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La Bibliothèque Verte renaît au cœur du parc du Belvédère

La Bibliothèque Verte, située au cœur du parc du Belvédère, a été entièrement rénovée pour se transformer en un espace vivant et accessible à tous. Lieu propice à la lecture, aux jeux, à l’apprentissage et à la rêverie en plein air, elle rouvrira ses portes dimanche 22 juin 2025 avec un programme festif et éclectique.

Les visiteurs pourront découvrir un fonds documentaire enrichi, une nouvelle salle d’exposition dédiée à l’art nature et à l’art environnemental, ainsi qu’une scène ouverte et des espaces extérieurs aménagés pour lire à l’ombre des arbres.

Dès 10h00, des ateliers créatifs autour du livre seront proposés, parmi lesquels « La Balade des mots », un atelier d’écriture bilingue (arabe et français) inspiré par une promenade en nature, « Contes sous les arbres », des lectures animées et des spectacles de marionnettes pour tous les âges, « Signets nature », une activité de fabrication de marque-pages végétaux, et « La chasse aux mots verts », un jeu de piste ludique organisé dans la bibliothèque.

À 11h00, le vernissage de l’exposition « Murmures zoopoétiques » marquera un temps fort de cette journée. Illustrations, photographies et sculptures entreront en dialogue autour du vivant, avec les artistes Nesrine El Amine, Bader Klidi et Pol Guillard. Leurs œuvres, entre traces, récits et présences invisibles, interrogent notre rapport au monde animal à travers une démarche artistique poétique et engagée.

Présentée jusqu’au 28 juin 2025 dans le local de l’Association des Amis du Belvédère (AAB), cette exposition collective réunit trois artistes aux univers distincts : Bader Klidi, artiste pluridisciplinaire mêlant peinture, sculpture, musique et art digital; Nesrine El Amine, artiste visuelle et commissaire d’exposition; et Pol Guillard, photographe professionnel installé en Tunisie depuis 2006.

Un voyage musical en clôture

La journée s’achèvera en beauté avec une performance musicale de Yasmine Trabelsi. Mêlant sonorités du monde, sa voix envoûtante, sa guitare et son oud transporteront le public dans un voyage artistique sous les arbres des cinq continents. Une réouverture placée sous le signe de la culture, de la nature et de la convivialité.

Avec TAP

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Tabarka – Aïn Draham : un premier vol charter polonais ouvre la saison touristique

L’aéroport de Tabarka-Aïn Draham a connu ce lundi un événement significatif avec l’arrivée d’un vol charter en provenance de Katowice (Pologne), transportant 189 passagers. Ce vol inaugural, opéré par la compagnie polonaise Smart Wings, ouvre officiellement la saison touristique dans la région et symbolise la reprise du trafic aérien sur cette plateforme.

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’une stratégie concertée entre le ministère des Transports, le ministère du Tourisme, l’Office de l’aviation civile et les autorités locales, tous mobilisés pour relancer l’activité de l’aéroport.

Infrastructure clé du nord-ouest tunisien, l’aéroport – opérationnel depuis 1992 et d’une capacité d’accueil de 250 000 passagers – a récemment bénéficié d’une modernisation de ses équipements et d’un renforcement de son personnel, afin d’en optimiser les performances. Située à 13 km de Tabarka, cette plateforme de 240 hectares s’impose désormais comme un levier essentiel pour le développement économique et touristique de la région.

Avec TAP

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Météo – 35 degrés attendus en Tunisie ce 17 juin 2025

Selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM) pour mardi 17 juin 2025, le temps sera clair sur l’ensemble du pays. Et les températures oscilleront entre 25 °C et 35 °C.

La mer sera calme à légèrement agitée.

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Reconstruction en Libye : appel à une action tunisienne renforcée

Des membres du groupe de coopération parlementaire avec les pays arabes ont exprimé leur volonté de voir la Tunisie jouer un rôle plus actif dans le dossier de la reconstruction de la Libye, appelant à une diplomatie plus dynamique et stratégique pour renforcer la présence tunisienne dans ce processus régional majeur.

L’appel a été lancé lors d’une réunion de concertation tenue lundi au Parlement avec des représentants du ministère des Affaires étrangères, indique un communiqué officiel.

Zones franches, coopération régionale et cause palestinienne au cœur des échanges

Les députés ont également plaidé pour la réactivation des zones franches avec l’Algérie et la Libye, qu’ils considèrent comme un levier important pour booster les échanges économiques et la coopération transfrontalière.

