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Arts plastiques : Quand la galerie Kalysté accueille Ahmed Hajeri

L’exposition Ahmed Hajeri s’achĂšve aujourd’hui Ă  la galerie KalystĂ©. Un temps fort de la saison artistique organisĂ© par Synda Ben Khelil.

Pour l’exposition Ahmed Hajeri, la galerie KalystĂ© n’a pas fait les choses Ă  moitiĂ© pour rendre le grand hommage qu’il mĂ©rite Ă  un artiste essentiel, dans la lignĂ©e des plus grands.

AprĂšs un brillant vernissage le 14 juin, l’exposition qui compte une trentaine d’Ɠuvres de divers formats, s’est poursuivie avec succĂšs. Hier avait lieu le finissage en prĂ©sence d’Ahmed Hajeri qui pour l’occasion, signait et dĂ©dicaçait le superbe catalogue de l’exposition.

Sobre, conçu par Oumaima Jerbi avec de lumineuses photographies de Nicolas Fauqué, ce catalogue a été réalisé par la galerie Kalysté avec le soutien de 32 Bis.

L’ouvrage est introduit par Wassim Hajeri, le fils de l’artiste qui trĂšs poĂ©tiquement, trouve les mots justes pour prĂ©senter Ahmed Hajeri. Le catalogue est articulĂ© sur deux textes, l’un d’Ali Louati et l’autre de Nadia Chalbi.

IntitulĂ©e « Aux sources d’un dĂ©sastre originel Â», la contribution d’Ali Louati reprend un article paru dans la revue Cimaise en 1998. La contribution de Nadia Chalbi porte le titre « La clĂ© des songes : l’univers poĂ©tique d’Ahmed Hajeri Â» et reprend le parcours de l’artiste en se basant sur plusieurs entretiens effectuĂ©s les deux derniĂšres annĂ©es. Les deux articles sont publiĂ©s en arabe et en français.

L’ouvrage est complĂ©tĂ© par un Ă©tat des expositions personnelles et collectives de l’artiste. IntitulĂ© « Le Jardin de l’Esprit Â», ce catalogue est ainsi le travail le plus rĂ©cent Ă  ĂȘtre consacrĂ© Ă  Ahmed Hajeri.

Alors que l’exposition accueillie par la galerie KalystĂ© dĂ©roule aujourd’hui sa derniĂšre sĂ©quence, force est de saluer le succĂšs de cet Ă©vĂ©nement et le remarquable travail de fond rĂ©alisĂ© par Synda Ben Khelil Ă  la barre de cet espace culturel.

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Hommage : Mona Ezzine Dougaz, une Tunisienne d’exception

Distinguée hispanisante, traductrice et enseignante universitaire, Mona Ezzine Dougaz est décédée hier jeudi 3 juillet 2025.

La grande famille des hispanisants tunisiens et ses trĂšs nombreux amis pleurent Mona Ezzine Dougaz, trop tĂŽt disparue aprĂšs un courageux combat contre la maladie. DĂ©cĂ©dĂ©e hier, elle laisse un grand vide et l’image d’une femme de devoir dont la carriĂšre fut Ă  tous Ă©gards exemplaire.

Enseignante de langue espagnole, elle Ă©tait trĂšs apprĂ©ciĂ©e par ses Ă©tudiants et ses collĂšgues. Sa formidable capacitĂ© Ă  la traduction simultanĂ©e faisait d’elle un atout trĂšs recherchĂ© par les organisateurs de colloques scientifiques et de rencontres ministĂšrielles.

MaĂźtrisant plusieurs langues Ă  la perfection, Mona Ezzine Dougaz a comptĂ© parmi les plus distinguĂ©s hispanisants de Tunisie. Sa maĂźtrise de la langue espagnole dans ses nuances les plus subtiles faisait d’elle un modĂšle admirĂ©.

Hier, dĂšs le faire-part de son dĂ©cĂšs par la famille, les hommages ont affluĂ© de partout. De l’ambassade d’Espagne Ă  l’ambassade d’Argentine en passant par l’Institut CervantĂšs, les communiquĂ©s Ă©taient empreints d’émotion, de respect et de reconnaissance. De mĂȘme, en provenance de l’universitĂ© tunisienne, les hommages ont Ă©tĂ© nombreux.

