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Eté 2025 : quelles plages tunisiennes sont impropres à la baignade en 2025 ?

Le ministÚre de la santé a mis en garde contre la baignade dans 28 plages en raison de la pollution des eaux dans les gouvernorats de Tunis, Ben Arous, Ariana et Bizerte.

Dans le cadre du suivi de la qualitĂ© de l’eau de mer, le ministĂšre a effectuĂ© des opĂ©rations de contrĂŽle dans 539 points sur le littoral. Les rĂ©sultats du mois de juin ont rĂ©vĂ©lĂ© que 71 pc des plages tunisiennes sont de bonnes qualitĂ©, alors que 28 points sont impropres Ă  la baignade en raison de la pollution de l’eau.

Le ministĂšre de la santĂ© a indiquĂ©, mercredi dans son communiquĂ©, que les points impropres Ă  la baignade en raison de la pollution de l’eau se rĂ©partissent comme suit:

Gouvernorat de Tunis: Un point interdit Ă  la baignade Ă  la plage de la rue Bach Hamba Ă  la Goulette.

Gouvernorat de Ben Arous: 15 points interdits Ă  la baignade:

-A 100 m au sud de la plage Marouan Ă  RadĂšs,
-En face du siĂšge de la protection civile de RadĂšs,
-A 100 m au nord de l’embouchure de Oued Meliane (Radùs),
-En face de l’embouchure de Oued Maizet (Ezzahra),
-A l’embouchure de Oued Boukhamsa (Ezzahra)
-En face de la rue Salsa Major (Hammam-lif)
-En face de la rue de la méditerranée (Hammam-Lif)
-En face du Casino (Hammam-Lif)
-En face de la rue Habib Thameur (Hammam-Lif)
-En face de la rue Aziza Othmana (Hammam-Lif)
-L’ancienne embouchure Echaabia à Hammam-Lif
-A l’embouchure Oued Ayachia (Hammam-Lif)

Gouvernorat de l’Ariana: 6 points interdits à la baignade:

-A l’embouchure de la Sabkha à Raoued
-Devant le centre d’élevage des chevaux d’Akrout (Raoued)
-Au niveau du lotissement résidentiel (Raoued Plage)
-A la Cité des juges (Raoued)
-Au Canal du Golfe (Raoued)
-A 50 m au nord du canal du Golfe (Raoued)

Gouvernorat de Bizerte: 6 points interdits Ă  la baignade:
-La plage de Jalta (Bizerte)
-La plage Baali (Menzel Jemil)
-Le port de pĂȘche de Sidi Hachani Ă  Menzel AbderrahmĂšne
-Le Canal 1 de Zarzouna
-Le Canal 2 de Zarzouna

Le ministÚre de la santé a appelé les citoyens à éviter la baignade dans ces plages pour leur propre sécurité, soulignant que les opérations de contrÎle de la qualité des plages se poursuivent.

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Industrie automobile : Yura Corporation double ses effectifs en Tunisie et mise sur Kairouan

Le gĂ©ant sud-corĂ©en «Yura Corporation», spĂ©cialisĂ© dans la fabrication de cĂąbles, fils et faisceaux de cĂąble pour l’industrie automobile, implantĂ© Ă  Kairouan depuis 2007, compte renforcer sa prĂ©sence en Tunisie, indique, mercredi, la FIPA.

L’Agence a accueilli, rĂ©cemment, une dĂ©lĂ©gation de cette entreprise sud-corĂ©enne conduite par Kim Jong Gu, Directeur GĂ©nĂ©ral de la filiale tunisienne et Lee KangHoon, Business Development Executive Director du Groupe. La dĂ©lĂ©gation a prĂ©sentĂ© un “programme ambitieux pouvant tripler les capacitĂ©s d’emploi de ses sites en Tunisie”, .

Employant actuellement plus de 2500 personnes, le groupe envisage d’accroĂźtre ce nombre Ă  plus de 5000 d’ici un an, ajoute la mĂȘme source.

Lors de la rĂ©union, les discussions ont portĂ©, essentiellement, sur les programmes d’extension envisagĂ©s par le groupe sud-corĂ©en dans les annĂ©es Ă  venir, rĂ©affirmant l’intĂ©rĂȘt du groupe pour le site tunisien en gĂ©nĂ©ral et la rĂ©gion du Kairouan en particulier.

De leur cĂŽtĂ©, les reprĂ©sentants des structures d’appui participantes Ă  la rĂ©union ont affirmĂ© leur engagement Ă  soutenir le dĂ©veloppement des activitĂ©s du groupe, tout en rassurant les membres de la dĂ©lĂ©gation quant Ă  leur disponibilitĂ© Ă  les accompagner lors des diffĂ©rentes phases d’extension envisagĂ©es, afin de permettre une mise en Ɠuvre plus efficace de ses nouveaux projets d’extension.

Disposant de quatre unités de production implantées à Kairouan, Yura corporation est le fournisseur exclusif de KIA & Hyundai Motor Group de cùblage automobile.

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Bourse de Tunis : le Tunindex poursuit sa hausse, boosté par POULINA et Attijari Bank

La tendance haussiĂšre se poursuit sur le marchĂ© action Tunisien. Le benchmark a clĂŽturĂ© la sĂ©ance du mercredi sur une progression de 1,19 % Ă  11 521,93 points dans un volume bien garni de 11,7 MD, selon l’intermĂ©diaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Une transaction de bloc d’une valeur de 1,7 MD portant sur le titre Poulina Group Holding a davantage dynamisĂ© les Ă©changes.

STA s’est offert la meilleure performance de la sĂ©ance. L’action du concessionnaire de la marque chinoise « chery » s’est bonifiĂ©e de 5,6 % Ă  23,400 D dans un volume de 42 mille dinars.

Le titre ATTIJARI BANK a terminĂ© la sĂ©ance sur une note d’optimisme. L’action de la banque privĂ©e s’est Ă©changĂ© une hausse de 5,4 % Ă  56,400 D. Les Ă©changes sur la valeur ont Ă©tĂ© bien garnis, s’établissant Ă  512 mille dinars sur la sĂ©ance.

Le titre SIPHAT a accusĂ© la plus forte baisse de la sĂ©ance. Dans un faible volume de 5 mille dinars, l’action du laboratoire pharmaceutique a reculĂ© de 4,2 % Ă  8,230 Dt.

Le titre TUNISAIR a figurĂ© parmi les plus grands perdants de la sĂ©ance. L’action du transporteur porte-drapeau s’est pliĂ©e de 2,7 % Ă  0,360 D. La valeur a Ă©tĂ© Ă©changĂ©e Ă  hauteur de 4 mille dinars sur la sĂ©ance.

Le titre POULINA GROUP HOLDING continue de chapeauter le palmarĂšs des Ă©changes pour la troisiĂšme sĂ©ance consĂ©cutive. S’apprĂ©ciant de 0,5 % Ă  15,280 D, la valeur a alimentĂ© le marchĂ© avec des capitaux de 3,3 MD (soit 28 % du flux de la cote) et ce, grĂące Ă  la rĂ©alisation d’une transaction de bloc d’une valeur de 1,7 MD.

 

 

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Sidi Bouzid : un atelier national pour valoriser les ressources fourragÚres face aux défis climatiques

Un atelier national s’est tenu, mercredi, au Centre rĂ©gional de recherche agricole (CRRA) Ă  Sidi Bouzid sous le thĂšme “Valorisation des ressources fourragĂšres et alternatives pour le renforcement et la durabilitĂ© des systĂšmes de production animale”.

L’évĂ©nement a rĂ©uni plusieurs chercheurs et intervenants du secteur des ressources fourragĂšres, Ă  l’initiative du Centre et dans le cadre d’un projet de valorisation des rĂ©sultats de la recherche agricole financĂ© par l’Institutiton de la recherche et de l’enseignement supĂ©rieur agricoles (IRESA).

Selon la chercheuse Nazhih El Ayeb, cet atelier vise Ă  valoriser les rĂ©sidus agricoles afin de rĂ©duire le coĂ»t de production des fourrages et d’assurer la durabilitĂ© des systĂšmes d’élevage dans diffĂ©rentes rĂ©gions.

Face aux dĂ©fis posĂ©s par le changement climatique et la rarĂ©faction des ressources, un atelier organisĂ© Ă  l’Institut des RĂ©gions Arides (IRA) de MĂ©denine a mis en lumiĂšre les efforts en cours pour diversifier et valoriser les ressources fourragĂšres alternatives, adaptĂ©es aux conditions arides, Ă  la salinitĂ© et aux stress environnementaux.

