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Réforme administrative : l’ENA mise sur la méthode japonaise Kaizen

L’École Nationale d’Administration a organisé un séminaire de lancement d’une formation Kaizen en partenariat avec la JICA et le ministère de l’Industrie, marquant l’extension de cette méthode d’amélioration continue japonaise vers l’administration publique tunisienne.

Cette initiative s’inscrit dans la troisième phase du projet Kaizen (2024-2028), qui vise à élargir l’application de cette approche d’amélioration de la qualité et de la productivité au-delà du secteur industriel où elle était jusqu’alors concentrée.

Un panel d’experts internationaux

Les élèves de l’ENA ont bénéficié des interventions de quatre experts : un chef de projet japonais spécialisé dans la phase 3 du Kaizen en Tunisie, un maître formateur tunisien, une experte philippine dans l’application du Kaizen au secteur public et une dirigeante d’entreprise tunisienne expérimentée dans cette méthode.

« Durant les précédentes phases du projet Kaizen, la dissémination de ce concept s’est principalement limitée au secteur industriel et un peu au secteur de la santé », a expliqué Mme Mayumi Miyata, Représentante Résidente de la JICA en Tunisie. Elle s’est montrée optimiste quant à l’extension vers l’administration publique grâce au « public cible distingué » que représentent les élèves de l’ENA.

Une collaboration qui s’inscrit dans la durée

Ce séminaire constitue le premier volet d’un partenariat entre le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie et l’ENA. Des formations spécialisées destinées aux élèves de l’école sont programmées prochainement.

Un projet aux résultats probants

La coopération nippo-tunisienne sur le Kaizen remonte à 2006 avec une étude préparatoire. La première phase opérationnelle (2009-2013) a été suivie d’une deuxième phase (2016-2021) qui a permis de former 86 formateurs tunisiens, dont 23 maîtres formateurs, d’accompagner 99 entreprises industrielles et de former 20 professeurs universitaires.

La troisième phase, lancée en 2024, ambitionne désormais de conquérir de nouveaux secteurs, l’administration publique constituant un terrain d’expansion stratégique pour cette méthode d’amélioration continue.

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CISAI 2025 : 3e Conférence internationale à Hammamet en juillet

Le Centre national de la promotion scientifique et de l’innovation (CNPSI) annonce la tenue de la 3ᵉ Conférence internationale sur les sciences appliquées et l’innovation (CISAI-2025), qui se déroulera du 6 au 9 juillet 2025 à Hammamet.

Organisée en collaboration avec plusieurs universités et laboratoires internationaux, cette rencontre scientifique réunira des chercheurs, ingénieurs, enseignants-chercheurs et professionnels autour des dernières avancées dans des domaines stratégiques tels que l’environnement, la biotechnologie, les énergies renouvelables, l’économie, entre autres.

La conférence constituera un espace privilégié pour le partage de connaissances, la présentation de résultats de recherche, la mise en réseau des différents acteurs du secteur, ainsi que le développement de collaborations internationales.

Un prix « Best Paper Award » sera décerné par le CNPSI afin de récompenser les meilleures contributions scientifiques présentées lors de l’événement.

À travers ce rendez-vous annuel, le CNPSI réaffirme son engagement en faveur de la recherche appliquée et de l’innovation multidisciplinaire à l’échelle mondiale.

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Bac 2025 : le ministre inspecte le déroulement des examens

Le ministre de l’Education, Nourreddine Nouri, a effectué, mardi 3 juin, une série de visites de terrain. Et ce, pour suivre le déroulement du deuxième jour de la session principale de l’examen baccalauréat 2025, dans plusieurs établissements éducatifs.

Accompagné du gouverneur de l’Ariana, Walid Sandid, et du délégué régional de l’éducation, Foued Bellatif, il s’est rendu au lycée Abou Kacem Chebbi à Ettadhamen. Il y a salué les efforts du personnel éducatif mobilisé et souligné l’importance de l’accompagnement psychologique, sanitaire et pédagogique des candidats lors de cet examen.

M. Nouri a également exprimé sa reconnaissance envers tous les intervenants engagés dans l’organisation de l’examen du Bac 2025, de la surveillance à la correction. Tout en insistant sur la nécessité de garantir un climat serein et efficace pour cette échéance nationale.

Le ministre s’est ensuite déplacé dans le gouvernorat de la Manouba, visitant le lycée de la délégation de Jdaida ainsi que le collège Remel à Tebourba. Etaient présents : le gouverneur Mahmoud Chaïeb et de la déléguée régionale de l’éducation, Naïma Seblaoui.

