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Ouverture de la 41e édition du Salon de la Création Artisanale au Kram : Une vitrine de la richesse patrimoniale et de l’innovation artisanale tunisienne

La 41e édition du Salon de la Création Artisanale, organisée par l’Office National de l’Artisanat Tunisien (ONAT), a ouvert ses portes ce vendredi au Parc des Expositions du Kram. L’événement se poursuivra jusqu’au 1er juin 2025 et rassemble près de 1000 artisans et artisanes, répartis sur une vingtaine d’espaces d’exposition.
Inauguré par le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, M. Sofiane Tekaya, le salon propose un programme riche mettant en lumière la diversité et la richesse du patrimoine artisanal tunisien. Des espaces thématiques sont aménagés autour de la décoration d’intérieur et d’extérieur, de l’art de la table, des tapis et tissages traditionnels, de la poterie modelée de Sejnane, ainsi que des stands réservés aux artisans en situation de handicap.
Dans son discours d’ouverture, le ministre a souligné que ce rendez-vous annuel constitue une plateforme incontournable de rencontre entre artisans, professionnels, designers, étudiants, et organismes d’appui. Ces derniers offriront aux participants un accompagnement pratique, notamment pour l’accès aux incitations et mécanismes de soutien mis en place par l’État en faveur du secteur artisanal.
Le ministre a mis en avant l’importance de l’espace dédié aux jeunes promoteurs, un levier essentiel pour faciliter l’intégration des diplômés de l’enseignement supérieur dans le tissu artisanal. Ces jeunes créateurs, porteurs d’idées innovantes, proposent des produits de haute qualité, inspirés du patrimoine national, adaptés aux besoins des marchés local et international.
Il a également précisé que 60 % des participants sont des jeunes diplômés, tandis que les femmes représentent 70 % de l’ensemble des exposants. Le secteur de l’artisanat contribue à hauteur de 5 % du PIB et a généré 150 millions de dinars en recettes d’exportation en 2024.
Dans le cadre de la stratégie de valorisation des produits artisanaux tunisiens, un programme national et international de lutte contre la contrefaçon a été lancé. Mené en collaboration avec le ministère des Affaires culturelles, ce programme vise la labellisation officielle de plus de 60 produits emblématiques de l’artisanat national.

Zoom sur la coopération internationale

Un espace dédié aux projets de coopération internationale est mis en place lors de cette édition. Il met en avant les initiatives les plus récentes en matière d’encadrement, de formation et de promotion de l’artisanat tunisien, dans le cadre de collaborations bilatérales et multilatérales.
On y retrouve notamment une sélection d’œuvres réalisées dans le cadre du projet « Creative Tunisia », présentées en marge du salon Antibes Art Fair en France. Une autre série de créations, issues du Centre de Création de Nabeul en partenariat avec le projet PAMPAT (Programme d’accès aux marchés pour les produits agroalimentaires et artisanaux), sera également exposée.
Ce salon s’affirme, une fois de plus, comme une vitrine de l’identité culturelle tunisienne, un levier d’insertion socio-économique et un catalyseur de développement durable à l’échelle nationale et internationale.

La Cheffe du gouvernement examine avec le FADES les moyens de renforcer la coopération bilatérale

La Cheffe du gouvernement, Mme Sarra Zaafrani Zenzri, a reçu ce vendredi au Palais du gouvernement à la Kasbah une délégation du Fonds arabe pour le développement économique et social (FADES), conduite par son Directeur général et Président du Conseil d’administration, M. Bader Mohammad Al-Saad en visite officielle en Tunisie du 21 au 25 mai 2025.
Cette rencontre s’est tenue en présence du ministre de l’Économie et de la Planification, M. Samir Abdelhafidh, du Directeur du cabinet de la Cheffe du gouvernement, M. Moncef Hamdi, ainsi que de plusieurs hauts responsables de la Présidence du gouvernement.

Mme Zaafrani Zenzri a salué l’excellence des relations de partenariat entre la Tunisie et le FADES, qualifiant le Fonds de “partenaire stratégique majeur” dans la mise en œuvre des politiques de développement. Elle s’est félicitée des résultats concrets issus de cette visite, notamment la signature récente d’accords structurants, dont celui portant sur l’élargissement et la modernisation de la route nationale n°20 reliant El Faouar à Rjim Maatoug (gouvernorat de Kébili). Ce projet s’inscrit dans une démarche plus large de réhabilitation des infrastructures ferroviaires et routières nationales.

La Cheffe du gouvernement a également souligné l’importance des projets en cours d’évaluation, couvrant plusieurs secteurs prioritaires : infrastructures routières, aménagement des pistes rurales, agriculture, gestion des ressources en eau et accès à l’eau potable.

Depuis le début de son partenariat avec la Tunisie, le FADES a contribué à la réalisation de 65 projets dans des domaines clés tels que les barrages, les autoroutes, l’agriculture, le développement rural, ainsi que l’enseignement primaire et supérieur. Il a en outre soutenu 23 missions d’assistance technique et participe actuellement à la mise en œuvre de 17 projets supplémentaires, en plus de nombreuses initiatives d’appui technique.