Ils ont souligné l’importance de redynamiser le rôle du Parlement arabe en tant qu’outil de dialogue et de promotion de l’action arabe commune, notamment sur les plans politique et économique.

Dans le même esprit, les élus ont réaffirmé leur soutien aux initiatives populaires en faveur de la cause palestinienne, saluant les élans de solidarité exprimés dans plusieurs pays arabes.

Un soutien affirmé au processus politique en Libye et à l’unité maghrébine

La réunion a permis d’examiner les perspectives du règlement politique en Libye, ainsi que le rôle que la Tunisie pourrait jouer pour soutenir les efforts de stabilisation et de dialogue dans le pays voisin.

Les députés ont également mis en avant la relation stratégique avec l’Algérie, et ont appelé à relancer les mécanismes de coopération maghrébine, dans un contexte régional en mutation.

La diplomatie parlementaire, un appui à la politique étrangère tunisienne

Pour leur part, les représentants du ministère des Affaires étrangères ont souligné le rôle essentiel que peut jouer le Parlement en tant que bras diplomatique complémentaire, à travers une participation proactive aux rencontres internationales et aux forums régionaux.

Ils ont rappelé les principes fondamentaux de la politique étrangère tunisienne, fondée sur :

  • Le soutien constant à la cause palestinienne;

  • Le respect de la souveraineté des États;

  • La non-ingérence dans les affaires intérieures;

  • Et la promotion de la solidarité interétatique et populaire.

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Tunisie – Déjà plus de 120 incendies et 200 ha de cultures et de forêts détruits

Le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche annonce que 121 incendies ont été enregistrés entre le 1er et le 15 juin, détruisant plus de 200 hectares de cultures et de forêts à travers le pays.

Face à cette situation préoccupante, une réunion de crise s’est tenue lundi au siège du ministère, sous la présidence du ministre de l’Agriculture, Ezzedine Bencheikh, pour examiner les mesures d’urgence à adopter afin de freiner la propagation des incendies.

Préserver les récoltes et les forêts : une priorité nationale

« La protection des récoltes céréalières et du couvert forestier est une priorité absolue », a déclaré le ministre, insistant sur le caractère collectif de cette responsabilité et la nécessité d’une coordination renforcée entre toutes les parties concernées.

Un état des lieux des incendies survenus depuis le début de la saison agricole a été présenté, mettant en lumière l’ampleur des pertes et les zones les plus vulnérables. Les participants ont également passé en revue les dispositifs de prévention et d’intervention rapide déjà en place.

Un plan d’action immédiat et des enquêtes conjointes

Le ministre a ordonné la mobilisation renforcée des équipes opérationnelles, qu’elles soient humaines ou logistiques, sur le terrain, et a insisté sur l’intensification des actions de surveillance, de sensibilisation et de lutte contre les départs de feu.

Par ailleurs, il a recommandé la création de commissions d’enquête conjointes chargées d’analyser les causes des incendies. Un plan d’action immédiat a également été demandé pour contenir les risques, protéger les cultures et préserver le patrimoine forestier national.

Un appel à la vigilance et à la responsabilité collective

Alors que les températures estivales s’installent, les autorités appellent à la vigilance de tous, notamment les agriculteurs, les exploitants forestiers et les riverains, afin de limiter les comportements à risque et de signaler rapidement tout départ de feu.

Le ministère assure qu’il poursuivra ses efforts de prévention et d’intervention, en partenariat avec les institutions de la protection civile, les gouvernorats et les forces de sécurité.

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Désinformation numérique : les journalistes appelés à reprendre la main

Lors d’une table ronde organisée le 16 juin par le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), experts et professionnels ont tiré la sonnette d’alarme sur la prolifération de la désinformation dans l’espace numérique tunisien.

Zied Dabbar, président du SNJT, a critiqué une régulation jugée « répressive » et appelé les journalistes à plus de responsabilité : « Le public a droit à une information exacte, non trompeuse ».

Hamida El Bour, professeure à l’IPSI, a pointé le flou autour du statut de journaliste et alerté sur les dérives éthiques dans les contenus publiés, y compris sur les réseaux sociaux. Son étude en cours souligne que la déontologie reste souvent ignorée.

Pour Thamer Mekki, fondateur du site Rachma, le numérique a fait émerger une génération d’« influenceurs » plus tournée vers le marketing que vers l’information de qualité.

