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Tennis – WTA 500 de Berlin (Double dames): La paire Jabeur-Badosa déclare forfait

La Tunisienne Ons Jabeur a déclaré forfait pour les demi-finales du double dames du tournoi WTA 500 de Berlin (sur gazon), en raison de la blessure contractée par sa coéquipière espagnole Paula Badosa avant le début du match.

La paire Jabeur-Badosa devait affronter ce samedi la paire italienne Sara Errani-Jasmine Paolini.

Jabeur (61e mondiale) a également quitté, vendredi le tableau du simple après sa défaite devant la Tchèque Marketa Vondrousova (164e) 0-2 (4-6, 1-6).

Greffes hépatiques: un nouveau test sanguin pourrait réduire le risque de rejet

Des chercheurs ont développé un test sanguin expérimental qui pourrait aider les chirurgiens à détecter et identifier précocement les problèmes dans un foie nouvellement transplanté.

Il est courant que les organes transplantés et les tissus environnants soient endommagés lors de l’opération de transplantation. Les signes de ces problèmes apparaissent souvent plus tard dans les analyses sanguines de routine, mais localiser précisément les dommages nécessite fréquemment des examens d’imagerie coûteux et des biopsies chirurgicales.

Le nouveau test se base sur la détection des fragments d’ADN libérés par les cellules mourantes dans le sang. Les chercheurs ont découvert que les marqueurs chimiques présents sur ces fragments peuvent être utilisés pour identifier le type de cellule d’origine et sa localisation précise.

Le Dr Alexander Krohmer, chef de l’équipe de recherche à l’hôpital MedStar de l’Université de Georgetown à Washington, D.C., a déclaré que si la partie affectée du foie, comme les voies biliaires ou les vaisseaux sanguins, peut être identifiée, « il est alors possible d’offrir une approche thérapeutique plus appropriée au patient et aboutir à de meilleurs soins ».

Il a ajouté qu’en plus d’être plus rapide et moins invasif qu’une biopsie traditionnelle, le test sanguin pourrait également être plus précis, car les biopsies ne prélèvent des échantillons que sur certaines parties du foie et peuvent manquer l’emplacement du problème.

L’Université de Georgetown a déposé des demandes de brevet pour cette technologie, et l’équipe de recherche cherche actuellement des partenaires pour commercialiser le test.

Monastir: Le ministère de l’Agriculture met en garde contre la consommation de poissons d’origine inconnue

Le Ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche a lancé un appel samedi à tous les pêcheurs et résidents du gouvernorat de Monastir, les exhortant à éviter la pêche, la consommation et la commercialisation de poissons morts ou d’origine inconnue. Cette mise en garde concerne spécifiquement les poissons vendus en dehors des circuits de distribution officiels et non soumis au contrôle vétérinaire. Cette initiative fait suite à l’observation d’une prolifération d’algues rouges (« marée rouge ») sur les côtes du gouvernorat de Monastir, s’étendant de Khniss à Teboulba, et à l’enregistrement de cas de mortalité de poissons. Dans ce contexte, le ministère a également encouragé les citoyens à signaler aux autorités régionales toute activité suspecte de ce type. Il a par ailleurs indiqué qu’il fournirait davantage de détails sur cette situation une fois les analyses et tests nécessaires effectués.

Beach hand – Championnat du monde U17 : la Tunisie éliminée en quarts de finale par la Hongrie

La sélection tunisienne masculine de beach handball a été éliminée par son homologue hongroise 0-2 (21-23, 12-19), lors des quarts de finale du Championnat du monde U17, disputés samedi à Hammamet.

Outre la Hongrie, les autres demi-finalistes sont l’Allemagne, le Brésil et l’Espagne.