Au cours de ces visites, il a inspecté les conditions de travail, le respect des procédures de sécurisation des sujets et les mesures exceptionnelles mises en place. Au final, il a appelé à maintenir la mobilisation pour offrir les meilleures conditions possibles aux élèves et au personnel éducatif.

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Lancement de la saison des moissons à Gafsa

La saison des moissons a été officiellement lancée, mardi 3 juin, dans le gouvernorat de Gafsa. Et ce, au sein d’un domaine agricole situé à El-Aguila, dans la délégation d’El Ksar. Et en présence du chef de cabinet du ministre de l’Agriculture et du gouverneur de Gafsa.

D’après les premières estimations, la récolte céréalière dans le gouvernorat de Gafsa devrait atteindre environ 181 950 quintaux, dont 156 750 de blé et 25 200 d’orge.

Le chef du service de la production végétale au sein du Commissariat régional au développement agricole (CRDA) de Gafsa a précisé que les superficies semées cette saison dépassent les 5 000 hectares. Les rendements moyens sont évalués à 40 quintaux par hectare pour le blé et 25 quintaux par hectare pour l’orge.

Il a également indiqué à l’Agence TAP que la capacité totale de stockage des centres de collecte dans la région est de 125 000 quintaux. Ce volume se répartit entre le centre relevant de l’Office des céréales à Belala (délégation d’El Ksar), qui peut accueillir jusqu’à 100 000 quintaux, et le centre de Sidi Aïch, doté d’une capacité de 25 000 quintaux.

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Point de vente « du producteur au consommateur » à Kébili

À l’occasion de l’Aïd Al-Idha, un point de vente « du producteur au consommateur » a été mis en place, mardi 3 juin, au marché municipal situé sur l’avenue Ennasr, à Kébili.

Selon les déclarations du directeur régional du commerce, Azouz Saleh, à l’agence TAP, une quantité de 1,6 tonne de bananes et 1 tonne de sucre subventionné sera écoulée à des prix plafonnés à 7,500 dinars le kilo pour les bananes et 1,400 dinar le kilo pour le sucre. Chaque client pourra acheter un maximum de 2 kg de chaque produit.

D’autres points de vente similaires seront également ouverts dans la région afin de dynamiser l’activité commerciale du marché local, a précisé la même source.

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Aïd Al-Idha : recommandations de l’INSSPA

À l’approche de l’Aïd al-Idha, l’Instance nationale de sécurité sanitaire des produits alimentaires (INSSPA) a publié, mardi 3 juin, un communiqué destiné à sensibiliser les citoyens sur les bonnes pratiques à adopter pour garantir la sécurité sanitaire des sacrifices, préserver la qualité de la viande et protéger la santé publique.

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La Banque de Tunisie distinguée pour son rôle moteur dans le commerce international : entre reconnaissance, stratégie d’ouverture et perspectives de partenariat

La Banque de Tunisie (BT) se voit aujourd’hui consacrée par la prestigieuse distinction « The Most Active Issuing Bank in Tunisia Award 2024 », décernée par la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD), dans le cadre de son Trade Facilitation Program (TFP). Ce prix, remis lors des TFP Awards à l’occasion de l’Assemblée annuelle de la BERD tenue à Londres du 13 au 15 mai 2025, vient saluer une année exceptionnelle de mobilisation et de performance au service du commerce extérieur tunisien.

Une reconnaissance méritée pour un acteur de référence

Cette distinction n’est pas simplement honorifique : elle reflète l’engagement profond de la Banque de Tunisie dans l’accompagnement des flux commerciaux internationaux et sa capacité à maintenir une dynamique soutenue, même dans un contexte économique et géopolitique mondial complexe. L’année 2024, jalonnée de défis, a mis à l’épreuve la solidité des institutions financières. La BT a su non seulement résister, mais également démontrer un niveau élevé d’agilité, de fiabilité et de proactivité.

Ce prix couronne ainsi le mérite d’une institution qui s’impose comme un maillon essentiel dans les chaînes de valeur internationales, en sécurisant les transactions de ses clients et en fluidifiant leurs échanges à l’export comme à l’import.

Une stratégie tournée vers le commerce extérieur et l’accompagnement des opérateurs

Au-delà de cette reconnaissance, la Banque de Tunisie affirme désormais une orientation stratégique claire : devenir le partenaire bancaire de référence pour les opérateurs actifs dans le commerce international.


EBRD Annual Meeting, Canary Wharf, London, UK.

Consciente de l’importance du secteur extérieur pour la croissance économique du pays, la BT a renforcé son dispositif d’appui aux entreprises exportatrices et importatrices. Elle propose des solutions de financement adaptées, des garanties internationales, ainsi qu’un accompagnement personnalisé fondé sur une expertise approfondie des marchés et des instruments financiers.

