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Zoubeir Baya prend les commandes de l’Etoile 

Zoubeir Baya a Ă©tĂ© Ă©lu prĂ©sident de l’Étoile Sportive du Sahel (ESS) jusqu’en 2028. En effet, l’assemblĂ©e Ă©lective s’est tenue, jeudi 24 juillet, au complexe du club, en prĂ©sence des adhĂ©rents, de nombreuses figures du monde sportif ainsi que d’anciens prĂ©sidents du club sahĂ©lien, rapporte MosaĂŻque FM.

Le nouveau prĂ©sident n’a Ă©tĂ© que confirmĂ©, car il assurait dĂ©jĂ  la prĂ©sidence du comitĂ© provisoire du club depuis le mois d’aoĂ»t 2024.

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La France reconnaütra l’Etat de Palestine en septembre

Le prĂ©sident français Emmanuel Macron a annoncĂ© que la France va reconnaitre officiellement l’État de Palestine, et ce devant l’impasse diplomatique et le dĂ©sastre humanitaire Ă  Gaza.

Il en fera l’annonce solennelle Ă  l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des Nations unies, au mois de septembre 2025. Au passage, le chef de l’Etat français a rappelĂ© que « Mahmoud Abbas a dĂ©noncĂ© les attentats du 7-Octobre, promis de renouveler la gouvernance de l’AutoritĂ© palestinienne et de dĂ©militariser le Hamas Â».

Est-ce qu’il sera suivi par d’autres grands pays? Il l’espùre en tout cas.

A souligner que c’est le consul gĂ©nĂ©ral de France Ă  JĂ©rusalem, Nicolas Kassianides, qui a apportĂ© la missive Ă  Mahmoud Abbas, jeudi 24 juillet.

 

Voici le contenu intégral de la missive de Macron:

« FidĂšle Ă  son engagement historique pour une paix juste et durable au Proche-Orient, j’ai dĂ©cidĂ© que la France reconnaĂźtra l’État de Palestine.

J’en ferai l’annonce solennelle Ă  l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des Nations unies, au mois de septembre prochain.

L’urgence est aujourd’hui que cesse la guerre à Gaza et que la population civile soit secourue.

La paix est possible.

Il faut immĂ©diatement un cessez-le-feu, la libĂ©ration de tous les otages et une aide humanitaire massive Ă  la population de Gaza. Il faut aussi garantir la dĂ©militarisation du Hamas, sĂ©curiser et reconstruire Gaza. Il faut enfin bĂątir l’État de Palestine, assurer sa viabilitĂ© et permettre qu’en acceptant sa dĂ©militarisation et en reconnaissant pleinement IsraĂ«l, il participe Ă  la sĂ©curitĂ© de tous au Proche-Orient.

Il n’y a pas d’alternative

Les Français veulent la paix au Proche-Orient. Il nous appartient, Ă  nous Français, avec les IsraĂ©liens, les Palestiniens, nos partenaires europĂ©ens et internationaux, de dĂ©montrer que c’est possible.

À la lumiĂšre des engagements que le prĂ©sident de l’AutoritĂ© palestinienne a pris auprĂšs de moi, je lui ai donc Ă©crit ma dĂ©termination Ă  avancer.

Confiance, clarté et engagement.

Nous gagnerons la paix Â».

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Khaled Khiari (SG adjoint de l’ONU) : impĂ©ratif d’un cessez-le-feu immĂ©diat Ă  Gaza

Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint pour le Moyen-Orient de l’ONU, le Tunisien Khaled Khiari, exhorte le Conseil de sĂ©curitĂ© Ă  pousser en faveur d’un cessez-le-feu immĂ©diat Ă  Gaza et de la libĂ©ration de tous les otages, avertissant que la guerre est devenue « un cauchemar d’une ampleur historique » et qu’« il est grand temps » de mettre fin aux combats et de permettre le retour des otages.

Il a dĂ©clarĂ© aux ministres et aux ambassadeurs que les discussions en cours doivent aboutir Ă  une fin permanente des hostilitĂ©s, Ă  l’entrĂ©e sans enclave de l’aide humanitaire, ainsi qu’au dĂ©but de la reconstruction et du redressement.

Au passage, il a dressĂ© un tableau extrĂȘmement sombre de la situation sur le terrain, citant l’intensification des opĂ©rations militaires israĂ©liennes, notamment Ă  Deir Al-Balah, entraĂźnant de nouveaux dĂ©placements massifs.

Des locaux de l’ONU ont Ă©galement Ă©tĂ© touchĂ©s, entravant les opĂ©rations humanitaires et aggravant une situation dĂ©jĂ  catastrophique.

 

Le bilan humanitaire s’aggrave

Selon les chiffres des autoritĂ©s sanitaires locales, au moins 1 891 Palestiniens ont Ă©tĂ© tuĂ©s Ă  Gaza depuis le 30 juin, dont 294 auraient Ă©tĂ© tuĂ©s en tentant de rĂ©cupĂ©rer de l’aide prĂšs de points de distribution militarisĂ©s.

Les ordres d’évacuation continuent de provoquer des dĂ©placements rĂ©pĂ©tĂ©s, tandis que l’insĂ©curitĂ© alimentaire et la malnutrition s’aggravent, malgrĂ© une lĂ©gĂšre augmentation de l’entrĂ©e de l’aide humanitaire.

CĂŽtĂ© israĂ©lien, 13 soldats ont Ă©tĂ© tuĂ©s durant la mĂȘme pĂ©riode. Les groupes armĂ©s palestiniens poursuivent des tirs sporadiques de roquettes vers IsraĂ«l. Selon des sources israĂ©liennes, 50 otages – dont 28 seraient morts – sont toujours dĂ©tenus par le Hamas et d’autres groupes.

 

Lieux de culte frappés

Dans son discours, M. Khiari a également souligné les préoccupations croissantes concernant les victimes civiles et les attaques contre des sites protégés.

Il a par ailleurs condamnĂ© une frappe survenue le 17 juillet contre l’église catholique de la Sainte-Famille Ă  Gaza, qui a tuĂ© trois personnes et en a blessĂ© plusieurs autres. La frappe a forcĂ© l’évacuation d’environ 600 Palestiniens, dont des enfants et des personnes handicapĂ©es, qui y avaient trouvĂ© refuge.

