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250 000 cyberattaques sur la Gen Z : Kaspersky riposte avec un jeu

Plus de 250 000 cyberattaques ont exploité des animes japonais populaires auprès de la génération Z comme appâts, révèle un rapport de Kaspersky couvrant la période du deuxième trimestre 2024 au premier trimestre 2025. Les cybercriminels utilisent des titres phares tels que Naruto, Demon Slayer, L’Attaque des Titans, One Piece et Jujutsu Kaisen pour diffuser des logiciels malveillants ou des fichiers indésirables, en proposant notamment de faux « épisodes exclusifs », « leaks » ou « accès premium » afin de piéger les utilisateurs âgés de 15 à 30 ans, dont 65 % regardent régulièrement des animes.

Naruto, malgré ses plus de 20 ans d’existence, est la cible la plus exploitée avec 114 216 tentatives d’attaques détectées, suivi par Demon Slayer (44 200 tentatives) et L’Attaque des Titans (39 433 tentatives). Ce phénomène s’étend aussi aux films et séries populaires auprès de la Gen Z, comme Shrek, Stranger Things ou Twilight, qui ont fait l’objet de plus de 43 000 tentatives d’attaques, Shrek à lui seul enregistrant plus de 36 000 tentatives début 2025.

Les plateformes de streaming majeures, notamment Netflix, Amazon Prime Video, Disney+, Apple TV Plus et HBO Max, sont également massivement ciblées. Netflix est la plateforme la plus visée, avec 85 679 tentatives d’attaques et plus de 2,8 millions de pages de phishing imitant sa marque. Les cybercriminels exploitent le trafic élevé et la fréquence des interactions liées aux abonnements en créant de fausses pages de connexion, des liens d’essai gratuit ou des mails de réinitialisation de mot de passe frauduleux.

Pour sensibiliser la génération Z à ces risques numériques, Kaspersky a lancé « Case 404 », un jeu interactif en ligne qui invite les jeunes à devenir des cyberdétectives. Ce dispositif pédagogique immersif leur permet de comprendre les mécanismes des cyberattaques et d’acquérir les compétences nécessaires pour protéger leur vie numérique. En participant, les joueurs peuvent également bénéficier d’une réduction sur Kaspersky Premium, une solution avancée de sécurité.

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Ben Arous: mise en service, à Radès, d’un point de vente structuré pour les moutons de l’Aïd-al-Adha

La commercialisation des ovins destinés au sacrifice de l’Aïd al-Adha a démarré, jeudi 29 mai, au point de vente structuré situé sur l’avenue Hédi-Nouira, route du port, à Radès (Ben Arous).

Ce point de vente a été aménagé et équipé par la municipalité de Radès pour accueillir les fournisseurs concernés par l’approvisionnement en moutons de l’Aïd aux prix référentiels, fixés à 21,900 dinars/kg.

Des espaces organisés et clôturés ont été aménagés pour les différents éleveurs et fournisseurs participants, sous la supervision du Groupement interprofessionnel des viandes rouges et du lait (GIV Lait).

Les opérations de vente ont débuté, jeudi 29 mai, pour le public. Quatorze exposants ont obtenu des emplacements clôturés pour rassembler leurs moutons, en attendant l’ajout d’autres emplacements dans les prochains jours, selon l’un des responsables de l’organisation du marché.

D’après la même source, la demande s’est révélée soutenue dès le premier jour. En effet, plus de 200 têtes ont été écoulées, dont certaines dépassaient les 60 kg, témoignant de l’engouement des consommateurs à l’approche de la fête.

Dans le cadre des mesures de prévention sanitaire, une tente vétérinaire permanente a été installée par les services de contrôle afin de soumettre tous les animaux à un examen de santé rigoureux avant leur commercialisation.

Par ailleurs, Fatma Saïdi, cheffe du département de la production animale au sein du Commissariat régional au développement agricole (CRDA) de Ben Arous, a indiqué à l’agence TAP qu’un dispositif de coordination sera mis en place avec les délégations et les municipalités désireuses de garantir un contrôle vétérinaire sanitaire sur l’ensemble des points de vente, à l’approche de l’Aïd.

Des visites sur le terrain seront effectuées par une équipe conjointe composée de représentants des autorités locales, des vétérinaires et des unités sécuritaires pour garantir le bon déroulement du contrôle.

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NASIJ : le textile tunisien mise sur la jeunesse et l’innovation

La filière textile de Sfax, Monastir et Mahdia dispose désormais d’un allié de poids pour se réinventer. Lors de la Foire internationale de Sfax, le projet NASIJ (Nouvelles Alternatives Soutenables pour l’Insertion des Jeunes) a dévoilé son ambition : former une nouvelle génération de talents tout en dynamisant les entreprises locales.