Cette stratégie s’inscrit dans une volonté plus large d’intégration à l’économie mondiale, à travers la digitalisation progressive des services bancaires, l’optimisation des processus d’émission de garanties et l’introduction de nouveaux produits facilitant les échanges commerciaux.


EBRD Annual Meeting, Canary Wharf, London, UK.

Loin de se limiter à une posture réactive, la BT anticipe les besoins des opérateurs économiques et œuvre à créer un environnement favorable à leur développement, y compris dans les zones à risque ou à faible bancarisation. Cette approche proactive permet aux entreprises tunisiennes, notamment les PME, de saisir des opportunités dans des marchés émergents à fort potentiel tout en atténuant les risques opérationnels.

Un partenariat renforcé avec la BERD : levier de croissance et d’innovation

Le prix attribué par la BERD symbolise également un partenariat stratégique en pleine expansion. La Banque de Tunisie entretient depuis plusieurs années une collaboration fructueuse avec la BERD dans le cadre du Trade Facilitation Program. Ce partenariat a permis d’élargir les capacités de financement du commerce extérieur tout en renforçant la crédibilité internationale de la banque.

Aujourd’hui, les deux institutions envisagent de donner un nouvel élan à cette coopération. Les perspectives d’intensification du partenariat sont nombreuses : augmentation des lignes de crédit; développement de produits conjoints; partage d’expertise technique et accompagnement de la transition vers une finance plus durable. La BERD, par son réseau et ses ressources, offre à la Banque de Tunisie un levier précieux pour accéder à des marchés à fort potentiel et pour soutenir les entreprises tunisiennes dans leur quête de compétitivité internationale.

Cette distinction consacre la résilience, l’agilité et la fiabilité dont a fait preuve la BT face aux défis géo économiques. Dans un contexte de tensions sur les chaînes d’approvisionnement et de renchérissement du crédit, la Banque a maintenu un niveau de service optimal pour ses clients exportateurs et importateurs.

Ce prix décerné à la Banque de Tunisie par la BERD marque l’aboutissement d’un engagement constant et confirme une dynamique renouvelée pour l’accompagnement de nos entreprises à l’international.

Forte de cette distinction, la BT entend consolider son rôle d’acteur incontournable du commerce extérieur, en capitalisant sur des partenariats solides, une vision stratégique affirmée et une capacité prouvée à répondre aux exigences d’un marché globalisé.

D’après communiqué

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Kaïs Saïed : « De nombreuses institutions font actuellement l’objet d’une restructuration »

Le président de la République, Kaïs Saïed, a déclaré, lors d’une réunion tenue lundi 2 juin avec la cheffe du gouvernement Sarra Zaâfrani Zenzri, que la Tunisie a besoin de nouvelles lois dans tous les domaines. Il a également insisté sur l’importance d’avoir des responsables pleinement conscients de leurs devoirs et déterminés à surmonter tous les obstacles. Et ce, contrairement à la situation actuelle observée dans certains services.

Le chef de l’État a dénoncé le fait que certains individus se servent des procédures administratives comme prétexte pour entraver le bon fonctionnement des services publics et porter préjudice, de manière délibérée, aux citoyens. Il a affirmé que de tels comportements doivent être sanctionnés par la loi en cas de faute ou de négligence. Il a rappelé que les agents publics, rémunérés par l’argent du peuple, sont là pour servir ce dernier et non pour défendre les intérêts de lobbies opérant discrètement au sein de plusieurs administrations, selon un communiqué de la présidence.

Kaïs Saïed a également indiqué que de nombreuses institutions font actuellement l’objet d’une restructuration, soulignant que leur valeur ne réside pas simplement dans leur existence, mais dans leur capacité à réaliser les objectifs pour lesquels elles ont été créées.

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Les trois piliers pour conquérir les marchés africains 

Une question à plusieurs millions de dollars – pardon de dinars : comment les entreprises tunisiennes peuvent-elles conquérir les marchés africains?

Cette question n’est pas une hypothèse de travail, mais concerne les moyens que les entreprises tunisiennes doivent mettre en œuvre pour saisir les immenses opportunités qu’offre le continent.

Lors d’une rencontre organisée, lundi 2 juin à Tunis, par le projet Qawafel, financé par l’Agence Française de Développement (AFD) et mis en œuvre par Expertise France, il a été souligné que trois critères sont nécessaires pour y parvenir. A savoir : la compréhension des marchés, l’établissement de relations de confiance et l’adoption d’une vision à long terme.