Femme de cƓur, Mona Ezzine Dougaz Ă©tait aussi l’égĂ©rie et le premier soutien de son fils, le tennisman Aziz Dougaz dont elle appuyait le parcours sportif avec persĂ©vĂ©rance. Toujours prĂ©sente Ă  ses cĂŽtĂ©s, elle Ă©tait vigilante, dĂ©cidĂ©e et aimante.

Que ce soit dans sa vie acadĂ©mique, son travail de traductrice ou ses engagements, Mona Ezzine Dougaz a toujours quĂȘtĂ© et trouvĂ© l’excellence. Paix Ă  sa belle Ăąme de Tunisienne d’exception et condolĂ©ances Ă  sa famille.

L’inhumation aura lieu aujourd’hui, vendredi 4 juillet à 14h, au cimetiùre de Gammarth.

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Tunisie : Avec la Chorale du patrimoine oriental du Canada

Trois reprĂ©sentations de l’Oriental Heritage Choir sont programmĂ©s cet Ă©tĂ© Ă  Bizerte, Monastir et El Djem.

La Chorale du patrimoine oriental du Canada sera dans nos murs en aoĂ»t prochain dans le cadre des festivals d’étĂ©.

Cette formation canadienne se produira au Festival international de Bizerte (6 aoĂ»t), au Festival international de Monastir (8 aoĂ»t) et au Festival international d’El Djem (10 aoĂ»t).

Cette tournĂ©e tunisienne est effectuĂ©e sous l’égide du ministĂšre des Affaires culturelles dans le cadre des partenariats artistiques entre la Tunisie et le Canada.

FondĂ© en 2018 par Spiro Elias Demian, la Chorale du patrimoine oriental du Canada est un ensemble exceptionnel, composĂ© de 50 choristes issus de divers pays arabes. Son rĂ©pertoire propose un voyage musical Ă  travers les plus belles Ɠuvres du patrimoine musical du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord.

À dĂ©couvrir, ce vibrant hommage Ă  la richesse des traditions arabes, portĂ© par des passionnĂ©s rassemblĂ©s autour de l’amour du chant choral oriental.

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Tunisie : Mrad Ben Mahmoud n’est plus

Photographe passionné et inspiré, Mrad Ben Mahmoud est décédé hier à Tunis.

Aussi humble qu’il n’était incontournable, Mrad Ben Mahmoud fut de ces rares photographes qui ont su sublimer les beautĂ©s de Tunisie.

TournĂ© vers les ĂȘtres, la vie et l’éternitĂ© des paysages, il Ă©tait de ces artistes qui savaient saisir le meilleur de la lumiĂšre pour transcender le rĂ©el.

Ses annĂ©es d’apprentissage Ă  l’école Louis LumiĂšre Ă  Paris, sa prĂ©sence sur le terrain durant des dĂ©cennies ont donnĂ© Ă  Mrad Ben Mahmoud l’incontestable envergure d’un grand de la photographie.

Le tourisme tunisien doit Ă©normĂ©ment Ă  cet infatigable artiste qui a littĂ©ralement construit l’image de notre pays Ă  force de photographies expressives. Son ouvrage « Objectif Tunisie Â» paru en 2018 tĂ©moigne de ce travail essentiel.

Paix à son ùme et condoléances attristées à sa famille.

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Tunisie – La Marsa : La nouvelle vie du palais Ahmed Bey

AprÚs plusieurs années de travaux, sa restauration achevée, le palais Ahmed Bey retrouve ses couleurs et une nouvelle vocation.

En plein cƓur de la Marsa, Ă  quelques pas du Saf Saf, le palais Ahmed Bey a repris de belles couleurs et s’apprĂȘte Ă  accueillir Ă©vĂ©nements familiaux et rencontres conviviales.

Véritable trésor du patrimoine marsois, cette ancienne demeure jadis délaissée, comptera désormais parmi les joyaux de la banlieue nord de Tunis.

Mahmoud Redissi et son Ă©quipe peuvent ĂȘtre fiers du travail accompli alors que s’ouvre une nouvelle page dans le vĂ©cu de ce palais dĂ©sormais ouvert Ă  la culture, la joie et aux nouvelles gĂ©nĂ©rations.

