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Convention-cadre de coopération entre l’ISIE et l’ENA

L’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) et l’École nationale d’administration (ENA) ont signé, jeudi 19 juin, une convention-cadre de coopération. Elle vise à renforcer le partenariat entre les deux institutions.

Signée au siège de l’autorité électorale par son président, Farouk Bouasker, et la directrice générale de l’ENA, Khaoula Abidi, cette convention prévoit l’élaboration et la mise en œuvre de programmes communs de formation, en présentiel et à distance; et ce, au profit des cadres et agents de l’ISIE. C’est ce qu’indique un communiqué de l’ISIE.

Ces formations porteront sur la gestion administrative moderne, la gouvernance et le leadership public. L’objectif est d’ancrer la culture de la bonne gouvernance dans les domaines administratif et financier. Tout en promouvant les meilleures pratiques comme levier de réforme de l’administration.

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L’OACA lance des cartes à décompte pour le stationnement à l’aéroport Tunis-Carthage

L’Office de l’aviation civile et des aéroports (OACA) annonce le lancement des cartes à décompte pour le paiement des frais de stationnement au parking de l’aéroport international de Tunis-Carthage, à partir du dimanche 22 juin 2025.

L’OACA précise que cette carte à décompte peut être achetée auprès des caisses situées au parking du terminal ou au guichet unique de l’aérogare fret.

Le coût d’achat de la carte électronique, lors de la première acquisition, est de 30 dinars, comprenant 15 dinars pour la carte (support) et un rechargement initial minimal de 15 dinars de crédit prépayé.

La carte est rechargeable et utilisable dans les trois terminaux de l’aéroport Tunis-Carthage.

L’OACA souligne que l’utilisation de cette carte facilitera la circulation dans les parkings, améliorera la qualité des services à l’aéroport et permettra aux usagers de gagner du temps à la sortie.

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Dissolution des partis politiques : précisions de la présidence du gouvernement

En réponse à une question écrite d’un député à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), la présidence du gouvernement a précisé qu’une décision judiciaire définitive est nécessaire avant d’engager les procédures juridiques et administratives de dissolution d’un parti politique, en cas d’infractions portant atteinte à la Constitution ou relevant du décret-loi régissant les partis politiques.

La députée Fatma Mseddi a en effet demandé l’activation des mesures juridiques et administratives en vue de la dissolution du mouvement Ennahdha ainsi que du parti Ettahrir. Elle s’est appuyée sur l’implication d’Ennahdha dans des affaires portant atteinte à la sûreté nationale, sur l’envoi de jeunes vers des zones de conflit, ainsi que sur ses liens avec des organisations terroristes et son non-respect du principe de transparence financière.

La députée a dénoncé le non-respect des principes de la République ainsi que l’appel, de la part du parti Ettahrir, à la création d’un califat et à la suppression du régime républicain.

La présidence du gouvernement a indiqué qu’elle coordonne avec les services compétents du ministère de la Justice pour obtenir des décisions judiciaires définitives concernant les financements interdits reçus par le mouvement Ennahdha; et ce, conformément aux articles 29 et 30 du décret-loi n° 87/2011 régissant les partis politiques.

Selon la même source, l’administration veille au respect, par les partis politiques, de l’obligation de transparence financière. Et plus particulièrement en adressant un avertissement à tous les partis concernés à lui soumettre tous les rapports financiers requis.

Dans le même contexte, la présidence du gouvernement coordonne avec les services du chargé du contentieux de l’État pour demander la suspension des activités des partis qui ne se sont pas conformés à cette obligation malgré les avertissements; avant leur dissolution s’ils persistent à enfreindre la loi.

La présidence du gouvernement indique dans ce sens que 154 autorisations de suspension d’activités et 50 décisions préliminaires de dissolution de partis politiques ont été délivrées.

Pour la présidence du gouvernement, la longueur des démarches de sanction, partant de l’avertissement jusqu’à la dissolution, et ce, pour toutes les infractions sans en distinguer la nature et le degré de gravité, a freiné l’application du principe de transparence financière et l’exécution de la loi.

En ce qui concerne le parti Ettahrir, la présidence du gouvernement précise que ses services attendent de voir la justice prononcer une décision définitive dans l’une des deux affaires porté contre lui pour entamer les procédures de sa dissolution.

Les deux affaires, rappelle la présidence du gouvernement, ont été de nouveau portées devant la Cour d’appel de Tunis. Et ce, après que la Cour de cassation a accepté le recours contre deux ordonnances judiciaires de suspension des activités du parti, émises en 2016 et 2017 par le chargé général du contentieux de l’État.

Selon le troisième paragraphe de l’article 28 du décret-loi relatif aux partis politiques, la dissolution est prononcée par une décision du tribunal de première instance de Tunis, à la demande du Chef du gouvernement, au le cas où le parti ne se conforme pas au règles.

Enfin, au sujet des actes pouvant être qualifiés de crimes terroristes, la présidence du gouvernement indique que le juge chargé d’examiner ce genre de crime est habilité à dissoudre les partis politiques, en tant que personnes morales, sur la base de la loi antiterroriste.

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Béja : eau potable reprise dès 23h dans certaines zones de Nefza (SONEDE)

La Société Nationale d’Exploitation et de Distribution des Eaux (SONEDE) a annoncé, jeudi 19 juin, que l’approvisionnement en eau potable reprendra progressivement à partir de 23h dans les quartiers de Nefza ville, Nefza Est et Nefza Ouest, dans le gouvernorat de Béja.

Cette reprise fait suite à une coupure survenue, jeudi 19 juin, causée par une panne de la pompe submersible du puits profond « El Khanga », qui alimente la zone d’El Hichria à Sidi Bouzid, a précisé la SONEDE dans un communiqué.

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Berlin (WTA 500) : Jabeur affronte Vondrousova en quarts

La Tunisienne Ons Jabeur (61e mondiale) affrontera ce vendredi 20 juin, la Tchèque Marketa Vondrousova (164e) en quarts de finale du tournoi WTA 500 de Berlin. Cette dernière s’est qualifiée en battant la Russe Diana Shnaider (12e mondiale) en trois sets ce jeudi 19 juin, en huitièmes de finale.

De son côté, Ons Jabeur s’était hissée en quarts, mercredi 18 juin, après une victoire nette face à l’Italienne Jasmine Paolini (4e mondiale), en deux sets (6-1, 6-3).

À noter que la Tunisienne, Ons Jabeur, est également engagée en double aux côtés de l’Espagnole Paula Badosa. Le duo s’est qualifié pour les demi-finales ce jeudi 19 juin, en dominant la paire composée de la Brésilienne Luisa Stefani et de la Hongroise Timea Babos, en deux sets (6-3, 6-2).

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WTA 500 Berlin : Jabeur en demi-finales doubles dames

La Tunisienne Ons Jabeur s’est qualifiée, jeudi 19 juin, pour les demi-finales du tournoi WTA 500 de Berlin en double, aux côtés de l’Espagnole Paula Badosa. Le duo s’est imposé face à la Brésilienne Luisa Stefani et la Hongroise Tímea Babos en deux sets (6-3, 6-2), sur gazon.

Ons Jabeur (61e mondiale) s’est également qualifiée pour les quarts de finale du tournoi WTA 500 de Berlin en simple dames, après sa victoire ce mercredi 18 juin, face à l’Italienne Jasmine Paolini (4e mondiale), récente lauréate du Masters 1000 de Rome, en deux sets (6-1, 6-3).

La Tunisienne affrontera, vendredi, soit la Russe Diana Shnaider (12e), soit la Tchèque Marketa Vondrousova (164e), qui s’opposent actuellement en huitièmes de finale.

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Rajeh Khemiri dresse le bilan de la collaboration scientifique tuniso-européenne

« La lutte contre la dégradation de l’environnement a un prix », lance d’emblée Rajeh Khemiri lors de l’événement Vert’Demain. Le responsable de la coopération européenne en Tunisie dresse un bilan sans complaisance d’une collaboration scientifique qui ne date pas d’hier : entre fierté légitime d’un statut unique dans la région et lucidité sur les faiblesses à corriger, son intervention dessine les contours d’un partenariat à la croisée des chemins.

Durant l’événement Vert’Demain organisé mercredi 18 juin 2025 à Tunis, Rajeh Khemiri, en charge des questions d’aide et de coopération internationale à la Délégation de l’Union européenne en Tunisie, a fait le point sur les partenariats scientifiques établis entre l’UE et le pays.

