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Températures estivales : où fera-t-il le plus chaud en Tunisie ?

TempératureCe vendredi, selon l’Institut National de la Météorologie (INM), le temps sera généralement dégagé à légèrement nuageux sur la majeure partie du territoire tunisien. Les températures afficheront une nette différence selon les régions : elles oscilleront entre 23°C et 28°C sur les régions côtières et les hauteurs, tandis que le thermomètre indiquera entre 29°C et 34°C dans le reste du pays.

Le vent soufflera du nord sur les régions nord et centre du pays et de l’est dans le sud, avec une intensité relativement forte près des côtes Est et dans le sud, et modérée à faible ailleurs.

Quant à l’état de la mer, elle sera très agitée à agitée sur les côtes Est, moutonneuse au nord, et peu agitée sur les autres côtes.

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Développement des talents IA en Tunisie : Un espoir pour l’économie numérique

intelligence artificielleEn dépit de cette atmosphère de précarité, de frustration et d’impuissance qui règne dans le pays, il y a, de temps en temps, des informations heureuses qui surgissent et viennent nous embaumer le cœur.

Le récent classement de la Tunisie à la 2ème place des pays africains les mieux préparés au développement des talents en intelligence artificielle, juste après l’Afrique du sud, est indéniablement une très très bonne nouvelle en raison de sa grande qualité stratégique et de son effet multiplicateur sur le développement futur du pays.

C’est un signe d’un grand espoir. Il vient illustrer de manière éloquente que malgré les difficultés par lesquelles la Tunisie est passée, le pays est sur la bonne voie, celle du progrès et de la maîtrise de l’Intelligence artificielle (IA) dont le monde entier ne jure que par elle.

“Le récent classement de la Tunisie à la 2ème place africaine en IA est indéniablement une très bonne nouvelle en raison de sa grande qualité stratégique.”

 

Pour revenir au classement de l’indice de préparation en intelligence artificielle pour l’Afrique connue sous l’appellation anglicane « AI Talent Readiness Index for Africa 2025 », ce classement, publié fin mai courant, évalue la capacité des 54 pays du continent à développer, retenir et déployer des talents en IA, en se basant sur 20 indicateurs tels que le pourcentage de développeurs Web par million d’habitants, le nombre d’établissements d’enseignement supérieur offrant des formations en IA et en « machine learning » (ML), le pourcentage des diplômés du supérieur dans la main-d’œuvre totale, le taux de pénétration d’Internet, l’adoption d’une stratégie nationale de développement de l’IA, le taux d’électrification, la qualité des réglementations dans le domaine de la protection des données.

Au plan nord africain, la Tunisie devance l’Egypte (3ème), l’Algérie (8ème) et le Maroc (9ème).

L’Afrique du Sud obtient un score de 52,15 points sur un total de 100, grâce notamment à ses bonnes performances dans les piliers des « compétences numériques » (1er rang à l’échelle continentale) et « données & infrastructures » (2e rang).

Les meilleures performances de la Tunisie

La Tunisie et l’Egypte occupent ex aequo le deuxième rang, avec un score de 51,80 points. La Tunisie, le plus petit pays du Maghreb doit essentiellement son rang, à sa première place à l’échelle africaine dans le pilier « données & infrastructures », tandis que l’Egypte réalise ses meilleures performances dans le pilier « compétences numériques » (2e rang à l’échelle africaine).

“Ce classement vient illustrer de manière éloquente que, malgré les difficultés, la Tunisie est sur la bonne voie du progrès et de la maîtrise de l’IA.”

 

Autre performance de pointe de la Tunisie :la densité de développeurs. Elle est élevée en Tunisie qui compte 4120 développeurs par million d’habitants, suivie du Maroc (1345), l’Egypte (1224) et l’Algérie (477).

Au plan nord africain, la Tunisie devance l’Egypte (3ème), l’Algérie (8ème) et le Maroc (9ème).

Ces acquis numériques qui ne sont pas visibles à l’œil nu

La Tunisie doit également sa 2ème place à la faveur de plusieurs autres leviers et réalisations.

Au nombre de ceux-ci figurent en bonne place : une volonté politique claire perceptible à travers la mise au point d’une stratégie nationale de l’Intelligence Artificielle (2021-2025), cette même stratégie qui positionne l’IA comme un levier de croissance économique et d’inclusion sociale.

Par ailleurs, des partenariats public-privé (soutien de la CDC, bras financier de l’Etat aux startups) sont établis pour accompagner les entreprises dans leur transformation numérique.

Point d’orgue de cette politique volontariste, la digitalisation des services publics avec des plateformes comme Evax, E-Bawaba, ou encore la simplification projetée des démarches administratives en ligne.