L’IRA Ɠuvre Ă  la valorisation de fourrages issus de productions directes et de rĂ©sidus agricoles (tomates de serre, palmes, feuilles d’olivier), tout en explorant de nouvelles formes de transformation comme les cubes fourragers. Des chercheurs ont Ă©galement prĂ©sentĂ© des travaux sur la prĂ©servation et l’amĂ©lioration des lĂ©gumineuses locales (luzerne, fĂšve Ă©gyptienne, pois des oiseaux, lentille), visant Ă  renforcer leur rendement, leur rĂ©sistance et leur valeur nutritive.

Le programme a mis l’accent sur les rĂ©sultats du laboratoire d’élevage, le rĂŽle de l’Office national des fourrages, l’introduction de l’Azolla comme alternative vĂ©gĂ©tale, et l’usage de rĂ©sidus de colza et de caroube. L’ensemble de ces initiatives s’inscrit dans une stratĂ©gie de durabilitĂ©, de prĂ©servation des ressources locales et de soutien Ă  l’alimentation animale dans les rĂ©gions arides.

 

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Monastir : formations en fusion de verre et pĂąte de verre pour jeunes artisans

Deux sessions de formation sont actuellement en cours au siĂšge du commissariat rĂ©gional de l’artisanat Ă  Monastir, portant respectivement sur la confection de piĂšces et objets dĂ©coratifs en pĂąte de verre et sur la technique de “fusing” (fusion du verre).

Ces formations bĂ©nĂ©ficient Ă  une vingtaine de participants de divers horizons, tous Ăąges et niveaux d’instruction confondus.

Dans une dĂ©claration Ă  l’Agence TAP, la sous-directrice au sein du commissariat rĂ©gional, Samah GĂąaloul, a prĂ©cisĂ© que cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un cycle de formations mises en Ɠuvre par l’Office national de l’artisanat (ONA) en partenariat avec le programme “Tunisie CrĂ©ative 2.0”.

Il s’agit d’un dispositif destinĂ© aux jeunes porteurs de projets, les artisans ainsi qu’aux diplĂŽmĂ©s de l’enseignement supĂ©rieur, en leur offrant des opportunitĂ©s de perfectionnement dans des spĂ©cialitĂ©s fortement sollicitĂ©es sur les marchĂ©s local et international.

Les produits issus de la fusion de verre et du travail de la pĂąte de verre jouissent actuellement d’une forte demande sur les marchĂ©s mondiaux, d’oĂč l’importance, selon lui, “de positionner la Tunisie Ă  l’avant-garde en matiĂšre de formation dans ces domaines innovants, et d’inciter les artisans Ă  s’aligner sur les tendances internationales, a indiquĂ© Ă  la TAP, le formateur au Centre des mĂ©tiers d’art de Nabeul, Sofiane Ben Amor.

Il a expliquĂ© que la technique du fusion de verre consiste Ă  assembler diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s de verre, transparentes ou colorĂ©es, jusqu’à obtenir une piĂšce homogĂšne pouvant servir de bijou ou d’élĂ©ment de dĂ©coration.

Il a Ă©galement saluĂ© l’enthousiasme des participants, notant que cette spĂ©cialitĂ© reste accessible sur le plan financier : un projet peut ĂȘtre lancĂ© avec un budget d’environ 5 000 dinars, couvrant l’achat du four, du verre colorĂ© et des Ă©quipements de base.

Par ailleurs, il a rappelĂ© que le programme “Tunisie CrĂ©ative” offre des possibilitĂ©s de financement pour ce type d’initiatives, avec notamment des lignes de crĂ©dit Ă  des conditions avantageuses.

Dans les prochains jours, le commissariat, en collaboration avec le mĂȘme programme, prĂ©voit d’organiser une session de formation en moulage sur mannequin dans le domaine de la haute couture, ainsi qu’un atelier consacrĂ© Ă  la broderie sur tulle, une technique trĂšs recherchĂ©e sur le marchĂ© de l’emploi.

 

 

 

 

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Bouderbala reçoit l’Ordre des mĂ©decins : focus sur la responsabilitĂ© mĂ©dicale et les rĂ©formes attendues

Le prĂ©sident de l’AssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple (ARP), Ibrahim Bouderbala, a reçu mercredi matin au palais du Bardo les membres du Conseil national de l’Ordre des mĂ©decins, conduits par la prĂ©sidente du Conseil, Rim Ghachem Attia.

Les membres de la dĂ©lĂ©gation ont soulignĂ©, au cours de l’entretien, les diverses prĂ©occupations du secteur mĂ©dical dans toutes ses spĂ©cialitĂ©s, les lacunes juridiques entravant son fonctionnement et la nĂ©cessitĂ© de les combler en rĂ©visant plusieurs lois en vigueur depuis des dĂ©cennies, ainsi qu’en mettant en place un cadre lĂ©gislatif en phase avec les Ă©volutions rapides que connaĂźt ce secteur important dans ses divers aspects.

Les membres du Conseil national de l’Ordre des mĂ©decins ont appelĂ© Ă  la promulgation d’un texte lĂ©gislatif permettant l’exercice de la mĂ©decine dans le cadre de sociĂ©tĂ©s, en raison des avantages que cette dĂ©marche prĂ©sente, notamment pour le dĂ©veloppement des services mĂ©dicaux et leur amĂ©lioration qualitative, en plus de leur rapprochement du citoyen et de leur accessibilitĂ© dans les meilleures conditions.

Ils ont Ă©galement soulignĂ© l’importance de la pratique mĂ©dicale dans un cadre participatif, en matiĂšre d’échange d’expĂ©riences et de savoir-faire, permettant ainsi de fournir des services de meilleure qualitĂ©, en insistant sur l’impact positif de cette pratique sur les jeunes mĂ©decins, Ă  travers la crĂ©ation d’opportunitĂ©s d’emploi et d’acquisition d’expĂ©rience.

Par ailleurs, les membres de l’Ordre ont abordĂ© la loi sur la responsabilitĂ© mĂ©dicale, Ă©voquant la nĂ©cessitĂ© de la rĂ©viser pour en faciliter l’application, notamment en ce qui concerne la garantie des droits des patients, la dĂ©termination de la responsabilitĂ© des prestataires de soins, et la mise en place de mĂ©canismes d’indemnisation pour les dommages rĂ©sultant d’erreurs mĂ©dicales.

Ils ont Ă©galement Ă©voquĂ© la poursuite du phĂ©nomĂšne de migration des mĂ©decins tunisiens, ses effets nĂ©gatifs sur le systĂšme de santĂ© nationale et sur les services fournis, en plus de la grave pĂ©nurie de cadres mĂ©dicaux. Ils ont estimĂ© que les conditions de travail difficiles des mĂ©decins figurent parmi les principales causes de cette migration des jeunes mĂ©decins, et qu’il est nĂ©cessaire d’y remĂ©dier.

Le prĂ©sident de l’AssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple a exprimĂ© son apprĂ©ciation pour les compĂ©tences mĂ©dicales remarquables dont regorge le secteur, compĂ©tences qui ont fait leurs preuves dans diverses spĂ©cialitĂ©s tant dans les secteurs public que privĂ©, et qui ont rĂ©alisĂ© des rĂ©ussites aux niveaux national et international. Il a soulignĂ© que ces indicateurs positifs reprĂ©sentent une incitation Ă  accorder davantage d’attention Ă  ces compĂ©tences, en leur offrant les meilleures conditions de rĂ©ussite et d’excellence.

Il a Ă©galement saluĂ© le travail sĂ©rieux accompli par les professionnels de santĂ© dans toutes leurs catĂ©gories et spĂ©cialitĂ©s, afin de garantir les services de santĂ© aux citoyens de la meilleure maniĂšre, illustrant ainsi l’importance du secteur de la santĂ©, considĂ©rĂ© comme l’un des domaines vitaux et de services les plus directement liĂ©s au citoyen.

 

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BCT : les recettes touristiques et les transferts des Tunisiens Ă  l’étranger atteignent 6,8 milliards de dinars en 2025

Les recettes touristiques et les revenus du travail cumulés ont drainé, durant la période allant du 1er janvier au 20 juin 2025, 6,8 milliards de dinars, selon les indicateurs monétaires et financiers, rendus publics, mercredi, par la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

Les recettes touristiques ont enregistrĂ© une hausse de 8,5%, passant de 2,7 milliards de dinars, le 20 juin 2024, Ă  3 milliards de dinars, actuellement alors que les revenus du travail ont progressĂ© de 8,4%, Ă  3,7 milliards de dinars, durant la mĂȘme pĂ©riode.

L’ensemble de ces recettes ont permis de couvrir Ă  hauteur de 89,5% des services de la dette extĂ©rieurs, lesquels ont dĂ©passĂ© les 7,6 milliards de dinars, Ă  la date du 20 juin courant.

