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Valeo Ben Arous lance un programme éducatif inédit pour sensibiliser les enfants aux enjeux du numérique

Dans le cadre de son engagement en matiÚre de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), Valeo lance une initiative innovante destinée à initier les enfants de 5 à 10 ans aux fondamentaux du numérique, de la logique et de la technologie. Ce programme, inspiré de la pédagogie Montessori, se distingue par une approche entiÚrement sans écran, favorisant les activités manuelles, collaboratives et sensorielles.

Une pédagogie ludique et responsable

Loin des écrans et des interfaces classiques, les ateliers proposés par Valeo visent à développer, dÚs le plus jeune ùge, une compréhension intuitive du monde numérique.

Au programme :

-des jeux de logique pour découvrir les bases du code ;

-des parcours interactifs pour initier à la pensée algorithmique ;

-des dĂ©fis collaboratifs pour stimuler la crĂ©ativitĂ© et l’autonomie ;

En s’appuyant sur des outils concrets, les enfants apprennent Ă  rĂ©soudre des problĂšmes, Ă  raisonner et Ă  travailler en Ă©quipe, tout en dĂ©veloppant leur intelligence Ă©motionnelle.

Former les citoyens numériques de demain

À l’heure de la transition digitale, Valeo entend accompagner les jeunes gĂ©nĂ©rations pour en faire des utilisateurs Ă©clairĂ©s de la technologie, capables de comprendre les mĂ©canismes du numĂ©rique plutĂŽt que d’en ĂȘtre de simples consommateurs. Ce projet Ă©ducatif reflĂšte la volontĂ© du groupe de participer activement Ă  la rĂ©duction des inĂ©galitĂ©s d’accĂšs aux compĂ©tences technologiques.

Une initiative Ă  vocation inclusive

Le programme sera lancĂ© dans un premier temps au profit des enfants des salariĂ©s de Valeo. Il sera ensuite Ă©largi, en collaboration avec des experts pĂ©dagogiques et des partenaires locaux, aux Ă©coliers des zones rurales. L’ambition est claire : dĂ©mocratiser les compĂ©tences numĂ©riques dĂšs l’enfance et encourager un usage raisonnĂ©, Ă©thique et crĂ©atif de la technologie.

Valeo, un acteur engagé pour une mobilité et une société durable

Avec plus de 100 000 collaborateurs Ă  travers le monde et un chiffre d’affaires de prĂšs de 22 milliards d’euros, Valeo est un acteur majeur de l’équipement automobile, reconnu pour ses innovations en matiĂšre d’électrification, de conduite autonome et d’éclairage intelligent. À travers ce programme, le groupe affirme sa volontĂ© d’inscrire sa stratĂ©gie RSE dans une logique d’impact social durable, en cohĂ©rence avec les dĂ©fis technologiques et sociĂ©taux Ă  venir.

 

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Eau, énergie, transport : les grands axes de la future coopération entre la BEI et la Tunisie

La coopĂ©ration future entre la Tunisie et la Banque europĂ©enne d’investissement (BEI) pourrait ĂȘtre axĂ©e sur des projets d’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique, de lutte contre la dĂ©perdition de l’eau potable et d’amĂ©lioration de la mobilitĂ© ferroviaire, a dĂ©clarĂ© le reprĂ©sentant de la BEI en Tunisie, Jean-Luc RevĂ©reault.

Dans une interview Ă  l’agence TAP, il a exprimĂ© la disposition de la banque Ă  financer de tels projets, selon les prioritĂ©s du gouvernement tunisien.

Selon une enquĂȘte de la BEI, 60% des PME sondĂ©es affirment ĂȘtre confrontĂ©es Ă  une concurrence accrue. Que propose la banque pour accompagner ces entreprises dans l’internationalisation ?

Cette enquĂȘte sur les dĂ©fis des PME en Tunisie en 2025, rĂ©alisĂ©e dans le cadre du « Trade and Competitiveness Programme » (TCP), cofinancĂ© par l’Union EuropĂ©enne (UE), avait, en effet, pour objectif de comprendre et d’identifier les obstacles Ă  l’internationalisation des PME tunisiennes.

Cette Ă©tude a montrĂ© que mĂȘme si le financement demeure une prĂ©occupation majeure pour la majoritĂ© des PME tunisiennes, il n’est pour autant, pas le premier obstacle face Ă  leur internationalisation. Le premier obstacle c’est, en effet, le manque de compĂ©titivitĂ© des entreprises tunisiennes face Ă  la concurrence internationale, mais aussi rĂ©gionale.

Le faible degrĂ© de prĂ©paration de ces entreprises Ă  l’entrĂ©e en application de certaines barriĂšres non tarifaires, telles que le mĂ©canisme europĂ©en d’ajustement carbone aux frontiĂšres constitue un dĂ©fi majeur pour les PME tunisiennes.

Partenaire de longue date de la Tunisie, la BEI Ɠuvrera, Ă  la lumiĂšre des rĂ©sultats de cette enquĂȘte, Ă  mettre en place les instruments d’appui nĂ©cessaires pour favoriser l’internationalisation des PME tunisiennes et le verdissement de leurs processus de production et renforcer leur intĂ©gration dans les chaĂźnes de valeur.

Le premier instrument mobilisĂ©, Ă  cette fin, c’est la ligne de crĂ©dit de 170 millions d’euros, destinĂ©e au financement du projet d’Appui Ă  la relance Ă©conomique des PME et des entreprises de taille intermĂ©diaires tunisiennes. Cette ligne va ĂȘtre dĂ©ployĂ©e dans les semaines Ă  venir aprĂšs l’achĂšvement du processus de sĂ©lection des intermĂ©diaires financiers.

Un financement de l’Union europĂ©enne d’un montant de 8 millions d’euros est mobilisĂ© pour accompagner le dĂ©ploiement de cette ligne de crĂ©dit sous forme d’assistance technique, ciblant, Ă  la fois, les partenaires bancaires et les entreprises bĂ©nĂ©ficiaires.

ParallĂšlement, la BEI a mis en place une ligne de garantie de 8 millions d’euros, Ă©galement sur les fonds de l’Union europĂ©enne, auprĂšs de deux banques tunisiennes Ă  savoir la BH Bank et l’UBCI (4 millions d’euros chacune), dans un souci de partage des risques avec les banques locales pour les inciter Ă  appuyer des projets Ă  fort potentiel, mais perçus comme plus risquĂ©s. Il s’agit du premier instrument dĂ©ployĂ© dans le cadre du programme « Trade and Competitiveness Programme Â» (TCP). S’il parvient Ă  produire l’impact escomptĂ©, la ligne de crĂ©dit pourrait ĂȘtre renouvelĂ©e, avec une enveloppe plus importante et en ciblant davantage de banques.

