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Adieu Anouar Bouchendira │ La mer au goût de larmes

Le monde de la plongée est en deuil à la suite de la disparition du Maître Anouar Bouchendira, grande figure des sports aquatiques et doyen des instructeurs de plongée sous-marine en Tunisie et en Afrique du Nord.

Mehdi Tabbakh *

La nouvelle de son décès survenu le mercredi 21 mai 2025 après une longue bataille, a provoqué une vive émotion auprès de la grande famille des plongeurs. Plusieurs parties lui ont rendu hommage, dont la Fédération des activités subaquatiques, ses élèves, ses collègues, les plongeurs sportifs et professionnels de toute horizons et générations, en Tunisie, au Maroc et en Algérie.

«Nour»,  pour ses amis, professeur de sport et d’éducation physique, est instructeur 3 étoiles (le plus haut grade dans l’échelle de l’instruction) depuis plus de 35 ans, faisant partie de la première génération d’instructeurs tunisien ayant œuvré à la tunisification de la plongée sous-marine en Tunisie. Il a orchestré, en main de maître, la formation de plusieurs générations de plongeurs de divers pays. Il a mis en place la première pierre dans un édifice qui demeure peu connu malheureusement du grand public.

Ceux qui l’ont connu et côtoyé, ont fait l’éloge d’un grand personnage, aussi humain que dévoué. Ils ont toujours apprécié en lui l’altruiste généreux et le pédagogue engagé, toujours à l’écoute et prêt à aider les autres.

«J’ose espérer que le paradis lui est ouvert, à la mesure de la passion, de la générosité et de l’amour qu’il a semés sous les flots et dans nos cœurs», lit-on dans un témoignage rendu par Néji Ben Aissa, activiste et président de Méditerranée Action Nature (Man) .

* Spécialiste en plongée sous-marine.

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Investissements automobiles dans la région MENA : le Maroc en tête avec neuf projets

Le premier trimestre 2025 a démontré l’intérêt grandissant des investisseurs pour l’industrie automobile en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Sur les 27 projets dévoilés ou initiés, le Maroc s’est démarqué en attirant un tiers des investissements, principalement dans la production de pièces automobiles, séduisant autant les entreprises européennes que chinoises.

BMI-Fitch Solutions met en avant la vitalité du Maroc. Laquelle est soutenue par un large réseau d’approvisionnement local et une position géographique favorable par rapport à l’Europe de l’Ouest.

Durant le premier trimestre 2025, la zone MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) a vu se concrétiser 27 projets d’investissement dans le secteur automobile, totalisant un montant de 2,6 milliards de dollars. C’est une augmentation notable par rapport au trimestre précédent, où on dénombrait 21 projets d’une valeur totale de 957,9 millions de dollars.

Le Maroc, l’Egypte et l’Algérie sur le podium

L’intérêt des investisseurs s’est principalement tourné vers les pays d’Afrique du Nord, avec le Maroc en première position, ayant attiré neuf projets. L’Égypte arrive en seconde position avec six projets, suivie de l’Algérie (cinq projets), de l’Arabie saoudite (deux projets) et de l’Iran (un projet).

Ces investissements sont principalement orientés vers la production de pièces automobiles et l’assemblage de véhicules particuliers (PV), poursuivant ainsi la tendance constatée lors du dernier trimestre dans le domaine des véhicules électriques (EV). C’est ce qu’il ressort d’un récent rapport publié par la société de recherche BMI, une branche de Fitch Solutions.

Le Maroc voit sa position de hub régional dans l’industrie automobile confirmée, conforté par la présence de grands constructeurs comme Renault et Stellantis. Il faut savoir qu’en 2024, il représentait déjà 28 % des projets d’investissement recensés dans le secteur. Selon BMI, « le Maroc continue d’être un lieu privilégié pour les investissements dans le secteur automobile grâce à son importante chaîne d’approvisionnement locale et sa proximité avec les marchés de l’Europe de l’Ouest ».

Les Allemands et les Chinois, principaux investisseurs

Durant le premier trimestre de 2025, cinq projets d’investissement provenant de producteurs européens ont cherché à promouvoir la production de composants au Maroc. Ainsi, l’entreprise allemande, Fränkische Industrial Pipes, prévoit d’investir 100 millions de dirhams (10,9 millions USD) dans un site dédié aux systèmes plastiques pour l’industrie automobile.