Avec le soutien financier de l’Agence italienne pour la coopération au développement (AICS Tunisie) et piloté par les ONG COSPE et CEFA, NASIJ agit sur deux fronts :

  • Élever les compétences des jeunes, des femmes et des publics fragiles pour coller aux besoins réels des usines et ateliers.

  • Booster la compétitivité des entreprises via des stagiaires opérationnels, des formations adaptées et un réseau professionnel élargi.

Du concret dès 2024

Depuis son lancement en octobre dernier, le projet prend forme :
✔ Des centaines de jeunes formés aux techniques modernes du textile
✔ Des PME accompagnées pour intégrer les bonnes pratiques sociales et environnementales
✔ Une plateforme d’échanges unique entre industriels et futurs employés

L’objectif ? Créer un écosystème textile plus résilient où compétences locales et opportunités économiques se rencontrent. Les entreprises intéressées peuvent dès maintenant rejoindre cette dynamique.

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Médiation culturelle et espace public : l’exemple de Dream City 2025

Dans la continuité de la première formation consacrée aux « concepts et enjeux de la médiation culturelle », initiée par la fabrique d’espaces artistiques « L’Art Rue » en 2024 dans le cadre du programme « Massari-Consolider sa trajectoire professionnelle culturelle », un second module de formation est lancé en 2025, proposant une approche pratique et immersive de la médiation culturelle dans le contexte d’un festival en espace public.

Prenant comme terrain d’étude le festival Dream City 2025, ce nouveau module invite, entre juin et septembre 2025, les participants à explorer en profondeur les rôles, les défis et les dynamiques de la médiation au sein d’un événement artistique profondément inscrit dans son territoire.

L’objectif de cette formation est de permettre aux futurs médiateurs culturels d’appréhender les spécificités de la médiation en espace public et lors d’un festival tel que Dream City et les accompagner dans la conception et l’expérimentation de dispositifs de médiation innovants et inclusifs, qui seront testés en conditions réelles lors de la 10e édition du festival prévue du 3 au 19 octobre 2025.

Les participants pourront développer des outils concrets et engager une réflexion approfondie sur les interactions entre art et société.

Ils pourront, ainsi, expérimenter des approches de co-création avec les publics tout en analysant les enjeux sociaux, politiques et culturels qui façonnent les pratiques de médiation contemporaine. Cette formation cible des profils curieux, sensibles aux dynamiques collectives et désireux de nourrir leur pratique en lien étroit avec les territoires. Le module sera animé par deux figures engagées du monde culturel : Aurélie Machghoul, anthropologue et historienne de l’art, forte de vingt ans d’accompagnement de projets à fort impact social, et Hedi Khelil, artiste visuel, universitaire et consultant en management culturel et innovation sociale.

 

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Gafsa : le service de pédiatrie à l’hôpital régional de Métlaoui reprend ses activités

Le service de pédiatrie à l’hôpital régional de Métlaoui, dans le gouvernorat de Gafsa, a officiellement rouvert ses portes, vendredi 30 mai, après plus d’une décennie d’interruption.

Le gouverneur de la région, Salim Farrouja, a supervisé l’entrée en exploitation effective de cette structure en présence de cadres de la direction régionale de la santé.

Selon la même source, ce service, désormais opérationnel, dispose d’une capacité d’accueil de 16 lits. Il a été entièrement rééquipé avec du matériel médical de dernière génération, incluant notamment des unités dédiées à la néonatologie.

Le dispositif en ressources humaines a été significativement renforcé, avec l’affectation de deux médecins de santé publique et la contractualisation de quatre spécialistes en pédiatrie, garantissant ainsi une couverture médicale ininterrompue, 24 heures sur 24.

Une équipe de douze professionnels paramédicaux, composée à parts égales de techniciens supérieurs et d’aides-soignants, a, en outre, été déployée dans l’optique de garantir le bon déroulement des activités du service.

Salim Farrouja a souligné que la réouverture de cette unité pédiatrique, dont l’activité était suspendue depuis 2015, représente un acquis de taille pour la région. Elle contribuera à rapprocher les soins spécialisés des populations des délégations avoisinantes, tout en allégeant la pression exercée sur le service de pédiatrie de l’hôpital régional Houcine-Bouzaïane à Gafsa.

Il convient de rappeler que cette réouverture s’inscrit dans le cadre des engagements annoncés par le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, lors de sa visite dans le gouvernorat de Gafsa en mars 2025.