Pour ce qui est des avoirs nets en devises, ils ont lĂ©gĂšrement rĂ©gressĂ© de 3,5%, Ă  23,3 milliards de dinars (l’équivalent de 101 jours d’importation), le 24 juin 2025, contre 24,1 milliards de dinars (111 jours d’importation), une annĂ©e auparavant.

La BCT a fait Ă©tat, en outre, d’une hausse des billets et monnaies en circulation, de 12,4%, pour dĂ©passer les 24,7 milliards de dinars.

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Bourse Tunis-Assurances Maghrebia : Publication du rapport ESG au titre de l’exercice 2024

Maghrebia, faisant partie d’UFI Group, est membre du Pacte Mondial des Nations Unies et adhĂšre rigoureusement Ă  cette initiative depuis 2009. Cet engagement volontaire en matiĂšre de durabilitĂ© a Ă©tĂ© consolidĂ© par la mise en place de notre dĂ©marche de ResponsabilitĂ© SociĂ©tale de l’Entreprise (RSE) initiĂ©e au dĂ©but des annĂ©es 2020 et pensĂ©e comme une Ă©volution rendue logique et nĂ©cessaire par la croissance de l’activitĂ© du Groupe Maghrebia et de son impact sur la sociĂ©tĂ© dans son ensemble. La participation dĂšs 2021 Ă  un programme pilote proposĂ© par le Centre International des Technologies de l’Environnement de Tunis (CITET) nous a apportĂ© les bases mĂ©thodologiques nĂ©cessaires pour former et embarquer nos parties prenantes dans cette dĂ©marche. Ces concertations ont permis de convenir des 8 enjeux RSE prioritaires qui structureront nos plans d’actions, en concordance avec les Objectifs de DĂ©veloppement Durable (ODD) dĂ©finis par les Nations Unies.

ASSURANCES MAGHREBIA, publie le rapport ESG au titre de l’exercice 2024.

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ALECSO lance la version arabe du projet « Compétences en innovation » pour une éducation numérique

L’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO) a annoncĂ©, mercredi, le lancement de la version arabe du projet « CompĂ©tences en innovation », en partenariat avec la sociĂ©tĂ© Intel, la Millennium Foundation for Sustainable Education, la Classera Foundation for Smart Learning, et l’entreprise JP.

Ce projet vise Ă  soutenir la transformation numĂ©rique dans le secteur de l’éducation arabe, Ă  travers permettre aux enseignants d’intĂ©grer la technologie dans leurs pratiques pĂ©dagogiques et en dotant les apprenants des compĂ©tences nĂ©cessaires pour l’avenir, telles que la pensĂ©e critique, la rĂ©solution de problĂšmes, la crĂ©ativitĂ©, l’auto-apprentissage, l’intelligence numĂ©rique et la programmation.

Le projet vise Ă©galement Ă  rĂ©duire l’écart entre le systĂšme de l’éducation et les besoins du marchĂ© du travail, Ă  travers la crĂ©ation d’une plateforme Ă©ducative arabe intĂ©grĂ©e, contenant un contenu technique et scientifique renforçant les compĂ©tences du 21Ăš siĂšcle, rĂ©pondant aux exigences de la quatriĂšme rĂ©volution industrielle, et Ă©tablissant un nouveau modĂšle pĂ©dagogique fondĂ© sur la complĂ©mentaritĂ© entre la technologie et programmes Ă©ducatifs.

Le programme a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© par la sociĂ©tĂ© Intel, et adaptĂ© aux spĂ©cificitĂ©s des systĂšmes Ă©ducatifs arabes en collaboration avec le Centre arabe de la traduction et l’édition Ă  Damas et une Ă©quipe d’experts en Ă©ducation.

À cette occasion, Mohamed Ould Amar, directeur gĂ©nĂ©ral de l’ALECSO, a soulignĂ© que le monde connaĂźt des mutations rapides dans les domaines technologique et cognitif, ce qui impose une rĂ©vision profonde de la maniĂšre de former les enseignants et apprenants. Il a notĂ© que l’éducation ne se limite plus Ă  la transmission du savoir, mais tend Ă  stimuler la crĂ©ativitĂ©, dĂ©velopper les compĂ©tences, encourager la pensĂ©e critique et renforcer la capacitĂ© d’adaptation Ă  des environnements changeants.

Il a expliquĂ© que le projet « CompĂ©tences en innovation » incarne cette transformation Ă  travers une mĂ©thodologie Ă©ducative interactive basĂ©e sur des scĂ©narios rĂ©alistes, alliant savoir thĂ©orique et application pratique. Il a estimĂ© que le programme constitue un outil efficace pour redĂ©finir le rĂŽle de l’enseignant, dĂ©sormais vu comme un leader et un guide, et non simplement un transmetteur d’informations.

Il a Ă©galement indiquĂ© que cette initiative s’inscrit dans la vision de l’ALECSO pour soutenir la transformation numĂ©rique de l’éducation dans le monde arabe, rappelant Ă  ce sujet plusieurs projets prĂ©cĂ©dents, tels que la RĂ©fĂ©rence pour la transformation numĂ©rique, les plateformes de ressources Ă©ducatives ouvertes, une sĂ©rie de confĂ©rences sur l’intelligence artificielle dans l’éducation, ainsi que la Charte ALECSO sur l’éthique de l’intelligence artificielle, dont la prĂ©paration s’est achevĂ©e la semaine derniĂšre.

De son cĂŽtĂ©, le directeur du dĂ©partement des technologies de l’information et de la communication Ă  l’ALECSO, Mohamed Jomni, a soulignĂ© que le lancement de ce projet rĂ©pond Ă  la cadence accĂ©lĂ©rĂ©e de l’évolution numĂ©rique et Ă  la nĂ©cessitĂ© urgente de former les enseignants aux compĂ©tences adaptĂ©es aux dĂ©fis de la quatriĂšme rĂ©volution industrielle, prĂ©cisant que l’autonomisation des enseignants dans le monde arabe est toujours une prioritĂ© majeure pour l’ALECSO, et qu’il est temps de les transformer de simples transmetteurs de savoir en vĂ©ritables stimulateurs de crĂ©ativitĂ©, selon ses propos.

Jomni a prĂ©cisĂ© que le projet « CompĂ©tences en innovation » dĂ©passe le simple cadre d’un programme de formation, pour devenir une plateforme Ă©ducative intĂ©grĂ©e, fondĂ©e sur la crĂ©ativitĂ©, la pensĂ©e critique et l’utilisation des outils numĂ©riques. Il a affirmĂ© que le programme comprend plus de 140 heures d’activitĂ©s Ă©ducatives technologiques et propose un parcours progressif de dĂ©veloppement des capacitĂ©s des enseignants, rĂ©parti sur quatre niveaux d’autonomisation technologique.

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Réfrigération : la Tunisie met en place un dispositif de récupération et régénération des fluides frigorigÚnes

La Tunisie en train d’instaurer un systĂšme de rĂ©cupĂ©ration, de recyclage et de rĂ©gĂ©nĂ©ration des fluides frigorigĂšnes afin de minimiser les importations des hydro chlorofluorocarbures (HCFC) qui nĂ©cessitent un budget Ă©norme en devises, a indiquĂ© Youssef Hammami, Coordinateur de l’UnitĂ© Nationale d’Ozone Ă  l’Agence Nationale de Protection de l’Environnement Tunisienne (ANPE).

En effet, le pays importe environ 700 tonnes mĂ©triques d’hydro chlorofluorocarbures (HCFC) par an, utilisĂ©s notamment dans la rĂ©frigĂ©ration et la climatisation domestiques, la climatisation automobile et la rĂ©frigĂ©ration commerciale, a-t-il ajout.

Intervenant au cours d’un atelier organisĂ©, mercredi, Ă  l’occasion de la JournĂ©e Mondiale de la RĂ©frigĂ©ration (chaque 26 juin), par l’UnitĂ© Nationale Ozone, avec le soutien de l’Organisation des Nations Unies pour le dĂ©veloppement industriel (ONUDI) et du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), le responsable a indiquĂ© que ce programme permettra de collecter, recycler, rĂ©gĂ©nĂ©rer et de rĂ©utiliser Ă  nouveau ces quantitĂ©s au niveau national pour satisfaire les besoins des Ă©quipements frigorifiques en cours de fonctionnement jusqu’à la fin de leur vie.

Pour ce qui est des Ă©quipements dont l’ñge dĂ©passe 15 ans, le protocole de MontrĂ©al exige l’interdiction d’ici 2030 de ces substances, a-t-il expliquĂ©, prĂ©cisant qu’un lot d’équipements et d’outillages a Ă©tĂ© acquis et sera distribuĂ© au profit de 19 entreprises privĂ©es opĂ©rant dans le domaine de l’entretien et de rĂ©frigĂ©ration.