Le bureau du Premier ministre israĂ©lien a exprimĂ© ses regrets, qualifiant la frappe de « tir Ă©garĂ© » et a annoncĂ© l’ouverture d’une enquĂȘte, selon M. Khiari.

Graves pénuries de carburant

Depuis le 9 juillet, Israël a autorisé des livraisons limitées de carburant via le point de passage de Kerem Shalom/Karim Abu Salem aprÚs 130 jours de blocus total.

Cependant, la quantitĂ© autorisĂ©e est « une infime partie de ce qui est nĂ©cessaire pour faire fonctionner les services vitaux Ă  Gaza, oĂč presque tous les aspects de la vie dĂ©pendent du carburant », a averti M. Khiari.

Cisjordanie occupée

Concernant la Cisjordanie occupée, M. Khiari a fait état de niveaux de violence élevés, notamment des opérations militaires israéliennes meurtriÚres, des attaques de colons contre des Palestiniens et des représailles palestiniennes contre des Israéliens.

Il a Ă©galement soulignĂ© que l’AutoritĂ© palestinienne traverse une grave crise budgĂ©taire, avec 2,7 milliards de dollars de recettes douaniĂšres retenues, l’empĂȘchant de payer les salaires et d’assurer les services de base.

« Si elle n’est pas traitĂ©e de toute urgence, la dĂ©gradation de la situation budgĂ©taire et institutionnelle de l’AutoritĂ© palestinienne pourrait avoir des consĂ©quences catastrophiques, compromettant les progrĂšs rĂ©alisĂ©s depuis des annĂ©es dans la construction des institutions palestiniennes », a-t-il mis en garde, appelant Ă  un soutien international immĂ©diat.

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Italie – AlgĂ©rie : la coopĂ©ration Ă©nergĂ©tique, sĂ©curitaire et migratoire au sommet

À l’occasion d’un sommet bilatĂ©ral Ă  Rome, jeudi 24 juillet 2025, la prĂ©sidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, et le prĂ©sident algĂ©rien, Abdelmadjid Tebboune, ont affichĂ© une entente renforcĂ©e autour de la coopĂ©ration Ă©nergĂ©tique, sĂ©curitaire et migratoire.

Mme Meloni a saisi l’occasion pour saluer une relation « d’un niveau jamais atteint ». Laquelle est consolidĂ©e par la signature de nouveaux accords, notamment dans les secteurs du gaz, du pĂ©trole et du numĂ©rique. Alors que par ailleurs les entreprises Sonatrach et ENI poursuivent leur rapprochement stratĂ©gique, comme le souligne l’AFP.

En effet, l’Italie, qui s’est tournĂ©e vers l’AlgĂ©rie pour rĂ©duire sa dĂ©pendance au gaz russe, en a fait son premier fournisseur Ă©nergĂ©tique en Afrique, ajoute l’agence.

Et ce n’est pas tout, les deux pays ont aussi signĂ© des accords dans plusieurs autres domaines, dont la dĂ©fense, la lutte contre le terrorisme et contre l’immigration illĂ©gale.

Ainsi, l’agence française Ă©tablit un parallĂšle entre cette coopĂ©ration Ă©troite entre AlgĂ©riens et Italiens Ă  l’inverse des relations entre l’AlgĂ©rie et la France qui restent gelĂ©es, « sur fond de crise diplomatique persistante ».

A noter que le prĂ©sident algĂ©rien aura une rencontre avec le pape LĂ©on XIV, d’origine augustinienne, un symbole fortement apprĂ©ciĂ© en AlgĂ©rie, rappelle l’AFP.

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Les transferts des TRE et les recettes touristiques se sont élevés à plus de 8,5 milliards de dinars en 2024

Les recettes touristiques sont en hausse de 8,1 % et les transferts des Tunisiens Ă  l’étranger de 8,2 %. Tandis que le service de la dette extĂ©rieure recule lĂ©gĂšrement. C’est ce qu’indiquent les derniers indicateurs monĂ©taires et financiers de la Banque centrale de Tunisie, arrĂȘtĂ©s au 20 juillet 2024.

Les recettes touristiques cumulĂ©es ont atteint 3 899,1 millions de dinars, enregistrant une hausse de 8,1 % par rapport Ă  la mĂȘme pĂ©riode de 2023. Les revenus du travail, principalement les transferts des Tunisiens rĂ©sidents Ă  l’étranger (TRE), ont Ă©galement progressĂ© de 8,2 %. Ils passent ainsi de 4 286,2 millions de dinars (MDT) en 2023 Ă  4640,5 MDT en 2024.

En parallÚle, le service de la dette extérieure a légÚrement diminué de prÚs de 3 %, se situant à 8890,9 millions de dinars.

Ces chiffres confirment une dynamique positive dans les secteurs du tourisme et de la diaspora, deux sources essentielles de devises pour le pays.

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Energie : un forage trĂšs prometteur Ă  KĂ©bili reçoit l’appui des autoritĂ©s publiques

Le dĂ©ficit Ă©nergĂ©tique est devenu une prĂ©occupation majeure en Tunisie, et ce depuis de nombreuses annĂ©es, pesant lourdement sur l’économie nationale. D’oĂč l’importance d’encourage l’exploration et le forage de puits. Pour vous donner une idĂ©e, rien qu’en 2024, le dĂ©ficit en Ă©nergie de la Tunisie a reprĂ©sentĂ© 57 % du dĂ©ficit commercial total du pays.

Durant les cinq premiers mois de l’annĂ©e 2025, le pays a enregistrĂ© un dĂ©ficit significatif de sa balance commerciale, estimĂ© Ă  8,4 milliards de dinars. Plus de la moitiĂ© de ce dĂ©sĂ©quilibre, soit 4,3 milliards de dinars, provient du dĂ©ficit de la balance Ă©nergĂ©tique.

Cette situation prĂ©occupante s’explique essentiellement par une baisse continue de la production nationale d’hydrocarbures, en recul de 16 % en 2024 par rapport Ă  2023. Alors que la demande Ă©nergĂ©tique ne cesse de croĂźtre. Depuis 2010, la consommation a augmentĂ© en moyenne de 3 % par an pour l’électricitĂ© et de 1,4 % pour les produits pĂ©troliers.