Le ministre avait alors réitéré sa volonté de remettre en activité les unités hospitalières prêtes à fonctionner, tout en les dotant des ressources humaines qualifiées et des équipements médicaux nécessaires, dans le cadre de la redynamisation du tissu sanitaire régional.

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Bac 2025: 32% des candidats inscrits en économie et gestion

Le ministre de l’Éducation, Noureddine Nouri, a indiqué, lors de la conférence de presse consacrée aux examens nationaux, tenue le vendredi 30 mai, au siège du ministère, que la section « Économie et gestion » enregistre le plus grand nombre de candidats (32%). Elle est suivie de la section « Sciences expérimentales » avec 20%, puis la section « Lettres » (18%), la section « Sciences techniques » (14%), la section « Informatique » (10%) et, enfin, la section « Mathématiques » (5%).

Il a indiqué que le nombre total a connu cette année une augmentation de 11 602 candidats par rapport à la session 2024 (140 206 candidats au total).

Il a également précisé que la section « Sport » a enregistré cette année le taux de participation le plus faible avec seulement 1%, et connaît la participation du candidat le plus âgé cette année (74 ans). Le plus jeune candidat (17 ans) est inscrit en section « Informatique ».

Le ministre a, par ailleurs, affirmé que le ministère a mobilisé une équipe de 146 967 agents et cadres travaillant jour et nuit pour assurer le bon déroulement des examens.

Il a précisé dans ce contexte que le ministère a organisé une session de formation à l’intention de tous les responsables chargés de la surveillance des examens, afin de les informer des dernières technologies utilisées dans les tentatives de triche. Il a appelé tous les candidats à éviter de telles pratiques, vouées à l’échec.

Le ministre a également mis en garde contre les tentatives visant à perturber le bon déroulement des examens, telles que la publication des sujets d’examen sur les réseaux sociaux la veille des épreuves, soulignant que le ministère a mis en place des mesures spécifiques pour garantir le secret et la sécurité des sujets du bac.

À noter que 151 808 élèves passeront la session principale du baccalauréat 2025, dont 125 515 élèves des établissements publics, 18 351 des établissements privés, et 7 942 candidats libres.

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Journée scientifique de sensibilisation environnementale à la CST

Une journée scientifique de sensibilisation environnementale sera organisée le 14 juin prochain à la Cité des Sciences de Tunis (CST), à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, célébrée le 5 juin de chaque année.

Cette manifestation vise à mobiliser citoyens, institutions et acteurs de la société civile pour faire face aux défis environnementaux et encourager l’engagement en faveur d’un avenir durable, a déclaré Safa Mansouri, enseignante encadrante scientifique, vendredi 30 mai, auprès de l’agence Tunis-Afrique Presse (TAP).

Cette journée, a-t-elle précisé, a pour objectif de sensibiliser les différentes parties prenantes aux crises écologiques et de favoriser l’adoption de lois plus strictes pour garantir une meilleure gestion dans ce domaine.

L’événement s’adresse à un large public, élèves, spécialistes de l’enseignement supérieur, chercheurs, étudiants, institutions étatiques concernées par l’environnement, startuppeurs et société civile.

Le programme proposera une série d’interventions et d’ateliers scientifiques autour de thématiques clés liées à la transition écologique en Tunisie.

Seront également abordés : la problématique de la pollution plastique et les stratégies de lutte mises en place, le développement des énergies renouvelables, l’innovation au service d’un avenir durable, ainsi que les perspectives offertes par les métiers verts.

Selon Safa Mansouri, des espaces dédiés permettront, par ailleurs, aux établissements d’enseignement supérieur, aux centres de recherche et aux associations engagées dans la protection de l’environnement de présenter leurs projets innovants.

 

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Examens de la sixième: 64 065 élèves candidats au concours d’accès aux collèges pilotes

Mohamed Mili, directeur général des examens, a déclaré, vendredi 30 mai, lors d’une conférence de presse sur les examens nationaux tenue au siège du département à Tunis, que parmi un total de 213 508 élèves inscrits en sixième année de l’enseignement de base, 64 065 élèves passeront le concours d’accès aux collèges pilotes (sixième), session 2025.

Selon Mili, le nombre de candidats à ce concours, qui se déroulera les 16, 17 et 18 juin prochain, a augmenté de 5 113 par rapport à la session 2024 (58 952 candidats). D’après les précisions du responsable, le nombre de candidates à ce concours est de 35 127 (55%), contre 28 938 garçons (45%).

