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Rallye de la Kehna : Un défi automobile historique pour les Tunisiennes

Le Rallye de la Kehna, une compétition automobile exclusivement réservée aux femmes, se tiendra le samedi 31 mai 2025 en Tunisie. Ouvert à toutes les détentrices d’un permis de conduire (voiture, bus ou poids lourds), cet événement inédit partira de Tunis pour rejoindre Zaghouan, puis Hammamet, où se déroulera la remise des prix.

Organisé sous le thème « 100% femmes au volant », ce rallye vise à promouvoir la place des Tunisiennes dans le sport automobile. « Notre objectif est de montrer que les femmes peuvent exceller dans des domaines traditionnellement masculins », a déclaré Ibtissem Rajhi, l’organisatrice, à l’agence TAP.

Les participantes devront suivre une feuille de route précise, où le respect du code de la route sera un critère clé pour la victoire. L’événement est soutenu par le ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfance, ainsi que par la Fédération tunisienne de l’automobile.  Ce rallye pionnier s’annonce comme un moment marquant pour le sport mécanique tunisien, offrant aux passionnées de conduite l’occasion de participer à une compétition unique en son genre.

 

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Marokko – Investitionen: Warum der Golfstaat kommt und Europa zögert

DeutschlandDer milliardenschwere Megadeal zwischen Marokko und den Vereinigten Arabischen Emiraten wirft Fragen auf: Warum engagiert sich Europa, und insbesondere Wirtschaftsmacht Deutschland, nicht in ähnlichem Maße an solchen strategischen Großprojekten in Nordafrika? Eine tiefere Analyse zeigt, dass die Gründe weit über die oberflächliche Betrachtung von politischer Stabilität hinausgehen. Rabat/Abu Dhabi – Die MAGHREB-POST erreichten in den […]

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Le colonel-major Faiez Ben Rejeb nommé Dg de l’Office de Rjim Maâtoug

Le colonel-major Faiez Ben Rejeb, relevant du ministère de la Défense nationale,  a été nommé au poste de directeur général de l’Office de Rjim Maâtoug pour le développement du Sud et du Sahara; nomination officialisée par la publication au Journal officiel de la République tunisienne (Jort) du vendredi 23 mai 2025.

A rappeler au passage que ledit office a été créé par la loi de finances de 1989, datée du 31 décembre 1988.

Le décret n°247 du 8 mai 2025, paru dans le Journal officiel n°54, a modifié l’appellation « Office de développement de Rjim Maâtoug », qui devient désormais « Office de Rjim Maâtoug pour le développement du Sud et du Sahara ».

Le même décret a également élargi les missions de l’établissement pour mieux accompagner les efforts de développement dans les régions concernées entrepris, comme le rappelle un site de la place.

En effet, l’Office est désormais chargé de « contribuer à la mise en œuvre de projets de développement dans le Sud et le Sahara, en coordination avec les ministères, les collectivités locales et les institutions publiques ». En outre, « il soutient également le développement des ressources en eau, des oasis, de l’élevage, des énergies renouvelables, des industries locales (verre, plâtre, pharmaceutique), ainsi que la promotion du tourisme saharien, des cures naturelles, du commerce local et de la biodiversité ».

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One Tech Holding : des fondamentaux solides et un cachet international affirmé

Dans une note publiée vendredi 23 mai 2025, et consacrée à One Tech Holding, Tunisie Valeurs revient sur la communication financière animée par le PDG du groupe, Hédi Sellami, qui a présenté les réalisation du groupe en 2024, et les perspectives pour les prochaines années.