Le deuxiĂšme volet du programme TCP, est celui de l’accompagnement. Les entreprises bĂ©nĂ©ficiaires seront accompagnĂ©es par des consultants mobilisĂ©s par la BEI, pour mieux se prĂ©parer Ă  l’exportation et Ă  l’intĂ©gration dans les chaĂźnes de valeur et ce, dans 3 secteurs porteurs Ă  savoir l’agriculture, le textile et l’automobile. Nous espĂ©rons pouvoir accompagner plusieurs centaines d’entreprises.

Pensez-vous que le climat des affaires en Tunisie est aujourd’hui favorable à l’internationalisation des entreprises ?

Je pense que les structures chargĂ©es de l’investissement sont en train de fournir de l’assistance nĂ©cessaire Ă  ces entreprises pour prospecter de nouveaux marchĂ©s, les banques locales essayent, Ă©galement, d’apporter leur contribution dans la limite de leurs moyens, et nous (partenaires financiers du pays), sommes en train de mobiliser les financements, les garanties et l’assistance nĂ©cessaires Ă  chaque fois que nous sommes sollicitĂ©s.

On pourrait toujours mieux faire, mais je pense qu’indĂ©pendamment de la question de l’internationalisation, l’enjeu est plutĂŽt celui de la libĂ©ralisation du secteur privĂ©. On a toujours l’impression que le parcours d’un chef d’entreprise en Tunisie demeure extrĂȘmement compliquĂ© et soumis Ă  une multitude de contraintes administratives, rĂ©glementaires, fiscales ou autres. La Tunisie gagnerait Ă©normĂ©ment Ă  allĂ©ger et Ă  simplifier ce parcours.

Il est, aussi, nĂ©cessaire de rĂ©duire les difficultĂ©s logistiques et le coĂ»t de l’énergie qui influencent Ă©normĂ©ment, la compĂ©titivitĂ© de l’entreprise tunisienne. Le pays dispose de grandes marges d’amĂ©lioration, Ă  travers le renforcement des infrastructures logistiques et l’investissement dans les Ă©nergies renouvelables et l’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique.

Quel est votre portefeuille de projets en cours en Tunisie ?

Nous sommes trÚs présents dans le secteur de la mobilité et des transports. Quasiment tous les travaux routiers en cours dans le pays sont financés ou cofinancés par la BEI (Projet de la mise en 2X2 voies de la RR27 entre Nabeul et Korba, élargissement de la Route Nationale 13 (GP13) entre Sfax et Kasserine, et la BEI finance, également, le transport urbain avec le RFR et le renouvellement de la flotte de la ligne ferroviaire tunisienne TGM.

Nos projets couvrent, encore, le secteur de l’énergie, dans l’objectif d’appuyer la transition Ă©nergĂ©tique de la Tunisie (renforcement des rĂ©seaux, liaison Ă©lectrique entre la Tunisie et l’Italie qui a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une subvention de plus de 300 millions d’euros de la part de la Commission europĂ©enne, dĂ©veloppement des Ă©nergies renouvelables). Nous avons, Ă©galement, mobilisĂ© les fonds nĂ©cessaires pour Ă©laborer l’étude relative au projet de station de transfert d’énergie par pompage Ă  Tabarka. Lequel vise Ă  amĂ©liorer le stockage d’énergie en Tunisie, en particulier pour faciliter l’intĂ©gration des Ă©nergies renouvelables.

La BEI finance de nombreux projets dans le secteur de l’eau et de l’assainissement Ă  travers le projet d’appui au secteur de l’eau potable conclu avec la SONEDE et le programme d’investissement dans les zones cĂŽtiĂšres et de renforcement des capacitĂ©s de l’ONAS.

Elle travaille, aussi, en Ă©troite collaboration avec la DĂ©lĂ©gation de l’Union europĂ©enne sur l’amĂ©lioration des infrastructures sociales Ă  travers des programmes trĂšs ambitieux de construction d’établissements scolaires dans tous les gouvernorats tunisiens ainsi que de rĂ©novation de quartiers populaires.

Nous aimerions faire davantage dans le secteur de traitement des dĂ©chets solides et de la valorisation des dĂ©chets. A ce propos, un projet pilote a Ă©tĂ© lancĂ© avec les municipalitĂ©s de Sidi Bousaid, la Marsa et Carthage pour le traitement et la valorisation des dĂ©chets mĂ©nagers et j’espĂšre que cette expĂ©rience pourra aboutir Ă  une coopĂ©ration plus large avec l’ANGED.

Qu’en est-il de votre stratĂ©gie de coopĂ©ration future avec la Tunisie?

Notre stratĂ©gie de coopĂ©ration future dĂ©pendra largement des prioritĂ©s de la Tunisie qui seront fixĂ©es dans le cadre de son plan de dĂ©veloppement 2026-2030. Mais il y a certainement des projets qui nous tiennent Ă  cƓur et sur lesquels nous avons dĂ©jĂ  entamĂ© des nĂ©gociations avec les structures tunisiennes concernĂ©es.

Il s’agit en premier lieu d’un projet d’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique. En effet, les Ă©conomies d’énergie associĂ©es Ă  des investissements plus consĂ©quents en Ă©nergies renouvelables pourraient aider le pays Ă  atteindre son autonomie Ă©nergĂ©tique et Ă  attirer des investissements Ă©nergivores tels que les data centers qui connaissent aujourd’hui un grand essor.

Je pense qu’on a souvent tendance Ă  sous-estimer les Ă©conomies qu’on pourrait faire au profit d’investissements plus visibles (production d’énergie renouvelable, dessalement) bien que les Ă©tudes ont montrĂ© qu’économiser les ressources dont on dispose est tout aussi important que d’investir dans de nouvelles ressources.

Nous sommes en discussion avec les autoritĂ©s sur ce projet d’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique et j’espĂšre que ces nĂ©gociations pourront aboutir Ă  un partenariat.

Sur un autre plan, nous discutons avec la SONEDE d’un grand projet visant Ă  limiter la dĂ©perdition de l’eau potable. Ce projet passera, entre autre, par le renouvellement des rĂ©seaux de distribution, l’installation de compteurs intelligents
c’est un projet qui nĂ©cessite des investissements colossaux mais on peut prioriser en commençant par les grandes villes ou par les villes qui disposent de stations de dessalement de l’eau de mer car le dessalement d’eau coĂ»te trĂšs cher et si l’eau dessalĂ©e est perdue dans les rĂ©seaux de distribution, ce sera une double perte.

Les Ă©tudes pour ce projet sont faites et le retour sur investissement est certain et nous espĂ©rons qu’il sera retenu dans le cadre des prioritĂ©s futures du gouvernement tunisien.

La BEI nĂ©gocie Ă©galement un projet de mobilitĂ© ferroviaire avec la SNCFT pour financer la rĂ©habilitation d’un certain nombre de lignes inexploitĂ©es et l’amĂ©lioration des lignes existantes.