Cette dynamique a entraĂźnĂ© une hausse constante des importations de pĂ©trole et de gaz, accentuant la dĂ©pendance Ă©nergĂ©tique du pays. Les consĂ©quences sont multiples : recours accru Ă  l’endettement extĂ©rieur pour financer ces importations; baisse des rĂ©serves en devises; risque de dĂ©prĂ©ciation du dinar face au dollar et Ă  l’euro; et hausse de l’inflation.

Comment le réduire le déficit énergétique?

Face Ă  la lente progression du dĂ©veloppement des Ă©nergies renouvelables – dĂ©veloppement freinĂ© notamment par des difficultĂ©s de financement – et Ă  l’impossibilitĂ© de recourir Ă  l’énergie nuclĂ©aire Ă  moyen terme, la seule solution viable Ă  court terme reste l’exploitation optimale des ressources nationales.

Dans ce contexte, chaque projet de forage de pĂ©trole et de gaz revĂȘt donc un caractĂšre stratĂ©gique. Ainsi, les rĂ©cents travaux de forage en cours dans la rĂ©gion de KĂ©bili effectuĂ©s par la sociĂ©tĂ© Mazarine Energy sont Ă  mĂȘme de constituer une bonne nouvelle pour l’économie tunisienne. Surtout que les premiĂšres estimations font Ă©tat d’un potentiel de production important en pĂ©trole et en gaz.

La prise de conscience des autoritĂ©s quant Ă  l’impact Ă©conomique d’une meilleure valorisation des ressources nationales a permis de mobiliser un soutien institutionnel total en faveur de ce projet.

Cette orientation des autorités à tous les niveaux constitue une étape essentielle vers la réduction de la dépendance énergétique du pays.

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Un avion de ligne avec 49 personnes Ă  son bord s’écrase en Russie

Un avion de ligne transportant Ă  son bord 49 personnes – dont cinq enfants – « a disparu des radars Â» en Russie ce jeudi 24 juillet. Le fuselage en flammes de l’appareil a Ă©tĂ© dĂ©couvert par des secouristes, rapporte la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision BFMTV reprenant une dĂ©pĂȘche de l’Agence France-Presse.

L’avion de ligne a disparu des radars dans la rĂ©gion de l’Amour (ExtrĂȘme-Orient russe), a dĂ©clarĂ© le gouverneur de la rĂ©gion, Vassili Orlov, citĂ© par l’AFP. « Les services d’urgence ont annoncĂ© qu’un avion de ligne Antonov-24 qui effectuait un vol entre Blagovechtchensk et Tynda avait disparu des radars aujourd’hui Â», a-t-il affirmĂ© sur Telegram.

Selon le communiquĂ© de presse du parquet des transports d’ExtrĂȘme-Orient, l’avion a disparu du radar aprĂšs avoir effectuĂ© une deuxiĂšme approche pour atterrir Ă  l’aĂ©roport de Tynda.

L’avion An-24 d’Angara Airlines, qui n’a fait part d’aucun signal concernant d’éventuels problĂšmes dans les airs, « n’a pas rĂ©pondu Ă  la communication Ă  un point de contrĂŽle situĂ© Ă  plusieurs kilomĂštres de l’aĂ©roport de Tynda Â», indique pour sa part l’agence de presse russe TASS dans un communiquĂ©.

Par consĂ©quent, « la version envisagĂ©e par les autoritĂ©s est celle d’une erreur de l’équipage, qui a heurtĂ© une colline lors de l’atterrissage par mauvais temps. D’autres versions seront Ă©galement Ă©tudiĂ©es Â», selon une autre source citĂ©e par l’agence.

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L’incendie sur l’autoroute entre Hammamet et Tunis maĂźtrisĂ©

Un important incendie s’est dĂ©clarĂ© dans la soirĂ©e de mercredi 23 juillet 2025 en bordure de l’autoroute A1, dans le sens Hammamet–Tunis aux abords d’une station d’essence, se propageant sur un terrain agricole dans la rĂ©gion de Grombalia.

C’est en tout cas ce que montrent des vidĂ©os postĂ©es sur Facebook mettant en lumiĂšre – sans jeu de mot –  les dĂ©gĂąts du sinistre : des flammes imposantes ont ravagĂ© la vĂ©gĂ©tation sĂšche le long de l’autoroute; tandis qu’un Ă©pais nuage de fumĂ©e noire s’élevait dans le ciel, rĂ©duisant fortement la visibilitĂ© sur cet axe stratĂ©gique reliant le nord au centre du pays, Ă©crit un site de la place.

A noter que cet incendie, aussi spectaculaire qu’il paraisse, semble pas avoir intĂ©ressĂ© les mĂ©dias en ligne. A se demander!

Cependant, aprĂšs la peur des usagers, les unitĂ©s de la protection civile sont parvenues trĂšs rapidement Ă  maĂźtriser les flammes et empĂȘcher ainsi leur propagation Ă  d’autres zones.

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Tunisie – MĂ©tĂ©o : avec 47 degrĂ©s, Tozeur a Ă©tĂ© la rĂ©gion la plus chaude mercredi 23 juillet

Le gouvernorat de Tozeur a Ă©tĂ© la rĂ©gion ayant enregistrĂ© la tempĂ©rature la plus Ă©levĂ©e, le mercredi 23 juillet 2025, quelque 47 degrĂ©s, selon les donnĂ©es de l’Institut national de mĂ©tĂ©orologie (INM) publiĂ©es dans la soirĂ©e du 23 juillet. Mais les gouvernorats de KĂ©bili et Kairouan ont eux aussi Ă©tĂ© trĂšs touchĂ©s, avec des tempĂ©ratures qui ont atteint les 46 degrĂ©s.

Cette vague de chaleur a Ă©galement affectĂ© d’autres gouvernorats Ă  l’instar de Siliana, Jendouba et Gafsa (prĂšs de 45 degrĂ©s), Sidi Bouzid, BĂ©ja et Le Kef (44 degrĂ©s), selon les mĂȘmes donnĂ©es.

L’INM avait dĂ©jĂ  averti d’une hausse des tempĂ©ratures ce mercredi, dans le cadre d’une vague de chaleur qui devrait se poursuivre jeudi et vendredi.

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Crise de la dette : la rĂ©volution blockchain peut-elle sauver les États ?