Conformément à la décision du ministre de l’Éducation en date du 12 mai 2025, la capacité d’accueil des collèges pilotes a été fixée à 3 850 places pour l’année scolaire 2025-2026. Les résultats du concours seront annoncés le 4 juillet 2025.

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Affaire de l’ambassade américaine: les peines aggravées par la Cour d’appel

La chambre pénale près la Cour d’appel de Tunis a décidé d’alourdir les peines de prison prononcées à l’encontre de 20 accusés dans l’affaire des « incidents de l’ambassade américaine », les portant à 8 ans et 3 mois de prison.

La Cour d’appel a également décidé, le 27 mai, de lever le sursis relatif à l’exécution des peines, a déclaré, vendredi 30 mai, à l’agence TAP, le porte-parole de la Cour d’appel, Habib Torkhani.

Il a rappelé que les accusés ont été condamnés, en première instance, à deux ans de prison avec sursis.

Les faits remontent au 14 septembre 2012, lorsque des centaines de manifestants, affiliés au courant salafiste, ont pris pour cible l’ambassade et l’école américaines à Tunis, en réaction à un film jugé « islamophobe » produit aux États-Unis. La représentation diplomatique et l’école américaines avaient été partiellement incendiées et saccagées.

 

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Tunisie : Kaïs Saïed appelle à poursuivre la révolution législative « sociale »

Le président de la République, Kais Saïed, a présidé, jeudi 29 mai 2025 au Palais de Carthage, une réunion du Conseil des ministres. Elle a été consacrée principalement à l’avancement de la réforme législative à caractère social.

 

révolution législative

À cette occasion, le chef de l’État a réitéré sa volonté de poursuivre la « révolution législative » dans le domaine social. Laquelle est considérée comme une étape essentielle pour poser les bases d’une véritable création de richesse. Il a appelé à l’adoption de nouvelles lois traduisant concrètement les revendications populaires. Tout en affirmant que ces textes doivent être clairs, audacieux et à la hauteur des attentes du peuple, rapporte la TAP.

Parmi les priorités évoquées, le président Saïed a insisté sur l’importance du projet de décret visant à interdire le recours à la sous-traitance, dénoncée comme une forme de précarisation déguisée des travailleurs du secteur public. Il a évoqué notamment le cas de la société Itissalia services, appelant à sa dissolution et à l’intégration de ses employés dans des structures publiques. Ce qui mettra fin à ce qu’il a qualifié de « forme d’esclavage moderne », ajoute l’agence.

Fidèle à sa ligne de conduite, le président a fermement rejeté les « demi-mesures », soulignant que la Tunisie mène une bataille de libération nationale sur tous les fronts. Il a établi un lien direct entre les droits des travailleurs et la relance économique, dénonçant les lois passées qui ont, selon lui, favorisé une économie de rente et faussé les indicateurs de croissance.

Lire aussi — Kaïs Saïed : « La lutte pour la libération, un combat entre le peuple et un système en crise »

La situation des ouvriers de chantiers a également été abordée. Le président a plaidé pour des solutions durables en faveur des catégories sociales défavorisées et des jeunes en quête d’emploi, victimes des politiques d’exclusion qui ont entravé leur accès à un travail digne.

Par ailleurs, le Conseil des ministres s’est penché sur la nécessité de réformer les caisses sociales afin d’en assurer la viabilité financière. Le président a également appelé à rationaliser le nombre d’établissements publics jugés peu efficients, proposant de rediriger les ressources financières vers des institutions capables de recruter et de répondre aux besoins du pays.

En ce qui concerne le développement des sociétés communautaires, le Conseil a dénoncé les tentatives de sabotage orchestrées par certains « cartels », opposés à leur essor. Le président a défendu ce modèle, déjà éprouvé avec succès dans plusieurs pays, comme un levier de développement équitable et participatif.

Lire également — Sociétés communautaires : des réformes et des subventions

En conclusion, le président Saïed a renouvelé son appel à la lutte acharnée contre la corruption, affirmant que la croissance ne peut être envisagée que dans un cadre institutionnel transparent. Il a, par ailleurs, critiqué les tentatives de certains acteurs de propager un discours alarmiste sur la situation du pays. En y voyant une manœuvre politique déguisée à l’approche des échéances électorales.

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Kaïs Saïed lors du Conseil des ministres : Engagement à poursuivre la révolution législative « sociale »

Le président de la République, Kais Saïed, a présidé, dans la journée du jeudi, au palais de Carthage, une réunion du Conseil des ministres. Lors de cette réunion, le chef de l’Etat a réaffirmé l’engagement à aller de l’avant sur la voie de la révolution législative, notamment, dans le domaine social, dès lors qu’elle est un préalable nécessaire à création de la richesse.

