et africains et d’explore les toutes dernières tendances du secteur.

Un Pavillon canadien est prévu à « BIGTECH AFRICA 2025 ». Son objectif est d’établir un pont stratégique entre l’innovation africaine et canadienne.

« À travers un pavillon national, le Canada affirme sa volonté de renforcer les liens entre ses écosystèmes d’innovation et ceux de l’Afrique, en misant sur la co-innovation, les partenariats durables et l’engagement technologique responsable ».

«Le pavillon canadien incarne notre volonté d’aller au-delà des discours pour bâtir des collaborations concrètes et mutuellement bénéfiques avec nos partenaires africains », selon le site de TPM.

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Score au service de la compétitivité des entreprises tunisiennes

Après six années d’impact significatif sur le tissu économique tunisien, le programme Score (Soutenir les entreprises compétitives et responsables) a tenu sa cérémonie de clôture le jeudi 12 juin 2025 à Tunis.

Mis en œuvre par l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et financé par le Secrétariat d’État à l’économie suisse (Seco) et l’Agence norvégienne de coopération pour le développement (Norad), l’événement a marqué une transition stratégique : le passage d’un projet de coopération internationale à un modèle durable, entièrement porté par les acteurs tunisiens.

La cérémonie a été marquée par les allocutions de nombreuses personnalités, notamment Jad Boubaker, point focal de l’OIT; Josef Renggli, ambassadeur de Suisse en Tunisie; Mohamed Bakay, expert au département des études de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT); Zied Charfi, représentant de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica); Houcine Baccouche, représentant du ministère des Affaires sociales ; et Nesrine Abid, représentante du ministère de l’Industrie, de l’Énergie et des Mines. Tous ont salué une initiative où l’amélioration de la productivité et celle des conditions de travail avancent ensemble, comme les deux rails d’une même voie ferrée menant au succès.

La cérémonie a offert une expérience immersive aux invités, qui ont traversé à leur arrivée un tunnel d’images, de visages et d’histoires de succès illustrant l’évolution des entreprises.

La matinée a été rythmée par des moments forts, des témoignages poignants de bénéficiaires lors du «Moment Performance», et des quiz interactifs qui ont engagé l’audience. Un «Moment Hommage» a également permis de saluer l’engagement des partenaires clés et du personnel parti à la retraite, soulignant la dimension profondément humaine du programme. Le tout a culminé avec un «Moment Partenariat», une table-ronde stratégique présentant les plans concrets de pérennisation du dispositif par les institutions d’appui et les clusters tunisiens.

Depuis 2019, l’impact du programme s’est traduit par des résultats concrets pour 263 entreprises accompagnées. Parmi les succès les plus notables, on compte une augmentation de la productivité allant jusqu’à +209%, une réduction de 90% des accidents de travail et un retour sur investissement de 193%, généré directement par les idées des salariés.

De plus, 66 entreprises ont divisé leurs défauts de qualité par deux et 73 ont pu relancer leur activité en moins de 14 jours durant la crise du Covid-19.

Héritage humain et structurel

Au-delà des chiffres, l’héritage le plus durable est humain et structurel. Le programme laisse derrière lui un écosystème national renforcé, avec 49 formateurs tunisiens certifiés, 21 experts de terrain spécialisés et 18 structures partenaires mobilisées dans toutes les régions. Ce transfert de compétences est la clé de la pérennité du modèle : aujourd’hui, 95 % des formations Score en Tunisie sont financées et animées localement.

Lors de la cérémonie de clôture du programme, M. Renggli a salué les résultats remarquables de cette initiative, qui a permis à plus de 250 PME tunisiennes d’améliorer leur compétitivité, leurs conditions de travail et leur durabilité tout en renforçant les capacités nationales pour assurer la pérennité du programme.

Commentant ces succès, Aymen Chahloul, coordinateur national de Score Tunisie, a déclaré : «Ces chiffres sont une immense fierté. Mais au-delà des indicateurs, le véritable accomplissement de Score réside dans la transformation des mentalités au sein des entreprises. Nous n’avons pas seulement introduit des outils ; nous avons semé les graines d’une culture durable fondée sur le dialogue, la responsabilisation et l’amélioration continue. Aujourd’hui, le changement ne vient plus de l’extérieur, il vient de l’intérieur. Le taux élevé de mise en œuvre des suggestions des employés en est la preuve : les travailleuses et travailleurs sont devenus les moteurs de la performance de leur entreprise. Nous transmettons le flambeau à nos partenaires tunisiens avec sérénité et confiance. Ils sont désormais pleinement outillés pour porter cette dynamique à l’échelle nationale, et faire de Score un levier structurel au service de la compétitivité et de la dignité au travail.»

La clôture de ce chapitre n’est pas une fin mais la preuve qu’un programme réussi est un programme qui se transmet. Score continue, en tant que dynamique tunisienne, pour une économie plus forte et plus inclusive.

Communiqué.

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Tunis │ Débat à l’Utica sur les stratégies de décarbonation

L’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica), la Konrad Adenauer Stiftung (KAS) et la Société chimique de Tunisie (SCT) organisent une journée de réflexion et d’échange autour du thème : «Face au changement climatique : enjeux et stratégies de décarbonation», le lundi 16 juin 2025 au siège de l’organisation patronale à Tunis.

Face à l’urgence climatique mondiale et aux engagements internationaux pour la neutralité carbone, la Tunisie, comme de nombreux pays, est appelée à repenser ses modèles de production, de consommation et de gouvernance environnementale.

La question de la décarbonation des secteurs industriels devient un axe stratégique incontournable, tant pour la transition énergétique que pour la compétitivité à long terme.

C’est dans ce cadre qu’est organisée cette journée de réflexion et d’échange autour des enjeux et des stratégies liés au changement climatique et à la décarbonation, avec la participation de représentants du secteur industriel (énergie, chimie, matériaux, agroalimentaire, etc.), d’enseignants-chercheurs et doctorants, d’institutions publiques et organismes de régulation et d’ONG et acteurs de la société civile impliqués dans la transition écologique.

Le but est d’explorer les synergies possibles entre la lutte contre le changement climatique et les stratégies de décarbonation dans le contexte tunisien, et d’offrir une plateforme d’échange entre industriels, chercheurs et étudiants sur les avancées technologiques, les défis et les perspectives.

Il s’agit aussi de renforcer le dialogue entre science et industrie sur les enjeux climatiques, de valoriser des solutions innovantes en matière de décarbonation, de constituer un réseau d’acteurs intéressés par des initiatives communes, et d’élaborer des recommandations ou une feuille de route pour les parties prenantes.

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