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Distribution de dividendes : le monde progresse, mais la Tunisie reste prudente

Alors que les dividendes mondiaux ont atteint un record de 1 750 milliards de dollars en 2024, en hausse de 6,6 % par rapport à 2023 selon une étude de Janus Henderson, la tendance en Tunisie reste marquée par une certaine stabilité, malgré une légère contraction du nombre d’entreprises cotées et une retenue partielle des bénéfices.

Cette progression mondiale est notamment portée par l’entrée des géants technologiques Meta (Facebook) et Alphabet (Google) dans le cercle des sociétés distributrices, avec un premier dividende combiné de 15,1 milliards de dollars.

En Tunisie, 60 % des sociétés cotées à la Bourse ont versé des dividendes au titre de l’exercice 2023, selon une publication de mai 2025 intitulée “Distribution de dividendes par les sociétés cotées au titre des exercices 2021/2022/2023”, émise par la Bourse de Tunis. Sur les 78 entreprises cotées en 2023, contre 82 en 2022, en raison de la radiation de quatre sociétés, 48 ont distribué des dividendes, soit une légère baisse par rapport à 2022 (49 sociétés). Il est à noter que les sociétés radiées n’avaient pas distribué de dividendes auparavant, ce qui relativise l’impact de leur retrait sur les chiffres globaux.

Certaines entreprises bénéficiaires ont néanmoins choisi de ne pas verser de dividendes. C’est le cas de la STB, Carthage Cement et STIP, qui affichent respectivement des bénéfices moyens sur la période 2021-2023 de 86 Mtnd, 41 Mtnd et 12 Mtnd. Leur décision s’inscrit dans une logique d’apurement de pertes antérieures, les bénéfices étant conservés pour renforcer leur structure financière.

Sur le plan quantitatif, le montant total des dividendes distribués par les sociétés cotées en Tunisie est passé de 1 136 Mtnd en 2021 à 1 393 MD en 2023, soit une progression de 22,6 % (+257 Mtnd). Cette croissance soutenue témoigne de la résilience des entreprises cotées, dont les bénéfices cumulés ont progressé de 13,3 % (+288 Mtnd) sur la même période.

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Indice de la production industrielle: -3,6% en décembre 2024, d’après l’ITCEQ

L’indice de la production industrielle a enregistré une baisse de 3,6%, passant de 91,3 en décembre 2023 à 88 en décembre 2024, selon le Tableau de bord de la conjoncture économique mars 2025, publié par l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives (ITCEQ).

Ce recul s’explique principalement par la diminution de la production dans plusieurs secteurs clés: l’énergie (-22%), le textile, habillement et cuir (-3%), les industries chimiques (-0,9%) ainsi que les industries des matériaux de construction, céramique et verre (-0,8%).

À l’inverse, certains secteurs ont affiché une croissance notable, notamment les mines (+27,9%), les industries agroalimentaires (+8,3%) et les industries diverses (+0,4%), tandis que la production dans les industries mécaniques et électriques est restée stable.

Par ailleurs, l’ITCEQ indique que durant le premier trimestre 2024, l’indice des prix de l’immobilier, par type de bien, a connu une hausse de 4,9% pour les maisons et de 3% pour les appartements par rapport au quatrième trimestre 2023. En revanche, les prix des terrains ont reculé de 3,4%.

En glissement annuel, une progression a été constatée pour l’ensemble des catégories: +15,4% pour les maisons, +4,9% pour les terrains et +0,1% pour les appartements.

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Ministère des Finances: baisse modérée du déficit budgétaire en 2024

Le déficit budgétaire de la Tunisie est estimé à environ 10 milliards de dinars pour l’ensemble de l’année 2024, enregistrant ainsi une légère baisse de 6% par rapport à 2023, où il s’élevait à 11,4 milliards de dinars. C’est ce que révèlent les indicateurs publiés par le ministère des Finances concernant les «résultats provisoires de l’exécution du budget de l’État à fin décembre 2024».

Cette amélioration s’explique par une progression des recettes budgétaires à un rythme plus soutenu que celui des dépenses.

Les recettes du budget ont connu une hausse de 8,7%, passant de 43,2 milliards de dinars en décembre 2023 à 47 milliards de dinars à la même date en 2024. Cette évolution est portée par l’augmentation des recettes fiscales de 9,7 %, atteignant 41,7 milliards de dinars, ainsi que par la progression des recettes non fiscales de 3,3 %, pour un total de 4,6 milliards de dinars.

Les dépenses ont, de leur côté, augmenté de 4,6%, pour s’établir à 56,4 milliards de dinars à fin 2024, contre environ 54 milliards un an plus tôt.