Le SNJT appelle à un dialogue ouvert entre journalistes, universitaires et citoyens pour reconstruire un espace médiatique crédible et éthique.

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Tunisie – Egypte : entretien téléphonique entre Nafti-Aaty

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, s’est entretenu lundi au téléphone avec son homologue égyptien, Badr Abdel Aaty.

L’entretien était l’occasion de discuter des derniers développements régionaux et de la nécessité d’une coordination diplomatique arabo-islamique pour prévenir leurs répercussions sur la sécurité et la stabilité, tant au niveau régional que mondial, lit-on dans un communiqué.

Les deux responsables ont souligné la profondeur des liens unissant Tunis et Le Caire et réaffirmé leur volonté d’intensifier la coopération bilatérale au service des intérêts communs des deux pays à l’approche des prochaines échéances bilatérales.

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Ahmed Gadhoum reconduit au STAB de l’UNESCO pour un mandat de quatre ans

Ahmed Gadhoum, expert en archéologie subaquatique et représentant de la Tunisie, a été reconduit pour quatre ans au Conseil consultatif scientifique et technique (STAB) de la Convention de l’UNESCO de 2001 sur la protection du patrimoine culturel subaquatique.

Directeur du département des études d’archéologie subaquatique à l’Institut national du patrimoine (INP), Gadhoum a participé à plusieurs missions en Méditerranée et au Moyen-Orient. Il a notamment collaboré à des prospections sous-marines à Qalhat, au Sultanat d’Oman, site inscrit au patrimoine mondial.

Le STAB, composé de 14 experts internationaux, accompagne les États dans la mise en œuvre de la Convention, la protection des sites submergés et le renforcement des capacités techniques.

Cette reconduction confirme l’engagement continu de la Tunisie dans la préservation du patrimoine culturel subaquatique.

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TUNINDEX en recul : une séance morose pour les valeurs boursières

Le marché boursier a entamé la semaine sur une note morose. L’indice de référence s’est délesté lundi de 0,99 % à 10 126,24 points, dans un flux bien garni de 10,7 millions de dinars, alimenté par une transaction de bloc d’une valeur de 4,7 millions de dinars portant sur le titre SFBT, selon l’intermédiaire en bourse Tunisie Valeurs.

Le titre TUNINVEST s’est offert la meilleure performance de la séance. Dans un flux dérisoire de 4 mille dinars, l’action de la SICAR a signé une avancée de 3,8 % à 8,300 dinars. Le titre SOTRAPIL a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action du transporteur des hydrocarbures a inscrit une hausse de 2,9 % à 21,100 dinars. La valeur a drainé des échanges de l’ordre de 73 mille dinars.

Le titre ESSOUKNA s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du promoteur immobilier a reculé de 4,4 % à 1,730 dinars dans un volume d’échange de 13 mille dinars. Le titre Euro-Cycles a régressé de 3,8 % à 12,700 dinars. La valeur a amassé un flux de 67 mille dinars sur la séance.

Le titre SFBT a drainé le plus important volume de la séance, soit 45 % du total des échanges. L’action du spécialiste en boissons gazeuses et alcoolisées s’est effritée de 0,3 % à 12,000 dinars, en alimentant le marché avec des capitaux de 4,8 millions de dinars, grâce à une transaction de bloc d’une valeur de 4,7 millions de dinars.

Avec TAP

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Hyundai Tunisie relance le roadshow STARIA 9 Places : une tournée au service des professionnels du transport

Alpha Hyundai Motor, représentant officiel de la marque sud-coréenne Hyundai en Tunisie, annonce le coup d’envoi de la deuxième édition de son roadshow national dédié au modèle Hyundai STARIA 9 Places, à partir du 11 juin 2025.

Forte du succès rencontré lors de la première édition en 2022, cette nouvelle tournée ambitionne de rapprocher encore davantage Hyundai Tunisie des acteurs du transport collectif. Elle leur propose une expérience terrain complète autour d’un véhicule conçu pour répondre à leurs exigences en matière de confort, de robustesse et de rentabilité.

STARIA 9 Places : l’allié idéal pour les professionnels

Avec son design avant-gardiste, son espace intérieur généreux et sa motorisation efficace, le Hyundai STARIA 9 Places s’impose comme un véhicule de référence dans les secteurs du transport touristique, des grands taxis et des louages.