Quarts de finale :

Allemagne – Argentine 2-0 (23-22, 17-16)

Brésil – Oman 2-0 (27-22, 26-24)

Tunisie – Hongrie 0-2 (21-23, 12-19)

Espagne – Thailande 2-0 (28-13, 21-18)

Demi-finales :

16h50 : Brésil – Espagne

18h30 : Allemagne – Hongrie

Pour une consommation responsable: seulement 13% des tunisiens engagés

Seulement 13% de Tunisiens sont réellement engagés dans la consommation responsable et font tout leur possible pour réduire l’impact de leur consommation, a fait ressortir le « Baromètre de la consommation responsable 2025 » présenté, samedi à Tunis, par le Laboratoire de l’Economie Sociale et Solidaire (Lab’ess), un incubateur tunisien de projets à impact social et environnemental.

Soutenu par Savoirs éco, un projet financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Expertise France, ce baromètre a été élaboré grâce à une étude quantitative réalisée, du 17 au 21 janvier 2025, auprès d’un échantillon constitué de 907 personnes à travers un questionnaire réalisé en face à face.

L’objectif est d’avoir la perception du consommateur tunisien sur la consommation responsable, les freins de changement et les actions à mettre en place pour favoriser la transition vers la consommation responsable, a indiqué Sonya Zaiem, Directrice adjointe au Lab’ess.

Le Baromètre a révélé que 25,4 des tunisiens enquêtés affirment connaitre la définition de la consommation responsable et 81% se mobilisent en faveur de la consommation responsable.

A noter, la consommation responsable suppose une prose de conscience de l’impact (social, économique, sanitaire…) que l’achat peut engendrer.

En effet, les achats responsables regroupent trois catégories d’achats. Il s’agit de l’achat vert (recyclé, recyclable, biodégradable et qui consomme moins d’énergie…), l’achat solidaire (fabriqué par des associations d’insertion professionnelle, fabriqué par des personnes en situation d’handicap et fabriqué par des artisans et des agriculteurs locaux) et l’achat équitable, à savoir qui est issu du commerce équitable et de l’agriculture raisonnée.

Toutefois 19% des interrogés sont indifférents et indiquent qu’ils n’ont spécifiquement pas changé leurs habitudes de consommation.

L’étude a fait ressortir également que bien que la conscience collective progresse et que les comportements évoluent peu à peu, les freins de la transformation du comportement de consommation demeurent réels.

En fait, 47% des interrogés indiquent qu’ils ont le sentiment que la consommation responsable coûte trop chère, 22% trouvent qu’il n’y a pas assez de produits responsables chez les commerçants et dans les supermarchés, 43% ont le sentiment que cela ne sert à rien de faire des efforts puisque la majorité des gens ne veulent pas changer leurs habitudes et 42% disent qu’ils n’ont pas envie de renoncer à des plaisirs.

L’enquête a démontré aussi que 12% des enquêtés ont du mal à résister aux incitations commerciales.

Intervenant lors de la présentation du baromètre, Yousser Hamza, Consultante en agro-industrie, a mis l’accent sur le coût, des soins de santé, engendré par la consommation des produits transformés et ceux bourrés en sucre et sel, soulignant l’importance du rôle des industriels qui doivent faire des efforts et changer de leurs politiques à l’instar de leur rôle de Responsabilité sociétale (RSE).

Elle a évoqué, par ailleurs le retour aux produits de terroir tels que le miel et la bsisa qui sont en train de s’industrialiser, mettant en garde contre ce phénomène qui peut causer l’utilisation excessive d’additifs et de conservateurs.

A noter, l’étude a fait ressortir que 79% des tunisiens interrogés demandent des preuves d’engagement pour croire aux engagements responsables des marques. En fait 35% des enquêtés n’y croient pas à la consommation responsable et indiquent qu’il s’agit d’une technique de vendre plus et 44% demandent des preuves à travers entre autres les labels.

Un Souk responsable a été tenu au siège de Lab’ess exposant des produits alimentaires de terroirs, des textiles, des accessoires et des objets décoratifs, et ce, pour favoriser des alternatives concrètes à la consommation classique.

Promouvoir l’emploi des jeunes en Tunisie: lancement du projet « Tunisie professionnelle »

La Coopération Italienne et l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI) ont signé, hier vendredi, à Tunis un nouvel accord de financement pour le lancement du projet « Tunisie Professionnelle – Renforcer l’emploi en Tunisie par une formation professionnelle dynamique ».