2024 aura été l’année de l’atterrissage en douceur pour ONE TECH HOLDING. Le groupe spécialisé dans la Câblerie, la Mécatronique et les technologies de l’information et de la communication a dû faire face à un environnement opérationnel exigeant sur l’année dernière.
Tensions géopolitiques, ralentissement de la croissance mondiale, baisse du marché automobile en Europe, demande en berne sur les secteurs industriels et du bâtiment, des conditions financières contraignantes sur les marchés servis, volatilité des prix des matières premières, alourdissement de la pression fiscale en Tunisie et appréciation du dinar face à la devise européenne… tels sont les défis qui ont été surmontés par ONETECH au cours de l’année écoulée.
La note fait état d’une résistance salutaire au niveau de l’activité d’exploitation et une baisse « conjoncturelle » au niveau du bottom line. En réalité, 2024 aura été une année de transition pour OTH.
Le projet de transformation « Challenge 2028 », annoncé depuis l’année dernière, commence à impacter positivement les différentes filiales du groupe à travers les synergies et les leviers d’améliorations opérationnels qui ont été déjà implémentés notamment au niveau du pôle Mécatronique.
OTH a annoncé, en avril dernier, la conclusion officielle d’un partenariat stratégique entre sa filiale FUBA (pôle Mécatronique), spécialisée dans la fabrication de circuits imprimés, et la société UNION GAIN ELECTRONIC TECHNOLOGY, acteur majeur de l’industrie électronique en Chine. Cet accord marque une nouvelle étape majeure dans le développement de FUBA et s’inscrit dans la stratégie d’expansion internationale du groupe ONETECH.
Dans le cadre de ce partenariat à forte valeur ajoutée, UNION GAIN procèdera à une entrée dans le capital de FUBA au moyen de trois augmentations de capital réservées successives, lui permettant de détenir avant la fin du T1 2027 une participation minoritaire de 33 %. Ce rapprochement vise à renforcer significativement la compétitivité de FUBA en combinant ses expertises technologiques, industrielles et commerciales à celles d’UNION GAIN et ouvre la voie à des opportunités de développement sur de nouveaux marchés, notamment en Europe et en Amérique du Nord, tout en consolidant la présence de FUBA sur ses marchés historiques.
En conjuguant leurs expertises respectives et leurs ressources, les deux partenaires entendent développer de nouvelles synergies industrielles et commerciales, au service de leurs clients et partenaires à l’échelle internationale.
Adossé à un bilan solide, OTH s’arme pour devancer ses concurrents. Le groupe poursuit sa montée en compétence technologique et s’organise pour maximiser les synergies entre ses métiers et ses filiales. S’inscrivant dans une optique de recentrage sur le « core-business », la cession de la participation d’OTH dans la société HELIOFLEX, réalisée en 2024, permettra à la société de concentrer ses ressources financières sur les activités stratégiques, de parfaire son programme d’investissement, notamment, dans les technologies de pointe, et de renforcer son positionnement sur les marchés en relation avec ces activités.
La finalité stratégique du groupe est de monter en chaîne de valeur en intégrant le design et l’engineering produit pour passer à un fournisseur direct de modules complets et intelligents, avec des softwares embarqués pour les grands donneurs d’ordre dans tous les secteurs (non seulement dans les secteurs automobile, industriels et aéronautique mais également dans les secteurs de la santé, des produits blancs et des compteurs intelligents).
A travers son programme de transformation stratégique « Challenge 2028 », le groupe OTH cultive une ambition claire : devenir un leader technologique régional d’ici 2028.
Les analystes de Tunisie Valeurs pensent que le retour en grâce boursier est à la portée de main d’OTH. L’intermédiaire en Bourse continue à recommander un positionnement sur le titre sur un horizon de placement à moyen et long terme. De manière plus générale, Tunisie Valeurs se montre, dans cette conjoncture, plus confortable avec les grandes sociétés, non cantonnées à leur marché domestique et affichant un faible endettement.
OTH répond à ces critères et constitue, par conséquent, une opportunité d’investissement. Le cachet international d’OTH, la solidité de ses fondamentaux et son double profil : croissance (activité Mécatronique) /vache à lait (activité Câblerie) resteront les avantages comparatifs du groupe dans une conjoncture boursière où le «Flight -To-Quality» prévaut.
Tunisie Valeurs réitère sa recommandation à l’Achat sur OTH.

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Nous avons lu pour vous – En 2033, l’IA pèsera 4 800 milliards de dollars

L’intelligence artificielle (IA) s’impose comme la technologie pivot de la prochaine décennie. Selon le Rapport 2025 sur la technologie et l’innovation publié par la CNUCED, le marché mondial de l’IA devrait exploser, passant de 189 milliards de dollars en 2023 à 4 800 milliards d’ici 2033. Une croissance fulgurante, multipliée par 25 en dix ans.

En parallèle, la part de l’IA dans le marché des technologies de pointe bondira de 7 % à 29 %, la hissant au rang de technologie dominante dans les années à venir. Mais cette révolution technologique pose un défi majeur : elle risque de creuser encore davantage les inégalités mondiales.

La domination de quelques puissances


En 2022, 100 entreprises seulement – essentiellement américaines et chinoises – concentraient 40 % des investissements mondiaux en recherche et développement dans l’IA. Les États-Unis et la Chine détiennent aujourd’hui 60 % des brevets et produisent un tiers des publications scientifiques dans ce domaine.

Le développement de l’IA est donc non seulement rapide, mais aussi massivement concentré dans les mains de quelques géants économiques et technologiques, laissant peu de place aux pays en développement. L’IA bouleverse déjà les chaînes de valeur : création de contenu, service client, automatisation des processus, design produit… Tous les secteurs sont impactés.

