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Face à l’échec des négociations, les chaffeurs de taxis menacent d’une grève nationale

La séance de négociations tenue ce mardi 20 mai 2025 au ministère du Transport s’est soldée par un échec, déplore le Syndicat de base des taxis individuels.

Les chauffeurs de taxis, confrontés à des défis économiques et à des préoccupations liées à leurs conditions de travail, ont particulièrement regretté l’absence du ministre lors de cette rencontre, estimant que le dialogue est la seule solition pour mettre fin à la crise dans le secteur.

Tout en exprimant un sentiment d’impasse et de frustrations, ils ont aussi affirmé qu’ils attendaient de cette rencontre, des réponses concrètes de la part des autorités ainsi que des avancées significatives, mais en vain.

Le syndicat de base des taxis individuels et l’Union des taxis devraient prochainement annoncer leurs prochaines actions, sachant que selon les premieères informations les concernées menacent d’une grève nationale qui pourrait être programmées jeudi prochain.

Y. N.

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Trump : la Russie et l’Ukraine entameront « immédiatement » des négociations sur un cessez-le-feu

Le président américain Donald Trump a déclaré, lundi 19 mai, que la Russie et l’Ukraine entameraient immédiatement des négociations de cessez-le-feu dans leur conflit qui dure depuis trois ans. Ceci étant, il n’a pas semblé obtenir de concessions majeures du président Vladimir Poutine lors de leur entretien téléphonique de plus de deux heures.

Dans un message publié sur sa plateforme Truth Social, Trump a déclaré avoir transmis le plan de pourparlers au président ukrainien Zelensky ainsi qu’aux dirigeants de l’Union européenne, de la France, de l’Italie, de l’Allemagne et de la Finlande lors d’un appel de groupe après celui avec Poutine.

« La Russie et l’Ukraine entameront immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu et, plus important encore, de la FIN de la guerre », a déclaré Trump, ajoutant plus tard à la Maison Blanche qu’il pensait que « certains progrès étaient en cours ».

Après avoir parlé à Trump, Poutine a déclaré que les efforts pour mettre fin à la guerre étaient « généralement sur la bonne voie » et que Moscou était prêt à travailler avec l’Ukraine sur un éventuel accord de paix.

« Nous avons convenu avec le président des États-Unis que la Russie proposera et est prête à travailler avec la partie ukrainienne sur un mémorandum sur un éventuel futur accord de paix », a-t-il déclaré aux journalistes près de la station balnéaire de Sotchi, sur la mer Noire.

L’ancien Premier ministre suédois, Carl Bildt, a déclaré sur X que l’appel avec Trump était « incontestablement une victoire pour Poutine ». Le dirigeant russe « a repoussé l’appel à un cessez-le-feu immédiat et peut poursuivre ses opérations militaires tout en exerçant une pression à la table des négociations ».

Réunion de haut niveau

Après avoir parlé avec Trump, Zelensky a déclaré que Kiev et ses partenaires pourraient chercher à organiser une réunion de haut niveau entre l’Ukraine, la Russie, les États-Unis, les pays de l’Union européenne et la Grande-Bretagne dans le cadre d’une initiative visant à mettre fin à la guerre.

Il espère que cela pourrait se produire prochainement et être organisé par la Turquie, le Vatican ou la Suisse. On ignore encore si cela ferait partie des négociations annoncées par Trump comme devant commencer immédiatement.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a indiqué que la conversation avec Trump était « bonne » et qu’il était « important que les États-Unis restent engagés ».

Le conseiller du Kremlin pour la politique étrangère, Iouri Ouchakov, a affirmé aux journalistes que Poutine et Trump avaient discuté de ce que le dirigeant américain avait qualifié de perspectives « impressionnantes » pour les relations entre leurs pays, ajoutant que la Russie et les États-Unis travaillaient sur un nouvel échange de prisonniers.

Poutine se concentre sur les « causes profondes »

Poutine a déclaré que le mémorandum sur lequel la Russie et l’Ukraine travailleraient au sujet d’un futur accord de paix définirait « un certain nombre de positions, comme par exemple les principes du règlement, le calendrier d’un éventuel accord de paix ».

« L’essentiel pour nous est d’éliminer les causes profondes de cette crise, a-t-il souligné. Il nous faut simplement déterminer les moyens les plus efficaces pour progresser vers la paix ».

Le président russe, dont les forces contrôlent un cinquième de l’Ukraine et progressent, est resté ferme sur ses conditions pour mettre fin à la guerre, malgré la pression publique et privée de Trump et les avertissements répétés des puissances européennes.

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Ukraine-Russie : accord sur l’échange de prisonniers, pas de cessez-le-feu à Istanbul

Les discussions entre la Russie et l’Ukraine, qui se sont achevées à Istanbul vendredi 16 mai dans l’après-midi, n’ont pas abouti sur un cessez-le-feu, mais ont permis quelques avancées malgré des tensions persistantes.