Quant aux secteurs considérés comme porteurs sur le continent africain, il s’agit entre autres de : l’agro-industrie, les bureaux d’études, les BTP, la santé, le digital et la formation. C’est ce qu’assurent les organisateurs de la rencontre.

Placé sous l’égide du ministère de l’Économie et de la Planification et en partenariat avec des opérateurs publics et le secteur privé, le projet Qawafel vise à soutenir le renforcement, la structuration et la valorisation de l’écosystème tunisien de l’internationalisation. Contribuant ainsi à la visibilité du pays et à l’émergence d’initiatives innovantes tunisiennes sur les marchés prioritaires du continent, rapporte l’agence TAP.

A rappeler que Qawafel a tenu fin mai 2025 une nouvelle session de « Qawafel Gathering », une initiative conçue pour soutenir l’internationalisation des PME et startups tunisiennes sur le continent africain, axée sur les dynamiques des marchés africains.

La discussion a permis de montrer que pour l’entreprise, l’implantation d’une filiale en Afrique, si elle est plus coûteuse initialement, s’avère souvent plus rentable à long terme. Il importe de « comprendre le pays », en commençant « par exporter pour tester le marché ».

Il s’agit, aussi de « commencer par des partenaires locaux pour travailler à moyen ou long termes ». Si le soutien institutionnel est utile, « la volonté de faire des affaires en Afrique subsaharienne » prime pour un entrepreneur qui ambitionne de conquérir le marché africain.

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Mohamed Ali Nafti en visite en Finlande, au Danemark et en Norvège

Le ministre des Affaires étrangères tunisien, Mohamed Ali Nafti, entame du 2 au 5 juin une tournée officielle en Finlande, au Danemark et en Norvège. Cette visite vise à renforcer la coopération bilatérale avec ces pays nordiques dans plusieurs secteurs clés.

Selon le communiqué de la page du ministère des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti a souligné que cette tournée s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations d’amitié et de coopération avec les pays nordiques. Elle vise à insuffler une nouvelle dynamique aux échanges bilatéraux, notamment dans les secteurs économique, commercial et éducatif.

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Startups : la BFPME signe une convention avec des institutions publiques

La Banque de financement des petites et moyennes entreprises (BFPME) a conclu à Sfax une convention de coopération avec des institutions publiques engagées dans le domaine du développement des start-ups, de l’innovation et des technologies de l’information et de la communication.

Ce partenariat scelle le rapprochement stratégique récemment engagé avec le ministère des Technologies de la communication, souligne la BFPME dans un communiqué publié lundi 2 juin.

Il représente également un tournant décisif dans la mise en place de la future offre dédiée au financement et à l’accompagnement des start-up, en ligne avec les orientations de la loi de finances 2025.

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Reprise de la ligne ferroviaire n°13 Métlaoui–Tozeur fin juin

À l’arrêt depuis plus de cinq ans, la ligne ferroviaire n°13, reliant Métlaoui (gouvernorat de Gafsa) aux gares de Degache et Tozeur, s’apprête à reprendre du service. Selon la direction régionale sud-ouest de la Société nationale des chemins de fer tunisiens (SNCFT), la remise en service est prévue avant la fin du mois de juin, sous réserve de l’achèvement des travaux de maintenance actuellement en cours.

Selon la Direction régionale sud-ouest de la Société nationale des chemins de fer tunisiens (SNCFT), une circulation d’essai sera programmée prochainement, en prélude à la reprise progressive du trafic régulier, conformément au plan d’exploitation de la société.

À l’arrêt depuis plus de cinq ans, cette ligne a été au cœur de nombreuses revendications citoyennes. Des habitants et des activistes de la société civile ont mené plusieurs mouvements de protestation pour exiger sa réactivation.

Les travaux en cours ont atteint un taux d’avancement d’environ 75%, pour un coût estimé à 700 mille dinars. Ils portent principalement sur la liaison, l’aménagement et l’équilibrage manuel et mécanique de la voie ferrée, ainsi que la réhabilitation de 52 ouvrages hydrauliques tout au long de la ligne dans le gouvernorat de Tozeur

Les autorités régionales, en particulier les délégations de Tozeur et Degache — où se situent les principales gares —, collaborent activement à la relance de la ligne. Elles effectuent des visites de terrain et organisent des campagnes de nettoyage des gares et de leurs alentours, comme l’indique un communiqué publié sur la page officielle Facebook du gouvernorat de Tozeur.

Dans ce cadre, la municipalité de Tozeur a mené, lundi 2 juin, une campagne de nettoyage aux abords de la gare, en collaboration avec la direction régionale de l’Équipement et l’Agence Nationale de Gestion des Déchets (ANGED).

