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Tunisie–Sénégal : vers un renforcement de la coopération militaire bilatérale

Le ministre de la Défense, Khaled Shili a reçu, vendredi, son homologue sénégalais Birame Diop, en marge de la conférence internationale sur le rôle des forces armées dans les protection des civils lors des opérations de maintien de la paix, organisée les 10 et 11 juillet en cours.

L’entretien a porté sur les relations historiques liant les deux pays dans divers domaines, la coopération militaire en particulier.

Le ministre de la Défense a, dans ce contexte, salué le souci de la partie sénégalaise d’être présente à toutes les rencontres militaires et de participer aux exercices conjoints organisés par la Tunisie, lit-on dans un communiqué publié vendredi par le ministère de la Défense.

Il a ensuite souligné le besoin de renforcer la coopération bilatérale, notamment, en matière de formation, d’entrainement et l’échange d’expertises et de visites, recommandant de mettre en place un cadre juridique pour organiser ces activités entre les deux pays.

Le ministre sénégalais de la Défense a, de son côté, exprimé la volonté de promouvoir la coopération bilatérale et d’en diversifier les domaines.

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“Défi de la lecture arabe” : un levier pour relancer la lecture dans les écoles tunisiennes

Le ministre de l’Éducation, Noureddine Nouri, a souligné vendredi matin, lors de la cérémonie de remise des prix aux lauréats de la 9ème édition du concours “Défi de la lecture arabe”, “la nécessité de redonner au livre sa valeur en tant que levier fondamental du savoir dans un contexte où le développement technologique s’accompagne d’une rupture avec la lecture.”

Cette rencontre a été marquée par la présence de l’ambassadrice des Émirats arabes unis en Tunisie, Iman Al Sallami, et de sa délégation, ainsi que de plusieurs cadres pédagogiques, parents d’élèves et éducateurs.

Il a ajouté que le concours “Défi de la lecture arabe” est devenu une tradition annuelle qui contribue à renforcer les liens éducatifs et culturels entre la Tunisie et les Émirats arabes unis, saluant les efforts de la Fondation Mohammed bin Rashid Al Maktoum pour ses initiatives visant à élargir la base des lecteurs à travers les différents niveaux éducatifs.

Le ministre de l’Éducation a également souligné l’impact positif croissant de ce concours, tant en ce qui concerne l’engouement pour la lecture au sein des établissements scolaires, qu’au niveau de la dynamique qualitative générée dans les bibliothèques publiques et les institutions éducatives, estimant que cette dynamique constitue un indicateur révélateur de l’ampleur des efforts conjoints déployés pour ancrer la pratique de la lecture dans l’environnement éducatif.

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Siliana : plusieurs projets publics en phase d’achèvement à Siliana-nord, Siliana-sud et Makther

Les problèmes qui entravent la réalisation de nombreux projets publics à Siliana-nord, Siliana-sud et Makther ont été au centre d’une réunion tenue jeudi au siège du gouvernorat de Siliana.

Selon un rapport présenté, à cette occasion, les travaux d’aménagement de la Cité Mezguia (960 mille dinars) et d’un centre de santé de base à Siliana-nord (454 mille dinars) ont atteint un taux d’avancement, respectivement, de 90% et 65%.

A Makther, le projet de construction d’un centre d’hébergement et de loisirs sera bientôt achevé (taux d’avancement 85%) alors que les travaux de réaménagement des pistes rurales à Smaidia et Ain Kasbet (556 mille dinars) se poursuivent encore.

Selon la même rapport, d’autres chantiers sont en cours de réalisation. Il s’agit notamment des travaux de protection de la Cité Touwalia contre les inondations (taux d’avancement 75%) et d’approvisionnement des régions Arawa et Argoub-Zarour en eau potable (80%) ainsi que la réhabilitation du circuit agricole Fom Essid-Arawa sur une distance de 2,2 km.

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Tunisie : Nafti réaffirme le soutien à l’Alliance pour le Sahel et la coopération multilatérale

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a réaffirmé ce vendredi le soutien de la Tunisie à l’Alliance pour le Sahel, soulignant  l’engagement ferme et de principe en faveur du renforcement de la coopération multilatérale.

Dans une allocution enregistrée et diffusée lors des travaux de la 13e session ordinaire du Groupe de contact des hauts responsables de l’Alliance pour le Sahel, réunis à Bruxelles,  le ministre a mis en avant les efforts déployés par la Tunisie pour renforcer ses relations d’amitié et de coopération avec les Etats du Sajel, ainsi que sa contribution aux efforts visant à mettre fin aux crises.

Le ministre a souligné que la rude concurrence entre puissances étrangères a contribué à aggraver ces crises et à en multiplier les répercussions sur la région et sur l’ensemble du continent africain, selon un communiqué.

Il a également renouvelé l’engagement de la diplomatie tunisienne, conduite par le président de la République Kaïs Saïed, à soutenir toutes les initiatives en faveur de la paix et de la sécurité dans la région, et à promouvoir la coopération bilatérale et multilatérale dans le respect des principes de souveraineté des États, de non-ingérence dans leurs affaires et du respect de leurs choix et décisions souveraines.

Nafti a insisté sur la nécessité d’appuyer les efforts en faveur de la stabilité et de la gouvernance inclusive dans la région du Sahel et dans le monde en général, à un moment où la communauté internationale est confrontée à des conflits, des foyers de tension et des crises économiques.

Il a  appelé à la recherche de solutions innovantes et adaptées à la réalité de la région, à l’encouragement du dialogue tout en activant une diplomatie multilatérale sous l’égide des Nations Unies.