Au programme du roadshow : essais dynamiques, démonstrations techniques et échanges directs avec les experts Hyundai. L’objectif : offrir aux chauffeurs, exploitants et partenaires l’occasion de tester les performances du véhicule dans des conditions réelles.

Les détails de l’itinéraire de la tournée, les spécificités techniques du modèle, ainsi qu’un ensemble de supports visuels sont disponibles en pièce jointe.

Une vision claire pour le transport collectif en Tunisie

« À travers ce roadshow, nous réaffirmons notre volonté d’accompagner les professionnels tunisiens avec des solutions pratiques, fiables et innovantes », souligne Mehdi Mahjoub, Directeur Général de Hyundai Tunisie.

« Le STARIA 9 Places combine ergonomie, sécurité et efficacité, tout en maîtrisant les coûts d’exploitation. C’est un outil de travail pensé pour les réalités du terrain. »

Un engagement durable et reconnu

Cette initiative s’inscrit dans la stratégie de Hyundai Tunisie d’accompagnement de proximité et d’amélioration continue. La marque, récemment élue “Service Client de l’Année 2025” pour la quatrième année consécutive, continue d’investir dans l’expansion de son réseau avec plus de 20 agences à travers le pays et l’ouverture de nouveaux centres de services rapides.

Hyundai Tunisie assure également la sérénité de ses clients grâce à une garantie constructeur de 5 ans, l’une des plus longues et rassurantes du marché.

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Samir Majoul : « La décarbonisation est une question de survie économique »

Le président de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), Samir Majoul, a insisté sur la nécessité de créer un Observatoire de la décarbonisation industrielle, fruit d’un partenariat entre l’UTICA et le gouvernement. Cette structure aura pour mission de centraliser les données, les bonnes pratiques et les indicateurs de performance des entreprises engagées dans cette transition.

Cette annonce a été faite lors d’un atelier de réflexion organisé à Tunis sur le thème « Face au changement climatique : enjeux et stratégies de décarbonisation ». De même, il souligne l’urgence d’adapter les modèles industriels tunisiens aux nouvelles contraintes environnementales et commerciales.

Un impératif économique et environnemental

« La décarbonisation n’est plus une option, mais une nécessité », a déclaré Samir Majoul. Tout en rappelant que la Tunisie s’est engagée, dans le cadre de l’Accord de Paris et de ses contributions déterminées au niveau national (CDN), à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 45 % d’ici 2030.

Or, atteindre cet objectif nécessiterait une mobilisation financière de 14,4 milliards de dollars. Soit un défi de taille pour les entreprises tunisiennes, notamment les PME qui représentent l’épine dorsale de l’économie nationale.

« La réalité économique transforme la décarbonisation d’un enjeu environnemental en impératif de survie », a-t-il insisté. D’ailleurs, il évoque l’entrée en vigueur, dès 2026, du mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF) de l’Union européenne. Ce dispositif imposera des surcharges carbone sur les exportations tunisiennes vers l’UE, qui absorbe plus de 75 % des ventes à l’étranger du pays.

Coopération, financement et expertise locale

Pour réussir cette transition, Samir Majoul a appelé à :

  • Un dialogue public-privé pour identifier les leviers et outils nécessaires;

  • Une plateforme de financement vert dédiée aux entreprises tunisiennes;

  • Un centre d’expertise nationale en comptabilité carbone, afin de réduire la dépendance aux consultants étrangers.

Slim Jaoued, chargé de programme à la Fondation Konrad Adenauer (KAS), a abondé dans ce sens. Soulignant que la décarbonisation est une opportunité pour construire une société plus résiliente et plus juste. « Cela nécessite une intelligence collective, mobilisant experts, chercheurs, entreprises et associations », a-t-il déclaré.

Un marché carbone tunisien?

Sami Marrouki, président du Réseau Pacte Mondial Tunisie et de l’IRSET, a plaidé pour la création d’un marché carbone local, où les transactions s’effectueraient en dinars tunisiens. Il a également appelé à reporter l’application du MACF, arguant que la Tunisie n’est pas encore prête à y faire face.

Ce mécanisme européen imposera des coûts supplémentaires sur les importations de produits à forte empreinte carbone, notamment dans les secteurs du fer, de l’acier, du ciment, des engrais et de l’électricité.

Avec TAP

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Guerre Iran/Israël : l’IA, nouveau centre de gravité stratégique

Le conflit entre Israël et l’Iran révèle un tournant majeur dans l’art de la guerre : la puissance ne repose plus uniquement sur l’aviation, mais sur une intégration croissante de l’intelligence artificielle (IA) dans l’ensemble des systèmes de combat, en l’occurrence missiles, drones, avions.