Parallèlement, la SNCFT s’est engagée à procéder, dans les prochains jours, au retrait des équipements et débris ferroviaires devenus obsolètes.

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« Point Doc 2025 », le documentaire au service de la planète

La cinquième édition de la rencontre annuelle des professionnels du documentaire « Point Doc » aura lieu du 19 au 21 juin 2025 à la Cité de la culture Chedly Klibi à Tunis.

Organisé par Doc House-Tunisie, Point Doc 2025 revient avec une édition engagée, placée sous le signe du dialogue entre cinéma documentaire et écologie.

Avec une affiche qui illustre la diversité des regards, l’esprit critique et l’ouverture au monde — autant de valeurs qui enrichissent le documentaire — ce rendez-vous, annonce Doc House, est un appel à l’engagement collectif pour la préservation de notre planète, à travers un focus sur le documentaire. En réunissant cinéastes, experts et institutions, cette édition propose une réflexion approfondie sur les liens entre environnement et société, tout en mettant en lumière des récits qui rappellent l’urgence d’agir pour un avenir commun et durable.

« Point Doc » est une rencontre annuelle qui vise à renforcer l’écosystème de la production documentaire en Tunisie et au Maghreb. Pendant trois jours, professionnels, festivals, chaînes de télévision, mécènes, organisations et institutions tunisiennes, régionales et internationales se retrouvent pour explorer ensemble les enjeux majeurs du documentaire, dans un monde en constante évolution.

Fondée en 2018, l’association Doc House-Tunisie s’engage à promouvoir la production, la diffusion et le réseautage professionnel autour du documentaire en Tunisie et en Afrique du Nord.

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Monastir : Nettoyage autour des sites archéologiques

Une campagne de nettoyage d’envergure a été lancée, lundi 2 juin, à Monastir, sous le slogan «vaincre la pollution plastique», avec pour objectif de redonner tout leur éclat à plusieurs sites patrimoniaux emblématiques de la ville.

Les interventions, qui se poursuivront jusqu’au 5 juin, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, portent sur le site archéologique de Ribat Essayda, les abords de la Grande Mosquée, ainsi que sur le Ribat de Monastir, hauts lieux de l’histoire et du patrimoine national.

Cette initiative est menée par l’Association Club des Générations de Monastir, en coordination avec la direction régionale de l’environnement du Centre-Est, la représentation régionale de l’Agence nationale de gestion des déchets, l’Institut national du patrimoine (INP), et la municipalité de Monastir, a précisé à l’agence TAP Fethi Besbes, président de l’association porteuse du projet.

Cette opération prévoit notamment l’arrachage des végétations adventices et la collecte des déchets plastiques, qui altèrent actuellement l’esthétique de ces espaces à haute valeur symbolique et touristique.

Les abords du Ribat, de la Grande Mosquée et de l’esplanade attenante sont particulièrement affectés par une prolifération d’herbes indésirables et une accumulation de détritus plastiques (sacs, bouteilles…), notamment dans le jardin jouxtant la mosquée et la partie non clôturée de Ribat Essayda, à proximité des commerces.

Les espaces verts environnants, autrefois véritables écrins de verdure sublimant ces monuments, seront également l’objet.

Les espaces verts entourant le Ribat, autrefois valorisant la beauté de ce joyau architectural, feront également l’objet de cette campagne de remise en valeur.

Il est par ailleurs prévu, selon la même source, une nouvelle intervention le 5 juin au niveau des remparts de la médina, avec la participation active de jeunes riverains de ce quartier historique.

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ARP : Interpellations sur la santé et les retards de projets

Lors d’une séance plénière, lundi 2 juin, plusieurs députés ont adressé des questions au ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, concernant la situation sanitaire dans leurs régions.

Le député Hassan Jerboui (Sfax) a évoqué la situation sanitaire dans ce gouvernorat, en particulier dans la délégation de Menzel Chaker. Il s’est interrogé sur les raisons du retard constaté dans la construction d’un hôpital régional dans cette délégation, afin d’alléger la pression sur l’hôpital Habib Bourguiba de Sfax, qui connait un encombrement permanent en raison de l’affluence massive des patients venant de Sfax et d’autres régions.

Le député a appelé à la création d’un service d’urgence à l’hôpital Hédi Chaker à Sfax et au renforcement de l’hôpital Habib Bourguiba avec les équipements nécessaires et le personnel médical.

En réponse, le ministre de la Santé a souligné les efforts déployés par son département en vue d’améliorer les services de santé dans le gouvernorat de Sfax, annonçant notamment l’équipement des structures sanitaires en matériel médical de pointe, la finalisation proche du projet de l’hôpital de Bir Ali Ben Khalifa après la levée des obstacles juridiques, ainsi que le renforcement des hôpitaux régionaux par de nouvelles spécialités.