A cet effet, un appel Ă  candidatures a Ă©tĂ© lancĂ© et les bĂ©nĂ©ficiaires seront accompagnĂ©s lors de l’utilisation des Ă©quipements en question pour maximiser le flux de rĂ©cupĂ©ration et par la suite le recyclage et la rĂ©gĂ©nĂ©ration afin d’obtenir des quantitĂ©s suffisantes pour satisfaire les besoins.

“Nous sommes en train d’introduire des rĂ©frigĂ©rants naturels”, a-t-il fait savoir, ajoutant que des sessions de formation ont dĂ©jĂ  dĂ©butĂ© et d’autre sont planifiĂ©es.

Évoquant la stratĂ©gie nationale pour rĂ©duire la consommation des HCFC qui appauvrissent la couche d’ozone et contribuent au rĂ©chauffement climatique, le responsable a rappelĂ© qu’elle a permis de rĂ©duire de 62,4 % de la consommation des substances HCFC, soit 800 kilotonnes de CO2.

Mise en place depuis 2012, cette stratégie a permis de mener à bien un systÚme de certification.

Quelques 140 formateurs opérant dans le secteur du froid ont été certifiés et 11 centres de formation professionnelle en outillages et équipement qui sont nécessaires et indispensables pour la bonne gestion des fluides frigorigÚnes ont été équipés.

Il a fait savoir dans ce cadre qu’il reste seulement le systĂšme rĂ©glementaire qui a Ă©tĂ© dĂ©jĂ  soumis Ă  l’examen Ă  la prĂ©sidence du gouvernement pour adoption. A rappeler que la stratĂ©gie en question est appuyĂ©e par des initiatives majeures Ă  savoir le Protocole de MontrĂ©al et l’amendement de Kigali, mis en Ɠuvre par l’UnitĂ© Nationale d’Ozone au sein de l’ANPE, en collaboration avec l’ONUDI.

La JournĂ©e Mondiale de la RĂ©frigĂ©ration (chaque 26 juin) vise Ă  sensibiliser le public aux avantages essentiels du froid, Ă  l’impact du refroidissement sur la vie quotidienne et Ă  la maniĂšre dont les choix technologiques favorisent le bien-ĂȘtre environnemental des gĂ©nĂ©rations futures, selon l’ONUDI. Cette annĂ©e la journĂ©e est cĂ©lĂ©brĂ©e sous le thĂšme « Les compĂ©tences du froid ».

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Kasserine-céréaliculture : 9650 ha moissonnés et un rendement record en 2025

Jusqu’au mercredi 25 juin, 9650 ha ont Ă©tĂ© rĂ©coltĂ©s au gouvernorat de Kasserine, dont 8 mille ha d’orge et 1650 ha de blĂ©, soit un taux d’avancement de 22% des opĂ©rations de moissons au niveau des superficies emblavĂ©es cette saison.

Le chef de service des grandes cultures au commissariat rĂ©gional au dĂ©veloppement agricole, Abbes Haji a indiquĂ© Ă  l’Agence TAP les quantitĂ©s collectĂ©es jusqu’à prĂ©sent ont atteint 62 mille 731 quintaux rĂ©partis entre 59,676 mille quintaux d’orge et 3055 quintaux de blĂ©.

Il a ajouté que les superficies céréaliÚres emblavées ont avoisiné cette saison 85 mille ha (80 mille ha en pluvial et 5 mille ha en irrigué).

La rĂ©gion compte six centres de collecte d’une capacitĂ© de stockage de 92,5 mille quintaux, outre l’ouverture d’un nouveau centre Ă  Feriana.

Pour cette saison, la production cĂ©rĂ©aliĂšre est estimĂ©e Ă  650 mille 300 quintaux dont 244 mille quintaux de blĂ© et 406 mille quintaux d’orge.

Le rendement moyen a atteint un record jamais enregistrĂ©, depuis des annĂ©es, Ă  savoir 46,5 quintaux par hectare pour le blĂ© dur en irriguĂ© et 37,6 quintaux par hectare pour l’orge.

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Bourse Tunis-SOTUVER : Dividende de 0,250 dinar par action au titre de l’exercice 2024

La SociĂ©tĂ© Tunisienne de Verreries (SOTUVER) porte Ă  la connaissance de ses Actionnaires qu’en vertu de la septiĂšme rĂ©solution de l’AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale Ordinaire tenue le 20 juin 2025, le montant total des dividendes relatifs Ă  l’exercice 2024 s’élĂšve Ă  9 813 618,750 dinars. Cela correspond Ă  un dividende de deux cent cinquante millimes (0,250 dinar) par action, soit 25% du nominal.

Le détachement des dividendes sera effectué en date du 24 Juillet 2025.

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Ouverture du capital de SOTUVER : oĂč en sont les nĂ©gociations avec le partenaire stratĂ©gique ?

Le Conseil du Marché Financier porte à la connaissance des actionnaires de la société
SOTUVER et du public qu’il a demandĂ© Ă  ladite sociĂ©tĂ© d’informer le marchĂ© de l’état
d’avancement du projet d’ouverture du capital et de donner suite au communiquĂ© de presse publiĂ© par la sociĂ©tĂ©. En rĂ©ponse, la sociĂ©tĂ© SOTUVER a prĂ©sentĂ© les informations suivantes :

« Comme annoncĂ© dans nos courriers en date du 10 Mars 2025 et du 24 Mars 2025, une data room a Ă©tĂ© ouverte pour permettre au partenaire potentiel de rĂ©aliser, avec ses conseils, les audits d’acquisition. La data room est encore ouverte et les audits sont en cours de finalisation. Cependant, des discussions sont dĂ©jĂ  en cours avec le partenaire pour discuter des rĂ©sultats prĂ©liminaires de ces audits.

ParallĂšlement Ă  ces discussions, les actionnaires de la Sotuver concernĂ©s par l’opĂ©ration
viennent d’entamer la nĂ©gociation des termes du contrat d’acquisition, ainsi que la prĂ©paration des demandes d’autorisations administratives requises. La communication par le partenaire des premiers projets des autres documents contractuels usuels est prĂ©vue pour la prochaine quinzaine et la finalisation et la signature de la documentation contractuelle sont prĂ©vues pour fin septembre 2025.

A ce stade, aucun document engageant n’a Ă©tĂ© conclu entre les parties.

Les actionnaires de la Sotuver tiendront informé le public dÚs la signature de la documentation contractuelle. »

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Bourse Tunis-OPA STA : KILANI Holding détient désormais 68,36% du capital

Il est porté à la connaissance des intermédiaires en bourse et du public ce qui suit :

1- L’opĂ©ration d’Offre Publique d’Achat Obligatoire – OPA Obligatoire – sur les actions de la SociĂ©tĂ© Tunisienne d’Automobiles – STA, au prix unitaire de 24,400 dinars, ouverte du 22 mai 2025 au 20 juin 2025 a Ă©tĂ© clĂŽturĂ©e Ă  cette derniĂšre date.

Par cette opĂ©ration, l’initiatrice de l’OPA obligatoire, la sociĂ©tĂ© « KILANI Holding » vise
l’acquisition de 918 777 actions STA reprĂ©sentant 45,94% du capital de la sociĂ©tĂ©.

Il est rappelĂ© qu’à la date d’ouverture, l’initiatrice de cette OPA, dĂ©tenait 1 081 223 actions reprĂ©sentant 54,06% du capital de la sociĂ©tĂ© STA.

2- L’initiatrice, la sociĂ©tĂ© KILANI Holding a dĂ©clarĂ© avoir acquis en Bourse, durant la pĂ©riode de l’Offre, 286 011 actions, soit 14,30% du capital de la sociĂ©tĂ© STA.

3- A la date limite de dĂ©pĂŽt des plis relatifs Ă  l’opĂ©ration prĂ©citĂ©e, fixĂ©e pour le 23 juin 2025 Ă  17h00, 1 821 titres (0,09% du capital) ont Ă©tĂ© offerts en rĂ©ponse Ă  l’OPA obligatoire, dont ci-aprĂšs le dĂ©tail :

Ainsi, la société KILANI Holding détient 1 369 055 actions représentant 68,45% du capital de la société STA.

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Fraude fiscale : la FĂ©dĂ©ration allemande de football condamnĂ©e Ă  130.000 € d’amende

La FĂ©dĂ©ration allemande de football (DFB) a Ă©tĂ© condamnĂ©e mercredi Ă  une amende de 130.000 euros par un tribunal allemand dans une affaire de fraude fiscale liĂ©e Ă  l’organisation de la Coupe du monde en Allemagne en 2006.

