Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

BM – Chine : consommation, un rôle clé dans la croissance économique

Selon un rapport de la Banque mondiale publié le 16 juin à Pékin, libérer la dynamique de consommation sur le marché contribuera à soutenir la croissance économique en Chine.

La mise en œuvre de politiques appropriées par Pékin contribue à augmenter la consommation en Chine, un exemple typique étant l’augmentation des ventes d’appareils électroménagers dans les grandes villes. L’économie maintenant sa dynamique de croissance début 2025, selon les données du même rapport.

« La consommation en Chine des ménages sera importante pour soutenir la croissance économique, compte tenu des défis économiques tant au niveau national qu’international ». C’est ce qu’a déclaré Mara Warwick, directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Chine, la Mongolie et la Corée.

En outre, elle estime que le renforcement du filet de sécurité sociale, notamment pour les immigrants et les travailleurs temporaires, pourrait encourager une augmentation des dépenses de consommation. Et ce, en améliorant la sécurité financière et en réduisant le besoin d’épargne de précaution.

L’article BM – Chine : consommation, un rôle clé dans la croissance économique est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Banque mondiale : la croissance mondiale ralentira à 2,3 % en 2025, un plus bas hors récession

L’intensification des tensions commerciales et l’incertitude entourant les politiques publiques devraient faire chuter la croissance mondiale, cette année, à son rythme le plus faible depuis 2008 (à l’exception des récessions caractérisées). Les turbulences récentes ont entraîné une révision à la baisse des prévisions de croissance pour près de 70 % des économies du monde, toutes régions et catégories de revenu confondues, indique le dernier rapport de la Banque mondiale, rendu public, mardi.

Les perspectives économiques mondiales prévoient que la croissance ralentira à 2,3 % en 2025, soit une performance inférieure de près d’un demi-point de pourcentage à celle qui avait été projetée au début de l’année. Elles n’anticipent pas de récession mondiale.

Néanmoins, si les prévisions pour les deux prochaines années se matérialisent, la croissance mondiale moyenne au cours des sept premières années des années 2020 sera la plus lente de toutes les décennies depuis les années 1960.

“En dehors de l’Asie, le monde en développement entre de plus en plus dans une ère de stagnation, alerte Indermit Gill, économiste en chef et premier vice-président du Groupe de la Banque mondiale pour l’Économie du développement. Cette menace plane depuis plus d’une décennie maintenant.

La croissance dans les économies en développement a progressivement marqué le pas depuis trente ans, pour passer de 6 % par an dans les années 2000 à 5 % dans les années 2010, avant de tomber à moins de 4 % dans les années 2020. Cette évolution suit la trajectoire de la croissance du commerce mondial, qui a baissé de 5 % en moyenne dans les années 2000 à environ 4,5 % dans les années 2010, puis chuté à moins de 3 % dans les années 2020. La croissance des investissements s’est également tassée, tandis que la dette a atteint des niveaux record”.

La croissance devrait ralentir dans près de 60% des économies en développement cette année, pour s’établir en moyenne à 3,8 % en 2025 avant de remonter légèrement à 3,9 % en moyenne en 2026 et 2027. Des taux inférieurs de plus d’un point de pourcentage à la moyenne enregistrée dans les années 2010. Les pays à faible revenu devraient afficher une croissance de 5,3 % cette année, soit 0,4 point de pourcentage de moins que le taux projeté au début de 2025. Le relèvement des droits de douane et le resserrement des marchés du travail engendrent également des pressions inflationnistes : selon les projections, l’inflation mondiale se situera à 2,9 % en moyenne en 2025, soit un taux qui reste supérieur aux niveaux d’avant la pandémie.

Le ralentissement de la croissance va entraver la capacité des pays en développement à stimuler la création d’emplois, réduire l’extrême pauvreté et combler le fossé qui les sépare des niveaux de revenu par habitant des économies avancées. La croissance du revenu par habitant dans les économies en développement devrait s’établir à 2,9 % en 2025, soit 1,1 point de pourcentage de moins que la moyenne enregistrée entre 2000 et 2019. En supposant que les économies en développement (hors Chine) soient en mesure de maintenir une croissance du PIB de 4 % (ce qui correspond aux projections pour 2027), il leur faudrait environ deux décennies pour retrouver leur trajectoire d’avant la pandémie.

