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Le PDL dénonce l’interdiction de sa manifestation, jeudi 12 juin

Le PDL a condamné l’interdiction de sa manifestation de solidarité qu’il comptait organiser, jeudi 12 juin, devant le Palais de justice, rue Bab Bnet, à l’occasion de la comparution de sa présidente Abir Moussi devant la chambre criminelle dans l’affaire intentée contre elle par l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE), sur fond de déclarations médiatiques exprimant le refus du parti du processus électoral législatif du 17 décembre 2022.

Dans un communiqué publié, mercredi 10 juin, le parti a rappelé que le droit de manifester pacifiquement est garanti par la Constitution et par les conventions internationales ratifiées par la Tunisie en matière de libertés et de droits humains. Il réaffirme son soutien absolu à sa présidente et son attachement à ses convictions politiques et intellectuelles face à ce qu’il qualifie d’« injustice sans précédent ».

Le PDL a renouvelé sa demande de libération immédiate d’Abir Moussi et appelé à mettre fin à ce qu’il considère comme une détention dépourvue de fondement légal.

Le parti tient les autorités « juridiquement et politiquement responsables de tout préjudice contre sa présidente, que ce soit en détention ou lors de ses déplacements », apprend-on de même source.

Le parti a par ailleurs affirmé se réserver le droit de saisir les instances judiciaires internationales pour défendre les droits civils et politiques de sa présidente, de ses adhérents et de ses sympathisants.

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Tunisie – Santé : attention, les jeunes médecins sont en grève

Les jeunes médecins entameront, à partir du jeudi 12 juin, une grève présentielle de cinq jours, accompagnée d’un boycott total du choix des centres de stages, pour revendiquer l’amélioration de leurs salaires et le paiement de leurs primes de gardes.

L’Organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM) a précisé, dans un communiqué publié mercredi 11 juin, que la grève se tiendra les 12, 13, 16, 17 et 18 juin, et concernera l’ensemble des activités hospitalières et universitaires, y compris les activités académiques telles que les cours de formation complémentaire inclus dans le programme académique, à l’exception des gardes et des services d’urgence, afin de garantir un minimum de continuité des services de première ligne.

La présence à la Faculté de médecine de Tunis est obligatoire pour tous les médecins résidents et internes durant les jours de grève, ajoute l’organisation. Concernant le boycott du choix des centres de stages, il se fera de manière totale, sans aucune exception.

L’Organisation des jeunes médecins a réitéré son appel à une révision radicale des procédures d’exemption et de report de l’année de service civil. Elle a également réclamé le paiement de l’ensemble des primes de garde, ainsi qu’une revalorisation de leur montant.

La liste des revendications comprend également la révision des textes régissant le secteur, ainsi que l’augmentation de la prime mensuelle, notamment à travers l’instauration d’une prime de risque de contagion et l’amélioration de la prime de résidanat.

L’organisation a conclu en affirmant que la grève des jeunes médecins n’est pas seulement une réaction à une situation financière dégradée, mais une position de principe pour défendre l’avenir professionnel et un système de santé public équitable qui préserve la dignité du médecin et du patient à la fois.

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Météo : Températures maximales entre 20 et 34 degrés, la nuit

Nuages passagers sur la plupart des régions avec apparition de brume locale en fin de nuit sur les régions est du nord.

Vent de secteur est relativement fort sur le sud avec phénomènes locaux de sable et faible à modéré ailleurs.

Mer peu agitée.

Températures maximales comprises, la nuit, entre 20 et 26 degrés dans le nord, le centre et le sud-est et entre 27 et 34 degrés dans le reste des régions.

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Nabeul: Démarrage de la récolte céréalière avec une production estimée à 1,144 million de quintaux

La saison de la récolte des céréales a démarré, mercredi 11 juin, dans le gouvernorat de Nabeul, à partir d’un domaine agricole de la délégation de Menzel Temime, avec des prévisions de collecte d’environ 1 million 144 mille quintaux de céréales, selon le président de l’Union Régionale de l’Agriculture et de la Pêche (URAP) de Nabeul, Imed El Bey.

Il a précisé à l’Agence TAP, que cette récolte devrait se répartir comme suit : 575 mille 420 quintaux de blé dur, 55 mille 290 quintaux de blé tendre, 263 mille 400 quintaux d’orge et 40 mille 700 quintaux de triticale.

Il a qualifié la récolte de la saison en cours d’exceptionnelle et de record, en comparaison avec les campagnes précédentes, marquées par une baisse notable de la production en raison du déficit pluviométrique et de la faiblesse des ressources hydrauliques disponibles.

Selon ses déclarations, les précipitations abondantes et bien réparties tout au long de la saison agricole ont constitué un facteur déterminant dans la relance des grandes cultures.