« La lutte contre la dégradation de l’environnement a un prix quand même », a d’emblée souligné M. Khemiri en introduction de son intervention. « C’est une coopération qui a duré pour des années et des années. Elle n’a pas commencé hier », a-t-il rappelé. Cette collaboration a débuté bien avant l’Accord d’association de 1995, qui marquait alors une première entrée timide dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Les étapes clés de cette coopération comprennent la signature en 2003 du premier accord scientifique et technologique avec un pays du Sud, suivie en 2012 par l’établissement d’un partenariat privilégié consacrant un chapitre dédié à la recherche scientifique.

Plus de 55 millions d’euros…

L’année 2016 va constituer un tournant majeur avec l’entrée de la Tunisie comme premier et seul pays arabe et africain associé à tous les programmes-cadres européens, statut qui sera confirmé en 2022. « La Tunisie demeure jusqu’à maintenant le seul pays arabe et africain », a insisté M. Khemiri. Tout en ajoutant que « le pays doit valoriser cette exception au niveau de la région ».

Concernant les programmes-cadres de recherche et développement (PCRD), M. Khemiri a souligné que la Tunisie a progressivement accru sa participation depuis le FP4 (ou Quatrième programme-cadre). Les fonds levés ont évolué de 2,7 millions d’euros lors du FP4 à 16 millions d’euros pour le FP7, démontrant « une montée continue en fait en termes de performance ». Sur quarante années, le budget cumulé dépasse les 55 millions d’euros.

Les entités relevant du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, ainsi que les centres de recherche, représentent 70 % des projets retenus par la Tunisie dans ces programmes. « C’est un point très avantageux », a noté Rajeh Khemiri.

« Une petite faiblesse sur laquelle on doit travailler maintenant : c’est la faible participation du secteur privé » avec seulement 12 participations pour 2,1 millions d’euros, poursuit-il.

Dans le cadre du programme Erasmus Plus, la Tunisie occupe une position de premier plan. Pour la période 2015-2020, elle se classait deuxième dans la région derrière le Maroc. Pour la période 2021-2024, elle partage la première place avec l’Égypte, comptabilisant 13 projets de renforcement de capacités universitaires (CBE). Ces projets structurants impliquent la quasi-totalité des universités tunisiennes relevant du ministère.

Défis et perspectives d’avenir

Malgré ces performances, plusieurs défis subsistent relève Rajeh Khemiri, dans son allocution à l’événement Vert’Demain. « Il faut éviter que ce ne soit pas seulement les mêmes acteurs qui postulent et qui continuent. Il faut faire rentrer de nouveaux élèves dans la classe », a-t-il déclaré. Tout en soulignant la nécessité de diversifier les acteurs participants et de renforcer la participation du secteur privé.

L’amélioration de la qualité des projets constitue également une priorité. Une analyse récente a révélé « quelques faiblesses et quelques risques de duplication ». De même que la nécessité d’améliorer « l’adéquation avec les priorités nationales », a précisé M. Khemiri.

Ainsi, les recommandations de Vert’Demain incluent la création d’une plateforme de projets pour capitaliser sur les acquis et déployer les dispositifs créés vers d’autres universités et établissements. L’objectif est d’améliorer la valeur ajoutée et l’impact de cette participation extensive.

Rajeh Khemiri a rappelé que « la Tunisie, depuis 2016, est le seul pays arabe et africain associé aux programmes européens, bien que des négociations soient en cours avec d’autres pays. C’est le moment de travailler et valoriser cette position au niveau de la région, mais aussi de l’Afrique ».

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Zitouna Tamkeen lance son nouveau système d’information avec la plateforme ICM de TALYS pour digitaliser la gestion des financements en microfinance islamique

Zitouna Tamkeen, institution pionnière de la microfinance islamique en Tunisie, annonce le Go Live de la plateforme ICM (Intelligent Credit Management) développée par Talys Solutions du groupe TALYS.

Cette mise en production s’inscrit dans une stratégie de transformation digitale visant à renforcer l’efficacité opérationnelle, la traçabilité des processus et l’inclusion financière à grande échelle.

Grâce à ICM, Zitouna Tamkeen bénéficie désormais de :

– Une digitalisation complète du cycle de vie du crédit : onboarding, Crédit en ligne, scoring, screening, LAB-FT, décaissement, suivi et recouvrement & contentieux.

– Un moteur de règles personnalisable pour gérer les spécificités du financement islamique.

– Un reporting dynamique et conforme aux exigences réglementaires de l’Autorité de Contrôle de Microfinance (ACM).

– Des outils d’analyse avancée pour optimiser la gestion du risque et la performance du portefeuille.

– Une architecture évolutive, intégrable avec les canaux mobiles, les e-wallets et les interfaces partenaires.

« La plateforme ICM nous permet de passer à une gestion proactive, orientée data, tout en respectant nos principes de finance islamique » déclare Mr. Jamel Bouzaiene, Directeur Général de Zitouna Tamkeen.

Pour Mr. Hatem Dhahri, Associé chez Talys : « Ce projet illustre notre capacité à fournir des solutions robustes, intelligentes et adaptables aux enjeux spécifiques des institutions financières dans la région MENA. »

La plateforme ICM constitue désormais un socle technologique stratégique pour Zitouna Tamkeen, lui permettant de répondre efficacement aux attentes de ses clients, partenaires et régulateurs, dans un cadre sécurisé et évolutif.

Ce projet s’inscrit parfaitement dans la stratégie de digitalisation progressive de Zitouna Tamkeen, qui place l’innovation au cœur de sa mission. En modernisant son système d’information, l’institution renforce sa capacité à offrir des services plus rapides, plus sûrs et plus personnalisés à ses bénéficiaires. Cette transformation digitale vise à améliorer l’expérience client, à étendre l’inclusion financière à de nouvelles zones et à poser les bases d’une croissance durable, en harmonie avec les principes de la finance islamique.

Il a été mené avec succès grâce à une étroite collaboration entre les équipes de Zitouna Tamkeen et les équipes de TALYS.

D’après communiqué

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Kaïs Saïed s’entretient avec le ministre de l’Intérieur

Le président de la République, Kaïs Saïed, a rencontré le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri. Lors de cette réunion, Kaïs Saïed a appelé les forces de sécurité à soutenir les initiatives du ministère du Commerce dans la lutte contre les réseaux de spéculateurs et diverses formes de criminalité.

Selon un communiqué de la Présidence de la République publié jeudi, Kaïs Saïed a également insisté sur l’importance de doter les conseils locaux, régionaux et des districts des ressources nécessaires pour qu’ils puissent pleinement remplir leur rôle. Il a rappelé que les membres de ces conseils sont chargés d’élaborer les plans de développement. Lesquels doivent ensuite être soumis à l’Assemblée des représentants du peuple et au Conseil national des régions et des districts.

À ce sujet, le président a précisé que le modèle de développement, dont certains parlent depuis des décennies, existe déjà et constitue la base des législations en vigueur. Le secrétaire d’État à la sûreté nationale, Sofien Ben Sadok, était également présent lors de cet entretien.

Avec TAP

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Kaïs Saïed souligne les priorités immuables de la diplomatie tunisienne

Le président de la République, Kaïs Saïed, a mis en avant, mercredi, les constantes de la diplomatie tunisienne, lors d’une réunion avec le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti. Il a insisté sur l’indépendance de la décision nationale et la nécessité de diversifier les partenariats stratégiques du pays.

Dans un communiqué publié par la présidence, le chef de l’État a souligné que « le combat de libération mené par les Tunisiens doit être soutenu par un travail diplomatique intensif ». Il a appelé les missions diplomatiques à « redoubler d’efforts pour défendre les intérêts de la Tunisie », tandis que les représentations consulaires doivent « améliorer leurs services en faveur des Tunisiens résidant à l’étranger ».

Cette rencontre a également été l’occasion de réaffirmer le rôle central de la diplomatie dans la protection des intérêts nationaux et l’accompagnement des citoyens tunisiens à l’étranger.

Avec TAP

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CNRD : les banques doivent se conformer à la BCT

Lors d’une audition avec le Conseil bancaire et financier, des membres de la commission des finances du CNRD ont exhorté les banques à respecter les décisions de la Banque centrale de Tunisie (BCT). Ils ont insisté sur la nécessité de diversifier les prêts et de soutenir l’investissement en accordant des financements adaptés aux porteurs de projets.

Les députés ont également dénoncé les irrégularités subies par les clients bancaires, proposant la création d’un organisme de régulation pour encadrer le secteur. Un diagnostic des difficultés des banques, notamment publiques, a été demandé, ainsi que l’adoption de nouveaux mécanismes pour améliorer leurs services.