Abordant les perspectives de coopération à moyen et long terme, Mme Zaafrani Zenzri a présenté les grandes lignes du programme économique et social du gouvernement, adossé à la vision stratégique du président de la République, M. Kaïs Saïed. Elle a réaffirmé les principes fondamentaux qui guident l’action de l’État tunisien, notamment la préservation de la souveraineté nationale, l’autonomie décisionnelle et la promotion du développement régional équilibré.

La Tunisie entend intensifier ses efforts dans des secteurs d’avenir comme le transport ferroviaire, la santé, l’éducation, les énergies renouvelables et les projets à impact environnemental, tout en capitalisant sur un climat de stabilité politique propice à l’investissement.

De son côté, M. Badr Mohamed Al-Saad a exprimé la volonté du Fonds de poursuivre et de renforcer sa collaboration avec la Tunisie. Il a souligné l’importance de cette coopération fructueuse dans plusieurs secteurs porteurs et confirmé l’engagement du FADES à soutenir des investissements durables, à fort impact économique, dans le cadre de projets stratégiques à moyen et long terme.

Tunisie — Palestine : Mohamed Ben Ayed reçoit Ahmad Abou Houli, membre du comité exécutif de l’OLP

M. Mohamed Ben Ayed, Secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, a reçu ce jeudi M. Ahmad Abou Houli, Chef du Département des Affaires des Réfugiés et membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).
Au début de l’entretien, M. Ben Ayed a salué la résistance héroïque du peuple palestinien, victime, selon ses propos, d’un génocide perpétré par les forces de l’entité occupante dans la bande de Gaza ainsi que dans les villes et camps de Cisjordanie. Il a réaffirmé le soutien constant et inconditionnel de la Tunisie, tant au niveau de la direction de l’État que du peuple, à la cause palestinienne.
Il a souligné l’attachement de la Tunisie au droit inaliénable et imprescriptible du peuple palestinien à l’autodétermination, et à son combat légitime pour la récupération de ses droits historiques, notamment l’établissement d’un État indépendant sur l’ensemble du territoire palestinien avec pour capitale Al-Qods Al-Charif (Jérusalem-Est).
Pour sa part, M. Ahmad Abou Houli a exprimé sa profonde reconnaissance pour les positions sincères, courageuses et constantes du président de la République tunisienne en faveur de la juste cause palestinienne. Il a également informé son interlocuteur des derniers développements politiques et humanitaires, tant au niveau local qu’international, liés à la situation en Palestine.
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coordination entre la Tunisie et la Palestine, en vue de défendre les droits légitimes du peuple palestinien sur les scènes diplomatiques régionales et internationales.

Textile tunisien : 3 milliards de dinars d’exportations et une consommation d’eau maîtrisée

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a déclaré vendredi à Monastir que la consommation nationale d’eau par le secteur industriel tunisien, tous domaines confondus, ne dépasse pas 2 %. Elle a précisé que le secteur du textile-habillement a réalisé des investissements significatifs pour traiter et valoriser les eaux usées.
Prenant la parole à l’occasion de l’ouverture de la conférence nationale intitulée « Le secteur textile et la gestion permanente des ressources hydrauliques », la ministre a appelé les acteurs économiques à adopter une approche scientifique fondée sur la sensibilisation, la rationalisation de la consommation d’eau et la réutilisation des eaux traitées. Selon elle, cette démarche est essentielle pour réussir la transition vers une industrie textile plus durable et écologiquement responsable.
Fatma Thabet Chiboub a également insisté sur l’importance de mettre en place des mesures concrètes, telles que l’amélioration de l’efficacité des systèmes de production et la promotion de pratiques industrielles propres. Elle a rappelé que le secteur textile-habillement constitue l’un des piliers de l’économie nationale. Il joue un rôle déterminant dans le maintien des équilibres économiques et sociaux, tout en contribuant de manière significative à la balance commerciale, aux exportations et à l’attraction des investissements étrangers.
Actuellement, le secteur textile-habillement représente 30 % de l’emploi industriel en Tunisie, avec plus de 150 000 postes. Il regroupe 1 400 entreprises, soit 31 % de l’ensemble des entreprises industrielles du pays, dont 200 sont intégrées à l’échelle internationale. Il contribue également à hauteur de 15 % aux exportations industrielles nationales. Durant les quatre premiers mois de l’année 2025, ses exportations ont atteint environ 3 milliards de dinars, selon les données du ministère de l’Industrie.
Les travaux de la conférence ont permis de présenter plusieurs communications axées sur l’état actuel du secteur textile, les moyens de valoriser l’utilisation de l’eau dans l’industrie et les procédés de lavage, ainsi que les résultats de recherches scientifiques menées dans les centres de recherche tunisiens sur les technologies de recyclage. Des méthodes modernes d’économie d’eau ont également été exposées, soulignant la capacité d’innovation du secteur dans sa démarche vers la durabilité.