Cette augmentation s’explique notamment par la hausse des dépenses salariales de 2,6% (22,2 milliards de dinars contre 21,7 milliards), des dépenses d’intervention de 4% (portées à 19 milliards), des charges d’intérêts sur la dette en hausse de 7,8% (à 6,2 milliards), ainsi que des dépenses d’investissement, en progression de 7,4% (atteignant 6 milliards de dinars).

Les ressources du Trésor ont également enregistré une croissance de 10%, passant de 26,1 à 28,8 milliards de dinars, grâce notamment à un recours accru à l’emprunt intérieur, qui a représenté 23,2 milliards de dinars.

Ces ressources ont été mobilisées principalement pour rembourser le principal de la dette, à hauteur de 64,3% (18,5 milliards de dinars), et pour couvrir le déficit budgétaire à hauteur de 32,7% (9,4 milliards de dinars).

Enfin, l’encours de la dette publique s’est établi à 81,2% du PIB en 2024, contre 84,6% en 2023.

 
 

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Tunisie: boom des exportations d’huile d’olive, mais le revenu s’évapore

L’Observatoire national de l’agriculture (Onagri) a publié son rapport sur les exportations d’huile d’olive tunisienne couvrant la période de novembre 2024 à avril 2025. Il en ressort une hausse de 40,1% des volumes exportés, mais une baisse de 28,9% des recettes générées.

Selon les données communiquées, les exportations au cours des six premiers mois de la campagne 2024-2025 ont atteint 180.200 tonnes, contre 128.700 tonnes durant la même période de l’exercice précédent. L’huile d’olive conditionnée ne représente que 11,9% de ce total, le reste étant exporté en vrac (88,1%). Cela marque une légère progression par rapport à la campagne 2023-2024, où la part du conditionné s’élevait à 11%. L’huile extra vierge domine les exportations, représentant à elle seule 82,5% du volume total.

Sur le plan des recettes, les exportations ont généré 2,44 milliards de dinars à fin avril 2025, contre 3,44 milliards à la même période de la campagne précédente. L’huile conditionnée ne représente que 17,7% de ces revenus.

En avril 2025, le prix moyen de l’huile d’olive a chuté de 48,9% par rapport au même mois de l’année précédente.

Le marché européen demeure la principale destination, absorbant 59,5% du volume exporté, suivi de l’Amérique du Nord (24,9%) et de l’Afrique (9,6%).

L’Italie arrive en tête des pays importateurs avec 29% des volumes écoulés au cours des six premiers mois de la campagne 2024-2025, suivie de l’Espagne (26%) et des États-Unis (19,6%).

Les exportations d’huile d’olive biologique ont, quant à elles, atteint 34.300 tonnes à fin avril 2025, générant environ 469,1 Mtnd. Toutefois, la part du conditionné dans cette catégorie reste faible, ne dépassant pas 5% du volume exporté. Le prix moyen du kilo s’établit à 13,68 dinars, allant de 13,47 Tnd pour l’huile en vrac à 17,65 Tnd pour le conditionné.

L’Italie est également le principal client pour cette catégorie, avec 58% des volumes exportés, devant l’Espagne (21%) et les États-Unis (11%).

À noter que les données analysées par l’Onagri proviennent de la douane tunisienne et de la Direction générale de l’agriculture biologique (DGAB).

 

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La Tunisie lance une nouvelle étape pour renforcer la compétitivité de ses PME à l’export

Une conférence de presse a été organisée récemment à Tunis dans le cadre du lancement du programme “Trade and Competitiveness Programme (TCP), un projet financé par l’Union européenne (UE) en partenariat avec la Banque européenne d’investissement (BEI) et d’autres institutions. Ce programme vise à améliorer la compétitivité des petites et moyennes entreprises tunisiennes, particulièrement sur les chaînes de valeur exportatrices prioritaires: agriculture, agroalimentaire, textile et automobile.

Le TCP s’inscrit dans une dynamique de soutien renforcé au tissu économique tunisien. Il combine plusieurs leviers: appui technique, facilitation de l’accès au financement et accompagnement à la transition verte. Lors de cette rencontre, les intervenants ont souligné l’importance stratégique des PME, qui représentent 96% du tissu économique national, tout en jouant un rôle crucial dans la création d’emplois et le développement régional.