ParMahjoub Lotfi Belhedi*

IA : le nouveau cerveau de la guerre

L’IA révolutionne chaque segment de la guerre moderne :

  • Drones : capables d’opérer en essaim, de coordonner des frappes autonomes et de contourner les défenses ennemies. Ils s’appuient sur l’IA pour la navigation, la détection de cibles et l’attaque en temps réel.
  • Missiles hypersoniques : grâce à l’intelligence artificielle embarquée, ces armes ultra-rapides adaptent leur trajectoire en vol, rendant leur interception quasi impossible.
  • Aviation de combat : les avions de nouvelle génération intègrent des systèmes IA pour le ciblage, la communication interplateforme et la gestion des menaces en temps réel. Ils deviennent des nœuds intelligents dans un réseau de guerre interconnecté.

Vers la fin d’une hégémonie, l’avènement d’un écosystème hybride

L’aviation seule ne suffit plus. Désormais, la supériorité militaire repose sur la synergie entre aéronefs pilotés, drones autonomes et missiles intelligents, tous connectés, optimisés et coordonnés par l’IA. Cette hybridation rend la guerre plus rapide, plus mobile et moins dépendante du facteur humain.

Une guerre d’essence algorithmique

La guerre moderne bascule vers un nouveau paradigme où l’algorithme remplace la manœuvre et où la victoire se joue à la vitesse des processeurs. L’IA devient l’arme décisive à la fois invisible et prédictive dans un théâtre où missiles, drones et avions ne sont plus que des vecteurs d’intelligence.

En guise de conclusion, plutôt que de s’en tenir aux recettes militaro-stratégiques de « Sun Tzu » ou de « Clausewitz », l’IA représente une rupture avec les paradigmes traditionnels de « l’art de faire la guerre », imposant une réévaluation profonde de la nature de la stratégie et du commandement militaire.

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* Chercheur en réflexion stratégique & digitale //CEO d’un cabinet spécialisé en transformation IA

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Startups – La Tunisie dans le top 20 mondial des écosystèmes innovants!

La Tunisie s’impose de plus en plus comme une terre d’innovation : selon la 13ème édition du Global Startup Ecosystem Report (GSER) publié par Startup Genome.  Elle figure parmi les 20 meilleurs écosystèmes mondiaux de startups et se positionne 3ème dans la région MENA pour l’indice de « talent abordable ».

Dévoilé lors du salon « Viva Technology 2025 » à Paris — le plus grand événement européen dédié aux startups —, ce rapport d’envergure mondiale est issu d’une analyse de données provenant de plus de 5 millions d’entreprises, couvrant 350 écosystèmes d’innovation à travers le monde. Il s’agit de la recherche la plus complète sur le sujet.

Une valeur de 113 milliards de dollars générée

Entre juillet 2022 et décembre 2024, l’écosystème tunisien a généré une valeur estimée à 113 milliards de dollars, mesurée selon les valorisations des startups et les opérations de sortie (exits). Cette performance le hisse dans le top 20 mondial.

MENA : la Tunisie, un acteur régional incontournable

En plus de sa 3ème place pour le « talent abordable », la Tunisie se distingue par :

  • Une 2ème place dans la région MENA pour le « rapport qualité/prix » (longévité du financement par levée de fonds).
  • Une présence dans le Top 10 pour l’indice « Financement ».
  • Le Top 15 pour les indices « Talent & Expérience » et « Connaissance » (recherche, innovation, brevets).

Ces indicateurs traduisent la maturité croissante de l’écosystème tunisien, sa capacité à attirer et former des talents et son dynamisme en matière d’investissement.

Trois piliers forts : GreenTech, HealthTech et IA

L’innovation tunisienne se structure autour de trois secteurs porteurs :

  • L’économie verte, soutenue par des projets d’énergie propre et des ambitions en matière d’hydrogène vert.
  • La HealthTech, renforcée par des initiatives comme Flywheel.
  • L’intelligence artificielle, dynamisée par le lancement du AI Innovation Hub.

Ces secteurs bénéficient d’infrastructures deeptech en développement et de financements ciblés pour les startups à fort impact.