La Tunisie participe à la 5ᵉ Conférence francophone des ministres de la Culture à Québec

La ministre des Affaires culturelles, Amina Srarfi, participe à la 5ᵉ Conférence des ministres de la Culture de la Francophonie, qui se tient du 22 au 24 mai 2025 à Québec, au Canada, selon un communiqué publié vendredi après-midi par son département.
Dans le cadre de la participation tunisienne à cette conférence organisée sous l’égide de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et du gouvernement du Québec, la ministre, accompagnée de l’ambassadeur de Tunisie au Canada, Lassad Boutara, a assisté aux événements marquant l’ouverture officielle, jeudi.
En marge de la conférence, Amina Srarfi a eu des entretiens bilatéraux avec plusieurs ministres canadiens, notamment Mathieu Lacombe, ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et de la région de l’Outaouais ; Steven Guilbeault, ministre de l’Identité et de la Culture canadiennes ainsi que des Langues officielles ; et Martine Biron, ministre des Relations internationales et de la Francophonie auprès du gouvernement du Québec.
Elle s’est également entretenue avec son homologue congolaise, Marie France Lydie Hélène Pongault, ministre de l’Industrie culturelle, touristique, artistique et des Loisirs.
L’avenir des cultures dans l’espace francophone, ainsi que celui de la langue française à l’ère numérique, est au cœur de cette 5ᵉ Conférence des ministres de la Culture de la Francophonie. Huit ans après la précédente édition tenue à Abidjan en 2017, ce rendez-vous est présenté par l’OIF comme un moment clé, à la croisée de la diplomatie culturelle et des politiques publiques francophones.
Cette conférence vise à réfléchir collectivement aux enjeux culturels mondiaux de l’espace francophone, en particulier à l’élaboration de solutions pour renforcer la visibilité, la diversité et la vitalité des expressions culturelles en langue française dans un environnement numérique en mutation.
Il est également question d’évaluer les progrès réalisés en matière de reconnaissance des industries culturelles comme vecteur de croissance économique, tout en poursuivant les efforts pour améliorer l’employabilité des jeunes.
Face à l’hégémonie des plateformes numériques, la Francophonie entend jouer un rôle de premier plan dans la défense et la promotion de la diversité culturelle. Pour relever ce défi, la conférence réunit un large éventail d’acteurs — artistes, représentants du secteur privé et partenaires techniques — afin d’accompagner les États et gouvernements dans la mise en œuvre de stratégies de découvrabilité.
Rappelons que l’OIF regroupe 93 États et gouvernements, dont 56 membres, 5 membres associés et 32 observateurs.

Crédit en Tunisie : bientôt un plafond légal pour les garanties exigées par les banques ?

Un groupe de députés de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a récemment présenté une proposition de loi visant à fixer un plafond légal pour les garanties exigées dans le cadre des prêts bancaires.
Cette initiative législative, qui porte sur la problématique des garanties bancaires, intervient dans un contexte où le système de crédit en Tunisie est confronté à de sérieuses difficultés, notamment en raison des conditions excessives imposées par les établissements financiers. Ces derniers exigent souvent des garanties dépassant 150 % du montant emprunté (capital et intérêts).

Ces garanties bancaires excessives vont à l’encontre du principe de proportionnalité, implicitement prévu par la législation tunisienne, et représentent un véritable fardeau pour les demandeurs de financement, en particulier les propriétaires de petites et moyennes entreprises (PME).

La proposition de loi met également en lumière le manque de transparence dans l’évaluation des garanties exigées. Les banques ne sont actuellement pas tenues de justifier leurs exigences auprès des clients, selon le document présenté à la Commission des finances et du budget du Parlement.

L’article 4 de cette proposition de loi prévoit un plafond légal clair pour les garanties, qui ne pourrait dépasser 100 % du montant principal du prêt, hors intérêts et commissions. Cette mesure vise à instaurer un équilibre contractuel et à protéger les droits de la partie la plus vulnérable dans la relation bancaire.

Le texte impose également aux établissements bancaires l’obligation de justifier la valeur des garanties demandées et d’en informer leurs clients. Toute clause contractuelle contraire serait considérée comme nulle et non avenue.

Selon la proposition, l’autorité réglementaire serait habilitée à définir les cas d’exception. Le texte qualifie cette mesure de « nécessaire » pour protéger les emprunteurs et renforcer leur confiance dans le système bancaire.

L’objectif principal du projet est de mieux encadrer les garanties des prêts bancaires afin d’assurer un équilibre entre les intérêts des établissements financiers et ceux des emprunteurs. Il s’agit aussi de garantir la durabilité du système financier et de soutenir la croissance économique.

