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Tunis abrite la 4ème édition Forum international de la RSE, les 28 et 29 mai

La 4ème édition du Forum international de la Responsabilité sociétale des entreprises – RSE (CSR Power Forum) sera organisée les 28 et 29 mai à Tunis, sur le thème « Repenser la stratégie RSE/ESG à l’ère de l’intelligence artificielle ».

Experts nationaux et internationaux, représentants d’entreprises publiques et privées, d’institutions étatiques, d’organisations internationales, et autres jeunes innovateurs y sont attendus pour discuter « des enjeux et des opportunités offertes par l’intelligence artificielle, en vue de réviser les stratégies de la RSE et les politiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) des entreprises ».

Dans cette optique, les participants débattront des enjeux liés à la gestion du capital humain, à la finance durable, au marketing responsable, ainsi qu’aix transitions énergétique et industrielle de 4.0 à 5.0, dans un monde en perpétuelle mutation.

Parallèlement, des ateliers de réflexion seront axés sur des thèmes variés, dont la cybersécurité et la résilience, le développement régional et la responsabilité des entreprises…

Par ailleurs, les lauréats du concours CSR Awards et les trois meilleures solutions innovantes proposées par les jeunes équipes ayant participé au Hackathon IA/RSE/ESG seront honorés, à cette occasion.

A rappeler que le Forum international de la RSE 2025, sera organisé par CSR Power Forum, en partenariat avec la Fédération tunisienne des sociétés d’assurance (FTUSA), Ernst & Young (EY Tower), le Conseil bancaire et financier (CBF), l’Association tunisienne pour l’intelligence artificielle (ATIA) et la Chambre régionale des femmes cheffes d’entreprise de l’Ariana (CRFCE).

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Forum international à Tunis : la RSE à l’ère de l’IA entre innovation, transition et impact sociétal

La 4ème édition du Forum International de la Responsabilité Sociétale des Entreprises -RSE (CSR Power Forum), sera organisé les 28 et 29 mai courant à Tunis, sous le thème “Repenser la stratégie RSE/ESG à l’ère de l’intelligence artificielle ».

Prendront part à ce Forum, des experts nationaux et internationaux, des entreprises publiques et privées, des institutions étatiques, des organisations internationales, des jeunes innovateurs… pour discuter des enjeux et des opportunités offertes par l’intelligence artificielle, en vue de réviser les stratégies de la RSE et les politiques environnementales, sociales, et de Gouvernance (ESG) des entreprises.

Ainsi, les participants débattront, en plénières, des enjeux liés à la gestion du capital humain, à la finance durable, au marketing responsable, ainsi qu’à la transition énergétique et celle industrielle de 4.0 à 5.0, dans un monde en perpétuelle mutation.

Des ateliers de réflexion seront axés sur des thèmes variés, dont la cybersécurité et la résilience, le développement régional et la responsabilité des entreprises…

Par ailleurs, les lauréats du concours CSR Awards et les trois meilleures solutions innovantes proposées par les jeunes équipes ayant participé au Hackathon IA/RSE/ESG seront honorés, à cette occasion.

Il est à rappeler que le Forum International de la RSE 2025, sera organisé par CSR Power Forum, en partenariat avec la Fédération Tunisienne des Sociétés d’Assurance (FTUSA), Ernst & Young (EY Tower), le conseil bancaire et financier (CBF), l’Association tunisienne pour l’intelligence artificielle (ATIA) et la chambre régionale des femmes cheffes d’entreprise de l’Ariana (CRFCE).

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L’UBCI réaffirme son engagement en faveur de l’inclusion en soutenant la 7ème édition du Festival international Handy Music en collaboration l’association IBSAR

Tunis, le 27 mai 2025 – Conformément à sa démarche RSE et à son engagement pour une société tunisienne inclusive, l’UBCI est heureuse d’avoir accompagné la 7ème édition du festival international Handy Music. Cet événement unique, qui s’est tenu du 15 au 18 mai 2025, a été organisé par l’association « IBSAR loisirs et culture pour les non et malvoyants » sous le thème porteur: “L’art sans limites, l’humain sans barrières”.

L’UBCI a été fière de s’associer à ce rendez-vous artistique, initié par l’association IBSAR en partenariat avec le Ministère des Affaires Culturelles, et l’ambassade de Suisse en Tunisie; qui met en lumière la créativité artistique des personnes en situation de handicap. Le festival a connu une belle édition internationale avec la participation de 13 pays : la Tunisie, l’Algérie, la Libye, la Mauritanie, le Maroc, le Sultanat d’Oman, l’Iran, l’Espagne, la Suisse, la France, la Pologne, le Portugal et l’Irak, dont plusieurs participaient pour la première fois.

Le soutien de l’UBCI au festival international Handy Music s’inscrit dans le cadre de sa politique RSE. La banque porte l’inclusion des personnes en situation de handicap, comme un axe important de l’inclusion sociale et de l’impact sociétal positif. En collaborant avec des associations tunisiennes comme IBSAR, l’UBCI souhaite contribuer à une société où chaque talent peut s’exprimer et trouver sa place.