Les anciens cadres de la fĂ©dĂ©ration “ont dĂ©libĂ©rĂ©ment fraudĂ© le fisc, cela ne fait aucun doute”, a dĂ©clarĂ© une juge du tribunal de Francfort (ouest) lors de l’énoncĂ© de la dĂ©cision.

Le ministÚre public avait requis une amende deux fois plus élevée, de 270.000 euros.

Au cƓur de ce procĂšs, qui s’était ouvert en mars 2024, se trouve le versement d’environ 6,7 millions d’euros Ă  un comitĂ© responsable de l’organisation du Mondial, pour couvrir les dĂ©penses d’un prĂ©tendu gala qui n’a jamais eu lieu et dont le coĂ»t ne pouvait par consĂ©quent pas ĂȘtre dĂ©ductible des impĂŽts.

Au total, ce serait plus de 13,7 millions d’euros d’impĂŽts qui n’auraient pas Ă©tĂ© payĂ©s au titre de 2006.

Selon le tribunal, le montant de 6,7 millions aurait Ă©tĂ© utilisĂ© par le prĂ©sident de la Coupe du monde 2006 et lĂ©gende du football allemand Franz Beckenbauer, mort en janvier 2024, pour corrompre des membres de la commission financiĂšre de la Fifa. Les responsables de la DFB voulaient ainsi s’assurer une subvention de 170 millions d’euros de la part de l’instance mondiale du football.

A la suite du scandale, la DFB s’est vu retirer rĂ©troactivement son statut d’organisme d’utilitĂ© publique.

“La DFB ne peut pas tout se permettre, mĂȘme si le football est le sport prĂ©fĂ©rĂ© des Allemands”, a insistĂ© la juge, pour qui l’image de la fĂ©dĂ©ration allemande est “ternie”. Les dirigeants de la DFB ont “effectuĂ© des paiements non dĂ©clarĂ©s et soutenu le systĂšme corrompu de la Fifa”, a encore dĂ©clarĂ© la juge Eva-Marie Distler.

Les poursuites contre trois des anciens hauts responsables de la DFB, Theo Zwanziger, Wolfgang Niersbach et Horst Schmidt, ont Ă©tĂ© abandonnĂ©es, moyennant le paiement d’amendes, entre 10.000 et 65.000 euros chacun.

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Tunisie : une confĂ©rence nationale alerte sur les violations du droit Ă  l’éducation publique

L’Observatoire tunisien de l’Économie (OTE) organisera le 30 juin 2025 une confĂ©rence nationale sur les violations du droit Ă  l’éducation en Tunisie, dans un contexte marquĂ© par des incidents tragiques qui rĂ©vĂšlent les dĂ©faillances du systĂšme Ă©ducatif public.

La confĂ©rence, intitulĂ©e “L’école publique en Tunisie : Entre engagements constitutionnels et violations du droit Ă  l’éducation : N’est-il pas temps pour une Ă©conomie basĂ©e sur les droits ?”, se dĂ©roulera Ă  Tunis et mettra l’accent sur les rĂ©sultats d’une Ă©tude de cas menĂ©e dans le gouvernorat de Kasserine.

Dans une annonce faite sur la page officielle Facebook de l’OTE, cette initiative intervient dans un contexte de crise marquĂ© par des incidents tragiques rĂ©cents, notamment l’effondrement d’un mur de lycĂ©e Ă  Sidi Bouzid ayant causĂ© la mort de trois Ă©lĂšves et un accident de transport scolaire Ă  Kasserine ayant tuĂ© un Ă©lĂšve. Ces drames rĂ©vĂšlent les dĂ©faillances du systĂšme Ă©ducatif face Ă  l’insuffisance des rĂ©ponses gouvernementales.

Cette Ă©tude, Ă©laborĂ©e par l’Observatoire du droit Ă  l’éducation en partenariat avec la section rĂ©gionale de la FĂ©dĂ©ration de l’enseignement de base de Kasserine, porte le titre “Gouvernorat de Kasserine : InĂ©galitĂ©s spatiales et violation du droit Ă  l’éducation”. Elle expose les violations et dysfonctionnements structurels qui entravent l’accĂšs au droit Ă  l’éducation, tout en documentant les disparitĂ©s gĂ©ographiques et sociales dans la rĂ©partition des ressources et services Ă©ducatifs.

L’évĂ©nement vise Ă  approfondir le dĂ©bat sur les choix de financement public de l’éducation et Ă  examiner les facteurs structurels qui affectent nĂ©gativement ce droit fondamental. Les organisateurs proposeront Ă©galement des solutions de rĂ©forme pour remĂ©dier Ă  ces dĂ©faillances.

La confĂ©rence comprendra des sessions de rĂ©flexion sur les dĂ©fis actuels liĂ©s au financement de l’éducation et Ă  la garantie de sa mise en Ɠuvre. Les participants examineront des alternatives possibles pour consacrer le droit Ă  l’éducation aux niveaux rĂ©gional et national.

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Kef : vers 2 millions de quintaux de céréales récoltés en 2025

Le taux d’avancement de la rĂ©colte cĂ©rĂ©aliĂšre dans le gouvernorat du Kef a atteint 45%, aprĂšs la collecte de plus de 650 mille quintaux, a indiquĂ© Ă  l’Agence TAP Abdelkarim Hidri, reprĂ©sentant de l’Union rĂ©gionale de l’agriculture.

Il a soulignĂ© Ă  l’Agence TAP que les prĂ©visions tablent sur une hausse de la production cĂ©rĂ©aliĂšre cette saison pour atteindre 2 millions de quintaux dont l’orge occupe la part de lion.

Par ailleurs, la mĂȘme source a affirmĂ© que plusieurs mesures ont Ă©tĂ© Ă©tablies au niveau de la rĂ©gion pour protĂ©ger les champs de cĂ©rĂ©ales contre les incendies.

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Marché nigérian : la Tunisie intensifie ses liens économiques avec le lancement du TNBC

Lors des AssemblĂ©es annuelles d’Afreximbank (AAM) qui se tiennent du 25 au 28 juin 2025, Ă  Abuja(Nigeria), le Tunisia–Nigeria Business Council (TNBC), a Ă©tĂ© lancĂ© officiellement, a annoncĂ© mercredi, le Conseil d’affaires tuniso-africain (TABC).

Il s’agit d’une initiative stratĂ©gique pilotĂ©e par le TABC dans le cadre de sa politique de consolidation des liens Ă©conomiques avec les marchĂ©s d’Afrique subsaharienne.

À cette occasion, Chris Eruba a Ă©tĂ© officiellement prĂ©sentĂ© en tant que prĂ©sident du TNBC.

Le TNBC ambitionne de devenir une plateforme bilatĂ©rale de rĂ©fĂ©rence, dĂ©diĂ©e Ă  la structuration, Ă  l’intensification et Ă  la promotion des partenariats Ă©conomiques, industriels, commerciaux et financiers entre la Tunisie et le Nigeria.

Le TABC a rĂ©affirmĂ©, Ă  cette occasion, son engagement Ă  accompagner les entreprises tunisiennes dans leur stratĂ©gie d’expansion en Afrique subsaharienne, en particulier au Nigeria, pays de plus de 220 millions d’habitants et aux perspectives Ă©conomiques prometteuses.

Et de préciser que les exportations tunisiennes vers le Nigeria ont été multipliées par quatre en un an, passant de 7 millions de dinars entre janvier et avril 2024 à 82 millions de dinars à fin avril 2025.

Le Nigeria se positionne désormais parmi les premiÚres destinations subsahariennes des exportations tunisiennes.

Les entreprises intĂ©ressĂ©es peuvent s’inscrire via le lien suivant : httpss://acp.com.tn/events/TNBC

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Tunisie–AlgĂ©rie : renforcement de la coopĂ©ration sur l’emploi et la sĂ©curitĂ© sociale

Les enjeux liĂ©s au marchĂ© de l’emploi, Ă  la sĂ©curitĂ© sociale et Ă  l’élargissement des opportunitĂ©s professionnelles pour les jeunes, ainsi que la nĂ©cessitĂ© de renforcer la coordination au sein des instances rĂ©gionales et internationales, notamment l’Organisation arabe du travail et l’Organisation internationale du travail, ont Ă©tĂ© au cƓur de la rencontre tenue mardi Ă  Alger entre le ministre tunisien des Affaires sociales, Issam Lahmar, et le ministre algĂ©rien du Travail, de l’Emploi et de la SĂ©curitĂ© sociale, Faycel Ben Taleb.

Selon un communiquĂ© du ministĂšre des affaires sociales, la rencontre s’inscrit dans le cadre de la visite officielle de Issam Lahmar en AlgĂ©rie, les 24 et 25 juin.