« SOS Économie en dĂ©tresse
 Les chiffres sont lĂ . La dette publique amĂ©ricaine s’élĂšve aujourd’hui Ă  prĂšs de 37 000 milliards de dollars. Un chiffre vertigineux, qui ne surprend plus vraiment tant il est devenu une constante du paysage Ă©conomique global. Pourtant, derriĂšre cette inertie apparente se cache un poids structurel considĂ©rable, qui ne freine pas seulement les finances publiques, mais Ă©touffe aussi l’innovation du secteur privĂ© ».

VoilĂ  l’entame d’un article intitulĂ© “Bitcoin et blockchain : Les solutions Ă  la crise de la dette des Etats ?“ qui Ă  la fois alerte et Ă©claire. Il est paru dans le site du Journal Du Coin.

C’est un autre article publiĂ© par Forbes qui aurait attirĂ© l’auteure – une certaine Magali Bourdou – dudit article. En effet, Brian Domitrovic, historien et auteur du livre “Free Money“, suggĂšre l’hypothĂšse suivante : « Et si la blockchain, et plus prĂ©cisĂ©ment le Bitcoin, pouvait contribuer Ă  sortir de cette impasse ? (entendez la “
 crise de la dette des Etats“, ndlr). Non pas en annulant magiquement les dettes, mais en ouvrant une brĂšche dans le monopole des obligations d’État comme rĂ©fĂ©rence “sans risqueâ€œâ€ŻÂ».

 

La dette publique amĂ©ricaine a atteint un niveau vertigineux de prĂšs de 37 000 milliards de dollars, exerçant une pression considĂ©rable sur l’innovation financiĂšre. Le Bitcoin et la blockchain pourraient offrir une alternative au monopole des obligations d’État en crĂ©ant des instruments financiers dĂ©centralisĂ©s, traçables et programmables.

 

Pour rentrer dans le vif du sujet, Magali Bourdou prĂ©sente deux idĂ©es-forces de son article, Ă  savoir : la dette publique amĂ©ricaine a atteint un niveau vertigineux de prĂšs de 37 000 milliards de dollars, exerçant une pression considĂ©rable sur l’innovation financiĂšre; le Bitcoin et la blockchain pourraient offrir une alternative au monopole des obligations d’État en crĂ©ant des instruments financiers dĂ©centralisĂ©s, traçables et programmables.

Selon notre consƓur, Brian Domitrovic s’inquiĂšte moins du «  montant astronomique de la dette », que du «  fait qu’elle soit devenue la norme mondiale de la sĂ©curitĂ© financiĂšre ». Pour Ă©tayer ses propos, elle rappelle que « les obligations du TrĂ©sor amĂ©ricain sont utilisĂ©es comme Ă©talon dans le calcul des taux d’intĂ©rĂȘt. Cette domination empĂȘche l’émergence de vĂ©ritables alternatives privĂ©es », ajoute-t-elle.

Et elle poursuit l’explication. « Depuis des dĂ©cennies, le gouvernement amĂ©ricain pousse les banques Ă  intĂ©grer ces obligations dans leurs bilans, souvent au dĂ©triment de produits financiers innovants. Le marchĂ© privĂ© est ainsi dans l’incapacitĂ© de dĂ©velopper ses propres titres “sans risque”, pourtant nĂ©cessaires Ă  une diversification saine de l’économie Â».

 

Lire aussi : Le GENIUS Act marque un tournant majeur pour la crypto aux États-Unis

 

Cependant, tout n’est pas perdu, notamment avec le dĂ©veloppement technologique. Ainsi, sous l’intertitre “Blockchain : Des titres financiers dĂ©centralisĂ©s Ă  portĂ©e de clic“, Magali Bourdou pense que «  grĂące Ă  la technologie blockchain, il devient techniquement possible de crĂ©er des instruments financiers dĂ©centralisĂ©s, traçables, transparents et programmables. On parle dĂ©jĂ  de smart bonds, ces obligations intelligentes dont le cycle de vie est entiĂšrement automatisĂ© par des contrats intelligents Â».

Et ce qui paraissait ou Ă©tait de la science-fiction il y a de cela quelques annĂ©es, ne l’est pas aujourd’hui. La preuve? « En 2018, la Banque mondiale lançait le projet Bond-i pour Ă©mettre des obligations sur une infrastructure blockchain », rappelle l’auteure. Six ans plus part, en fĂ©vrier 2024, Hong Kong franchissait une nouvelle Ă©tape avec l’émission de 750 millions de dollars via une blockchain privĂ©e dĂ©veloppĂ©e par HSBC. « La transaction, d’une efficacitĂ© redoutable, s’est rĂ©glĂ©e en une journĂ©e, contre cinq habituellement ». Sans doute, cela avait poussĂ© la BEI (Banque europĂ©enne d’investissement) Ă  s’engouffrer elle aussi dans la brĂšche, toujours selon Magali Bourdou.

 

« En 2018, la Banque mondiale lançait le projet Bond-i pour Ă©mettre des obligations sur une infrastructure blockchain Â», rappelle l’auteure. Six ans plus part, en fĂ©vrier 2024, Hong Kong franchissait une nouvelle Ă©tape avec l’émission de 750 millions de dollars via une blockchain privĂ©e dĂ©veloppĂ©e par HSBC.

 

En tout cas, toutes Ă©tudes montrent que « la blockchain offre une rĂ©duction de coĂ»ts, une accĂ©lĂ©ration des rĂšglements (T+1), une meilleure traçabilitĂ© et une transparence accrue. Bref, tout ce que la finance traditionnelle rĂ©clame depuis des annĂ©es Â».

Comment desserrer les freins politiques et juridiques?

Toutefois, cette avancĂ©e technologique se heurte Ă  des entraves rĂ©elles, tient Ă  le rappeler Mme Bourdou. « D’abord, les systĂšmes bancaires actuels, dits legacy, sont rarement compatibles avec les blockchains. Ensuite, il n’existe pas encore de cadre juridique harmonisĂ© pour reconnaĂźtre et encadrer ces nouveaux instruments. Quel statut donner Ă  une obligation entiĂšrement gĂ©rĂ©e par code? Comment l’intĂ©grer dans le droit financier classique? », s’interroge-t-elle.