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Projet “Nakhla” à Gafsa : des femmes formées au leadership et aux enjeux climatiques

L’association Capsa Horizons a clôturé, jeudi, à Gafsa, le projet “Nakhla – La voix des femmes de l’oasis”, mené pendant une année en partenariat avec plusieurs directions régionales, dans le cadre du programme “Fa’ela” financé par l’Union européenne.

Le président de l’association, Aymen Zouali a indiqué à l’Agence TAP que le projet a démarré en avril 2024, avec la participation de 20 jeunes femmes issues des localités oasiennes à Lalla, El Ksar, El Guettar, El Aguila et Gafsa.

Ce projet vise à intégrer les jeunes femmes à la vie publique, à les sensibiliser aux changements climatiques et à renforcer leurs compétences en leadership, communication et plaidoyer.

Elles ont ainsi bénéficié de formations en communication, l’impact du changement climatique sur l’agriculture et la vie quotidienne ainsi que les solutions adaptées à ce milieu, a souligné la même source.

Le programme a également comporté des visites dans les cinq oasis concernées dans le but de l’observation directe des effets du changement climatique, la collecte de témoignages de femmes agricultrices ainsi que l’identification des défis environnementaux et sociaux, tels que la pénurie de ressources en eau et la dégradation de la qualité des sols.

Des émissions radiophoniques ont été produites, dans le cadre de ce programme, en partenariat avec une radio associative, abordant des thématiques telles que les problèmes spécifiques aux oasis, la situation environnementale et la sécurité alimentaire.

Le programme “Nakhla” a permis aussi de créer un noyau  de jeunes femmes leaders dans les villages oasiens, capables d’exprimer leurs préoccupations et de renforcer la prise de conscience du travail dans les oasis.

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Climat en Tunisie : mai 2025 plus chaud que la normale avec un excédent pluviométrique record

Le mois de mai 2025 a été plus chaud que la normale avec une hausse des températures de +0,9°C, confirmant, ainsi, les résultats des changements climatiques relatifs à une tendance à la hausse de la chaleur en Tunisie.

Le net changement du temps qui s’est opéré pendant les mois précédents a continué pendant le mois de mai. La Tunisie a retrouvé des pluies bienfaitrices notamment sous forme d’orages. Par conséquent le bilan pluviométrique total est excédentaire.

La température moyenne nationale, a atteint 22,3 °c, supérieure à la moyenne de référence (21.4°C) de +0.9°c. Au total, les températures moyennes du mois variaient entre 17,2 °C à Thala et 26,6°C à Tozeur. Les températures maximales moyennes ont varié entre 22,6°c à Thala et 32,5°c à Tozeur.

Quant à la température maximale moyenne nationale, elle a atteint 27,9 °c, supérieure à la moyenne de référence pour les mêmes stations (27,5 °c) avec une différence de +0,4 °c.

Les températures minimales ont varié entre 11,7 °C à Thala et 20,6°C à Tozeur. La température minimale moyenne nationale, était de 16,7°C, dépassant, ainsi, la moyenne de référence (15,3°C) de +1,4°C.

En mai, la pluie a été présente dans presque toutes les régions. Dans certaines, les précipitations ont été plus de deux fois que la normale. Les régions du nord ont dépassé largement la normale, le cumul total représente 194%.

Au centre, le cumul total représente 92,1% de la normale. Au sud du pays, les stations de Tozeur, Gabes, Kébili et Matmata ont bénéficié de quantités de pluie dépassant leurs normales.

A la station de Tataouine et Remeda, la pluie a été presque absente. Toutefois, le bilan total au sud a été excédentaire, représentant 117,3% de la normale du mois.

La station la plus arrosée en mai était celle de Kélibia avec un cumul mensuel de 114,5 mm, enregistrant, ainsi, un nouveau record mensuel (dernier record de 71mm en mai 2023).

Une quantité record de 77, 5 mm a été enregistrée durant la journée du 14 mai (dernier record enregistré le 10/05/1996 qui est de 49,9mm). Le pluviomètre de Jendouba a cumulé une quantité importante de 82,2 mm. La station d’El kef aussi a cumulé 78,5 mm.

Enfin, la vitesse du vent a dépassé les 60 km/h plusieurs fois dans plusieurs stations surtout à Kébili où il a été de 93,6km/h.

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BAD : une gouvernance efficace, clé pour stimuler le capital d’entreprise et attirer les investissements en Tunisie

«Des institutions solides, une gouvernance efficace et un État de droit renforcé constituent les fondements indispensables à la mobilisation accrue des ressources nationales en Tunisie », c’est ce qui ressort du rapport « Tirer le meilleur parti du capital de la Tunisie pour favoriser son développement », publié le 10 juillet courant, par la Banque Africaine du Développement (BAD).

La BAD estime qu’il est indispensable d’opter pour « la simplification des procédures administratives, la sécurisation juridique des investissements et la modernisation de l’environnement des affaires ». la finalité est de « stimuler le capital d’entreprise, favoriser l’investissement privé et renforcer la compétitivité de l’économie tunisienne ».

Le rapport souligne qu’il « est essentiel de consolider un cadre juridique et réglementaire robuste garantissant la transparence, la redevabilité et la protection des ressources, notamment dans le secteur extractif, où une gestion rigoureuse et inclusive peut renforcer la mobilisation des recettes et la durabilité des investissements ».