Quant à Leoni, une autre entreprise allemande, elle a inauguré une usine spécifiquement destinée à la fabrication de systèmes de câblage pour les véhicules utilitaires.

Des entreprises chinoises spécialisées dans les composants automobiles sont également attirées par le Maroc. HangZhou Redick Energy Saving Technology, Guangdong Haomei New Materials et Lingyun Industrial ont fait part de leurs projets concernant la fabrication de roulements, d’housings pour batteries à nouvelles énergies, de composants structuraux de carrosserie et de pièces laminées à haute résistance.

Ces investissements font partie intégrante de l’évolution continue de la fabrication de véhicules au Maroc, qu’il s’agisse d’entreprises historiques ou de nouveaux acteurs chinois. « Compte tenu de l’existence d’usines de production de véhicules terminés, nous anticipons une continuation des investissements pour renforcer les chaînes d’approvisionnement locales en composants », peut-on lire dans ledit document.

De plus, d’autres fabricants chinois ont aussi dévoilé leurs projets de production de véhicules dans divers pays de la région. Par exemple, en Égypte, Geely a lancé la fabrication locale de deux types de voitures particulières, l’Emgrand et le Coolray, avec une capacité prévue de production de 30 000 unités par an.

Les experts de BMI-Fitch estiment que « les fabricants chinois viseront de plus en plus à se positionner sur les marchés de la région MENA pour éviter les droits d’importation de l’Union européenne sur les véhicules électriques chinois et étendre leur présence au Moyen-Orient ».

Enfin, de nombreux projets dans la région ont pour but de revitaliser ou consolider la production des fabricants locaux. En novembre 2024, El-Nasr a annoncé en Égypte qu’elle avait relancé la production de bus et de minibus électriques après une pause de 15 ans. Dès le premier trimestre 2025, l’entreprise a renforcé ses objectifs en se dotant d’une capacité de production annuelle de 20 000 voitures particulières.

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Alliance Maroc–Émirats : cap sur les grands chantiers d’avenir

Un consortium regroupant le Fonds Mohammed VI pour l’Investissement, TAQA Morocco et NAREVA, a signé trois protocoles d’accord avec le gouvernement marocain et l’ONEE. Ces accords portent sur l’élaboration de nouvelles infrastructures de transport d’eau et d’électricité, ainsi que sur l’accroissement des capacités de dessalement d’eau de mer et de production d’électricité à partir de sources renouvelables et de gaz naturel.

Ce plan stratégique, issu de la déclaration commune signée le 4 décembre 2023 par le Roi Mohammed VI et Sheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, président des Émirats arabes unis, a pour but de faire face aux situations d’urgence nationales liées à l’eau et à l’électricité. Il prévoit un investissement conséquent dans des projets novateurs d’ici 2030.

Réduire les conséquences du stress hydrique

Il s’agit ainsi d’un méga programme comprenant diverses composantes essentielles, toutes en adéquation avec les stratégies nationales de l’eau et de l’énergie, poursuivant un but commun : améliorer l’autonomie énergétique et la résilience hydrique du Royaume. Une des composantes porte sur le transport de l’eau, incluant la construction d’infrastructures de transfert entre le bassin de l’Oued Sebou et celui de l’Oued Oum Rabia, pour une capacité annuelle de 800 millions de m³. Ce projet devrait aider à réduire considérablement les conséquences du stress hydrique dans les régions les plus exposées.

Dans le même temps, un vaste effort sera entrepris pour augmenter la capacité nationale de dessalement de l’eau de mer. Le projet inclut la mise en place de stations de dessalement ayant une capacité totale de 900 millions de mètres cubes par an, entièrement approvisionnées par des énergies renouvelables. Le but est d’assurer un prix compétitif, inférieur à 4,5 dirhams hors taxes par mètre cube, conformément aux normes établies pour les projets semblables déjà initiés.

Un corridor énergétique

Concernant le transport électrique, le projet prévoit l’établissement d’une ligne HVDC (haute tension en courant continu) qui reliera le sud au centre du pays sur une distance de 1 400 km, avec une puissance de 3 000 MW. Ce corridor énergétique va faciliter le désengorgement du réseau national et appuyer l’expansion rapide des énergies vertes dans les provinces méridionales.