Nous sommes aussi disposĂ©s Ă  travailler avec le ministĂšre de la SantĂ© sur un projet de rĂ©habilitation des infrastructures publiques de santé 

Mais tous ces projets, aussi prioritaires et nĂ©cessaires qu’ils soient, ne pourront aboutir que si nous sommes sollicitĂ©s par le gouvernement tunisien pour les financer.

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Tunisie-Bac 2025 : Sfax 1 en tĂȘte, Jendouba ferme la marche avec 43,08 %

Avec un taux de rĂ©ussite gĂ©nĂ©ral de 71,31% Ă  l’examen du baccalaurĂ©at, la dĂ©lĂ©gation rĂ©gionale de l’Éducation de Sfax 1 vient en tĂȘte du classement des dĂ©lĂ©gations rĂ©gionales Ă  travers le pays au niveau des Ă©tablissements de l’enseignement public.

Selon les statistiques publiĂ©es ce jeudi soir par le ministĂšre de l’éducation, la dĂ©lĂ©gation rĂ©gionale de MĂ©denine occupe la deuxiĂšme place avec 68,96 %, suivie de la dĂ©lĂ©gation de Sfax 2 Ă  la troisiĂšme place avec 68,86 %. La quatriĂšme place revient Ă  Sidi Bouzid avec 67,71 %, tandis que Mahdia se classe cinquiĂšme avec 63,69 %.

Les délégations régionales de Sousse, Ariana, Monastir, Tunis 1, Nabeul, Ben Arous et Tataouine arrivent respectivement aux rangs 6 à 12, avec des taux de réussite allant de 62,69 % à 60,42 %.

La délégation de GabÚs est classée 13e avec 58,93 %, suivie de Tunis 2 (14e) avec 57,97 %, et de Tozeur (15e) avec 57,55 %.

La délégation de Kébili arrive 16e avec 56,06 %, suivie de Manouba (17e, 53,96 %), Bizerte (18e, 53,70 %), Siliana (19e, 52,82 %), Kasserine (20e, 50,86 %), et Le Kef (21e, 50,13 %).

Béja se place en 22e position avec 49,96 %, suivie de Gafsa (23e, 46,28 %), Kairouan (24e, 46,28 %), puis Zaghouan (25e) avec 46,15 %, tandis que Jendouba arrive en bas du classement (26e place) avec 43,08 %.

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Wimbledon : Swiatek qualifiĂ©e pour sa premiĂšre finale Ă  Londres, oĂč elle affrontera Anisimova

La Polonaise Iga Swiatek (N.4 mondiale) s’est qualifiĂ©e jeudi pour la premiĂšre finale de sa carriĂšre Ă  Wimbledon, en Ă©crasant la Suissesse Belinda Bencic (35e mondiale) en deux petits sets (6-2, 6-0).

En finale, prĂ©vue samedi, Swiatek affrontera l’AmĂ©ricaine Amanda Anisimova, tombeuse plus tĂŽt de la N.1 mondiale, la Belarusse, Aryna Sabalenka, en trois sets (6-4, 4-6, 6-4).

Davantage Ă  l’aise sur dur et sur terre battue depuis le dĂ©but de sa carriĂšre, Swiatek s’est qualifiĂ©e jeudi pour sa deuxiĂšme finale sur gazon d’affilĂ©e, deux semaines aprĂšs avoir perdu la premiĂšre de sa carriĂšre au WTA 500 de Bad Homburg en Allemagne.

En quĂȘte d’un 23e titre depuis son quatriĂšme sacre Ă  Roland-Garros en juin 2024, la premiĂšre Polonaise de l’ùre Open (inaugurĂ©e en 1968) Ă  atteindre la finale des quatre Grands Chelems a remportĂ© ses cinq premiĂšres finales de tournois majeurs.

Bencic quitte pour sa part Londres avec une deuxiÚme défaite en autant de demi-finales en Grand Chelem.

Elle s’était dĂ©jĂ  hissĂ©e dans le dernier carrĂ© de l’US Open en septembre 2019, quelques mois avant de grimper Ă  la 4e place mondiale, son meilleur classement.

ClassĂ©e 489e en dĂ©but d’annĂ©e, la Suissesse va rĂ©intĂ©grer le top 20 Ă  l’issue de Wimbledon.

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Wimbledon : Anisimova bat la N.1 mondiale Sabalenka et rejoint sa premiĂšre finale Ă  Londres

L’AmĂ©ricaine Amanda Anisimova (12e mondiale) s’est qualifiĂ©e en finale du tournoi de Wimbledon, en s’imposant devant la N.1 mondiale Aryna Sabalenka en trois sets (6-4, 4-6, 6-4), en demi-finale disputĂ©e jeudi Ă  Londres.

En finale, prévue samedi, Anisimova affrontera pour le titre la Polonaise Iga Swiatek (4e) ou la Suissesse Belinda Bencic (35e).

Anisimova disputait sa premiĂšre demi-finale Ă  Wimbledon et sa deuxiĂšme en Grand Chelem, six ans aprĂšs s’ĂȘtre hissĂ©e Ă  seulement 17 ans dans le dernier carrĂ© de Roland-Garros en 2019.

Revenue sur le circuit en janvier 2024 aprĂšs avoir pris une pause de plus de six mois pour se ressourcer mentalement, Anisimova (23 ans) s’est offert sur le Central de Wimbledon sa premiĂšre victoire contre une N.1 mondiale, et sa sixiĂšme contre Sabalenka (pour trois dĂ©faites), la joueuse qu’elle a le plus souvent dominĂ©e sur le circuit.

Plus jeune demi-finaliste amĂ©ricaine Ă  Wimbledon depuis Serena Williams en 2004, Anisimova pourrait devenir samedi la troisiĂšme AmĂ©ricaine en trois Grand Chelem Ă  remporter un tournoi majeur en 2025, aprĂšs Madison Keys Ă  l’Open d’Australie et Coco Gauff Ă  Roland-Garros.

Promise au top 10 pour la premiĂšre fois de sa carriĂšre Ă  l’issue de Wimbledon, Anisimova compte trois titres sur le circuit, dont le prestigieux WTA 1000 de Doha en fĂ©vrier, mais aucun sacre sur gazon.

De son cÎté, la Bélarusse de 27 ans a échoué jeudi pour la troisiÚme fois en demi-finale de Wimbledon, aprÚs avoir déjà calé à ce stade en 2021 et en 2023.

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Tunisie-Bac 2025 : les mathématiques et le sport dominent les taux de réussite en Tunisie

La taux gĂ©nĂ©ral de rĂ©ussite Ă  l’examen du baccalaurĂ©at 2025, pour ses deux sessions (principale et de contrĂŽle), a atteint 52,59 %, aprĂšs la rĂ©ussite de 76 178 Ă©lĂšves parmi un total de 144 858 candidats ayant passĂ© les Ă©preuves Ă©crites des deux sessions.

