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Assurance automobile : la Tunisie traque les cartes oranges frauduleuses aux postes frontaliers

Le Bureau Unifié Automobile Tunisien (BUAT) entamera, mercredi, 18 juin 2025, l’équipement de 11 postes frontaliers terrestres dont 9 avec l’Algérie et 2 avec la Libye, par des lecteurs de vérification rapide (lecteur QR) afin de lutter contre les opérations de falsification des cartes d’assurance interarabe, connue sous le nom de « carte orange » avant l’entrée sur le territoire tunisien.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, le Directeur général du Bureau, Ahmed Hadroug a indiqué que l’opération de distribution de ces équipements se poursuivra au niveau des postes frontaliers terrestres jusqu’au 25 juin 2025. Les opérations de contrôle de la validité des cartes oranges devraient commencer effectivement, à partir du 1er juillet 2025, a-t-il ajouté.

Et d’expliquer que cette opération s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la falsification des cartes oranges d’assurance automobile, suite à la détection d’opérations de falsification.

Hadroug a fait savoir que l’entrée de voitures libyennes et algériennes munies de cartes oranges falsifiées, que ce soit sous leur ancienne forme papier ou leur nouvelle forme électronique, a été enregistrée. Ces véhicules ont causé des accidents de la route sur le territoire tunisien, ce qui pourrait priver les victimes d’une indemnisation pour les dommages subis.

«La convention de la carte orange stipule que le bureau unifié émetteur de la carte, qui s’avère par la suite falsifiée, n’assume pas les conséquences de ces accidents”, a –t-il précisé.

Le directeur général du BUAT a souligné que le dossier de la carte orange revêt une importance étant donné que l’émission électronique de la carte a débuté, par le côté algérien et libyen, depuis le 1er janvier 2024″, ajoutant qu’en raison de l’augmentation du nombre de cartes électroniques fraudées, il est nécessaire de fournir l’effort nécessaire afin de protéger les droits des assurés et préserver les équilibres financiers du Bureau, selon ses dires.

Il a également souligné, que le bureau a détecté environ 27 cartes falsifiées des voitures libyennes, dont 5 selon le nouveau modèle électronique, pour un montant total de 200 mille dinars, et 4 cartes oranges fraudées provenant de l’Algérie, dont 2 selon le nouveau modèle, pour un montant d’environ 350 mille dinars.

Hadroug a rappelé que le BUAT a conclu, le 1er juin 2025, un accord bilatéral avec la Direction Générale des Douanes visant à équiper tous les postes frontaliers terrestres avec la Libye et l’Algérie d’un système de contrôle rapide de vérification afin de permettre aux agents des douanes de vérifier l’authenticité des cartes oranges présentées par les automobilistes étrangers avant leur entrée sur le territoire tunisien.

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JCI Carthage lance “SmallBizz Boost” : 4 jours d’ateliers pour entrepreneurs débutants

La Jeune Chambre Internationale de Carthage (JCI Carthage) organise, en collaboration avec la Pépinière d’entreprises Carthage Innovation – APII, « SmallBizz Boost », une série d’ateliers pratiques dédiés aux entrepreneurs. Cet événement se tiendra du 23 au 26 juin 2025 dans les locaux de la pépinière d’entreprises.

Selon l’annonce publiée sur la page officielle Facebook de la JCI Carthage, ces sessions s’adressent aux porteurs d’idées, aux entrepreneurs débutants ainsi qu’aux dirigeants de petites entreprises souhaitant développer leurs compétences et structurer leurs projets.

Le programme de ces quatre journées couvre les aspects essentiels de la création et de la gestion d’entreprise : étude financière pour maîtriser les outils de planification, choix de la forme juridique adaptée au projet, étude de marché et analyse concurrentielle, développement du profil entrepreneurial et techniques de communication.

Les participants découvriront également la conception du Business Model Canvas (BMC) et du plan d’affaires pour structurer leur stratégie, ainsi que les obligations fiscales et sociales de l’entreprise.

Cette initiative est le fruit du partenariat entre JCI Carthage et la Pépinière d’entreprises Carthage Innovation APII, une structure d’accompagnement rattachée à l’Agence de Promotion de l’Industrie et de l’Innovation (APII).

Ces ateliers pratiques visent à offrir aux participants les clés pour faire évoluer leurs projets entrepreneuriaux dans un environnement économique en mutation.

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Tunisie : Vers un plan de développement 2026-2030 fondé sur la construction démocratique par la base

Les députés du Conseil national des régions et des districts (CNRD), ainsi que des responsables gouvernementaux ont entamé, mardi, l’examen des grandes lignes reliant la construction démocratique par la base au plan de développement (2026/2030), en vue de parvenir à un ensemble de recommandations.

Intervenant lors de l’ouverture d’une journée d’étude organisée sur le plan de développement et la construction démocratique par la base, en présence du ministre de l’Economie et de la planification Samir Abdelhafidh, le président du CNRD, Imed Derbali a indiqué que  la construction démocratique par la base constitue une nouvelle  orientation stratégique qui sert à l’élaboration du plan de développement et la réponse aux revendications du peuple sans aucune exclusion.

Il a fait remarquer qu’une nouvelle approche participative sera élaborée, laquelle s’appuie sur l’audition des citoyens, à travers les conseils locaux, régionaux et nationaux, ce qui garantit une distribution équitable.

Le ministre a indiqué que près de 1200 sessions d’accompagnement pour les conseils locaux, ont été organisées  jusqu’au 10 juin 2025, précisant que le nouveau plan de développement s’inscrit dans le cadre de la construction démocratique par la base.