Les participants ont souligné le rôle clé des banques dans la stimulation de l’investissement et le développement économique.

En réponse, les représentants du Conseil bancaire ont présenté leurs missions, dont la formation des ressources humaines et la supervision des activités financières.

Avec TAP

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Pluies prévues cet après-midi sur le centre-Est

Jeudi, le temps sera marqué par des nuages passagers devenant parfois denses sur les régions côtières nord, avec des cellules orageuses accompagnées de pluies.

L’après-midi, des précipitations, parfois intenses avec des grêles localisées, toucheront les régions du centre Est.

Le vent soufflera du nord au centre, de l’est au sud, avec des rafales relativement fortes près des côtes nord et sur le sud, modérées ailleurs.

La mer sera agitée dans le Golfe de Tunis et houleuse à peu agitée sur les autres côtes.

Les températures maximales baisseront légèrement, oscillant entre 26 et 31 degrés dans le nord, sur les hauteurs et les côtes, entre 32 et 37 degrés dans le reste des régions, et pouvant atteindre 40 degrés dans l’extrême sud.

Avec TAP

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La Faculté des sciences de Gafsa décroche l’ISO 21001

La Faculté des sciences de Gafsa (FSGF) vient d’obtenir la certification qualité ISO 21001, devenant ainsi la quatrième institution universitaire à décrocher cette distinction parmi les 11 établissements rattachés à l’Université de Gafsa, a indiqué le doyen, Mohamed Ali Borji.

Dans une déclaration à l’Agence TAP, il a précisé que cette norme atteste de la qualité des services en gestion administrative, en conduite de la recherche scientifique, ainsi que dans l’offre et l’amélioration des services aux étudiants et la gouvernance institutionnelle.

Borji a souligné l’importance de cette reconnaissance, qui constitue un acquis majeur pour l’Université en validant la conformité des prestations scientifiques aux standards européens et aux exigences des universités prestigieuses.

La Faculté des Sciences de Gafsa comprend sept départements scientifiques, trois laboratoires de recherche et un complexe de services mutualisés. Elle propose 18 licences dans diverses spécialités, 12 masters et trois doctorats.

Avec TAP

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Bourse : clôture stable mercredi

Le marché boursier a clôturé la séance de mercredi en parfaite stabilité, s’établissant à 11 128 points, avec un volume d’échanges relativement soutenu de 7,6 millions de dinars (MD). Cette séance a été marquée par la réalisation de deux transactions de bloc, concernant les titres AMEN BANK (pour un montant de 2 MD) et UBCI (pour 1,3 MD).

Analyse des principales valeurs

STA s’est imposé en tête du palmarès des échanges. L’action du concessionnaire automobile, adossé au groupe KILANI, a terminé la séance stable à 24,400 D, générant un volume de 2,2 MD.

NEW BODY LINE a enregistré la plus forte progression de la séance. Le titre du spécialiste des vêtements intelligents a bondi de 5 % pour atteindre 3,780 D, bien que les échanges soient restés modestes à 3 mille dinars.

ASSAD a également figuré parmi les plus grands gagnants. L’action du fabricant de batteries automobiles a progressé de 2,1 % à 2,400 D, avec un volume d’échanges de 95 mille dinars.

EURO-CYCLES a connu une orientation négative. Le titre du producteur de vélos a reculé de 2,2 % à 12,700 D, pour un montant échangé de 78 mille dinars.

TAWASOL GROUP HOLDING a subi la plus forte baisse de la séance. L’action du holding du groupe CHABCHOUB a chuté de 3,9 % à 0,750 D, dans un volume très limité de 18 mille dinars.

 

Avec TAP

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Le droit international est mort, « vive » le droit international inhumain !

Conçus respectivement pour réguler les relations internationales et protéger les populations civiles, le droit international public (DIP) et le droit international humanitaire (DIH) ne sont désormais plus qu’un décor juridique dans la gestion des conflits, où la technologie a remplacé l’éthique, et la robotisation, la responsabilité.

Par Mahjoub Lotfi Belhedi*

Dans les guerres contemporaines, Israël incarne ce glissement technologique et moral. En tant que pionnier mondial de la robotisation militaire (drones armés, surveillance automatisée, systèmes d’attaque autonomes), Israël mène des campagnes où la distance entre l’agresseur et la cible devient insignifiante. L’acte de tuer est réduit à une impulsion algorithmique : un clic froid, guidé par des données, débarrassé de toute trace d’humanité ou d’humanisme.

Sous couvert de légalité, des frappes sont menées par des drones contre des individus présumés menaçants, dans des zones densément peuplées, sans jugement, sans procès, sans reddition de comptes. Le champ de bataille devient un laboratoire : on y teste des armes, des capteurs, des intelligences artificielles, comme si les civils n’étaient plus que des variables dans un programme d’efficacité militaire. Et le monde contemple cette apocalypse en silence, sans rien dire !

L’idée d’un ordre mondial régulé, fondé sur un contrat entre États et peuples, s’efface devant un champ de bataille globalisé où règnent l’arbitraire technologique et l’impunité.

 

Nous assistons à un véritable retour à l’ère pré-hobbesienne, où l’absence d’un pouvoir onusien efficient capable d’imposer ses règles universelles fait ressurgir la loi du plus fort. Ce monde « sans Léviathan supranational » est dominé non plus par des États rationnels soumis à des normes, mais par des entités armées d’algorithmes, opérant dans une jungle juridique où le monopole de la violence légitime est remplacé par la violence algorithmique légalisée. L’idée d’un ordre mondial régulé, fondé sur un contrat entre États et peuples, s’efface devant un champ de bataille globalisé où règnent l’arbitraire technologique et l’impunité.

 

Nous assistons à un véritable retour à l’ère pré-hobbesienne, où l’absence d’un pouvoir onusien efficient capable d’imposer ses règles universelles fait ressurgir la loi du plus fort.

 

Ce système n’est pas un échec du droit international : c’est sa transformation cynique. Le « droit international inhumain » (DII vs DIH) est né, constitué d’un ensemble de normes détournées de leur sens initial, vidées de toute morale, utilisées pour légitimer des politiques de domination automatisée au profit des plus puissants.

Israël n’est pas seul dans cette trajectoire, mais il en est l’un des précurseurs les plus avancés : un État qui a su transformer ses guerres en produits technologiques exportables, ses pratiques en modèles sécuritaires mondialisés, et ses violations du droit en références stratégiques pour d’autres régimes répressifs.

Le droit international humanitaire, conçu pour encadrer la guerre entre États ou entre forces armées traditionnelles, n’est plus adapté. Il devient obsolète face à des armes autonomes, des guerres sans fronts, et des ennemis désignés par algorithmes.

Il n’y a plus d’illusions à entretenir, le droit international – y compris le DIH – est mort par voie d’instrumentalisation, d’absorption et de neutralisation. Désormais, il ne protège plus : il couvre. Il ne juge plus : il autorise. Il ne prévient plus : il administre l’inhumain avec méthode.

 

Le droit international humanitaire, conçu pour encadrer la guerre entre États ou entre forces armées traditionnelles, n’est plus adapté. Il devient obsolète face à des armes autonomes, des guerres sans fronts, et des ennemis désignés par algorithmes.

 

Jadis ultime rempart contre la barbarie, le droit international humanitaire n’est plus qu’une ombre vide de sens. Il ne renaîtra pas, car il s’est effacé devant des machines dépourvues de morale, de mémoire et de compassion. Aujourd’hui, ce sont elles qui font la guerre froidement, mécaniquement, paradoxalement, au nom du droit !?

 

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* Chercheur en réflexion stratégique & digitale // Data Scientist et Aiguilleur d’IA

Une procédure d’octroi de la paternité de l’appellation-métier « Aiguilleur d’IA » est déjà engagée auprès des services compétents de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI).

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Royal Air Maroc célèbre la continuité de son engagement en Tunisie

Royal Air Maroc a organisé une soirée afterwork exclusive, à l’occasion de la fin de mission de M. Mohammed Issam Mosseddaq, représentant régional sortant, et de la présentation officielle de son successeur, M. Anouar Mabrouki.

Dans une ambiance élégante et conviviale, la compagnie nationale marocaine a accueilli les membres du personnel diplomatique et consulaire du Royaume du Maroc en Tunisie, plusieurs ambassadeurs accrédités à Tunis, de nombreux clients corporate, ainsi qu’un parterre de partenaires fidèles issus du réseau des agences de voyages, du monde des affaires et du tourisme.

