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Miss Tunisie 2025 : Lamiss Redissi parmi le top 20 mondial à Miss Monde en Inde

Miss Tunisie 2025 : Lamiss Redissi parmi le top 20 mondial à Miss Monde en Inde

Lamiss Redissi, élue Miss Tunisie, a brillamment représenté son pays lors de l’édition 2025 du concours Miss Monde qui s’est tenue en Inde. Elle s’est classée à la 20ᵉ place au niveau mondial et a décroché la 5ᵉ position parmi les représentantes africaines. Ce classement prestigieux met en lumière l’élégance, la détermination et le rayonnement […]

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L’ISIE prête à organiser les élections municipales

Aymen Boughattas, membre du conseil de l’instance supérieure indépendante pour les élections, a déclaré que l’ISIE est tout à fait prête pour les élections municipales ainsi que toute autre échéance qui pourrait être annoncée.

Joint par la TAP lors du tirage au sort pour le renouvellement des conseils régionaux à Monastir, il a précisé que dès que la date officielle des élections municipales sera annoncée et qu’un décret présidentiel convoquant les électeurs sera publié, l’ISIE lancera le processus électoral et finalisera le calendrier, comme à chaque fois.

Il a affirmé que le travail de l’Instance ne s’arrête pas et que la préparation matérielle et logistique se fait de manière continue, rappelant l’organisation d’élections législatives partielles dans la circonscription de Bizerte-Nord le 29 juin 2025 et en août de la même année dans la circonscription de Tozeur-Degache pour remplacer un député décédé.

Aymen Boughattas a d’ailleurs, expliqué que l’ISIE organise, régulièrement, des réunions hebdomadaires dédiées aux questions administratives en lien avec le personnel, les locaux, les aspects immobiliers, le système de qualité, le système de messagerie électronique « …etc.

 

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Une délégation parlementaire à Haïdra et Bouchebka

Une délégation de la Commission parlementaire des relations extérieures, de la coopération internationale, des affaires des Tunisiens à l’étranger et de la migration a effectué, les 30 et 31 mai, une visite de terrain aux postes frontaliers de Haïdra et Bouchebka, dans le gouvernorat de Kasserine. Plusieurs députés de la région ont pris part à cette mission.

En visite à Haïdra, les parlementaires ont constaté une hausse de 29,8 % du trafic de voyageurs entre avril 2024 et avril 2025. Désormais classé point de passage touristique en plus de sa fonction commerciale, le poste fait face à plusieurs défis logistiques et humains. Les représentants de la Douane, de la Sécurité nationale et de la Police des frontières ont dressé un état des lieux de la situation.

La délégation a inspecté les travaux réalisés par l’Office national des postes frontaliers terrestres (ONPFT) et appelé à renforcer les effectifs, activer les guichets encore inopérants faute de matériel, renouveler le parc automobile et équiper le poste d’un scanner pour véhicules.

À Bouchebka, où plus d’un million de voyageurs ont transité en 2024, soit une augmentation de 15 % par rapport à l’année précédente, les députés ont rencontré les responsables du poste et des cadres régionaux. L’étroitesse de la route menant au poste, source d’encombrements fréquents, a été pointée du doigt. Les élus ont proposé de séparer les flux touristiques et commerciaux, les terrains et financements nécessaires étant déjà disponibles.

Ils ont également recommandé de relier Bouchebka à la route nationale n°15 (vers Gabès) et de résoudre plusieurs problèmes structurels : pénurie d’eau, réseau d’assainissement dégradé, faiblesse du réseau électrique et lourdeurs administratives liées à la gestion des biens saisis.

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Un combattant irlandais brandit le drapeau palestinien après sa victoire face à un Israélien

Un combattant irlandais brandit le drapeau palestinien après sa victoire face à un Israélien

Lors d’un combat palpitant à Rome, le combattant irlandais de MMA, Paddy McCorry, a marqué les esprits en brandissant le drapeau palestinien après avoir vaincu l’adversaire israélien Shuki Faraj, scandant à plusieurs reprises « Palestine libre » dans l’arène. Ce geste fort et symbolique, survenu après une prestation impressionnante sur le ring, a suscité des […]

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Gaza : Tsahal ouvre le feu sur des affamés — 22 morts près d’un centre d’aide humanitaire

Gaza : Tsahal ouvre le feu sur des affamés — 22 morts près d’un centre d’aide humanitaire

Au moins 22 Palestiniens ont perdu la vie et plus de 120 ont été blessés dans le sud de la bande de Gaza, lors de tirs israéliens visant des civils qui se rendaient vers un centre de distribution d’aide humanitaire, selon la Défense civile. L’incident, survenu à l’ouest de Rafah, a eu lieu alors que […]

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Séance plénière du 2 juin consacrée aux questions orales au ministre de la Santé

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) tiendra une séance plénière le lundi 2 juin 2025, à partir de 10h00. L’ordre du jour comprendra 14 questions orales adressées au ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, selon un communiqué publié par l’ARP à ce sujet.