Il a ajouté que l’élaboration du plan de développement s’inscrit dans le cadre de la concrétisation des principes de la constitution et du renforcement des piliers de la construction démocratique par la base.

Le ministre a, également, souligné que pour l’élaboration du plan de développement ( 2026-2030), près de 60 réunions aux niveaux des conseils régionaux ont été tenues, en plus de 6 séances organisées pour les conseils des districts.

Il a fait remarquer que le ministère a assuré l’accompagnement et l’encadrement du CNRD pour identifier la situation en matière de développement, fixer les priorités et les axes  pour les cinq prochaine années.

Il s’est dit confiant quant à  la capacité des conseils locaux, régionaux et des districts à accomplir leurs travaux dans les délais fixés, vu l’avancement constaté notamment au niveau des conseils locaux.

Abedelhafidh a, dans le même cadre, souligné l’importance de prendre en considération les défis qui se posent, en particulier ceux liés aux équilibres financiers de l’État et au nombre important de projets en cours.

Le ministre a mis en exergue le rôle du Conseil national des régions et des districts en matière d’élaboration du plan quinquennal de développement, en plus de l’importance des spécificités de chaque région et de ses avantages comparatifs.

Il a conclu en soulignant l’ambition du Ministère, à travers le plan et dans le cadre de la nouvelle répartition territoriale, d’élever le niveau de compétitivité de l’économie nationale d’une manière qui aide à créer des opportunités d’emploi et à améliorer la qualité de vie en boostant les investissements publics.

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Berlin 2025 : Ons Jabeur qualifiée en simple, en lice en double avec Paula Badosa

La tunisienne Ons Jabeur disputera ce mardi, à partir de midi, les huitièmes de finale en doubles dames du tournoi de Berlin.

Jabeur, qui fera la paire avec l’espagnole Paula Badosa, affrontera le tandem composé de l’américaine Desirae Krawczyk et l’australienne Storm Hunter.

La tenniswoman Tunisienne (61e mondiale) s’était, rappelle-t-on, qualifiée en simples, lundi, pour les huitièmes de finale du WTA 500 de Berlin (sur gazon), en battant l’Américaine Caroline Dolehide (64e) 7-6, 6-1, après avoir été repêchée comme “lucky loser”.

Au deuxième tour, Jabeur affrontera l’Italienne Jasmine Paolini (4e mondiale), vainqueur le mois dernier du Masters 1000 de Rome.

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LAB INNOVA FOR AFRICA LUCA ATTANASIO -STARTUP TUNISIA- 5° édition Lab Innova for Tunisia Startup 16-19 Juin 2025

La 5ème édition du LAB INNOVA FOR TUNISIA STARTUP 2025 a été inaugurée le 16 juin 2025 auprès de l’Hôtel Novotel Lac Tunis, dans le cadre du Projet de formation managériale LAB INNOVA FOR AFRICA LUCA ATTANASIO, promu par ICE Agence Tunis-Section Commerciale de l’Ambassade d’Italie, avec le Bureau de Formation aux entreprises du Siège de Rome. Le programme sera inauguré par l’Ambassadeur d’Italie en Tunisie S.E. Alessandro Prunas, en présence du Ministre de la Technologie et des Communications S.E. Sofiene Hemissi.

L’initiative, l’une des étapes du projet LAB INNOVA FOR AFRICA, un programme de formation en managérial ICE AGENZIA, lancé en 2019 et dédié, selon les pays africains impliqués, à l’AGRIBUSINESS ou aux ICT-STARTUP.

Les nombreuses éditions ont impliqué les pays suivants : l’Angola, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, le Ghana, le Kenya, le Maroc, le Mozambique, le Nigéria, le Rwanda, la République du Congo, le Sénégal, la zone du Sahel (Mali, Burkina Faso, Niger), la Tanzanie, le Ouganda, la Zambie et la Tunisie, pour un total de 812 entreprises africaines formées aujourd’hui, dont 117 en Tunisie, y compris celles de la présente l’édition, avec un focus en Tunisie pour 4 éditions dédiées au LAB INNOVA FOR TUNISIA STARTUP, qui atteint sa 5ème édition 2025 et la 1ère édition du LAB INNOVA FOR TUNISIA AGRIBUSINESS 2025 qui a débuté en février et est toujours en cours.

Le format traditionnel LAB INNOVA a prévu en février le lancement d’un appel à candidature dédié à la sélection de startups, diffusé grâce à l’étroite collaboration avec le Ministère des Technologies et des Communications et Smart Capital, l’Association Tunisienne des Startups et plusieurs Pôles Technologiques locaux, désignés à tour de rôle chaque année, qui représentent tous les partenaires du projet.

L’appel à candidature cette année comprenait les secteurs suivants :

AgriTech, Big Data, Blockchain, Cybersécurité, Énergie, Fintech, GreenTech, Intelligence Artificielle (IA), TIC, Internet des Objets (IoT), Medtech, Mobilité, applications textiles et applications mécaniques (automobile, aéronautique) ;

Le thème de cette édition est consacré à la fois à la durabilité/aux technologies vertes et aux textiles-mode. Les Smart Technoparks Tunisiens- El Ghazala (Tunis), Novation City (Sousse) et le Pôle de Compétitivité de Bizerte ont contribué au soutien et à la diffusion de l’appel à candidature. Environ 40 candidatures ont été déposées, parmi lesquelles 20 participants ont été sélectionnés par la Commission des Institutions concernées.

Ont été nombreuses les candidatures liées à la mobilité et au green-tech, applications du textile, à l’agritech et au traitement de l’eau.