Il convient de rappeler que l’Association nationale des petites et moyennes entreprises (ANPME) a déjà appelé à une révision et à une modernisation du cadre législatif régissant le financement des PME, afin d’assurer l’équité et l’efficacité dans l’octroi des crédits aux bénéficiaires légitimes, notamment ceux classés dans les catégories 0, 1 et 2.

Dans un communiqué publié le 8 avril 2025, l’association a exprimé sa vive préoccupation face aux difficultés rencontrées par les PME pour accéder au financement bancaire, malgré leur rôle crucial dans la relance économique et le développement durable.

Municipalités tunisiennes : pourquoi la loi sur les PPP peine à s’appliquer ?

Le ministère de l’Intérieur a révélé, dans une réponse écrite adressée à trois députées de l’Assemblée des représentants du peuple, que la non-application effective du partenariat public-privé (PPP) au niveau des municipalités tunisiennes résulte de plusieurs obstacles structurels, dont le manque de ressources humaines et financières, l’absence de planification stratégique, des lacunes juridiques, ainsi qu’une crise de confiance entre les secteurs public et privé.

Cette clarification fait suite à une question parlementaire posée le 7 mars dernier par les députées Asma Derouish, Rim Sghir et Maha Amer, au sujet de l’inapplication de la loi n°49 du 27 novembre 2015 relative aux contrats de partenariat public-privé dans les projets municipaux.

Le ministère a souligné que, malgré l’adoption du cadre légal, sa mise en œuvre demeure limitée. Pour y remédier, plusieurs axes stratégiques sont en cours de développement, notamment : la simplification des procédures administratives pour l’obtention de licences, le renforcement des financements, en particulier dans les domaines de la propreté et de l’environnement, la révision du cadre réglementaire, incluant l’introduction de la négociation directe dans les PPP et l’accompagnement technique des collectivités locales, à travers des programmes de formation des cadres municipaux.

Le ministère appelle également à stimuler le secteur privé par des incitations fiscales et procédurales afin de restaurer la confiance et encourager son implication dans la gestion locale.

Il a par ailleurs souligné que la loi confie la responsabilité de conception, suivi et évaluation des projets PPP au Conseil stratégique et à l’Instance générale du PPP relevant de la présidence du gouvernement, avec l’appui d’experts.

Parmi les freins identifiés figurent : le déficit en personnel qualifié, entravant l’élaboration de contrats conformes aux principes de transparence et d’équité, la faiblesse des ressources propres des municipalités et l’absence d’une planification à long terme, conduisant à des projets ponctuels, dépendants de financements extérieurs.
Le ministère déplore en outre un vide juridique autour des textes d’application et des incohérences légales, notamment entre la loi sur les PPP et les textes régissant la commande publique (décret n°1039 de 2014).

Enfin, il reconnaît que la méfiance du secteur privé – nourrie par la bureaucratie, la multiplicité des autorisations, et les différences d’objectifs entre acteurs publics et privés – freine les initiatives.

Malgré cela, plusieurs municipalités ont expérimenté avec succès le modèle PPP, à l’instar de la municipalité du Kram, ayant conclu un partenariat avec une start-up pour la gestion des parkings, ou encore la municipalité de Sousse, qui a collaboré avec le secteur privé pour la gestion de syndicats de copropriété.
Le ministère a affirmé sa volonté de poursuivre les efforts de réforme, afin de faire du PPP un levier de développement local durable.

Transition numérique : vers un registre foncier 100 % digital en Tunisie

Le ministre des Domaines de l’État et des Affaires foncières, Wajdi Hedhili, a annoncé vendredi à Tunis que son département entamera, dans la prochaine phase, la transition vers l’enregistrement électronique et les signatures électroniques dans tous les domaines liés au registre foncier.
Intervenant lors de la journée d’information intitulée « La transition numérique du registre foncier : moteur du développement économique et social », le ministre a souligné que cette avancée s’inscrit dans la continuité du succès de l’Office national de la propriété foncière (ONPF) dans la mise en place de services publicitaires électroniques, désormais dissociés du principe de référence territoriale.
Ces nouveaux services concernent plusieurs types de documents tels que les certificats de propriété, de copropriété, de non-propriété, ainsi que les données cadastrales. Cette évolution a été rendue possible grâce à la mise en place d’un système informatique intégré couvrant l’ensemble des services de l’ONPF.
Wajdi Hedhili a précisé que la numérisation du registre foncier constitue un pilier de la transition numérique dans le secteur économique. Elle représente une opportunité majeure pour stimuler l’investissement, améliorer la transparence des transactions foncières, simplifier les procédures, réduire les délais de traitement et élever la qualité du service public.
Il a également évoqué la mise en œuvre d’un portail immobilier national, développé en coordination avec le Centre national de télédétection et de cartographie, l’Office du cadastre et le ministère des Technologies de la communication. Ce portail, basé sur une carte numérique intelligente, sera mis à jour automatiquement via l’interconnexion avec les systèmes de gestion des biens de l’État et les registres électroniques.
Par ailleurs, le renforcement de l’interconnexion entre la Plateforme nationale d’investissement, le registre foncier national et les agences immobilières est en cours, afin de traiter rapidement les demandes des investisseurs. Un effort est aussi déployé pour numériser les registres des biens de l’État à partir des résultats du programme national d’inventaire foncier.
Le conservateur de la propriété foncière, Wadii Rhouma, a, de son côté, affirmé que l’ONPF s’engage à offrir un large éventail de services électroniques, s’appuyant notamment sur des initiatives comme le programme de contrat électronique et le projet « zéro documents internes », visant à réduire la paperasserie administrative.