Evoquant le capital humain, la BAD recommande de «moderniser le système éducatif, en adéquation avec les besoins évolutifs du marché du travail, ainsi que de mettre en œuvre des politiques d’inclusion actives, ce qui est en mesure d’améliorer l’employabilité et de renforcer la cohésion sociale».

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BAD : la Tunisie appelée à optimiser l’utilisation de son capital pour soutenir son développement

La Tunisie dispose de marges de progression significatives, pour optimiser l’utilisation de son capital national, notamment à travers une gestion plus intégrée, transparente et durable de ses ressources naturelles, humaines, productives et financières, d’après le Rapport Pays 2025/ Tunisie publié, le 10 juillet 2025, par la Banque africaine de développement (BAD).

Selon le rapport intitulé “Tirer le meilleur parti du capital de la Tunisie pour favoriser son développement”, la BAD  recommande, à court terme, de renforcer la gouvernance du secteur extractif par une transparence accrue des contrats et des flux financiers, en vue d’une meilleure valorisation des ressources et d’une redevabilité renforcée.

La BAD estime, en outre, qu’un meilleur ciblage des subventions fondé sur un diagnostic technique rigoureux, permettrait de maîtriser les dépenses tout en préservant les ménages vulnérables.

Malgré l’existence de guichets uniques digitalisés (TTN, APII, TIA), leur interconnexion, leur ergonomie et leur orientation vers les PME nécessitent des améliorations pour favoriser un environnement propice à l’investissement.

L’accès aux soins de santé dans les zones défavorisées pourrait également être amélioré grâce à une cartographie numérique des besoins et à une répartition plus équitable des ressources humaines en santé.

Par ailleurs, face à l’accès restreint aux marchés de capitaux, la Tunisie gagnerait à diversifier ses sources de financement, en structurant davantage de projets bancables, éligibles au financement mixte associant ressources publiques, concessionnelles et privées. Les dispositifs publics de garantie, tels que la SOTUGAR, devraient être étendus pour faciliter le crédit aux PME et soutenir les projets à forte composante verte. La mise en place de bons d’investissement à destination de la diaspora permettrait de capter une part plus importante des transferts de fonds pour des projets productifs. D’autre part, la valorisation d’actifs publics sous-utilisés, notamment fonciers, à travers des concessions encadrées, représenterait une source additionnelle de capital mobilisable.

À moyen terme, la BAD souligne que la création d’un cadre institutionnel pour un fonds souverain permettrait de stabiliser les revenus issus des ressources naturelles et de financer des projets stratégiques intergénérationnels.

Toujours selon la banque, l’intégration des PME dans les chaînes de valeur nationales et régionales devrait être appuyée par des mécanismes ciblés, incluant des dispositifs de labellisation, des garanties financières et un accompagnement technique. Les programmes de formation technique devraient être mieux alignés avec les besoins des secteurs prioritaires, en étroite collaboration avec le secteur privé. L’élargissement de l’assiette fiscale passera par sur une mise à jour du cadastre, l’automatisation des contrôles fiscaux et une stratégie progressive de formalisation de l’économie informelle.

Le développement du marché obligataire domestique, notamment à travers les obligations vertes et les émissions spécifiques aux PME, offrirait une nouvelle source de financement local, tout en promouvant des investissements durables.

À long terme, la BAD considère que la Tunisie pourrait investir stratégiquement dans les énergies renouvelables à grande échelle, telles que le solaire et l’hydrogène vert, en tant que moteurs de transformation économique.

Parallèlement, la modernisation du système éducatif devra se poursuivre, avec un accent particulier sur les STIM (Sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) ainsi que sur l’orientation professionnelle. Enfin, une réforme progressive de la masse salariale publique et l’institutionnalisation de l’évaluation systématique des dépenses permettront de renforcer la soutenabilité budgétaire et d’améliorer l’efficacité de l’action publique à long terme.

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Tunisie : le déficit commercial atteint 9,9 milliards de dinars à fin juin 2025

Le déficit de la balance commerciale s’est creusé de 23,5%, à 9 900,5 MD, à fin juin 2025, contre 8 017,4 MD durant la même période de 2024, indique l’Institut National de la Statistique (INS) dans une note sur le Commerce Extérieur aux prix courants/juin 2025 publiée, vendredi.

Le taux de couverture a atteint un niveau de (76,2%) contre (79,9%) durant la même période en 2024. Ce déficit provient, principalement, de l’énergie (-5214,8 MD), des matières premières et demi-produits (-3257,9 MD), des biens d’équipement (-1588,1 MD) et des biens de consommation (-663,8 MD). En revanche, le groupe alimentation a enregistré un excédent de 824,1 MD.

Hors énergie, le déficit de la balance commerciale s’est réduit à (-4685,7 MD), tandis que le déficit de la balance énergétique s’est établi à (-5214,8MD), contre (-5794,1 MD) durant le premier semestre de l’année 2024.

Les résultats des échanges commerciaux de la Tunisie avec l’extérieur aux prix courants durant le premier semestre de l’année 2025, révèlent que les exportations ont atteint le niveau de 31773,7 MD contre 31953,8 MD durant le premier semestre l’année 2024.

Quant aux importations, elles ont atteint le niveau de 41674,2 MD contre 39971,2 MD durant la même période de l’année 2024.

Selon les secteurs d’activités, les exportations ont enregistré une hausse dans le secteur des mines, phosphates et dérivés (+ 11,2%,), dans le secteur des industries mécaniques et électriques de (+6,2%), dans le secteur textile, habillement et cuirs de (+0,4%).