À partir d’aujourd’hui, les entreprises seront impliquées dans un programme de formation managériale qui comprend : une phase en classe, une phase de formation en ligne et, à la fin du programme de formation, un Study-Tour en Italie, qui comprend une visite à un événement sectoriel, des rencontres institutionnelles et professionnelles avec des homologues du secteur en Italie, pour augmenter la croissance et les opportunités commerciales. Le voyage d’étude aura lieu cette année lors de l’événement ECOMONDO, qui a lieu chaque année à Rimini en novembre. Il s’agit de l’événement dédié à l’économie verte et circulaire, qui dispose d’un espace dédié, le « QUARTIER DE L’INNOVATION ». Parmi les sujets de la formation : la communication ciblée pour les pitchs et les rendez-vous d’affaires, le plan marketing, le marketing international, le marketing digital et un cours de remise à niveau sur les outils de soutien financier et la protection de la propriété intellectuelle comme élément compétitif pour l’entreprise.

S.E l’Ambassadeur italien Alessandro Prunas, en inaugurant le cours, a rappelé la signature de la déclaration conjointe entre le Ministre du Made in Italy Adolfo Urso et le Ministre tunisien des Technologies de la communication a souligné comment la coopération dans le domaine de la transition numérique représente l’un des piliers du partenariat italo-tunisien : « Avec plus de 1 400 start-ups actives, la Tunisie dispose d’un écosystème entrepreneurial dynamique avec une forte vocation innovante. La signature, en mai 2024, de la déclaration conjointe entre l’Italie et la Tunisie pour la promotion d’initiatives de collaboration économique et industrielle dans le domaine de l’intelligence artificielle et de la recherche dans la transition numérique a marqué l’ouverture d’une nouvelle frontière dans notre coopération bilatérale. Dans ce cadre en janvier 2025 Terna Innovation Zone a été inaugurée, il s’agît d’un hub crée par Terna Spa(Terna – Rete Elettrica Nazionale S.p.A. -société italienne qui exploite des réseaux de transport d’électricité) dédié aux programmes d’innovation et d’accélération, qui permet aux start-ups tunisiennes d’accéder à de nouvelles ressources, compétences et opportunités de croissance.

De même la cinquième édition du Lab Innova for Tunisia Start-Up, le programme de formation managériale organisé par  ICE Agence Tunis-Section Commerciale de l’Ambassade d’Italie confirme le fort engagement de l’Italie à soutenir l’écosystème d’innovation tunisien : un engagement qui s’inscrit pleinement dans l’esprit du Plan Mattei, dont l’objectif est de promouvoir un développement partagé par l’innovation et la valorisation des talents. »

La Tunisie et l’Italie partagent une vision stratégique commune sur le développement technologique et les TIC, comme clé du développement du Système Pays : l’Italie, dans le cadre d’un processus de soutien aux startups démarré en 2012, a atteint en 2024 un nombre de 12 500 startups inscrites dans la section dédiée du Registre des Sociétés (source MIMIT- Ministère du Made in Italy), entreprises soutenues et accompagnées à travers un système complexe d’incitations fiscales, de financements subventionnés, de financement participatif en actions, de services d’internationalisation et de soutien à l’étranger : une expertise importante, que l’Italie souhaite partager avec la Tunisie, en fournissant des compétences et des outils pour faire face aux défis des marchés internationaux.

La Tunisie a entamé le même processus en 2018 avec les mesures contenues dans le « Startup Act » et dans le cadre du Plan Stratégique National pour la Tunisie Numérique 2021-2025, visant non seulement à soutenir les startups locales, mais plus généralement à encourager les jeunes talents, la croissance économique du pays et à faire de la Tunisie un véritable hub d’innovation pour l’ensemble du continent africain.

 La Directrice du Bureau de l’Agence ICE de Tunis Francesca Tango a déclaré.

« La Formation joue un rôle de plus en plus stratégique dans la vie professionnelle de chacun d’entre nous, la formation ICE AGENZIA vise à accompagner les managers tunisiens du secteur dans un « scale-up » utile dédié notamment aux activités de communication de leur projet innovant (pitching, marketing digital, analytiques, réseaux sociaux, protection et valorisation de la propriété intellectuelle), dans le but de permettre une expansion et une amélioration de leur réseau de contacts.

A l’occasion de cette édition, nous avons lancé une enquête auprès de tous les participants des éditions précédentes : nombreuses (87% des réponses) sont les entreprises qui travaillent aujourd’hui en permanence avec d’autres pays (non seulement l’Italie, mais aussi la France, l’Allemagne, l’Espagne, le Portugal, les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, le Qatar), les participants ont tous souligné l’importance de bien communiquer leur projet innovant et de se sentir membre d’un réseau.

Un autre fait intéressant concernant la participation à l’appel d’admission 2025 est d’avoir reçu de nombreuses candidatures liées non seulement à des applications dédiées aux services, mais aussi à la mobilité intelligente, aux technologies durables pour la gestion de l’eau, aux textiles innovants et verts et aux applications d’IA. Cela témoigne de l’image d’une Tunisie de plus en plus ouverte sur l’avenir et qui développe de plus en plus les thèmes actuelles telles que la Biotech, la Deeptech (nouveaux matériaux, robotique avancée, intelligence artificielle), la Cleantech».