Un palais qui renaĂźt pour nous montrer que les lieux du patrimoine peuvent se transformer en espaces de vie.

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Carthage: Qui se souvient de la CitĂ© de l’air ?

Plusieurs immeubles se trouvaient sur l’emplacement de la grande mosquĂ©e de Carthage.

Nos amis du groupe Carthage au XXe siĂšcle ont ravivĂ© avec ces photos, la mĂ©moire de la CitĂ© de l’Air et de sa barre d’immeubles qui se trouvaient sur l’emplacement actuel de la mosquĂ©e Imam Malek (El Abidine) Ă  Carthage.

Le coup d’envoi du chantier de la mosquĂ©e avait commencĂ© par la destruction de ces immeubles alors livrĂ©s au pic des dĂ©molisseurs.

Aujourd’hui, seules de rares photographies tĂ©moignent de l’ancienne prĂ©sence de ces immeubles oĂč ont longtemps vĂ©cu des militaires.

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Tunis – Aprùs l’incendie : Les tristes vestiges de la Villa Yvonne

Toute une aile de la demeure délaissée de la rue du Luxembourg, est partie en fumée.

Les Tunisois se sont attachĂ©s Ă  la Villa Yvonne. MalgrĂ© son Ă©tat de vĂ©tustĂ©, cette ancienne demeure qui se trouve dans une ruelle au quartier du Passage, est parĂ©e d’une aura de sympathie.

Ces derniÚres semaines, un incendie a détruit un pan entier de cette villa centenaire et depuis rien à signaler.

Ce fait accompli n’a Ă©tĂ© suivi de quasiment aucune explication et c’est toujours la bouteille Ă  l’encre pour ce qui concerne l’avenir de cette ancienne demeure du centre-ville de Tunis.

Nos photos montrent l’état actuel de cet Ă©difice.

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Tunisie : La dixiÚme édition de Dream City en octobre

La dixiÚme édition de Dream City aura lieu à Tunis du 3 au 19 octobre 2025 avec une forte participation internationale.

Dream City revient pour sa dixiÚme édition et investira plusieurs lieux de Tunis. Festival pluridisciplinaire enraciné dans la cité, Dream City est une invitation à cheminer entre danse, théùtre, films, expositions, concerts et programme pour enfants.

Selon les organisateurs, le programme complet de la dixiĂšme Ă©dition sera dĂ©voilĂ© « pas Ă  pas en juillet, comme une Ɠuvre en devenir Â». Ce qui est bel et bien dans l’esprit de ce festival plĂ©biscitĂ© par le public culturel.

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Le couscous du Nouvel an hégirien : Entre coutumes et symboles

À l’occasion de Ras el Am, les familles tunisiennes ont pour tradition un couscous rituel riche en symboles.

Le Nouvel An devrait ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ© ce jeudi 26 juin. Selon le cycle lunaire, Ras el Am est fĂȘtĂ© le premier jour du mois de Muharrem et il est de tradition lors de ce Ras el Am el HĂ©jri de manger du couscous au qadid et aux fĂšves.

Ce couscous est tellement riche de symboles qu’il mĂ©rite quelques explications. D’abord, les grains utilisĂ©s pour la prĂ©paration de ce couscous rituel doivent provenir des provisions constituĂ©es pendant l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Il en est de mĂȘme pour les fĂšves sĂšches et bouillies qui doivent Ă©galement provenir de la derniĂšre rĂ©colte annuelle.

Survenant vingt jours aprĂšs l’Aid El Kebir, le couscous du Nouvel An hĂ©girien fait aussi appel Ă  certaines parties de la viande du mouton sacrifiĂ© Ă  cette occasion. Il s’agit, entre autres, du fameux qadid (des laniĂšres de viande salĂ©e, Ă©picĂ©e et sĂ©chĂ©e) auquel on ajoutera des morceaux provenant des conserves de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente.