Mehdi Farhat, Directeur de la RSE à l’UBCI a souligné à cette occasion que: « L’UBCI est heureuse d’avoir pu contribuer, aux côtés de l’association IBSAR, au succès du festival international Handy Music. Cet événement démontre avec force comment l’art peut unir et célébrer la diversité des talents. Soutenir de telles initiatives est au cœur de notre engagement citoyen pour une société plus inclusive et équitable, et nous sommes fiers de voir l’impact positif de ce festival. »

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Kia EV3 décroche les 5 étoiles aux crash-tests Euro NCAP

  • Kia EV3 a reçu la note maximale de 5 étoiles aux crash-tests Euro NCAP, dans sa version GT-Line ou équipé des packs DriveWise / DriveWise Plus*,
  • Les ADAS permettant d’atteindre la note maximale font appel à des caméras et des capteurs radar pour détecter les situations dangereuses et garantir au conducteur une totale sécurité de conduite,
  • Sans ces équipements, Kia EV3 a obtenu la note de 4 étoiles lors de ces mêmes crash-tests,
  • Extrêmement polyvalent, Kia EV3, le SUV compact 100% électrique de la marque, a été élu Voiture mondiale de l’année 2025.

Kia EV3 s’est vu décerner la note de sécurité maximale par Euro NCAP, principal organisme indépendant européen d’évaluation de la sécurité des véhicules.

Au sein de la gamme, les versions suivantes ont obtenu la note de 5 étoiles :

  • EV3 GT-Line (et toutes versions optionnelles)
  • EV3 Earth avec pack DriveWise Plus
  • EV3 avec pack DriveWise

Sans ces équipements optionnels le Kia EV3 a obtenu la note de 4 étoiles.

EV3 a démontré un haut niveau de performance lors de chacune des 4 étapes du processus de test Euro NCAP. Il a totalisé 83% pour la protection des adultes, 84% pour la protection des enfants, 78% pour celle des usagers vulnérables de la route dont les piétons (77% pour les versions 4 étoiles) et 78% dans la catégorie « Aide à la sécurité » (67% pour les versions 4 étoiles) Les aides à la conduite permettant d’atteindre la note maximale font appel à plusieurs caméras et capteurs radar pour détecter les situations dangereuses et garantir au conducteur une totale sécurité en conduite et lors des manœuvres de stationnement.

Lors de l’essai de choc latéral contre une barrière, EV3 s’est vu attribuer le nombre maximum de points pour la protection des occupants adultes. Lors de ce même test, le véhicule a également réussi à garantir une bonne protection de toutes les parties vitales du corps des mannequins représentant des passagers de six et dix ans. EV3 a également été salué pour son système de surveillance directe du conducteur (disponible de série) et son système eCall avancé qui alerte les services d’urgence en cas d’accident. EV3 doit également ses performances de sécurité à sa plateforme internationale modulaire électrique (E-GMP) à haute résistance et à la rigidité de sa structure de caisse.

« EV3 est un véhicule d’une grande polyvalence capable de s’adapter à tous les styles de vie, et cette note témoigne de sa capacité à protéger tout à la fois le conducteur, les passagers et les autres usagers de la route », déclare Pablo Martínez Masip, Vice-Président Marketing et Produit de Kia Europe. « Cette note décernée par Euro NCAP vient récompenser un véhicule déjà maintes fois salué par les médias, l’industrie et les clients. »

Kia EV3 s’avère suffisamment abordable et polyvalent pour devenir le principal véhicule du foyer. Ce SUV compact 100% électrique a été élu Voiture mondiale de l’année 2025 lors des World Car Awards 2025. Kia EV3 a également été distingué par les Women’s Worldwide Car of the Year 2025 (WWCOTY) Awards dans la catégorie des « SUV Compacts ». En outre, ce modèle a reçu de nombreuses distinctions en Europe tel que le prix « Best of the Best » dans la section Design produit des Red Dot Awards 2025 et s’est classé parmi les finalistes du prestigieux prix de la Voiture européenne de l’année 2025. Kia EV3 revendique une autonomie de 605 km**, soit la meilleure du segment, et affiche un design intérieur des plus innovants qui maximise l’espace, le confort et l’accessibilité.

* Les pack optionnels DriveWise (sur EV3) et DriveWise Plus (sur EV3 Earth) comprennent le freinage d’urgence autonome, l’assistant à la conduite sur autoroute de niveau 2 (HDA 2.0), le système anticollision avec détection des angles morts (BCA) et d’autres assistances comme la caméra 360° ou encore l’aide au stationnement à distance.