Des leviers nationaux solides

La position stratégique de la Tunisie, combinée à des talents qualifiés à coûts compétitifs, à des réformes ambitieuses comme le Startup Act et à des mesures incitatives — telles que le fonds ANAVA (113,6 M USD), le futur Visa Digital Nomad, ou la prise en charge CNSS pour les fondateurs — font du pays un pôle attractif pour les entrepreneurs et les investisseurs.

Lire aussi: Tunisie : refonte ou amendement du Startup Act?

Un rapport de référence mondiale

A noter que le GSER 2025 propose une analyse globale des tendances, des flux d’investissement et des politiques publiques propices à l’émergence des startups. Il classe les 40 meilleurs écosystèmes mondiaux, les 100 écosystèmes émergents et propose des classements régionaux détaillés.

Fruit d’une dizaine d’années de recherche indépendante, le rapport est soutenu par un réseau international de partenaires dans environ 65 pays. Startup Genome, l’organisation derrière ce travail, accompagne gouvernements et institutions dans la structuration de stratégies fondées sur des données pour stimuler la croissance des startups.

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Classement WTA : Ons Jabeur rétrograde à la 61e place mondiale

Aïe! Très mauvaise nouvelle la joueuse de tennis tunisienne Ons Jabeur : elle poursuit sa chute au classement mondial WTA publié ce lundi 16 juin. Elle perd sept places supplémentaires et se classe désormais au 61ème rang mondial.

Participant au tournoi de Berlin (WTA 500) disputé sur gazon actuellement, Ons Jabeur, alors classée 54ème mondiale, avait remporté son premier match des qualifications face à la Française Elsa Jacquemot (113ème mondiale), avant de s’incliner au deuxième tour contre la Chinoise Xinyu Wang (49 mondiale) sur le score de 1 set à 2 (1-6, 6-3, 0-6). Cependant, elle a été repêchée comme « lucky loser » pour intégrer le tableau principal.

Elle affronte ce 16 juin au premier tour du tableau principal l’Américaine Caroline Dolehide, classée 64ème mondiale.

A rappeler qu’Ons Jabeur avait remporté le tournoi de Berlin en 2022.

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Consommer autrement pour changer demain : un grand débat à Tunis sur la consommation responsable

Un événement clé sur la consommation responsable se tiendra samedi 21 juin 2025, au siège du Lab’ess, incubateur tunisien dédié aux projets à impact social et environnemental.

Organisé à l’occasion de la sortie du Baromètre Lab’ess 2025 de la consommation responsable, ce rendez-vous veut faire émerger un dialogue citoyen et engagé autour des pratiques de consommation durables.

Vers une consommation plus éthique et plus locale

L’événement réunira experts, acteurs de terrain, entrepreneurs et citoyens autour de tables rondes, pour débattre des enjeux liés à l’environnement, à l’économie circulaire, à la gestion des déchets ou encore aux habitudes de consommation. Au cœur des discussions : comment rendre l’éco-responsabilité accessible à tous.

Un moment phare de la journée : le « Souk responsable », une marketplace éthique et inspirante qui accueillera 30 exposants venus présenter des produits locaux, durables et respectueux de la planète. Au programme : mode éthique, produits bio, jeux pédagogiques, cosmétiques naturels et bien plus encore.

Des chiffres alarmants, un avenir à réinventer

Malgré une prise de conscience croissante chez les Tunisiens, la réalité reste préoccupante :

  • 4,2 milliards de sacs plastiques utilisés chaque année;

  • 572 millions de dinars perdus en gaspillage alimentaire;

  • Nappes phréatiques surexploitées à 119 %;

  • Et moins de 3 % des déchets recyclés, tandis que l’enfouissement reste la norme.

Ces données, révélées par Lab’ess, soulignent l’urgence de repenser notre modèle de consommation.

S’inscrire dans l’Objectif de développement durable n°12

Ce rendez-vous s’inscrit dans le cadre de l’Objectif de Développement Durable 12 (ODD12), qui vise à instaurer des modes de consommation et de production durables. Il appelle citoyens, entreprises et gouvernements à réfléchir à l’impact de leurs choix – de l’achat à la gestion des déchets – sur l’environnement et les sociétés.

Construire ensemble des alternatives concrètes

Soutenu par le projet « Savoirs éco », financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Expertise France, cet événement veut mettre en lumière des solutions concrètes et duplicables. L’idée : encourager des pratiques durables, au niveau individuel comme collectif, et nourrir l’espoir d’une transition écologique réussie en Tunisie.

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Que nous réserve la météo pour le 16 juin 2025?