Pour Marco Stella, chef de section Développement économique de l’UE en Tunisie, le programme traduit la volonté de l’Union européenne de soutenir l’économie réelle. Il a rappelé que l’initiative, portée par l’UE en partenariat avec la Délégation de l’UE en Tunisie et l’Agence de développement et d’investissement de l’organisation internationale (ADIOI), permettra de mobiliser des ressources additionnelles au profit des PME tunisiennes. L’objectif est de créer un environnement propice à l’investissement, à l’innovation et à l’exportation, tout en intégrant les enjeux de durabilité.

De son côté, Jean-Luc Revéreault, chef de la Représentation de la BEI en Tunisie, a présenté les instruments mis en place pour appuyer les PME, en particulier une ligne de crédit de 170 millions d’euros, signée avec la Banque centrale de Tunisie, destinée à améliorer l’accès au financement. Il a également évoqué une future ligne de garantie pour inciter les banques à accompagner des PME à plus fort profil de risque mais à fort potentiel. Ces dispositifs s’inscrivent dans un effort régional plus large de relance post-crise et de résilience face aux enjeux géopolitiques, climatiques et économiques.

Le programme prévoit également un accompagnement spécifique pour aider les entreprises à adopter des pratiques respectueuses de l’environnement, à réduire leur empreinte carbone et leur consommation d’eau, notamment dans des secteurs comme le textile. Cette approche vise aussi à anticiper les nouvelles normes européennes, telles que la taxe carbone aux frontières.

Cette initiative vient renforcer la coordination entre les acteurs européens présents en Tunisie dans le cadre de l’approche Team Europe, qui fédère les efforts de la Commission européenne, de la BEI et des agences bilatérales de développement des États membres. Elle est également alignée sur les priorités du gouvernement tunisien, notamment en matière de relance économique et de soutien aux PME.

 

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Rahma Segni nommée aux 100 Leading Investors in Africa Awards 2025

Rahma Segni a été nommée pour les 100 Leading Investors in Africa Awards 2025.

Entrepreneure tunisienne, elle est la fondatrice de Rama, une marque lancée en 2022 qui allie style, performance et inclusivité dans des collections de maillots de bain et de vêtements de sport adaptés à toutes les morphologies. Titulaire d’une formation en biotechnologie pharmaceutique et en commerce international, elle adopte une approche multidisciplinaire mêlant mode et innovation technologique.

Rahma Segni est également à l’origine de My Smart Move, une startup sport-tech qui développe des vêtements de sport intelligents connectés à des applications mobiles, avec pour objectif de renforcer les performances des athlètes grâce aux données et à la technologie portable. Elle a représenté la Tunisie dans divers programmes internationaux et s’implique activement dans l’autonomisation des femmes entrepreneures en Afrique et dans la région Mena.

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L’ARP adopte la loi encadrant les contrats de travail et interdisant la sous-traitance

Au terme d’une séance plénière marathon entamée mardi matin et prolongée jusqu’à l’aube du mercredi 21 mai 2025, l’Assemblée des représentants du peuple a adopté le projet de loi n°16-2025 relatif à l’organisation des contrats de travail et à l’interdiction du recours à la sous-traitance.

Le texte a été adopté dans son intégralité avec 121 voix favorables, 4 abstentions et aucun vote contre. Un seul amendement a été retenu, portant sur l’article 8, tandis que les autres propositions ont été écartées faute de majorité. Le texte conserve ainsi dans l’ensemble la version initiale présentée par le gouvernement, témoignant d’un large consensus sur son orientation générale malgré quelques divergences sur les détails.

Le premier chapitre du texte établit que le contrat à durée indéterminée constitue la forme normale d’embauche. Les contrats à durée déterminée demeurent exceptionnels et ne sont autorisés que dans des situations précises et justifiées, telles qu’un surcroît temporaire d’activité, le remplacement d’un salarié ou la réalisation de travaux saisonniers. La période d’essai est fixée à six mois, renouvelable une seule fois, dans un souci d’équilibre entre la stabilité de l’emploi et la flexibilité pour l’entreprise.

Le deuxième chapitre interdit le recours à des tiers pour assurer les missions permanentes et essentielles au sein des entreprises, qu’elles soient publiques ou privées. Seules certaines interventions techniques ou ponctuelles sont permises, à condition qu’elles ne deviennent pas un moyen de contourner les droits légaux des travailleurs. Il s’agit d’une avancée juridique inédite en Tunisie, mettant fin à plusieurs années de controverse autour de la sous-traitance et de ses effets sur la précarité de l’emploi.

Le chapitre des sanctions prévoit des mesures strictes pour faire respecter la loi, incluant des amendes financières et la reconnaissance automatique d’un lien d’emploi direct entre le salarié et l’entreprise bénéficiaire. Les entreprises contrevenantes pourront également être exclues des avantages ou des marchés publics.