La croissance mondiale pourrait rebondir plus rapidement que prévu si les grandes économies parviennent à atténuer les tensions commerciales, ce qui réduirait l’incertitude politique générale et la volatilité financière. Selon le rapport, si les différends commerciaux actuels étaient résolus par des accords qui réduisent de moitié les droits de douane par rapport à leur niveau de la fin du mois de mai, la croissance mondiale gagnerait 0,2 point de pourcentage de plus en moyenne sur la période 2025-2026.

Alors qu’elles sont confrontées à une multiplication des obstacles aux échanges, les économies en développement devraient privilégier une plus grande libéralisation en nouant des partenariats commerciaux et d’investissement stratégiques avec d’autres économies et en diversifiant leurs échanges, notamment dans le cadre d’accords régionaux. Compte tenu des ressources publiques limitées et des besoins croissants de développement, les décideurs devraient s’attacher à mobiliser les recettes intérieures, donner la priorité aux dépenses en faveur des ménages les plus vulnérables et renforcer les cadres budgétaires.

Enfin, pour accélérer la croissance économique, les pays devront améliorer le climat des affaires et promouvoir l’emploi productif en dotant les travailleurs des compétences nécessaires et en créant les conditions d’une rencontre efficace entre travailleurs et entreprises sur le marché du travail. Une collaboration mondiale sera cruciale pour soutenir les économies en développement les plus vulnérables, notamment sous la forme d’interventions multilatérales, de financements concessionnels et, pour les pays en proie à des conflits, d’une aide et d’un soutien d’urgence.

 

L’article Banque mondiale : la croissance mondiale ralentira à 2,3 % en 2025, un plus bas hors récession est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : la Banque mondiale prévoit une croissance modérée de 1,9 % en 2025

La croissance en Tunisie devrait s’établir à 1,9 % en 2025, 1,6 % en 2026 et 1,7 % en 2027, d’après le dernier rapport de la Banque mondiale sur “Les Perspectives économiques mondiales” publié hier mardi.

Pour rappel, l’économie tunisienne a enregistré une croissance de 1,4% au cours de l’année 2024.

Les nouvelles prévisions de la Banque mondiale se basent sur l’hypothèse d’une amélioration des conditions météorologiques permettant une reprise de la production agricole.

Pour 2025 et 2026, les prévisions de la BM restent inchangées par rapport à celles publiées en avril 2025 dans le cadre du rapport intitulé “Changer de vitesse : le secteur privé comme moteur de la croissance dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord”.

Toutefois ces prévisions sont en baisse de 0,3 % pour 2025 et de 0,7% pour 2026 par rapport aux prévisions de janvier 2025.

L’article Tunisie : la Banque mondiale prévoit une croissance modérée de 1,9 % en 2025 est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : La Banque mondiale prévoit une croissance modérée à 1,9 % en 2025

L’économie tunisienne devrait enregistrer une croissance modeste de 1,9 % en 2025, avant de ralentir légèrement à 1,6 % en 2026, puis de se stabiliser à 1,7 % en 2027, selon les prévisions actualisées de la Banque mondiale, publiées mardi dans son rapport semestriel sur les Perspectives économiques mondiales.

Ces projections tablent sur une amélioration des conditions climatiques, qui favoriserait une reprise progressive de la production agricole, secteur clé pour l’économie du pays.

À titre de comparaison, la croissance enregistrée en 2024 s’est établie à 1,4 %, confirmant le rythme lent de reprise économique en Tunisie.

Les estimations pour 2025 et 2026 restent inchangées par rapport au rapport d’avril 2025 intitulé Changer de vitesse, qui analysait le rôle du secteur privé comme moteur de croissance dans la région MENA.

En revanche, elles marquent une révision à la baisse par rapport aux projections de janvier 2025, avec un recul de 0,3 point pour 2025 et de 0,7 point pour 2026.

La Banque mondiale souligne que ces niveaux de croissance demeurent insuffisants pour répondre aux défis économiques et sociaux du pays, notamment en matière d’emploi et de finances publiques.

L’article Tunisie : La Banque mondiale prévoit une croissance modérée à 1,9 % en 2025 est apparu en premier sur webdo.

❌