Selon les prévisions de l’INM (Institut national de la météorologie), lundi 16 juin sera peu nuageux, avec un vent de secteur est et de secteur nord sur le nord et le centre, de faible à modéré puis relativement plus fort sur le sud et sur les côtes nord.

La mer sera peu agitée puis agitée sur les côtes nord.

On assistera à une légère baisse des températures.

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« Kerkena, l’archipel de la charfiya », ou un voyage dans l’histoire millénaire de l’île

Inscrite en 2020 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, la pêche à la charfiya, technique de pêche traditionnelle pratiquée aux îles Kerkena, à 18 km de Sfax, est au coeur d’un nouvel ouvrage qui s’intitule « Kerkena, l’archipel de la charfiya » paru en juin 2025.

Cet opus de 83 pages vient de paraître en coédition entre l’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC) et les Editions du patrimoine Maghreb Méditerranée (EPMM/ALIF) dans la collection Saveurs et savoir-faire.

Dans la même collection sont parus deux autres ouvrages (arabe, français et anglais) autour d’éléments classé au patrimoine mondial, « Potières de Sejnane – sans tour ni four » (janvier 2025) et « La Harissa tunisienne, un livre qui ne manque pas de piment » (mai 2024).

L’île de Kerkennah est évoquée par Hérodote (484-425 av. J.-C.). « Les Carthaginois rapportent qu’auprès des Gyzantes est situé une île dont le nom est Kyranis, longue de deux cents stades, resserrée dans sa largueur, où l’on passe aisément du continent voisin. Elle est couverte d’oliviers et de vignes … J’écris ce que j’ai entendu raconter », indique un texte de l’historien grec.

L’archipel a été connu par les navigateurs en tant que relai/abri et approvisionnement en eau douce. Kerkinitis, Kerkinna, Kerkina ou Cercina chez les Grecs et les Latins, l’ile a conservé la résonnance des appellations antiqus « Kerkena » et « Kerkennah » ou « Qarqna » pour les locaux.

L’ouvrage revient sur l’histoire millénaire de l’archipel depuis l’antiquité jusqu’à notre époque et où les fouilles menées témoignent d’une présence punique très dense.

Il présente cinq chapitres : « Au cœur de l’histoire », Scanner d’un archipel », « Pêches et charfiya », « Les voiles latines » et « Les Kerkeniens ichtyophage » avec une carte de l’archipel, sur deux pages au début du livre.

Le livre est composé de textes de Viviane Bettaieb, une Française passionnée par l’histoire de la Méditerranée qui écrit des textes pour différentes maisons d’édition, Ameur Oueslati universitaire spécialisé en géomorphologie et auteurs de plusieurs livres et articles sur le littoral tunisien et ses Iles, et des photographies de Mohamed Salah Bettaieb, photographe chevronné dont les photographies illustrent de Beaux livres.

La recherche documentaire s’est basée sur plusieurs sources contenues dans les Archives nationales et la Bibliothèque nationale de Tunisie en plus de la collaboration des établissements spécialisés et les habitants de l’archipel.

« Dans ce livre, Kerkennah n’est pas réduit à ses somptueux levers et couchers de soleil, ni aux plaisirs de la mer. Kerkena, l’archipel de la charfiya », est autant de nouvelles fenêtres ouvertes pour vivre une aventure livresque enrichissante, étonnante, en plongeant au cœur de traditions singulières qui ont défié le temps », peut-on lire dans le résumé.

Dans « Kerkena, l’archipel de la charfiya », le lecteur explore l’archipel, son histoire, sa géographie et ses coutumes traditionnelles de pêche et modes de vie à travers des textes, des photos et des dessins.

La couverture du livre porte l’image d’un pêcheur à la charfyia, probablement au lever du soleil, au large de l’archipel de Kerkena, une terre basse qui émerge à peine de l’eau.

Selon le site de l’Unesco, la pêche à la charfiya est une technique de pêche traditionnelle, pratiquée aux îles Kerkennah, qui exploite passivement les conditions hydrographiques, le relief marin et les ressources naturelles sur mer comme sur terre.

La charfiya est une pêcherie fixe qui circonscrit, grâce à des murs de palmes fichées dans le fond marin, un champ triangulaire. Les poissons, entrainés par la marée descendante, s’engouffrent dans des chambres de capture puis dans des filets ou des nasses et ne peuvent plus en ressortir Contrairement à ceux pêchés à l’aide de chaluts qui raclent les fonds marins, les poissons restent vivants et à jeun dans les nasses jusqu’au moment de la levée.