Le taux de réussite le plus élevé a été enregistré dans la section du sport (88,19 %), suivie à la deuxiÚme place par la section des mathématiques (82,62 %), puis à la troisiÚme place par la section des sciences expérimentales (63,64 %).

La section des sciences de l’informatique est arrivĂ©e quatriĂšme avec un taux de 58,39 %, suivie Ă  la cinquiĂšme place par la section des sciences techniques (57,61 %), puis Ă  la sixiĂšme place par la section de l’économie et de la gestion (42,74 %), tandis que la section des lettres est arrivĂ©e derniĂšre avec un taux de 39,17 %.

Pour rappel, le taux gĂ©nĂ©ral de rĂ©ussite Ă  l’examen du baccalaurĂ©at de l’annĂ©e 2024 (sessions principale et de contrĂŽle) Ă©tait de 55,60 %.

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Tunisie-Bac 2025 : taux de rĂ©ussite de 48,83 % Ă  la session de contrĂŽle, selon le ministĂšre de l’Éducation

Le taux de rĂ©ussite Ă  la session de contrĂŽle de l’examen du baccalaurĂ©at 2025 a atteint 48,83 %, avec la rĂ©ussite de 22 453 Ă©lĂšves sur un total de 45 979 Ă©lĂšves ayant passĂ© les Ă©preuves Ă©crites de cette session, selon les statistiques publiĂ©es par le ministĂšre de l’Éducation, jeudi aprĂšs-midi.

La section des sciences techniques a enregistré le taux de réussite le plus élevé à la session de contrÎle, avec 62,94 %, suivie en deuxiÚme position par la section des sciences expérimentales avec 62,30 %, puis en troisiÚme position par la section du sport avec 61,50 %.

En quatriÚme position, la filiÚre économie et gestion avec un taux de réussite de 47,74 %, suivie en cinquiÚme position par la section mathématiques avec 44,17 %, puis en sixiÚme position la section lettres avec 37,25 %, tandis que la section informatique occupe la derniÚre position avec un taux de 32,90 %.

Quant au nombre d’élĂšves refusĂ©s Ă  la session de contrĂŽle du baccalaurĂ©at 2025, il s’élĂšve Ă  23 526 Ă©lĂšves, soit un taux de 51,17 %, selon les statistiques du ministĂšre de l’Éducation.

Pour rappel, le taux de rĂ©ussite Ă  la session principale de l’examen du baccalaurĂ©at 2025 Ă©tait de 37,08 %, avec 53 721 Ă©lĂšves admis sur un total de 144 863 Ă©lĂšves ayant passĂ© les Ă©preuves Ă©crites de cette session.

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Tunisie : recul de 3 % des exportations de l’habillement Ă  fin mai 2025, malgrĂ© un bond du textile

Les recettes des exportations de la filiĂšre habillement ont rĂ©gressĂ© lĂ©gĂšrement de 3%, Ă  3,1 milliards de dinars, au cours des 5 premiers mois de l’annĂ©e 2025, d’aprĂšs des donnĂ©es publiĂ©es, rĂ©cemment, par le Centre Technique du Textile (Cettex).

Cette baisse est expliquĂ©e par la diminution de l’exportation des vĂȘtements en maille de 10,02%, et des vĂȘtements en chaĂźne et trame de 0,32%.

En revanche, les exportations du textile ont enregistrĂ© une hausse de 30,2%, grĂące Ă  l’accroissement des exportations nationales surtout vers l’AlgĂ©rie (+132,70%) et les Pays Bas (+5,70%).

Evoquant les importations destinĂ©es au marchĂ© local, la Cettex a fait savoir que les importations de tissus et de vĂȘtements ont progressĂ© respectivement de 14,7% et de 5,32%, contre une baisse des importations de fibres ( -7,92%) et de fils (- 0,75%).

Pour rappel, les exportations globales du secteur du textile et de l’habillement ont enregistrĂ© une hausse de 2,61%, pour avoisiner les 4 milliards de dinars, Ă  fin mai 2025, tandis que les importations de la filiĂšre ont augmentĂ© de 5,41%, Ă  3,1 milliards de dinars.

PrĂšs de 87% de l’ensemble de ses exportations sont destinĂ©s au marchĂ© europĂ©en, notamment la France, l’Italie, l’Allemagne, la Hollande, la Belgique, l’Espagne, le Portugal
, ainsi que le Royaume-Uni et les Etats Unis.

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Zaghouan : 17 apiculteurs bĂ©nĂ©ficient d’un appui financier pour dĂ©velopper leurs activitĂ©s

Un programme d’appui au profit de 17 apiculteurs Ă  Zaghouan a Ă©tĂ© lancĂ© par le Commissariat rĂ©gional au dĂ©veloppement agricole et le groupement agricole des apiculteurs.

Une allocation de 8 mille dinars est accordĂ©e Ă   chaque bĂ©nĂ©ficiaire pour l’acquisition de matĂ©riels liĂ©s Ă  l’élevage apicole, a indiquĂ© Ă  l’Agence TAP, Wahid Ferjani, prĂ©sident du groupement agricole des apiculteurs.

Il a ajoutĂ© que ces bĂ©nĂ©ficiaires ont obtenu un certificat de spĂ©cialisation en apiculture Ă  l’issue d’une formation en la matiĂšre qui a durĂ© deux mois.

Par ailleurs, une session de formation en apiculture en faveur de 60 femmes rurales est prĂ©vue dans la rĂ©gion, au cours du dernier trimestre de 2025,  selon le chef du projet de dĂ©veloppement et promotion des filiĂšres agricoles, Mohsen Boumaiza.

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Tunisie : l’Office national des fourrages achĂšte 50 000 tonnes de maĂŻs pour stabiliser le marchĂ©

L’Office national des fourrages (ONF), entitĂ© rĂ©cemment créée pour la rĂ©gulation et la gestion des ressources fourragĂšres nationales, a annoncĂ©, mercredi, l’achat de 50.000 tonnes de maĂŻs fourrager, et ce dans le cadre d’un appel d’offres international annoncĂ© le 8 juillet 2025.

Les quantitĂ©s achetĂ©es de maĂŻs, essentielles pour la production d’aliments pour volailles et ruminants, vient renforcer les stocks de fourrages en Tunisie, durant la pĂ©riode Ă  venir, a indiquĂ© le ministĂšre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la pĂȘche, dans un communiquĂ©.

L’opĂ©ration s’inscrit dans le cadre des dĂ©marches d’ajustement du marchĂ© et de la maitrise des prix, ajoute la mĂȘme source.

L’approvisionnement des Ă©leveurs et des unitĂ©s de production fourragĂšre en ce produit, sera entamĂ©, mardi 15 juillet, 2025, conformĂ©ment aux directives d’un communiquĂ©, rendu public, le 17 janvier 2025, qui dĂ©finit les prix de vente et les procĂ©dures de dĂ©pĂŽt et de paiement des commandes.