Les discours officiels ont permis de saluer le travail remarquable accompli par M. Mosseddaq au cours des dernières années, marqué par une croissance soutenue du trafic entre Tunis et Casablanca, une proximité renforcée avec le réseau de distribution tunisien et le déploiement d’initiatives innovantes (plateforme Venga, intégration du paiement par cartes tunisiennes sur le site royalairmaroc.com, etc.).

Son successeur, M. Anouar Mabrouki, fort d’une riche expérience internationale, a exprimé sa volonté de poursuivre l’élan engagé, dans une dynamique de performance et d’écoute, tout en réaffirmant l’importance du marché tunisien dans la stratégie régionale de Royal Air Maroc.

Cette rencontre a également été l’occasion pour M. Benbrahim, de la Direction Maroc, Maghreb, Moyen-Orient & Asie, de mettre en lumière la vision stratégique de la compagnie à l’horizon 2037 : croissance de la flotte et l’extension du réseau intercontinental, renforçant ainsi la dimension panafricaine de la compagnie.

Il a mis en exergue l’amélioration continue de l’expérience client, le renforcement du rôle de Royal Air Maroc dans le rayonnement touristique et économique du Maroc, à la veille d’événements majeurs tels que la CAN 2025 et la Coupe du monde 2030.

L’événement s’est achevé par un cocktail dînatoire raffiné, rythmé par une animation musicale live, symbole d’une relation pérenne entre Royal Air Maroc et ses partenaires tunisiens, unis au service d’une ambition partagée.

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La Tunisie reçoit ses premiers bus chinois neufs : 111 véhicules livrés sur 300

La Tunisie a accueilli, ce mercredi matin au port de La Goulette, un premier lot de 111 bus et bus articulés neufs en provenance de Chine. Cette livraison s’inscrit dans le cadre d’un accord conclu avec le constructeur chinois King Long pour l’acquisition de 300 véhicules, représentant un investissement de 152 millions de dinars. Un deuxième lot a déjà quitté la Chine la semaine dernière.

Lors de la cérémonie de réception, le ministre des Transports, Rachid Amri, a souligné que ces nouveaux bus, conformes aux standards internationaux, permettront à la Société Tunisienne des Transports (TRANSTU) de réactiver plusieurs lignes. « Nous avons misé sur la qualité pour offrir un service performant aux usagers », a-t-il déclaré.

M. Amri a rappelé les efforts déployés par son département pour diversifier et moderniser les modes de transport, incluant bus, métros et trains. Il a insisté sur l’importance de disposer d’un parc opérationnel d’ici la rentrée scolaire de septembre 2025, tout en garantissant le confort des usagers.

À plus long terme, le ministère prévoit l’acquisition de 418 bus supplémentaires auprès d’un autre constructeur chinois : 118 seront alloués à la TRANSTU et 240 aux sociétés régionales, afin d’améliorer la mobilité à l’échelle nationale.

Sensibilisation et préservation du patrimoine roulant

Le ministre a également évoqué les campagnes de sensibilisation en cours, ciblant notamment les jeunes, pour encourager le respect des infrastructures et équipements publics. Des actions similaires sont menées pour prévenir les intrusions sur les voies ferrées.

Rappelons que le premier lot de 300 bus avait quitté le port chinois de Xiamen le 17 mai 2025, sous la supervision conjointe du ministère et de l’ambassade tunisienne en Chine. En février dernier, M. Amri s’était rendu sur place pour inspecter l’usine King Long et s’assurer du respect des délais et des normes de fabrication.

Cette commande s’inscrit dans une dynamique de renouvellement du parc de transport public tunisien, avec l’ambition d’améliorer la qualité de service et la ponctualité. Les prochaines livraisons, attendues dans les semaines à venir, devraient progressivement soulager les usagers et réduire la saturation des lignes existantes.

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Tunisie – Rwanda : appel téléphonique entre Zaafrani et Ngirente

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzeri, a reçu, mardi 17 juin, un appel téléphonique de son homologue rwandais, Édouard Ngirente.

Selon un communiqué de la présidence du gouvernement, les deux parties ont eu l’occasion de discuter des moyens permettant de booster les relations bilatérales entre les deux pays dans divers secteurs et domaines.

À cette occasion, les deux chefs de gouvernement ont réaffirmé leur volonté d’œuvrer ensemble à accroître le niveau des échanges commerciaux entre la Tunisie et le Rwanda dans le cadre des mécanismes offerts par le marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA) et la zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).

Ils ont également souligné l’engagement à renforcer les échanges économiques bilatéraux, mettant l’accent sur l’importance d’explorer les possibilités de coopération bilatérale dans des domaines prometteurs, tels que les énergies renouvelables et la transition énergétique.

Lors de cet entretien téléphonique, la cheffe du gouvernement a évoqué l’expérience distinguée entre les deux pays en matière d’échange d’expertise, citant en exemple la réussite de l’expérience de la coopération dans le domaine de la distribution d’électricité et d’eau en Rwanda, un projet supervisé par deux entreprises tunisiennes, la Société tunisienne d’électricité et de gaz international services (STEG-IS) et la Société nationale d’exploitation et de distribution d’eau (SONEDE – international).

Le domaine de la construction et des travaux publics a été également évoqué lors de cet entretien téléphonique, cite encore le communiqué.

Pour sa part, le Premier ministre rwandais a formulé le souhait de parvenir à élargir l’échange d’expériences et de compétences entre les deux pays afin d’englober d’autres domaines, dont notamment la santé.

Avec TAP

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Tunisie–États-Unis : une amitié séculaire célébrée à Tunis

Le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, accompagné du ministre des Technologies de la communication, Sofiène Hmissi, a pris part mardi 17 juin 2025 à une cérémonie organisée par l’ambassade des États-Unis à Tunis à l’occasion de la commémoration de l’anniversaire de la Déclaration d’indépendance américaine.

Dans son allocution, Mohamed Ali Nafti a salué la solidité et la profondeur des relations entre la Tunisie et les États-Unis, établies depuis 1797. Il a souligné l’importance du partenariat stratégique entre les deux nations, exprimant la volonté de la Tunisie de le renforcer au service des intérêts communs.

Le chef de la diplomatie tunisienne s’est félicité de la dynamique positive qui caractérise les relations bilatérales, en particulier à travers la relance de plusieurs programmes de coopération américains. Il a également mis en avant l’évolution notable des échanges commerciaux, réaffirmant l’engagement de la Tunisie à les développer dans un cadre équilibré et mutuellement bénéfique.

Le ministre a par ailleurs salué le partenariat croissant dans le domaine de l’enseignement supérieur, illustré par la signature de mémorandums d’entente entre des universités tunisiennes et américaines. Ce type d’initiatives, a-t-il indiqué, contribue à renforcer les passerelles culturelles, scientifiques et sociales entre les deux peuples.

Rappelant les valeurs partagées de liberté, de justice et de coexistence pacifique, Mohamed Ali Nafti a souligné que la célébration de l’indépendance des États-Unis constitue une occasion de raviver ces idéaux communs, piliers de la politique étrangère tunisienne.

De son côté, l’ambassadeur américain s’est réjoui de l’excellence croissante des relations tuniso-américaines et a réitéré l’engagement de son pays à consolider et élargir les domaines de coopération dans l’intérêt des deux peuples.

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ARP : Renforcer la présence tunisienne dans le continent africain

Le groupe de coopération parlementaire avec les pays d’Afrique a tenu, mardi 17 juin, au palais du Bardo, une séance de travail avec des représentants du ministère des Affaires étrangères en charge des dossiers africains.

La vice-présidente de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Sawssen Mabrouk, a souligné que cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coordination entre le Parlement et la diplomatie tunisienne, en vue d’élaborer une vision commune visant à assurer une présence tunisienne plus marquée sur le continent africain.

Elle a rappelé que le positionnement stratégique de la Tunisie lui confère un rôle central dans la mise en place de partenariats solides et mutuellement bénéfiques avec les pays du continent.

Elle a ajouté que cette réunion représentait une occasion propice pour clarifier les grandes orientations de la politique étrangère tunisienne à l’égard du continent africain, permettant ainsi à l’Assemblée d’appuyer l’action diplomatique officielle et de promouvoir une approche fondée sur la collaboration et le travail conjoint.

Les représentants du ministère ont, pour leur part, passé en revue les principaux domaines de coopération déjà engagés avec l’Afrique subsaharienne, notamment la santé, l’enseignement supérieur, la formation professionnelle et les technologies de l’information. Ils ont toutefois souligné plusieurs défis persistants, parmi lesquels le manque de liaisons aériennes, les obstacles logistiques et la présence diplomatique limitée de la Tunisie dans plusieurs capitales africaines.