Enfin, des dispositions transitoires sont prévues afin de permettre aux entreprises de régulariser leur situation, garantissant une mise en œuvre progressive des réformes sans perturber les cycles de production ni les relations contractuelles existantes.

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Tunindex20: 62% du revenu global généré au premier trimestre 2025

Selon un document publié par la Bourse de Tunis, intitulé “Évolution des revenus des sociétés cotées”, les indicateurs d’activité au premier trimestre 2025 font apparaître une hausse de 3,0% du revenu global des sociétés cotées par rapport à la même période de 2024. Ce revenu s’est établi à 6,2 milliards de dinars, contre 6 milliards un an plus tôt.

Parmi les 70 sociétés cotées, 46 ont publié leurs indicateurs pour le premier trimestre 2025. Parmi elles, 66% ont enregistré une amélioration de leurs revenus par rapport à la même période de l’année précédente.

Les vingt sociétés composant le Tunindex20 ont généré un total de 3,8 milliards de dinars, soit 62% du revenu global, marquant une progression de 1,8% en glissement annuel.

Le secteur Pétrole et Gaz a affiché la plus forte croissance sectorielle, avec une hausse de 40,8%, suivi du secteur des Matériaux de base (+15,4%). À l’inverse, le secteur des Industries a enregistré la plus forte baisse, avec un repli de 9,2%.

En ce qui concerne les performances individuelles, les plus fortes hausses de revenus ont été réalisées par Artes (+169%), New Body Line (+45,3%), Assad (+42,1%), Sotrapil (+40,8%) et Placements de Tunisie Sicaf (+40,7%). En revanche, les plus fortes baisses ont concerné Simpar (-95,2%), Sits (-34,2%), Sotemail (-30,2%), Cellcom (-30,1%) et Carthage Cement (-28,6%).

N.B.: À la date de publication de cet article, 70 sociétés cotées, soit 95% de la Cote, ont publié leurs indicateurs relatifs au premier trimestre 2025. Les sociétés qui n’ont pas publié leurs indicateurs à ce jour sont: Air Liquide Tunisie, Alkimia, AeTech et UADH.

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Qualcomm Make In Africa: Pixii Motors parmi 3 startups tunisiennes lauréates de l’édition 2025

Lancée il y a trois ans, la Qualcomm Africa Innovation Platform accompagne le développement de l’écosystème deep-tech africain à travers des programmes de mentorat et des formations techniques, commerciales et en propriété intellectuelle. Ces formations portent principalement sur des technologies de pointe telles que la 5G, l’Edge-AI/ML, la puissance de calcul et l’Internet des objets (IoT). Cette année, l’appel à candidatures a rencontré un vif succès, avec près de 435 dossiers déposés provenant de 19 pays africains.

Qualcomm Incorporated a annoncé aujourd’hui la liste des startups retenues pour l’édition 2025 du programme Qualcomm Make in Africa (QMIA), parmi lesquelles figurent trois jeunes pousses tunisiennes:

  • AmalXR (Tunisie): solution de rééducation en réalité virtuelle, validée cliniquement et assistée par l’IA;

  • Ecobees (Tunisie): système d’apiculture intelligente permettant de suivre l’état des ruches, l’humidité et les conditions climatiques;

  • Pixii Motors (Tunisie): scooters électriques intégrant une optimisation IA/IoT de la batterie, accompagnés de stations d’échange de batteries.

Première initiative de ce type sur le continent, Qualcomm Make in Africa est un programme de mentorat sans prise de participation, destiné aux startups technologiques en phase de lancement qui intègrent des technologies avancées de connectivité et de traitement dans des solutions innovantes. L’objectif est d’aider ces entreprises à exploiter tout le potentiel de la 5G, de l’Edge-AI/ML embarqué, de la puissance de calcul et de l’IoT.

Les startups sélectionnées se distinguent par leur capacité à transformer ces technologies de pointe en solutions concrètes à fort impact. Elles bénéficieront de plateformes matérielles gratuites, d’un accompagnement personnalisé, de conseils techniques pour le développement produit, d’un soutien à la commercialisation et à la protection de leur propriété intellectuelle.