Selon un communiqué publié sur la page officielle d’ONUDI Tunisie, l’accord a été signé par Alessandro Prunas, ambassadeur d’Italie en Tunisie, et Lassaad Ben Hassine, Représentant de l’ONUDI en Tunisie, et en présence de Isabella Lucaferri, Directrice de l’agence italienne de coopération (Agenzia Italiana per la Cooperazione allo Sviluppo – AICS) et des représentants des ministères de l’Economie et de l’Emploi, lors d’une cérémonie organisée au siège régional de l’AICS à Tunis.

D’un montant total de 6,5 millions d’euros, financé entièrement par le Gouvernement italien, ce projet de trois ans vise à améliorer l’employabilité des jeunes en Tunisie à travers la modernisation et le développement du système national de formation professionnelle.

Mis en œuvre en étroite collaboration avec le ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, ce projet mettra l’accent sur l’amélioration de la qualité, de l’accessibilité et de la pertinence des programmes de formation professionnelle, en particulier pour les jeunes et les femmes.

Il soutiendra la modernisation des centres de formation, l’introduction de méthodes pédagogiques innovantes et le renforcement des partenariats entre les institutions publiques et le secteur privé.

Ce nouvel accord entre la Coopération italienne et l’ONUDI s’inscrit dans la continuité d’un partenariat de longue date. En ligne avec la Vision 2035 de la Tunisie et ses priorités nationales, il représente un investissement stratégique dans le capital humain du pays et son développement à long terme, lit-on de même source.

« Tunisie professionnelle » réaffirme également l’engagement commun des deux partenaires à produire un impact concret, en cohérence avec les Objectifs de Développement Durable — notamment l’ODD 4 (Éducation de qualité), l’ODD 8 (Travail décent et croissance économique) et l’ODD 9 (Industrie, innovation et infrastructure), ajoute le communiqué.

S’exprimant à cette occasion, l’ambassadeur italien a souligné l’engagement de son pays à soutenir le secteur de la formation professionnelle en Tunisie, dans le cadre d’une coopération alignée avec le Plan Mattei pour l’Afrique, la Vision Tunisie 2035, et les stratégies nationales en matière d’emploi, d’inclusion des jeunes et de développement économique.

Il a mis en avant l’importance de cette initiative pour offrir des opportunités réelles et durables à la jeunesse tunisienne et pour favoriser la création d’une main-d’œuvre qualifiée.

De son côté, le représentant de l’ONUDI a indiqué que le projet incarne un exemple de coopération tripartite entre l’Italie, la Tunisie et l’organisation onusienne. Il a ajouté qu’au-delà de son cadre financier, ce programme constitue un levier structurel pour transformer le système de formation professionnelle en un véritable vecteur d’insertion socio-économique, particulièrement pour les jeunes, les femmes et les populations vulnérables dans les régions les moins favorisées.

L’ANETI étend son service d’inscription à distance à 41 bureaux d’emploi

Le réseau des bureaux d’emploi et de travail indépendant qui utilisent la plateforme d’inscription à distance s’est étendu, atteignant désormais 41 bureaux répartis sur les différentes wilayas (gouvernorats) de la République. C’est ce qu’a annoncé l’Agence Nationale pour l’Emploi et le Travail Indépendant (ANETI) sur son site internet.

Cette expansion, selon l’Agence, fait suite à l’intégration de neuf nouveaux bureaux le 16 juin dernier à la plateforme d’inscription à distance. Cette démarche s’inscrit dans le cadre du projet de transformation numérique mis en œuvre par l’Agence pour améliorer les services offerts aux demandeurs d’emploi et aux entreprises, et s’inscrit dans une politique de généralisation de la plateforme numérique.

Les neuf nouveaux bureaux concernent : El Hamma et Mareth (gouvernorat de Gabès), Tataouine, Médenine, Ben Guerdane (gouvernorat de Médenine), Kébili, Djerba Houmt Souk et Djerba Midoun (gouvernorat de Médenine), et Bab Bahr (Tunis Capitale).