Les deux parties ont exprimĂ© leur volontĂ© commune d’intensifier le partenariat bilatĂ©ral Ă  travers la mise en Ɠuvre des mĂ©canismes de coordination technique et l’échange d’expertises et des expĂ©riences rĂ©ussies, notamment dans les domaines du dialogue social, de la sĂ©curitĂ© sociale et de la lutte contre le travail informel.

Lahmar a soulignĂ© l’intĂ©rĂȘt portĂ© Ă  l’expĂ©rience algĂ©rienne en matiĂšre d’emploi et de sĂ©curitĂ© sociale, prĂ©sentant de son cĂŽtĂ© les rĂ©formes engagĂ©es par la Tunisie pour dĂ©velopper son systĂšme national de sĂ©curitĂ© sociale.

Pour sa part, le ministre algĂ©rien a mis en avant les efforts de son pays pour Ă©largir la couverture sociale, soutenus par la reprise Ă©conomique, ainsi que les politiques nationales en faveur de l’emploi, notamment les initiatives innovantes destinĂ©es Ă  encourager les jeunes Ă  intĂ©grer le marchĂ© du travail et Ă  promouvoir l’investissement dans le capital humain.

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FC Barcelone : retour au Camp Nou le 10 août 2025 pour le Trophée Joan Gamper

Le FC Barcelone a annoncĂ© mercredi qu’il ferait son retour le 10 aoĂ»t dans son stade du Camp Nou, en travaux depuis deux ans, Ă  l’occasion du TrophĂ©e Joan Gamper, face Ă  un adversaire qui reste encore inconnu.

“Le FC Barcelone annonce officiellement le retour dans son stade, le Spotify Camp Nou, le 10 aoĂ»t 2025, une date qui marquera la rĂ©ouverture partielle du nouveau foyer blaugrana”, a indiquĂ© le club dans un communiquĂ©.

Le Barça n’a pas disputĂ© de rencontre au Camp Nou depuis mai 2023, date du dĂ©but des travaux de rĂ©novation de cette enceinte sportive: ses matchs Ă  domicile, depuis lors, se sont tenus au stade olympique de MontjuĂŻc.

Le club blaugrana n’a pas prĂ©cisĂ© dans son communiquĂ© la capacitĂ© d’accueil du Camp Nou pour les premiĂšres rencontres. Mais selon la presse locale, elle sera d’environ 35.000 spectateurs.

“Il convient de souligner que le retour se produira alors que les travaux du nouveau Spotify Camp Nou se poursuivent, ce qui nĂ©cessitera de cohabiter avec des interventions dans diffĂ©rentes zones du complexe”, prĂ©cise le club.

A l’issue du TrophĂ©e Gamper, un match amical de gala qui marque traditionnellement le dĂ©but de saison du Barça, le club disposera d’un mois supplĂ©mentaire pour continuer les prĂ©paratifs, La Liga ayant acceptĂ© qu’il joue ses trois premiers matchs Ă  l’extĂ©rieur.

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Tunisie–Burundi : vers un renforcement du partenariat en faveur des femmes, enfants et personnes ĂągĂ©es

La ministre de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes ĂągĂ©es, Asma Jebri, a reçu mardi Ă  Tunis son homologue burundaise, Imelde Sabushimike, ministre de la SolidaritĂ© nationale, des Affaires sociales, des Droits humains et du Genre.

Selon un communiquĂ© du dĂ©partement, les deux responsables ont discutĂ© des moyens de promouvoir le partenariat entre les deux pays notamment dans les domaines liĂ©s Ă  la famille, Ă  la femme, Ă  l’enfance et aux personnes ĂągĂ©es.

A cette occasion, Asma Jebri a rĂ©affirmĂ© l’attachement de la Tunisie Ă  promouvoir les droits de la femme, Ă  assurer son autonomisation Ă©conomique, Ă  lutter contre toutes les formes de violence et Ă  garantir l’égalitĂ© des chances entre les diffĂ©rentes catĂ©gories sociales et rĂ©gionales.

Elle a, en outre, exprimĂ© la volontĂ© de la Tunisie de renforcer ses relations avec l’ensemble des pays africains amis, en particulier le Burundi, dans les secteurs d’intĂ©rĂȘt commun au service de la famille et des catĂ©gories vulnĂ©rables.

Pour sa part, la ministre burundaise a saluĂ© l’expĂ©rience tunisienne en matiĂšre de promotion des droits des femmes. Elle a appelĂ© Ă  un renforcement de la coopĂ©ration bilatĂ©rale, notamment dans la lutte contre la violence faite aux femmes et aux filles, tout en exprimant son intĂ©rĂȘt pour les approches, mĂ©canismes et bonnes pratiques dĂ©veloppĂ©s par la Tunisie dans ce domaine.

En visite officielle en Tunisie du 24 au 27 juin, La dĂ©lĂ©gation burundaise a manifestĂ© un intĂ©rĂȘt particulier pour les politiques tunisiennes en matiĂšre de lĂ©gislation, d’institutions, de droits des femmes, des enfants et des personnes ĂągĂ©es, ainsi que pour les programmes d’intĂ©gration Ă©conomique des femmes et des familles.

Une prĂ©sentation dĂ©taillĂ©e des orientations stratĂ©giques du ministĂšre tunisien, ses projets, programmes et institutions Ɠuvrant dans les domaines de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes ĂągĂ©es a Ă©tĂ© faite Ă  lors de cette rencontre.

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Développement local à Manouba : un plan 2026-2030 axé sur justice sociale, économie et gouvernance

Les huit conseils locaux du gouvernorat de Manouba ont achevĂ© l’élaboration du plan local de dĂ©veloppement 2026-2030, et l’ont remis au prĂ©sident du Conseil RĂ©gional conformĂ©ment au calendrier préétabli.

L’accent a Ă©tĂ© mis lors de la prĂ©paration des plans de dĂ©veloppement sur quatre axes principaux liĂ©s notamment Ă  la justice sociale, l’infrastructure de base, l’économie et l’investissement privĂ© ainsi que la gouvernance d’entreprise.

Selon la chargĂ©e de gestion du commissariat rĂ©gional au dĂ©veloppement Ă  Manouba, Najet Ben Taieb, il a Ă©tĂ© procĂ©dĂ© lors de l’élaboration du plan local, avec la participation de composantes de la sociĂ©tĂ© civile et des habitants, notamment Ă  l’examen de la situation de dĂ©veloppement , ainsi que l’étude des statistiques sur les projets et des indicateurs de dĂ©veloppement dans chaque dĂ©lĂ©gation, en plus des prioritĂ©s risques et dĂ©fis possibles.

La mĂȘme source a soulignĂ© Ă  l’Agence TAP qu’à partir de cette semaine, le processus d’accompagnement des membres du Conseil rĂ©gional a dĂ©butĂ© dans le cadre de l’élaboration du Plan de DĂ©veloppement RĂ©gional, processus qui se poursuit jusqu’au 22 juillet prochain.

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Ooredoo lance sa campagne estivale “Activi Sifek” et dĂ©voile une nouvelle gamme d’offres et de services

Ooredoo Tunisie a annoncĂ© aujourd’hui mardi le 24 Juin 2025, le lancement officiel de sa nouvelle saison estivale sous le slogan “Activi Sifek”.

Cette campagne vise Ă  offrir une expĂ©rience estivale exceptionnelle, alliant innovation, confort et proximitĂ© avec ses clients, en mettant l’accent sur des solutions numĂ©riques adaptĂ©es aux besoins des Tunisiens, petits et grands, tout au long de l’étĂ©.

Dans ce cadre, M. Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a dĂ©clarĂ© : « La campagne «Activi Sifek» reflĂšte parfaitement notre vision fondĂ©e sur l’innovation et la proximitĂ© avec nos clients. À travers cette initiative, nous voulons offrir une expĂ©rience complĂšte qui allie des solutions numĂ©riques avancĂ©es Ă  un engagement sociĂ©tal fort, afin d’ĂȘtre toujours le partenaire de confiance des Tunisiens pendant l’étĂ© et au-delĂ . »

Une offre complĂšte et des services sur mesure

Dans le cadre du programme Activi Sifek, Ooredoo propose une large gamme d’offres et de services conçus pour rĂ©pondre aux besoins des clients pendant la saison estivale, que ce soit en dĂ©placement, Ă  domicile ou en voyage. Ces offres comprennent des solutions innovantes pour l’internet mobile et sans fil, telles que des appareils MIFI 5G, des options Box 4G et Fibre Box Ă  haut dĂ©bit, ainsi que des offres pour maisons intelligentes associant connectivitĂ© et Ă©quipements connectĂ©s pour une expĂ©rience de divertissement complĂšte. Ooredoo met Ă©galement Ă  disposition des solutions dĂ©diĂ©es aux voyageurs et touristes via des cartes Holiday SIM et des services d’itinĂ©rance amĂ©liorĂ©s couvrant plusieurs destinations internationales, en plus de nouveaux services de divertissement numĂ©rique comme le Cloud Gaming et des forfaits destinĂ©s aux passionnĂ©s de jeux vidĂ©o. L’opĂ©rateur dĂ©voile Ă©galement sa nouvelle offre post payĂ©e Shahry accompagnĂ©e d’un pack smartphone, afin d’offrir aux clients une expĂ©rience de connectivitĂ© complĂšte et pratique. Le tout s’inscrit dans l’engagement de Ooredoo Ă  offrir une expĂ©rience estivale exceptionnelle alliant confort, innovation et proximitĂ© avec ses clients, avec des solutions numĂ©riques complĂštes qui rĂ©pondent Ă  tous les besoins.