“La Tunisie a désormais les moyens et outils pour jouer le rôle de hub régional pour le développement de partenariats win-win en matière d’intelligence artificielle.”

 

Cette volonté politique est concrétisée par l’élaboration de réformes structurelles et la mobilisation d’ investissements ciblés pour faire émerger un écosystème numérique fondée sur l’innovation, une Infrastructures TIC de qualité (un taux de pénétration d’internet supérieur à 66 %), adoption des normes de téléphone mobile (4G et 5G), accès généralisé à l’électricité (taux d’électrification proche de 100 %), mise en place d un écosystème technologique dynamique :technopôles actifs (El Ghazala, Sfax, Sousse), des incubateurs spécialisés en tech, une vague de startups IA émergentes, et un réseau croissant de développeurs, ingénieurs data, et experts machine learning.

AI Talent Readiness Index for Africa 2025 a cité d’autres acquis accomplis par la Tunisie en matière de promotion de l’économie numérique. Il s’agit principalement de la formation par milliers chaque année d’ingénieurs en informatique et l’intégration dans les programmes académiques l’initiation à l’IA, data science, cloud computing …

Cela pour dire au final que par delà ces éclairages sur les arguments qui justifient cet excellent classement de la Tunisie au 2ème rang des pays africains les mieux préparés les mieux préparés au développement des talents en intelligence artificielle, nous pensons que la Tunisie a désormais les moyens et outils pour jouer, entre l’Europe et l’Afrique, le rôle de hub régional pour le développement de partenariats win win en matière d’intelligence artificielle et d’autres technologies de pointe (centre de données…).

Abou SARRA

Indicateurs clés

  • 2ème place : Rang de la Tunisie en Afrique pour la préparation au développement des talents en IA.
  • 51,80 points : Score de la Tunisie et de l’Égypte dans l’indice “AI Talent Readiness for Africa 2025”.
  • 1ère place africaine : Position de la Tunisie dans le pilier “données et infrastructures”.
  • 4120 développeurs : Nombre de développeurs par million d’habitants en Tunisie.
    66% : Taux de pénétration d’Internet en Tunisie.

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Voitures électriques, hybrides, SUV : MG accélère en Tunisie

MG siègeLa marque automobile MG continue de s’imposer sur le marché tunisien avec le lancement de trois nouveaux modèles, révélés lors d’une cérémonie officielle tenue le vendredi 23 mai 2025 au siège de la marque à Tunis. Ces nouveautés comprennent la MG Cyberster, première voiture de sport électrique décapotable du pays, le SUV MG ZS HEV, hybride familial, et le robuste MG RX9.

MG Cyberster : le roadster électrique qui bouscule les codes

Véritable vitrine technologique, la MG Cyberster est la première voiture décapotable 100 % électrique commercialisée en Tunisie. Avec ses lignes sportives, ses portes à ouverture en ciseaux et son toit rétractable en seulement 10 secondes, elle incarne le mariage entre performance, design et innovation.

MGMG ZS HEV : l’hybride star des familles tunisiennes

Déjà l’un des modèles les plus vendus du marché tunisien, le MG ZS HEV revient dans une version revisitée. Ce SUV hybride combine un moteur essence de 1,5 litre (102 ch) avec un moteur électrique (136 ch) et une batterie de 1,83 kWh. Il est équipé d’un écran tactile 12,3 pouces, du système MG Pilot d’aide à la conduite, d’une caméra de recul, et des connectivités Apple CarPlay et Android Auto.

MG ZSMG RX9 : le confort haut de gamme sur tous les terrains

Pensée pour les amateurs de conduite confortable sur route comme sur chemins accidentés, la MG RX9 se distingue par sa silhouette élégante et massive. Elle est animée par un moteur turbo 2 litres délivrant 235 chevaux et un couple de 392 Nm, couplé à une boîte automatique à 9 vitesses. Ce SUV propose une transmission intégrale ou à deux roues motrices, un réservoir de 70 litres, une direction assistée électrique et des suspensions indépendantes à l’avant et à l’arrière, idéales pour les routes tunisiennes.

MG RX9Avec ces lancements, MG renforce son ancrage sur le marché local, où elle figure déjà parmi les marques les plus populaires selon les dernières statistiques.

MG Simulation

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Eau et industrie textile : vers une transition durable en Tunisie

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a déclaré vendredi à Monastir que la consommation nationale de l’eau dans le secteur industriel, dans ses différents domaines, ne dépasse pas 2%, signalant que le secteur textile-habillement a réalisé d’importants investissements pour traiter les eaux usées.

Lors de l’ouverture de la conférence nationale sur “Le secteur textile et la gestion permanente des ressources hydrauliques”, Chiboub a appelé tous les acteurs économiques à adopter une approche scientifique pour sensibiliser à la rationalisation de la consommation et à la revalorisation de l’eau usée, ce qui est de nature à assurer la transition vers une industrie textile plus durable et un développement industriel écologiquement équilibré.