Par ailleurs, les exportations ont enregistré une baisse dans le secteur de l’énergie de (-36,3%) sous l’effet de la diminution de nos ventes de produits raffinés (245,6MD contre 950,4 MD), ainsi que le secteur des industries agro-alimentaires (-19,1%) à la suite de la baisse de la valeur de nos ventes en huiles d’olive (2346,6 MD contre 3406 MD).

S’agissant de la répartition géographique, les exportations tunisiennes vers l’union européenne, (70,3% du total des exportations) ont atteint, durant le premier semestre de l’année 2025, la valeur de 22348,9 MD contre 22332,6 MD durant la même période de 2024.

Les exportations sont en hausse avec l’Allemagne (+15,2%), la France (+4,8%) et les Pays Bas (+12,4%).

En revanche, elles ont baissé avec l’Italie (-7,1%) et l’Espagne (-31,9%). Vers les pays arabes, les exportations ont augmenté avec la Libye (+18,7%), le Maroc (+40,9%), l’Algérie (+27,8%) et l’Égypte (+44,7%)

S’agissant des importations, elles ont enregistré une hausse au niveau des biens d’équipement de (+17,6%), des matières premières et demi-produits de (+6,2%). De même, les importations des biens de consommation sont progressé de (+11,6%).

En revanche les importations de produits énergétiques ont enregistré une baisse de (-16,3%) et les produits alimentaires de (-2%).
Les importations avec l’union européenne (44% du total des importations), ont atteint 18354 MD contre 17601,9 MD durant le premier semestre de l’année 2024. Elles ont augmenté avec la France (+13,4%), l’Italie (+1,4%) et l’Allemagne (+10,6%). En revanche, elles ont baissé avec la Grèce (-28,5%) et la Belgique (-4,1%).

Hors union européenne, les importations ont augmenté avec la Chine (+37,7%) et la Turquie (+15,4%). En revanche elles ont enregistré une diminution avec la Russie (-20,1%) et l’Inde (-16,5%).

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BAD : croissance modérée et inflation en recul en Tunisie d’ici 2026

En Tunisie, la croissance économique devrait atteindre 1,9 % en 2025, puis 2,3 % en 2026, soutenue par les performances attendues dans les secteurs de l’agriculture et de l’industrie manufacturière, révèle la Banque Africaine de Développement (BAD) dans un rapport pays publié, jeudi.

Pour ce qui est de l’inflation, elle devrait poursuivre sa trajectoire à la baisse, pour s’établir à 6,4 % en 2025 et à 6,1 % en 2026, sous l’effet conjugué d’une politique monétaire restrictive et d’une baisse des pressions inflationnistes à l’échelle mondiale, souligne la BAD dans ce rapport intitulé ” Tirer le meilleur parti du capital de la Tunisie pour favoriser son développement”.

Le déficit budgétaire devrait se réduire progressivement, atteignant 5,3 % du PIB en 2025 et 4,9 % 2026, en lien avec les efforts de consolidation budgétaire et une amélioration de la mobilisation des ressources domestiques. En revanche, le déficit du compte courant devrait se creuser à 2,2 % du PIB en 2025 et 3,3 % en 2026, en raison, principalement, d’une augmentation anticipée des importations.

S’agissant des risques, la BAD a estimé que les perspectives économiques de la Tunisie demeurent fragiles, en raison d’un environnement international marqué par une incertitude persistante, expliquant que les tensions commerciales mondiales ainsi que les conflits géopolitiques dans la région pourraient peser sur la demande extérieure, accroître les coûts d’importation et perturber les chaînes de valeur, avec des répercussions potentielles sur la compétitivité de l’économie nationale.

A cela s’ajoutent la volatilité des prix des matières premières qui est de nature à raviver les pressions inflationnistes, ainsi que l’accès limité aux financements extérieurs, conjugué à des tensions budgétaires internes qui pourraient accentuer les vulnérabilités macroéconomiques.

Selon l’institution financière, une hausse prolongée des taux d’intérêt à l’échelle internationale alourdirait le coût du service de la dette et exercerait une pression dépréciative sur le dinar, ce qui fragilerait davantage la position extérieure du pays.

Parmi les autres risques, la Banque évoque la dette publique dont le profil actuel accroît les risques de refinancement. Par ailleurs, le solde du compte courant demeure exposé aux fluctuations des prix de l’énergie et des produits alimentaires.

Pistes pour renforcer la résilience économique de la Tunisie

Pour renforcer sa résilience économique, la Tunisie est appelée à poursuivre la diversification de ses partenariats commerciaux et sa gouvernance budgétaire rigoureuse et sa politique monétaire prudente, en vue d’améliorer durablement son accès au financement et de consolider sa stabilité macroéconomique, souligne la même source.

La Banque a recommandé de mettre en place une approche progressive et intégrée, articulant des politiques macroéconomiques adaptées à des réformes structurelles à court, moyen et long termes.

Ainsi, à court terme, les autorités devraient accélérer l’exécution des projets inscrits au budget, en particulier dans les secteurs prioritaires tels que les infrastructures, l’énergie, la santé et le numérique, et ce, à travers la simplification des procédures de passation des marchés publics, le renforcement des capacités des unités d’exécution, ainsi que l’instauration d’un système centralisé de suivi et d’évaluation des projets.

La BAD a, aussi, mis l’accent sur l’impératif d’intensifier la digitalisation de la gestion budgétaire et fiscale, notamment à travers l’intégration des systèmes de télédéclaration, la généralisation du paiement électronique, et l’interconnexion des bases de données fiscales et douanières, en vue d’améliorer la mobilisation des recettes et de renforcer la transparence.