Un engagement sociétal fort pour un été plus solidaire

Au-delĂ  des services commerciaux, la campagne “Activi Sifek” s’inscrit aussi dans une dĂ©marche de responsabilitĂ© sociĂ©tale. À travers son programme « Tounes T3ich », Ooredoo organisera un camp d’étĂ© dĂ©diĂ© aux enfants orphelins, avec pour objectif de leur offrir des moments de joie mĂ©morables dans un cadre sĂ©curisĂ© et enrichissant, alliant loisirs, apprentissage et accompagnement psychologique.

Cette initiative illustre l’engagement d’Ooredoo pour un Ă©tĂ© Ă  forte dimension humaine, touchant toutes les composantes de la sociĂ©tĂ© tunisienne et valorisant les principes de solidaritĂ© et d’inclusion.

Le rendez-vous musical estival par excellence

Dans sa volontĂ© de soutenir la culture et de la rendre accessible Ă  tous, Ooredoo prĂ©pare la troisiĂšme Ă©dition du « Ooredoo Music Fest » : un festival 100 % Ooredoo, repensĂ©, dynamisĂ© et prĂȘt Ă  marquer l’étĂ© 2025 avec une programmation inĂ©dite et des moments forts.

Cette annĂ©e, en plus de l’évĂ©nement principal, Ooredoo sera Ă©galement prĂ©sent dans plusieurs rĂ©gions Ă  travers son Music Tour, afin de se rapprocher encore plus des Tunisiens. Ce tour proposera de nombreuses surprises, du divertissement et des moments inoubliables pour tous.

Un Ă©vĂ©nement qui s’annonce comme l’un des temps forts du divertissement de l’étĂ© 2025, dont les dĂ©tails seront dĂ©voilĂ©s prochainement.

Ooredoo, toujours plus proche des Tunisiens

À travers cette campagne, Ooredoo rĂ©affirme son engagement Ă  offrir des expĂ©riences enrichissantes et innovantes Ă  ses clients, Ă  chaque saison de leur vie.

” Activi Sifek ” n’est pas qu’une sĂ©rie d’offres : c’est une promesse de proximitĂ©, d’innovation continue et d’écoute des attentes des Tunisiens.

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Mondial des clubs 2025 : l’EspĂ©rance ST s’incline face Ă  Chelsea et quitte la compĂ©tition

L’EspĂ©rance sportive de Tunis a vu son rĂȘve d’une qualification historique pour le second tour de la Coupe du monde des clubs 2025 s’envoler dans la nuit de Philadelphie, aprĂšs une dĂ©faite sans appel face Ă  Chelsea FC (0-3). MalgrĂ© une rĂ©sistance honorable en premiĂšre pĂ©riode, les Sang et Or ont finalement cĂ©dĂ© sous la pression anglaise, rĂ©vĂ©lant des lacunes tactiques et techniques face Ă  une Ă©quipe de Premier League bien supĂ©rieure.

DĂšs les premiĂšres minutes, Chelsea a montrĂ© son intention de dominer, avec un premier avertissement dĂšs la 4e sur un corner mal dĂ©fendu, oĂč la tĂȘte de Badiashile a frĂŽlĂ© le poteau. Les Tunisiens, alignĂ©s en 4-2-3-1 avec Elias Mokwana en soutien de Achref Jabri, ont tentĂ© de rĂ©sister, mais le manque de crĂ©ativitĂ© en l’absence de Youssef Belaili (sanctionnĂ©) s’est rapidement fait sentir.

Si le match s’est Ă©quilibrĂ© vers la 10e, Chelsea a rapidement repris le contrĂŽle, avec Nkunku et Delap qui ont mis la dĂ©fense tunisienne sous pression. Bechir Ben Said, vigilant, a dĂ» intervenir sur une frappe lointaine de Delap (15e), mais les contre-attaques espĂ©rantistes Ă©taient trop timides, comme en tĂ©moigne le tir ratĂ© de Yan Sasse.

Le vĂ©ritable coup de massue est arrivĂ© en fin de premiĂšre mi-temps, avec deux buts en l’espace de deux minutes : Ă  la 45e+3, Adarabioyo a profitĂ© d’un marquage dĂ©faillant sur corner pour ouvrir le score d’une tĂȘte imparable et Ă  la 45e+5, Liam Delap a enfoncĂ© le clou en dribblant la dĂ©fense avant d’ajuster un tir en lucarne.

Ces deux buts ont scellĂ© le sort de l’EspĂ©rance, rĂ©vĂ©lant une fragilitĂ© dĂ©fensive face aux mouvements rapides des Anglais.

En deuxiĂšme mi-temps, Maher Kenzari a tentĂ© de rĂ©agir en lançant Wael Derbali Ă  la place de Mokwana, puis Rodrigo Rodrigues pour Jabri (56e), mais le milieu de terrain tunisien, largement dominĂ©, n’a pas rĂ©ussi Ă  construire le jeu. Sasse et Jabri, Ă©touffĂ©s par la dĂ©fense anglaise, n’ont jamais trouvĂ© d’espace, tandis que Chelsea continuait de menacer (Nkunku ratant un face-Ă -face Ă  la 58e).

MalgrĂ© quelques remplacements (Bouchniba pour Guennichi, Teka et Jebali pour KonatĂ© et Sasse), l’EspĂ©rance n’a jamais trouvĂ© de solution. Les Tunisiens ont mĂȘme eu de la chance Ă  la 76e, quand un penalty pour Chelsea a Ă©tĂ© annulĂ© aprĂšs intervention de la VAR (faute de main de Meriah).

Enfin, Ă  la 90e+6, George a portĂ© l’estocade avec un magnifique tir lointain pour le 3-0 final, mettant un terme aux espoirs tunisiens.

Cette dĂ©faite est cruelle mais mĂ©ritĂ©e. Si l’EspĂ©rance a montrĂ© de la combativitĂ©, elle a surtout rĂ©vĂ©lĂ© son manque de maturitĂ© face Ă  une Ă©quipe europĂ©enne. L’absence de Belaili a pesĂ©, et le milieu de terrain, pourtant habituellement solide, a Ă©tĂ© dĂ©passĂ© techniquement et physiquement.

Les Sang et Or quittent la compĂ©tition la tĂȘte haute, avec une victoire symbolique face au Los Angeles FC, et l’expĂ©rience d’avoir affrontĂ© des gĂ©ants comme Flamengo et Chelsea.

Formation de l’EspĂ©rance ST: Bechir Ben Said, Mohamed Ben Ali, Yassine Meriah, Mohamed Amine Tougai, Mohamed Amine Ben Hmida, Onuche Ogbelu, Khalil Guennichi (Bouchniba 72e), Abderamane KonatĂ© (Teka 83e), Yan Sasse (Jebali 83e), Elias Mokwana (Derbali 46e), Achraf Jabri (Rodrigues 56e).

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Banque et climat : Amen Bank mise sur le vert

Depuis la signature de l’Accord de Paris de 2015, qui a appelĂ© Ă  aligner les flux financiers avec les objectifs climatiques, la mobilisation du secteur financier, toutes composantes incluses, et les rĂ©gulateurs de la finance ont multipliĂ© les initiatives pour l’accompagnement et le financement des projets prenant en compte les impĂ©ratifs climatiques et environnementaux.

L’Amen Banque s’est intĂ©grĂ©e dans cette mouvance depuis 2009 incluant les risques climatiques dans ses projets de financement et d’accompagnement des entreprises avec une premiĂšre ligne de financement provenant de la banque mondiale suivie ensuite de la ligne de crĂ©dit Prasoc et du programme de subvention Power Tunisie.

ADAPT : un levier vert pour les entreprises privées

Le lundi 23 juin, Amen Bank a mis en avant son rÎle clé dans la transition climatique, dévoilant sa vision et ses réalisations, avec un engagement financier de 323 millions de dinars, incluant 179 millions dédiés à soutenir 53 projets innovants.