Au niveau mondial, environ 40 % des emplois sont concernés. Les pays développés sont les plus exposés à l’automatisation (jusqu’à un tiers des emplois), mais aussi les mieux équipés pour tirer profit de l’IA. Dans ces pays, 27 % des postes pourraient être renforcés grâce à cette technologie, générant des gains de productivité importants.

Les pays du Sud doivent accélérer

Face à ces mutations, la CNUCED tire la sonnette d’alarme : les pays en développement doivent repenser leur modèle industriel en intégrant l’IA comme levier stratégique. En 2023, seuls 30 % des pays en développement (hors pays les moins avancés) disposaient d’une stratégie nationale IA, contre deux tiers dans les économies avancées. Le rapport insiste sur trois piliers à prioriser : 

Les infrastructures : garantir un accès équitable à l’électricité, à Internet et aux capacités de calcul. 

Les données : promouvoir les données ouvertes et l’interopérabilité. 

Les compétences : former massivement à l’IA, dès l’école primaire et tout au long de la vie.


L’IA ne connaît pas de frontières, mais sa gouvernance reste inégalitaire. Seuls les pays du G7 participent à toutes les grandes initiatives internationales sur l’IA. 118 pays, majoritairement en développement, n’ont aucun siège à la table des décisions.

Le rapport appelle à une coopération internationale renforcée, à une gouvernance inclusive, éthique et centrée sur l’humain. Objectif : éviter que l’IA ne serve les intérêts de quelques-uns, au détriment du plus grand nombre.

Une nouvelle fracture numérique ?

Les chiffres sont éloquents : Apple, Microsoft ou Nvidia affichent des capitalisations boursières dépassant les 3 000 milliards de dollars chacune, soit l’équivalent du PIB de tout le continent africain. Une disproportion qui illustre la concentration de la richesse et du pouvoir dans le secteur technologique.

À moins d’un sursaut stratégique et coopératif, l’IA pourrait devenir un facteur d’exclusion plutôt que d’inclusion.

 Le Rapport de la CNUCED envoie un message clair : l’IA n’est pas qu’un enjeu technique ou économique, c’est une question de justice mondiale.

 

Source : Social Netlink.org

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Marokko – Megadeal zw. Rabat und Abu Dhabi ordnet die Region neu.

KönigDiskrete Verhandlungen und das Eingreifen des Königs machen nun Investitionen in Milliardenhöhe möglich. Ein gigantisches Investitionsprogramm zwischen Marokko und den Vereinigten Arabischen Emiraten soll die Zukunft des Königreichs neu gestalten und Abu Dhabi Rendite erwirtschaften. Rabat/Abu Dhabi – Am 19. Mai 2025 wurde in Marokko ein Finanzierungs- und Infrastrukturdeal verkündet, der das Land grundlegend verändern […]

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Délice Holding, une résilience confirmée, une stratégie payante

Malgré une conjoncture économique difficile, marquée par les tensions géopolitiques, les aléas climatiques, une inflation persistante et la baisse du pouvoir d’achat du consommateur tunisien, le groupe Délice a atteint, en 2024, des jalons importants et a réalisé des performances records, qui consolident les acquis des exercices précédents. Cette performance témoigne de la pertinence de la stratégie de développement mise en place par le management et de la robustesse du modèle d’affaires du groupe. C’est ce qu’indique une étude de Tunisie Valeurs.