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Pourquoi KPIT Technologies choisit-elle la Tunisie pour son centre d’ingénierie automobile ?

KPIT Technologies, multinationale indienne spécialisée dans la fourniture de services de recherche et développement en ingénierie aux entreprises du secteur automobile, vient de s’implanter en Tunisie. Elle a inauguré, ces derniers jours, à Sfax un centre d’ingénierie dédié au développement de logiciels dans le domaine des technologies de la mobilité avec comme ultime objectif réduire au maximum le coût de sa production.

Le centre est destiné à servir de plaque tournante pour l’ingénierie logicielle et l’innovation en matière de logiciels de propulsion, de développement de réseaux de véhicules et de domaines connexes, l’accent étant mis sur le soutien aux fabricants d’équipements d’origine (OEM) automobiles européens.

« Le centre de Sfax deviendra stratégique pour les équipementiers européens grâce à ses avantages en termes de localisation et de fuseau horaire. » — Anup Sable

 

D’après les informations qui ont accompagné cette implantation, la multinationale indienne se propose d’atteindre deux objectifs précis.

Le premier consiste à embaucher les meilleurs talents tunisiens en ingénierie logicielle, en leur offrant la possibilité de travailler sur des défis technologiques mondiaux complexes dans le domaine de la mobilité.

Cet objectif est en harmonie avec la nouvelle orientation de la Tunisie en matière d’attraction des investissements extérieurs. La présidente de l’Autorité tunisienne de l’investissement, Namia Ayadi s’est déclarée «fière de soutenir de tels projets transformateurs, qui favorisent l’emploi hautement qualifié, promeuvent le transfert de connaissances et renforcent l’intégration de la Tunisie dans les chaînes de valeur mondiales».

« Réduire au maximum le coût de production dans les technologies de mobilité. »

 

Le deuxième objectif vise à tirer le meilleur profit de la proximité de ses clients parmi les équipementiers européens et à renforcer la capacité de KPIT à leur fournir des solutions de pointe en matière de logiciels, de conception de matériel et d’ingénierie de fabrication. Il n’est pas besoin de rappeler ici que depuis plus de 20 ans, KPIT est un partenaire stratégique des principaux équipementiers européens du secteur de la mobilité dont la plupart ont des filiales en Tunisie.

Selon le représentant de KPIT Technologies, Anup Sable « le centre de Sfax deviendra stratégique pour les équipementiers européens grâce à ses avantages en termes de localisation et de fuseau horaire, ce qui lui permettra de gagner en agilité et en envergure».

ABS

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Onu Tourisme │Un autre échec de la diplomatie tunisienne

L’élection, le 30 mai 2025 à Ségovie (Espagne), de Shaikha Nasser Al Nowais, vice-présidente de la société hôtelière Rotana aux Émirats arabes unis, pour succéder au Géorgien Zurab Pololikashvili au poste de secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme (Onu Tourisme), lors de la 123e réunion du Conseil exécutif de cette organisation, a été un camouflet pour la Tunisie, dont le candidat officiel, l’ancien ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Habib Ammar, n’a visiblement pas brillé à cette occasion, c’est un euphémisme.

Imed Bahri

Lors du vote, la candidate émiratie a devancé largement le Grec Harry Theoharis, la Mexicaine Gloria Guevara et le Ghanéen Muhammad Adam. Lesquels ont devancé, pour leur part, tout aussi largement, Habib Ammar, puisque ce dernier a décidé de retirer sa candidature le matin même du vote, ayant senti le vent tourner dans une direction non souhaitable.