Ils ont plaidé en faveur de l’ouverture de nouvelles ambassades afin de faciliter le dialogue et les échanges, rappelant le rôle fondateur de la Tunisie au sein de l’Union africaine ainsi que son adhésion à la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Ils ont également annoncé que Tunis accueillera prochainement le Centre africain des marchés intégrés.

De leur côté, les députés ont appelé à renforcer l’ouverture sur l’Afrique et à élaborer une nouvelle feuille de route en direction de l’Afrique subsaharienne, fondée sur une véritable logique de partenariat.

Parmi les priorités évoquées figurent la nécessité de mieux traiter la question de la migration irrégulière, de densifier les liaisons aériennes directes et de faire entendre la voix de la Tunisie au sein du Parlement panafricain.

Selon eux, le développement du réseau diplomatique tunisien et la facilitation de la participation aux instances africaines sont des leviers essentiels pour dynamiser les échanges commerciaux et renforcer la présence économique de la Tunisie sur le continent africain.

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Balance alimentaire : couverture en baisse à 125,7 %

L’excédent de la balance commerciale alimentaire a chuté de 1 584,2 MD à 744,2 MD entre 2024 et 2025 (à fin mai). En conséquence, le taux de couverture est passé de 153,6 % à 125,7 %, selon une note de l’Observatoire National de l’Agriculture (ONAGRI) publiée, mardi 17 juin, sur la balance commerciale alimentaire à fin mai 2025.

Cette régression s’explique principalement par la baisse des exportations d’huile d’olive (-28,9 %), de dattes (-16,0 %) et de produits de la pêche (-23,6 %), et ce malgré le recul des importations de céréales (-14,9 %), de sucre (-56,1 %) et d’huiles végétales (-18,7 %).

Les exportations alimentaires ont, en valeur, enregistré une baisse de 19,7 %, tandis que les importations ont reculé de 1,9 %.

Le prix moyen à l’exportation de l’huile d’olive a chuté à 12,81 DT/kg, soit une diminution de 52,8 % par rapport à l’année précédente. Les prix à l’exportation ont reculé de 52,8 % pour l’huile d’olive et de 1,4 % pour les produits de la pêche, alors qu’ils ont progressé de 2,1 % pour les dattes et de 19,8 % pour les agrumes, comparativement à la même période de l’année précédente.

S’agissant des prix à l’importation des produits céréaliers, ils ont baissé de 18,8 % pour le blé dur et de 1,2 % pour le blé tendre. En revanche, ils ont augmenté de 5,9 % pour l’orge et de 8,0 % pour le maïs. Le prix du sucre a également chuté de 29 %, tandis que ceux des huiles végétales et du lait (ainsi que de ses dérivés) ont respectivement augmenté de 19,5 % et de 14,1 %.

À noter que les importations alimentaires ont représenté 8,2 % des importations totales, contre 13,6 % pour les exportations alimentaires dans l’ensemble des exportations.

L’excédent de la balance commerciale alimentaire a contribué à la réduction du déficit de la balance commerciale globale à hauteur de 8,9 %.

Pour rappel, le déficit global de la balance commerciale du pays s’est creusé de 30,5 % à fin mai 2025, atteignant -8367,2 MD.

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Bourse: Le marché met fin à sa tendance baissière

L’indice de référence a terminé la séance sur une note quasi stable, enregistrant une légère hausse de 0,02 % pour s’établir à 11 128 points. Du côté des échanges, le volume total transigé sur le marché a atteint 15,5 millions de dinars, porté par cinq transactions de bloc. Parmi elles, quatre ont concerné le titre SFBT pour un montant total de 6,6 MDt, tandis qu’une autre transaction de 1 MDt a porté sur le titre POULINA GROUP HOLDING, selon l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre NEW BODY LINE a enregistré la meilleure performance de la séance, avec une progression de 5,9 % à 3,600 dinars, dans un volume très faible de 3 mille dinars.

Le titre ESSOUKNA a également affiché une belle progression. L’action du promoteur immobilier a gagné 4,1 % pour atteindre 1,800 dinar, sans générer de flux notable au cours de la séance.

En revanche, le titre CIMENTS DE BIZERTE figure parmi les plus fortes baisses. L’action du cimentier a reculé de 3,2 % à 0,610 dinar, dans un volume très faible d’un millier de dinars.

Toujours dans le rouge, TAWASOL GROUP HOLDING a cédé 2,5 % pour s’établir à 0,780 dinar. L’action du holding du groupe Chabchoub a enregistré un volume modeste de 94 mille dinars sur la séance.

Enfin, SFBT s’est distinguée comme la valeur la plus dynamique de la journée. L’action du spécialiste des boissons gazeuses et alcoolisées s’est appréciée de 0,3 % à 12,040 dinars, alimentant le marché à hauteur de 11,1 MDt, notamment grâce à quatre transactions de bloc totalisant 6,6 MDt.

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E-commerce : obligation d’informer précisément et en transparence

Le ministère du Commerce et du Développement des exportations a appelé, mardi 17 juin, les e-commerçants à fournir impérativement aux consommateurs des informations « précises » et « transparentes » sur leurs produits ou services avant toute finalisation de transaction.

Dans un communiqué adressé aux commerçants utilisant différents canaux de vente électronique (plateformes web, applications mobiles et réseaux sociaux), le ministère a insisté sur l’obligation de mentionner l’identité de l’entreprise (nom commercial, identifiant unique, adresse et contact).

Il a, également souligné la nécessité de présenter le produit ou le service de manière claire et précise, en précisant les conditions de garantie, les frais de livraison, les délais d’exécution de la commande ainsi que les modalités de paiement.

Le ministère a aussi rappelé l’importance d’informer les consommateurs sur les conditions de rétractation, d’échange et de retour.

Concernant les sociétés de livraison, celles-ci sont exhortées à respecter le cadre légal régissant leur activité, en indiquant obligatoirement leur identité ainsi que celles du vendeur et du consommateur sur la facture ou le bon de livraison.

La facture doit en outre comporter impérativement la date de livraison du produit ou d’achèvement du service, ainsi que les frais associés.

Par ailleurs, le ministère invite les consommateurs à éviter les achats sur les sites ou plateformes ne mentionnant pas ces informations, rappelant qu’ils ont le droit d’exiger une facture attestant leurs transactions afin de préserver leurs droits à l’échange ou au retour.

Enfin, il rappelle que les services de contrôle économique sont mobilisés pour lutter contre toute pratique ne respectant pas les règles du e-commerce et les droits des consommateurs.

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Balance alimentaire : taux de couverture en baisse à 125,7 % fin mai 2025

L’excédent de la balance commerciale alimentaire a diminué, passant de 1 584,2 MD à 744,2 MD entre 2024 et 2025 (à fin mai).

Par conséquent, le taux de couverture a chuté de 153,6 % à 125,7 %, selon une note publiée, mardi 17 juin, par l’ONAGRI sur la balance commerciale alimentaire à fin mai 2025.

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Loi sur l’indemnisation des agents de force de sécurité en cas d’accident de travail examinée

La Commission parlementaire de la défense, de la sécurité et des forces portant les armes a auditionné ce mardi 17 juin, au Palais du Bardo, des représentants de la partie initiatrice de la proposition de loi visant à modifier la loi n°50 du 19 décembre 2013, relative à l’instauration d’un régime particulier de réparation des dommages subis par les agents des forces de sécurité à la suite d’accidents de travail ou de maladies professionnelles.

Selon un communiqué de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), cette proposition de loi vise à établir un régime spécifique d’indemnisation des préjudices corporels résultant d’accidents de travail ou de maladies professionnelles, au profit des agents des forces de sécurité intérieure, de leur vivant ou, en cas de décès, au bénéfice de leurs ayants droit.

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Investissements agricoles : 166,1 MD à fin mai 2025 (APIA)

Quelque 1 189 opérations d’investissement, d’une valeur totale de 166,1 millions de dinars, ont été approuvées dans le secteur agricole à fin mai 2025, par les comités d’octroi des avantages. Ces investissements devraient permettre la création de 1 117 emplois permanents, selon un bulletin statistique publié, mardi 17 juin, par l’Agence de Promotion des Investissements Agricoles (APIA).

Les investissements agricoles approuvées à fin mai 2025 se répartissent entre 708 opérations de création (pour une valeur de 90 millions de dinars), 481 opérations d’extension et de renouvellement (76,1 millions de dinars) et 580 autres opérations d’investissement.