Voici les autres startups sélectionnées, classées par ordre alphabétique:

  • Aframend (Nigeria): découverte de médicaments à base de phytocomposés africains, grâce à l’IA;

  • Archeos (Bénin): automatisation de la pisciculture via l’énergie solaire et l’IoT, pour améliorer la qualité de l’eau et l’alimentation des poissons;

  • ClimatrixAI (Nigeria): prévision et suivi localisés des risques d’inondation grâce à l’IA;

  • Edulytics (Sénégal): détection mobile de la fibrose hépatique par ultrasons, assistée par l’IA;

  • Farmer Lifeline (Kenya): robots solaires intelligents pour détecter les maladies et parasites des cultures;

  • Pollen Patrollers (Kenya): solution de pollinisation de précision via IA/IoT pour lutter contre le déclin des abeilles;

  • Solar Freeze (Kenya): chambres froides solaires connectées pour réduire les pertes post-récolte.

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Monoprix lance un appel à candidatures pour deux postes

Monoprix lance un appel à candidatures pour la désignation de deux administrateurs indépendants au sein de son conseil d’administration, pour un mandat de trois ans (2025, 2026 et 2027).

Le premier poste concerne un administrateur indépendant siégeant au sein du conseil d’administration. Les candidats doivent être titulaires d’au moins une maîtrise (ou d’un diplôme équivalent), justifier d’une expérience professionnelle d’au moins dix ans dans le secteur de la grande distribution, du commerce ou de la logistique, ou dans l’une des spécialités suivantes: gouvernance d’entreprise, management, ingénierie agroalimentaire, industrielle ou informatique. Une expérience préalable en tant que membre d’un conseil d’administration est également requise.

Le deuxième poste concerne un administrateur indépendant qui exercera également les fonctions de président du comité d’audit. Les candidats doivent, au moment de leur candidature, être titulaires d’au moins une maîtrise (ou d’un diplôme équivalent), avoir déjà été membres d’un comité permanent d’audit ou en avoir assuré la présidence, et justifier d’une expérience professionnelle d’au moins dix ans dans le secteur de la grande distribution ou dans l’une des spécialités suivantes: audit, finance ou contrôle de gestion.

Le dossier de candidature pour l’un ou l’autre des deux postes doit être transmis ou déposé au siège social de la société, par tout moyen laissant une trace écrite, au plus tard le 30 mai 2025 à 17h, date limite de réception des candidatures.

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La BNA recrute pour un poste d’administrateur!

La BNA Bank lance un appel à candidatures pour désigner un administrateur représentant des actionnaires minoritaires devant siéger dans son conseil d’administration pour la période des exercices 2025 à 2027.

Les candidats intéressés doivent soumettre un dossier de candidature complet, incluant entre autres une demande de candidature à l’attention du président du conseil d’administration de la BNA présentant le candidat et son profil, une fiche de candidature, le CV du candidat, une copie d’une pièce d’identité, une déclaration sur l’honneur, attestant que le candidat répond aux critères d’éligibilité et un extrait du casier judiciaire datant de moins de 3 mois à la date du dépôt du dossier de candidature.

Les candidatures doivent être déposées au plus tard le 2 juin 2025 à 16h00.

 

 

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Les candidatures sont ouvertes pour le fonds africain Tarcoola

Les candidatures sont désormais ouvertes pour Tarcoola, un fonds et accélérateur africain conçu pour accompagner les startups à partir de la série A vers une nouvelle phase de croissance.

L’objectif de Tarcoola est de repérer les entreprises à fort potentiel et de leur offrir les outils, l’expertise et les connexions indispensables pour se développer rapidement et durablement.

En combinant financement stratégique, accompagnement personnalisé et ressources ciblées, le programme ambitionne de combler le fossé entre les premières étapes de croissance et la réussite à grande échelle.

Les candidatures peuvent être soumises jusqu’au 31 mai via ce lien.

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Offre publique d’achat obligatoire sur la STA: les conditions fixées par le CMF

Le Conseil du marché financier (CMF) a fixé les conditions de l’Offre publique d’achat (OPA) obligatoire à laquelle est soumise la société Kilani Holding, portant sur le reste des actions composant le capital de la Société tunisienne d’automobiles (STA).

Cette opération est initiée par Kilani Holding, qui détient actuellement 1 081 223 actions, soit 54,06% du capital de la STA. L’OPA vise l’acquisition des 918 777 actions restantes, représentant 45,94% du capital de la société.

Conformément à la réglementation en vigueur, Kilani Holding s’engage, pendant la période de validité de l’offre, à acquérir sur le marché l’ensemble des titres présentés en réponse à l’offre, dans la limite des actions concernées.

Le présent avis est établi sous la responsabilité conjointe de l’initiateur de l’offre et de la société visée, chacun en ce qui le concerne.

Pour plus de détails, consultez ce document.

 

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Projets économiques et sociaux : l’exécutif passe à l’action pour lever les blocages

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zanzri, a présidé, le lundi 19 mai 2025, un conseil ministériel consacré à l’examen de solutions urgentes pour accélérer la mise en œuvre des projets à vocation économique et sociale.