Ce dernier a beau être le frère de l’ex-ministre des Affaires étrangères Nabil Ammar, qui est, depuis mars 2025, ambassadeur et représentant permanent de la Tunisie auprès de l’Organisation des Nations unies à New York, ou encore le cousin de Ilhem Semia Ammar, ambassadrice de Tunisie en Autriche. Il n’était visiblement pas le meilleur candidat pour le poste que la Tunisie, pays pourtant doté d’une très ancienne expérience dans le domaine touristique, a cru pouvoir sérieusement briguer à travers lui. A moins que la candidature de Habib Ammar n’ait pas été bien soutenue par la diplomatie tunisienne, de plus en plus inaudible et isolée sur la scène internationale. Et c’est le moins que l’on puisse dire, puisque, à notre connaissance, cette candidature a été annoncée assez tardivement, à quelques semaines de l’élection, et qu’il n’y a pas eu le travail de lobbying international nécessaire en faveur du concerné.

La responsabilité de l’échec est collective

Enfin, quant on sait que beaucoup de représentants africains et arabes ont voté pour la candidate émiratie, on peut émettre des doutes sur le rayonnement régional et continental de notre diplomatie.

La responsabilité de cet échec est collective et on peut estimer que les ministères des Affaires étrangères et du tourisme, ainsi que le premier ministère et la présidence de la république, n’ont pas déployé les efforts nécessaires en faveur du candidat tunisien. Lequel n’a pas su, lui non plus, en imposer à ses collègues en termes de charisme, de programmes, d’idées et de propositions pour l’avenir d’un secteur en pleine transition marquée par l’émergence d’exigences technologiques et environnementales.

Commentaire d’un expert, qui parle d’«une aventure solitaire et hasardeuse» : «La candidature de Habib Ammar à Onu Tourisme a été lancée sans coordination avec les pays africains, en rupture totale avec la tradition de consensus régional qui fonde le poids diplomatique de la Tunisie», a-t-il expliqué. En faisant remarquer l’absence chroniques de Tunisien.ne.s à la tête d’organismes régionaux, continentaux et internationaux, traduisant un recul inquiétant de notre diplomatie au cours des vingt dernières années.

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Tunisie │ Echec des politiques publiques en matière de gestion des eaux

L’expert en développement et en gestion des ressources hydriques, Hussein Rehili a déploré «l’échec» des politiques publiques en matière de gestion des eaux, estimant que «ces politiques ont déjà montré leurs limites au fil des ans». Dans un entretien accordé à l’agence Tap, l’expert a estimé que ces politiques ont été dictées par l’ouverture économique de la Tunisie, qualifiant ces choix de «très conservateurs».

«Les choix d’ouverture économique ont changé la donne depuis les années 70. En effet, ces politiques sont devenues orientées vers une agriculture et une industrie plus consommatrices d’eau et tournées vers l’exportation», a-t-il expliqué. «A ce jour, la formulation de ces politiques demeure exclusivement confiée à l’administration, excluant ainsi les autres acteurs, ce qui a entraîné leur échec», a-t-il ajouté.

Rehili a, également, pointé de doigt l’échec des politiques publiques dans le secteur agricole, notamment, à l’heure des changements climatiques qui ont exacerbé la crise de l’eau fustigeant le retard de 69 ans enregistré dans le domaine du recensement agricole et la méconnaissance de l’Etat de tout ce qui concerne les exploitations agricoles outre le manque de rigueur et de contrôle concernant la mise en œuvre de la carte agricole.

Selon lui, les politiques de l’eau dans les zones rurales n’ont pas évolué étant donné que le Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (Sonede) n’intervient que dans les grandes agglomérations rurales.

Stress hydrique et changement climatique

Les politiques économiques publiques ne sont pas en phase avec les dernières évolutions et ne prennent pas en considération la rareté des ressources hydrauliques dans le pays, a-t-il indiqué, rappelant que le dernier programme relatif au secteur de l’eau mis en place par l’Etat est la stratégie décennale de mobilisation des ressources en eau (1990-2000). Laquelle stratégie se limite à la mobilisation des ressources en eau conventionnelles et ne prend pas compte les questions relatives au stress hydrique et aux changements climatiques.

Il a ajouté que l’exploitation des ressources en eau a plus que doublé durant les trois dernières décennies en l’absence de politiques de rationalisation de l’utilisation de ces ressources.

L’expert a, à ce titre, appelé à instaurer une culture de consommation responsable et citoyenne des ressources en eau, à intégrer la gestion durable de l’eau dans les programmes éducatifs, à inscrire le code des eaux parmi les textes de loi enseignés aux facultés de droit et à engager une réflexion collective et participative sur les questions liées à l’eau.

Il a plaidé pour l’élaboration d’une vision claire «Tunisie à l’horizon 2040-2050» dans l’objectif de reverdir la Tunisie, favoriser la souveraineté alimentaire, garantir le bon usage des ressources et réduire le recours à l’endettement.