Il a également mis en exergue l’efficacité des itinéraires techniques adoptés par les agriculteurs, lesquels ont permis d’optimiser le rendement et de garantir le succès de la campagne céréalière.

Le responsable régional a aussi noté une hausse remarquable de la production d’orge, grâce à l’augmentation des superficies cultivées pour compenser la pénurie de semences de blé dur en début de saison.

Il a par ailleurs indiqué que les opérations de suivi des champs de céréales se poursuivent avec rigueur de la part de toutes les parties concernées, afin de protéger la récolte, assurer la qualité du produit et organiser correctement le stockage. À cet effet, 150 moissonneuses-batteuses et 5 centres de collecte d’une capacité de 150 mille quintaux ont été mobilisés.

À noter que le gouvernorat de Nabeul contribue à hauteur d’environ 15 % à la production nationale de céréales. Les superficies cultivées s’élèvent à environ 70 mille hectares, dont plus de 47 mille hectares consacrés aux céréales : 22 mille 90 ha de blé dur, 2  mille 100 ha de blé tendre, 20 mille 790 ha d’orge et 1 mille 500 ha de triticale.

À cela s’ajoutent 16 mille 300 ha de fourrages d’automne, 4 mille 300 ha de légumineuses sèches et 450 ha de colza.

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Le Tunindex s’est replié de 0,14 %

Dans un marché dynamique, le Tunindex s’est replié, mercredi 11 juin, de 0,14 %, à 11 343,6 points dans un volume bien garni de 11,5 MDT, selon l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre BEST LEASE s’est offert la palme d’or. L’action du loueur s’est envolée de 4,4 % à 2,360 D. La valeur a drainé un volume d’échange quasi-nul sur la séance.

POULINA GROUP HOLDING a été parmi les valeurs vedettes de la séance. La troisième plus importante capitalisation du marché a figuré parmi les meilleures performances de la séance (+1,9 % à 15,800 D) et parmi les titres les plus échangés. Le titre a alimenté le marché avec des capitaux bien garnis de 1,2 MDT.

Le titre NEW BODY LINE s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du spécialiste en vêtements intelligents s’est effritée de 5,9 % à 3,840 D. La valeur a amassé un modeste flux de 26 mille dinars sur la séance.

Drainant le plus important volume, le titre BIAT a été la valeur phare de la séance. L’action de la banque privée a mobilisé un flux d’échange d’une valeur dépassant les 3,7 MDT, soit 32 % du total volume échangé sur la séance. Le titre a, néanmoins, reculé de 0,6 % à 93,490 D.

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Avant Gaza, la Caravane Soumoud reçue par l’ambassadeur d’Égypte

Le comité d’organisation de la caravane « Soumoud pour briser le blocus sur Gaza » affirme avoir contacté l’ambassadeur d’Égypte en Tunisie afin de lui faire part de son engagement, une fois l’autorisation obtenue, à accéder au poste-frontière de Rafah, à respecter les procédures et lois en vigueur en Égypte, et à veiller à ce que son discours soit exclusivement dirigé contre l’ennemi sioniste.

Dans une déclaration publiée mercredi 11 juin sur sa page officielle sur Facebook, le comité d’organisation a précisé que la caravane n’a aucun parti pris contre le régime égyptien, soulignant que ses relations avec les autorités égyptiennes se limitent à une communication concernant les aspects juridiques, administratifs et sécuritaires liés au passage du convoi sur le territoire égyptien.

Cette déclaration fait suite aux critiques formulées à l’encontre de la caravane par plusieurs blogueurs égyptiens.

Ces derniers ont exprimé des réserves concernant la caravane Soumoud s’interrogeant sur ses motivations et craignant que le gouvernement égyptien ne soit entraîné dans des affrontements avec les forces d’occupation. Certains ont même menacé d’empêcher l’entrée du convoi en Égypte.

Des sites d’information ont également rapporté que les autorités égyptiennes n’étaient pas au courant de l’existence du convoi et qu’aucune coordination n’a été effectuée entre le comité d’organisation et les autorités égyptiennes.

L’agence TAP a contacté l’ambassade d’Égypte à Tunis ainsi que le comité d’organisation de la Caravane pour vérifier ces informations sans obtenir de réponses au moment de l’écriture de cette dépêche.

Mais déjà dans sa déclaration, le comité d’organisation affirme que son seul objectif est de contribuer à la levée du siège injustement imposé à la population de Gaza et à l’arrêt du génocide et que sa démarche ne vise pas à exercer de pression à aucun des pays traversés par le convoi.

Le comité affirme comprendre le souci de l’État égyptien de défendre sa souveraineté sur ses frontières et tient à préciser que depuis des semaines, plusieurs contacts ont été établis avec les autorités égyptiennes soit par l’intermédiaire de l’ambassade égyptien à Tunis soit par des parties intermédiaires au Caire.