** L’autonomie de 605 km correspond à celle de la version de EV3 équipée de la batterie de 81,4 kWh. La version avec batterie de 58,3 kWh affiche quant à elle une autonomie de 436 km. La consommation et les émissions ont été déterminées selon la procédure d’essai mondiale harmonisée pour les voitures particulières et véhicules utilitaires légers (WLTP). Le style de conduite individuel ainsi que d’autres facteurs externes peuvent affecter l’efficacité réelle du véhicule.

Site web : Kia

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La BIAT sacrée Meilleure Banque sur le marché de change en Tunisie en 2025 par Global Finance

Tunis, le 26 mai 2025 – La BIAT a obtenu la récompense bancaire « Meilleure banque sur le marché de change en Tunisie » au titre de l’année 2025 décernée par le magazine international de renom Global Finance. Ce prix salue la performance continue de la BIAT sur le marché de change.

 La BIAT est fière d’annoncer sa distinction en tant que « Meilleure Banque sur le marché de change en Tunisie » pour l’année 2025, décernée pour la cinquième année consécutive par le prestigieux magazine Global Finance dans le cadre des Gordon Platt Foreign Exchange Awards.

Cette reconnaissance met en lumière l’expertise de la BIAT sur le marché de change, sa capacité à offrir des solutions innovantes et adaptées aux besoins de sa clientèle, ainsi que son engagement constant envers l’excellence opérationnelle.

Le jury éditorial de Global Finance a évalué les banques candidates selon plusieurs critères quantitatifs et qualitatifs, notamment : le volume des transactions en devises, la part de marché et l’étendue de la couverture géographique, la qualité du service client, la compétitivité des prix et l’innovation technologique.

« Les meilleures banques de change 2025 de Global Finance ont fait preuve d’une expertise, d’une résilience et d’une innovation exceptionnelles dans le secteur des changes, apportant constamment de la valeur et de la fiabilité à leurs clients dans le monde entier dans une période d’incertitude économique mondiale et de progrès technologiques rapides » a déclaré Joseph Giarraputo, fondateur et directeur éditorial de Global Finance dans un communiqué sur le site du magazine. (https://gfmag.com/award/press-release-global-finance-names-the-worlds-best-fx-banks-2025-as-part-of-the-gordon-platt-foreign-exchange-awards/ )

La BIAT figure parmi les 15 banques africaines récompensées pour leurs performances exceptionnelles sur le marché de change.

Cette reconnaissance internationale vient s’ajouter aux nombreuses distinctions reçues par la BIAT ces dernières années, consolidant sa quête continue d’excellence et sa position d’acteur de référence dans le secteur bancaire tunisien et régional.

Pour rappel, la BIAT s’est dotée en juin 2022 d’une nouvelle salle des marchés au sein de son siège social, qui répond aux standards internationaux et allie expertises pointues, dernières technologies, aménagement moderne et ergonomique. Un nouveau système d’information a été mis en place couvrant l’ensemble des métiers de la salle des marchés : le front, le middle et le back office ainsi que la gestion des risques. Ce qui a permis d’élargir la gamme des solutions financières proposées tout en assurant une meilleure gestion en temps réel des positions et des actifs. La capacité de la nouvelle salle des marchés a considérablement augmenté et compte aujourd’hui 42 positions.

A propos de la BIAT :

Banque universelle, acteur de référence en Tunisie, la BIAT constitue aujourd’hui un groupe bancaire solide avec ses filiales dans les domaines de l’assurance, de la gestion d’actifs, du capital-investissement, de l’intermédiation boursière et du conseil. Implantée sur tout le territoire, la BIAT compte aujourd’hui 206 agences à travers toute la Tunisie. Près de 2000 collaborateurs travaillent au service de tous ses clients : particuliers, professionnels, PME, grandes entreprises et institutionnels.

Très attentive à sa responsabilité sociétale, la BIAT a traduit son positionnement citoyen par de nombreux engagements. La création de la Fondation BIAT pour la jeunesse tunisienne, au printemps 2014, en est emblématique et ancre cet engagement de façon pérenne. www.biat.com.tn

Site web : BIAT

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Registre National des Entreprises : un pilier du tissu économique tunisien

Créé en 2019, le RNE renforce la transparence des transactions économiques et financières. Une structure en pleine digitalisation pour assurer aux documents de l’entreprise une valeur probante. Et qui a le vent en poupe. En témoigne la hausse du nombre d’immatriculations.

C’est une institution clé du tissu économique tunisien. Il s’agit du Registre National des Entreprises (RNE). « Ce Registre est géré par une entreprise publique qui porte le nom de Centre National du Registre des Entreprises (CNRE), directement rattachée à la présidence du gouvernement ». C’est ce qu’assure Adel Chouari, directeur général de l’institution.

Le Centre dispose, dans l’accomplissement de ses missions, d’une autonomie de fait sur les plans administratif et financier et est géré par un Conseil d’entreprises. La création du CNRE s’inscrit dans le cadre global d’un projet de réforme du Registre du commerce qui date de plus d’un siècle. Les premiers registres délivrés remontent à 1894.