Mais quid des intĂ©rĂȘts gĂ©opolitiques? « Car admettre que le privĂ©, via des protocoles dĂ©centralisĂ©s comme Ethereum ou Bitcoin, puisse Ă©mettre des actifs sĂ»rs revient Ă  remettre en cause le monopole implicite des États sur la confiance ».

Dans ce sens, notre consƓur rappelle une citation de l’ancien prĂ©sident de la Fed, Alan Greenspan : « Il serait poignant que les titres de la dette fĂ©dĂ©rale mordent la poussiĂšre, alors que l’innovation des titres privĂ©s prendrait le relais ».

A partir de lĂ , on arrive Ă  la “nouvelle hiĂ©rarchie de la confiance“, Ă  savoir la crypto et la blockchain.

Notre journaliste-analyste souligne : « La blockchain propose de reconstruire la confiance autrement. Non plus en s’appuyant sur la parole de l’État, mais sur la rigueur d’un protocole informatique, immuable et transparent. À condition, bien sĂ»r, que cette confiance soit partagĂ©e, comprise et adoptĂ©e ».

 

« La blockchain propose de reconstruire la confiance autrement. Non plus en s’appuyant sur la parole de l’État, mais sur la rigueur d’un protocole informatique, immuable et transparent. À condition, bien sĂ»r, que cette confiance soit partagĂ©e, comprise et adoptĂ©e ».

 

Dans ce cadre, elle rappelle que de nombreuses initiatives Ă©mergent ici et lĂ  pour construire ce pont entre finance traditionnelle et finance dĂ©centralisĂ©e. L’International Capital Market Association (ICMA) travaillerait sur des standards pour l’émission de titres blockchain. Dans la mĂȘme optique, des banques centrales testent actuellement des Ă©missions pilotes. Et de son cĂŽtĂ©, le TrĂ©sor britannique a mĂȘme Ă©voquĂ© la possibilitĂ© de lancer ses propres gilts tokenisĂ©s, prĂ©cise Mme Bourdou.

Cependant, «  ce mouvement reste lent, fragmentĂ© et parfois freinĂ© par des rĂ©ticences idĂ©ologiques ou corporatistes. Pour que la promesse devienne rĂ©alitĂ©, il faudra une impulsion coordonnĂ©e : des rĂ©gulateurs audacieux, des institutions bancaires prĂȘtes Ă  Ă©voluer et des investisseurs convaincus que la confiance ne rĂ©side plus uniquement dans le drapeau imprimĂ© sur un bon du TrĂ©sor ».

 

« Bitcoin et la blockchain ne rĂšgleront pas la crise de la dette d’un coup de baguette magique. Mais ils offrent une opportunitĂ© : celle de dĂ©sĂ©tatiser partiellement la sĂ©curitĂ© financiĂšre
 Â»

 

Voici la conclusion qui mĂ©rite d’ĂȘtre considĂ©rĂ©e dans sa juste valeur : « Bitcoin et la blockchain ne rĂšgleront pas la crise de la dette d’un coup de baguette magique. Mais ils offrent une opportunitĂ© : celle de dĂ©sĂ©tatiser partiellement la sĂ©curitĂ© financiĂšre. En laissant au privĂ© la capacitĂ© de crĂ©er des titres alternatifs crĂ©dibles, adossĂ©s Ă  des mĂ©canismes technologiques robustes, on pourrait enfin sortir d’un systĂšme hypertrophiĂ© et redonner Ă  l’innovation financiĂšre l’espace qu’elle mĂ©rite.

La blockchain ne sauvera pas les États. Mais elle pourrait bien sauver la finance de ceux-ci Â».

A bon entendeur, salut !

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Autosuffisance alimentaire : la Tunisie au 6Ăšme rang africain

Selon une Ă©tude parue en mai 2025 dans la revue Nature Food, la Tunisie occupe le 6ᔉ rang en Afrique pour l’autosuffisance alimentaire.

Elle atteint 188 % pour les fruits et 170 % pour les produits laitiers. Par contre, notre pays reste dĂ©pendant des importations de cĂ©rĂ©ales, avec un taux d’autosuffisance de seulement 18 %.

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Passeport ou visa contre cryptomonnaies: ces 4 pays ont franchi le pas

Pour ceux qui ont encore peur des cryptomonnaies, voici quatre exemples Ă©difiants Ă  mĂȘme de faire changer d’opinion ou conviction plus d’un.

C’est en tout cas ce que rĂ©vĂšle le site Le Journal du Coin. « Et si vos bitcoins vous ouvraient les portes d’un second passeport ou d’un visa de rĂ©sidence ? Plusieurs pays proposent aujourd’hui des programmes d’immigration par investissement
 et certains acceptent les paiements en cryptomonnaies Â». Oui, vous avez bien lu : paiement en cryptomonnaies.

Dans une analyse rĂ©cente, Cointelegraph dresse la liste des destinations qui misent sur la blockchain pour attirer les investisseurs du monde entier. Tour d’horizon des opportunitĂ©s.

Vanuatu : Le passeport express

Le Vanuatu se distingue avec l’un des programmes de citoyennetĂ© les plus rapides du monde : entre 30 et 60 jours. Pour une contribution de 130 000 dollars (ou 180 000 $ pour une famille), vous pouvez obtenir la nationalitĂ© vanuataise. Le gouvernement n’accepte pas directement les cryptos, mais des agents agréés peuvent convertir vos actifs numĂ©riques en monnaie fiduciaire pour finaliser la procĂ©dure.

Pourquoi c’est intĂ©ressant :

  • Processus 100 % Ă  distance;

  • Pas de test de langue ni d’obligation de rĂ©sidence;

  • Double nationalitĂ© autorisĂ©e;

  • ExonĂ©ration d’impĂŽts sur les revenus, les plus-values, l’hĂ©ritage;

  • AccĂšs sans visa Ă  plus de 90 pays.

Un choix populaire pour les nomades numĂ©riques et les entrepreneurs cryptos en quĂȘte de flexibilitĂ© et de sĂ©curitĂ©.

CaraĂŻbes : passeports rapides Ă  la Dominique et Ă  Sainte-Lucie

Ces deux États insulaires proposent des citoyennetĂ©s Ă©conomiques attractives, accessibles en quelques mois. Les dons requis sont de 200 000 $ (Dominique) et 240 000 $ (Sainte-Lucie). Plusieurs agences agréées acceptent les cryptomonnaies — notamment Bitcoin et USDT — qu’elles convertissent ensuite pour respecter les conditions gouvernementales.