Un accord partiel sur les prisonniers de guerre

Malgré ces divergences, un accord concret a été trouvé : l’échange de 1 000 prisonniers de guerre de chaque côté, soit 2 000 personnes au total, a été annoncé par le ministre ukrainien de la Défense, Rustem Umerov. Ce dernier a également évoqué la possibilité d’une rencontre entre les présidents Zelensky et Poutine, ainsi qu’un futur cycle de négociations.

Vers un cessez-le-feu ?

Les deux parties ont discuté des contours d’un futur cessez-le-feu. Umerov a indiqué que ce point faisait partie des objectifs principaux de l’Ukraine lors des pourparlers, bien qu’aucun détail concret n’ait encore été communiqué. Les équipes poursuivront les discussions techniques à ce sujet.

Des exigences russes jugées excessives

Heorhii Tykhyi, porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères, a confirmé que la Russie avait formulé de nouvelles exigences, plus strictes que celles émises lors des précédentes discussions. Certaines d’entre elles sont jugées « inacceptables » par Kiev. Malgré cela, les responsables ukrainiens ont adopté une posture calme durant les échanges.

Une satisfaction russe modérée

Le chef de la délégation russe, Vladimir Medinsky, a déclaré être « satisfait » des discussions et a assuré que Moscou était prêt à poursuivre les négociations. Il a confirmé l’accord sur l’échange de prisonniers et pris note de la demande ukrainienne d’un sommet entre les deux chefs d’État.

Un rôle accru pour la diplomatie turque

Le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, a salué la réunion comme « un jour important pour la paix mondiale ». Il a souligné l’importance de l’échange de prisonniers comme « mesure de confiance » et a annoncé que les deux camps s’étaient engagés à transmettre par écrit leurs conditions pour un cessez-le-feu.

Position commune des leaders occidentaux

Depuis Tirana, en Albanie, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réaffirmé la volonté de son pays de progresser rapidement vers la paix. Il a insisté sur la nécessité d’un cessez-le-feu total et inconditionnel, faute de quoi des sanctions renforcées contre la Russie devraient suivre.

Le Premier ministre britannique Keir Starmer, qui a participé au sommet de la Communauté politique européenne, aux côtés de Macron, Merz, Tusk et Zelensky, a dénoncé la position russe, jugée inacceptable. Une conversation à ce sujet a eu lieu avec le président américain Donald Trump. Macron a rappelé qu’il était « inacceptable » que la Russie ignore pour la seconde fois les appels conjoints des Européens et des Américains à un cessez-le-feu.

Ursula von der Leyen et Antonio Costa ont réaffirmé leur soutien total à l’Ukraine. La présidente de la Commission européenne a promis d’accroître la pression sur Moscou, notamment via de nouvelles sanctions, pour forcer Vladimir Poutine à revenir à la table des négociations.

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L’UE et les États-Unis vont intensifier les négociations en vue d’un accord

L’Europe est prête à conclure un accord avec les États-Unis de Trump pour éviter une guerre commerciale plus large. Mais elle semble aussi prête à réagir en cas d’échec.

L’UE et les États-Unis ont convenu d’intensifier les discussions sur un éventuel accord commercial. C’est ce qu’a indiqué, jeudi 15 mai 2025, le commissaire européen au Commerce, Maroš Šefčovič.

« J’ai eu une autre conversation constructive avec le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick. Nous avons convenu d’intensifier notre collaboration au niveau technique. Et je suis en contact régulier avec lui. Je pense que nous nous rencontrerons très prochainement, probablement ici à Bruxelles ou lors des réunions de l’OCDE », a-t-il souligné.

Le ministre allemand des Finances, Lars Klingbeil, a déclaré le même jour que l’UE devait s’unir contre les tarifs douaniers américains. De même qu’elle était prête à agir si les négociations avec Washington ne conduisaient pas à une solution. « Nous devons répondre aux tarifs américains avec unité et détermination », a-t-il dit devant les parlementaires allemands. Avant de préciser : « Nous espérons que les négociations […] aboutiront à un bon résultat. Mais je voudrais également préciser très clairement que nous sommes prêts à agir si cela n’aboutit pas. »

Un rapport de Politico publié mercredi 14 mai indique que Washington a envoyé une lettre à la Commission européenne. Ce qui constitue une première indication de sa volonté d’engager des négociations avec les 27 pour trouver une solution à leur guerre commerciale.

Selon le même média, il s’agit du premier signe positif et substantiel d’engagement de la part de l’administration Trump. Et ce, depuis que les deux parties ont fait une « pause » dans l’imposition de leurs tarifs douaniers et de leurs mesures de rétorsion.

Au final, la lettre est une réponse à une liste de concessions possibles que l’Union européenne s’est déclarée en privé prête à offrir, indiquent des sources diplomatiques.

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