La députée Rim Maâchaoui (Le Kef) a pour sa part évoqué le retard enregistré dans la transformation de l’hôpital régional du Kef en hôpital universitaire, bien que le dossier technique soit complet. Elle a qualifié le projet de « stratégique », mais « bloqué dans les tiroirs ».

Elle a également évoqué la situation de l’hôpital régional de Dahmani qu’elle qualifie de « catastrophique » en termes d’insuffisance du personnel médical et d’équipements, dénonçant le non-fonctionnement d’un centre de dialyse pourtant achevé à 90 %, obligeant les patients à se rendre quotidiennement à la capitale pour recevoir le traitement.

Maachaoui a également appelé à une intervention urgente du ministère pour rénover le centre de santé mère-enfant dans la délégation de Sers, afin d’assurer les soins nécessaires aux femmes enceintes et aux enfants.

Dans sa réponse, le ministre de la Santé a affirmé qu’il existe une volonté gouvernementale d’activer les projets en suspens dans le gouvernorat du Kef et ailleurs, dans le cadre d’une vision stratégique fondée sur l’équité sanitaire. Il a souligné que le ministère œuvre à renforcer la région par des équipements de pointe et des ambulances dans le cadre du programme « Essaha Aziza » .

Le député Mohamed Ben Said, du gouvernorat de Nabeul, a critiqué la situation sanitaire « détériorée » dans les délégations de Takelsa, Haouaria et Menzel Temime.

Il a indiqué que les malades sont transférés dans des conditions difficiles vers Menzel Temime ou l’hôpital Tahar Maamouri de Nabeul, en raison de l’absence de prestations sanitaires, en particulier dans la délégation de Takelsa.

Le ministre a répondu que le département œuvre pour l’installation de dizaines d’unités de santé préfabriquées aux normes modernes dans toutes les régions, soulignant que l’amélioration de la couverture sanitaire à Takelsa et Menzel Temime figure dans le plan de développement, avec un renforcement des ressources humaines et des équipements.

De son côté, le député Adel Bousselmi du gouvernorat de la Manouba a soulevé la question de la prise en charge des détenus transférés à l’hôpital Razi à la Manouba. Il a appelé le ministère à agrandir le pavillon qui leur est destiné et à leur fournir des soins respectueux de la dignité humaine.

Il a aussi révélé que certains pensionnaires ont subi des agressions dans cet établissement et a dénoncé la surcharge dans les chambres, appelant à l’extension du pavillon d’hospitalisation d’office à l’hôpital Razi et à fournir un personnel médical et paramédical en nombre suffisant.

Le ministre a précisé que l’hôpital Razi couvre 11 gouvernorats, et que le ministère œuvre à réduire la liste d’attente qui comprend encore environ 40 détenus nécessitant une hospitalisation d’office, en raison du nombre élevé des décisions judiciaires ordonnant le placement obligatoire de détenus jugés irresponsables de leurs actes après un examen psychiatrique.

Il a affirmé que les efforts se concentrent sur l’augmentation de la capacité d’accueil de l’hôpital Razi par l’ajout de lits supplémentaires.

Le député Aziz Belakhdhar du gouvernorat de Ben Arous a interrogé le ministre sur le programme du ministère pour améliorer les services sanitaires à Mornag, signalant une grave pénurie de personnel médical dans tout le gouvernorat.

Le ministre a reconnu que l’hôpital de Mornag est « ancien et menace ruine », promettant de coordonner avec l’administration des bâtiments publics pour trouver des solutions en urgence, tout en évoquant l’exploitation possible des centres de santé préfabriqués pour accélérer les prestations sanitaires dans plusieurs régions du pays.

Le député Saber Jlassi du gouvernorat de la Manouba s’est interrogé sur la transformation du centre intermédiaire d’El Mornaguia en centre d’analyses de drogues au profit du ministère de la Justice, alors qu’il était prévu, depuis 2016, de le transformer en hôpital local doté d’un service d’urgences.

Il a confirmé que le bâtiment est disponible et répond aux normes, mais qu’il est actuellement utilisé à des fins sécuritaires au lieu de fournir des soins de santé à plus de 100 000 habitants dans une zone difficile d’accès à la capitale.

Le ministre a répondu que le ministère prévoit d’envoyer des équipements modernes à ce centre, tout en admettant le manque de ressources humaines. Il a indiqué que ce centre sera concerné par les recrutements de 3500 cadres médicaux décidés au cours de cette année.