Ainsi, la prĂ©paration de ce couscous obĂ©it Ă  une exigence d’antĂ©rioritĂ© pour tous les ingrĂ©dients. Cette symbolique est claire: la consommation en fin d’annĂ©e de denrĂ©es prĂ©levĂ©es sur d’anciennes provisions prouve qu’on n’a pas eu de pĂ©nurie alimentaire. Ce signe de prospĂ©ritĂ© est davantage soulignĂ© par l’ajout Ă  l’ancien qadid de qadid nouveau. LĂ  encore, le symbole est clair: lorsque les provisions de deux annĂ©es se chevauchent dans le mĂȘme repas rituel, c’est que l’abondance et la continuitĂ© sont bien lĂ  !

Ceci pour le fameux couscous “ bel qadid” qui succĂšde au couscous “ bel osben” de l’Aid el Kebir. Il faut noter certaines autres traditions liĂ©es Ă  Ras el Am: dans certaines rĂ©gions, on agrĂ©mente ainsi le couscous d’Ɠufs durs.

Une autre coutume voudrait que le jour de l’An, on consomme un potage lĂ©ger pour que l’annĂ©e passĂ©e facilement. On mange aussi des gĂąteaux pour que l’annĂ©e soit douce. On Ă©vitera aussi d’utiliser des Ă©pices comme l’harissa pour que l’annĂ©e ne soit pas brĂ»lante.

Tout cela relĂšve de la superstition, mais possĂšde aussi son charme et fait partie du symbolisme augural.
Par ailleurs, pour fĂȘter Ras el Am, on offre aux enfants, Ă  Nabeul, des personnages en sucre colorĂ©. Enfin, le dĂ©but de l’ùre hĂ©girienne est comptabilisĂ© Ă  partir de l’émigration (HĂ©gire) du ProphĂšte Ă  MĂ©dine, le 16 juillet 622. Bonne annĂ©e 1447 !

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Tunisie – Festivals : Un Ă©tĂ© aux couleurs de l’Autriche

Entre jazz, fusion et classique, quatre soirĂ©es musicales autrichiennes sont au menu des festivals d’étĂ©.

Quatre participations autrichiennes ponctueront les festivals d’étĂ© et contribueront aux Ă©changes culturels entre nos deux pays. Comme le veut une tradition bien ancrĂ©e, l’Autriche sera prĂ©sente au festival international de musique symphonique d’El Djem avec des formations classiques.

De mĂȘme, le Festival international de Sousse et le Festival international de Dougga accueilleront des musiciens autrichiens dans les rĂ©pertoires jazz et fusion. Quel sera le profil de cette participation qui par ailleurs s’inscrit dans le cadre de la cĂ©lĂ©bration des trois cents ans de relations diplomatiques entre l’Autriche et la Tunisie ?

Le festival de Dougga accueille le 4 juillet une formation autrichienne dont la fusion musicale est l’emblĂšme. L’Afro Arabiq Walzer Archestra est en effet un ensemble musical qui mĂ©lange la Wiener Walzer (valse viennoise) avec des rythmes de Dakar, Tunis et Damas. L’ensemble multiculturel est inspirĂ© par les traditions musicales arabes, ouest-africaines et autrichiennes.

Cette fusion unique crĂ©e un son distinctif qui a Ă©tĂ© dĂ©crit comme une « nouvelle crĂ©ature » nĂ©e dans l’espace intersidĂ©ral de l’innovation musicale. Les membres interprĂštent des compositions enflammĂ©es de divers artistes, d’un groupe de dix musiciens.
Sous la baguette de Harald Huber, l’orchestre mĂȘle mĂ©lodies arabes, rythmes africains, sonoritĂ©s d’Europe et improvisations jazz pour un show musical sans frontiĂšres.

Samedi 2 aoĂ»t, l’Orchestre du bal de l’OpĂ©ra de Vienne donnera un grand concert de musique classique dans l’amphithéùtre d’El Jem. Une expĂ©rience Ă  ne pas manquer et une ouverture aux couleurs de l’Autriche.

Samedi 16 aoĂ»t : En clĂŽture du festival international de musique symphonique d’El Djem, un concert avec le violoniste vedette Yury Revich est au programme. Il prĂ©sentera un concert de clĂŽture en compagnie de l’Orchestre symphonique tunisien et de talentueux jeunes musiciens autrichiens.

Enfin, vendredi, 8 aoĂ»t, le jeune trio jazzy Haezz sera au rendez-vous de la 66Ăšme Ă©dition du festival international de Sousse. Rythmes entraĂźnants et sons crĂ©atifs seront Ă  l’ordre du jour de cette soirĂ©e de musique contemporaine.