#Ambasciata d’Italia in Tunisia / Ambassade d’Italie en Tunisie
#Ministero degli Esteri e della Cooperazione internazionale
#Ministero delle Imprese e del Made in Italy
#Italian Trade Agency – Tunisi
#Labinnova#Labinnovaforafrica#LucaAttanasio
#madeinitaly.gov
#Ministère des Technologies de la Communication
#Novation City : Pôle de Compétitivité de Sousse
# Pôle de compétitivité Bizerte
#Elgazala Incubator .TN
#TunisianStartups
#Ecomondo

 

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Tunisie-Bac 2025 : un service SMS disponible dès le 19 juin

Le ministère de l’éducation informe les candidats à l’examen du baccalauréat (session principale 2025) qu’un service de diffusion des résultats par SMS est mis à leur disposition quel que soit l’opérateur de téléphonie mobile et ce, moyennant 950 millimes le message.

Le ministère indique, dans un communiqué publié ce mardi matin, que les candidats désirant connaitre leur résultat avant leur publication officielle dans les lycées, le 24 juin en cours, peuvent s’inscrire au service de messagerie courte SMS à partir de jeudi 19 juin 2025à 10h du matin en envoyant un SMS au numéro 85005 de la manière suivante :

bac espace numéro d’enregistrement au baccalauréat (6 chiffres)* numéro de la carte d’identité nationale (8 chiffres).

Les candidats inscrits au service SMS recevront les détails de leur résultat (l’admission, la moyenne générale et les notes des différentes matières) et ce, avant leur publication officielle.

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“Mélodies d’Orient” revient à la Cité de la Culture avec un hommage symphonique à la diva Oum Kalthoum

Après une première en mars dernier, le concert “Mélodies d’Orient” revient dans une nouvelle version, le 18 juin 2025 à 20H00 au Théâtre de l’Opéra de la Cité de la Culture Chedly Klibi qui accueillera cette nouvelle édition intitulée “Lila men Alf Lila”, une soirée musicale hors du commun, à la croisée du rêve, de l’hommage et du chef-d’œuvre oriental.

Ce spectacle rend d’abord hommage à la grande diva arabe Oum Kalthoum, mais célèbre également les figures emblématiques de son époque, parmi lesquelles Mohamed Abdelwahab, Farid Al Atrach, Ismahan, Mohamed Al Mougi, Abdelhalim Hafez, les frères Rahbani et Omar Khairat.

Sur scène, le Carthage Symphony Orchestra (CSO), dirigé par le maestro Hafedh Makni, sera accompagné du chœur mené par Mourad Gaaloul. Le concert comptera un invité d’honneur de renom en l’occurrence le violoniste Mohamed Makni, qui interprétera et dirigera certaines œuvres du programme. Les arrangements symphoniques inédits, spécialement conçus pour l’occasion, sont signés par Mohamed Makni et Wassim Makni.

Cette édition se distingue également par son cadre , le Théâtre de l’Opéra de Tunis. Pour mieux accueillir le public, l’organisation a prévu une nouvelle répartition des places en zones (A,B,C,D,E, F, G,H et I) en orchestre, ainsi que des emplacements en Balcon 1 et 2. Les tarifs sont fixés à 40 dinars pour l’orchestre (toutes zones confondues), 30 dinars pour le Balcon 1 et 20 dinars pour le Balcon 2.

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Dissolution d’Ittissalia Services : l’État tunisien renforce son engagement social

Le Président de la République, Kaïs Saïed, a reçu hier, lundi, au palais de Carthage, le ministre des affaires sociales, Issam Lahmar, et le ministre des technologies de la communication, Sofien Hemissi.

Selon un communiqué de la présidence de la République, la rencontre a porté essentiellement sur le projet de décret relatif à l’interdiction de la sous-traitance dans le secteur public, ainsi que sur la dissolution de la société “Ittissalia services”.

Le Chef de l’État a précisé que ce texte vient compléter la révision du Code du travail, qui a interdit et criminalisé la sous-traitance dans le secteur privé.

Il a souligné que, tout comme le salarié du secteur privé, l’agent du service public, travaillera davantage et fera preuve de dévouement lorsqu’il se sera dans un poste stable.

“Désormais, il n’y aura plus ni esclavage ni formes déguisées d’asservissement sous couvert d’une légalité fictive au service de ceux qui ont rédigé ces textes aujourd’hui abolis ou en cours d’abrogation”, a-t-il insisté.

Le Président de la République a également affirmé que l’État social n’est pas qu’un simple slogan, mais qu’il se concrétisera dans tous les secteurs et toutes les régions. Il s’agit, selon lui, d’une véritable révolution de libération nationale jusqu’à la victoire.

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Tabarka : Reprise du trafic aérien avec un vol charter en provenance de Pologne

L’aéroport de Tabarka-Ain Draham a accueilli lundi un vol charter en provenance de Katowice en Pologne, avec 189 passagers à bord.

Il s’agit du premier vol inaugural de la saison touristique dans la région et qui marque la relance du trafic aérien au niveau de l’aéroport.

Assuré par la compagnie aérienne polonaise “Smart Wings”, ce vol est le fruit des efforts déployés par le ministère du transport, le ministère du tourisme, l’Office de l’aviation civile et les autorités régionales visant à réactiver l’aéroport de Tabarka-Ain Draham.

Situé à environ 13 km de la ville côtière de Tabarka, l’aéroport, mis en service depuis 1992, s’étend sur 240 hectares et est doté d’une capacité d’accueil de 250 000 passagers.

L’aéroport a été renforcé récemment en matière d’équipements et de personnel qualifié nécessaires afin de redynamiser son activité et maintenir son fonctionnement.

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IDE : que révèle le rapport de la Cnuced sur la Tunisie ?

Investissement IDELa Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (Cnuced) a publié, récemment, un rapport accablant sur la politique d’investissement en Tunisie. Dans ce document, l’agence onusienne spécialisée dans les tendances des flux d’investissement direct étranger (IDE) dans le monde revient sur le cadre juridique, réglementaire et institutionnel relatif à l’investissement en Tunisie. Elle y émet des recommandations visant à améliorer l’attractivité du site Tunisie pour les investisseurs étrangers.