Le projet de généralisation de la plateforme numérique, financé par la Banque Mondiale et l’Union Européenne, s’inscrit dans une réforme globale adoptée par l’Agence à l’horizon 2030. Outre la numérisation, cette réforme comprend la restructuration des services pour les demandeurs d’emploi, le développement d’outils d’accompagnement à l’entrepreneuriat, et la création de services destinés aux entreprises. L’objectif est de renforcer la capacité de l’Agence à s’adapter aux évolutions du marché du travail et à assurer une interaction plus efficace entre l’offre et la demande.

Le projet a traversé plusieurs étapes depuis son lancement. La première phase expérimentale a inclus seulement six bureaux : El Omrane (Tunis Capitale), Le Kef, Gafsa, Gabès, Hammam Sousse (Sousse), et Fouchana (Ben Arous). Il s’est ensuite étendu le 10 avril 2025 pour inclure 14 nouveaux bureaux, puis cinq bureaux supplémentaires le 8 mai 2025, et sept autres bureaux le 26 mai 2025, pour enfin arriver aux neuf derniers bureaux le 16 juin dernier.

Environnement: lancement d’un concours national pour encourager les startups à vocation écologique et climatique

Le ministère de l’Environnement, en partenariat avec le ministère de l’Économie et de la Planification et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), a lancé un concours national visant à encourager les initiatives de jeunes et les startups à caractère climatique dans le domaine de l’économie verte.

Ce concours, organisé avec le soutien du Canada dans le cadre du projet « Économie verte et autonomisation économique des femmes », vise également à soutenir des projets climatiques innovants, réalisables et à fort impact. Il cherche aussi à renforcer le rôle des jeunes et des startups dans la transition vers un développement durable, inclusif et résilient, selon un communiqué publié samedi par le ministère.

Le concours, dont la date limite de soumission des candidatures est fixée au 20 juillet 2025, s’adresse à toute personne ayant un projet ou une idée de projet innovante dans le domaine du climat et de l’économie verte, avec un impact climatique et/ou environnemental clair, dans l’une des régions couvertes par le projet « Économie verte et autonomisation économique des femmes » : Kairouan, Gabès, Gafsa, Médenine, Kébili, Tozeur et Tataouine.

Deux lauréats nationaux seront sélectionnés et recevront un soutien financier pour l’achat d’équipements ou de services essentiels au développement de leur projet. Ils bénéficieront également d’un accompagnement spécialisé et d’une mise en relation avec des structures de soutien (incubateurs, programmes publics ou partenaires techniques). Sept lauréats régionaux (un par gouvernorat) bénéficieront quant à eux d’un accompagnement technique individualisé pour élaborer un plan d’investissement et un plan d’action, avec une orientation vers les mécanismes de soutien public et de financement disponibles aux niveaux national et local.

Le ministère a précisé que les secteurs concernés par le concours incluent les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, l’agriculture durable et adaptée, la gestion intégrée des ressources en eau, la valorisation des déchets, l’urbanisme durable, et les technologies propres et vertes, entre autres.

Mohsen Trabelsi élu nouveau président du Club Africain

L’assemblée générale élective du Club Africain, qui s’est tenue ce samedi dans la capitale, a abouti à l’élection de Mohsen Trabelsi comme nouveau président du club. Il a obtenu 92,28 % des voix, soit 370 voix sur 401. Il est à noter qu’une seule liste s’était présentée à cette assemblée générale élective du Club Africain, et sa composition était la suivante : Mohsen Trabelsi : Président Mehdi Milad : Vice-président Hajer Bakkar : Secrétaire générale et responsable de la supervision des catégories féminines Hichem Mannaï : Trésorier Sami Al-Kadhi : Membre Elyes Naji : Membre Farid Khamakham : Membre

Hôpitaux : plus de 900 opérations de la cataracte réalisées aujourd’hui au profit des démunis

Aujourd’hui, samedi, des équipes composées de cadres médicaux et paramédicaux procèdent gratuitement à des opérations chirurgicales de la cataracte au profit de plus de 900 patients issus des catégories vulnérables. Ces interventions ont lieu dans tous les services d’ophtalmologie des établissements hospitaliers publics sur l’ensemble du territoire national.