L’année 2024 marque le 10e anniversaire de l’introduction en Bourse de Délice Holding, un véritable tournant qui a donné un nouvel élan au groupe, poursuit l’étude. Cette décennie a été marquée par des réalisations remarquables, des défis surmontés et des opportunités saisies.
Sur le plan des performances financières, depuis l’introduction en Bourse, les revenus consolidés de Délice Holding ont enregistré un taux de croissance annuel moyen de 8,2%, et le résultat net part du groupe a été multiplié par 4 x. Ces performances sont le fruit d’une stratégie de diversification réfléchie, d’un effort d’investissement dans l’innovation et la qualité, et d’un travail de longue haleine pour renforcer l’efficacité opérationnelle. La capacité du groupe à innover et à s’adapter lui permet de rester compétitif et de continuer à croître dans un environnement en constante évolution.
Les efforts d’investissement dans l’innovation, dans l’élargissement de la gamme de produits, dans l’augmentation des capacités de transformation et dans l’optimisation de l’efficacité opérationnelle déployés sur les dernières années devraient permettre au groupe de réduire sa dépendance envers le lait subventionné, de consolider son positionnement sur le segment des produits laitiers frais, locomotive de rentabilité du groupe, et de monter en puissance sur les« boissons » en accélérant le virage de l’eau minérale.
La croissance des prochaines années devrait être alimentée par les investissements de capacité dans les segments les plus rentables (pôles Lait, Produits laitiers frais, Fromages et Eaux minérales) ainsi que les investissements de productivité et de maîtrise de l’énergie, qui auront un effet bénéfique sur les marges.
Délice continue à percevoir la subvention de l’État sur le lait demi-écrémé malgré les difficultés des finances publiques. Il a mis en place une gestion centralisée de la trésorerie et des solutions de financement intragroupe.
Résultat des courses : Délice est entré dans une phase de désendettement et de génération de cash-flows qui continue à conforter sa trésorerie et à réduire sensiblement le poids de ses charges financières nettes. Par ailleurs, le groupe a honoré sa promesse faite lors de l’AGO de l’année dernière, distribuant un dividende par action record de 1 dinar, ce qui témoigne de la volonté de Délice Holding de gratifier ses actionnaires.
Le titre a affiché un retournement de tendance favorable depuis 2024, saluant les performances opérationnelles robustes du groupe, sa solidité bilancielle et le relèvement des dividendes. Le rehaussement des dividendes sur les dernières années et le split de l’action approuvés cette année témoignent de la volonté de Délice de récompenser la fidélité des actionnaires, et traduisent la confiance du management dans les perspectives de développement du groupe.
La valorisation actuelle de Délice Holding offre un point d’entrée intéressant sur un major de l’industrie laitière et des boissons, en pleine phase de consolidation/diversification et aux fondamentaux solides.
Tunisie Valeurs réitère sa recommandation à l’achat sur Délice Holding.

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Marokko – Afrika rückt mehr in den Fokus der deutschen Wirtschaftspolitik

AfrikaBerlin feiert den Afrikatag: Marokko erneut im Vorsitz, Partnerschaften im Zeichen strategischer Neuausrichtung Berlin – Zum dritten Mal in Folge hat Marokko den Vorsitz bei den Feierlichkeiten zum Afrikatag in Berlin übernommen. Die diesjährige Veranstaltung stand unter dem Motto „Deutsche Investitionen in Afrika: Herausforderungen und Perspektiven“ und wurde von der marokkanischen Botschafterin in Deutschland, Frau […]

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Marokko – Neue Kredite für Stromnetz aus Europa

EnergieUnterstützung für die Energiewende – 300 Mio. Euro für Energiesicherheit und Klimaschutz – EU und Deutschland stellen Finanzmittel für marokkanische Strominfrastruktur bereit. Rabat – Die marokkanische Behörde für Elektrizität und Trinkwasser (ONEE) erhält eine bedeutende finanzielle Unterstützung in Form von Krediten in Höhe von 300 Mio. Euro zur Modernisierung und Stärkung des nationalen Stromnetzes. Die […]

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Météo : pluies et légère baisse des températures le 24 mai 2025

Selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie, des nuages parfois denses avec des pluies éparses, temporairement orageuses et localement intenses sur le nord, le centre, et par endroits dans le sud, avec des chutes de grêle par endroits isolés sont attendus ce samedi 24 mai.

Les températures connaîtront une légère baisse, avec des maximales comprises entre 20 et 25°C au nord, au centre et au sud-est, autour de 17°C sur les hauteurs de l’ouest, et entre 26 et 30°C ailleurs dans le pays.

Quant au vent, il soufflera du secteur nord, fort près des côtes, sur les hauteurs et dans le sud avec des tourbillons de sable locaux, et modéré ailleurs. La mer sera très agitée.

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Parution au JORT de la loi encadrant les contrats de travail et interdisant la sous-traitance

La loi relative à l’organisation des contrats de travail et à l’interdiction du recours à la sous-traitance a été publiée, vendredi 23 mai 2025, au Journal officiel de la République tunisienne (JORT), dans son édition n°61, sous la référence législative n°9/2025.

Adopté par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) à l’aube du mercredi dernier, le texte, portant le n°16 de l’année 2025, a été voté à l’issue d’une séance plénière prolongée. Il a recueilli l’approbation de 121 députés, quatre abstentions, sans qu’aucune voix ne s’y oppose.

Le nouveau dispositif législatif, à portée structurante pour le droit du travail en Tunisie, introduit plusieurs dispositions transitoires majeures. L’article 6 énonce que les contrats à durée déterminée (CDD) ne relevant pas des cas exceptionnels listés à l’article 6-4 nouveau du Code du travail seront automatiquement convertis en contrats à durée indéterminée (CDI), indépendamment de leur échéance initiale ou de la nature des prestations convenues.