Potentiel réel, attractivité en recul

Le rapport rappelle néanmoins le potentiel productif important dont jouit le site Tunisie de par sa position géographique stratégique, son économie diversifiée et sa main-d’œuvre qualifiée. Il estime que des réformes structurelles sont nécessaires pour renforcer son attractivité.

Les chiffres : une tendance à la baisse

Selon la Cnuced, le taux d’investissement (public et privé) en Tunisie s’est replié aux alentours de 16 % du PIB durant la période 2020-2024, contre 19,3 % en 2016. La Cnuced ajoute que « les IDE qui dépassaient régulièrement 1 milliard de dollars annuellement entre 2006 et 2015, se sont contractés à environ 700 millions de dollars par an depuis 2020 ».

« Les IDE dépassaient régulièrement 1 milliard de dollars avant 2015 ; ils plafonnent à 700 millions depuis 2020. »

 

Par secteur, les IDE mobilisés ont profité principalement à l’industrie manufacturière exportatrice (plus de la moitié des IDE durant la période 2020-2023). En revanche, les segments à forte valeur ajoutée (haute technologie) restent peu développés.

Conséquences économiques et sociales

Ce trend baissier des IDE a freiné la croissance économique du pays (taux de croissance moyen de 2,2 % sur 2004-2022, contre 5,5 % en moyenne pour les pays à revenu intermédiaire). Il s’est traduit, également, par un chômage structurellement élevé (15 % en 2023) ainsi qu’une prévalence de l’économie informelle (entre 27 et 49 % de l’emploi et près de 35 % du PIB selon la Cnuced).

Comparaison régionale défavorable

Comparativement avec des pays voisins, d’après les données statistiques publiées par le rapport, les flux entrants moyens d’IDE ont baissé de 974 millions de dollars (2014-2018) à 728 millions de dollars (2019-2023). Ainsi, notre pays se situe en bas de la liste des pays comparateurs, notamment l’Égypte, dont le flux moyen des IDE dépasse les 8,2 milliards de dollars, et le Maroc avec un flux de l’ordre de 1,7 milliard de dollars.

Un climat d’affaires dégradé

La Cnuced explique le recul des IDE en Tunisie par plusieurs facteurs. Le rapport commence par pointer du doigt la complexité administrative (régime des autorisations et multiplication des acteurs institutionnels). Selon le rapport, ces barrières ont entravé, de manière significative, l’attraction des investisseurs.

Le document évoque également la faible proportion de la diaspora (environ 10 %) qui lance des projets d’investissement, l’accès difficile au foncier et le retard qu’accuse le site en matière de digitalisation.

« Le chômage structurellement élevé et l’économie informelle reflètent les failles du modèle d’investissement. »

 

Autre facteur cité par le rapport : les restrictions aux mouvements de capitaux du code de change. D’après la Cnuced, ce code impose de fortes contraintes aux entreprises off-shore et on-shore, particulièrement en ce qui concerne le transfert, le rapatriement des bénéfices et le financement extérieur.

Le document énumère d’autres faiblesses : ambiguïtés et imprécisions du cadre juridique relatif au droit du travail, à l’environnement et à la concurrence, et déficit de capacité institutionnelle pour en assurer la mise en œuvre.

Les recommandations de la Cnuced

Le rapport suggère d’inviter les banques à simplifier les procédures d’accès au crédit ; à renforcer et promouvoir les dispositifs spécifiques pour accompagner les TPME et startups dans leurs phases de croissance ; et à développer des mécanismes pour les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap.

Les recommandations portent aussi sur la mise en place de budgets dédiés à l’innovation, l’encouragement des partenariats entre gouvernement, secteur privé et universités, et le développement de fonds de garantie au profit des secteurs prioritaires.

La Cnuced propose également de créer des fonds d’investissement pour les secteurs prioritaires, dans lesquels la diaspora pourrait contribuer, et d’élargir les sources de financement de projets structurants via les PPP.

« La Cnuced recommande de supprimer la carte de commerçant étranger et d’unifier le traitement des investisseurs. »

 

Enfin, elle invite les autorités tunisiennes à simplifier le cadre réglementaire, notamment en supprimant la carte de commerçant étranger et les disparités entre off-shore et on-shore, dans l’objectif de garantir un traitement égalitaire aux investisseurs.

Le rapport revient aussi sur la nécessité de renforcer la gouvernance autour de la politique d’attractivité, notamment via un guichet unique et une meilleure coordination institutionnelle.

Un regard critique sur le rapport

Par-delà ces indicateurs et recommandations, nous pensons, pour notre part, que le rapport de la Cnuced est incomplet, voire quelque part non objectif. Et pour cause : il ne prend pas en considération l’instabilité politique de ces quinze dernières années, ni l’embargo de fait imposé par plusieurs bailleurs de fonds, dont le FMI.

Abou SARRA

INDICATEURS CLÉS

  • Taux d’investissement en Tunisie : 16 % du PIB (2020-2024) contre 19,3 % en 2016.
  • IDE annuels : 700 millions USD (2020-2023), contre plus de 1 milliard entre 2006 et 2015.
  • Croissance économique moyenne : 2,2 % (2004-2022) en Tunisie, contre 5,5 % dans les pays comparables.
  • Chômage en 2023 : 15 %.
  • Part de l’économie informelle : jusqu’à 49 % de l’emploi et 35 % du PIB.