Dans le même contexte, la ministre a souligné la nécessité de prendre un certain nombre de mesures, notamment d’améliorer encore l’efficacité du système de production et de promouvoir des pratiques de production propres.

Le secteur textile-habillement est l’un des piliers de l’économie nationale par sa contribution à la réalisation d’équilibres économiques et sociaux, et son rôle dans la régulation de la balance commerciale, le développement des exportations et la mobilisation des investissements étrangers directs, a ajouté la ministre.

L’industrie textile- habillement représente 30% des emplois dans le secteur industriel, avec plus de 150 mille emplois, et regroupe 1 400 entreprises industrielles, soit 31% du total des entreprises industrielles, dont 200 entreprises intégrées à l’échelle mondiale, en plus de sa contribution de 15% du total des exportations industrielles nationales. La valeur de ses exportations atteint environ 3 milliards de dinars au cours des quatre premiers mois de 2025, selon les données du ministère de l’Industrie.

Les participants à la conférence ont présenté des exposés axés notamment sur la situation actuelle du secteur textile, la méthode de valoriser l’utilisation de l’eau dans les domaines connexes de l’industrie et du lavage, en plus des résultats de recherches scientifiques sur les technologies disponibles dans les centres de recherche tunisiens, et les méthodes modernes d’économie de l’eau permettant le recyclage de l’eau usée.

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Tunisie : Publication au JORT de la loi interdisant la sous-traitance et renforçant les CDI

La loi relative à l’organisation des contrats de travail et à l’interdiction du recours à la sous-traitance a été publiée, vendredi 23 mai 2025, au Journal officiel de la République tunisienne (JORT), dans son édition n°61, sous la référence législative n°9/2025.

Adopté par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) à l’aube du mercredi dernier, le texte, portant le n°16 de l’année 2025, a été voté à l’issue d’une séance plénière prolongée. Il a recueilli l’approbation de 121 députés, quatre s’étant abstenus, sans qu’aucune voix ne s’y oppose.

Le nouveau dispositif législatif, à portée structurante pour le droit du travail en Tunisie, introduit plusieurs dispositions transitoires majeures. L’article 6 énonce que les contrats à durée déterminée (CDD) ne relevant pas des cas exceptionnels listés à l’article 6-4 nouveau du Code du travail seront automatiquement convertis en contrats à durée indéterminée (CDI), indépendamment de leur échéance initiale ou de la nature des prestations convenues.

Cette mesure s’applique aux contrats conclus avant l’entrée en vigueur de la loi, pour autant qu’ils soient encore en vigueur, ainsi qu’à ceux ayant été rompus après le 14 mars 2025. L’ancienneté acquise dans le cadre de ces contrats sera intégralement prise en compte dans le calcul de l’ancienneté globale, sous réserve de la continuité de la relation de travail et de l’absence d’interruption excédant une année.

L’article 7 stipule par ailleurs que les périodes d’essai prévues dans les contrats signés avant la promulgation de la loi demeurent valables, à condition qu’elles ne dépassent pas une durée de six mois.

L’article 8 dispose en ce sens que les travailleurs engagés via des mécanismes de sous-traitance de main-d’œuvre — désormais proscrits — ainsi que les agents recrutés de manière permanente par les établissements publics à caractère industriel, commercial ou agricole, seront considérés comme intégrés de plein droit aux effectifs de l’entité bénéficiaire à compter de l’entrée en vigueur de la loi.

Dans ces cas, l’ancienneté acquise dans le cadre de ces engagements est consolidée pour le calcul de l’ancienneté globale, à condition que la relation de travail avec la structure bénéficiaire ait été continue et sans interruption excédant une année.

L’article 9 introduit, en outre, un mécanisme de régularisation automatique : toute cessation d’un CDD, qu’elle soit le fait de l’employeur ou consécutive à l’interdiction de la sous-traitance, survenue entre le 6 mars 2024 et la date de mise en application de la loi, donne lieu à l’intégration directe du salarié au sein de l’entité concernée, dès lors que la durée de la relation contractuelle atteint quatre années ou plus.

En cas de manœuvres dilatoires de la part de l’employeur ou de l’organisme bénéficiaire, le salarié sera en droit de réclamer une indemnité d’intégration équivalente à deux mois de salaire par année d’ancienneté. Cette action devra être engagée dans un délai d’un an à compter de la date d’entrée en vigueur de la loi.

In fine, l’article 10 enjoint les établissements visés à l’article 30 nouveau du Code du travail à régulariser leur situation dans un délai maximal de trois mois à compter de l’entrée en vigueur du nouveau texte.

 

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