Lire aussi : Avec la réforme du code du travail, un « lendemain radieux » attend les Tunisiens 

Cette mesure s’applique aux contrats conclus avant l’entrée en vigueur de la loi, pour autant qu’ils soient encore en vigueur, ainsi qu’à ceux ayant été rompus après le 14 mars 2025. L’ancienneté acquise dans le cadre de ces contrats sera intégralement prise en compte dans le calcul de l’ancienneté globale, sous réserve de la continuité de la relation de travail et de l’absence d’interruption excédant une année.

L’article 7 stipule par ailleurs que les périodes d’essai prévues dans les contrats signés avant la promulgation de la loi demeurent valables, à condition qu’elles ne dépassent pas une durée de six mois.

L’article 8 dispose en ce sens que les travailleurs engagés via des mécanismes de sous-traitance de main-d’œuvre — désormais proscrits — ainsi que les agents recrutés de manière permanente par les établissements publics à caractère industriel, commercial ou agricole, seront considérés comme intégrés de plein droit aux effectifs de l’entité bénéficiaire à compter de l’entrée en vigueur de la loi.

Dans ces cas, l’ancienneté acquise dans le cadre de ces engagements est consolidée pour le calcul de l’ancienneté globale, à condition que la relation de travail avec la structure bénéficiaire ait été continue et sans interruption excédant une année.

L’article 9 introduit, en outre, un mécanisme de régularisation automatique : toute cessation d’un CDD, qu’elle soit le fait de l’employeur ou consécutive à l’interdiction de la sous-traitance, survenue entre le 6 mars 2024 et la date de mise en application de la loi, donne lieu à l’intégration directe du salarié au sein de l’entité concernée, dès lors que la durée de la relation contractuelle atteint quatre années ou plus.

Lire également: Riadh Chaabouni Zghal: « La sous-traitance, une question scientifique »

En cas de manœuvres dilatoires de la part de l’employeur ou de l’organisme bénéficiaire, le salarié sera en droit de réclamer une indemnité d’intégration équivalente à deux mois de salaire par année d’ancienneté. Cette action devra être engagée dans un délai d’un an à compter de la date d’entrée en vigueur de la loi.

In fine, l’article 10 enjoint les établissements visés à l’article 30 nouveau du Code du travail à régulariser leur situation dans un délai maximal de trois mois à compter de l’entrée en vigueur du nouveau texte.

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Le congrès d’Al Massar n’est pas annulé, assure Gharsellaoui

Le secrétaire général du « Parti al Massar », Badr Eddine Gharsellaoui, a affirmé que le premier congrès national du parti se tiendra, comme prévu, les 24 et 25 mai à Tunis.

Aucun changement n’a été apporté sur les dates du congrès, contrairement aux informations diffusées par un ancien membre du parti, qui a été radié il y a environ un an par la commission des affaires internes du parti, précise Gharsellaoui, dans une déclaration, vendredi 23 mai, à l’agence TAP.

Gharsellaoui a souligné que ce membre radié « tente de nuire à l’image du parti et de perturber les travaux de son premier congrès en publiant un faux document sur l’annulation du congrès ».

« Une plainte pénale sera portée contre lui pour falsification de documents », a-t-il ajouté.

Par ailleurs, le secrétaire général du parti a indiqué que la première journée du congrès sera consacrée aux travaux des différentes commissions du parti, tandis que le dimanche sera dédié à l’élection du secrétaire général, des membres du bureau politique et du comité central, ainsi qu’à la présentation des différentes motions du congrès.

Le parti al Massar avait annoncé auparavant annoncé avoir finalisé la mise en place de ses structures locales, régionales et nationales, ainsi que des commissions sectorielles, notamment celles de la femme et des jeunes.

Un document relayé, vendredi 23 mai, sur les réseaux sociaux, faisait état de l’annulation du congrès du Parti Al Massar prévu les 24 et 25 mai.

Ce document porte les signatures de Badr Eddine Gharsellaoui, secrétaire général national, et de Walid Boughalmi, chef du bureau politique.

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Le Salon de la création artisanale 2025 ouvre ses portes

La 41éme édition du Salon de la création artisanale, organisée à l’initiative de l’Office national de l’artisanat tunisien (ONAT), a ouvert, vendredi 23 mai, ses portes au parc des expositions du Kram et se poursuivra jusqu’au 1er juin 2025, avec la participation de près d’un millier d’artisans et d’artisanes, répartis sur près de 20 espaces d’exposition.