Dans le domaine de la production d’énergie, le consortium promet un développement supplémentaire de 1 200 MW en énergies renouvelables. Tout en renforçant la souplesse du système par l’installation de centrales à cycle combiné fonctionnant au gaz naturel à Tahaddart, pour une capacité totale approximative de 1 500 MW. Ce mix technologique est conçu pour assurer la sécurité de l’approvisionnement, la constance du réseau et le passage à une énergie plus respectueuse de l’environnement.

 Eventuelles retombées économiques et sociales

Des accords de développement spécifiques seront conclus entre l’ONEE et le consortium pour chaque projet. Dans ce contexte, le premier accord officiel a déjà été conclu en vue du démarrage du projet de centrales à Tahaddart. Le consortium se chargera de structurer et d’obtenir le financement pour l’intégralité du programme, en cherchant des fonds auprès des bailleurs de fonds nationaux et internationaux. Cette démarche vise à garantir la rapidité et la rigueur nécessaires, compte tenu de l’urgence et de l’importance stratégique des enjeux.

Ce programme d’infrastructure, au-delà de ses buts techniques, est à même de générer d’importantes retombées économiques et sociales. On prévoit qu’il créera plus de 25 000 emplois, dont 10 000 permanents, une fois les installations mises en service. Cela favorisera aussi le transfert de technologies, l’émergence d’un réseau industriel local, principalement dans les domaines du dessalement et des énergies renouvelables, et contribuera à l’établissement de filières de formation spécialisées.

A noter in fine que l’application du programme est conditionnée par les autorisations et procédures réglementaires actuelles, notamment celles liées à la supervision des opérations de concentration. Dans l’ensemble, ce programme dépeint une vision précise : allier souveraineté nationale, développement durable et supériorité technologique.

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Le court-métrage “Mima” de Dorra Sfar primé au Festival du Cinéma Réalité de Tanger

Le court-métrage “Mima” écrit et réalisé par Dorra Sfar a remporté le prix de la meilleure réalisation et de la meilleure interprétation féminine dans la compétition des films d’écoles de cinéma, à la quatrième édition du Festival International du Cinéma Réalité, à Tanger au Maroc.

Le palmarès de cette édition 2025 tenue du 14 au 18 mai, a été dévoilé, dimanche au cours d’une cérémonie organisée au centre culturel de Beni Makada de la ville de Tanger.

“Mima (16′) est une production de 2024 qui figurait parmi une sélection de six films d’étudiants en cinéma représentant le Maroc (3), l’Égypte, l’Irak et la Tunisie.

Le jury a décidé de décerner le prix de la meilleure réalisation à Dorra Sfar et celui de la meilleure interprétation à Hajer Fehri pour son rôle d’une grand-mère.

Dorra Sfar est également lauréate d’une mention spéciale de la meilleure réalisation à la 14ème édition du Festival international du film pour l’enfance et la jeunesse (FIFEJ), tenu du 8 au 12 avril 2025

« Mima » retrace le retour d’une jeune réalisatrice tunisienne dans sa ville natale pour tourner un film dans la maison où elle a passé son enfance. Elle découvre alors que la maison est mise en vente. Elle est tiraillée entre ses racines et le désir de fuir à nouveau vers d’autres cieux.

Dans la compétition des films professionnels, ” Une année, un jour” (14′) de l’italien Daniele Scotchi a remporté le Grand prix du festival en plus du prix du meilleur scénario.

Le prix de la meilleure réalisation est revenu à l’espagnole Alba Losano pour son film “L’étranger” (20′).

Dans la compétition des films amateurs, l’italienne Anna Ciotti a remporté le prix de la meilleure réalisation pour son film « Esclave » (8′)

Le Festival international du cinéma réalité est organisé par l’association marocaine “Les lions du Nord pour la culture et l’art”, avec le soutien du Centre cinématographique marocain et du Conseil régional de Tanger-Tétouan-Al Hoceima.

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Le Maroc est devenu une destination privilégiée des Russes

Les arrivées de touristes russes au Maroc ont augmenté cette année, les réservations pour l’été 2025 ayant presque quintuplé par rapport à la même période de l’année dernière.