Selon l’APIA, 45 % de ces investissements concernent des projets déclarés en 2024, 34 % des projets déclarés en 2025, tandis que le reste porte sur des projets déclarés en 2023 ou antérieurement.

Le secteur agricole arrive en tête avec des investissements approuvés estimés à 75 millions de dinars, suivi des services liés à l’agriculture et à la pêche maritime (51,2 MD), de l’aquaculture (29,8 MD), de la pêche (9 MD) et, enfin, de la première transformation des produits agricoles et de la pêche maritime (1,1 MD).

Les investissements dans le secteur de l’aquaculture ont enregistré une hausse spectaculaire de 1858 % par rapport à la même période de 2024, atteignant 29,8 millions de dinars contre 1,5 million de dinars en 2024. Par ailleurs, les investissements dans le secteur des services liés à l’agriculture et à la pêche maritime ont progressé de 94 %, passant de 26,4 millions de dinars à 51,2 millions de dinars.

En revanche, les investissements dans le secteur de la pêche ont chuté de 33 %, s’établissant à 9 millions de dinars contre 13,4 millions de dinars à la même période en 2024.

Concernant la répartition des investissements par type de promoteurs, 16 opérations ont été approuvées en faveur de sociétés communautaires, pour un montant de 4,1 millions de dinars. Ces projets seront réalisés dans les gouvernorats de La Manouba, Béja, Kairouan, Nabeul, Kébili, Siliana, Mahdia et Sidi Bouzid.

Par ailleurs, 215 opérations ont été validées au profit de jeunes promoteurs pour un montant global de 21,8 millions de dinars. De plus, 80 femmes promotrices ont obtenu des décisions d’octroi d’avantages pour la mise en œuvre de projets d’une valeur de 7,6 millions de dinars.

Les investissements approuvés ont bénéficié de subventions d’un montant total de 41,08 millions de dinars, représentant 24,7 % de leur valeur globale. Ces subventions ont concerné principalement l’acquisition de matériel agricole, à hauteur de 21 millions de dinars, soit 51 % du total. À ce titre, l’achat de 603 tracteurs agricoles pour une valeur de 56,6 millions de dinars a été approuvé, contre 480 tracteurs d’une valeur de 43,8 millions de dinars durant la même période en 2024.

Les subventions ont également couvert l’acquisition d’équipements fonctionnant à l’énergie solaire : 91 projets d’un montant total de 2,8 millions de dinars ont été approuvés, assortis de subventions d’une valeur de 1,5 million de dinars. En outre, 161 opérations liées à l’économie d’eau d’irrigation ont été approuvées pour un montant de 2,4 millions de dinars, ainsi que 129 projets intégrés de culture d’olivier pour une valeur de 15,8 millions de dinars.

Le taux de recours au crédit a atteint 32,4 % de la valeur totale des investissements approuvés, contre 27 % à la même période de 2024. Les crédits ont permis de financer 547 projets, soit 46 % du nombre total des projets validés. Les crédits fournisseurs restent en tête des mécanismes de financement, avec 390 crédits accordés pour un montant de 26,2 millions de dinars.

Enfin, 16 crédits fonciers d’une valeur de 2,5 millions de dinars ont été approuvés, contre 11 crédits d’une valeur de 1,6 million de dinars à la même période de 2024. Ces financements permettront l’intégration de 159 hectares de terres dans le circuit économique.

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Fête de la Musique : concerts gratuits des lauréats Elyssa les 20-21 juin à Dar Sébastien

Le projet Elyssa propose deux concerts gratuits les vendredi 20 et samedi 21 juin, de 19h à minuit, à Dar Sébastien, Centre culturel international de Hammamet (CCIH) à l’occasion de la Fête de la Musique.

Ces deux concerts seront consacrés aux créations des douze artistes lauréats du programme Elyssa, a annoncé l’Institut français de Tunisie (IFT). Les artistes présenteront le fruit de leurs différentes phases de résidence, qui se sont déroulées depuis janvier 2025 au Centre culturel international de Hammamet, durant lesquelles ils ont créé, peaufiné, répété et développé leurs compositions.

Initié par l’Institut Français de Tunisie (IFT) et soutenu par le Fonds Équipe France (FEF), le projet « Elyssa » est un dispositif d’aide à la création destiné à accompagner les artistes résidant en Tunisie dans les domaines des arts visuels et des musiques. Cette initiative innovante a pour ambition de soutenir la scène artistique tunisienne en offrant un accompagnement personnalisé aux artistes, qu’ils soient émergents ou confirmés

Lancé au mois d’octobre 2024, le programme « Elyssa » d’une durée d’un an est demi, a été pensé comme un espace où se rencontrent création artistique et entreprenariat culturel. Conçu comme un véritable tremplin à la création, ce projet accompagne les artistes visuels et les musiciens tunisiens depuis la conception de leurs projets jusqu’à la réalisation concrète de leurs initiatives.
Lancé en 1983, la Fête de la musique est un évènement annuel célébré à travers le monde le 21 juin (date qui coïncide le plus souvent avec le premier jour de l’été dans l’hémisphère nord), principalement le soir et la nuit jusqu’au lendemain matin.
Programme détaillé des deux concerts :
Vendredi 20 juin :
19h00-19h45 : Nejia
19h50-20h35 : Broua
20h40-21h25 : Soudeni
21h30-22h15 : Ayman Boujlida – Mabrouka
22h20-23h05 : Islem Jemai
23h10-23h55 : Benjemy – Haï
Samedi 21 juin :
19h00-19h45 : Hadra
19h50-20h35 : Jathb
20h40-21h25 : Laimanprod (Aymen Goubaa)
21h30-22h15 : Ahmed Litaeim – Pyschedelic Winds
22h20-23h05 : Chaima Mahmoud
23h10-23h55 : Dendri Stambeli Movement
NB: l’entrée est libre dans la limite des places disponibles

 

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Gafsa : Arrivée du deuxième vol de pèlerins en provenance des lieux saints

L’aéroport international de Gafsa-Ksar a réceptionné, mardi 17 juin, le deuxième vol de rapatriement des pèlerins du gouvernorat, transportant 256 passagers.

Selon Mehrez Sneni, directeur régional des affaires religieuses, ce vol, initialement programmé, lundi à 4h30, a été retardé pour des raisons logistiques.

Le premier vol, avec 39 pèlerins originaires de Métlaoui, était arrivé, dimanche 15 juin, à l’aéroport de Tozeur-Nefta.

Le dernier vol de retour, avec dix pèlerins de Belkhir, est attendu, lundi 23 juin, à 20h15 à l’aéroport international de Sfax-Thyna.

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Santé unique : suivi de la conférence MENA au ministère de la Santé

Une séance de travail a été consacrée, mardi 17 juin, au ministère de la Santé au suivi de la mise en œuvre des résultats de la conférence régionale sur la « Santé unique » pour la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA). Elle était organisée à Tunis, les 14 et 15 juin 2025, avec la participation de ministres et de hauts responsables de 14 pays.

Tenue en présence des ministres de la Santé, Mustafa Ferjani, de l’Agriculture, Ezzedine Ben Cheikh, et de l’Environnement, Hbib Abid, cette séance a abouti à un accord portant sur l’évaluation des résultats de la conférence régionale « Santé unique ».

Il a également été convenu de lancer un programme opérationnel, aux niveaux national et international, pour mettre en œuvre la Déclaration de Carthage et créer un comité directeur mixte réunissant les ministères concernés.

Le ministre de la Santé a souligné l’importance d’une coordination permanente entre ces secteurs afin de réussir cette démarche collective. Laquelle renforcera la position de la Tunisie au niveau régional dans les domaines de la santé, de l’environnement et du développement durable, selon un communiqué du ministère de la Santé.

La « Déclaration de Carthage », présentée par le ministre de la Santé lors de la séance d’ouverture de la conférence régionale sur la « Santé unique » pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, formule plusieurs recommandations clés. Elle engage notamment les pays à intégrer l’approche de la santé unique dans leurs politiques nationales, à développer des mécanismes d’investissement dans les systèmes d’alerte précoce, de surveillance et de formation. Et ce, tout en soulignant l’importance de la coopération internationale et du partage d’expertises.

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Manouba : mise en service du 2ᵉ tronçon de la X20

Le deuxième tronçon de la route radiale X20 reliant la route régionale n°38 (route de Bejaoua et Oued Lil) à l’échangeur de Douar Hicher (Route Chenoua) sur une distance d’environ 3 km, dans le gouvernorat de la Manouba, est entré en exploitation, mardi 17 juin.