Le Registre du commerce a connu, au fil des temps, de nombreux amendements. Le Code du commerce, qui a pour objet de gérer le Registre, est promulgué en 1959. En 1995, c’est l’année où on voit le premier texte indépendant qui a invité toutes les anciennes entreprises et les commerçants à se réimmatriculer. La loi 44-95 marque le vrai début du Registre dans sa version moderne. Puis, il y a eu l’amendement de 2010, qui a apporté de nombreuses modifications et actualisations au niveau du texte de 1995.

Lutte contre l’évasion fiscale

Mais il faudra attendre la promulgation de la loi 52 de 2018 relative au Registre National des Entreprises, pour qu’elle mette notamment en œuvre la bonne gouvernance, les bonnes pratiques en matière de transparence et l’accès à l’information. Autant de nouvelles idées et de concepts nés dans le contexte de la révolution. Il faut ajouter à cela l’accélération du phénomène de lutte contre l’évasion fiscale, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Ce sont autant de problématiques complexes auxquelles la Tunisie n’est pas insensible. Ceci s’est concrétisé par le développement progressif des relations de partenariat avec des organismes très importants comme l’OCDE (Organisation de la coopération et du développement économique) et le GAFI (Groupe d’action financière).

Cinq types d’opérateurs concernés

L’article 7 de la loi 52 de 2018 stipule que cinq types d’opérateurs doivent être inscrits au Registre du commerce où sont immatriculés les : commerçants, sociétés commerciales, associations, professions libérales et les artisans. Ils ont l’obligation d’être immatriculés au RNE.

Les chiffres indiquent une recrudescence des demandes d’immatriculation de chacune de ces catégories. Ainsi, la croissance est de 14,6 % entre le premier trimestre 2024 et celui de 2025, toutes catégories confondues. Entre 2023 et 2024, ce glissement s’exprime ainsi : sociétés (16,3 %), associations (45,9 %), professions libérales (1,3%), artisans (15 %), commerçants (8,3 %).

Une digitalisation en marche

Les projets ne manquent pas pour mettre la Tunisie au diapason des standards internationaux en la matière. Ainsi, la loi de finances de l’année 2025 autorise de générer la déclaration d’existence et d’une patente par voie électronique, un projet phare que le RNE envisage de mettre en œuvre en 2026. D’autres projets sont également prévus pour l’année 2025. A savoir : la création en ligne du statut d’entreprise; et le dépôt des états financiers en version data et le « RNE Corporate ». Ce dernier est un espace dédié au représentant légal des entreprises où sont centralisés les documents légaux de l’entreprise.

Le tout devant aboutir à terme à la possibilité de créer son entreprise en 24 heures, à condition que le dossier soit complet et conforme aux exigences.

CRF Tunisia 2025

Il est à noter que la Tunisie, à travers le Registre National des Entreprises, accueillera la conférence annuelle du Corporate Registers Forum (CRF), une association internationale regroupant des Registres d’entreprises à travers le monde, et ce du 7 au 10 octobre 2025. Plus de 150 représentants des Registres du commerce issus de 70 pays seront présents.

Cet article est disponible dans le mag de l’Economiste Maghrébin n° 920 du 21 mai au 4 juin 2025 

 

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Les défis commerciaux ne remettront pas en cause l’intégration économique mondiale

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les économies avancées ont poursuivi la libéralisation des échanges, considérant les marchés ouverts et la réduction des tarifs douaniers comme des piliers essentiels de la paix, de la prospérité et de l’intégration économique mondiale. L’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), puis l’Organisation mondiale du commerce (OMC), ont institutionnalisé cet agenda, contribuant à faire baisser les tarifs moyens mondiaux de niveaux à deux chiffres à des niveaux à un chiffre relativement bas. Ce mouvement s’est intensifié dans les années 1980 et 1990, avec l’essor de la pensée économique de l’offre favorable au libre marché, la chute du rideau de fer, et une nouvelle vague de mondialisation.

Le monde a assisté à une expansion rapide des chaînes d’approvisionnement mondiales, à l’intégration des marchés émergents, et à l’érosion progressive des barrières commerciales – perçues comme des forces positives pour la croissance, l’efficacité et la stabilité des prix. Durant cette période, le commerce extérieur a vu son importance passer de 14,4 % à 25,2 % du PIB mondial.

Cette évolution a commencé à se fissurer avec la crise financière mondiale de 2008 et l’élection de Donald Trump en 2016, dont la doctrine « America First » a réintroduit le protectionnisme au cœur de la politique économique américaine. Pourtant, bien que son premier mandat ait comporté des droits de douane ciblés et des escarmouches commerciales – notamment avec la Chine –, la dernière version de la politique commerciale de Trump marque une rupture bien plus radicale. Le 2 avril, jour désormais surnommé « Jour de la Libération », Trump a dévoilé un vaste ensemble de droits de douane qui a choqué les marchés mondiaux : les taux de droits de douane effectifs (ETR) des États-Unis sont passés de 2,9 % à 27,99 %, avant d’être modérés à 14 % après plusieurs séries d’exemptions. Cela représente tout de même une augmentation considérable, rapprochant les tarifs américains de ceux des années 1930.