La plateforme touristique russe OneTwoTrip déclare, dans un rapport, que le Maroc connaîtrait un afflux sans précédent de touristes russes en 2025.

Sur la base des données de réservation anticipée, la plateforme a révélé que le Maroc est devenu une destination privilégiée pour les Russes à la recherche de nouvelles expériences de voyage par rapport aux destinations traditionnelles, selon le site web marocain Al Omq.

Cette importante augmentation reflète un changement significatif dans la position du Maroc sur la carte du tourisme russe au cours de la période actuelle.

Selon une analyse des tendances de voyage des touristes russes, l’Abkhazie se classe au deuxième rang en termes de croissance de la demande. Tandis que les destinations européennes comme l’Espagne ont enregistré une croissance de 9,1 %.

Sur le continent africain, l’Égypte et l’Afrique du Sud ont conservé leur position de premières destinations pour les touristes russes, avec des réservations en hausse respectivement de 75 % et de 57 %.

Globalement, le ministère marocain du Tourisme indique que le Maroc a accueilli 5,7 millions de touristes au cours des quatre premiers mois de 2025, soit un taux de croissance de 23 % par rapport à la même période en 2024.

A noter que le Maroc ambitionne d’attirer 17,5 millions de touristes d’ici 2026 et de créer 200 000 nouvelles opportunités d’emploi dans le secteur du tourisme.

Selon les données officielles marocaines, 2024 a vu un nombre record de 17,4 millions de touristes arriver au Maroc. Soit une augmentation de 20 % par rapport à 2023.

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La Tunisie en chute libre dans le classement mondial de la liberté de la presse

Selon le dernier classement de la liberté de la presse dans le monde publié par l’organisation Reporters Sans Frontières (RSF), la Tunisie a perdu 11 places en un an, se classant 129e sur 180 pays. C’est son plus mauvais classement depuis la chute de la dictature de Ben Ali.

La Tunisie se classe derrière la Mauritanie (50e), le Maroc (120e) et même l’Algérie (126e). Elle peut se consoler d’avoir devancé le reste des pays arabes, qui sont parmi les derniers de la classe dans ce domaine… comme dans bien d’autres.

Cette dégringolade sans précédent fait suite à l’intensification de la répression contre les journalistes, dont plusieurs sont actuellement derrière les barreaux, purgeant des peines de prison pour des commentaires, des déclarations et des écrits.

«Depuis la révolution de 2011 qui a poussé le président Ben Ali hors du pays, la Tunisie connaît une transition démocratique à rebondissements. Le coup de force du président Kaïs Saïed, en juillet 2021, fait craindre un recul de la liberté de la presse0», souligne le rapport.

Cette dégradation fait suite à la promulgation du Décret-loi n° 2022-54 du 13 septembre 2022, relatif à la lutte contre les infractions se rapportant aux systèmes d’information et de communication. Texte liberticide auquel les juges recourent désormais presque exclusivement pour condamner les journalistes et les acteurs de la société civile, tout en jetant aux oubliettes les décrets-lois 115 relatif à la liberté de la presse et 116 trelatif à la communication audiovisuelle promulgués en 2011, et qui ne prévoient pas de peines privatives de la liberté.   

Rappelons que le très controversé article 24 du décret-loi n° 54 stipule ceci :

«Est puni de cinq ans d’emprisonnement et d’une amende de cinquante mille dinars quiconque utilise sciemment des systèmes et réseaux d’information et de communication en vue de produire, répandre, diffuser, ou envoyer, ou rédiger de fausses nouvelles, de fausses données, des rumeurs, des documents faux ou falsifiés ou faussement attribués à autrui dans le but de porter atteinte aux droits d’autrui ou porter préjudice à la sûreté publique ou à la défense nationale ou de semer la terreur parmi la population.

«Est passible des mêmes peines encourues au premier alinéa toute personne qui procède à l’utilisation de systèmes d’information en vue de publier ou de diffuser des nouvelles ou des documents faux ou falsifiés ou des informations contenant des données à caractère personnel, ou attribution de données infondées visant à diffamer les autres, de porter atteinte à leur réputation, de leur nuire financièrement ou moralement, d’inciter à des agressions contre eux ou d’inciter au discours de haine.