Il est important, toujours selon lui, de procéder à une évaluation des choix économiques et des politiques publiques relatives à l’eau durant les 60 dernières années, loin de «la logique des réalisations et de falsification des vérités».

Rompre avec l’exportation virtuelle de l’eau

Il a, en outre, mis l’accent sur l’impératif de fixer les priorités pour la période à venir, d’engager les investissements nécessaires pour mobiliser les ressources en eau d’une manière durable et améliorer leur qualité, de rompre avec l’exportation virtuelle de l’eau, ou du moins de choisir entre le fait de l’exporter en garantissant un niveau élevé de valeur ajoutée ou de le préserver dans une optique d’autosuffisance.

L’expert a aussi plaidé pour la révision de la politique industrielle et la composition du tissu industriel en prenant en compte le niveau des ressources hydriques dans le pays, en favorisant les industries à forte valeur ajoutée au lieu des industries polluantes et à faible valeur ajoutée.

D’après Tap.

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Les tensions en Libye réactivent le mécanisme tripartite de voisinage Egypte-Tunisie-Algérie  

Les trois pays voisins de la Libye, l’Egypte, la Tunisie et l’Algérie, ont appelé samedi 31 mai 2025, dans un communiqué conjoint publié par le ministère égyptien des Affaires étrangères à l’issue d’une réunion trilatérale consacrée à la Libye au Caire, toutes les parties libyennes à mettre fin «immédiatement» à l’escalade et à organiser simultanément des élections législatives et présidentielles.

Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, ses homologues tunisien, Mohamed Ali Nafti, et algérien, Ahmed Attaf, ont assisté à la réunion dans le cadre d’un mécanisme de coordination tripartite de voisinage.

Selon le communiqué : «Les ministres des Affaires étrangères égyptien, tunisien et algérien se sont réunis au Caire dans le cadre de la reprise du mécanisme de coordination tripartite afin d’examiner l’évolution de la situation en Libye et de favoriser la solution politique souhaitée.

«Compte tenu de la gravité de la situation en Libye et de la situation sécuritaire actuelle dans la capitale, Tripoli, les ministres ont renouvelé leur appel à toutes les parties libyennes pour qu’elles fassent preuve de la plus grande retenue et adoptent immédiatement une attitude de désescalade, de manière à garantir la sécurité du peuple libyen.»

La déclaration conjointe a souligné l’importance de faire avancer le processus politique en Libye, notamment en unifiant les institutions et en organisant simultanément des élections parlementaires et présidentielles.

Réactivation du mécanisme tripartite de voisinage

Le mécanisme tripartite entre l’Égypte, la Tunisie et l’Algérie été lancé en 2017, mais suspendu en 2019.

Selon un autre communiqué du ministère égyptien des Affaires étrangères, la réunion du Caire réactivera ce mécanisme conjoint, reflétant l’engagement des trois pays à soutenir la paix et la stabilité en Libye.

Les trois pays ont souligné «l’urgence de parvenir à une résolution de la crise libyenne et de mettre fin à la division politique, afin d’éviter une nouvelle escalade, la violence, le terrorisme et l’élargissement du conflit».

Les ministres ont convenu que le mécanisme tripartite de voisinage devrait se réunir régulièrement, la prochaine réunion étant prévue en Algérie, puis en Tunisie, avant la fin de l’année.

Cette réunion intervient près de deux semaines après un regain de tensions sécuritaires à Tripoli, la capitale libyenne, marqué par des affrontements armés entre les forces du Gouvernement d’unité nationale et d’autres groupes armés, ainsi que par des tensions politiques marquées par des manifestations d’opposition et de soutien au gouvernement d’unité.

La Libye continue de faire face à une division politique entre deux gouvernements rivaux depuis 2022 : l’administration de Dbeibah, reconnue internationalement à Tripoli, et un gouvernement parallèle dirigé par Oussama Hammad, basé à Benghazi et soutenu par le Parlement basé à l’est.

Les efforts déployés par l’Onu pour organiser des élections nationales restent au point mort, prolongeant le conflit et l’instabilité qui sévissent dans ce pays riche en pétrole depuis dix ans.