Pour rappel, l’Office national des fourrages a Ă©tĂ© créé de suite Ă  des mesures prises en faveur du secteur de l’agriculture, par un Conseil des ministres, tenu le 4 janvier 2024.

L’initiative de crĂ©er cette entitĂ© a Ă©tĂ© motivĂ©e par des dĂ©fis cruciaux liĂ©s Ă  l’approvisionnement en fourrages, des perturbations dans le systĂšme de distribution et des perturbations dans le systĂšme de distribution et aussi des problĂšmes de production locale de fourrages.

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Relance de l’industrie du textile tunisien : Les 17 propositions de la FTTH

Habillement TextileLe textile tunisien n’a pas dit son dernier mot. MalgrĂ© des contraintes rĂ©glementaires, des retards dans la modernisation de l’administration et une fiscalitĂ© jugĂ©e pĂ©nalisante, le secteur conserve un fort potentiel de croissance, d’emploi et d’exportation.

Pour passer Ă  l’action, la FTTH a prĂ©sentĂ© un ensemble de 17 propositions ciblĂ©es, touchant Ă  la formation, Ă  la fiscalitĂ©, aux infrastructures ou encore Ă  la transition Ă©cologique. Une feuille de route ambitieuse qui appelle Ă  une rĂ©elle volontĂ© politique pour que la Tunisie retrouve son rang dans l’industrie textile mondiale.

  1. Régularisation du classement des entreprises existantes

La FTTH appelle Ă  reconnaĂźtre officiellement les entreprises textiles créées avant la loi de 2009 sur la sĂ©curitĂ© incendie. Aujourd’hui, ces structures sont actives mais non classĂ©es, ce qui bloque leurs activitĂ©s, notamment dans les audits sociaux internationaux.

  1. Réforme du certificat de prévention incendie

PlutĂŽt que de bloquer l’activitĂ©, la FTTH propose un systĂšme d’accompagnement avec des plans d’amĂ©lioration sur cinq ans, comme cela se fait dans les pays occidentaux.

  1. Relancer la station de recyclage de la Technopole de Monastir

Ce projet, bloquĂ© depuis 2010, pourrait crĂ©er un Ă©cosystĂšme textile intĂ©grĂ©, dynamiser l’économie circulaire et relancer la filiĂšre du finissage.

  1. RĂ©duction des dĂ©lais de crĂ©ation d’entreprises

La FTTH recommande d’aligner les procĂ©dures tunisiennes sur les standards des pays dĂ©veloppĂ©s, en matiĂšre de crĂ©ation d’entreprise et d’agrĂ©ment douanier.

  1. Formation et reconversion

Des mĂ©canismes ciblĂ©s doivent ĂȘtre mis en place pour former et attirer les diplĂŽmĂ©s chĂŽmeurs vers le secteur textile. La FTTH se dit prĂȘte Ă  mobiliser son expertise.

  1. Infrastructures industrielles

Moderniser les zones industrielles existantes et en créer de nouvelles, notamment dans les régions saturées comme Sousse et Nabeul.

  1. Transport des travailleurs

L’absence de transport public dans les zones industrielles pousse les entreprises Ă  prendre en charge ce service, qui est ensuite taxĂ© comme avantage en nature. Une rĂ©forme fiscale est demandĂ©e sur ce point.

  1. Modernisation de l’enseignement textile

RĂ©former l’enseignement spĂ©cialisĂ© (universitĂ©s, ISET, centres de formation) et attirer davantage de jeunes vers ces filiĂšres pour assurer la relĂšve.

  1. Intégration en amont du secteur

Encourager le dĂ©veloppement d’activitĂ©s de tissage, tricotage, finissage et ennoblissement, en offrant des mĂ©canismes de financement et des incitations claires, rapides et attractives.

  1. Cartographie de la main-d’Ɠuvre disponible

Mieux cibler les zones à fort potentiel en ressources humaines pour orienter les investissements industriels et compenser les surcoûts logistiques dans les régions intérieures par des avantages ciblés.

  1. Loi sur la vente de ferraille

AccĂ©lĂ©rer l’adoption de cette loi, notamment pour le compte de la sociĂ©tĂ© El Fouledh, afin de dĂ©bloquer des gisements d’activitĂ© industrielle.

  1. Alléger les procédures de certification

Permettre aux entreprises de rĂ©gler directement les services de certification internationale sans passer par la BCT, qui impose aujourd’hui des dĂ©lais allant jusqu’à six mois.

  1. Paiement anticipé des commandes

Autoriser les paiements anticipĂ©s (Ă  100 %) pour les commandes Ă  l’étranger, en s’appuyant sur les devises dĂ©jĂ  disponibles sur les comptes des entreprises, comme le pratiquent de nombreux pays.

  1. Remboursement rapide des frais commerciaux

AccĂ©lĂ©rer les remboursements liĂ©s aux actions de prospection, foires et missions Ă  l’international, essentiels pour la visibilitĂ© du textile tunisien.

  1. Restitution de la TVA

Rendre plus fluide la restitution de la TVA pour les entreprises locales, ou permettre une compensation fiscale directe auprĂšs des receveurs des finances.

  1. Soutien aux collecteurs de déchets textiles

Trouver une solution adaptĂ©e au cahier des charges N°2, trop lourd pour les petits collecteurs, afin de prĂ©server leur rĂŽle dans l’économie circulaire du secteur.

  1. Modernisation du formulaire CX5

Assouplir les rĂšgles liĂ©es au rapatriement des recettes d’exportation dans un dĂ©lai de 60 jours et permettre aux entreprises de conserver des avoirs disponibles pour gĂ©rer leur trĂ©sorerie.

Pour conclure, le document remis par la FTTH est un appel clair Ă  l’action. Il montre que le secteur textile en tunisien n’est pas un secteur en dĂ©clin, mais un vivier de compĂ©titivitĂ©, d’innovation et d’emplois, aujourd’hui entravĂ© par une bureaucratie trop lente et des obstacles techniques Ă©vitables.

(Source : FTTH)

Chiffres clés

  • 17 — Propositions concrĂštes de la FTTH pour redynamiser le secteur textile
  • 6 mois — DĂ©lai actuel imposĂ© par la BCT pour valider les certifications internationales
  • 100 % — Paiement anticipĂ© des commandes recommandĂ© pour fluidifier les importations
  • 60 jours — DĂ©lai imposĂ© pour le rapatriement des recettes d’exportation (formulaire CX5)
  • 2010 — AnnĂ©e de blocage du projet de station de recyclage Ă  la Technopole de Monastir.

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Djerba lance une campagne pour bannir les sacs plastiques Ă  usage unique

Une campagne de sensibilisation visant Ă  lutter contre l’utilisation des sacs en plastique a Ă©tĂ© lancĂ©e, jeudi, Ă  Houmet Souk et Midoun Ă  l’Ile de Djerba (gouvernorat de MĂ©denine).