Les plus :

  • Traitement rapide (moins d’un an);

  • Passeports puissants (voyages sans visa vers l’UE, le Royaume-Uni, Singapour
);

  • Inclusion de toute la famille;

  • Aucune obligation de rĂ©sidence ou de test linguistique;

Ces programmes séduisent ceux qui cherchent une citoyenneté secondaire stable, avec des démarches simples et compatibles avec les actifs numériques.

Portugal : le visa doré crypto-friendly

Le Portugal continue d’attirer les investisseurs avec son visa dorĂ©, offrant un droit de rĂ©sidence en Ă©change d’un investissement de 500 000 € dans des fonds qualifiĂ©s. Depuis 2023, les investissements doivent cibler l’innovation, les sciences ou les entreprises locales. Bien que les cryptos ne soient pas directement acceptĂ©es, certains fonds agréés offrent une exposition au secteur blockchain.

Ce qu’on y gagne :

  • Droits de rĂ©sidence dans toute l’UE:

  • Voie vers la citoyennetĂ© aprĂšs cinq ans;

  • Aucune obligation de rĂ©sidence permanente:

  • Environnement fiscal avantageux pour les cryptos;

  • Inclusion de la famille.

Une option solide pour les investisseurs cryptos cherchant Ă  s’installer au cƓur de l’Europe, dans un cadre lĂ©gal structurĂ©.

Salvador : le premier visa 100 % crypto

Pionnier dans l’adoption du Bitcoin, le Salvador a lancĂ© en 2023 le Visa LibertĂ©, un programme d’immigration inĂ©dit, entiĂšrement basĂ© sur les cryptomonnaies. Moyennant un investissement d’un million de dollars en BTC ou USDT, les candidats peuvent obtenir Ă  la fois la rĂ©sidence et une naturalisation accĂ©lĂ©rĂ©e.

Ce qui le rend unique :

  • Processus rapide : environ six semaines;

  • Pas d’obligation de rĂ©sidence physique;

  • Aucun intermĂ©diaire fiduciaire : paiement direct en crypto;

  • Contribution au dĂ©veloppement Ă©conomique du pays.

C’est la premiĂšre offre gouvernementale qui permet d’acheter une citoyennetĂ© uniquement avec des cryptomonnaies.

In fine, que vous visiez un passeport rapide dans les Caraïbes, une résidence européenne au Portugal ou une citoyenneté 100 % crypto au Salvador, votre portefeuille numérique peut désormais devenir votre meilleur allié pour franchir les frontiÚres.

Alors
 PrĂȘt Ă  transformer vos bitcoins en libertĂ© de mouvement ?

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Massad Boulos, émissaire de Trump, en visite officielle en Tunisie

L’administration Trump semble porter une attention croissante Ă  l’Afrique du Nord, notamment Ă  l’AlgĂ©rie, au Maroc, Ă  la Libye et Ă  la Tunisie. Dernier signe en date : l’arrivĂ©e Ă  Tunis, ce mardi 22 juillet, de Massad Boulos, principal conseiller de Donald Trump et membre influent de son entourage.

Selon The Libyan Express, Massad Boulos devrait s’entretenir avec le prĂ©sident de la RĂ©publique KaĂŻs SaĂŻed, ainsi qu’avec le ministre des Affaires Ă©trangĂšres Mohamed Ali Nafti. Ces rencontres devraient porter sur divers sujets d’intĂ©rĂȘt commun, allant des questions bilatĂ©rales aux enjeux rĂ©gionaux.

D’aprĂšs d’autres sources locales, cette visite s’inscrit dans un contexte diplomatique particuliĂšrement chargĂ©. L’Afrique du Nord est aujourd’hui au cƓur de plusieurs tensions, notamment le dossier du Sahara occidental qui oppose Rabat Ă  Alger, la problĂ©matique de la migration irrĂ©guliĂšre, ou encore l’activisme renouvelĂ© de la diplomatie amĂ©ricaine sur le continent. Rappelons, Ă  ce titre, les rĂ©cents efforts de mĂ©diation Ă  l’est de la RD Congo, ou encore la rĂ©ception de cinq chefs d’État africains Ă  la Maison Blanche.

Ce dĂ©placement de Massad Boulos intervient Ă©galement alors que Washington a rĂ©cemment imposĂ© une taxe de 25 % sur certains produits tunisiens exportĂ©s vers les États-Unis — un sujet qui ne manquera pas d’ĂȘtre abordĂ© lors des discussions.

Le choix de dĂ©pĂȘcher Massad Boulos n’est pas anodin. Homme d’affaires d’origine libanaise bien connu dans les milieux Ă©conomiques, il est aussi le gendre du prĂ©sident Trump, ce qui renforce le poids symbolique et stratĂ©gique de sa mission.

Faut-il y voir une tentative des États-Unis de rĂ©affirmer leur prĂ©sence dans une rĂ©gion dĂ©sormais disputĂ©e par d’autres puissances comme l’Union europĂ©enne, la Russie, la Chine, ou encore, dans une moindre mesure, la Turquie ?

L’avenir nous le dira.

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Business du Foot : AC Prato dans l’escarcelle d’une Marocaine

Le club italien AC Prato, Ă©voluant en SĂ©rie D, change de mains. Il a Ă©tĂ© officiellement rachetĂ© par Finres S.p.A., une sociĂ©tĂ© d’investissement basĂ©e Ă  Florence et dĂ©tenue par Asmaa Gacem, une entrepreneure marocaine ĂągĂ©e seulement de 31 ans.

Dans un communiquĂ© publiĂ© rĂ©cemment, le club a annoncĂ© que le groupe Humanativa a cĂ©dĂ© 100 % des parts du club biancazzurro Ă  Finres S.p.A. pour un montant de plus de 800 000 euros, rapporte le site marocain bladi.net. L’accord prĂ©voit que la nouvelle propriĂ©taire prendra en charge l’intĂ©gralitĂ© des dettes du club, y compris le paiement des salaires en retard des joueurs et du staff technique. Une condition essentielle pour valider l’inscription du club au championnat de SĂ©rie D avant la date butoir du 21 juillet.