Mobilité hybride : ADEV Nissan lance le Qashqai e-Power en Tunisie avec des offres exclusives

ADEV Nissan a organisé aujourd’hui une journée portes ouvertes au sein de son showroom pour présenter au public et à la presse la nouvelle Nissan Qashqai e-Power, un SUV compact à technologie hybride innovante. Cet événement a permis aux visiteurs d’explorer de près le véhicule, de l’essayer sur route et d’interagir directement avec les experts de la marque.
La journée a aussi servi de tremplin pour introduire l’avenir de la mobilité hybride chez ADEV Nissan. À cette occasion, Mme. Myriam Mzabi, Directrice Marketing et Communication, a annoncé une remise exceptionnelle de 3 000 dinars sur le Qashqai e-Power, ramenant son prix à 152 900 DT TTC. Les premiers acheteurs bénéficieront également de trois vidanges gratuites, d’un report de paiement de 90 jours pour les financements en leasing, ainsi que de trois mois d’assurance gratuite en partenariat avec Assurance MARÉ.
Dotée de la technologie e-Power exclusive à Nissan, le Qashqai combine un moteur thermique de 1,5 L (cycle Atkinson) servant de générateur, à une batterie de 1,8 kWh alimentant un moteur électrique de 190 ch et 330 Nm de couple. Ce système offre une conduite fluide et réactive, intégrant la fonctionnalité innovante « One Pedal » pour simplifier la conduite et maximiser la récupération d’énergie.
Côté sécurité, le modèle embarque les dernières technologies : systèmes ADAS, LKA, ABS, ESP, régulateur de vitesse, avertisseur d’angle mort, freinage d’urgence automatique, et alerte de franchissement de ligne, renforçant ainsi son positionnement comme SUV hybride de référence.

La Presse avec Communiqué

CONDOLEANCES

La Direction générale, le staff managérial ainsi que l’ensemble du personnel de la BH BANK présentent

à Mme Safa jegham ép. NAFFETI

leurs sincères condoléances suite au décès de son cher et regretté père.

Que Dieu le Tout-Puissant lui accorde Sa Miséricorde.

Le Dr Majed Zammni remporte le Prix Nelson Mandela pour la santé : une consécration mondiale pour la Tunisie

Le Dr Majed Zammni, représentant de la Tunisie, a été distingué ce vendredi à Genève par le Prix Nelson Mandela pour la promotion de la santé, décerné par le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ce prix prestigieux salue une carrière exceptionnelle consacrée au développement du secteur de la santé et aux réformes durables en santé publique.

Le Dr Zammni devient ainsi l’un des rares lauréats de l’édition 2025, la Tunisie figurant parmi les cinq pays seulement honorés cette année. Ce choix témoigne d’une reconnaissance internationale croissante envers la qualité du système de santé tunisien et son rayonnement régional.

Dans son allocution, le directeur général de l’OMS a salué les progrès réalisés par la Tunisie dans le domaine médical, soulignant l’engagement continu du pays en faveur de l’innovation, de l’accessibilité des soins et de l’excellence clinique.

Cette distinction vient renforcer la position de la Tunisie comme acteur de référence en matière de santé publique, confirmant sa détermination à poursuivre les réformes structurelles et à promouvoir l’excellence dans ses politiques sanitaires.

Trump relance la guerre commerciale : des droits de douane de 50 % sur les produits européens annoncés

Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi avoir recommandé l’instauration de droits de douane de 50 % sur les biens en provenance de l’Union européenne à compter du 1er juin.

Dans un message publié sur son réseau Truth Social, le chef de la Maison-Blanche déplore que les négociations commerciales avec les Européens soient “très difficiles”.

« Nos discussions avec eux ne mènent nulle part », a-t-il déclaré, réaffirmant que l’Union européenne a été fondée essentiellement pour « profiter » des États-Unis.

Les marchés boursiers ont fortement chuté à la suite de cette annonce, marquée par le retour du spectre d’une guerre commerciale.

L’indice Stoxx 600 a reculé de 1,5 %, tandis que le CAC 40 a perdu près de 2 %. À Paris, les valeurs du luxe — LVMH, Hermès, Kering — ont plongé de 3,5 % à 4 %.

À Wall Street, les contrats à terme sur les principaux indices affichaient également une baisse de plus de 1 %.