Il a, dans ce contexte, appelé à la nécessité de mettre sur pied de nouvelles législations s’inscrivant dans la perspective de concrétiser les revendications du peuple.

Cité dans un communiqué, le chef de l’Etat a insisté sur l’impératif qu’il y a à ce que le projet de décret portant interdiction de la sous-traitance soit « clair » et à la hauteur des attentes du peuple.

Ce décret devra ouvrir droit à la dissolution de la société « Itissalia services » et à l’intégration des agents et ouvriers y relevant qui ont recrutés par voie de ce type de contrats. L’objectif ultime, selon le chef de l’Etat, étant de mettre fin à jamais à cette forme déguisée d’esclavage dans le secteur public.

Lors de cette réunion, le chef de l’Etat a réitéré sa ferme position de principe visant à rompre avec les « solutions en demi-teinte », soulignant que la bataille que mène le pays est une bataille de libération nationale tous azimuts.

Le président Saïed a par ailleurs tenu à mettre en avant la corrélation étroite entre la garantie des droits des travailleurs et la relance de l’investissement, dénonçant, à ce titre, l’adoption par le passé de nombre de textes « sur mesure » qui au lieu de contribuer à la création de la richesse, ils ont favorisé l’économie rentière et les taux de croissance erronés.

Le président Saïed a aussi largement évoqué la situation des ouvriers de chantier, recommandant de trouver de nouvelles solutions aux catégories pauvres et aux jeunes désœuvrés, victimes de l’échec des politiques d’exclusion qui les a privés de leur droit légitime à un travail décent et à une rémunération juste et équitable.

La réunion du conseil des ministres a permis également de débattre des nouveaux mécanismes visant à développer les caisses sociales afin que celles-ci retrouvent leurs équilibres financiers et puissent ainsi s’acquitter de leur mission dans les meilleures conditions.

Le chef de l’État a, en outre, réitéré son appel à rationaliser le nombre des établissements qui ont éreinté les fonds publics de la collectivité nationale et dont l’existence s’est avérée inutile.

Il a suggéré, à ce titre, de réaffecter les fonds qui leur sont alloués à l’ouverture des recrutements publics au sein d’autres établissements qui profitent non seulement aux personnes recrutées mais aussi et surtout à la patrie tout entière.

Toujours dans le cadre de cette réunion, le conseil a examiné les moyens appropriés permettant de simplifier les procédures de lancement des sociétés communautaires.

Le conseil a, à ce titre, dénoncé les tentatives sciemment menées par certains « cartels » en vue de mettre en échec l’émergence de ce type d’entreprises.

Le conseil a tenu, à ce propos, à signaler que ce type de sociétés a connu un succès retentissant dans nombre de pays et été avantageux aussi bien pour les partenaires que pour l’ensemble de la collectivité nationale.

Au terme de cette réunion, le président de la République a réitéré son appel à poursuivre sans relâche la bataille contre la corruption, soulignant que la croissance effective ne saurait être réalisée que dans le cadre d’institutions transparentes.

Il a fustigé à ce propos ce qu’il a qualifié de « pré-campagne électorale déguisée » menée dans le dessein de faire répandre à tort, que la situation en Tunisie est « désespérée » et que le pays est en proie à des crises récurrentes.

Avec TAP

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Présidence de la BAD : El Ghazouani remercie Saïed pour son soutien à Sidi Ould Tah

Suite à l’élection du candidat mauritanien, Sidi Ould Tah, à la présidence de de la Banque africaine de développement (BAD), le chef de l’Etat mauritanien, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a appelé le président de la République, Kaïs Saïed, pour le remercier du soutien de la Tunisie à cette candidature.

Cet appel, précise un communiqué de la présidence de la République, a également permis d’évoquer les relations historiques entre les deux pays et peuples et de réaffirmer l’engagement des deux dirigeants à œuvrer en vue de promouvoir la prospérité, la sécurité et la stabilité dans le continent africain.

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Journalistes freelance : des députés demandent des comptes au gouvernement

Sept députés de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) ont adressé une interpellation officielle au gouvernement pour dénoncer le retard dans l’application d’une mesure pourtant actée dans la loi de finances 2025 : l’intégration des journalistes indépendants au régime de l’auto-entrepreneur.

Dans une correspondance adressée à la primature, les élus expriment leur incompréhension face à l’absence des journalistes freelance de la liste des activités éligibles, plusieurs mois après l’adoption du texte législatif. Ils demandent des explications claires, ainsi qu’un calendrier précis pour la mise en œuvre de cette disposition.