Le commissaire rĂ©gional au tourisme, Hichem Mehouchi a indiquĂ© que cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet pilote « Djerba sans produits plastiques Ă  usage unique » initiĂ© en 2022 par les ministĂšres du tourisme et de l’environnement.

Il a ajoutĂ© que ce projet a pour objectif d’amĂ©liorer la situation environnementale dans les rĂ©gions touristiques en interdisant l’usage des sacs en plastique et incitant les commerçants et les citoyens Ă  recourir Ă  des alternatives, en la matiĂšre.

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Ooredoo Tunisie donne le rythme et annonce son partenariat officiel avec le Festival International de Carthage pour la quatriÚme année consécutive

Ooredoo Tunisie, leader des tĂ©lĂ©communications et fervent dĂ©fenseur de la culture tunisienne, a annoncĂ© aujourd’hui le renouvellement de son partenariat en tant que sponsor officiel du prestigieux Festival International de Carthage. Pour la quatriĂšme annĂ©e d’affilĂ©e, Ooredoo s’associe Ă  l’évĂ©nement culturel le plus attendu du pays, consolidant ainsi son rĂŽle de promoteur clĂ© des arts et du patrimoine.

Cette annĂ©e, le partenariat s’inscrit parfaitement dans la dynamique de la campagne estivale de l’opĂ©rateur. L’invitation est ainsi lancĂ©e Ă  tous les Tunisiens pour activi sifek en musique, s’imprĂ©gner de la magie des soirĂ©es de Carthage et partager les Ă©motions inoubliables des concerts live. La 59Ăšme Ă©dition du festival, qui se tiendra du 19 juillet au 21 aoĂ»t 2025, promet une programmation riche et diversifiĂ©e qui fait Ă©cho Ă  l’engagement de Ooredoo de connecter les gens Ă  leurs passions.

« Notre partenariat avec le Festival International de Carthage est plus qu’un simple sponsoring; il fait partie de notre identitĂ© et de notre engagement indĂ©fectible envers la richesse de la culture tunisienne », a dĂ©clarĂ© M. Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie. « Chez Ooredoo, nous aspirons Ă  ĂȘtre au cƓur des moments qui rassemblent les Tunisiens, et le festival de Carthage en est l’occasion par excellence. Nous invitons tout le monde Ă  profiter de la programmation exceptionnelle de cette annĂ©e.»

L’affiche de 2025 prĂ©sente une plĂ©iade de stars locales, rĂ©gionales et internationales, promettant de satisfaire tous les goĂ»ts musicaux. Ooredoo est particuliĂšrement enthousiaste Ă  l’idĂ©e de contribuer Ă  la tenue des spectacles les plus attendus sur la scĂšne lĂ©gendaire de l’amphithéùtre romain, qui accueillera notamment la star syrienne sensationnelle Nassif Zaitoun, l’icĂŽne de la chanson libanaise Najwa Karam, la star tant aimĂ©e Nancy Ajram, ainsi que l’artiste de renommĂ©e mondiale Saint Levant parmi bien d’autres grands noms qui enchanteront la scĂšne de Carthage.

Le soutien de Ooredoo au Festival International de Carthage tĂ©moigne de sa conviction profonde dans le pouvoir de la culture pour inspirer et unir les communautĂ©s. Tout au long du festival, Ooredoo sera prĂ©sent avec diverses animations et initiatives pour enrichir l’expĂ©rience des festivaliers, leur permettant ainsi d’activer pleinement leur Ă©tĂ© et de crĂ©er des souvenirs mĂ©morables.

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Forces armĂ©es et maintien de la paix : lancement d’une confĂ©rence mondiale Ă  Tunis avec l’ONU

Les travaux de la conférence internationale consacrée au rÎle des forces armées dans la protection des civils lors des opérations de maintien de la paix ont démarré jeudi pour deux jours.

OrganisĂ©e par le ministĂšre de la DĂ©fense nationale en partenariat avec les Nations unies, la confĂ©rence vise Ă  concevoir une plateforme numĂ©rique mondiale d’échange d’informations et de bonnes pratiques entre les pays et les organisations.

La confĂ©rence dont la cĂ©rĂ©monie d’ouverture a Ă©tĂ© prĂ©sidĂ©e par le ministre de la DĂ©fense en prĂ©sence du ministre des Affaires EtrangĂšres et le secrĂ©taire adjoint des Nations Unis Jean Pierre Lacroix a aussi pour objectif l’élaboration d’un  manuel opĂ©rationnel unifiĂ©, harmonisant les procĂ©dures et standards appliquĂ©s par les forces armĂ©es impliquĂ©es dans la protection des civils.

Plus de 80 participants, civils et militaires dont des responsables onusiens, des dĂ©lĂ©guĂ©s de treize pays partenaires, des reprĂ©sentants d’organisations rĂ©gionales et internationales prennent part Ă  cette rencontre.

La confĂ©rence s’inscrit dans le cadre du renforcement du rĂŽle de la Tunisie comme membre actif aux Nations Unis en plus de la consolidation des relations bilatĂ©rales entre la Tunisie et l’ONU dans le domaine du maintien de la paix.

La confĂ©rence s’achĂšvera par l’adoption de la « DĂ©claration de Tunis », destinĂ©e Ă  servir de rĂ©fĂ©rence internationale en fixant le cadre global de principes directeurs et des normes opĂ©rationnelles pour la protection des populations dans les zones de conflit.
Le rĂŽle des forces armĂ©es comme garant des droits fondamentaux et du respect du droit international humanitaire n’est plus Ă  dĂ©montrer.

Des tables rondes, des conférences et des débats sur les défis de la protection des civils dans les missions onusiennes auront lieu à cette occasion.

Ils seront animés par des experts militaires, civils et responsables des Nations unies.

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Golfe de Monastir : KaĂŻs SaĂŻed constate l’ampleur de la pollution et Ă©coute la colĂšre des habitants

Le prĂ©sident de la RĂ©publique, KaĂŻs SaĂŻed, a effectuĂ©, mercredi Ă  minuit, une visite inopinĂ©e dans le gouvernorat de Monastir, oĂč il s’est enquis de la situation environnementale critique dans le golfe de Monastir.

Saied s’est dĂ©placĂ© Ă  la plage de Ksibet El Mediouni qui a Ă©tĂ© touchĂ©e, rĂ©cemment, par une catastrophe Ă©cologique. A cette occasion, le chef de l’Etat s’est entretenu avec des habitants, qui ont exprimĂ© leur mĂ©contentement face Ă  cette situation environnementale catastrophique.

Il a, ensuite, visitĂ© la station d’épuration de “Sayada-Lamta-Bouhjar” dans la ville de Lamta, avant de se rendre dans la rĂ©gion de Sayada.