En plus de contacter officiellement « le ministère égyptien des Affaires étrangères, clarifiant la nature et les objectifs de la caravane terrestre Soumoud ».

Le comité a aussi réaffirmé son intention de ne pas entrer en Égypte « sans l’approbation des autorités et un accord avec elles sur les différentes procédures d’entrée ».

À cet égard, il a exprimé l’espoir que « l’Égypte et le grand peuple égyptien répondront à ce moment historique et crucial pour le destin de la Palestine et de la nation arabe ».

Dans une courte vidéo publiée, mercredi 11 juin , la militante Jawaher Channa, membre du comité a souligné que le convoi vise à briser le siège de Gaza et à mettre fin au génocide affirmant que la caravane repose essentiellement sur la solidarité et l’unité des peuples.

Elle a signalé que les propos tenus sur les réseaux sociaux « ne reflètent pas la vérité ». À cet égard, elle a mis en garde contre le piège de la provocation résultant de certains commentaires négatifs et critiques sur Facebook. Face à ces commentaires, elle a exhorté la population à s’en tenir à une attitude positive et à espérer en l’unité des peuples.

Il convient de noter que la Caravane « Soumoud pour briser le blocus sur Gaza » a quitté la Tunisie le 9 juin et est désormais arrivé dans la ville libyenne de Zliten.

Selon l’activiste Jawaher Channa, l’objectif de cette caravane est de créer un pont humain pour exprimer sa solidarité avec le peuple palestinien et ceci en coordination avec ceux qui soutiennent la cause palestinienne.

Lors de la conférence de presse tenue avant le départ de la caravane, son porte-parole Wael Nawar a assuré que le convoi coordonne avec des organisations humanitaires égyptiennes.

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La Tunisie brille au Salon Food and Beverage West Africa au Nigéria

La Tunisie brille au salon international de l’agroalimentaire « Food and Beverage West Africa », qui se tient à Lagos, au Nigéria du 10 au 12 juin.

La Tunisie prend part à une importante manifestation économique à Abuja, la capitale du Nigéria. Organisée par le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), avec l’appui de l’Ambassade de Tunisie à Abuja, cette participation s’inscrit dans le cadre d’une dynamique de valorisation des produits phares du terroir tunisien et d’accompagnement ciblé des entreprises exportatrices.

Sept sociétés nationales prennent part à cet événement, dont six sont membres du consortium « Taste Tunisia », une initiative portée par le CEPEX pour promouvoir l’excellence des produits agroalimentaires tunisiens sur les marchés internationaux.

La Tunisie y est représentée par un pavillon de 36 m² où sont exposés plus d’une quinzaine de produits variés : huile d’olive, dattes, conserves, pâtes alimentaires, couscous, sauces, antipastis, biscuits, fromages, jus et boissons, ainsi que des articles moins traditionnels tels que la mayonnaise, la margarine, l’huile végétale et des équipements destinés à la gestion et au recyclage des déchets.

Cette participation est une opportunité stratégique pour les entreprises tunisiennes de nouer des partenariats commerciaux, de sonder le potentiel du marché nigérian — considéré comme l’un des plus dynamiques du continent africain — et d’inscrire durablement la Tunisie dans le paysage agroalimentaire ouest-africain.

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La BM prévoit une croissance de 1,9 % en 2025 pour la Tunisie

La croissance en Tunisie devrait s’établir à 1,9 % en 2025, 1,6 % en 2026 et 1,7 % en 2027, d’après le dernier rapport de la Banque mondiale sur « Les Perspectives économiques mondiales » publié mardi 10 juin.

Pour rappel, l’économie tunisienne a progressé de 1,4% au cours de l’année 2024.

La Banque mondiale a actualisé ses prévisions économiques en se fondant sur une hypothèse d’amélioration des conditions météorologiques, susceptible de favoriser une reprise de la production agricole.

Pour les années 2025 et 2026, les projections restent globalement alignées avec celles publiées en avril 2025 dans le rapport « Changer de vitesse : le secteur privé comme moteur de la croissance dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord ». Toutefois, comparées aux prévisions établies en janvier 2025, elles enregistrent un recul de 0,3 % pour 2025 et de 0,7 % pour 2026.

Ce léger ajustement à la baisse souligne les défis persistants auxquels fait face la région, même si l’optimisme autour d’une meilleure saison agricole pourrait constituer un levier important pour relancer la croissance.

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Jendouba : appel de la décision de non-lieu visant deux membres de l’UTICA régionale

Le ministère public près le tribunal de première instance à Jendouba a fait appel de la décision rendue par le premier juge d’instruction de la même juridiction, laquelle prononçait un non-lieu pour l’ensemble des charges retenues contre deux membres du bureau exécutif de l’Union régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (URICA) de Jendouba, ordonnant ainsi leur libération.