Une mesure adoptée, mais toujours inapplicable

Les députés rappellent que la loi de finances 2025 avait été amendée pour inclure explicitement les journalistes indépendants parmi les bénéficiaires du régime de l’auto-entrepreneur, qui prévoit notamment des avantages fiscaux et une couverture sociale adaptée. Pourtant, l’activité de journaliste n’apparaît toujours pas sur la plateforme électronique dédiée, condition sine qua non pour s’inscrire légalement dans ce dispositif.

Ce blocage administratif empêche de nombreux professionnels des médias de régulariser leur situation, d’accéder aux aides prévues par la loi et d’exercer leur métier dans un cadre juridique stable. Une situation jugée préoccupante par les élus, qui soulignent l’urgence de la résoudre.

Une réforme sociale et économique freinée

Dans leur interpellation, les députés insistent sur l’importance de respecter les engagements du gouvernement en matière de soutien à l’entrepreneuriat individuel et de renforcement du rôle social de l’État. Pour eux, intégrer les journalistes freelance au régime de l’auto-entrepreneur constitue une étape essentielle pour améliorer leurs conditions de travail et garantir leurs droits.

Pour rappel, le régime de l’auto-entrepreneur s’adresse aux travailleurs indépendants exerçant une activité figurant sur une liste déterminée, sans patente préalable, avec un chiffre d’affaires annuel plafonné à 75 000 dinars. Il offre une exonération fiscale la première année, un régime fiscal simplifié, ainsi qu’une couverture sociale incluant soins médicaux, retraite et assurance contre les accidents du travail.

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Tunisie – Une proposition de loi veut mettre fin aux agressions contre le personnel éducatif

Une proposition de loi relative à la répression des agressions visant le personnel éducatif, est examinée par les députés, avec des peines pouvant aller jusqu’à cinq ans de prison et cinq mille dinars d’amende.

Le bureau de l’ARP, réuni ce jeudi 29 mai, a décidé de transmettre cette proposition aux commissions compétentes pour examen. Déposé par 11 députés sous le numéro 46 de l’année 2025, le texte sera étudié par la commission de législation générale, avec l’avis de la commission parlementaire de l’éducation.

La proposition prévoit une révision de l’article 218 de la loi organique n° 2027-58 relative à l’élimination de la violence contre les femmes. Un nouveau paragraphe serait ajouté, instaurant une peine de cinq ans de prison et une amende de cinq mille dinars, sans possibilité de circonstances atténuantes, pour toute agression violente contre un membre du corps éducatif.

Les députés porteurs de cette initiative justifient ce durcissement par « la multiplication des actes de violence et des crimes perpétrés contre le personnel éducatif ». Ils estiment que cette mesure pourrait « contribuer à prévenir de nouveaux crimes et à réduire le nombre de victimes de violence exercée contre le personnel éducatif dans les espaces éducatifs ou dans leur environnement ».

Parallèlement à cette proposition, le bureau de l’ARP a également décidé de transmettre d’autres projets de lois soumis par des groupes de députés aux commissions spécialisées concernées.

Avec TAP

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6% des paiements : le surprenant poids de la lettre de change

La lettre de change représente 5,9% des moyens de paiement en Tunisie, selon les chiffres publiés mercredi 28 mai par la Société interbancaire de télé-compensation (SIBTEL), une entreprise publique qui opère dans le domaine de compensation des valeurs mobilière interbancaire.

Le nombre des lettres de change en circulation s’élève à 17 130 effets de commerce, parmi 290 101 instruments de paiement, comportant des chèques, des virements, des lettres de change et des retenues.

Le taux des chèques échangés n’a pas dépassé 10% du total des valeurs mobilières, au moment où les virements ont accaparé 79,6% des moyens de paiement.

Ces données montrent le changement de la structure des moyens de paiement en Tunisie, au moment où la Banque centrale de Tunisie (BCT) n’a pas encore divulgué les données relatives aux moyens de paiement du premier trimestre de cette année.

 Les députés œuvrent à surmonter les problèmes liés à la baisse de l’utilisation des chèques, en développant l’utilisation de la lettre de change. Une initiative législative dans ce cadre a été présentée le 19 mars 2025, à travers une demande d’amendement de l’article 286 du code des procédures civiles et commerciales.

L’objectif de ce projet de loi est de donner à la lettre de change un caractère exécutoire à travers la preuve équitable rédigée par l’huissier notaire et qui représentera une sentence.

Ainsi, la proposition législative comporte l’inclusion de certains biens, marchandises ou équipements qui peuvent faire l’objet d’opération de saisie en cas de non paiement, ou l’inclusion du nom d’un garant qui garantit l’opération de remboursement, en cas de non-respect des engagements financiers.