Le médecin Kaouthar Nahdi, directrice de l’unité de coordination des activités des directions régionales au ministère de la Santé, a confirmé à Mosaïque qu’un certain nombre de cliniques privées ont rejoint cette initiative lancée par le ministère de la Santé. Elle a ajouté que le ministère a fourni les équipements médicaux nécessaires pour réaliser un millier d’opérations aujourd’hui.

À Tataouine, le Directeur Général de la Santé, Abderrazak Bouzouita, a confirmé à Mosaïque, en marge de sa supervision de la Journée Nationale de la Santé Oculaire, que cette initiative sera suivie par d’autres dans la période à venir, en coordination avec le secteur privé et la société civile.

De son côté, la Directrice de l’Hôpital Régional de Tataouine, Nadra Jelidi, a précisé que la campagne avait débuté à 7h du matin. Toutes les conditions nécessaires ont été mises en place pour l’équipe médicale et paramédicale, et 18 patients à faible revenu bénéficieront de ces interventions.

Elle a ajouté que l’hôpital a connu une évolution significative au niveau du nombre de médecins spécialistes et qu’il est désormais en mesure de fournir tous les services médicaux requis, selon les informations rapportées par le correspondant de Mosaïque à Tataouine, Habib Chaabani.

Classement QS mondial des universités 2026 : l’Université de Tunis El Manar progresse de 40 places

L’Université de Tunis El Manar a progressé de 40 places dans le classement mondial des universités QS pour l’année 2026. Elle se positionne désormais parmi les 731 meilleures universités au monde (sur 1500 universités), selon l’annonce de l’organisation britannique Quacquarelli Symonds, spécialisée dans l’évaluation des établissements d’enseignement supérieur.

L’université a affiché une performance remarquable sur plusieurs indicateurs clés. Elle se classe notamment 259e mondiale en termes d’accès au marché du travail, ce qui témoigne de la réputation croissante de ses diplômés. L’Université de Tunis El Manar figure également parmi les 300 meilleures universités mondiales pour son réseau international de recherche scientifique, signe de l’expansion de ses partenariats de recherche et de sa collaboration avec des institutions académiques internationales.

Il est à noter que le classement QS 2026 a évalué 8467 établissements d’enseignement supérieur dans 106 pays. Il s’appuie sur plusieurs critères, tels que la réputation académique, l’ouverture internationale, le nombre de citations scientifiques, le degré de reconnaissance par les employeurs, ainsi que l’indice de durabilité.

Selon ce classement, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) aux États-Unis occupe la première place mondiale, suivi par l’Imperial College London (Royaume-Uni) en deuxième position. Viennent ensuite l’Université de Stanford (États-Unis) à la troisième place, l’Université d’Oxford (Royaume-Uni) à la quatrième, et l’Université Harvard (États-Unis) à la cinquième.

L’huile d’olive bio de Zarzis conquiert les marchés américain et français

L’huile d’olive biologique tunisienne, sous la marque « Ziane », une marque locale authentique d’une huilerie biologique basée à Zarzis, dans le gouvernorat de Médenine, a réussi à pénétrer les marchés américain et français.

L’huilerie El Miladi, propriétaire de la marque, a été reconnue comme la meilleure huilerie pour la production d’huile biologique au niveau national. En 2024, elle a remporté 17 médailles lors de compétitions mondiales de production d’huile d’olive biologique.

Farah Daïem, responsable de la chaîne de production de l’huilerie, a souligné que le succès de l’huilerie repose sur plusieurs facteurs. Cela inclut ses propres oliveraies biologiques, les tests effectués depuis la récolte pour garantir le respect des normes de qualité, et enfin la dégustation et l’emballage.

L’huilerie possède 432 hectares d’oliveraies biologiques et des équipements dédiés à la production d’huile biologique. Elle dispose également d’un laboratoire pour vérifier les normes de qualité adoptées, d’une salle de dégustation et d’une salle d’exposition des produits.

Farah a précisé que la série de tests en laboratoire est « très stricte » pour se conformer aux normes et spécifications internationales de l’huile biologique, ajoutant que leur production est soumise à un contrôle régulier pour maintenir cette qualité.