Pour ce qui est de l’amélioration du climat des affaires, elle a insisté sur l’importance de simplifier le code des changes, d’adopter un cadre opérationnel pour les partenariats public-privé (PPP), et de réduire les délais de traitement des litiges économiques.

La Banque centrale, pour sa part, devrait poursuivre sa politique visant à contenir l’inflation tout en soutenant l’octroi de crédits à l’investissement productif, ajoute la même source.

A moyen terme, la Tunisie est appelée à engager une réforme fiscale structurante impliquant l’élargissement de l’assiette fiscale (notamment à travers la fiscalité foncière et une meilleure imposition du secteur informel), la rationalisation des exonérations, ainsi que la modernisation de l’administration fiscale par l’automatisation des contrôles et le renforcement des mécanismes de recouvrement forcé.

La restructuration des entreprises publiques en vue d’améliorer leur performance et leur viabilité, la mise en place d’une cellule de facilitation dédiée aux investisseurs dans les secteurs stratégiques assortis d’un dispositif d’incitations claires, stables et transparentes afin de cibler les IDE à fort contenu technologique, figurent aussi parmi les recommandations formulées par la Banque à moyen terme.

A long terme, l’institution financière a insisté sur l’intégration des PME dans les chaînes de valeur exportatrices, le renforcement des mécanismes de garantie, la promotion de pôles de compétitivité régionaux (clusters), et l’accompagnement à la certification qualité.

Evoquant le secteur informel, elle a souligné que sa formalisation nécessitera l’adoption de régimes fiscaux simplifiés, la poursuite de la digitalisation des services publics, ainsi que l’élargissement de l’accès au microcrédit, adossé à des dispositifs d’appui technique et de renforcement des capacités.

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Valeo Ben Arous lance un programme éducatif inédit pour sensibiliser les enfants aux enjeux du numérique

Dans le cadre de son engagement en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), Valeo lance une initiative innovante destinée à initier les enfants de 5 à 10 ans aux fondamentaux du numérique, de la logique et de la technologie. Ce programme, inspiré de la pédagogie Montessori, se distingue par une approche entièrement sans écran, favorisant les activités manuelles, collaboratives et sensorielles.

Une pédagogie ludique et responsable

Loin des écrans et des interfaces classiques, les ateliers proposés par Valeo visent à développer, dès le plus jeune âge, une compréhension intuitive du monde numérique.

Au programme :

-des jeux de logique pour découvrir les bases du code ;

-des parcours interactifs pour initier à la pensée algorithmique ;

-des défis collaboratifs pour stimuler la créativité et l’autonomie ;

En s’appuyant sur des outils concrets, les enfants apprennent à résoudre des problèmes, à raisonner et à travailler en équipe, tout en développant leur intelligence émotionnelle.

Former les citoyens numériques de demain

À l’heure de la transition digitale, Valeo entend accompagner les jeunes générations pour en faire des utilisateurs éclairés de la technologie, capables de comprendre les mécanismes du numérique plutôt que d’en être de simples consommateurs. Ce projet éducatif reflète la volonté du groupe de participer activement à la réduction des inégalités d’accès aux compétences technologiques.

Une initiative à vocation inclusive

Le programme sera lancé dans un premier temps au profit des enfants des salariés de Valeo. Il sera ensuite élargi, en collaboration avec des experts pédagogiques et des partenaires locaux, aux écoliers des zones rurales. L’ambition est claire : démocratiser les compétences numériques dès l’enfance et encourager un usage raisonné, éthique et créatif de la technologie.

Valeo, un acteur engagé pour une mobilité et une société durable

Avec plus de 100 000 collaborateurs à travers le monde et un chiffre d’affaires de près de 22 milliards d’euros, Valeo est un acteur majeur de l’équipement automobile, reconnu pour ses innovations en matière d’électrification, de conduite autonome et d’éclairage intelligent. À travers ce programme, le groupe affirme sa volonté d’inscrire sa stratégie RSE dans une logique d’impact social durable, en cohérence avec les défis technologiques et sociétaux à venir.

 

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Eau, énergie, transport : les grands axes de la future coopération entre la BEI et la Tunisie

La coopération future entre la Tunisie et la Banque européenne d’investissement (BEI) pourrait être axée sur des projets d’efficacité énergétique, de lutte contre la déperdition de l’eau potable et d’amélioration de la mobilité ferroviaire, a déclaré le représentant de la BEI en Tunisie, Jean-Luc Revéreault.

Dans une interview à l’agence TAP, il a exprimé la disposition de la banque à financer de tels projets, selon les priorités du gouvernement tunisien.

Selon une enquête de la BEI, 60% des PME sondées affirment être confrontées à une concurrence accrue. Que propose la banque pour accompagner ces entreprises dans l’internationalisation ?

Cette enquête sur les défis des PME en Tunisie en 2025, réalisée dans le cadre du « Trade and Competitiveness Programme » (TCP), cofinancé par l’Union Européenne (UE), avait, en effet, pour objectif de comprendre et d’identifier les obstacles à l’internationalisation des PME tunisiennes.

Cette étude a montré que même si le financement demeure une préoccupation majeure pour la majorité des PME tunisiennes, il n’est pour autant, pas le premier obstacle face à leur internationalisation. Le premier obstacle c’est, en effet, le manque de compétitivité des entreprises tunisiennes face à la concurrence internationale, mais aussi régionale.