Pour certains analystes et investisseurs, l’ampleur et la brutalité de cette hausse tarifaire américaine ne signifient pas seulement un arrêt de la libéralisation du commerce, mais peut-être la première tentative systématique de la renverser. Toutefois, selon nous, malgré les défis extraordinaires posés par la hausse des tarifs américains, plusieurs raisons nous incitent à l’optimisme et à croire que l’intégration économique mondiale restera résiliente face aux menaces actuelles de démondialisation. Trois facteurs principaux soutiennent cette position.

Premièrement, les objectifs et le mandat du nouveau paquet de droits de douane américains restent flous, augmentant les chances de résistance de la part des principaux acteurs du marché et des institutions. Si la rhétorique met en avant la réindustrialisation et le nationalisme économique, les cibles réelles de ces nouveaux tarifs sont ambiguës. Veut-on réduire le déficit commercial, relancer l’industrie locale, isoler les rivaux stratégiques ou simplement augmenter les recettes fédérales ? Ces objectifs ne sont pas toujours compatibles. Par exemple, des droits de douane généralisés qui augmentent les coûts des intrants peuvent nuire aux fabricants et consommateurs américains, contredisant ainsi le discours de relocalisation. Par ailleurs, cibler les alliés risque d’entraîner des représailles diplomatiques et de compliquer la coordination sur des dossiers tels que l’isolement des concurrents stratégiques ou l’accès aux matières premières critiques.

Les marchés ont vivement réagi à l’annonce des droits de douane du « Jour de la Libération » : les rendements des bons du Trésor américain ont grimpé, en raison des craintes d’un désancrage des anticipations d’inflation et d’une perte de crédibilité de la politique économique. Cela reflète non seulement le scepticisme des investisseurs, mais crée aussi des contraintes économiques réelles, car des coûts d’emprunt plus élevés freinent la croissance et compliquent la politique budgétaire. À l’inverse, les marchés ont fortement rebondi lorsque la nouvelle administration américaine a fait preuve de plus de souplesse et de pragmatisme en accordant des exemptions. En outre, la base juridique de ces droits de douane massifs pourrait être remise en question, la politique commerciale relevant traditionnellement du Congrès, et l’usage extensif de justifications fondées sur la sécurité nationale pouvant être contesté devant les tribunaux. Combinées à une probable opposition judiciaire, parlementaire et du monde économique, ces pressions renforcent la probabilité d’un retour à une approche plus pragmatique, avec davantage d’exemptions, de suppressions et d’accords bilatéraux rapides pour limiter les effets négatifs.

Deuxièmement, les droits de douane sont des instruments relativement grossiers dans un monde défini par des chaînes d’approvisionnement complexes, le commerce numérique et la mobilité fluide des capitaux. Contrairement au milieu du XXe siècle, où les échanges étaient largement bilatéraux et où les produits étaient fabriqués de bout en bout dans un seul pays, les réseaux de production actuels sont profondément fragmentés et mondiaux. Un seul produit peut traverser plusieurs frontières au cours de son assemblage, diluant ainsi l’effet économique visé par des tarifs spécifiques à un pays. Les entreprises multinationales savent s’adapter rapidement, en réorganisant leurs approvisionnements, en redirigeant leurs expéditions ou en absorbant les coûts via des stratégies de prix internes. Le résultat : les droits de douane échouent souvent à relocaliser réellement la production, tout en augmentant potentiellement les coûts pour les consommateurs et entreprises locaux.

En outre, des outils de gestion comme les prix de transfert, les montages fiscaux et l’arbitrage juridictionnel permettent aux multinationales de réduire l’impact financier des droits de douane. En pratique, les entreprises trouvent des solutions plus rapidement que les décideurs politiques ne peuvent faire appliquer les règles. Plus l’économie mondiale est interconnectée, plus il est difficile d’imposer un protectionnisme sans provoquer de lourds dommages collatéraux.

Troisièmement, si les États-Unis érigent des barrières, le reste du monde va globalement dans la direction opposée. De l’Union européenne (UE) à l’Asie en passant par l’Amérique latine, la plupart des grandes économies continuent de considérer le commerce ouvert comme essentiel à leur modèle de croissance – et poursuivent activement une intégration plus poussée. Des exemples récents incluent le Partenariat régional économique global (RCEP) en Asie, les accords commerciaux en expansion de l’UE avec les partenaires sud-américains (Mercosur) et indo-pacifiques, ainsi que la Zone de libre-échange continentale africaine. Ces activités hors États-Unis représentent 73 % du PIB mondial et 87 % des flux commerciaux, renforçant un système commercial multipolaire capable de rester dynamique même sans leadership américain.