Me Anis Ben Youssef, membre du collectif de défense, a annoncé à l’agence TAP que le classement de l’affaire intervient à l’issue d’investigations exhaustives relatives à un signalement reçu par le parquet en août 2022.

Initialement confiée à la première brigade centrale de la Garde nationale d’El Aouina à Tunis, l’enquête a été transférée en février dernier au pôle d’instruction du tribunal de Jendouba. À l’issue de l’information judiciaire, le juge en charge du dossier avait émis deux mandats de dépôt avant de revenir sur sa décision, révoquant les mesures de détention et classant l’affaire sans suite.

Toutefois, le parquet a décidé de relancer la procédure en sollicitant un réexamen du fond. Selon les précisions de Me Ben Youssef, le dossier est désormais entre les mains de la chambre d’accusation de la cour d’appel de Jendouba. Une décision est attendue pour lundi 16 juin.

Les deux cadres de l’Union régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (URICA) de Jendouba font face à de lourdes accusations. Parmi les charges initiales retenues figurent des faits graves tels que le « complot contre la sûreté intérieure de l’État », « l’incitation des citoyens à s’attaquer mutuellement avec des armes », ainsi que des « troubles à l’ordre public, meurtres et pillages sur le territoire tunisien », en vertu des articles 63, 64 et 72 du Code pénal tunisien.

Le parquet du tribunal de première instance à Jendouba a également évoqué d’autres chefs d’accusation liés à la « constitution d’une entente en vue de porter atteinte aux personnes et aux biens », citant les articles 68, 72, 131 et 132 du même code. Des faits passibles de lourdes peines, dans un contexte politique et social particulièrement tendu.

Face à ces poursuites, l’Union régionale n’a pas tardé à réagir. Dans un communiqué antérieur, elle a dénoncé une affaire motivée par un « règlement de comptes » et un « ciblage politique » clair. Selon l’organisation, ces accusations s’inscrivent dans une campagne systématique contre ses membres et structures, connus pour leur engagement en faveur du développement régional.

Le président de l’Union régionale, Saâdallah Khallafawi, a vigoureusement fustigé ce qu’il décrit comme un « acharnement contre les voix locales » qui militent pour le droit au développement, à l’investissement et à la justice territoriale. Il y voit une tentative manifeste de faire taire les acteurs socio-économiques qui dérangent.

Alors que l’affaire suit son cours devant la justice, elle ravive les inquiétudes autour de la liberté d’expression et de la criminalisation des revendications sociales dans certaines régions du pays.

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Secousse tellurique d’une magnitude de 3,2 degrés au golfe de Hammamet

L’Institut national de la météorologie (INM) a annoncé qu’une secousse tellurique d’une magnitude de 3,2 degrés sur l’échelle de Richter (qui en compte 9), a été enregistrée le 11 juin 2025, à 14h57 min (heure locale), au golfe de Hammamet (gouvernorat de Nabeul).

Selon les analyses préliminaires effectuées par les stations sismologiques de l’INM, l’épicentre de la secousse se situe à 36,20 degrés de latitude nord et 11,06 degrés de longitude est.

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Renforcement des Compétences : KOICA, KAAT et STEG Unies

Dans une atmosphère conviviale et dynamique, l’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA) et la KAAT (KOICA Alumni Association in Tunisia) ont eu le plaisir de coorganiser, en collaboration avec la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG), une rencontre placée sous le signe du partage de connaissances, intitulée :« Bâtir des Ponts de Savoir : Dialogue et Coopération entre la KOICA, la KAAT et la STEG ».
Organisé au siège de la STEG, cet événement a réuni près de 60 cadres et ingénieurs de l’entreprise, aux côtés des représentants de la KOICA, des alumni de la KAAT et des membres de l’équipe organisatrice. L’atelier a constitué une occasion de célébrer la coopération entre la
République de Corée et la Tunisie, tout en ouvrant la voie à de nouvelles perspectives de collaboration.
Une coopération enracinée et tournée vers l’avenir : 
Dans son discours d’ouverture, Mme Namsoon Lee, Directrice pays de la KOICA, a rappelé que ce partenariat remonte à 2016, date à laquelle une première convention avait été signée pour une étude de faisabilité de centrales solaires photovoltaïques de 50 MW dans le sud tunisien, pour un montant de 1,7 million USD. Elle a également mentionné un précédent projet ambitieux portant sur la gestion de la demande en électricité et le stockage du froid, soulignant la volonté commune d’innover dans les domaines de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables. De son côté M. Fayçal Tarifa, Président Directeur Général de la STEG, a salué les liens solides qui unissent la KOICA et la STEG depuis plusieurs années, tout en exprimant son souhait de voir ces relations se renforcer à travers de nouvelles initiatives de renforcement des capacités, en particulier dans le cadre du programme CIAT (Capacity Improvement and Advancement for Tomorrow).