L’UE est déjà soumise à des droits de douane américains de 25 % sur l’acier, l’aluminium et les automobiles, ainsi qu’à des droits « réciproques » de 10 % sur la quasi-totalité des autres produits. Ces derniers pourraient atteindre 20 % à l’expiration du délai de 90 jours accordé par Donald Trump, le 8 juillet.

La Commission européenne a répété à plusieurs reprises privilégier une solution négociée, tout en soulignant qu’une riposte devait être prête d’ici juillet en cas d’échec des pourparlers.

Tunisie–Afrique : un engagement renouvelé pour une coopération solidaire et multilatérale

La Tunisie réitère son engagement solennel en faveur d’une Afrique prospère, solidaire et résiliente : une Afrique où règne la justice, qui maîtrise les attributs de sa souveraineté, capable de gérer ses ressources naturelles, qui assure sa sécurité alimentaire, énergétique et hydraulique, et où les technologies de l’information et de la communication évoluent au rythme de son développement. C’est ce qu’a souligné Mohamed Ali Nafti, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger.

Il s’exprimait lors d’une rencontre organisée vendredi à l’Académie diplomatique internationale de Tunisie, sous le thème « Les défis de l’action africaine multilatérale dans une perspective africaine », dans le cadre de la commémoration de la Journée de l’Afrique, célébrée chaque année le 25 mai.

Soulignant l’engagement de la Tunisie en faveur d’une politique étrangère axée principalement sur le développement du continent et la promotion des valeurs de paix, de sécurité et de développement solidaire, Nafti a rappelé l’initiative du président de la République, Kaïs Saïed, visant à proclamer l’année 2025 comme l’année du multilatéralisme et du renforcement du système onusien. Une initiative à forte portée symbolique, coïncidant avec le 80ᵉ anniversaire de la création de l’Organisation des Nations unies.

Le ministre a mis en avant les avancées multidimensionnelles ayant profité à l’humanité et à l’Afrique en particulier. Il a toutefois souligné que ces réalisations, aussi significatives soient-elles, ne doivent pas occulter les souffrances et injustices encore présentes dans le monde.

À ce propos, il a dénoncé le génocide perpétré par l’entité occupante à Gaza, en violation flagrante des principes fondamentaux du droit international, qualifiant la situation d’« alarmante », face à l’indifférence et au désengagement de la communauté internationale.

De son côté, l’ambassadrice de Guinée équatoriale et doyenne du Groupe africain en Tunisie, Nsang Ndong Nsuga Gertrudis, a souligné que la Journée de l’Afrique constitue une occasion de réaffirmer que l’avenir du continent repose sur la coopération et la solidarité entre les États africains. Elle a insisté sur la solidarité entre les peuples comme vecteur de prospérité et de valorisation de l’identité africaine.

La diplomate a salué l’engagement de la Tunisie en faveur du renforcement de la coopération avec les pays membres du Groupe africain et a appelé à la simplification des procédures de délivrance du titre de séjour pour les étudiants africains résidant en Tunisie.

La rencontre a permis d’engager un débat autour du développement des relations entre les États africains et les institutions onusiennes, dans une perspective multilatérale, afin de relever les défis géopolitiques et climatiques actuels.

Deux panels ont été organisés à cette occasion : Les défis de l’action multilatérale dans les domaines de la paix et de la sécurité et Les défis de la coopération multilatérale dans les domaines économique et financier

Des représentants de missions diplomatiques accréditées en Tunisie, des responsables onusiens ainsi que des hauts responsables tunisiens ont pris part à l’événement

En marge de cette manifestation, le ministre des Affaires étrangères a inauguré l’exposition philatélique « Le timbre-poste au service de l’Afrique », célébrant l’unité africaine à travers les timbres émis par la Tunisie.

5 000 pilules d’ecstasy cachées dans un jouet : Coup de filet de la douane à La Goulette

Les services de la douane au port de La Goulette Nord ont intercepté une tentative de trafic de stupéfiants, en saisissant 5 000 comprimés d’ecstasy soigneusement dissimulés à l’intérieur d’un jouet pour enfants — une moto miniature — parmi les bagages d’un voyageur en provenance du port de Gênes, en Italie.

Cette opération s’inscrit dans le cadre des efforts continus des autorités douanières tunisiennes pour lutter contre la contrebande et le trafic de drogue à travers les frontières maritimes du pays. Une enquête a été ouverte pour identifier d’éventuels réseaux liés à cette tentative de contrebande.

Trump menace Apple de droits de douane de 25 % sur les iPhone produits à l’étranger

Apple pourrait faire face à des droits de douane de 25 % sur ses iPhone fabriqués hors des États-Unis, a averti vendredi l’ancien président américain Donald Trump.
L’action Apple a chuté de 2,5 % en avant-Bourse, entraînant dans son sillage les principaux indices boursiers américains sur les marchés à terme.

« J’ai informé Tim Cook il y a longtemps que je m’attendais à ce que les iPhone vendus aux États-Unis soient fabriqués sur le sol américain, et non en Inde ou ailleurs », a écrit Donald Trump sur son réseau social Truth Social.
« Dans le cas contraire, Apple devra payer des droits de douane d’au moins 25 % aux États-Unis », a-t-il ajouté.