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BTK BANK dévoile son nouveau service « Super Facilité », une nouvelle ère de Buy Now Pay Later en TUNISIE

Payer par facilité, en moins d’une minute, sans paperasse ni déplacement, est désormais possible grâce à Super Facilité.

BTK BANK est fière d’annoncer aujourd’hui le lancement de “Super Facilité”, une nouvelle modalité de paiement fractionné pensée pour démocratiser l’accès au paiement par facilité, en le rendant instantané, simple et inclusif et conçue pour répondre aux attentes d’une clientèle en quête d’alternative flexible permettant d’étaler les paiements en toute simplicité.

BTK BANK révolutionne le paiement fractionné avec Super Facilité

L’innovation majeure réside dans la rapidité d’accès aux paiements par facilité et l’automatisation de l’octroi :

En moins d’une minute et à travers Super Facilité, le client planifie son paiement sur l’application et le finalise instantanément chez tout commerçant équipé par un TPE ou même sur les sites e-commerce, garantissant une accessibilité maximale.

Le contrôle total est laissé au client : il sélectionne librement, par un simple scroll, la durée de remboursement (de 2 à 12 fois) et la date de prélèvement mensuel.

Sans délai d’attente, formalités ou déplacement en agence : Les clients éligibles disposent automatiquement d’un plafond utilisable immédiatement. Ce plafond peut atteindre jusqu’à 40 000 TND et les critères ont été assouplis pour favoriser une inclusion financière élargie, couvrant différentes tranches salariales.

Ce n’est certes pas la première offre de paiement différé, mais « Super Facilité » s’impose comme la première solution DIGITALE de Buy Now Pay Later en Tunisie.

Autre singularité : aucune carte additionnelle n’est requise. Le paiement par facilité s’effectue directement avec la carte bancaire habituelle du client, évitant ainsi la multiplication des cartes, tout en valorisant les cartes BTK BANK par l’élargissement de leurs fonctionnalités.

Un levier pour l’économie et l’inclusion financière

Au-delà de l’innovation technologique, BTK BANK confirme à travers “Super Facilité” sa démarche de soutien à l’activité économique à travers un mécanisme à la fois sécurisé pour la banque et conçu pour répondre aux besoins des acteurs économiques en matière de trésorerie.

– Pour les particuliers, cette solution constitue un outil de financement intelligent et accessible, facilitant les achats généralement difficiles à effectuer au comptant.

-Pour les vendeurs de biens et services, qu’il s’agisse de commerçants, prestataires, établissements éducatifs, de santé, de tourisme, ou d’autres opérateurs, ils bénéficient d’un règlement immédiat sur des règlements habituellement différés.

Côté inclusion financière, Super Facilité en tant que booster de ventes, contribuera à l’augmentation du taux d’équipement des TPE et au renforcement de l’usage des paiements par carte bancaire. Il permettra de manière directe à l’accroissement de l’usage des Wallets étant donné que ce service est intégré dans l’application BTK PAY initialement proposée comme solution de Mobile Payment.

Ce choix transforme donc BTK PAY en la 1ère application mobile en Tunisie combinant une fonctionnalité de Buy Now Pay Later et un Wallet.

À cette occasion, l’application a été entièrement repensée La refonte a porté sur la clarté des  interfaces, leur ergonomie et leur simplicité d’usage afin de garantir une expérience utilisateur intuitive.

Un positionnement stratégique au cœur de l’innovation bancaire

Instantanée, flexible et inclusive, Super Facilité incarne l’engagement de BTK BANK à accompagner l’évolution des usages et à moderniser en profondeur l’offre bancaire.

Ce lancement s’inscrit dans une stratégie claire visant à proposer des produits et services performants et à forte valeur ajoutée pour l’ensemble de l’écosystème, tout en repositionnant la banque à l’avant-garde de l’innovation financière en Tunisie.

Il contribue également à accélérer la transition vers une économie plus connectée et ouverte aux nouveaux usages.

BTK BANK : une stratégie de transformation qui porte ses fruits

En misant sur des talents jeunes occupant des postes clés, mobilisés autour d’un pipeline de projets innovants pilotés sous l’égide d’une gouvernance solide, BTK BANK récolte les premiers résultats concrets de son plan de transformation stratégique lancé fin 2021.

Avec un réseau d’agences en constante évolution pour renforcer la proximité client, un enchaînement de lancements de produits et services innovants, une digitalisation du front et du back-office, un investissement stratégique dans l’infrastructure technologique pour gagner en agilité, une gouvernance des données et une volonté collective d’aller de l’avant, BTK BANK confirme, après trois exercices consécutifs positifs, la dynamique de redressement engagée et la solidité de sa trajectoire.

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La Hyundai STARIA 9 Places une expérience unique

Alpha Hyundai Motor, distributeur officiel de la marque automobile sud-coréenne Hyundai en Tunisie, annonce le lancement de la deuxième édition de son roadshow national consacré au modèle Hyundai STARIA 9 Places, à partir du 11 juin 2025.

Après une première édition réussie en juin 2022, cette nouvelle tournée s’inscrit dans la volonté de Hyundai Tunisie de renforcer sa proximité avec les professionnels du transport collectif, en leur offrant l’opportunité de découvrir et tester un véhicule pensé pour leurs besoins spécifiques : confort, fiabilité et économie.

Le Hyundai STARIA 9 Places, avec son design futuriste, sa motorisation performante et son habitabilité exceptionnelle, s’impose comme une référence pour les grands taxis et les louages mais aussi pour le secteur touristique. Ce roadshow permettra aux chauffeurs et exploitants de toutes les régions du pays de vivre une expérience immersive du véhicule, à travers des essais dynamiques et des présentations techniques assurées par les équipes Hyundai.