Le ministre égyptien des Affaires étrangères a exposé les grandes lignes de la position de l’Égypte concernant l’évolution de la situation en Libye, qui soutient une «solution libyenne-libyenne sans diktats ni ingérences extérieures, ni contournement du rôle des institutions nationales libyennes, conduisant à la tenue simultanée d’élections présidentielles et parlementaires». Il a souligné «l’importance de respecter l’unité et l’intégrité territoriale de la Libye et de la préserver de toute ingérence extérieure, de soutenir les efforts des Nations Unies pour communiquer avec toutes les composantes du peuple libyen, et la nécessité de coordonner les efforts internationaux pour faire respecter les résolutions pertinentes de l’Onu concernant le retrait de toutes les forces étrangères, des mercenaires et des combattants étrangers de Libye, de manière à contribuer au rétablissement de la sécurité et de la stabilité».

Concernant les récents développements dans la capitale libyenne, Tripoli, les trois ministres ont convenu de l’importance de maintenir la sécurité et la stabilité sur l’ensemble du territoire libyen, de préserver les ressources de l’État et les institutions nationales, et de respecter l’unité et l’intégrité de la Libye. Ils ont appelé à préserver la paix, à renoncer à la violence et à faire primer l’intérêt national libyen sur toute considération. Ils ont affirmé leur engagement à continuer de travailler avec les partenaires régionaux et internationaux pour fournir une assistance et toutes les formes de soutien à la Libye et à œuvrer pour assurer la sécurité et la sûreté de son peuple.

Avec agences.

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Rencontre à Bizerte │ Histoire des premiers ministres tunisiens

Une rencontre fort instructive s’est tenue, samedi 31 mai 2025, au siège de l’Alliance Française de Bizerte, en présence de représentants de plusieurs associations régionales, autour d’un thème original et passionnant : «Les Premiers ministres en Tunisie, du temps des Husseinites jusqu’à nos jours». La conférence a été animée par l’éminent commis d’État, Fouad Lakhoua, dont le parcours professionnel et associatif remarquable témoigne d’un engagement et d’une expertise assez rares. (Ph. Palais du gouvernement à la Kasbah/Fouad Lakhoua).

Lotfi Sahli

Fathi Belkahia, le dynamique président de l’Alliance Française à Bizerte, a présenté le conférencier et l’infatigable Abdelwahed Azib a modéré le riche et passionnant débat qui a suivi.

M. Lakhoua a retracé l’histoire politique tunisienne à travers la succession de 28 grands vizirs, de 1759 jusqu’à l’indépendance, et de 21 Premiers ministres depuis 1956 jusqu’à nos jours. La narration de cette longue histoire, qui ne fut pas de tout repos pour les personnalités concernées, souvent ballottées par les vents de l’histoire et, pour la plupart, rattrapés par leurs propres tares de gouvernance et dérives de pouvoir, a beaucoup intéressé l’assistance, composée d’intellectuels, de commis de l’Etat et d’acteurs de la société civile  passionnés par l’histoire.

De la monarchie à la république

Il a mis la lumière sur la vie politique sous la dynastie husseinite qui était rythmée par d’interminables et intenses intrigues de palais. La transmission du pouvoir n’obéissait pas toujours à des règles claires et donnait lieu à des rivalités fratricides et à des complots, parfois sanglants. Plusieurs Beys furent renversés, voire assassinés, par des membres de leur propre famille ou par des courtisans assoiffés de pouvoir. À cela s’ajoutaient les jeux d’influence entre les grands vizirs et les hauts fonctionnaires, qui se disputaient la confiance du souverain à coups d’alliances secrètes, de trahisons et de manœuvres visant à écarter leurs rivaux.

Ces tensions internes se doublaient de calculs diplomatiques complexes, dans un contexte marqué par la présence ottomane et la pression grandissante des puissances européennes, notamment la France, l’Italie et l’Espagne. Chaque faction tentait de tirer profit de ces relations extérieures pour renforcer sa position au sein de la cour.

Le contrôle des ressources financières et commerciales constituait également un enjeu de taille. Les postes clés liés aux impôts et au commerce étaient convoités, ce qui alimentait les rivalités et favorisait une corruption systémique.

Ces intrigues, bien qu’elles aient parfois affaibli l’autorité centrale, révèlent la richesse et la complexité de la vie politique sous les Husseinites, le Bey et son entourage devant sans cesse composer avec des forces concurrentes pour préserver leur pouvoir.

Le conférencier a souligné un fait d’une grande importance : l’abolition de l’esclavage en Tunisie qui eut lieu le 23 janvier 1846 sous le règne d’Ahmed Bey, grand réformateur devant l’Eternel, dont ce ne fut l’unique innovation puisqu’il créa aussi l’École militaire du Bardo en mars 1840 pour prodiguer une formation moderne aux futurs officiers de l’armée, qui atteignit, sous son règne, 50 000 hommes de troupes.