Le retrait des États-Unis pourrait même accélérer la coopération entre autres pays, ceux-ci cherchant à se prémunir contre les chocs protectionnistes et à préserver l’accès aux marchés. Par conséquent, les entreprises mondiales pourraient de plus en plus s’orienter vers des pôles alternatifs disposant de cadres commerciaux plus stables, réduisant l’attraction exercée par les tarifs américains.

En résumé, bien que l’ampleur des mesures tarifaires américaines récentes soit sans précédent – même après plusieurs séries d’exemptions – les forces qui soutiennent l’intégration économique mondiale demeurent solides. La pression des marchés, les contraintes juridiques, la capacité d’adaptation des entreprises, ainsi que l’engagement continu des grandes économies à maintenir l’ouverture, suggèrent que la mondialisation n’est pas en train de reculer, mais plutôt de se redéployer géographiquement et de se réorienter.

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29ème édition des prix littéraires COMAR D’OR : Les romans primés en langue française

Prix COMAR D’OR 2025 : « Ecris, tu seras aimé des dieux » de Mahdi Hizaoui   

Commentaire du jury pour le roman en langue française

« Le narrateur, alter ego de l’auteur, traîne un regard désabusé sur les êtres, les phénomènes et les choses. Sa vision du monde, aux accents philosophiques et aux tons ternes, donne lieu à réflexion d’ordre existentiel et ontologique, tout à la fois sévère, insolente et drôle. »

Édition : ARABESQUES

Prix Spécial du Jury 2025 : « LE VERT ET E BLEU » de Abdellatif Mrabet 

Commentaire du jury pour le roman en langue française

« Ce roman, structuré selon la technique de la mise abyme, met en scène un militant écologiste qui rentre au pays pour réaliser son projet et son rêve : entretenir avec passion la terre de ses parents située au cœur de l’oasis maritime de Gabès, pour la sauvegarde de laquelle il se dévoue corps et âme. »

Édition : Contraste Éditions

Prix Découverte 2025: « Écoute-moi ma fille » de Houda Mejdoub 

Commentaire du jury pour le roman en langue française

« À travers les récits entrecroisés de plusieurs personnages appartenant à trois générations, l’auteure analyse les relations complexes au sein de la famille, où les malentendus, les secrets et les non-dits n’interdisent pas l’amour qui triomphe. »

Édition : ARABESQUES

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Banque de Tunisie : Concours national pour un trophée symbolisant Abou El Kacem Chebbi

La Banque de Tunisie annonce l’ouverture d’un concours pour choisir un trophée innovant pour les lauréats du Prix Abou El Kacem Chebbi et pour les personnalités du monde de la culture et des arts qui se sont distinguées par leur apport et leur contribution.

Conditions de participation :

  • Le concours est ouvert à tous les artistes tunisiens professionnels et amateurs,
  • Chaque participant ne peut pas soumettre plus d’une maquette,
  • Chaque maquette soumise doit respecter les conditions techniques stipulées, le propriétaire de maquette précisant le matériau dans lequel il propose de réaliser son modèle (cristal taillé, métal plaqué, bronze etc…)

Spécifications requises des modèles participants :

  • Le trophée devant symboliser la vie et l’œuvre de l’illustre poète Abou El Kacem Chebbi,
  • La hauteur du modèle ne doit pas excéder 25 cm, et son socle (base) doit être proportionné à sa hauteur.

Un prix de trois mille dinars(3000dt) sera attribué à la maquette gagnante par un jury constitué à cet effet

Les maquettes participantes doivent être déposées au siège de l’administration du Prix Abou El Kacem Chebbi au 35 Avenue Habib Bougatfa 1005 Bab Saadoun Tunis.

Tel: 70 025 029

La date limite des dépôts des candidatures est fixée au 30 juin 2025.

Les résultats du concours seront annoncés dans la presse et sur le site Internet du Prix Abou El Kacem Chebbi/ Banque de Tunisie.

N.B: Les maquettes participantes ne seront pas retournées à leurs propriétaires

Site web : Banque Tunisie

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MEDIBAT 2025 – 18ème édition : Sous le signe de l’excellence !

Le premier grand rendez-vous du Bâtiment en Tunisie MEDIBAT a été ouvert ce matin à Sfax sous la présidence du Ministre de l’Equipement et de l’Habitat M. Slah Zouari, avec la participation d’environ 300 exposants tunisiens et étrangers et en présence de nombreuses délégations officielles et professionnelles internationales.

Magistralement organisée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Sfax (CCIS), la18ème édition du Salon Méditerranéen du Bâtiment MEDIBAT, se poursuivra du 21 au 24 mai 2025.

La cérémonie d’inauguration du Salon, haute en couleurs, a été marquée par la présence des ambassadeurs de Pologne et de Malte, et des représentants d’ambassades de l’Algérie, de la Libye, du Nigéria et d’Hongrie ainsi que de délégations d’hommes d’affaires et de Présidents de Chambres de Commerce de nombreux pays tels que l’Algérie, la Libye, le Cameroun, le Nigeria, le Sénégal, l’Afrique du Sud, le Congo Brazzaville, l’Egypte, la Jordanie, les Emirats Arabes Unis, la France, l’Allemagne, l’Italie, la Pologne, la Malaisie, la Chine en plus de la Tunisie.