Elle a expliqué que l’huilerie produit annuellement 300 tonnes d’huile d’olive, biologique et non biologique. Parmi celles-ci, 20% sont destinées à l’exportation et ont déjà conquis les marchés français, américain et qatari. L’année prochaine, l’huilerie vise à pénétrer les marchés du Golfe et le marché allemand.

Farah a également ajouté que l’huilerie prévoit, d’ici 2026, d’exporter les sous-produits valorisés de l’olive. Après avoir étudié un projet de valorisation de ces sous-produits, l’entreprise cherche à produire des moyens de chauffage et des carburants en séparant et en broyant les noyaux pour remplacer le charbon et être utilisés comme combustible de chauffage. De plus, elle produira des bûches de chauffage à partir de la pâte extraite du pressage des olives, après avoir séparé les noyaux.

Accès gratuit aux musées militaires ce dimanche

Le ministère de la Défense nationale a annoncé, dans un communiqué, que les quatre musées militaires relevant de son autorité ouvriront gratuitement leurs portes au public ce dimanche 22 juin.

Cette décision intervient à l’occasion de la célébration du 69e anniversaire de la création de l’armée nationale, qui coïncide avec le 24 juin de chaque année.

L’initiative vise, selon le ministère, à encourager les citoyens, notamment les enfants et les jeunes, à découvrir les principales étapes de l’histoire militaire nationale à travers les collections de ces musées qui retracent le parcours du soldat tunisien, depuis l’époque carthaginoise jusqu’à l’ère moderne.

Les visiteurs pourront ainsi découvrir les richesses du Musée national militaire à La Manouba, qui conserve plus de 21 000 pièces historiques, parmi lesquelles figurent des équipements militaires, des armes et des uniformes issus de différentes périodes de l’histoire militaire glorieuse de la Tunisie.

Le public pourra également visiter le Musée de la ligne Mareth (gouvernorat de Gabès), situé sur la route de Médenine dans le sud tunisien.

Ce site témoigne des batailles de la Seconde Guerre mondiale sur le sol tunisien, notamment la bataille de Mareth, qui s’est déroulée dans la nuit du 20 au 21 mars 1943 entre l’armée britannique et les forces de l’Axe.

Quant aux visiteurs du Musée de la mémoire commune tuniso-algérienne à Ghardimaou (gouvernorat de Jendouba), ils auront accès à une riche collection d’archives, de photos et de cartes retraçant le soutien de la Tunisie à la révolution algérienne depuis son déclenchement.

Enfin, le Musée maritime de Bizerte permettra à ses visiteurs de découvrir l’histoire de la marine en Tunisie, à travers des maquettes d’unités et d’équipements navals.

21 juin… solstice d’été dans l’hémisphère nord

Aujourd’hui, samedi 21 juin 2025, marque le solstice d’été dans l’hémisphère nord. C’est le jour de l’année où la durée du jour est la plus longue, et celle de la nuit la plus courte.

L’Institut National de la Météorologie a indiqué que le soleil atteindra aujourd’hui, 21 juin, son point culminant à midi, comme à Tunis où son élévation sera d’environ 76,6 degrés.

Quant à l’hémisphère sud, le 21 juin 2025 marque le solstice d’hiver, ce qui signifie que c’est le jour le plus court et la nuit la plus longue de l’année pour cette partie du globe.

Le solstice d’été s’est produit précisément à l’aube ce samedi 21 juin 2025, à 3h42, heure locale.

La Ministre des Finances : « Nous veillons à ce que le projet de loi de finances 2026 soit en harmonie avec le plan de développement 2026-2030 »

La ministre des Finances, Mishket Slama Khaldi, a souligné l’importance d’assurer l’harmonie entre le projet de loi de finances 2026 et le plan de développement 2026-2030.

Lors de la première réunion du Comité des politiques financières pour le plan de développement 2026-2030, qu’elle a présidée hier au siège du ministère des Finances, Mishket Slama Khaldi a insisté sur la nécessité de développer de nouvelles approches pour le financement du budget. Elle a également mis en avant l’importance de concrétiser ces approches dans une vision nouvelle et globale qui reflète la vision et les orientations de l’État.