«Les peines prévues sont portées au double si la personne visée est un agent public ou assimilé.»

I. B.

Lire le rapport relatif à la Tunisie.

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Mohammed VI nomme plusieurs gouverneurs et ambassadeurs

Le Roi Mohammed VI a présidé, lundi au Palais Royal à Rabat, un Conseil des ministres, indique un communiqué du porte-parole du Palais Royal. Conformément aux dispositions de l’article 49 de la Constitution, et sur proposition du Chef du gouvernement, et à l’initiative du ministre de l’Intérieur, le Roi a bien voulu nommer nombre de Walis […]

Standard Chartered ouvre officiellement un bureau de représentation au Maroc

La banque britannique Standard Chartered a annoncé  l’ouverture officielle d’un nouveau bureau de représentation à Casablanca, au Maroc, renforçant ainsi sa présence dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.Cette ouverture fait suite à l’approbation de sa licence par Bank Al-Maghrib et à l’obtention du statut de Casablanca Finance City (CFC) par l’Autorité […]

TradeFlock: une Marocaine classée parmi les figures RH mondiales les plus inspirantes

La Marocaine Ilham Mouhriz figure parmi les «Most Inspiring Global HR Leaders 2025», un classement établi par le média international TradeFlock, qui distingue chaque année des personnalités influentes du management des ressources humaines à l’échelle mondiale.

Ce palmarès met en avant des professionnels reconnus pour leur vision stratégique, leur capacité à innover et leur impact positif dans des environnements complexes. Le parcours d’Ilham Mouhriz illustre cette dynamique, avec une expérience diversifiée dans les secteurs de l’automobile, du conseil, de l’hôtellerie et des technologies.

Depuis octobre 2023, elle occupe le poste de Vice President Human Resources au sein du Morocco Global Delivery Center de Capgemini. Avant cela, elle a exercé pendant huit ans en tant que Human Resources Director for Africa Region (Maroc, Côte d’Ivoire, Sénégal, Égypte) chez Sitel Group, où elle a piloté les ressources humaines à l’échelle de plusieurs pays africains.

Elle fonde son approche sur des valeurs essentielles: inclusion, agilité et intégrité. Elle a notamment mené une refonte des processus de recrutement et instauré une culture d’entreprise participative. Son engagement vise à faire de chaque collaborateur un acteur clé de la transformation organisationnelle.

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Ces Arabes qui tournent en rond comme un ballon de foot !

De nos jours, le football est devenu, au-delà de certains cercles fanatiques, la première «religion du monde», avec des méga stades où l’on prie pour la victoire de son club, comme dans les cathédrales et les mosquées. Alors que, pour d’autres causes, dites plus sacrées, on se laisse aller à l’indifférence. Indifférents même à l’annonce de laisser mourir de faim et de soif des petits enfants et des bébés.

Abdelaziz Dahmani *

Ce jour, 8 mai 2025, la France fête le 80e anniversaire de sa libération du Nazisme et de la fin de la 2e Guerre mondiale, et ses plus que 50 millions de morts. Seuls certains comptent… L’Algérie, encore colonisée, a cru que son heure de se libérer est arrivée. Cela a conduit dans les jours suivants à une répression coloniale, notamment à Sétif et Guelma, répression évaluée à 25 à 40 000 morts algériens. Des colons, appuyés de la police et de l’armée se sont adonné à des orgies inhumaines, exactement comme cela se passe actuellement en Cisjordanie, Palestine, sans parler du génocide de Gaza…

Comme toujours, la liberté n’est pas estimée valable pour tous, et des ethnies se croient, se considèrent comme supérieures, en allant chercher, arguments et justifications dans les entrailles de l’Histoire. Hitler pour justifier ses crimes a usé des mêmes stratagèmes. Comment a-t-il fini ?

Guerre de 1940-45, ces mêmes arabo-berbères maghrébins ont bien participé à la libération de la France, du «Monde Libre», souvent placés même en premières lignes des batailles, avec d’autres Africains. Ils ont permis à la libération de grandes franges de l’Est de la France occupée par les Nazis, et sont rentrés en premiers pour la libération de Marseille par un contingent marocain, ville où a joué l’un des plus grands phénomènes, de l’ancien foot mondial, le marocain Larbi Ben Barek.