Le faible degré de préparation de ces entreprises à l’entrée en application de certaines barrières non tarifaires, telles que le mécanisme européen d’ajustement carbone aux frontières constitue un défi majeur pour les PME tunisiennes.

Partenaire de longue date de la Tunisie, la BEI œuvrera, à la lumière des résultats de cette enquête, à mettre en place les instruments d’appui nécessaires pour favoriser l’internationalisation des PME tunisiennes et le verdissement de leurs processus de production et renforcer leur intégration dans les chaînes de valeur.

Le premier instrument mobilisé, à cette fin, c’est la ligne de crédit de 170 millions d’euros, destinée au financement du projet d’Appui à la relance économique des PME et des entreprises de taille intermédiaires tunisiennes. Cette ligne va être déployée dans les semaines à venir après l’achèvement du processus de sélection des intermédiaires financiers.

Un financement de l’Union européenne d’un montant de 8 millions d’euros est mobilisé pour accompagner le déploiement de cette ligne de crédit sous forme d’assistance technique, ciblant, à la fois, les partenaires bancaires et les entreprises bénéficiaires.

Parallèlement, la BEI a mis en place une ligne de garantie de 8 millions d’euros, également sur les fonds de l’Union européenne, auprès de deux banques tunisiennes à savoir la BH Bank et l’UBCI (4 millions d’euros chacune), dans un souci de partage des risques avec les banques locales pour les inciter à appuyer des projets à fort potentiel, mais perçus comme plus risqués. Il s’agit du premier instrument déployé dans le cadre du programme « Trade and Competitiveness Programme » (TCP). S’il parvient à produire l’impact escompté, la ligne de crédit pourrait être renouvelée, avec une enveloppe plus importante et en ciblant davantage de banques.

Le deuxième volet du programme TCP, est celui de l’accompagnement. Les entreprises bénéficiaires seront accompagnées par des consultants mobilisés par la BEI, pour mieux se préparer à l’exportation et à l’intégration dans les chaînes de valeur et ce, dans 3 secteurs porteurs à savoir l’agriculture, le textile et l’automobile. Nous espérons pouvoir accompagner plusieurs centaines d’entreprises.

Pensez-vous que le climat des affaires en Tunisie est aujourd’hui favorable à l’internationalisation des entreprises ?

Je pense que les structures chargées de l’investissement sont en train de fournir de l’assistance nécessaire à ces entreprises pour prospecter de nouveaux marchés, les banques locales essayent, également, d’apporter leur contribution dans la limite de leurs moyens, et nous (partenaires financiers du pays), sommes en train de mobiliser les financements, les garanties et l’assistance nécessaires à chaque fois que nous sommes sollicités.

On pourrait toujours mieux faire, mais je pense qu’indépendamment de la question de l’internationalisation, l’enjeu est plutôt celui de la libéralisation du secteur privé. On a toujours l’impression que le parcours d’un chef d’entreprise en Tunisie demeure extrêmement compliqué et soumis à une multitude de contraintes administratives, réglementaires, fiscales ou autres. La Tunisie gagnerait énormément à alléger et à simplifier ce parcours.

Il est, aussi, nécessaire de réduire les difficultés logistiques et le coût de l’énergie qui influencent énormément, la compétitivité de l’entreprise tunisienne. Le pays dispose de grandes marges d’amélioration, à travers le renforcement des infrastructures logistiques et l’investissement dans les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.

Quel est votre portefeuille de projets en cours en Tunisie ?

Nous sommes très présents dans le secteur de la mobilité et des transports. Quasiment tous les travaux routiers en cours dans le pays sont financés ou cofinancés par la BEI (Projet de la mise en 2X2 voies de la RR27 entre Nabeul et Korba, élargissement de la Route Nationale 13 (GP13) entre Sfax et Kasserine, et la BEI finance, également, le transport urbain avec le RFR et le renouvellement de la flotte de la ligne ferroviaire tunisienne TGM.

Nos projets couvrent, encore, le secteur de l’énergie, dans l’objectif d’appuyer la transition énergétique de la Tunisie (renforcement des réseaux, liaison électrique entre la Tunisie et l’Italie qui a bénéficié d’une subvention de plus de 300 millions d’euros de la part de la Commission européenne, développement des énergies renouvelables). Nous avons, également, mobilisé les fonds nécessaires pour élaborer l’étude relative au projet de station de transfert d’énergie par pompage à Tabarka. Lequel vise à améliorer le stockage d’énergie en Tunisie, en particulier pour faciliter l’intégration des énergies renouvelables.

La BEI finance de nombreux projets dans le secteur de l’eau et de l’assainissement à travers le projet d’appui au secteur de l’eau potable conclu avec la SONEDE et le programme d’investissement dans les zones côtières et de renforcement des capacités de l’ONAS.

Elle travaille, aussi, en étroite collaboration avec la Délégation de l’Union européenne sur l’amélioration des infrastructures sociales à travers des programmes très ambitieux de construction d’établissements scolaires dans tous les gouvernorats tunisiens ainsi que de rénovation de quartiers populaires.

Nous aimerions faire davantage dans le secteur de traitement des déchets solides et de la valorisation des déchets. A ce propos, un projet pilote a été lancé avec les municipalités de Sidi Bousaid, la Marsa et Carthage pour le traitement et la valorisation des déchets ménagers et j’espère que cette expérience pourra aboutir à une coopération plus large avec l’ANGED.

Qu’en est-il de votre stratégie de coopération future avec la Tunisie?