Il reste incertain si Donald Trump dispose de l’autorité nécessaire pour imposer unilatéralement des droits de douane à une entreprise en particulier. Apple n’a pas répondu dans l’immédiat à une demande de commentaire de Reuters.
Le mois dernier, Reuters rapportait qu’Apple avait intensifié ses efforts pour diversifier sa production hors de Chine — pays en rivalité commerciale avec Washington — en développant ses capacités de fabrication en Inde.
Le fabricant de l’iPhone a d’ailleurs déclaré que la majorité des appareils vendus sur le marché américain proviendraient d’Inde au cours du trimestre de juin.

Russie – Tournoi international des jeunes chefs : Une jeune cheffe cuisinière tunisienne remporte le prix

Mayssa El Kouni, une djerbienne de 24 ans a remporté le prix du « Tournoi international des jeunes chefs cuisiniers » qui s’est tenu du 14 au 16 mai courant, en marge du XVIe Forum économique international « Russie – monde islamique », « KazanForum », dans la capitale de la république du Tatarstan, en Russie.

Seize jeunes chefs ont été en lice dans cette compétition, que Mayssa a gagné, en présentant trois plats nationaux, soit un « plat tunisien » revisité avec diverses salaisons comme entrée, ensuite une « charmoula » sfaxienne en tant que repas principal, avec de nouveaux ingrédients: poulet au lieu du poisson, dattes et praliné de noisettes et enfin, un tiramisu avec une crème de dattes et de l’eau de rose, comme dessert.

Diplômée de l’Académie des chefs, Mayssa exerce son métier depuis trois ans d’abord dans des restaurants et maintenant dans un hôtel 4 étoiles, à Sfax.

En juillet 2024, elle avait remporté le premier prix à la compétition nationale des jeunes talents à la foire du Kram, ce qui lui a permis de participer au tournoi à Kazan, où elle a, aussi, remporté le prix des « techniques du futur », avec une présentation des plats tunisiens inspirée de sa maîtrise des « spécialités françaises ».

Mayssa, a un avenir prometteur devant elle et ne manque pas d’ambition, son rêve c’est d’ouvrir son propre restaurant à Tunis, dont elle a déja choisi le nom « L’ozé ».

Espérance de Tunis : Contrat prolongé pour Achraf Jabri

L’Espérance Sportive de Tunis a annoncé ce jeudi avoir conclu un accord officiel avec son jeune milieu de terrain Achraf Jabri pour la prolongation de son contrat pour deux saisons supplémentaires, désormais valable jusqu’en juin 2028.
Cette décision s’inscrit dans le cadre de la stratégie du club visant à consolider sa base de jeunes talents et à renforcer la stabilité de son effectif à long terme.

Formé au sein de l’académie de l’Espérance, Jabri s’est rapidement distingué par ses performances solides et sa régularité sous les couleurs de l’équipe première.

Maghroum’IN : Une nouvelle initiative pour l’entrepreneuriat et l’emploi jeune en culture et sport

Maghroum’IN a célébré le lancement officiel du Programme Entrepreneuriat et Emploi des Jeunes, qui marque une étape majeure dans le soutien à l’inclusion économique des jeunes par l’entrepreneuriat culturel et sportif.

Maghroum’IN s’inscrit dans le programme EU4Youth de l’Union Européenne en Tunisie dans le cadre d’une convention avec le gouvernement tunisien. Il est mis en œuvre par l’Agence Espagnole pour la Coopération Internationale au Développement (AECID), le British Council et la Fondation pour l’Internationalisation des Administrations Publiques (FIAP), en partenariat avec les ministères tunisiens des affaires culturelles et de la Jeunesse et des Sports.

L’événement a réuni 136 jeunes entrepreneuses et entrepreneurs fraîchement sélectionnés, ainsi que les partenaires et les personnes influentes dans les domaines de la culture et des sports. Il a permis de célébrer leur engagement, de présenter les contours du programme, de favoriser les échanges entre jeunes, institutions et partenaires, et de tracer les grandes lignes d’une vision commune fondée sur l’innovation, la créativité et l’inclusion.

Une ambition pour la jeunesse tunisienne

Maghroum’IN s’inscrit dans une dynamique ambitieuse de transformation sociale, en plaçant les jeunes au cœur des dynamiques culturelles et sportives. Depuis 2022, il agit pour renforcer la participation des jeunes à la vie publique, en tenant compte des multiples formes d’exclusion et en valorisant leur potentiel d’expression et de transformation à travers la création, le sport et la culture.