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Mondial des clubs : le PSG écrase le Real Madrid 4-0 et file en finale

Le PSG s’est qualifiĂ© pour la finale du Mondial des clubs en battant largement le Real Madrid 4-0 mercredi Ă  “East Rutherford” (New Jersey).

Les buts parisiens ont Ă©tĂ© inscrits par Fabian Ruiz (6e, 24e), Ousmane DembĂ©lĂ© (9e) et Gonçalo Ramos (87e).

Le PSG affrontera Chelsea dimanche en finale pour le gain de cette premiĂšre Ă©dition de la Coupe du monde des clubs Ă©largie Ă  32 participants.

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Tunisie : Kaïs Saïed critique les services publics et insiste sur la responsabilité des hauts fonctionnaires

Le Président de la République, Kaïs Saïed, a reçu hier mercredi, au Palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzeri.

Selon un communiquĂ© de la prĂ©sidence de la RĂ©publique, l’entretien a portĂ© sur plusieurs thĂšmes, dont le rapport synthĂ©tique qui sera Ă©laborĂ© pour mettre en place le projet de loi du plan de dĂ©veloppement pour la pĂ©riode 2026-2030 lequel servira de rĂ©fĂ©rentiel Ă  l’ensemble des lĂ©gislations Ă©conomiques et sociales.

Par ailleurs, le Chef de l’État a soulignĂ© que des efforts sont en cours pour ouvrir de larges perspectives dans tous les domaines et dans toutes les rĂ©gions, afin que chaque Tunisien puisse jouir de sa dignitĂ© et de ses droits lĂ©gitimes.

“Il est temps que les jeunes compĂ©tences prennent la place de ceux qui n’ont pas tirĂ© les leçons du passĂ© et ceux qui n’ont pas encore compris que la responsabilitĂ©, quel que soit son niveau, est un fardeau lourd Ă  porter”, a-t-il dit.

D’autre part, le PrĂ©sident de la RĂ©publique a Ă©voquĂ© le mauvais fonctionnement de plusieurs services publics soulignant que chaque manquement doit ĂȘtre sanctionnĂ©.

Il a, dans ce sens, rappelĂ© que les responsables des services publics sont payĂ©s par l’argent des contribuables qui doivent recevoir de bons services en retour. Il a Ă©galement soulignĂ© que les budgets importants allouĂ©s Ă  des institutions inefficaces devraient ĂȘtre versĂ©s Ă  d’autres Ă©tablissements qui remplissent rĂ©ellement les objectifs pour lesquels ils ont Ă©tĂ© créés”, a-t-il ajoutĂ©.

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Haithem Bouajila, prĂ©sident de la FTTH : Nous ne sommes pas des rentiers, nous sommes des soldats de l’industrie et on nous tire dessus avec la fiscalitĂ©

Le secteur textile-habillement reprĂ©sente un des piliers de l’économie nationale. C’est un secteur Ă  forte employabilitĂ©, reprĂ©sentant 29% des emplois de l’industrie manufacturiĂšre (150 004 emplois), 30% du total des entreprises industrielles (1 365 entreprises) avec 71% des entreprises qui emploient moins de 100 personnes.

Haitham Bouajila
Haitham Bouajila – PrĂ©sident de la FTTH

Le secteur compte prĂšs de 200 entreprises intĂ©grĂ©es ayant un positionnement international qui participent Ă  hauteur de 78% du total des exportations du secteur. Les performances du secteur des Textiles pourraient ĂȘtre meilleures, estime Haithem Bouajila, prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration tunisienne des Textiles (FTTH) qui parle mĂȘme de doubler la part de l’industrie texte au PIB en 5 ans. Entretien :

Vous avez affirmĂ© que vous pouvez doubler la part de l’industrie textile dans le PIB si on vous donnait les moyens de le faire, quelle est votre approche ?

Je le dis clairement : oui, nous pouvons doubler notre contribution au PIB, et ce, sans hypothĂšse farfelue. Ce n’est pas une promesse en l’air, c’est basĂ© sur des donnĂ©es rĂ©elles. MĂȘme dans les conditions dĂ©favorables actuelles, le secteur performe.

« On parle de souveraineté industrielle, mais dans la réalité, on détruit ceux qui y contribuent chaque jour. »

 

Prenons une base de comparaison neutre : 2019, avant le Covid. En 2024, nous sommes dĂ©jĂ  Ă  +30% d’export par rapport Ă  cette annĂ©e de rĂ©fĂ©rence. Et ce n’est mĂȘme pas toute la vĂ©ritĂ© : une partie importante du textile technique est actuellement mal classĂ©e dans les nomenclatures officielles – elle est enregistrĂ©e comme secteur mĂ©canique par l’APII. Or, ces entreprises utilisent du fil textile, des machines de confection, du personnel formĂ© dans des centres spĂ©cialisĂ©s
 Bref, c’est du textile Ă  100%, et cela concerne plus de 30.000 emplois. Cette erreur sera rectifiĂ©e d’ici 2025, mais cela montre Ă  quel point nos chiffres sont sous-estimĂ©s.

On parle beaucoup du textile médical ces derniÚres années. Quelle est son importance réelle ?

Elle est croissante, et surtout, elle illustre notre montée en gamme. Prenez les ceintures dorsales, les genouillÚres, les orthÚses : ce sont des produits à haute technicité, avec des normes strictes, et pourtant fabriqués entiÚrement localement.

« Ce pays ne manque ni de talents ni de technologies : il faut juste des dĂ©cisions politiques et de la vision sur le long terme pour dĂ©velopper l’industrie et apporter la prospĂ©ritĂ© au pays »

 

Des entreprises comme Ortho Groupe, La Soie, DJO Tunisie, ou encore VTR – spĂ©cialisĂ©e dans les vĂȘtements pour centrales nuclĂ©aires – maĂźtrisent l’ensemble de la chaĂźne de valeur, du fil au produit fini. Ce sont des productions de niche, mais Ă  forte valeur ajoutĂ©e. Et ce n’est pas de la sous-traitance : ce sont des savoir-faire tunisiens, dĂ©veloppĂ©s ici, dans des filiĂšres techniques pointues. C’est une vraie success story industrielle, peu connue du grand public.

Vous avez récemment eu une réunion avec le ministÚre de la Défense. Peut-on imaginer une relance de la commande publique dans ce domaine ?

Nous avons eu une réunion de plus de quatre heures, trÚs constructive. On leur a montré nos produits, nos capacités. Savez-vous que les uniformes de plusieurs grandes armées dans le monde sont confectionnés en Tunisie ? Avec des tissus antibactériens, imperméables, anti-feu
 Le savoir-faire est là.