Focus sur les opportunités de formation et le partage d’expériences :

L’atelier a permis aux participants de découvrir ou redécouvrir les projets phares de la KOICA en Tunisie, ainsi que les opportunités offertes par les bourses CIAT, actuellement en phase de deuxième session. Une présentation détaillée des modalités d’application a été partagée
par Mme SELLAMI Imen chargée de programme de coopération à la KOICA, suscitant un vif intérêt parmi les ingénieurs et cadres présents.
Le témoignage inspirant de M. Aymen Chaaben, alumni de la KAAT ayant suivi un master à la KDI School, a permis d’illustrer concrètement l’impact de ces programmes sur le développement personnel et professionnel des bénéficiaires.

Un engagement commun pour l’avenir :
À travers cette initiative, La KOICA et la STEG réaffirment leur volonté de valoriser les ressources humaines et d’investir dans l’excellence professionnelle, en créant des passerelles concrètes entre la formation, l’expertise locale et l’innovation internationale.
Un quiz interactif et une session d’échanges pratiques ont clôturé l’événement dans une ambiance collaborative, posant les bases d’une nouvelle dynamique de coopération tripartite, au service du développement durable du secteur énergétique en Tunisie.

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Croissance MENA prévue à 2,7 % en 2025 à MENA

La croissance dans la région MENA devrait s’accélérer, atteignant 2,7 % en 2025, avant de se renforcer davantage pour atteindre 3,7 % en 2026 et 4,1 % en 2027, selon le dernier rapport de la Banque mondiale intitulé « Les Perspectives économiques mondiales », publié, mardi 10 juin.

Cette tendance s’explique principalement par une augmentation progressive de la production pétrolière, qui compense largement les effets négatifs liés à la baisse des prix du pétrole. Cela intervient malgré les contraintes pesant sur les exportations, dues à la montée des barrières commerciales. Les prévisions de croissance ont été révisées à la baisse depuis janvier, principalement en raison des répercussions des restrictions commerciales accrues ainsi que des incertitudes entourant les investissements et les exportations. Dans les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG), la croissance économique devrait s’accélérer graduellement, atteignant 3,2 % en 2025, 4,5 % en 2026, puis 4,8 % en 2027. La levée progressive des quotas est attendue pour stimuler la production pétrolière, en dépit d’une baisse anticipée des prix du pétrole, conséquence d’un ralentissement de la demande mondiale. Par ailleurs, le dynamisme du secteur non pétrolier continuera de soutenir la croissance économique. En revanche, dans les pays exportateurs de pétrole hors CCG, plusieurs économies devraient voir leur activité ralentir sous l’effet de la chute des prix pétroliers et du recul de la demande extérieure.

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Croissance mondiale au plus bas depuis 2008 hors récessions

L’intensification des tensions commerciales et l’incertitude entourant les politiques publiques devraient faire chuter la croissance mondiale cette année, à son rythme le plus faible depuis 2008 — hors périodes de récession avérée. Selon le dernier rapport de la Banque mondiale publié, mardi 11 juin, près de 70% des économies mondiales voient leurs prévisions de croissance révisées à la baisse, toutes régions et catégories de revenu confondues.

Les perspectives économiques mondiales prévoient un ralentissement de la croissance à 2,3% en 2025, soit près d’un demi-point de pourcentage de moins que ce qui avait été prévu en début d’année. Elles n’envisagent pas de récession mondiale. Toutefois, si ces prévisions se confirment pour les deux prochaines années, la croissance moyenne mondiale durant les sept premières années des années 2020 sera la plus faible enregistrée depuis les années 1960.

« En dehors de l’Asie, le monde en développement entre de plus en plus dans une ère de stagnation, alerte Indermit Gill, économiste en chef et premier vice-président du Groupe de la Banque mondiale pour l’Économie du développement. Cette menace plane depuis plus d’une décennie maintenant.

La croissance dans les économies en développement a progressivement marqué le pas depuis trente ans, pour passer de 6% par an dans les années 2000 à 5% dans les années 2010, avant de tomber à moins de 4% dans les années 2020. Cette évolution suit la trajectoire de la croissance du commerce mondial, qui a baissé de 5% en moyenne dans les années 2000 à environ 4,5% dans les années 2010, puis chuté à moins de 3% dans les années 2020. La croissance des investissements s’est également tassée, tandis que la dette a atteint des niveaux record ».