Le planning détaillé de la tournée, la fiche technique complète du modèle, ainsi qu’une sélection de visuels sont disponibles en pièce jointe.

« À travers cette initiative, Hyundai Tunisie confirme son engagement à proposer des solutions adaptées aux besoins du marché tunisien. Le STARIA 9 Places a été conçu pour répondre aux attentes des professionnels du transport, en alliant innovation, espace, confort et maîtrise des coûts », déclare Mehdi Mahjoub, Directeur Général de Hyundai Tunisie.

Ce roadshow s’inscrit dans une série d’actions concrètes menées par Hyundai Tunisie pour accompagner ses clients au quotidien. La marque a récemment renforcé son réseau à travers l’ouverture de nouveaux centres de services rapides, et poursuit ses efforts d’amélioration continue, récompensés par le titre de « Élu Service Client de l’Année 2025 » pour la quatrième année consécutive.

Avec plus de 20 agences réparties sur l’ensemble du territoire, Hyundai Tunisie offre à ses clients proximité, réactivité et expertise. Hyundai Tunisie continue également à assurer la tranquillité d’esprit grâce à une garantie constructeur de 5 ans, parmi les plus longues du marché.

Pour plus d’info, retrouvez-nous sur nos réseaux sociaux ou sur notre site officiel : www.hyundai.com.tn

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Ekuity Capital rejoint le New Era Fund I, portant le premier closing à 7 M€

UGFS-VC, société de gestion de capital-risque, annonce avec fierté l’entrée d’Ekuity Capital dans le tour de table du New Era Fund I, un fonds d’investissement Early Stage dédié aux startups innovantes en Tunisie.

Avec cette souscription, Ekuity Capital rejoint les deux premiers investisseurs du fonds, Smart Capital et UGFS North Africa, portant le montant du premier closing à 7 millions d’euros, sur une taille cible de 15 millions d’euros.

New Era Fund I cible les startups technologiques en phase d’amorçage et de Série A, avec un focus stratégique sur trois secteurs à fort impact :

– L’intelligence artificielle (IA)
– La biotechnologie (Biotech)
– Les technologies vertes (GreenTech)

À propos d’Ekuity Capital

Ekuity Capital, anciennement connu sous le nom de Consortium Tuniso-Koweïtien de Développement (CTKD), a été créé en 1976 sous la forme d’une joint-venture entre Kuwait Investment Authority (KIA), le fonds souverain de l’État du Koweït et le gouvernement Tunisien. Avec plus de 800 millions DT d’actifs, Ekuity Capital détient actuellement des participations importantes dans un portefeuille d’environ 15 sociétés. Le premier objectif d’Ekuity Capital est de créer de la valeur en développant des actifs à long terme, en encourageant activement les entreprises à réaliser des investissements générateurs de croissance et de rentabilité, et en accompagnant leurs acquisitions.

À propos de UGFS-VC

UGFS-VC est la filiale spécialisée en capital-risque de UGFS-NA (United Gulf Financial Services – North Africa). Dédiée à l’accompagnement des startups innovantes à fort potentiel, UGFS-VC s’appuie sur l’expertise, l’historique et le réseau de UGFS-NA, un acteur de référence du capital-investissement en Tunisie. Depuis plus de 15 ans, UGFS-NA a structuré 20 fonds d’investissement, mobilisant un total de 240 millions de dinars tunisiens, et a investi dans plus de 100 startups et PME innovantes, contribuant activement au développement de l’écosystème entrepreneurial national.

Grâce à cette nouvelle étape, New Era Fund I renforce sa mission : accompagner la nouvelle génération d’entrepreneurs tunisiens et catalyser une croissance inclusive et durable à travers l’innovation.

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Bourse de Tunis : le Tunindex recule de 0,99% tiré vers le bas par SFBT

Le marché boursier a entamé la semaine sur une note morose. L’indice de référence s’est délesté lundi de -0.99 % à 10 126,24 points, dans un flux bien garni de 10,7 MD, alimenté par une transaction de bloc d’une valeur de 4,7 MD portant sur le titre SFBT, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre TUNINVEST s’est offert la meilleure performance de la séance. Dans un flux dérisoire de 4 mille dinars, l’action de la SICAR a signé une avancée de 3,8 % à 8,300 D.

Le titre SOTRAPIL a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action du transporteur des hydrocarbures a inscrit une hausse de 2,9 % à 21,100 D. La valeur a drainé des échanges de l’ordre de 73 mille dinars.

Le titre ESSOUKNA s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du promoteur immobilier a reculé de 4,4 % à 1,730 D dans un volume d’échange de 13 mille dinars.

Le titre Euro-Cycles a régressé de 3,8% à 12,700 D. La valeur a amassé un flux de 67 mille dinars sur la séance.

Le titre SFBT a drainé le plus important volume de la séance, soit 45% du total des échanges de la séance. L’action du spécialiste en boissons gazeuses et alcoolisées s’est effritée de 0,3 % à 12,000 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 4,8 MD, grâce à une transaction de bloc d’une valeur de 4,7 MD.

 

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Habib Ayeb prépare “Vies de Femmes”, un documentaire en hommage aux actrices de l’agriculture en Tunisie

Après “Sirocco” (Sh’hili), tourné entre la France, l’Italie, la Tunisie et le Maroc, et sorti en 2024 autour des enjeux du changement climatique, le géographe et cinéaste Habib Ayeb s’attelle à un nouveau projet documentaire intitulé “Vies de Femmes”.