La loi sur les chèques a été amendée en février 2025 dans l’objectif de la mise à niveau des systèmes de paiement, avec la promulgation de lois connexes, telles que des dispositions relatives à la réduction  du taux d’intérêt fixe  sur certains types de crédits, la régularisation des dispositions relatives à la gestion  des comptes bancaires gelés et l’affectation de 8 % des bénéfices des banques, pour soutenir les petites et moyennes entreprises (PME).

Toutefois, la mise en œuvre de ces amendements demeurent bloqués, d’où la publication par la BCT d’une note à cet effet.

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La BEI, l’UE et l’UBCI s’unissent pour accélérer l’internationalisation des PME régionales

Le premier roadshow co-organisé par l’UBCI, la Banque européenne d’investissement (BEI) et soutenu par l’Union européenne, intitulé « Invest and Export Solutions », s’achève ce jeudi 29 mai, après avoir parcouru les quatre principales villes économiques du pays.

Cette étape finale marque l’aboutissement d’une collaboration inédite entre une banque tunisienne de référence, l’UBCI, et la BEI, en faveur des Petites et Moyennes Entreprises (PME) actives sur l’ensemble du territoire tunisien.

L’objectif : aller directement à la rencontre d’entrepreneurs dans leurs régions afin de leur proposer des solutions concrètes de financement, des outils pour améliorer leur compétitivité internationale, et un accompagnement personnalisé visant à renforcer leur intégration dans les chaînes de valeur exportatrices spécifiques à chaque région.

Les bénéfices du programme pour les PME tunisiennes

Ce roadshow s’inscrit dans le cadre du Trade and Competitiveness Programme (TCP) et, plus largement, des financements mis à disposition par la BEI et l’Union européenne pour soutenir le Plan de relance économique de la Tunisie. Il s’agit ici d’accompagner le développement international des PME tunisiennes tout en renforçant les relations commerciales entre la Tunisie et l’UE.

Le TCP prévoit un dispositif de financement destiné aux entreprises des secteurs directement liés au renforcement des chaînes de valeur à l’export (l’agroalimentaire, l’automobile ou encore le textile). Il est également assorti de garanties pour couvrir le risque des institutions financières prêtes à jouer le jeu de canaliser l’octroi de leurs prêts vers des projets générateurs d’impacts sociaux ou environnementaux.

Un accompagnement au plus près des entrepreneurs dans les régions

Cette semaine, le roadshow, Invest and Export Solutions, a maillé le territoire tunisien, de Sfax à Tunis en passant par Sousse et Hammamet, afin de répondre aux besoins spécifiques des entrepreneurs locaux de ces régions.

Cette initiative a permis de présenter des solutions de financement et d’accompagnement sur mesure, en valorisant les atouts sectoriels de chaque région. Elle a renforcé les synergies entre entrepreneurs, acteurs économiques, institutions et investisseurs. Un accent particulier a été mis sur l’intégration de pratiques durables, telles que la décarbonation et la conformité au Mécanisme d’Ajustement Carbone aux Frontières (MACF), pour préparer les entreprises aux exigences environnementales européennes.

Dans le cadre des préparatifs de cette tournée en régions, l’équipe d’assistance technique de la BEI a livré au préalable une série de formations pour quelque 100 chargés d’affaires et directeurs d’agence de l’UBCI. Ces sessions visent à orienter les stratégies d’affaires de leur clientèle PME vers l’exportation, tout en intégrant les enjeux environnementaux.

“À travers cette initiative, l’UBCI démontre une nouvelle fois son engagement envers l’économie tunisienne en aidant les PME locales à se doter des moyens financiers et techniques nécessaires pour accéder aux marchés internationaux”, a souligné Mohamed Koubaa, Directeur Général de l’UBCI. Et d’ajouter : “Clôturer ce roadshow à Tunis, après des étapes dans trois autres régions économiques clés du pays, illustre notre volonté d’aller à la rencontre de nos clients, là où ils opèrent, avec des solutions qui répondent précisément à leurs besoins.”

Jean-Luc Revéreault, Représentant de la BEI en Tunisie a déclaré: “La BEI soutient activement les PME tunisiennes dans leur transition vers des modèles plus compétitifs, durables et tournés vers l’export. À travers le Trade & Competitiveness Programme, nous leur apportons des financements adaptés et un accompagnement technique de proximité pour s’insérer durablement dans les chaînes de valeur exportatrices. En allant à la rencontre des entrepreneurs, ce roadshow illustre cet engagement pour proposer des solutions concrètes adaptées aux réalités de chaque région.”