Dès l’ouverture de la réunion, Zanzri a souligné l’impératif d’intensifier les efforts et de renforcer la coordination entre les différentes parties prenantes afin de lever les obstacles entravant l’exécution de ces projets.

Les initiatives discutées concernent plusieurs secteurs stratégiques. Dans le domaine de la santé, elles portent sur la construction et l’équipement d’hôpitaux dans plusieurs gouvernorats, la réhabilitation de services médicaux, ainsi que la modernisation des systèmes d’information hospitaliers.

En matière d’éducation, de formation professionnelle et d’enseignement supérieur, les priorités incluent l’achèvement des programmes de rénovation des infrastructures scolaires, l’amélioration de la qualité de l’enseignement de base, le développement de la formation professionnelle et la construction de nouveaux établissements universitaires.

Sur le plan culturel, les projets comprennent la restauration de la mosquée historique Zitouna et de ses alentours. Pour ce qui est des affaires religieuses, il est notamment prévu d’assurer l’entretien de la mosquée du Roi Abdelaziz Al Saoud à Tunis.

Dans le secteur de l’environnement, les actions programmées visent l’achèvement des travaux d’assainissement dans les petites municipalités, l’amélioration de l’efficacité énergétique des stations d’épuration, la dépollution de la lagune de Bizerte, ainsi que la protection du littoral contre l’érosion marine à Gammarth, Carthage et La Goulette.

Le développement du réseau ferroviaire rapide a également été abordé dans le cadre du secteur des transports. Concernant l’énergie et les mines, les discussions ont porté sur l’avancement du projet « Mdhilla 2 », l’extension des réseaux de transport et de distribution du gaz naturel, l’amélioration des infrastructures électriques, ainsi que la mise en œuvre du plan national « Tunisie numérique ».

Dans le domaine de l’équipement et de l’habitat, plusieurs projets sont en cours, notamment la construction du pont de Bizerte, celle de l’autoroute Tunis–Jelma, et le lancement d’un nouveau programme d’aménagement urbain.

L’agriculture et les ressources en eau sont également concernées, à travers l’aménagement de forages dans les oasis du Sud, la construction des barrages de Saïda et de Kalâa Kbira, la mise en place de systèmes d’adduction d’eau, ainsi que le renforcement de la distribution d’eau potable dans les zones urbaines. Par ailleurs, de nouveaux barrages sont prévus dans le cadre du programme intégré de développement agricole à Sfax.

Le développement régional et local constitue aussi une priorité, avec notamment la création d’une ligne de financement dédiée au Fonds de promotion et de soutien aux collectivités locales.

Sarra Zaafrani Zanzri a insisté sur la nécessité d’un engagement total des ministères concernés et d’un suivi rigoureux et quotidien sur le terrain. Elle a par ailleurs averti que des responsabilités claires seront définies, et que tout retard injustifié ou toute négligence dans la levée des blocages donnera lieu à des sanctions.

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Sfax accueille la 18e édition de Medibat du 21 au 24 mai 2025

Avec la participation de 300 exposants et la présence de nombreux pays, plusieurs délégations officielles ainsi que des structures économiques nationales et internationales de premier plan, la ville de Sfax accueillera une nouvelle fois, du 21 au 24 mai 2025, la 18e édition du Salon méditerranéen du bâtiment – Medibat.

Véritable rendez-vous biennal de référence dans le domaine du bâtiment et des travaux publics en Tunisie, Medibat se distingue cette année par une dimension internationale renforcée, la présence de décideurs influents du secteur, ainsi qu’une participation massive d’experts, de professionnels et de chefs d’entreprise.

Parmi les personnalités attendues figurent des ministres, des présidents de Chambres de commerce et d’industrie, des hauts responsables d’organismes économiques, aussi bien tunisiens qu’étrangers, ainsi que de nombreux dirigeants d’entreprises.

Les délégations, personnalités et exposants viendront notamment de pays comme l’Algérie, la Libye, le Cameroun, le Nigeria, le Sénégal, l’Afrique du Sud, l’Italie, l’Égypte, l’Allemagne, la Pologne, la Malaisie, la Chine, sans oublier la Tunisie.

Cette édition devrait également être marquée par la participation d’invités de prestige issus d’institutions économiques internationales telles que la CPCCAF (Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones), qui œuvre pour une coopération économique solidaire au service du secteur privé africain et francophone.

De grands groupements économiques africains seront également représentés, notamment le Comesa (Marché commun de l’Afrique orientale et australe) et la Zlecaf (Zone de libre-échange continentale africaine).