L’objectif du film, selon le réalisateur, est de valoriser et de faire reconnaître l’importance des femmes dans l’ensemble de la chaîne alimentaire et dans l’agriculture en général en mettant en lumière leurs rôles variés et essentiels dans le monde rural et agricole. Que ce soit en tant que “propriétaires, locataires, ouvrières, pêcheuses ou cuisinières nourricières, ces femmes jouent un rôle central dans les chaînes agricoles, alimentaires, sociales, économiques et écologiques”.

Habib Ayeb cherche à donner la parole à cette catégorie de femmes car explique-t-il dans la note d’intention “Les milliers de femmes du monde agricole, qui travaillent sans relâche et sans rien demander en retour, méritent d’être vues et entendues”.

L’origine de ce projet, actuellement en phase de production, puise dans un souvenir personnel : “Quelques années à peine avant sa disparition à un peu moins de 90 ans, ma mère ne ratait jamais la saison de la cueillette des olives. Alors que des bien plus jeunes se limitaient aux branches à portée de main, ma mère était la première à aller à la recherche des branches les plus hautes… Et de son sommet elle commandait toute la troupe et grondait les enfants quand ils marchaient sur les olives tombées par terre…”.

L’idée est de dresser des portraits détaillés de femmes engagées dans l’agriculture, la pêche ou la transformation alimentaire, à travers une approche ethnographique mêlant observation directe et immersion participative, pour mettre en évidence l’importance des savoirs agricoles et alimentaires détenus par les femmes dans les milieux ruraux et paysans, notamment les femmes dans les larges steppes du sud, les femmes des bergers, les femmes de Kerkennah (les pêcheuses et les laggata-s qui “ramassent les palourdes”) ou encore les femmes de Oued Sbaihiyya à Zaghouan (association de femmes agricultrices) etc.

Il s’agit également d’un travail sur la mémoire. Donner la parole aux femmes âgées, afin d’évoquer leur mémoire de paysannes, d’épouses, de mères, de travailleuses, permettra, selon le réalisateur, de mieux comprendre les mutations sociales engendrées par la marginalisation progressive de l’agriculture paysanne au profit de l’agrobusiness.

Pour ce projet assez spécifique, l’équipe technique sera entièrement féminine et composée de femmes professionnelles tunisiennes : réalisation, prise de son, montage, étalonnage, mixage etc.

Habib Ayeb est géographe et cinéaste, spécialisé en géographie sociale. Ses recherches et ses films portent sur des thématiques liées à la souveraineté alimentaire, à l’environnement, aux questions paysannes, aux changements climatiques et aux dynamiques de marginalité et de pauvreté, principalement en Tunisie, en Egypte et en Afrique du Nord. Il est le fondateur de Layoun Prod, une société de production cinématographique qui œuvre pour le soutien à la production et la promotion des films documentaires indépendants et engagés dans des thématiques en relation avec la justice sociale, écologique et climatique, la souveraineté alimentaire, les droits fondamentaux et les libertés individuelles.

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Bourse de Tunis : suspension de la cotation de la SITS suite à une OPA

La cotation des titres de la Société Immobilière Tuniso-Saoudienne (SITS) sera suspendue à partir de lundi, jusqu’à nouvel ordre, a annoncé la Bourse de Tunis, dans un communiqué publié aujourd’hui.

Cette mesure a été prise, suite à une demande de lancement d’une Offre Publique d’Achat (OPA), déposée auprès du Conseil du Marché Financier (CMF), visant 1 918 304 actions de la SITS, représentant 12,30% de son capital social, déposée par l’intermédiaire en bourse,  MAC SA.

D’après la Bourse de Tunis, l’initiateur de ce projet est la société Partner Investment SARL, détenant de concert avec la société Founders Capital Partners, un taux de 87,70% du capital de la SITS.

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Journée africaine des droits de l’enfant : appel à une stratégie pour activer la Charte africaine

Des militants pour les droits de l’enfant ont insisté, lundi, sur la nécessité de mettre en place une stratégie pour activer la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant, adoptée par l’Union africaine en 1990 et entrée en vigueur en 1999.

Lors d’une conférence en ligne organisée par l’Association tunisienne des villages d’enfants SOS et l’Association tunisienne de défense des droits de l’enfant, les intervenants, réunis à l’occasion de la Journée africaine des droits de l’enfant, célébrée chaque année le 16 juin, ont souligné l’importance de mobiliser les fonds nécessaires à l’application des dispositions de cette charte, considérée comme un document essentiel pour la promotion et la protection des droits de l’enfant en Afrique. Ils ont rappelé que ce texte complète la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant tout en prenant en compte les spécificités du contexte africain. L’objectif ultime est de garantir les droits fondamentaux de l’enfant et d’atteindre son bien-être.

L’expert en droit, sciences politiques et sociales, Hatem Kotrane, a indiqué à cette occasion que, malgré l’existence de nombreuses conventions et lois internationales destinées à garantir les droits de l’enfant dans le monde et en Afrique, les États africains n’ont pas réussi à coordonner efficacement leurs efforts pour définir des mécanismes solides de protection des droits des enfants.

Il a également attiré l’attention sur la persistance des violations des droits des enfants en Afrique, malgré certaines tentatives sérieuses d’amélioration : absence de nourriture, d’éducation, de soins de santé, de sécurité, infrastructures dégradées, en plus de fléaux tels que le travail des enfants, les viols, le mariage précoce et l’excision.

De son côté, la militante française Claire Brissart, engagée dans la défense des droits de l’enfant, a affirmé que parler aujourd’hui des droits des enfants en Afrique est devenu extrêmement difficile, à cause des guerres qui ravagent le continent et des crises qu’elles engendrent, affectant profondément les enfants, aussi bien sur le plan physique que psychologique.

 

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