Kheireddine Pacha, grand vizir, a gardé un souvenir clair de sa vie avant sa capture à l’âge de 17 ans. Cette expérience a nourri en lui un profond désir de dignité, d’ascension sociale et de réforme. Animé par cette volonté, il a entrepris des réformes pour moderniser l’administration tunisienne. Il a également contribué à l’élaboration de la première constitution du monde arabe et musulman, un texte destiné à limiter les pouvoirs du bey et à instaurer une monarchie constitutionnelle.

Au gré de l’histoire

La réforme institutionnelle du 7 novembre 1969 en Tunisie a représenté un tournant décisif dans l’évolution du système politique post-indépendance. Cette date marque l’adoption du décret n° 69-400 qui établit pour la première fois un Premier Ministère, créant ainsi un mécanisme institutionnel crucial pour pallier les lacunes juridiques en matière de succession présidentielle. Cette innovation constitutionnelle, promulguée sous la présidence d’Habib Bourguiba, considéré comme le bâtisseur de l’Etat tunisien moderne, répond à un besoin urgent de stabilisation institutionnelle dans un contexte de consolidation de l’État tunisien nouvellement indépendant.

Au gré de l’histoire et de ses aléas, le poste de Premier ministre a vu ses prérogatives et son pouvoir prendre de l’ampleur ou s’éclipser devant celui de président de la république, mais ses détenteurs ont toujours joué un rôle de premier ordre dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques économiques et sociales, étant entendu que les questions politiques et diplomatiques sont restées l’apanage du chef de l’Etat, le bey avant l’abolition de la monarchie le 25 juillet 1957 et le président après la proclamation de la république, le même jour.  

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Finale Ligue des Champions : les fans du PSG affichent “Stop génocide à Gaza”

Finale Ligue des Champions : les fans du PSG affichent “Stop génocide à Gaza”

Lors de la finale de la Ligue des champions entre le Paris Saint-Germain et l’Inter Milan, les supporters parisiens ont une nouvelle fois démontré que le football peut aussi être une tribune pour des messages de solidarité. En plein cœur de l’événement, une banderole portant le message « Stop génocide à Gaza » a été […]

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Retour volontaire de 379 migrants en Tunisie avec l’aide de l’OIM en mai 2025

Retour volontaire de 379 migrants en Tunisie avec l’aide de l’OIM en mai 2025

La Mission de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Tunisie a annoncé, ce samedi, avoir facilité le retour volontaire de 379 migrants en situation irrégulière vers leurs pays d’origine, les 27 et 29 mai derniers. Parmi eux, 313 personnes étaient originaires de la Gambie (146) et de la Guinée (167), tandis que 66 autres […]

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Chaleur au Hajj 2025 : les autorités gèrent 24 cas d’épuisement thermique

Chaleur au Hajj 2025 : les autorités gèrent 24 cas d’épuisement thermique

Lors du Hajj 2025, le ministère de la Santé saoudien a signalé 24 cas d’épuisement thermique parmi les pèlerins, en raison des températures particulièrement élevées qui ont touché les lieux saints. Toutes les personnes affectées ont reçu les soins médicaux nécessaires et leur état est désormais stable, selon les autorités sanitaires. En comparaison, le Hajj […]

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Tunisie, Égypte et Algérie renforcent leur coopération pour la stabilité en Libye

Mohamed Ali Nafati, ministre des Affaires étrangères, de la migration et des Tunisiens à l’étranger, a participé, aux côtés de Badr Abdel Aati, ministre égyptien des Affaires étrangères, de la Migration et des Égyptiens à l’étranger, ainsi que de Ahmed Attaf,ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de la communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines algérien, à une réunion ministérielle consultative sur la Libye dans le cadre de la relance du mécanisme tripartite des pays voisins.

À cette occasion, selon le communiqué du ministère des affaires étrangères Mohamed Ali Nafti a réaffirmé la position constante de la Tunisie en faveur du dialogue libyen-libyen afin d’aboutir à une solution politique consensuelle entre les frères libyens, sous l’égide et avec le soutien des Nations Unies, prenant en compte les intérêts du peuple frère libyen et répondant à ses aspirations en matière de sécurité, de stabilité et de développement, loin de toute ingérence étrangère. Cela traduit une nouvelle fois la volonté de la Tunisie de s’engager activement dans toutes les initiatives, mécanismes et voies visant à promouvoir un règlement politique durable et global en Libye.