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ISIE : Résultats du tirage au sort pour les Conseils élus

Réuni lundi 2 juin, le Conseil de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) a approuvé les résultats du tirage au sort pour la composition des conseils régionaux et la rotation à la présidence des conseils locaux et régionaux, pour la période du 5 juin au 4 septembre 2025.

Le président de l’ISIE, Farouk Bouasker, a signé la décision relative aux résultats du tirage, qui sera publiée au JORT et sur le site officiel de l’Instance, indique un communiqué de l’ISIE.

Au cours de la réunion, le directeur exécutif de l’ISIE a présenté un exposé sur le déroulement des opérations du tirage au sort du renouvellement de la composition des Conseils élus qui ont eu lieu, dimanche 1er juin, dans tous les gouvernorats.

La réunion a été l’occasion d’examiner les difficultés qui empêchent les Conseils élus d’exercer leurs fonctions, ajoute le communiqué.

Par ailleurs, le Conseil de l’ISIE a adopté la réorganisation de son budget de manière à fournir les accréditations nécessaires aux législatives partielles qui auront lieu dans les circonscriptions de Bizerte-nord et de Degache-El Hamma du Jérid-Tamaghza, gouvernorat de Tozeur.

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Lab’ess lance un baromètre de consommation responsable

Le Laboratoire de l’économie sociale et solidaire, Lab’ess, lancera samedi 7 juin son baromètre de la consommation responsable.

Cette initiative propose un éclairage inédit sur les attentes des consommateurs tunisiens, les obstacles qu’ils rencontrent, ainsi que les leviers pouvant les accompagner vers des choix plus durables.

À cette occasion, Lab’ess organisera, en outre, un souk éphémère éco-responsable, réunissant une trentaine d’exposants engagés.

Lab’ess a été fondé en 2012. Il s’agit d’une organisation dédiée au soutien du tissu associatif et à la promotion de l’entrepreneuriat social comme moteur d’un développement solidaire, inclusif et durable.

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La Bourse de Tunis clôture proche de l’équilibre

Le marché boursier a clôturé la séance du lundi 2 juin quasiment à l’équilibre, avec une légère hausse de 0,03 %, atteignant 11 367 points. Les échanges sont restés modestes, avec un volume de 5,2 millions de dinars, selon l’analyse quotidienne de l’intermédiaire en bourse Tunisie Valeurs.

Le titre STA a enregistré la meilleure performance de la séance. Dans un volume limité de 97 mille dinars, l’action du concessionnaire automobile de la marque chinoise Chery s’est appréciée de 4,5 %, pour s’établir à 25,500 D.

Le titre ASSAD a également affiché une belle progression. L’action du spécialiste des batteries automobiles a gagné 4,5 %, atteignant 2,090 D, dans un flux restreint de 29 mille dinars.

À l’opposé, le titre Tawasol Group Holding a accusé la plus forte baisse de la séance. L’action du holding du groupe Chabchoub a reculé de 2,9 %, à 0,660 D, dans des échanges très limités de 5 mille dinars. Le titre ARTES a, quant à lui, semblé subir un mouvement de prises de bénéfices. L’action du concessionnaire de la marque Renault a perdu 2 %, pour s’établir à 10,920 D, avec un volume d’échange de 90 mille dinars.

Enfin, le titre Amen Bank a dominé les échanges de la séance. L’action du bras financier du groupe PGI s’est légèrement repliée de 0,1 %, à 38,350 D, tout en générant un volume d’échanges de 683 mille dinars.

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SOC – TrustShield : votre forteresse numérique avancée contre les cybermenaces

Tunis, le 29 mai 2025 – Lors d’un diner-gala organisé le 29 mai à la Closerie (LA Soukra), 3S et GlobalNet ont annoncé le lancement de TrustShield, leur nouvelle offre Security Operations Center (SOC). Ce nouveau service a été conçu pour anticiper, détecter et neutraliser les cyber-menaces les plus avancées. Cette initiative conjointe marque une étape significative dans l’engagement des deux entreprises à sécuriser le paysage numérique de leurs clients.

TrustShield repose sur trois piliers : des équipes expérimentées et professionnelles; des process robustes selon des normes internationales ISO 27001, NIST…; et des technologies leaders sur le marché.

Pourquoi adopter le SOC managé?

Parce que les attaques deviennent de plus en plus sophistiquées, TrustShield combine surveillance continue, réponse automatisée et accompagnement humain. Grâce à TrustShield, les entreprises pourront bénéficier d’un accompagnement 24/7 par une équipe d’analystes SOC, qui surveille activement les systèmes, analyse les menaces émergentes et opère une veille permanente sur le dark-web. Cette équipe spécialisée agit en première ligne pour contenir les attaques et assister les clients dans leur réponse aux incidents. Contrairement aux SOC traditionnels, TrustShield met l’accent sur l’automatisation des process et l’intelligence artificielle afin d’optimiser les KPI. Ce qui implique une augmentation des performances d’analyse/détection/réponse.