L’entrée en exploitation de ce tronçon intervient après l’achèvement des travaux et la résolution des problèmes ayant entravé cette partie du projet de la route radiale X20, a fait savoir le ministre de l’Equipement et de l’Habitat, Slah Zouari. Tout en ajoutant que son département œuvre à finaliser ce projet avant la fin de l’année en cours en accélérant la réalisation du tronçon restant, situé dans le gouvernorat de l’Ariana sur une distance d’environ 4 kilomètres.

Slah Zouari a souligné que le projet de la route X20 est d’une grande importance et constitue la deuxième route périphérique au niveau du Grand Tunis. En effet, ce projet concerne un tronçon de 15,5 km et traverse trois gouvernorats à savoir Tunis, la Manouba et l’Ariana avec un budget de 140 millions de dinars. Outre les coûts liés aux travaux d’aménagement paysager, aux ouvrages d’art et aux installations techniques nécessaires.

De plus, Slah Zouari a mis l’accent sur la contribution de ce projet, dont le taux de réalisation a dépassé 90 %, dans l’amélioration du trafic routier dans les zones concernées, soulignant la nécessité d’accélérer l’achèvement de la partie restante.

Pour sa part, le directeur général des ponts et chaussées Khaled Latrach a déclaré que les questions relatives au transfert des réseaux publics d’eau potable, de télécommunications et d’électricité et au foncier ont été derrière le retard enregistré dans la mise en œuvre du projet, précisant que le coût de l’expropriation pour cause d’utilité publique dans ce projet a atteint 35 millions de dinars.

Il est à noter que deux tronçons de la rocade X20 sont à ce jour entrés en exploitation dans les gouvernorats de Tunis et de la Manouba sur une distance d’environ 8 km.

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BUAT : 11 postes frontaliers équipés contre la falsification

Le Bureau Unifié Automobile Tunisien (BUAT) entamera, mercredi 18 juin 2025, l’équipement de 11 postes frontaliers terrestres — dont neuf avec l’Algérie et deux avec la Libye — de lecteurs de vérification rapide (lecteurs QR). Et ce, afin de lutter contre la falsification des cartes d’assurance interarabes, connues sous le nom de « carte orange », avant l’entrée sur le territoire tunisien.

Dans une déclaration à l’agence TAP, le directeur général du Bureau, Ahmed Hadroug, a indiqué que l’opération de distribution de ces équipements se poursuivra jusqu’au 25 juin 2025. Les contrôles de validité des cartes orange débuteront effectivement à partir du 1er juillet 2025, a-t-il précisé.

Il a expliqué que cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts de lutte contre la falsification des cartes d’assurance automobile, à la suite de la détection de plusieurs cas de fraude.

M. Hadroug a indiqué que l’entrée de véhicules libyens et algériens munis de cartes orange falsifiées — qu’elles soient en version papier ou électronique — a bien été constatée. Certains de ces véhicules ont été impliqués dans des accidents de la route sur le territoire tunisien, exposant les victimes au risque de ne pas être indemnisées pour les dommages subis.

« La convention de la carte orange stipule que le bureau émetteur d’une carte falsifiée ne prend pas en charge les conséquences de tels accidents », a-t-il précisé.

Le directeur général du BUAT a souligné l’importance de ce dossier. Tout en rappelant que la délivrance électronique des cartes orange a commencé, côté algérien et libyen, le 1er janvier 2024. Face à la recrudescence des fraudes liées à ces cartes électroniques, il a insisté sur la nécessité de déployer les efforts requis pour protéger les droits des assurés et préserver les équilibres financiers du Bureau.

Il a également fait savoir que le BUAT a détecté environ 27 cartes falsifiées provenant de véhicules libyens, dont cinq selon le nouveau format électronique, pour un montant total estimé à 200 mille dinars. Du côté algérien, quatre cartes orange falsifiées ont été relevées, dont deux en version électronique, pour un montant avoisinant 350 mille dinars.

M. Hadroug a enfin rappelé qu’un accord bilatéral a été signé le 1er juin 2025 avec la Direction générale des douanes. Il vise à équiper l’ensemble des postes frontaliers terrestres avec la Libye et l’Algérie de systèmes de vérification rapide. Ce dispositif permettra aux agents des douanes de contrôler l’authenticité des cartes orange présentées par les automobilistes étrangers avant leur entrée sur le territoire tunisien.

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Kef : renfort en spécialistes et équipements à l’hôpital régional

L’hôpital régional du Kef a récemment renforcé ses capacités humaines et techniques avec l’arrivée de 50 médecins spécialistes et l’acquisition de nouveaux équipements médicaux, dont un scanner. C’est ce qu’annonce le directeur régional de la santé, Moncef Houani.

Ce dernier a affirmé à l’Agence TAP que ces praticiens exercent au sein de 17 services couvrant 21 spécialités médicales. Contribuant ainsi à renforcer l’offre de soins spécialisés au sein de l’établissement. Ce dernier avait déjà été équipé, lors d’une phase antérieure, de services d’urgences, de radiologie et d’un laboratoire d’analyses médicales.

Ainsi, dans une optique de renforcement de la couverture sanitaire au niveau local, deux nouveaux services verront le jour, dès l’année prochaine, à l’hôpital local de Touiref. L’un est dédié aux urgences et l’autre à la prise en charge des patients atteints de pathologies chroniques.

Selon la même source, l’Hôpital régional du Kef comprend également des services de médecine générale, de médecine scolaire et universitaire, ainsi que de médecine bucco-dentaire.

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Manouba : irrigation estivale déployée avec un quota de 7,3 millions m³

Les services du Commissariat régional au développement agricole (CRDA) de la Manouba ont entamé, mardi 17 juin, l’opération de distribution des eaux d’irrigation dans les périmètres publics irrigués. Et ce, grâce à une dotation spécifique pour la saison estivale estimée à 7,3 millions de m³.

Une dotation de 7,3 millions de mètres cubes d’eau a été allouée à la région de Manouba dans le cadre du plan régional de rationalisation de l’usage de l’eau, reconduit cette année. C’est ce qu’a indiqué le commissaire régional par intérim au développement agricole, Kadour Nahdi.

Destinée exclusivement aux associations d’irrigants répondant aux critères fixés par le ministère, cette enveloppe sera distribuée selon un calendrier précis. Elle servira à irriguer 6 900 hectares de vergers situés dans les périmètres publics irrigués, à l’exclusion des cultures maraîchères estivales dans les zones desservies par le barrage de Sidi Salem.

Ce plan accorde la priorité à l’approvisionnement des vergers et des cultures fourragères estivales, tout en veillant à éviter toute nouvelle plantation à forte consommation en eau. Il vise une gestion durable des ressources hydriques, en misant sur l’économie d’eau, la maîtrise des consommations et un renforcement de la lutte contre les prélèvements anarchiques depuis l’oued Medjerda et le canal principal.

Par ailleurs, le CRDA prévoit de mettre à jour la cartographie des superficies arboricoles, en coordination avec les groupements de développement actifs dans les zones irriguées publiques, qui couvrent plus de 20 000 hectares à l’échelle régionale, incluant également les exploitations privées situées le long de l’oued Medjerda.

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Sabri Bachtobji proposé par la Tunisie pour diriger l’OIAC

La Tunisie a présenté la candidature du diplomate Sabri Bachtobji, au poste de directeur général de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) pour la période 2026-2030, a annoncé, mardi 17 juin, le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, à l’ouverture de la 23e réunion régionale africaine des États parties à la Convention sur l’interdiction des armes chimiques.

Dans son allocution, le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, a affirmé que la Tunisie ambitionne de jouer un rôle accru dans la gouvernance stratégique de l’OIAC. Il a souligné que le pays entend mettre au service de cette organisation son expérience, sa vision et son engagement en faveur d’un ordre international fondé sur la paix, la sécurité et le respect du droit.

Nafti a, en outre, réaffirmé le soutien constant de la Tunisie à toutes les initiatives visant à renforcer et à appliquer les accords internationaux relatifs à l’interdiction des armes chimiques.

Lors de son intervention, Mohamed Ali Nafti a souligné le rôle crucial de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) dans la garantie de la non-prolifération des armes chimiques, un engagement qui lui a valu le Prix Nobel de la Paix en 2013.

Il a rappelé que la Tunisie a siégé au Conseil exécutif de l’OIAC de 1997 à 2011, avant de se retirer volontairement pour permettre une rotation régionale équilibrée.