Notre stratégie de coopération future dépendra largement des priorités de la Tunisie qui seront fixées dans le cadre de son plan de développement 2026-2030. Mais il y a certainement des projets qui nous tiennent à cœur et sur lesquels nous avons déjà entamé des négociations avec les structures tunisiennes concernées.

Il s’agit en premier lieu d’un projet d’efficacité énergétique. En effet, les économies d’énergie associées à des investissements plus conséquents en énergies renouvelables pourraient aider le pays à atteindre son autonomie énergétique et à attirer des investissements énergivores tels que les data centers qui connaissent aujourd’hui un grand essor.

Je pense qu’on a souvent tendance à sous-estimer les économies qu’on pourrait faire au profit d’investissements plus visibles (production d’énergie renouvelable, dessalement) bien que les études ont montré qu’économiser les ressources dont on dispose est tout aussi important que d’investir dans de nouvelles ressources.

Nous sommes en discussion avec les autorités sur ce projet d’efficacité énergétique et j’espère que ces négociations pourront aboutir à un partenariat.

Sur un autre plan, nous discutons avec la SONEDE d’un grand projet visant à limiter la déperdition de l’eau potable. Ce projet passera, entre autre, par le renouvellement des réseaux de distribution, l’installation de compteurs intelligents…c’est un projet qui nécessite des investissements colossaux mais on peut prioriser en commençant par les grandes villes ou par les villes qui disposent de stations de dessalement de l’eau de mer car le dessalement d’eau coûte très cher et si l’eau dessalée est perdue dans les réseaux de distribution, ce sera une double perte.

Les études pour ce projet sont faites et le retour sur investissement est certain et nous espérons qu’il sera retenu dans le cadre des priorités futures du gouvernement tunisien.

La BEI négocie également un projet de mobilité ferroviaire avec la SNCFT pour financer la réhabilitation d’un certain nombre de lignes inexploitées et l’amélioration des lignes existantes.

Nous sommes aussi disposés à travailler avec le ministère de la Santé sur un projet de réhabilitation des infrastructures publiques de santé…

Mais tous ces projets, aussi prioritaires et nécessaires qu’ils soient, ne pourront aboutir que si nous sommes sollicités par le gouvernement tunisien pour les financer.

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Tunisie-Bac 2025 : Sfax 1 en tête, Jendouba ferme la marche avec 43,08 %

Avec un taux de réussite général de 71,31% à l’examen du baccalauréat, la délégation régionale de l’Éducation de Sfax 1 vient en tête du classement des délégations régionales à travers le pays au niveau des établissements de l’enseignement public.

Selon les statistiques publiées ce jeudi soir par le ministère de l’éducation, la délégation régionale de Médenine occupe la deuxième place avec 68,96 %, suivie de la délégation de Sfax 2 à la troisième place avec 68,86 %. La quatrième place revient à Sidi Bouzid avec 67,71 %, tandis que Mahdia se classe cinquième avec 63,69 %.

Les délégations régionales de Sousse, Ariana, Monastir, Tunis 1, Nabeul, Ben Arous et Tataouine arrivent respectivement aux rangs 6 à 12, avec des taux de réussite allant de 62,69 % à 60,42 %.

La délégation de Gabès est classée 13e avec 58,93 %, suivie de Tunis 2 (14e) avec 57,97 %, et de Tozeur (15e) avec 57,55 %.

La délégation de Kébili arrive 16e avec 56,06 %, suivie de Manouba (17e, 53,96 %), Bizerte (18e, 53,70 %), Siliana (19e, 52,82 %), Kasserine (20e, 50,86 %), et Le Kef (21e, 50,13 %).

Béja se place en 22e position avec 49,96 %, suivie de Gafsa (23e, 46,28 %), Kairouan (24e, 46,28 %), puis Zaghouan (25e) avec 46,15 %, tandis que Jendouba arrive en bas du classement (26e place) avec 43,08 %.

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Wimbledon : Swiatek qualifiée pour sa première finale à Londres, où elle affrontera Anisimova

La Polonaise Iga Swiatek (N.4 mondiale) s’est qualifiée jeudi pour la première finale de sa carrière à Wimbledon, en écrasant la Suissesse Belinda Bencic (35e mondiale) en deux petits sets (6-2, 6-0).

En finale, prévue samedi, Swiatek affrontera l’Américaine Amanda Anisimova, tombeuse plus tôt de la N.1 mondiale, la Belarusse, Aryna Sabalenka, en trois sets (6-4, 4-6, 6-4).

Davantage à l’aise sur dur et sur terre battue depuis le début de sa carrière, Swiatek s’est qualifiée jeudi pour sa deuxième finale sur gazon d’affilée, deux semaines après avoir perdu la première de sa carrière au WTA 500 de Bad Homburg en Allemagne.

En quête d’un 23e titre depuis son quatrième sacre à Roland-Garros en juin 2024, la première Polonaise de l’ère Open (inaugurée en 1968) à atteindre la finale des quatre Grands Chelems a remporté ses cinq premières finales de tournois majeurs.

Bencic quitte pour sa part Londres avec une deuxième défaite en autant de demi-finales en Grand Chelem.

Elle s’était déjà hissée dans le dernier carré de l’US Open en septembre 2019, quelques mois avant de grimper à la 4e place mondiale, son meilleur classement.

Classée 489e en début d’année, la Suissesse va réintégrer le top 20 à l’issue de Wimbledon.

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Wimbledon : Anisimova bat la N.1 mondiale Sabalenka et rejoint sa première finale à Londres

L’Américaine Amanda Anisimova (12e mondiale) s’est qualifiée en finale du tournoi de Wimbledon, en s’imposant devant la N.1 mondiale Aryna Sabalenka en trois sets (6-4, 4-6, 6-4), en demi-finale disputée jeudi à Londres.