« On est Ă  la frontiĂšre de l’industrie 5.0, mais on continue Ă  appliquer des lois conçues au dĂ©but des annĂ©es 2000. »

 

Mais la vraie question, c’est : est-ce que le budget du ministĂšre peut suivre pour acheter des produits aussi techniques ? Nous avons posĂ© les bases d’une nouvelle relation : ils vont visiter nos usines, voir les modĂšles sur place. La confiance s’est rĂ©installĂ©e. C’était notre objectif principal. Maintenant, nous espĂ©rons que ça dĂ©bouchera sur des contrats durables.

L’industrie 4.0, l’intelligence artificielle, la robotisation
 Est-ce que le secteur est prĂȘt Ă  entrer dans cette nouvelle Ăšre ?

La rĂ©ponse est oui. Et ce n’est pas un vƓu pieux. Nous avons dĂ©jĂ  un Ă©cosystĂšme bien ancrĂ©, avec le technopĂŽle de Monastir, le centre NĂ©otex, et des entreprises trĂšs avancĂ©es sur le digital, les objets connectĂ©s, la traçabilitĂ©, la production automatisĂ©e
 Mais pour que cela ne reste pas marginal, il faut un effort public. En Italie, le ministĂšre du Made in Italy injecte plus de 650 millions d’euros pour accompagner les entreprises sur la sĂ©curitĂ©, l’innovation, la transition digitale. Nous, en Tunisie, on a zĂ©ro accompagnement. Aucun soutien, ni subvention. En revanche, nous croulons sous les taxes. Et malgrĂ© tout, nous tenons bon.

« Le textile tunisien, c’est 70 ans de savoir-faire et d’innovation. Ce n’est pas un secteur du passĂ©, c’est un levier pour l’avenir. »

 

Vous insistez beaucoup sur la différence entre industriels et rentiers. Pourquoi cette distinction est-elle importante ?

Parce qu’elle est souvent oubliĂ©e. Nous ne sommes pas des rentiers. Nous ne spĂ©culons pas. Nous produisons, nous crĂ©ons de la richesse, nous employons des dizaines de milliers de Tunisiens, nous exportons vers l’Europe, l’AmĂ©rique, le monde entier.

« Il ne s’agit plus de demander des subventions : ce que nous attendons est qu’on nous laisse travailler, innover, et exporter sans qu’on nous sabote. »

 

Quand un industriel investit plusieurs millions d’euros, ce n’est pas pour faire de l’argent facile. C’est avec un risque Ă©norme. N’importe qui prĂ©fĂ©rerait mettre cet argent dans l’immobilier, ou dans de l’import. Pas nous. Nous croyons dans ce pays, dans cette industrie, dans ce qu’on peut faire ici, avec les compĂ©tences tunisiennes.

Quelles sont les principales entraves au dĂ©veloppement du secteur aujourd’hui ?

Rappelons d’abord, les performances du secteur : 155.000 emplois directs, 437 millions de dinars de cotisations patronales Ă  la CNSS, 230 millions de cotisations salariales, 426 millions en IRPP et cotisations CSS.  Rien que ces contributions reprĂ©sentent 1,1 milliard de dinars injectĂ©s dans les caisses de l’État chaque annĂ©e.

Et malgré ça, on nous considÚre comme des profiteurs, on nous taxe, on nous bloque.

Pendant ce temps, l’économie parallĂšle prospĂšre, la contrebande est tolĂ©rĂ©e, et les rentiers sont tranquilles. Nous, nous demandons des choses simples : Ă©largir l’assiette fiscale, amĂ©liorer les infrastructures portuaires et numĂ©riques, investir dans les centres de formation. C’est du bon sens.

« L’État devrait ĂȘtre un partenaire, pas un obstacle. Le jour oĂč il l’aura compris, l’industrie tunisienne ira deux fois plus vite. »

 

Les centres de formation affirment pourtant qu’ils sont prĂȘts Ă  rĂ©pondre Ă  la demande du secteur 


Je vais vous donner un exemple concret : notre propre centre de formation textile. Nous en sommes administrateurs. Il a un excellent personnel, des diplĂŽmĂ©s, des ingĂ©nieurs
 mais les salaires sont ridicules, aucune motivation, aucune autonomie. Pourquoi ? Parce que la loi-cadre bloque tout. On parle de souverainetĂ© industrielle ? Alors qu’on commence par doter nos centres des moyens nĂ©cessaires. Qu’on leur donne un environnement de travail digne de ce nom.

Sinon, on est dans le discours, pas dans les actes.

Vous dénoncez aussi des normes administratives bloquantes. Pouvez-vous expliquer ?

Oui, c’est un point crucial. Pour obtenir un certificat de sĂ©curitĂ© de la protection civile, on nous impose des normes irrĂ©alistes, mĂȘme pour les pays les plus dĂ©veloppĂ©s. Et pourtant, nos usines respectent souvent les standards internationaux Ă  la lettre. En Égypte, au Maroc, Ă  l’üle Maurice, vous obtenez ce certificat en un mois. En Tunisie ? C’est une bataille de plusieurs annĂ©es.

« En cinq ans, on peut doubler la part du textile dans le PIB. Ce qu’il nous faut ? Juste qu’on nous laisse travailler. »

 

En 2023, sur 70.000 entreprises textiles, seules 4 ont obtenu ce certificat. C’est kafkaĂŻen. Nous demandons une rĂ©forme pragmatique : au lieu de dĂ©molir et reconstruire des usines, pourquoi ne pas mettre en place un systĂšme progressif, sur 10 ans, avec des audits rĂ©guliers et une amĂ©lioration continue ? Nous sommes exportateurs, nous sommes auditĂ©s en permanence.

Et pourtant, notre propre pays nous bloque.

Vous restez optimiste malgré les entraves


Parce que notre pays dispose de tous les atouts pour faire du textile un levier stratĂ©gique. Nous avons le savoir-faire, les compĂ©tences, les clients. Ce qui manque, c’est la vision, l’écoute, l’appui de l’État. Si on nous donne les moyens – ou, au moins, si on arrĂȘte de nous freiner –, on peut doubler notre contribution au PIB, crĂ©er encore plus d’emplois, et positionner la Tunisie comme un hub industriel rĂ©gional.

Entretien conduit par Amel Belhadj Ali

CHIFFRES CLÉS

  • 29 % — Part du textile dans les emplois industriels en Tunisie
  • +30 % — Hausse des exportations du textile en 2024 par rapport Ă  2019
  • 1,1 milliard TND — Montant annuel injectĂ© dans les caisses de l’État par le secteur textile
  • 200 entreprises — IntĂ©grĂ©es et positionnĂ©es Ă  l’international dans le secteur textile
  • +30 000 emplois — Non comptabilisĂ©s Ă  cause d’un mauvais classement statistique.

L’article Haithem Bouajila, prĂ©sident de la FTTH : Nous ne sommes pas des rentiers, nous sommes des soldats de l’industrie et on nous tire dessus avec la fiscalitĂ© est apparu en premier sur WMC.

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