La croissance devrait ralentir dans près de 60% des économies en développement cette année, atteignant en moyenne 3,8% en 2025, avant de repartir légèrement à la hausse à 3,9% en moyenne en 2026 et 2027. Ces taux restent inférieurs de plus d’un point de pourcentage à la moyenne observée durant les années 2010. Pour les pays à faible revenu, la croissance est estimée à 5,3% cette année, soit 0,4 point de pourcentage de moins que les projections initiales pour 2025. Par ailleurs, la hausse des droits de douane et le durcissement des conditions sur les marchés du travail contribuent à maintenir des pressions inflationnistes : selon les prévisions, l’inflation mondiale devrait s’établir en moyenne à 2,9% en 2025, un niveau encore supérieur à celui enregistré avant la pandémie.

Le ralentissement de la croissance risque de freiner la capacité des pays en développement à stimuler la création d’emplois, à réduire l’extrême pauvreté et à combler l’écart de revenu par habitant qui les sépare des économies avancées. La croissance du revenu par habitant dans ces pays devrait atteindre 2,9% en 2025, soit 1,1 point de pourcentage de moins que la moyenne observée entre 2000 et 2019. En supposant que les économies en développement (hors Chine) parviennent à maintenir une croissance du PIB de 4% — conformément aux projections pour 2027 —, il leur faudrait environ deux décennies pour retrouver leur trajectoire d’avant la pandémie.

La croissance mondiale pourrait toutefois rebondir plus rapidement que prévu si les grandes économies réussissaient à atténuer les tensions commerciales, ce qui réduirait l’incertitude politique et la volatilité financière. Selon le rapport, si les différends commerciaux actuels étaient résolus par des accords réduisant de moitié les droits de douane par rapport à leur niveau fin mai, la croissance mondiale gagnerait en moyenne 0,2 point de pourcentage supplémentaire sur la période 2025-2026.

Les économies en développement se trouvent à un tournant crucial face à une multiplication des obstacles aux échanges commerciaux.

Elles doivent privilégier une plus grande ouverture en nouant des partenariats commerciaux et d’investissement stratégiques, tout en diversifiant leurs échanges, notamment via des accords régionaux pour surmonter les défis.

Dans un contexte marqué par des ressources publiques limitées et des besoins de développement toujours croissants, les décideurs sont appelés à mobiliser davantage les recettes intérieures. La priorité doit être donnée aux dépenses ciblant les ménages les plus vulnérables, tout en renforçant les cadres budgétaires afin d’assurer une gestion rigoureuse des finances publiques.

Il est également indispensable d’améliorer le climat des affaires et de promouvoir un emploi productif pour accélérer la croissance économique. Cela passe par la formation des travailleurs aux compétences adaptées et par la création de conditions favorisant une rencontre efficace entre l’offre et la demande sur le marché du travail.

Enfin, dans ce contexte mondial, une coopération internationale renforcée s’avère essentielle pour soutenir les économies en développement les plus fragiles. Cette aide doit se traduire par des interventions multilatérales, des financements concessionnels, et, pour les pays confrontés à des conflits, par un soutien d’urgence capable de répondre rapidement aux crises.

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La Caravane Soumoud vers Tadjourah via Tripoli

Le porte-parole de la caravane terrestre « Soumoud pour briser le blocus sur Gaza », Wael Nawar, a annoncé qu’une délégation de la caravane est arrivée ce mercredi 11 juin, à midi, sur la place des Martyrs, au cœur de la capitale libyenne, Tripoli. Le reste de la caravane a poursuivi sa route en direction de la ville de Tadjourah.

Dans une vidéo diffusée sur la page Facebook de la Coordination tunisienne de l’action commune pour la Palestine, Nawar a annoncé que le comité d’organisation de la caravane avait décidé de modifier son itinéraire. Cette décision a été motivée par l’intensité du trafic au centre de Tripoli, susceptible de compromettre l’arrivée de la caravane au poste frontalier de Rafah à la date prévue du 15 juin 2025.

Il a indiqué que ce choix avait été fait en accord avec les Libyens, en raison notamment de la forte symbolique de la place des Martyrs. La délégation rejoindra les autres membres du convoi à Tadjourah pour une pause-déjeuner.

Le comité d’organisation du convoi a démenti les rumeurs faisant état d’une attitude négative des autorités de l’Est libyen à son encontre.

Il a qualifié les relations avec ces autorités de « positives et encourageantes », insistant sur le fait que toutes les parties poursuivent un objectif commun : soutenir la Palestine et les habitants de Gaza.

Le comité se réjouit également de l’accueil chaleureux et de la générosité dont ont bénéficié les membres du convoi depuis leur entrée en Libye, à la frontière ouest tunisienne, jusqu’à leur arrivée dans les villes de l’Est.