Le programme du Salon, inauguré par le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Sofiane Tekaya, consiste en l’aménagement d’espaces reflétant la richesse et la diversité du patrimoine artisanal tunisien. Il s’agit d’espaces dédiés à la décoration d’intérieur et d’extérieur, l’art de la table, le tapis et tissages traditionnels, la poterie modelée des artisans de Sajnane, outre des stands dédiés aux artisans portant des handicaps.

Inaugurant cette nouvelle édition, Sofiane Tekaya a indiqué que ce salon est un rendez-vous annuel qui rassemble des artisans, des visiteurs, des professionnels, des designers et des étudiants, en plus de la présence d’organismes d’appui qui fourniront aux artisans et aux entreprises artisanales des services d’accompagnement qui ne manqueront pas de leur faciliter le travail, en identifiant les incitations et les avantages offerts par l’Etat au secteur.

Le ministre a souligné l’importance de l’espace des jeunes promoteurs qui permettra de mieux renforcer l’accès des jeunes au secteur de l’artisanat, d’autant plus que cet espace regroupe des diplômés du supérieur qui ont présenté des articles de qualité, innovants et créatifs, inspirés du patrimoine national et qui s’adaptent aux exigences, tant du marché local que celui d’exportation.

Le taux de participation des jeunes et des diplômés du supérieur est estimé à de 60%, a souligné le ministre, ajoutant que la présence des femmes atteint 70%. Le secteur de l’artisanat joue un rôle important dans l’économie, contribuant à hauteur de 5% du produit intérieur brut (PIB), a rappelé le ministre, faisant savoir que les recettes d’exportation des produits artisanaux provenant de ce secteur ont été de l’ordre de 150 millions de dinars en 2024.

Pour la valorisation des produits artisanaux tunisiens, nous avons un programme de protection contre la contrefaçon, aux doubles plans nationaux et internationaux, et ce pour plusieurs spécialités, a encore fait savoir le ministre. Et d’ajouter que ledit programme, conçu en coopération avec le ministère des affaires culturelles, cible la labellisation de ces produits artisanaux, dont une liste de plus que 60 produits a été identifiée.

Focus sur la coopération internationale

Un espace dédié aux réalisations du programme de coopération internationale est aménagé dans le cadre de cette nouvelle édition du salon de la création artisanale afin de mieux faire connaitre les dernières réalisations en matière d’encadrement et de développement du produit artisanal dans le cadre des projets de coopération internationale.

Cet espace présentera une série de créations réalisées dans le cadre du projet « Créative Tunisia » en marge du Salon « Antibes Art Fair » qui s’est tenu dans la ville Française d’Antibes. Une autre série de projets sera également présentée lors de cette novelle édition.

Il s’agit de créations réalisées dans le cadre du programme d’encadrement des artisans au sein du centre de création de Nabeul en partenariat avec le projet d’accès aux marchés des produits alimentaires « Pampat ».

Avec TAP

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La consommation nationale de l’eau dans le secteur industriel ne dépasse par 2%

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a déclaré, vendredi 23 mai, à Monastir que la consommation nationale de l’eau dans le secteur industriel, dans ses différents domaines, ne dépasse pas 2%, signalant que le secteur textile-habillement a réalisé d’importants investissements pour traiter les eaux usées.

Lors de l’ouverture de la conférence nationale sur « Le secteur textile et la gestion permanente des ressources hydrauliques », Chiboub a appelé tous les acteurs économiques à adopter une approche scientifique pour sensibiliser à la rationalisation de la consommation et à la revalorisation de l’eau usée, ce qui est de nature à assurer la transition vers une industrie textile plus durable et un développement industriel écologiquement équilibré.

Dans le même contexte, la ministre a souligné la nécessité de prendre un certain nombre de mesures, notamment d’améliorer encore l’efficacité du système de production et de promouvoir des pratiques de production propres.

Le secteur textile-habillement est l’un des piliers de l’économie nationale par sa contribution à la réalisation d’équilibres économiques et sociaux, et son rôle dans la régulation de la balance commerciale, le développement des exportations et la mobilisation des investissements étrangers directs, a ajouté la ministre.

L’industrie textile- habillement représente 30% des emplois dans le secteur industriel, avec plus de 150 mille emplois, et regroupe 1 400 entreprises industrielles, soit 31% du total des entreprises industrielles, dont 200 entreprises intégrées à l’échelle mondiale, en plus de sa contribution de 15% du total des exportations industrielles nationales. La valeur de ses exportations atteint environ 3 milliards de dinars au cours des quatre premiers mois de 2025, selon les données du ministère de l’Industrie.