L’on a enregistré, également, la présence d’invités de marque représentant la CPCCAF (Conférence Permanente des Chambres Consulaires Africaines et Francophones), la COMESA (Marché commun de l’Afrique orientale et australe) et la ZLECAF (Zone de libre-échange continentale africaine) …

Au-delà de la remarquable présence officielle, le salon s’est présenté comme une vaste aire d’exposition qui s’étend sur 10 mille mètres carrés avec une présence imposante des exposants et professionnels et des pavillons-pays à l’image de celui de la Libye s’étendant sur 360 mètres carrés, celui de l’Algérie s’étendant sur 200 mètres carrés, un pavillon pour l’Italie et un pavillon pour la Chine.

Relancer le secteur du bâtiment

Ouvrant officiellement la session, le ministre de l’équipement et de l’habitat M. Slah Zouari s’est félicité du rôle joué par le Salon et sa contribution dans la dynamisation du secteur du bâtiment et de l’économie de façon générale. Il a mis en valeur, aussi, l’intérêt que revêtent les forums et les manifestations parallèles à l’exposition et traitant des questions d’actualité telles que les nouveautés technologiques du secteur, l’économie verte et circulaire et la construction durable et intelligente. Il a, également, loué la participation libyenne et algérienne et les opportunités de coopération et d’échange avec les pays du continent africain qu’elle présente.

De son côté, le Président de la CCIS M. Habib Hammami, a mis en évidence les divers aspects et avantages que représente la 18ème édition de MEDIBAT dont en particulier la dimension maghrébine de la manifestation à travers le forum d’affaires Tuniso-algéro-libyen, qui permettra d’examiner les potentialités et les défis de ce niveau de coopération.

Il a ajouté que cette session se concentre sur les dernières méthodes scientifiques pour développer le secteur de la construction en utilisant les technologies de l’information et les technologies numériques modernes. Elle ouvre d’après lui également, un champ plus large à la coopération et aux partenariats avec l’Italie et la Pologne et, éventuellement, à travers eux, avec le reste de l’Union européenne.

Le Forum de l’Entrepreneuriat 

Première manifestation du Salon, le Forum : « Entreprendre dans le secteur de la construction et du bâtiment, Economie verte et Circulaire », a été inauguré par M. Hichem Elloumi, directeur général de la CCIS, qui a souligné l’importance du secteur de la construction en tant que pilier clé de l’économie nationale, considérant que l’économie verte et circulaire contribue à la bonne utilisation des ressources pour assurer un développement durable.

Le forum, qui a été clôturé par le ministre de l’Equipement et de l’Habitat, a comporté une série de sessions scientifiques qui ont abordé plusieurs questions telles que l’économie verte et circulaire au niveau national dans le secteur de la construction et au niveau mondial, les mécanismes de financement, d’accompagnement et de formation pour promouvoir la construction verte et l’économie circulaire, la présentation des finalistes du concours organisé par la CCIS pour les meilleures nouvelles start-ups dans le secteur de la construction verte durable, ainsi que des rencontres de partenariat et la présentation de mécanismes de financement.

Coopération Tuniso- Polonaise 

Par ailleurs, la journée d’ouverture du Salon a vu l’organisation d’un forum sur le partenariat tuniso-polonais dans le domaine de la construction en présence de l’ambassadrice de Pologne en Tunisie, Mme Justyna Porazinska, du Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Sfax, Habib Hammami, et d’un certain nombre d’acteurs économiques.

Dans son discours d’ouverture, l’ambassadrice a salué le développement des relations entre les deux pays au cours des dix dernières années, notamment au niveau économique, où le volume des échanges commerciaux a augmenté de 10 % entre 2023 et 2024. Elle a également évoqué l’attractivité du climat des affaires en Pologne et le développement du secteur de la construction, notamment en ce qui concerne l’utilisation de technologies modernes et de solutions innovantes. L’ambassadrice a mentionné l’existence d’un cadre juridique favorable à la coopération entre les deux pays et a appelé à l’intensification des missions économiques pour explorer les opportunités de partenariat dans différents secteurs.

 Le Directeur général de la CCIS

 Hichem Elloumi

Site web : Medibat

                                                                                                         

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MEDIBAT 2025 – 18ème édition : Haut en couleurs !

Le premier grand rendez-vous du Bâtiment en Tunisie MEDIBAT a été ouvert ce matin à Sfax sous la présidence du Ministre de l’Equipement et de l’Habitat M. Slah Zouari, avec la participation d’environ 300 exposants tunisiens et étrangers et en présence de nombreuses délégations officielles et professionnelles internationales.