Le communiqué conjoint issu de la réunion ministérielle tripartite est le suivant :

Dans le cadre des liens historiques qui unissent la République arabe d’Égypte, la République tunisienne, la République algérienne démocratique et populaire à l’État frère de Libye, et partant de la volonté sincère des hautes autorités égyptiennes, tunisiennes et algériennes, les ministres des Affaires étrangères des trois pays ont tenu une réunion au Caire le 31 mai 2025 dans le cadre de la relance du mécanisme tripartite des pays voisins, afin d’examiner les derniers développements en Libye et de promouvoir la solution politique souhaitée.

Face aux développements graves en Libye et à la situation sécuritaire à Tripoli, les ministres ont renouvelé leur appel à toutes les parties libyennes pour qu’elles fassent preuve de la plus grande retenue et cessent immédiatement toute escalade, afin de garantir la sécurité du peuple frère libyen.

Les ministres ont souligné l’importance de placer les intérêts du peuple frère libyen au premier plan, de préserver ses ressources et ses biens, et d’atteindre un consensus entre toutes les parties libyennes, sous la supervision et le soutien des Nations Unies et avec l’appui des pays voisins, afin de mettre fin à la division et de faire avancer le processus politique en Libye vers l’unification des institutions et la tenue simultanée des élections parlementaires et présidentielles.

Les ministres ont insisté sur la nécessité d’accélérer la résolution de la crise libyenne et de mettre fin à la division politique afin d’éviter une escalade supplémentaire, la propagation de la violence et du terrorisme, ainsi que l’élargissement du conflit, affirmant que la sécurité de la Libye est indissociable de celle des pays voisins.

Ils ont confirmé que la propriété du processus politique doit appartenir pleinement aux Libyens, et que la solution politique doit être libyenne-libyenne, issue de la volonté et du consensus de toutes les composantes du peuple frère libyen, avec le soutien des Nations Unies, en tenant compte des intérêts de tous sans exclusion.

Les ministres ont réaffirmé leur rejet de toute forme d’ingérence étrangère en Libye qui pourrait attiser les tensions internes et prolonger la crise, menaçant ainsi la sécurité et la stabilité en Libye et dans les pays voisins. Ils ont également souligné la nécessité de poursuivre le soutien aux efforts du Comité militaire conjoint (5+5) pour consolider le cessez-le-feu en vigueur, le retrait de toutes les forces étrangères, combattants étrangers et mercenaires dans un délai déterminé, ainsi que la réunification des institutions militaires et sécuritaires, en parfaite harmonie avec les démarches en cours dans les cadres onusiens, africains, arabes et méditerranéens.

Les ministres ont convenu de poursuivre la coordination entre les trois pays et les Nations Unies pour évaluer la situation en Libye, échanger des points de vue sur l’avenir politique libyen et coopérer pour assurer la sécurité, la stabilité et le développement dans la région.

Les ministres des Affaires étrangères de Tunisie et d’Algérie ont exprimé leurs sincères remerciements à l’Égypte pour l’accueil de cette réunion à un moment aussi crucial, ainsi que pour son hospitalité. Ils ont souligné la nécessité de tenir des réunions régulières du mécanisme tripartite, le prochain sommet ministériel devant se tenir en Algérie, puis en Tunisie avant la fin de l’année en cours.

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Mission économique en Norvège et en Suède

Une vingtaine d’entreprises tunisiennes opérant dans les secteurs des énergies renouvelables, des technologies innovantes et de l’agroalimentaire participent, du 1er au 5 juin 2025, à une mission économique en Autriche, en Finlande et au Danemark, à l’initiative de la Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie (CONECT). Cette mission vise à ouvrir de nouvelles perspectives commerciales, à valoriser le potentiel économique tunisien et à stimuler les échanges et investissements avec ces trois pays.

Dans ce cadre, les entreprises tunisiennes prendront part, le 2 juin 2025 à Vienne, au Forum économique tuniso-autrichien dédié aux énergies renouvelables, qui réunira une soixantaine d’acteurs économiques autrichiens ainsi que des représentants d’organisations internationales. Les professionnels tunisiens participeront également à des rencontres d’affaires bilatérales, à des visites d’entreprises de renom telles que « WithSecure » et « Jabara », et à des échanges avec des décideurs économiques locaux.