« Dans un monde numérique en train d’avancer d’une manière très rapide les attaques et les cybermenaces sont toujours plus sophistiquées. C’est pour cela que TrustShield incarne notre engagement en tant que 3S et GlobalNet pour sécuriser et protéger nos infrastructures, nos clients et nos partenaires. TrustShield est beaucoup plus qu’un bouclier, c’est une promesse basée sur l’excellence, la résilience et la confiance. Il s’agit d’un SOC de nouvelle génération, fruit d’un travail de plusieurs mois et de l’expertise de nos professionnels de 3S et GlobalNet qui ont mis en place cette solution et qui combine en même temps l’intelligence artificielle, un savoir-faire humain très pointu et d’autres technologies très avancées ! ». C’est ce qu’a déclaré à cette occasion Adel Dahmani, DGA de 3S en remerciant au passage, les partenaires Palo Alto et Splunk qui ont contribué pleinement pour leur support et leur soutien lors de la création de cette nouvelle solution de cybersécurité.

Expliquant la raison de la création d’un SOC, le responsable a fait part quelques chiffres significatifs liés à la cybersécurité à travers le monde. Il a ainsi indiqué qu’il existe une pénurie d’ingénieurs en cybersécurité (3,4 millions de personnes). Il a en outre souligné que 72 % des sociétés actuelles externalisent leur sécurité à des SOC et 80 % de ces entreprises utilisent l’IA pour arrêter, bloquer et diminuer les attaques. Seules 3 % des entreprises dans le monde entier sont mâtures en termes de cybersécurité en investissant dans des équipes spécialisées et des équipements capables d’arrêter des attaques. « En moyenne, la cybersécurité représente 12 % du budget d’un IT. Ce qui est très peu. Malgré tout, les DSI sont aujourd’hui conscients qu’il est primordial d’augmenter ces budgets. Parmi ces entreprises, 51 % augmentent leur budget uniquement quand ils se font attaquer…

Les principales fonctionnalités du SOC TrustShield

Le module XDR (Extended Detection&Response) de TrustShield agrège et corrèle les signaux issus des endpoints, serveurs, réseaux et environnements cloud pour une détection contextualisée et croisée. Le composant VMS (Vulnerability Management System) effectue des scans en continu, identifie les failles critiques et propose des actions de remédiation priorisées selon le niveau de risque. Le SIEM intégré centralise les logs multi-sources, facilite les enquêtes forensiques, génère des alertes corrélées et permet une traçabilité complète. Enfin, grâce à l’intelligence artificielle, TrustShield détecte les comportements anormaux, hiérarchise automatiquement les incidents et renforce la pertinence des alertes.

L’interface centralisée de ce nouveau service offre une visibilité en temps réel sur l’ensemble du périmètre de sécurité, avec des tableaux de bord personnalisables. Qui plus est, TrustShield s’intègre facilement dans les environnements existants grâce à une architecture modulaire, ouverte et scalable. Sans oublier que l’efficacité de notre dispositif repose sur une équipe d’analystes experts certifiés, assurant une surveillance continue, une investigation approfondie et une réponse rapide aux incidents, le tout soutenu par l’intégration de solutions de cybersécurité de leaders du marché et une visibilité claire de la posture de sécurité grâce à des rapports détaillés et personnalisables incluant des indicateurs de performances tels que le Mean Time To Detect (MTTD) et le Mean Time To Recovery (MTTR).

L’automatisation et l’IA dans Trustshild 

L’intelligence artificielle joue un rôle central : elle renforce l’analyse comportementale, anticipe les attaques complexes et permet de trier automatiquement les alertes selon leur pertinence et leur urgence.
La couche SOAR (Security Orchestration, Automation and Response) automatise les scénarios de réponse pour contenir les menaces en quelques secondes, avec des workflows adaptatifs. L’interface de supervision fournit une vision en temps réel du niveau de sécurité global, avec des tableaux de bord dynamiques et personnalisables. Modulaire et évolutive, TrustShield s’intègre facilement dans les infrastructures existantes et accompagne la croissance des environnements IT. Par ailleurs, l’intégration intelligente de l’IA réduit la charge des analystes, améliore la réactivité globale du SOC et augmente la précision dans la détection comme dans la remédiation.

Avec TrustShield, 3S &GlobalNet proposent une cybersécurité offensive, réactive et adaptée aux enjeux actuels.

Pour en savoir plus ou planifier une démonstration https://www.gnet.tn/business/

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