Par ailleurs, la « Caravane Soumoud », organisée par la Coordination tunisienne de l’action commune pour la Palestine, a quitté Tunis lundi matin en direction de la bande de Gaza. Plusieurs militants venus du Maghreb participent à ce périple, qui vise à briser le blocus imposé par l’entité sioniste sur Gaza depuis plus d’un an et demi.

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London Tech Week 2025 : plus de 30 entreprises tunisiennes présentes

« La Tunisie n’est plus un simple visiteur de la Semaine de la technologie à Londres «London Tech Week 2025 » mais elle a contribué à travers son pavillon à faire connaître les compétences tunisiennes », a indiqué le président de la Confédération des entreprises citoyennes de Tunisie (Conect), Aslan Berjeb.

Il a déclaré à l’agence TAP que la Tunisie participe, pour la première fois, à cet événement avec un pavillon national, véritable vitrine pour les startups et les entreprises innovantes opérant dans des secteurs variés tels que la cybersécurité et les technologies de la santé. Cette participation est renforcée par une présence gouvernementale et diplomatique active.

Le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzeddine Ben Cheikh, et l’ambassadeur de Tunisie à Londres ont visité la Semaine de la technologie à Londres, qui se tient du 9 au 13 juin 2025, dans la capitale britannique.

Cet événement compte parmi les plus grands et les plus prestigieux au monde dans les domaines des technologies modernes, de l’innovation et de la créativité, a précisé Aslan Berjeb.

La délégation tunisienne vise à valoriser l’écosystème technologique national et à établir de nouveaux partenariats stratégiques. Elle est composée d’environ 30 startups et entreprises du secteur numérique, ainsi que de représentants de fonds d’investissement, d’accélérateurs et de talents tunisiens basés au Royaume-Uni.

Le président de la Conect a souligné que le pavillon tunisien a offert une plateforme précieuse aux entreprises pour présenter leurs produits et solutions technologiques à des investisseurs internationaux, des décideurs et des bailleurs de fonds.

La première participation de la Tunisie à la London Tech Week 2025 est organisée par Conect International et la Chambre de commerce tuniso-britannique (TBCC), en collaboration avec l’ambassade de Tunisie à Londres et l’ambassade du Royaume-Uni à Tunis.

Cet événement bénéficie du soutien du projet « Startups et PME Innovantes », financé par la Banque mondiale et mis en œuvre par la Caisse des dépôts et consignations (CDC), en partenariat avec Smart Capital.

La London Tech Week 2025 rassemble les leaders de l’innovation, les investisseurs, les décideurs politiques et les startups issus de plus de 90 pays. Plus de 70 événements sont programmés à cette occasion, avec la participation de 400 intervenants internationaux.

Les thématiques abordées incluent notamment l’intelligence artificielle, le cloud computing, les technologies de la santé, ainsi que l’innovation durable.

Les relations commerciales entre la Tunisie et le Royaume-Uni connaissent une progression remarquable. En 2023, les échanges bilatéraux ont atteint environ 1,7 milliard de dinars tunisiens, avec un excédent commercial en faveur de la Tunisie (taux de couverture avoisinant les 127,8%).

Pour rappel, en octobre 2019, la Tunisie a conclu un accord de partenariat avec le Royaume-Uni afin de garantir la continuité des échanges commerciaux entre les deux pays, à la suite de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (Brexit).

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Tunisie : l’APAL contre l’érosion côtière à l’horizon 2030

Mohamed Ali Turki, directeur technique à l’Agence de protection et d’aménagement du littoral (APAL), a affirmé que l’agence vise la protection de 15% des côtes menacées par l’érosion maritime en Tunisie à l’horizon 2030, contre une moyenne de 10% réalisés jusqu’à ce jour.

Lors d’une séance d’audition des représentants de l’APAL tenue, mardi 10 juin, par la commission des secteurs productifs relevant du Conseil national des régions et des districts (CNRD), Turki a précisé qu’une grande partie de ces projets est financée par des dons internationaux.

Il a souligné que les régions bénéficiaires de ces projets ont enregistré une nette amélioration sur le plan environnemental, accompagnée d’un essor de l’activité touristique et économique. Des avancées qui contribuent à dynamiser le processus de développement régional, selon des données publiées par le Conseil sur sa page officielle Facebook.

La rencontre a été l’occasion de mettre en lumière les principaux projets réalisés dans le pays, en particulier la construction d’ouvrages rocheux de protection et les opérations d’alimentation artificielle des plages en sable.

Les députés ont, pour leur part, soulevé les grandes difficultés auxquelles l’APAL est confrontée. Ils ont insisté sur l’importance de renforcer les campagnes de sensibilisation auprès des citoyens, en associant l’ensemble des parties prenantes et les médias.