De l’ONU à l’OIAC ?

Le ministre a également mis en avant l’engagement constant de la Tunisie dans la mise en œuvre de la Convention, notamment à travers le renforcement de son cadre législatif et une participation active aux conférences et réunions des États parties.

Ancien secrétaire d’État aux Affaires étrangères, Sabri Bachtobji occupe depuis 2020 le poste de ministre plénipotentiaire hors classe, chargé des fonctions d’ambassadeur et représentant permanent de la République tunisienne auprès de l’Office des Nations unies et des institutions spécialisées à Genève.

Sabri Bachtobji a cumulé plusieurs missions au sein du ministère des Affaires étrangères tunisien. Il a, entre autres, été consul général à Lyon entre 2010 et 2011, avant d’être nommé ambassadeur de Tunisie au Brésil en 2013.

Rôle des sciences technologiques et chimiques au service de la paix

Ont participé à cette 23ᵉ réunion régionale africaine des États parties à la Convention sur l’interdiction des armes chimiques des experts de l’OIAC ainsi que des représentants des ministères et institutions nationales concernées.

La réunion permettra d’évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre des engagements internationaux et de discuter des moyens de mieux aligner les politiques nationales sur les objectifs des accords internationaux, afin de renforcer la sécurité régionale et soutenir les efforts africains.

Cet événement constitue une opportunité majeure pour mettre en lumière le rôle des sciences technologiques et chimiques au service de la paix, tout en renforçant la coopération bilatérale et multilatérale, notamment dans le contrôle des matières à double usage.

Fondée en 1997, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) rassemble 193 États membres et s’engage fermement à garantir la destruction irréversible des armes chimiques, à empêcher leur prolifération, et à promouvoir une chimie bénéfique à l’humanité.

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Le CNRD estime que le plan quinquennal doit s’adapter aux objectifs stratégiques

Le plan de développement 2026-2030 devra s’adapter aux évolutions en cours et aux objectifs stratégiques du pays, en dépit des défis majeurs, notamment financiers et climatiques, auxquels la Tunisie est confrontée. C’est ce qu’a affirmé Mohamed El Kou, président de la commission des plans de développement et des grands projets relevant du Conseil national des régions et des districts (CNRD).

Lors d’une journée d’étude consacrée aux orientations et défis liés à la relation entre le plan de développement et la construction de base, M. El Kou a souligné que les axes stratégiques du plan consistent à favoriser la transition vers une économie fondée sur le savoir, à améliorer la productivité et la compétitivité, à soutenir les petites et moyennes entreprises, ainsi qu’à impulser le développement des régions de l’intérieur.

Il a précisé que la Tunisie vise à instaurer un développement équitable et durable, à garantir la justice sociale et territoriale, à renforcer la participation des femmes et des jeunes, à poursuivre les réformes, à simplifier les procédures administratives et à améliorer la transparence et la gouvernance.

Le plan quinquennal repose également sur la numérisation de l’administration, la promotion de la décentralisation, l’investissement dans les énergies renouvelables, ainsi que sur des mesures visant une gestion plus efficiente des ressources hydrauliques et le développement de l’économie circulaire.

Le responsable a rappelé que la Tunisie doit relever plusieurs défis majeurs, tels que la faible croissance économique, l’inflation persistante, les problèmes sociaux dans les secteurs de la santé et de l’éducation, le niveau élevé de la dette publique, le chômage des jeunes – notamment parmi les diplômés de l’enseignement supérieur – ainsi que les défis liés au changement climatique et à la souveraineté alimentaire.

Dans ce contexte, M. El Kou a estimé que l’élaboration du nouveau plan de développement, axé notamment sur le renforcement de la compétitivité de l’économie aux niveaux régional et international, est désormais possible. Cela s’explique par un consensus entre les parties concernées sur les insuffisances du modèle actuel et par la disponibilité de données actualisées issues du Recensement général de la population et du logement de 2024.

Lors de cette journée d’étude, Ahlem Kharbech, directrice générale au ministère de l’Intérieur, est également intervenue pour présenter un exposé au nom des conseils locaux, régionaux et des conseils des districts.

À noter que le programme de cette rencontre prévoit une discussion générale qui devrait déboucher sur une série de recommandations, dans le but de contribuer à accélérer la préparation du plan de développement 2026-2030.

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 Quart pour Jabeur–Badosa au WTA500 Berlin 

La Tunisienne Ons Jabeur s’est qualifiée ce mardi 17 juin, pour les quarts de finale du tournoi WTA 500 de Berlin (gazon) en double, aux côtés de l’Espagnole Paula Badosa. Le duo a battu l’Américaine Desirae Krawczyk et l’Australienne Storm Hunter en trois sets : 6-2, 0-6, 10-8.

En simple, la 61e joueuse mondiale est également toujours en lice. Elle s’était imposée la veille face à l’Américaine Caroline Dolehide (64e), sur le score de 7-6, 6-1, validant ainsi son billet pour les huitièmes de finale.

Repêchée dans le tableau principal en tant que « lucky loser », Ons Jabeur affrontera au deuxième tour l’Italienne Jasmine Paolini, 4e mondiale et récente lauréate du Masters 1000 de Rome.

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La Bibliothèque Verte renaît au cœur du parc du Belvédère

La Bibliothèque Verte, située au cœur du parc du Belvédère, a été entièrement rénovée pour se transformer en un espace vivant et accessible à tous. Lieu propice à la lecture, aux jeux, à l’apprentissage et à la rêverie en plein air, elle rouvrira ses portes dimanche 22 juin 2025 avec un programme festif et éclectique.

Les visiteurs pourront découvrir un fonds documentaire enrichi, une nouvelle salle d’exposition dédiée à l’art nature et à l’art environnemental, ainsi qu’une scène ouverte et des espaces extérieurs aménagés pour lire à l’ombre des arbres.

Dès 10h00, des ateliers créatifs autour du livre seront proposés, parmi lesquels « La Balade des mots », un atelier d’écriture bilingue (arabe et français) inspiré par une promenade en nature, « Contes sous les arbres », des lectures animées et des spectacles de marionnettes pour tous les âges, « Signets nature », une activité de fabrication de marque-pages végétaux, et « La chasse aux mots verts », un jeu de piste ludique organisé dans la bibliothèque.

À 11h00, le vernissage de l’exposition « Murmures zoopoétiques » marquera un temps fort de cette journée. Illustrations, photographies et sculptures entreront en dialogue autour du vivant, avec les artistes Nesrine El Amine, Bader Klidi et Pol Guillard. Leurs œuvres, entre traces, récits et présences invisibles, interrogent notre rapport au monde animal à travers une démarche artistique poétique et engagée.

Présentée jusqu’au 28 juin 2025 dans le local de l’Association des Amis du Belvédère (AAB), cette exposition collective réunit trois artistes aux univers distincts : Bader Klidi, artiste pluridisciplinaire mêlant peinture, sculpture, musique et art digital; Nesrine El Amine, artiste visuelle et commissaire d’exposition; et Pol Guillard, photographe professionnel installé en Tunisie depuis 2006.

Un voyage musical en clôture

La journée s’achèvera en beauté avec une performance musicale de Yasmine Trabelsi. Mêlant sonorités du monde, sa voix envoûtante, sa guitare et son oud transporteront le public dans un voyage artistique sous les arbres des cinq continents. Une réouverture placée sous le signe de la culture, de la nature et de la convivialité.

Avec TAP

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Tabarka – Aïn Draham : un premier vol charter polonais ouvre la saison touristique

L’aéroport de Tabarka-Aïn Draham a connu ce lundi un événement significatif avec l’arrivée d’un vol charter en provenance de Katowice (Pologne), transportant 189 passagers. Ce vol inaugural, opéré par la compagnie polonaise Smart Wings, ouvre officiellement la saison touristique dans la région et symbolise la reprise du trafic aérien sur cette plateforme.

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’une stratégie concertée entre le ministère des Transports, le ministère du Tourisme, l’Office de l’aviation civile et les autorités locales, tous mobilisés pour relancer l’activité de l’aéroport.

Infrastructure clé du nord-ouest tunisien, l’aéroport – opérationnel depuis 1992 et d’une capacité d’accueil de 250 000 passagers – a récemment bénéficié d’une modernisation de ses équipements et d’un renforcement de son personnel, afin d’en optimiser les performances. Située à 13 km de Tabarka, cette plateforme de 240 hectares s’impose désormais comme un levier essentiel pour le développement économique et touristique de la région.

Avec TAP

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