Parmi les points forts de cette édition figurent les nombreux forums et manifestations parallèles à l’exposition, qui enrichiront considérablement le programme.

Pour la première fois dans l’histoire du salon, un forum tuniso-algéro-libyen sera organisé, offrant aux professionnels de réelles opportunités de collaboration, notamment dans les projets de reconstruction en Libye et les chantiers d’infrastructure à l’échelle maghrébine et africaine.

Le programme de ce forum comprendra plusieurs interventions sur des sujets majeurs, tels que les grands projets de construction, de logement et d’infrastructure de base dans les trois pays, les mécanismes de relance des investissements bilatéraux et mixtes, ainsi que les perspectives liées à l’exploitation des corridors routiers transfrontaliers africains, cruciaux pour dynamiser les échanges commerciaux intra-africains.

D’autres forums viendront compléter l’agenda:

  • Un forum économique, axé sur le partenariat public-privé (PPP) dans le secteur du bâtiment et les opportunités offertes par les marchés du Comesa et de la Zlecaf.

  • Un forum scientifique, sur le thème «Construire durablement, bâtir intelligemment».

  • Un forum de l’entrepreneuriat, intitulé «Entreprendre dans le secteur de la construction et du bâtiment, économie verte et circulaire», et à l’occasion duquel sera célébrée la 51e édition de l’Architecture tunisienne.

Le salon propose également plusieurs autres événements majeurs, comme:

  • Les rencontres de partenariat B2B et B2G;

  • Un roadshow KNX Event: KNX ETS6, organisé par l’Association KNX Tunisie;

  • Des ateliers vivants dans l’espace d’exposition à l’occasion de la Journée mondiale de l’architecte d’intérieur;

  • Une manifestation consacrée à la franchise dans le secteur du BTP.

Enfin, deux rencontres internationales viendront enrichir l’édition:

  • Un séminaire sur la coopération tuniso-polonaise dans le domaine du bâtiment, en partenariat avec l’ambassade de Pologne en Tunisie;

  • Une présentation de la plateforme numérique «CDP Business Matching», axée sur les opportunités dans le secteur du bâtiment entre l’Italie et la Tunisie, en partenariat avec l’ambassade d’Italie et la Chambre tuniso-italienne de commerce et d’industrie (CTICI).

Avec une forte participation d’exposants, de délégations et de personnalités de renom, les organisateurs ambitionnent d’attirer plus de 3 000 visiteurs professionnels et de générer au moins 500 rendez-vous d’affaires au cours des quatre jours du salon, qui fera battre le cœur économique de Sfax et rayonner la Tunisie sur la scène méditerranéenne et africaine.

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Bigtech Africa 2025: la Tunisie au cœur de l’innovation technologique africaine

La deuxième édition du salon panafricain dédié aux technologies, à l’intelligence artificielle et aux startups, «Bigtech Africa», se déroulera du 9 au 11 septembre 2025 au Parc des Expositions du Kram à Tunis.

Considéré comme le rendez-vous majeur du numérique en Afrique, «Bigtech Africa 2025» réunira startups, investisseurs, entreprises, acteurs institutionnels et experts internationaux dans le but d’accélérer le développement technologique du continent. L’événement ambitionne de positionner l’Afrique comme un pôle technologique de référence à l’échelle mondiale et de renforcer la connexion entre l’écosystème tech africain et les opportunités internationales.

L’édition 2025 vise à mettre en réseau les talents, les technologies et les opportunités afin de dynamiser l’écosystème numérique africain, à accélérer la transition digitale du continent grâce à des partenariats stratégiques et à l’investissement, et à stimuler l’innovation en explorant les tendances émergentes et en favorisant l’adoption de technologies de rupture.

 

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SWFI: les deux voisins de la Tunisie parmi les plus grands fonds souverains d’Afrique

Au 8 mai 2025, selon le Sovereign Wealth Fund Institute (SWFI), quatre fonds souverains africains figurent dans le classement mondial des plus importants. Fait notable, trois d’entre eux sont situés en Afrique du Nord, dont l’Algérie et la Libye, les deux pays frontaliers de la Tunisie. Ces fonds illustrent des approches variées en matière de gestion des excédents financiers et d’investissement à long terme, allant de la consolidation d’actifs publics à des stratégies de diversification internationale.

1. Ethiopian Investment Holdings (Éthiopie)45 milliards de dollars (34e rang mondial)

La société publique Ethiopian Investment Holdings (EIH) s’impose comme le plus grand fonds souverain africain. Créée pour consolider les actifs de l’État, elle gère actuellement un portefeuille composé de 40 entreprises, parmi lesquelles figurent des acteurs majeurs comme Ethiopian Airlines, Ethio Telecom, la Commercial Bank of Ethiopia, ainsi que Ethiopian Shipping and Logistics.