C’est dans cette optique que le Programme Entrepreneuriat et Emploi des Jeunes a vu le jour. Conçu pour accompagner la création, le développement ou la relance de projets entrepreneuriaux portés par des jeunes dans les secteurs du sport et de la culture, il vise à générer de nouvelles opportunités professionnelles dans des filières souvent marginalisées mais porteuses. Il encourage l’adoption des tendances actuelles, stimule l’innovation et appuie les dynamiques locales

Le lancement du programme a suscité un engouement considérable. Pas moins de 553 candidatures ont été reçues, dont 445 pour le parcours Incubation et 108 pour le parcours Accélération. Après une première phase de sélection sur dossier, 242 candidatures ont été présélectionnées. Au terme d’entretiens individuels, 136 jeunes ont été retenus : 82 suivront le parcours Incubation, tandis que 54 bénéficieront du parcours Accélération.

Les projets sélectionnés témoignent de la diversité, de l’audace et de l’innovation des jeunes porteurs et porteuses d’idées. Dans le domaine du sport, on retrouve des initiatives autour des sports de plein air, des espaces de remise en forme modernisés, des outils numériques de suivi des performances, des plateformes en ligne dédiées à l’organisation d’événements sportifs et des projets fédérant les communautés autour de nouvelles pratiques inclusives. Côté culture, les projets portent sur la création d’espaces culturels hybrides, des centres de formation en arts vivants, la digitalisation du patrimoine, la production audiovisuelle innovante ou encore le développement d’applications mobiles pour démocratiser l’accès à la culture.

Un accompagnement complet et des soutiens essentiels

Tout au long du programme, les bénéficiaires seront accompagnés à travers un parcours structuré comprenant des formations ciblées, des ateliers pratiques, un coaching individualisé, du mentorat et une préparation approfondie à la recherche de financement. . La mise en œuvre de ce parcours s’appuie sur l’expertise de trois structures d’accompagnement reconnues : CEED Tunisia, la Westerwelle Foundation et RedStart Tunisia.

Une sélection finale déterminera les projets qui seront financés intégralement par le programme.

Il est à noter que l’événement de lancement a vu la présence de représentants des partenaires institutionnels, notamment Radhia Amri du Ministère des Affaires Culturelles et Foued El Ouni du Ministère de la Jeunesse et des Sports. L’événement a également été honoré par des personnalités diplomatiques et institutionnelles de haut rang, dont Elizabeth Green, Ambassadrice adjointe à l’Ambassade du Royaume-Uni, Javier Puig, Ambassadeur d’Espagne en Tunisie, et Massimiliano Messi, Chef de section à la Délégation de l’Union Européenne.

La présence de ces personnalités a souligné l’importance stratégique que revêt l’entrepreneuriat jeune pour l’avenir du pays.

Des figures influentes du monde de la culture et du sport ont également pris la parole pour partager des messages inspirants, à l’image de Heykel Mgannem, El Seed et Saloua Abdelkhalek, réaffirmant la nécessité de croire dans le potentiel de la jeunesse tunisienne.

À travers cette initiative, Maghroum’IN réaffirme une conviction forte : la culture et le sport ne sont pas de simples terrains d’expression, mais des leviers puissants pour l’autonomie, l’inclusion et la construction d’un avenir professionnel durable pour les jeunes. Ce programme incarne une dynamique collective où l’innovation sociale et l’audace entrepreneuriale s’allient pour dessiner une société plus juste, plus créative et plus solidaire.

D’après communiqué

 

Cap sur la Corée : L’Enseignement Supérieur ouvre les candidatures pour des bourses d’études

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé, vendredi, l’ouverture des candidatures pour la deuxième session des programmes de master et de doctorat 2025-2026, organisés par l’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA).

Selon un communiqué du ministère, ces programmes couvrent plusieurs spécialités, notamment les politiques de développement économique, la gouvernance électronique, l’administration publique, les politiques de santé, le financement sanitaire ainsi que la gestion des changements climatiques.

Les formations seront dispensées dans des universités coréennes de renom telles que la KDI School, Handong Global University, l’Université Yonsei, Sungkyunkwan et Incheon National University.

La sélection des candidats se fera en deux étapes : une présélection des dossiers suivie d’entretiens téléphoniques. Les conditions d’éligibilité comprennent une bonne maîtrise de l’anglais, une bonne condition physique, un âge inférieur à 40 ans de préférence, et ne pas avoir déjà bénéficié d’une bourse coréenne. Pour les programmes de doctorat, les candidats doivent avoir complété avec succès un master financé par la KOICA.

Les candidatures doivent inclure les formulaires requis, une copie du passeport, et les documents demandés par les universités, à télécharger via le lien httpss://drive.google.com/drive/folders/1V42JU-P-w4aa-cjR2hB-56AC9IR9PYbO?usp-sharing

Le gouvernement coréen prendra en charge l’ensemble des frais liés à la participation aux programmes, incluant hébergement, transport international et allocation journalière.

Les dossiers de candidature doivent être dûment remplis, signés par le supérieur hiérarchique direct, puis envoyés à la direction des ressources humaines du ministère à l’adresse suivante formation.drh@mes.mu.tn et ce, avant le 03 juin 2025.

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