80 ans ont passé, le Maghreb a pris, entre-temps, ses propres moyens de se libérer, Maroc et Tunisie en 1956, Algérie en 1962… Mais ces Maghrébins n’ont pas réussi de grands développements en profondeur, se sont même désunis, et même parfois frontières fermées ! Chacun jouant pour soi. Et même naissance d’un esprit bismarckien… Et faute de développement global, qui a beaucoup réussi d’autres pays, les Maghrébins, les voilà, nombreux à viser aller vivre, sécurité et bon salaire, ailleurs, notamment en France. À leur tour d’être toisés de haut, montée des sentiments malsains, et tous confondus avec une toute petite minorité de pègres et de voyous. Hélas, ces derniers existent, comme la pomme pourrie, placée dans un cageot, à côté d’autres fruits plus sains.

A la libération de la France, une folie joyeuse s’est déclarée partout notamment à Paris sur les Champs-Élysées. Hier soir, 80 ans après jour pour jour, les Champs-Elysées ont connu un délire encore plus ardent, suite à la victoire… du PSG en Coupe d’Europe. Jamais un club français n’est monté si haut, si on oublie l’OM de 1993… resté à ce jour seul vainqueur d’une Coupe d’Europe des Champions… Et derrière cette folie d’enthousiasme allant aux délires collectifs, hier soir, il y avait deux Arabes derrière ce succès «mondial» du PSG, le Qatarien Nasser Al-Khelaïfi, son propriétaire, a mis l’argent nécessaire, ce a permis à ce que le PSG grimpe au niveau des plus grands clubs du monde. Et hier soir le Marocain Achraf Hakimi qui a permis la victoire et l’accession à la Finale de la Coupe d’Europe des Clubs, épreuve aussi prestigieuse que la Coupe du Monde…Et rappel de Zineddine Zidane, d’origine algérienne, qui a permis à la France, en 1998, de se hisser, pour la première fois, parmi les plus grands du football mondial…

Que vient faire, diriez-vous, le football, avec les guerres, les libérations, les répressions ?

Oui, de nos jours, le football est devenu, au-delà de certains cercles fanatiques, la première «religion du monde», avec des méga stades où l’on prie pour la victoire de son club, comme dans les cathédrales et mosquées. Alors que, pour d’autres causes, dites plus sacrées, on se laisse aller à l’indifférence. Indifférents même à l’annonce de laisser mourir de faim et de soif des petits enfants et des bébés.

Changements de priorités ?

Toujours, ce Jour 8 mai 2025, les cardinaux du monde de l’Eglise Catholique, après le décès du Pape François, sont en réunion fermée au Vatican, pour élire un nouveau Pape. Ronaldo ou… Messi, comme son nom l’indique, ont, peut-être une chance d’être pris au sérieux. Sauf qu’ils ont raison de se garder, maître, pape, cardinal, de la nouvelle religion du ballon rond, forme du monde auquel ils font tourner la tête. Nos délires !

* Journaliste.

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Marokko – Royal Air Maroc RAM erwägt Rückkehr zu Airbus

Royal Air MarocNach Jahrzehnten der Boeing-Dominanz mehren sich die Anzeigen für eine Rückkehr der Royal Air Maroc RAM zum europäischen Hersteller Airbus – ein wirtschaftspolitischer Kurswechsel mit Signalwirkung Rabat – Nach über zwei Jahrzehnten nahezu ausschließlicher Zusammenarbeit mit Boeing soll Royal Air Maroc (RAM) die Rückkehr zur europäischen Airbus-Flotte vorbereiten. Wie mehrere Quellen, darunter die französische Zeitung […]

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Marokko – Royal Air Maroc RAM wird globaler Partner des afrikanischen Fußballverbands CAF

Royal Air MarocDie marokkanische Fluggesellschaft positioniert sich als zentrale Logistikpartner für künftige Sportgroßveranstaltungen in Afrika – mit politischer und wirtschaftlicher Signalwirkung. Casablanca – Die marokkanische Fluggesellschaft Royal Air Maroc (RAM) hat ihre Rolle als strategischer Akteur im afrikanischen Sport- und Eventsektor weiter ausgebaut. In der vergangenen Woche wurde in Casablanca offiziell bekannt gegeben, dass RAM künftig als […]

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