Les participants à la conférence ont présenté des exposés axés notamment sur la situation actuelle du secteur textile, la méthode de valoriser l’utilisation de l’eau dans les domaines connexes de l’ industrie et du lavage, en plus des résultats de recherches scientifiques sur les technologies disponibles dans les centres de recherche tunisiens, et les méthodes modernes d’économie de l’eau permettant le recyclage de l’eau usée.

Avec TAP

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Sidi Bouzid : Coup d’envoi de la saison de la moisson du blé dur

Le coup d’envoi de la saison de la moisson du blé dur a été donné, vendredi 23 mai, au gouvernorat de Sidi Bouzid, avec des estimations globales d’atteindre une production céréalière d’environ 290 mille quintaux (dont 260 mille quintaux de blé dur et le reste en orge), selon le chef du service de la production végétale au Commissariat régional au développement Agricole (CRDA), Mourad Mabrouki.

Il a précisé, à l’Agence TAP, que les superficies emblavées dans la région ont atteint 8750 hectares, situées en particulier dans les zones irriguées, dont 1300 hectares en culture pluviale dans la délégation de Mezzouna.

Mabrouki a souligné l’importance pour les agriculteurs de respecter la période de maturité complète avant de procéder à la récolte et de prendre toutes les mesures nécessaires notamment le contrôle des moissonneuses et la prévention des incendies afin d’assurer la collecte de la récolte dans de bonnes conditionnions.

Le responsable régional a également insisté sur la nécessité de réserver une partie de la récolte pour la période des semis pendant la prochaine saison.

Avec TAP

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Bourse de Tunis: le Tunindex clôture la semaine sur une note positive

Le marché boursier a clôturé la semaine du 19 au 23 mai 2025 sur une note positive, lr Tunindex progressant de 0,5 % à 11 422,78 points. Depuis le début de l’année en cours, le Tunindex affiche une performance louable de +14,8%, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

La semaine écoulée a été marquée par un rythme d’échanges assez soutenu, cumulant une enveloppe de 58,4 MDT. Quatre transactions de bloc d’une valeur totale de 6,1 MDT ont dynamisé les échanges. Ces transactions ont porté sur le titre PGH.

Analyse des valeurs

Le titre TUNISIE LEASING & FACTORING s’est offert la meilleure performance de la semaine. Drainant un flux de 1 MDT sur la semaine, l’action s’est envolée de 17,3 % à 21,250 D.

Le titre SOMOCER a figuré parmi les plus grands gagnants de la semaine. L’action du spécialiste en céramique a affiché un rebond

de 15,6 % à 0,740 D. Sur la semaine, la valeur a drainé un volume réduit de 152 mille dinars.

Le titre TUNINVEST s’est placé en lanterne rouge. L’action de la société d’investissement a reculé de -9,9 % à 8,100 D notant que la valeur a amassé un flux hebdomadaire quasi nul.

Le titre ASSAD s’est mal comporté sur la séance. L’action du producteur des batteries automobiles s’est effritée de -4,0 % à 1,920 D dans des échanges limités de 321 mille dinars.

PGH a été la valeur phare de la semaine faisant savoir que l’action du plus grand holding en Tunisie a particulièrement animé le marché, amassant un volume de 4,7 MDT, soit 16,7 % du volume total transigé sur la Cote. Le titre a progressé de 0,3 % à 15,040 D.

Avec TAP

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Météo : nuages et précipitations durant la nuit de 23 mai

Des nuages parfois denses seront enregistrées durant la nuit de 23 mai, sur les régions ouest et du centre et la région de Gafsa avec des cellules orageuses accompagnées de pluies localement intenses et de chutes de grêles par endroits.

Ces précipitations concerneront les régions est au cours de la nuit, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM).

Le vent soufflera de secteur nord au nord et au centre et de secteur Est au sud, relativement fort à fort près des côtes et sur le sud et modéré ailleurs.

La mer sera agitée à très agitée. Les températures seront comprises, cette nuit, entre 15 et 20 degrés dans le nord, et le centre, entre 21 et 25 degrés dans le reste des régions et atteignant 12 degrés sur les hauteurs ouest.

Avec TAP

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ARP: Un projet de loi pour plafonner les garanties des prêts bancaires

Un groupe de députés de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) vient de présenter une proposition de loi visant à fixer un plafond légal aux garanties exigées pour les prêts bancaires.

Cette initiative législative relative à la question des garanties bancaires a été déposée, alors que le système de crédit bancaire en Tunisie, fait face à de véritables problématiques liées aux conditions excessives imposées par les établissements financiers, avec des garanties qui dépassent souvent 150 % du capital emprunté (capital et intérêts). Les garanties bancaires exorbitantes qui sont à l’encontre du principe de proportionnalité implicitement prévu dans la législation tunisienne, constituent un fardeau pour les demandeurs de financement, en particulier, les propriétaires des petits et moyens projets.