Par ailleurs, EIH détient des participations minoritaires dans cinq autres entreprises, ce qui renforce sa présence stratégique dans des secteurs clés de l’économie nationale.

2. Libyan Investment Authority (Libye)39,5 milliards de dollars (35e rang mondial)

La Libyan Investment Authority (LIA) organise ses placements autour de trois grandes catégories:

  • Les dépôts à terme (57,5% du portefeuille total)

  • Les actions (23,5%)

  • Les fonds d’investissement (19%)

L’ensemble de ces portefeuilles a généré des rendements positifs et enregistré une croissance au cours de l’année fiscale 2024, malgré un environnement économique mondial instable.

3. Fonds de régulation des recettes (Algérie)16,3 milliards de dollars (50e rang mondial)

Le Fonds de régulation des recettes algérien a enregistré des revenus annuels de 3,7 milliards de dollars en 2024 (soit 500 milliards de dinars algériens), selon les estimations officielles les plus récentes.

Cependant, les finances publiques du pays restent sous tension: d’après les données du ministère des Finances, le déficit budgétaire prévu pour 2025 devrait dépasser 62 milliards de dollars (8,3 trillions de dinars), soit 21,8% du PIB.

4. Fonds souverain d’Égypte – 12 milliards de dollars (53e rang mondial)

Le Fonds souverain égyptien (FSE) joue un rôle clé dans la stratégie de privatisation du gouvernement. En juin 2022, il a créé un fonds dédié à la gestion des ventes d’actions des entreprises publiques à destination des investisseurs privés. Cette initiative est menée en coopération avec le comité gouvernemental chargé des introductions en Bourse (IPOs), visant à dynamiser le marché financier et à mobiliser des capitaux.

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Recrutement à la Banque Centrale de Tunisie : 116 postes ouverts

La Banque Centrale de Tunisie (BCT) a annoncé le lancement d’un concours externe sur épreuves en vue du recrutement de 116 agents, répartis sur plusieurs grades : Sous-Chef de Service, Attaché de Direction, Attaché de Service, Rédacteur et Agent de Bureau. Les recrutements concernent aussi bien le siège de la BCT que ses succursales en régions.

Les candidats doivent :

-Être de nationalité tunisienne et jouir de leurs droits civiques.

-Avoir au minimum 18 ans.

-Pour les postes de Sous-Chef de Service, Attaché de Direction et Attaché de Service, l’âge ne doit pas dépasser 40 ans à la date de clôture des inscriptions. Une dérogation est toutefois possible selon le décret n°2006-1031 du 13 avril 2006, sans dépasser 45 ans au 1er janvier 2025.

-Pour les postes de Rédacteur et Agent de Bureau, la limite d’âge est fixée à 35 ans au plus à la date de clôture des inscriptions.

-Être titulaire du diplôme ou niveau d’instruction requis selon les spécialités demandées.

Les profils recherchés relèvent des domaines suivants : Électromécanique, Droit, Finance, Comptabilité, Administration des affaires, Gestion, Génie civil et Informatique.

Les personnes intéressées doivent obligatoirement s’inscrire en ligne via le site web de la Banque Centrale de Tunisie (www.bct.gov.tn) dans la rubrique « Recrutement ».La période d’inscription s’étend du 19 mai 2025 au 2 juin 2025 à minuit. Aucune inscription ne sera acceptée après cette date.

Pour plus d’informations sur les modalités et profils exigés, consultez l’avis complet sur le site officiel de la BCT.

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Pas de déclaration fiscale requise pour les Tunisiens résidant à l’étranger

Le ministère des Finances informe l’ensemble des Tunisiens résidant à l’étranger qu’ils ne sont pas tenus de déposer une déclaration fiscale en Tunisie pour leurs revenus générés hors du territoire.

Il précise également qu’il est possible d’obtenir, en cas de besoin, une attestation de non-assujettissement auprès du bureau de contrôle des impôts compétent, sur la base de l’adresse indiquée sur la carte d’identité nationale.

Le ministère tient à rappeler qu’aucune nouvelle disposition fiscale n’a été introduite concernant les Tunisiens établis à l’étranger.

Les services de la Direction générale des impôts restent à la disposition des citoyens pour répondre à leurs éventuelles demandes ou réclamations.

Pour toute information complémentaire, le Centre d’information fiscale est joignable au : 81100400.

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