Magistralement organisée par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Sfax (CCIS), la 18ème édition du Salon Méditerranéen du Bâtiment MEDIBAT, se poursuivra du 21 au 24 mai 2025.

La cérémonie d’inauguration du Salon, haute en couleurs,  a été marquée par la présence des ambassadeurs de Pologne et de Malte et des représentants d’ambassades de l’Algérie, de la Libye, d’Hongrie et du Nigéria, ainsi que de délégations d’hommes d’affaires et de Présidents de Chambres de Commerce de nombreux pays tels que l’Algérie, la Libye, le Cameroun, le Nigeria, le Sénégal, l’Afrique du Sud, le Congo Brazzaville, l’Egypte, la Jordanie, les Emirats Arabes Unis, la France, l’Allemagne, l’Italie, la Pologne, la Malaisie, la Chine en plus de la Tunisie.

L’on a enregistré, également, la présence d’invités de marque représentant la CPCCAF (Conférence Permanente des Chambres Consulaires Africaines et Francophones), la COMESA (Marché commun de l’Afrique orientale et australe) et la ZLECAF (Zone de libre-échange continentale africaine) …

Au-delà de la remarquable présence officielle, le salon s’est présenté comme une vaste aire d’exposition qui s’étend sur 10 mille mètres carrés avec une présence imposante des exposants et professionnels et des pavillons-pays à l’image de celui de la Libye s’étendant sur 360 mètres carrés, celui de l’Algérie s’étendant sur 200 mètres carrés, un pavillon pour l’Italie et un pavillon pour la Chine.

Relancer le secteur du bâtiment

Ouvrant officiellement la session, le ministre de l’équipement et de l’habitat M. Slah Zouari s’est félicité du rôle joué par le Salon et sa contribution dans la dynamisation du secteur du bâtiment et de l’économie de façon générale. Il a mis en valeur, aussi, l’intérêt que revêtent les forums et les manifestations parallèles à l’exposition et traitant des questions d’actualité telles que les nouveautés technologiques du secteur, l’économie verte et circulaire et la construction durable et intelligente. Il a, également, loué la participation libyenne et algérienne et les opportunités de coopération et d’échange avec les pays du continent africain qu’elle présente.

De son côté, le Président de la CCIS M. Habib Hammami, a mis en évidence les divers aspects et avantages que représente la 18ème édition de MEDIBAT dont en particulier la dimension maghrébine de la manifestation à travers le forum d’affaires Tuniso-algéro-libyen, qui permettra d’examiner les potentialités et les défis de ce niveau de coopération.

Il a ajouté que cette session se concentre sur les dernières méthodes scientifiques pour développer le secteur de la construction en utilisant les technologies de l’information et les technologies numériques modernes. Elle ouvre d’après lui également un champ plus large à la coopération et aux partenariats avec l’Italie et la Pologne et, éventuellement, à travers eux, avec le reste de l’Union européenne.

Forum de l’Entrepreneuriat 

Première manifestation du Salon, le Forum : « Entreprendre dans le secteur de la construction et du bâtiment, Economie verte et Circulaire », a été inauguré par M. Hichem Elloumi, directeur général de la Chambre, qui a souligné l’importance du secteur de la construction en tant que pilier clé de l’économie nationale, considérant que l’économie verte et circulaire contribue à la bonne utilisation des ressources pour assurer un développement durable.

Le forum, qui a été clôturé par le ministre de l’Equipement et de l’Habitat, a comporté une série de sessions scientifiques qui ont abordé plusieurs questions telles que l’économie verte et circulaire au niveau national dans le secteur de la construction et au niveau mondial, les mécanismes de financement, d’accompagnement et de formation pour promouvoir la construction verte et l’économie circulaire, la présentation des finalistes du concours organisé par la Chambre pour les meilleures nouvelles start-ups dans le secteur de la construction verte durable, ainsi que des rencontres de partenariat et la présentation de mécanismes de financement.

Partenariat tuniso-polonais

Par ailleurs, la journée d’ouverture du Salon a vu l’organisation d’un forum sur le partenariat tuniso-polonais dans le domaine de la construction en présence de l’ambassadrice de Pologne en Tunisie, Justyna Porazinska, du Président de la Chambre de commerce et d’industrie de Sfax, Habib Hammami, et d’un certain nombre d’acteurs économiques.

Dans son discours d’ouverture, l’ambassadrice a salué le développement des relations entre les deux pays au cours des dix dernières années, notamment au niveau économique, où le volume des échanges commerciaux a augmenté de 10 % entre 2023 et 2024. Elle a également évoqué l’attractivité du climat des affaires en Pologne et le développement du secteur de la construction, notamment en ce qui concerne l’utilisation de technologies modernes et de solutions innovantes. L’ambassadrice a mentionné l’existence d’un cadre juridique favorable à la coopération entre les deux pays et a appelé à l’intensification des missions économiques pour explorer les opportunités de partenariat dans différents secteurs.

Mohamed Sami KECHAOU                                                                   

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