En finale, prévue samedi, Anisimova affrontera pour le titre la Polonaise Iga Swiatek (4e) ou la Suissesse Belinda Bencic (35e).

Anisimova disputait sa première demi-finale à Wimbledon et sa deuxième en Grand Chelem, six ans après s’être hissée à seulement 17 ans dans le dernier carré de Roland-Garros en 2019.

Revenue sur le circuit en janvier 2024 après avoir pris une pause de plus de six mois pour se ressourcer mentalement, Anisimova (23 ans) s’est offert sur le Central de Wimbledon sa première victoire contre une N.1 mondiale, et sa sixième contre Sabalenka (pour trois défaites), la joueuse qu’elle a le plus souvent dominée sur le circuit.

Plus jeune demi-finaliste américaine à Wimbledon depuis Serena Williams en 2004, Anisimova pourrait devenir samedi la troisième Américaine en trois Grand Chelem à remporter un tournoi majeur en 2025, après Madison Keys à l’Open d’Australie et Coco Gauff à Roland-Garros.

Promise au top 10 pour la première fois de sa carrière à l’issue de Wimbledon, Anisimova compte trois titres sur le circuit, dont le prestigieux WTA 1000 de Doha en février, mais aucun sacre sur gazon.

De son côté, la Bélarusse de 27 ans a échoué jeudi pour la troisième fois en demi-finale de Wimbledon, après avoir déjà calé à ce stade en 2021 et en 2023.

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Tunisie-Bac 2025 : les mathématiques et le sport dominent les taux de réussite en Tunisie

La taux général de réussite à l’examen du baccalauréat 2025, pour ses deux sessions (principale et de contrôle), a atteint 52,59 %, après la réussite de 76 178 élèves parmi un total de 144 858 candidats ayant passé les épreuves écrites des deux sessions.

Le taux de réussite le plus élevé a été enregistré dans la section du sport (88,19 %), suivie à la deuxième place par la section des mathématiques (82,62 %), puis à la troisième place par la section des sciences expérimentales (63,64 %).

La section des sciences de l’informatique est arrivée quatrième avec un taux de 58,39 %, suivie à la cinquième place par la section des sciences techniques (57,61 %), puis à la sixième place par la section de l’économie et de la gestion (42,74 %), tandis que la section des lettres est arrivée dernière avec un taux de 39,17 %.

Pour rappel, le taux général de réussite à l’examen du baccalauréat de l’année 2024 (sessions principale et de contrôle) était de 55,60 %.

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Tunisie-Bac 2025 : taux de réussite de 48,83 % à la session de contrôle, selon le ministère de l’Éducation

Le taux de réussite à la session de contrôle de l’examen du baccalauréat 2025 a atteint 48,83 %, avec la réussite de 22 453 élèves sur un total de 45 979 élèves ayant passé les épreuves écrites de cette session, selon les statistiques publiées par le ministère de l’Éducation, jeudi après-midi.

La section des sciences techniques a enregistré le taux de réussite le plus élevé à la session de contrôle, avec 62,94 %, suivie en deuxième position par la section des sciences expérimentales avec 62,30 %, puis en troisième position par la section du sport avec 61,50 %.

En quatrième position, la filière économie et gestion avec un taux de réussite de 47,74 %, suivie en cinquième position par la section mathématiques avec 44,17 %, puis en sixième position la section lettres avec 37,25 %, tandis que la section informatique occupe la dernière position avec un taux de 32,90 %.

Quant au nombre d’élèves refusés à la session de contrôle du baccalauréat 2025, il s’élève à 23 526 élèves, soit un taux de 51,17 %, selon les statistiques du ministère de l’Éducation.

Pour rappel, le taux de réussite à la session principale de l’examen du baccalauréat 2025 était de 37,08 %, avec 53 721 élèves admis sur un total de 144 863 élèves ayant passé les épreuves écrites de cette session.

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Tunisie : recul de 3 % des exportations de l’habillement à fin mai 2025, malgré un bond du textile

Les recettes des exportations de la filière habillement ont régressé légèrement de 3%, à 3,1 milliards de dinars, au cours des 5 premiers mois de l’année 2025, d’après des données publiées, récemment, par le Centre Technique du Textile (Cettex).

Cette baisse est expliquée par la diminution de l’exportation des vêtements en maille de 10,02%, et des vêtements en chaîne et trame de 0,32%.

En revanche, les exportations du textile ont enregistré une hausse de 30,2%, grâce à l’accroissement des exportations nationales surtout vers l’Algérie (+132,70%) et les Pays Bas (+5,70%).

Evoquant les importations destinées au marché local, la Cettex a fait savoir que les importations de tissus et de vêtements ont progressé respectivement de 14,7% et de 5,32%, contre une baisse des importations de fibres ( -7,92%) et de fils (- 0,75%).

Pour rappel, les exportations globales du secteur du textile et de l’habillement ont enregistré une hausse de 2,61%, pour avoisiner les 4 milliards de dinars, à fin mai 2025, tandis que les importations de la filière ont augmenté de 5,41%, à 3,1 milliards de dinars.

Près de 87% de l’ensemble de ses exportations sont destinés au marché européen, notamment la France, l’Italie, l’Allemagne, la Hollande, la Belgique, l’Espagne, le Portugal…, ainsi que le Royaume-Uni et les Etats Unis.

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