Selon la coutume, la charfiya est installée et utilisée entre l’équinoxe d’automne et le mois de juin pour permettre à la faune marine de se régénérer. Chaque année, la reconstruction de ce dispositif est associée à des pratiques sociales, comme le partage d’un repas ou des prières. La pratique de la pêche à la charfiya suppose une excellente connaissance de la topographie sous-marine et des courants marins.

La plupart des habitants des Kerkennah apprennent à pêcher dès leur plus jeune âge. Il est aussi courant qu’un râїs transmette la pêcherie à son fils aîné pour que la famille en reste propriétaire.

Ce type de pêcherie aurait été ainsi nommé vraisemblablement en référence à la lignée de la famille Charfi qui aurait possédé pendant plusieurs générations, des pêcheries fixes de ce genre. En réalité, cette appellation est générique de plusieurs types de pêcheries fixes dont les noms varient selon leur envergure, leur emplacement et leur orientation, ainsi que la profondeur de la mer.

Avec TAP

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Entreprises cotées – La SOTUMAG, avec 7 MDT de bénéfice net, distribuera plus de 6 MDT de dividendes à ses actionnaires

La Société Tunisienne des Marches de gros (SOTUMAG) annonce que son Assemblée Générale Ordinaire, réunie le 4 juin 2025, a décidé la distribution de dividendes au profit de ses actionnaires, au titre de l’exercice 2024.

La valeur de dividende a été fixée à 0,480 dinar par action, ce qui représente un montant global de l’ordre de 6 336 000 dinars.

« Les dividendes seront mis en paiement à compter du 20 juin 2025 auprès des intermédiaires en bourse et les teneurs de comptes dépositaires », a noté la SOTUMAG, dans une note publiée sur le site de la Bourse de Tunis.

Il convient de noter que la Société a enregistré, durant l’exercice 2024, un bénéfice net s’élevant à 7 058 806 dinars.

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Tunisie – Le secteur privé est en phase avec l’interdiction de la sous-traitance

Des entreprises privées ont commencé à appliquer les dispositions de la nouvelle loi interdisant la sous-traitance, en recrutant directement les agents jusque-là employés sous contrat de sous-traitance ou à durée déterminée. Selon Hafedh Amouri, expert en droit du travail, les derniers agents restants seront intégrés au sein des structures concernées d’ici le mois de juillet.

Adoptée en mai 2025, la loi n°16 modifiant le Code du travail établit le contrat à durée indéterminée (CDI) comme norme, en restreignant sévèrement le recours aux contrats à durée déterminée (CDD), désormais réservés à des cas exceptionnels et justifiés. Elle prévoit également une période d’essai limitée à six mois, renouvelable une seule fois.

Cette réforme s’inscrit dans une stratégie plus large de lutte contre la précarité de l’emploi en Tunisie, déjà amorcée dans le secteur public avec la régularisation progressive de milliers de travailleurs contractuels, notamment les enseignants suppléants et les ouvriers des chantiers, rapporte la TAP.

Hafedh Amouri a reconnu que l’entrée en vigueur de la loi avait suscité des inquiétudes, liées à une compréhension floue de ses modalités d’application et à ses effets potentiels sur l’investissement. Néanmoins, il a souligné que ces craintes s’étaient dissipées rapidement grâce à la clarté des procédures établies.

« La flexibilité offerte par le nouveau texte a permis aux employeurs de régulariser leurs employés sans pour autant alourdir significativement leurs charges », a-t-il expliqué, tout en reconnaissant que l’intégration des agents de sous-traitance représente un coût réel pour les entreprises, selon la même source.

Il a par ailleurs attribué certaines vagues de licenciements observées dans le secteur privé à une mauvaise interprétation de la loi par des employeurs craignant une hausse brutale de la masse salariale. Toutefois, il a écarté le risque d’une augmentation du chômage — actuellement à 15,7 % au premier trimestre 2025 — et prévoit même une baisse d’ici la fin de l’année. Selon lui, les entreprises finiront par reconnaître l’intérêt de sécuriser des postes de travail essentiels et permanents.

Enfin, Amouri a indiqué que les sociétés de sous-traitance opérant dans des domaines tels que la sécurité et le nettoyage ont commencé à se conformer à la nouvelle législation, afin d’éviter les sanctions prévues par la loi.

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