Le prĂ©sident actuel, Stefano Commini, restera en poste le temps de finaliser les dĂ©marches administratives nĂ©cessaires Ă  l’enregistrement du club pour la saison 2025/2026.

« Ma joie est immense car le club est sauvĂ©, et c’est ce qui compte », a rĂ©agi le vice-prĂ©sident de la FIGC Toscane. Tout en appelant Ă  observer avec attention les intentions de la nouvelle direction. Il a Ă©galement soulignĂ© que Commini a « agi en entrepreneur » en vendant le club Ă  un prix Ă©levĂ©, mais que les investisseurs locaux peuvent nourrir des regrets : « C’est une occasion manquĂ©e. Le fait que ce soit Finres qui intervienne pour sauver le Prato doit faire rĂ©flĂ©chir », relate bladi.net.

A noter que Finres S.p.A. est une holding industrielle qui détient notamment Alpha General Contractor, entreprise active dans le secteur du BTP et des grands travaux. Alpha figure à la troisiÚme place du classement « Leaders de la croissance 2025 » établi par Il Sole 24 Ore et Statista.

Sous la direction d’Asmaa Gacem, qui a fondĂ© Finres en 2019, la sociĂ©tĂ© a connu une ascension fulgurante : 60 millions d’euros de chiffre d’affaires et 3,7 millions de bĂ©nĂ©fices en 2023; contre seulement 658 000 euros de chiffre d’affaires et aucun bĂ©nĂ©fice en 2020.

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L’Unesco perd les Etats-Unis d’AmĂ©rique

AprĂšs l’OMS, l’OMC, l’Accord de Paris sur le climat, et bien d’autres, Donald Trump vient d’annoncer le retrait des Etats-Unis de l’Unesco, pour les « tendances anti-amĂ©ricaines et anti-israĂ©liennes de l’Organisation des Nations unies ainsi que son programme woke », accuse-t-il.

A rappeler que Trump avait dĂ©jĂ  retirĂ© son pays de l’Unesco en 2017, lors de son premier mandat. C’est dĂ©sormais autour de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture d’enregistrer le retrait de la premiĂšre puissance Ă©conomique du monde.

Dans un communiquĂ©, la porte-parole du dĂ©partement d’État, Tammy Bruce, Ă©crit : « La poursuite de la participation des États-Unis Ă  l’Unesco n’est pas dans l’intĂ©rĂȘt national Â». Selon Le figaro, Mme Bruce accuse l’agence « de parti pris contre IsraĂ«l et promeut des causes clivantes Â».

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Le GENIUS Act marque un tournant majeur pour la crypto aux États-Unis

Les Etats-Unis viennent de franchir un pas important dans le domaine des cryptomonnaies, avec l’adoption par la Chambre des reprĂ©sentants amĂ©ricaine, le 17 juillet 2025, et signĂ©e par Donald Trump. Celle-ci impose des rĂšgles claires sur le secteur des cryptomonnaies. Cette loi Ă©tablit un cadre rĂ©glementaire pour les Ă©metteurs de stablecoins.

Les trois idĂ©es principales Ă  retenir :

  • La loi GENIUS, signĂ©e par Trump, Ă©tablit pour la premiĂšre fois un cadre rĂ©glementaire majeur pour les stablecoins, soutenu par un large vote bipartite.
  • Elle vise Ă  renforcer la confiance des consommateurs dans la cryptomonnaie, tandis que Trump ambitionne de faire des États-Unis la capitale mondiale du secteur.
  • En parallĂšle, la Chambre des reprĂ©sentants a Ă©galement adoptĂ© deux autres lois, le CLARITY Act et l’Anti-CBDC, pour soutenir davantage l’industrie crypto.

BaptisĂ©e GENIUS ACT, cette loi constitue « la premiĂšre loi majeure rĂ©gissant les monnaies numĂ©riques et Ă©tablit un cadre rĂ©glementaire pour le marchĂ© des stablecoins Â», lit-on dans coinspeaker.com. Ils pĂšsent 250 milliards de dollars.

ConsidĂ©rĂ©s comme des cryptomonnaies relativement sĂ»res, les stablecoins ont leur valeur adossĂ©e Ă  d’autres actifs, notamment le dollar.

Selon notre source, plusieurs personnalitĂ©s Ă©taient prĂ©sentes lors de la cĂ©rĂ©monie de signature. Parmi elles, des membres du CongrĂšs et des dirigeants de Robinhood, Tether, Gemini et d’autres sociĂ©tĂ©s cryptographiques et financiĂšres.

Mais tout n’était pas gagnĂ©, et « le sort du GENIUS Act Ă©tait incertain en dĂ©but de semaine Â», parce qu’une douzaine de conservateurs avaient bloquĂ© un vote de procĂ©dure. Mais « en fin de compte, les opposants ont fait un compromis, et c’est ainsi que la lĂ©gislation a pu avancer.

L’objectif principal du GENIUS ACT est d’accroĂźtre la confiance des consommateurs dans le domaine de la cryptomonnaie. Son adoption arrive Ă  point nommĂ© pour Trump qui avait promis Ă  plusieurs reprises de faire des États-Unis la capitale mondiale des cryptomonnaies, explique coinspeaker.com.

Le vote du GENIUS ACT vient en quelque sorte rĂ©compenser le locataire de la Maison Blanche qui avait bĂ©nĂ©ficiĂ© des sommes astronomiques pour l’aider Trump Ă  remporter les Ă©lections de 2024.

De ce point de vue, il y a des craintes que certaines dispositions de la loi GENIUS ne soient pas respectĂ©es. En effet, l’une de ces dispositions « interdit aux membres du CongrĂšs et Ă  leurs familles de tirer profit des stablecoins. Or, cette interdiction ne s’étend pas au prĂ©sident et Ă  sa famille Â». 

D’ailleurs, « Ă  l’heure actuelle, Donald Trump bĂątit un empire cryptographique depuis la Maison Blanche. Sa famille dĂ©tient une participation importante dans World Liberty Financial. C’est un projet cryptographique qui a lancĂ© son propre stablecoin au dĂ©but de l’annĂ©e. La crypto a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un fonds d’investissement initial des Émirats arabes unis Â».