Il est à noter que les exportations tunisiennes vers ces trois pays ont enregistré une progression ces dernières années, atteignant 156,7 millions de dollars avec l’Autriche, 3,2 millions de dollars avec la Finlande et 14,2 millions de dollars avec le Danemark.

Avec TAP

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Le géant brésilien Embraer ambitionne de s’implanter en Tunisie dans le secteur aéronautique

L’entreprise brésilienne de construction aéronautique “Embraer” a exprimé son ambition de s’implanter durablement dans l’écosystème aéronautique de la Tunisie par une implantation directe, a fait savoir, samedi, l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur, FIPA-Tunisia.

“Les pourparlers se poursuivront entre les deux parties et un accompagnement spécifique du projet sera adopté dans toutes ses démarches dans les meilleures conditions”, a indiqué l’Agence.

En effet, une délégation de haut niveau de l’entreprise brésilienne conduite par son directeur Marketing, Theo Wensink, a été reçue le 29 mai courant, au siège de FIPA-Tunisia, en présence de l’Ambassadeur du Brésil en Tunisie, Fernando José Marroni de Abreu, et ce dans le cadre d’une mission commerciale organisée par l’Agence brésilienne de développement du commerce.

La délégation brésilienne a présenté l’expérience d’EMBRAER dans le secteur aéronautique et a affirmé son intérêt à renforcer la coopération tuniso-brésilienne, afin de contribuer au développement de la flotte nationale dans le transport aérien et d’investir dans ce domaine, notamment dans la fabrication d’avions, la fourniture de pièces de rechange ainsi que les volets de formation et de transfert de compétences.

Le Directeur Général de FIPA-Tunisia, Jalel TEBIB, a de son côté, mis en avant les atouts compétitifs de la Tunisie et les capacités solides du pays dans le secteur aéronautique notamment dans la fabrication de structures aéronautiques, l’usinage de précision, le travail de tôle et la production de matériaux composites tout en soulignant que la Tunisie demeure une destination de choix pour de nouveaux investissements dans le secteur aéronautique.

Le géant brésilien Embraer est le troisième plus grand constructeur aéronautique commercial au monde, derrière Boeing et Airbus. Il est connu pour ses avions de petite et moyenne tailles, utilisés par de nombreuses compagnies aériennes.

Par ailleurs, dans le cadre de la mission d’affaires Brésilienne en Tunisie qui s’est tenue du 29 au 30 mai 2025, une rencontre d’affaires Tuniso-Brésilienne a été organisée, le jeudi 29 mai au siège de l’UTICA au profit d’une importante délégation d’hommes d’affaires brésiliens opérant dans plusieurs secteurs, par le ministère du Commerce et de Développement des Exportations en collaboration avec l’UTICA, l’Ambassade de Tunisie au Brésil et l’Agence brésilienne de promotion du commerce et des investissements “ApexBrasil”.

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Crise climatique : 7,8 millions de déplacements enregistrés en Afrique en 2024

En Afrique comme ailleurs, les catastrophes climatiques, inondations, sécheresses, tempêtes, forcent de plus en plus de personnes à fuir leur foyer. En 2024, le continent a enregistré 7,8 millions de déplacements dus à des événements météorologiques extrêmes, selon un rapport de la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), soit 1,8 million de plus qu’en 2023.

Ces chiffres comptabilisent les déplacements, et non les individus, plusieurs ayant été contraints de fuir à plusieurs reprises. L’Afrique de l’Est arrive en tête avec 2,8 millions de déplacements, suivie de l’Afrique centrale (2,4 millions), région particulièrement vulnérable où sécheresses, inondations et désertification s’ajoutent aux conflits et aux crises sécuritaires.

Entre 2013 et 2024, les inondations ont été responsables de 30 millions de déplacements en Afrique, représentant plus de 70 % du total. Les sécheresses en ont causé 5 millions (12 %) et les tempêtes 5,1 millions. D’autres phénomènes comme l’élévation du niveau de la mer ou les vagues de chaleur sont encore difficiles à quantifier.

La majorité des personnes déplacées restent à l’intérieur de leur pays, bien que les mouvements transfrontaliers augmentent. Les populations les plus vulnérables, femmes, enfants, personnes âgées ou handicapées, sont les plus exposées. Le changement climatique, combiné à la pauvreté, l’instabilité ou l’insécurité alimentaire, accentue les fragilités existantes.

La FICR prévient que le nombre de déplacés climatiques en Afrique continuera d’augmenter, sous l’effet de la multiplication des événements extrêmes et de la croissance rapide dans les zones côtières exposées à la montée des eaux.

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