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Tunis – Église Sainte-Croix : Une superbe restauration

L’ancienne Ă©glise de la mĂ©dina de Tunis accueille dĂ©sormais un centre culturel municipal dans un Ă©difice parfaitement restaurĂ©.

Les travaux de restauration de l’ancienne Ă©glise Sainte-Croix ont littĂ©ralement transfigurĂ© cet Ă©difice qui a longtemps abritĂ© la principale paroisse catholique de Tunis.

Ce bĂątiment totalement rĂ©novĂ© hĂ©berge aujourd’hui un centre culturel municipal. MenĂ©e avec l’appui de la CoopĂ©ration italienne, la restauration permet de dĂ©couvrir la beautĂ© intacte de l’ancienne Ă©glise et de son presbytĂšre.

Ce nouvel espace vient renforcer le tissu culturel de la médina de Tunis et lui apporte une touche de grùce et une restauration en tous points remarquable.

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Dhaou, la Goulette et l’appel du large

Au port de pĂȘche de la Goulette, Dhaou taquine le poisson et se souvient de ses annĂ©es françaises.

Affable et s’exprimant dans un français chĂątiĂ©, Dhaou s’apprĂȘte Ă  quitter le port de la Goulette Ă  motocyclette. Il possĂšde une barque et quotidiennement, lance dans la mer une ligne dotĂ©e d’une cinquantaine d’hameçons.

Il nĂ©gocie ensuite le produit de sa pĂȘche aprĂšs avoir distrait sa part de poisson. Personnage haut en couleurs, Dhaou est inĂ©puisable quand il s’agit d’évoquer la France oĂč il a vĂ©cu de nombreuses annĂ©es.

Il est tout aussi disert quand il est l’heure de raconter sa Goulette et sa passion pour la pĂȘche. Chaque jour, avec la marĂ©e embarquĂ©e, il quitte le port pour le marchĂ© et brasse les heures claires de la Goulette.

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Tunisie – Snapshot : Et pourtant il penche et s’enfonce !

Plusieurs immeubles du Passage et de la Petite Sicile penchent et s’enfoncent. Que faire par rapport à cette situation ?

Certains immeubles de Tunis s’enfoncent irrĂ©mĂ©diablement dans la vase des terrains lacustres sur lesquels ils ont Ă©tĂ© Ă©difiĂ©s.

ÂgĂ©s d’un demi-siĂšcle et parfois d’une centaine d’annĂ©es, ces immeubles penchent dangereusement et sont dans certains cas habitĂ©s ou occupĂ©s par des bureaux.

Que font les services compĂ©tents dans ces cas qui se comptent par dizaines ? Et d’ailleurs existe-t-il un recensement de ces tours de Pise Ă  la tunisienne ?

Notre photo représente un des immeubles penchés de la rue Cyrus le grand.

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Tunis – Avenue de Carthage : Un immeuble qui renaüt

ÉdifiĂ© en 1906, cet immeuble de l’avenue de Carthage est en train de retrouver des couleurs.

ClassĂ© depuis 25 ans, l’immeuble Azerm qui se trouve sur l’avenue de Carthage est actuellement en cours de restauration.

Construit en 1906, cet édifice présente une façade ayant plusieurs éléments Art nouveau.

Si cet immeuble mĂ©rite une restauration, il est souhaitable qu’elle soit entreprise selon les rĂšgles de l’art afin que le bĂątiment retrouve ses caractĂ©ristiques.

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Tunisie – Snapshot : Que reste-t-il de la TAT ?

Place Barcelone, l’ancien siĂšge de la sociĂ©tĂ© des transports rĂ©gionaux est en ruines. Dans l’indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale.

Le patrimoine immobilier de certaines entreprises publiques est dĂ©laissĂ© au point oĂč il tombe en ruines sans que nul ne s’en soucie.

C’est le cas de l’ancienne gare routiĂšre de la TAT, une entreprise publique de transport rĂ©gional.

Ces locaux sont abandonnés depuis des décennies et semblent quasiment oubliés par les instances qui en sont propriétaires.

Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres tant l’hypercentre de Tunis regorge d’édifices abandonnĂ©s.

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