Deux autres projets de loi ont Ă©tĂ© adoptĂ©s par la Chambre des reprĂ©sentants jeudi 17 courant, en l’occurrence le CLARITY Act et le Anti-CBDC. Leur objectif essentiel est d’aider l’industrie de la cryptomonnaie.

« L’un crĂ©e une nouvelle structure de marchĂ© pour la cryptomonnaie. L’autre interdit Ă  la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale d’émettre une nouvelle monnaie numĂ©rique. Les deux mesures sont dĂ©sormais transmises au SĂ©nat Â».

Maintenant, que feront les autres pays pour ĂȘtre dans le train du dĂ©veloppement de la cryptomonnaie ?

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Japon – Elections: le PLD et Komeito perdent le SĂ©nat

Lors des Ă©lections sĂ©natoriales du dimanche 20 juillet au Japon, la coalition gouvernementale du Premier ministre Shigeru Ishiba – composĂ©e du Parti libĂ©ral-dĂ©mocrate (PLD, droite conservatrice) et de son alliĂ© centriste Komeito – a perdu sa majoritĂ© absolue Ă  la chambre haute du Parlement (SĂ©nat).

Selon nos confrĂšres de RFI, « aprĂšs avoir dĂ©jĂ  perdu le contrĂŽle de la chambre basse en octobre 2024, la coalition est crĂ©ditĂ©e de 41 siĂšges selon des projections des mĂ©dias, loin des 50 nĂ©cessaires pour maintenir sa majoritĂ©. Un revers sur fond de forte inflation et de poussĂ©e du parti anti-immigration Sanseito Â».

A l’inverse, le parti populiste anti-immigration, Sanseito, a rĂ©alisĂ© une percĂ©e spectaculaire lors de ces Ă©lections sĂ©natoriales qui concernaient le renouvellement 125 des 248 siĂšges de la chambre haute. En effet, le Sanseito – Le Japon d’abord Â» -, qui ne comptait jusque-lĂ  que deux siĂšges, en a remportĂ© entre 10 et 22, selon les projections des mĂ©dias nippons. Cependant, loin de pouvoir gouverner.

Il s’agit donc d’un revers historique pour la coalition gouvernementale du Premier ministre Shigeru Ishiba, qui ne serait crĂ©ditĂ© que de 41 siĂšges, loin des 50 nĂ©cessaires pour conserver la majoritĂ© absolue. « DĂ©jĂ  minoritaire Ă  la chambre basse depuis les Ă©lections anticipĂ©es de l’automne 2024, le gouvernement perd ainsi le contrĂŽle des deux chambres du Parlement ». Et c’est une situation inĂ©dite depuis la Seconde Guerre mondiale, comme l’avait prĂ©venu, quelques jours avant l’élection, Toru Yoshida, Pr de sciences politiques Ă  l’UniversitĂ© Doshisha.

Causes

Certains analystes expliquent cette dĂ©faite par le refus du PLD de baisser les impĂŽts pour lutter contre l’inflation, baisse pourtant rĂ©clamĂ©e par de nombreux mĂ©nages japonais.

Ainsi, « l’échec du PLD et de Komeito, au pouvoir presque sans interruption depuis 1955, s’explique par une conjoncture Ă©conomique : inflation persistante (+3,3 % en juin hors produits frais), flambĂ©e des prix du riz et tension commerciale avec les États-Unis. Les ventes automobiles vers ce pays ont chutĂ© d’un quart en raison de surtaxes imposĂ©es par Washington, qui menace d’étendre ces droits de douane Ă  25 % au 1er aoĂ»t Â», Ă©crit TFI.

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Sahel: attention, la distribution de l’eau sera perturbĂ©e ce dimanche

La SociĂ©tĂ© nationale d’exploitation et de distribution des eaux (SONEDE) annonce la perturbation de la distribution de l’eau potable dans plusieurs zones du Sahel, dans la soirĂ©e de ce dimanche 20 juillet 2025.

La SONEDE explique cette perturbation par une coupure de courant survenue Ă  la station de surpression SS3 de Boumerdes, dans la rĂ©gion de Bembla, intervenue entre 1h29 et 2h39 du matin. Du coup, cette panne Ă©lectrique a impactĂ© le fonctionnement normal du systĂšme de pompage et de distribution de l’eau.

Voici les zones concernĂ©es par cette interruption de la distribution de l’eau potable :

  • Les hauteurs des villes de Salakta et Ksour Essef (gouvernorat de Mahdia)

  • Les hauteurs de Oued BĂ©ja, Sakiet El Khadem et de la ville de Sidi Alouane (gouvernorat de Mahdia)

  • Les hauteurs de la ville de Mahdia

  • Les hauteurs de la ville de Ksar Hellal

  • Les hauteurs de la ville de El Moknine

  • Les hauteurs de la ville de Jemmel

La Sonede assure que le rĂ©tablissement du service est en cours et que ses Ă©quipes techniques Ɠuvrent Ă  rĂ©tablir une distribution normale dans les meilleurs dĂ©lais.

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Arabie saoudite : DécÚs du prince Walid ben Khaled, aprÚs 20 ans dans le coma

SurnommĂ© “le prince endormi”, le prince saoudien Walid ben Khaled ben Talal Al Saoud, neveu de l’actuel souverain Salmane, est dĂ©cĂ©dĂ© dans la nuit de samedi 19 juillet aprĂšs avoir passĂ© vingt ans dans le coma, annonce la cour royale saoudienne.

En effet, il Ă©tait plongĂ© dans cet Ă©tat comateux depuis 2005 Ă  la suite d’un grave accident de la route survenu Ă  Londres alors qu’il poursuivait ses Ă©tudes dans une acadĂ©mie militaire. On se rappelle que son cas avait profondĂ©ment Ă©mu l’opinion publique aussi bien en Arabie saoudite que dans plusieurs autres Etats arabes.

Son dĂ©cĂšs marque la fin d’un long et poignant combat silencieux contre la fatalitĂ©. Car, comme l’écrit un site tunisien, « la famille de Walid ben Khaled avait toujours refusĂ© de dĂ©brancher les appareils, car elle espĂ©rait un miracle, et partageait rĂ©guliĂšrement des nouvelles de son Ă©tat, suscitant compassion et priĂšres sur les rĂ©seaux sociaux Â».

Paix Ă  son Ăąme.

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