Objectif : mieux faire connaître les projets de protection du littoral et en valoriser les retombées positives, tant sur le plan économique que social. Ils ont également appelé à fonder ces évaluations sur des indicateurs fiables et précis.

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Hammamet accueille 24 pays pour le Seafood Festival

La troisième édition du Mediterranean Seafood Festival – Gastro Tunisia se tiendra du 20 au 22 juin 2025 à Hammamet. Ce rendez-vous culinaire d’envergure internationale rassemblera des chefs et experts gastronomiques venus de 24 pays répartis sur quatre continents, célébrant la richesse des saveurs marines dans une ambiance conviviale et créative.

Organisé par l’Association Golden Falcons Culinaire (AGFC), ce festival dépasse largement le cadre d’une simple compétition gastronomique. Il se veut une véritable vitrine de talents, offrant aux jeunes chefs l’opportunité de faire rayonner leur créativité et leur maîtrise culinaire devant un jury prestigieux composé d’experts internationaux reconnus dans le domaine.

Inscrit parmi les rendez-vous incontournables des arts culinaires méditerranéens et des spécialités maritimes, cet événement poursuit une double ambition : célébrer la richesse gastronomique du bassin méditerranéen et promouvoir la Tunisie en tant que destination culinaire de référence à l’échelle mondiale.

Le programme comprend une formation de jury culinaire encadrée par des experts venus de Russie, d’Allemagne, de Croatie et d’Afrique du Nord. À l’issue de cette formation, une certification de premier niveau sera délivrée par le Board Européen-Turc en jury culinaire.

Il s’agit du reflet de la diversité et de la richesse de la cuisine méditerranéenne. Parmi les épreuves phares figurent la confection de desserts chauds et froids accompagnant les plats de fruits de mer, l’élaboration de boissons innovantes aux saveurs méditerranéennes, la préparation de viennoiseries raffinées, la conception de pâtisseries marines, ainsi que la réalisation de pizzas traditionnelles et contemporaines. Les participants devront, en outre, créer des gâteaux 3D inspirés des fonds marins.

Au-delà de la reconnaissance immédiate, ce festival ouvre des perspectives d’avenir exceptionnelles. Les lauréats recevront des médailles ainsi que des certificats internationaux, et auront la chance de se qualifier pour les Olympiades culinaires de Stuttgart 2026.

L’événement a été organisé par l’Association Golden Falcons Culinaire, une référence mondiale dans les arts culinaires et pâtissiers. À travers ses compétitions internationales de haut niveau, elle œuvre pour l’excellence professionnelle, le développement des compétences et la création d’un réseau mondial de chefs talentueux.

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Faker Rais, nouveau DG de BNA Assurances 

Réuni vendredi 23 mai 2025, le Conseil d’administration de BNA Assurances a décidé la nomination de Faker RAIS au poste de directeur général, nomination qui a pris effet à compter du 10 juin 2025. Il succède à ce poste Mohamed Skander NAIJA, appelé à de nouvelles responsabilités dans le secteur financier, après avoir contribué de manière significative à la transformation de la compagnie.

Faker RAIS est titulaire d’une maîtrise en Science de Gestion option finance de la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion de Sfax. Il a ensuite obtenu un master en management des assurances à l’Institut de Financement et du Développement du Maghreb (IFID Tunis), renforçant ainsi son expertise dans le secteur financier et de l’assurance.
Faker RAIS compte plus de 36 ans d’expérience dans l’assurance et les finances, et a occupé des postes de direction en Tunisie et à l’international. Il a notamment été directeur général adjoint de BNA Assurances, chef du pôle technique et du pôle financier chez AMI Assurances.
Auparavant, il a occupé le poste de Chief Financial Officer puis Acting Chief Executive Officer au sein de United Cooperative Assurance en Arabie saoudite. Pendant 10 ans il était le directeur général de Labuan Reinsurance à Bahreïn. Sa première expérience en Tunisie fut BEST RE où il a occupé le poste de Treaty Area Manager.

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Une seule région, une seule santé : préparation pour la Conférence MENA

Une réunion préparatoire de la Conférence « Une seule santé » de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, prévue à Tunis les 14 et 15 juin au siège de l’Académie diplomatique internationale, a été organisée mardi 10 courant, au siège du ministère de la Santé.

Cette conférence régionale est organisée par le gouvernement tunisien en partenariat avec la Banque mondiale et les agences des Nations unies en charge de la santé, de l’environnement et de l’agriculture. Elle réunira des experts de différents secteurs pour discuter des défis communs. C’est ce qu’indique un communiqué du ministère de la Santé.

Le programme de la conférence, qui se déroulera sous le slogan « Une seule santé, un seul avenir », prévoit la présentation d’expériences réussies. Ainsi que de propositions concrètes visant à renforcer la coordination entre les secteurs impliqués dans le domaine de la santé.

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