De son côté, Marco Stella, chef de section développement économique de l’Union européenne a déclaré : “Les PME sont le moteur de la création d’emplois en Tunisie, notamment pour les jeunes et les femmes. C’est pourquoi l’Union européenne accorde une importance capitale à leur accompagnement. À travers ce projet Invest and Export Solutions, nous sommes fiers de soutenir des initiatives concrètes qui renforcent l’internationalisation et la compétitivité des entreprises tunisiennes. Nous saluons particulièrement l’approche régionale de cette initiative, en ligne avec notre engagement à soutenir l’économie réelle au plus près des territoires, en particulier dans les régions qui ont eu jusqu’ici moins d’opportunités de réaliser pleinement leur potentiel”.

Communiqué

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Tunisie : le taux d’investissement chute à 16 % du PIB, selon la CNUCED

Le taux d’investissement en Tunisie a chuté à 16 % du PIB entre 2020 et 2024, contre 19,3 % en 2016, selon un rapport de la CNUCED publié début 2025. Cette baisse reflète une tendance plus large, avec des flux d’investissements directs étrangers (IDE) passant de 974 millions de dollars en moyenne entre 2014 et 2018 à 728 millions entre 2019 et 2023. La Tunisie se classe ainsi derrière des pays comparateurs comme l’Égypte (8,2 milliards de dollars d’IDE) et le Maroc (1,7 milliard).

La CNUCED attribue ce recul du taux d’investissement aux difficultés économiques et aux déséquilibres financiers, notamment le déficit budgétaire, la hausse de la dette publique et la dépréciation du dinar. Ces contraintes obligent les autorités à contrôler les flux de devises et à emprunter auprès des banques locales. Réduisant ainsi le crédit disponible pour le secteur privé et limitant les investissements publics dans les infrastructures.

Le rapport souligne également les obstacles administratifs et réglementaires, tels que la complexité des procédures, les restrictions dans certains secteurs et les contraintes imposées par le code des changes. Seulement 39 des 62 accords bilatéraux d’investissement signés par la Tunisie sont en vigueur, la plupart datant des années 1990 et 2000.

Pour relancer l’investissement, la CNUCED propose plusieurs mesures. Et notamment : la simplification de l’accès au crédit; le soutien des TPME et des startups; l’encouragement des partenariats public-privé. Le rapport recommande également de mobiliser la diaspora tunisienne, qui ne représente que 10 % des investisseurs. Tout en créant des fonds dédiés aux secteurs prioritaires.

Ces recommandations s’inscrivent dans le cadre des objectifs de développement durable (ODD). Le rapport a été réalisé à la demande du ministère tunisien de l’Économie et de la Planification, avec le soutien de la Mission permanente de la Tunisie à Genève. Son objectif est d’aider le pays à renforcer sa compétitivité et à réduire sa vulnérabilité aux chocs économiques.

Avec TAP

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La STB Bank confirme sa résilience avec 82,5 MD de bénéfice net

La Société tunisienne de banque (STB Bank) a clôturé l’exercice 2024 avec des performances financières solides, confirmant sa résilience et sa capacité à générer des résultats positifs malgré un contexte économique complexe.

Le résultat net de l’exercice 2024 s’élève à 82 500 257 DT, démontrant une gestion financière rigoureuse et une stratégie commerciale efficace. Ce résultat contribue à renforcer la structure financière de la banque, avec un report à nouveau créditeur porté à 86 106 937 DT.

Après l’affectation des résultats, la STB a alloué une réserve légale de 8 430 360 DT, conformément aux dispositions légales. Par ailleurs, une enveloppe de 30 000 000 DT a été dédiée aux réserves pour réinvestissements exonérés, soulignant l’engagement de la banque à soutenir son développement futur tout en optimisant sa fiscalité. Le reliquat final, après toutes les affectations, s’établit à 130 176 834 DT, intégralement reporté à nouveau.

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Marokko – Festnahme nach Morddrohung gegen Premierminister Akhannouch

PremierministerEin Facebook-Post führt zu einem Polizeieinsatz in Agadir – Behörden sehen die öffentliche Ordnung gefährdet und betonen Entschlossenheit gegen digitale Gewalt Agadir – In der südmarokkanischen Stadt Agadir wurde am Dienstag, dem 28. Mai 2025, ein Mann wegen einer mutmaßlichen Morddrohung gegen Premierminister Aziz Akhannouch festgenommen. Wie mehrere Medien, darunter Alyaoum24 und TelQuel, übereinstimmend berichten, […]

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