Il s’agit, également, de l’absence de transparence dans la détermination de la valeur des garanties exigées. De plus, les banques ne sont pas obligées de justifier leurs choix auprès des clients, selon le document du projet de loi soumis à la commission des finances et du budget du Parlement. L’article 4 de ce projet de loi fixe un plafond légal clair pour les garanties qui ne dépasse pas 100 % du montant principal du prêt hors intérêts et commissions, concrétisant, ainsi, le principe de l’équilibre contractuel et préservant les droits du maillon le plus faible dans la relation bancaire. Le texte du projet de loi oblige, également, les institutions bancaires de justifier la valeur des garanties et d’informer le client et précise que toute clause contractuelle contraire serait annulée.

L’autorité réglementaire sera habilitée à définir les cas d’exception, selon cette proposition de loi qui qualifie cette mesure de  » nécessaire » pour protéger les emprunteurs et renforcer leur confiance dans le système bancaire. Le projet de loi vise, principalement, à organiser les garanties des prêts bancaires de manière à garantir l’équilibre entre les intérêts des établissements financiers et ceux des emprunteurs. Il s’agit, également, de garantir la durabilité du système financier et bancaire et de soutenir la croissance économique. A rappeler que l’Association nationale des petites et moyennes entreprises(ANPME) a déjà  appelé à la révision et à la modernisation du cadre législatif régissant le financement des PME, afin de garantir l’équité et l’efficacité dans l’orientation des crédits vers leurs bénéficiaires légitimes, en particulier, ceux classés dans les catégories 0, 1 et 2. Dans un communiqué publié le  8 avril 2025, l’association a exprimé sa préoccupation face aux difficultés rencontrées par les PME pour accéder au financement bancaire, malgré leur rôle crucial dans la relance économique et la réalisation d’un développement global et durable.

Avec TAP

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5ème Conférence des ministres de la Culture de la Francophonie

La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, participe à la 5ème Conférence des ministres de la Culture de la Francophonie qui se déroule du 22 au 24 mai 2025, à Québec, au Canada, indique un communiqué de son département publié, vendredi 23 mai, après-midi.

Dans le cadre de la participation tunisienne à cette 5ème Conférence organisée sous l’égide de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et du gouvernement du Québec, la ministre et l’ambassadeur de Tunisie au Canada, Lassad Boutara, ont assisté aux évènements organisés, jeudi 22 mai, à l’ouverture de la Conférence, indique la même source.

En marge de la conférence, Amina Srarfi a eu des entretiens avec plusieurs ministres canadiens, à savoir Mathieu Lacombe, ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et ministre responsable de la région de l’Outaouais, Steven Guilbeault, ministre de l’Identité et de la Culture canadiennes et ministre responsable des Langues officielles et Martine Biron, ministre des Relations internationales et de la Francophonie auprès du Gouvernement du Québec.

La ministre des Affaires Culturelles s’est également entretenue avec son homologue congolaise Marie France Lydie Hélène Pongault, ministre de l’Industrie culturelle, touristique, artistique et des Loisirs.

L’avenir des cultures dans l’espace francophone et de la langue française à l’ère numérique est au coeur de la  5ème Conférence des ministres de la Culture de la Francophonie. Huit ans après la dernière édition organisée à Abidjan en 2017, c’est un rendez-vous essentiel qui a lieu, au croisement de la diplomatie culturelle et des politiques publiques francophones, a annoncé l’OIF.

Cette conférence constitue ainsi un moment clé pour penser ensemble les enjeux culturels globaux du monde francophone. L’objectif est de réfléchir à des solutions pour renforcer la visibilité, la diversité et la vitalité des expressions culturelles en français à l’ère du numérique.

 Il s’agit également de faire le point sur les avancées communes pour la reconnaissance des industries culturelles comme moteur de croissance économique et continuer les efforts pour soutenir l’employabilité des jeunes.

Alors que les plateformes numériques tentent d’imposer une hégémonie, la Francophonie a son rôle à jouer dans la protection et la promotion de la diversité culturelle. Pour répondre à ce défi, la conférence réunit les différentes parties prenantes (artistes, secteur privé et partenaires techniques) pour accompagner les Etats et gouvernements sur les stratégies de découvrabilité à mettre en œuvre.

Notons que l’OIF compte 93 États et gouvernements dont 56 membres, 5 membres associés et 32 observateurs.

Avec TAP

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