Selon les informations publiées par le ministère, la ministre des Finances a affirmé que les changements géopolitiques mondiaux exigent l’élaboration de nouvelles idées et d’outils innovants. Ces derniers devraient permettre au pays de résister à ces transformations et de maintenir son équilibre économique et social.

Concernant le Comité des politiques financières pour le plan de développement 2026-2030, Mishket Slama a mis en évidence l’importance des travaux au sein de ce comité. Il s’agit de formuler des propositions visant à renforcer la solidité des finances publiques, à consolider le rôle social et économique de l’État, et à développer les mécanismes de financement de l’économie. Cela inclut notamment la création de dispositifs pour soutenir les petites et moyennes entreprises (PME) et faciliter leur accès aux sources de financement, ainsi que la réouverture des recrutements par l’État en cas de besoin.

Ce comité a donné naissance à cinq sous-comités qui se concentreront sur les équilibres financiers, la politique fiscale, le marché financier, le financement des entreprises, l’assurance et les entreprises publiques.

Il est à noter que la mission principale du Comité des politiques financières pour le plan de développement 2026-2030 est d’évaluer les réalisations de la politique financière pour la période 2021-2025. Il devra également anticiper les évolutions liées aux finances publiques, définir les priorités et les objectifs stratégiques pour la période 2026-2030, et établir un calendrier pour les différentes réalisations prévues pour la période à venir.

L’Iran lance une 18ᵉ vague de représailles contre l’entité sioniste

Le Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a annoncé, dans la nuit de vendredi à samedi, avoir mené la 18 vague de représailles contre l’agression sioniste sur le territoire iranien.

Dans un communiqué, le CGRI a indiqué avoir ciblé des sites militaires et des centres de soutien opérationnel de l’armée de l’entité sioniste, précisant que cette nouvelle vague a « réussi à détruire les objectifs prédéfinis ».

En riposte aux agressions visant son territoire, l’Iran lance des vagues d’attaques de missiles visant des dizaines d’objectifs, dont des centres militaires et des bases aériennes appartenant à l’entité sioniste.

Ciel peu nuageux et températures en hausse

Temps peu nuageux ce samedi sur la plupart des régions. Les températures en légère hausse. Les maximales varieront entre 29° et 34° dans les régions côtières et sur les hauteurs et entre 35° et 39° dans le reste des régions, selon les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM).

Vent de secteur nord au nord et au centre et de secteur est au sud, faible à modéré, relativement fort l’après-midi près des côtes est et au sud. Mer peu agitée.

Djerba-Zarzis en tête des destinations tunisiennes avec 1,3 million de visiteurs

La zone touristique de Djerba-Zarzis, dans le gouvernorat de Médenine, confirme son statut de première destination touristique en Tunisie, concentrant à elle seule un quart des nuitées enregistrées à l’échelle nationale, selon le commissaire régional au tourisme, Hichem Mehouachi.

La région connaît actuellement une dynamique touristique soutenue. Les prévisions pour la saison en cours tablent sur l’accueil de 1,3 million de visiteurs et le traitement de 5 700 vols réguliers et non réguliers à l’aéroport international de Djerba-Zarzis d’ici la fin octobre. Parmi les nouveautés de cette saison figure l’ouverture au marché bosniaque, avec un vol hebdomadaire déjà programmé.

Depuis le début de l’année jusqu’au 31 mai 2025, la région a enregistré une hausse de 19,7 % du nombre de visiteurs et de 15,7 % des nuitées par rapport à la même période de l’année précédente.

Djerba-Zarzis continue d’attirer ses marchés traditionnels, en particulier la France, suivie de l’Allemagne, de la Pologne et du marché local tunisien, sans oublier les marchés algérien, libyen, tchèque et belge.

Le commissariat régional au tourisme multiplie par ailleurs les actions de promotion à travers sa participation à plusieurs événements dans les différentes délégations du gouvernorat, afin de consolider la visibilité de la destination et renforcer sa fréquentation.

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