Des programmes dont ADAPT (Appui Ă  la DurabilitĂ© des ActivitĂ©s Productives) dotĂ©s de 25 millions d’euros, dĂ©diĂ©s Ă  la transition Ă©cologique. DestinĂ©e aux opĂ©rateurs privĂ©s, cette initiative vise Ă  promouvoir des systĂšmes de production durables dans des secteurs clĂ©s comme l’agriculture, la pĂȘche artisanale et l’aquaculture.

Une rĂ©ponse concrĂšte Ă  l’urgence environnementale

L’initiative ADAPT s’inscrit dans une conjoncture marquĂ©e par l’urgence climatique, la dĂ©gradation des ressources naturelles et la nĂ©cessitĂ© d’une transition vers une Ă©conomie plus rĂ©siliente. Pour Seifeddine Radhouani, responsable de la direction « Green Finance », l’enjeu est clair : “les banques ne peuvent plus se contenter d’ĂȘtre de simples pourvoyeuses de capitaux. Elles doivent devenir des actrices du changement, en orientant l’investissement vers des modĂšles vertueux“.

Un dispositif incitatif et accessible

Le programme ADAPT rĂ©pond Ă  cette exigence. Il s’adresse aux entreprises et aux entrepreneurs dans des filiĂšres Ă  fort impact Ă©cologique et Ă©conomique, avec pour objectif de les inciter Ă  adopter des pratiques durables et innovantes. Le programme permet de financer une large palette de dĂ©penses, allant de l’achat de matĂ©riel et d’équipements, Ă  l’acquisition ou Ă  la rĂ©novation d’infrastructures, en passant par les services immatĂ©riels (Ă©tudes techniques, accompagnement, conseil).

« Les banques ne peuvent plus se contenter d’ĂȘtre de simples pourvoyeuses de capitaux. Elles doivent devenir des actrices du changement, en orientant les investissements vers des modĂšles vertueux. »

 

Les fonds peuvent Ă©galement couvrir une partie du fonds de roulement des projets. La subvention accordĂ©e varie entre 3 000 € et 70 000 €, et peut reprĂ©senter jusqu’à 16 % du total des financements Ă©ligibles. Cette aide est combinĂ©e Ă  un crĂ©dit bancaire Ă  un taux d’intĂ©rĂȘt fixe rendant l’ensemble attractif pour les opĂ©rateurs cherchant Ă  moderniser leurs pratiques sans mettre en pĂ©ril leur Ă©quilibre financier. “Nous avons voulu crĂ©er un dispositif accessible, clair, et qui donne une vraie impulsion. L’idĂ©e est de lever les freins Ă  l’investissement vert”.

Alignement avec les objectifs de développement durable

Le programme ADAPT en partenariat avec des bailleurs internationaux et des institutions de dĂ©veloppement s’inscrit dans un cadre plus large d’initiatives visant Ă  aligner le systĂšme financier tunisien sur les objectifs de DĂ©veloppement Durable (ODD) des Nations Unies et les engagements pris lors des confĂ©rences sur le climat.

Agir localement pour transformer durablement

L’un des objectifs dĂ©fendus par l’Amen Bank est d’ancrer la transition Ă©cologique dans les territoires ruraux et cĂŽtiers, en favorisant l’émergence de projets Ă©conomiquement viables et socialement inclusifs. Dans de nombreuses rĂ©gions, les filiĂšres ciblĂ©es reprĂ©sentent les principales sources de revenus pour les populations locales. Leur transformation durable est donc essentielle pour garantir la sĂ©curitĂ© alimentaire, la protection des Ă©cosystĂšmes et le maintien de l’emploi. La banque identifie les porteurs de projets, les accompagne dans le montage de leurs dossiers et assure la gestion des fonds dĂ©lĂ©guĂ©s. Cette approche permet d’instaurer un climat de confiance entre les acteurs Ă©conomiques, la banque et les institutions internationales.

Des projets concrets pour des territoires vivants

Un projet de conversion d’une exploitation agricole conventionnelle en ferme agroĂ©cologique peut bĂ©nĂ©ficier d’un financement ADAPT pour l’achat de composteurs, la mise en place d’un systĂšme d’irrigation Ă©conomique en eau, ou encore la formation des Ă©quipes. De mĂȘme, une coopĂ©rative de pĂȘche artisanale pourra ĂȘtre soutenue dans l’acquisition d’équipements moins polluants, ou le dĂ©veloppement d’activitĂ©s touristiques responsables en lien avec la mer. “Ce que nous voulons, c’est que des projets concrets voient le jour, qu’ils amĂ©liorent la vie des gens, et qu’ils montrent que l’économie verte n’est pas un luxe mais une nĂ©cessitĂ©â€œ.

« L’économie verte n’est pas un luxe. C’est une nĂ©cessitĂ© absolue pour prĂ©server nos ressources, garantir la sĂ©curitĂ© alimentaire et assurer un avenir aux prochaines gĂ©nĂ©rations. »

 

Le programme ADAPT est ouvert jusqu’au 31 mars 2028, ce qui laisse plusieurs annĂ©es aux opĂ©rateurs Ă©conomiques pour se saisir de cette opportunitĂ©. NĂ©anmoins, l’Amen Bank invite les candidats Ă  ne pas attendre : la procĂ©dure de sĂ©lection des projets est rigoureuse, et les fonds seront accordĂ©s au fil de l’eau. Des campagnes d’information sont d’ores et dĂ©jĂ  en cours, Ă  travers les agences rĂ©gionales de la banque, des sĂ©minaires de sensibilisation et la mise en ligne d’un portail dĂ©diĂ©. Un dispositif d’accompagnement technique est Ă©galement prĂ©vu, avec des experts mobilisables pour aider les entreprises Ă  structurer leur dĂ©marche.

ƒuvrer Ă  la souverainetĂ© Ă©nergĂ©tique !

Lorsqu’un pays dĂ©pend Ă  hauteur de 70% sur le plan Ă©nergĂ©tique d’un autre pays, il est normal que ses institutions financiĂšres s’engagent dans le financement des projets d’énergies renouvelables. Amen Bank se positionne, depuis 2014, comme un acteur clĂ© de l’accompagnement Ă  la transition Ă©nergĂ©tique. À travers sa Banque d’Affaires, elle offre une gamme complĂšte de services de conseil et de financement, adaptĂ©s aux besoins des entreprises engagĂ©es dans des projets durables.

« La transition n’est plus un choix ; elle est un impĂ©ratif. C’est pourquoi Amen Bank s’engage avec mĂ©thode et ambition dans une stratĂ©gie bas-carbone cohĂ©rente. »

 

Un accompagnement stratégique et financier sur mesure

Amen Bank a mobilisĂ© une Ă©quipe pluridisciplinaire (ingĂ©nieurs, analystes, conseillers techniques
) pour accompagner ses clients Ă  chaque Ă©tape de leur projet. Elle offre  des conseils stratĂ©giques, une optimisation fiscale, des restructurations financiĂšres, des Ă©tudes de rentabilitĂ© et d’évaluation des risques environnementaux et sociaux, un montage financier et des solutions de financement adaptĂ©es, incluant l’optimisation de la structure de capital (ratio d’endettement, syndication de crĂ©dits, ouverture du capital) ainsi que l’élaboration de business plans et de plans d’investissement/financement.

Vers une stratégie bas-carbone cohérente

Amen Bank propose un suivi technique Ă  la dĂ©carbonation Ă  travers l’analyse des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre (GES), la mise en place de stratĂ©gies de rĂ©duction des Ă©missions ainsi que le suivi de l’impact climatique et Ă©conomique des projets.

En 2024, la banque a rejoint le Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF) afin de mesurer ses Ă©missions financĂ©es, qui reprĂ©sentent l’essentiel de son empreinte carbone. Le bilan carbone Scopes 1, 2 et 3 a Ă©tĂ© finalisĂ© au 1er semestre 2025, avec un calcul en cours des Ă©missions financĂ©es selon les normes PCAF.

Alors que les dĂ©fis climatiques s’intensifient, l’engagement pragmatique et visionnaire de l’Amen Bank a dĂ©cidĂ© de suivre une trajectoire crĂ©dible vers une Ă©conomie verte, rĂ©siliente et souveraine. La transition n’est plus un choix ; elle est un impĂ©ratif. Amen Bank l’a compris, a vu et a agit.

Amel Belhadj Ali

Chiffres clés

  • 323 MD — Engagement financier global d’Amen Bank pour soutenir des projets durables.
  • 179 MD — Montant destinĂ© Ă  financer 53 projets innovants.
  • 25 M€ — Budget du programme ADAPT pour la transition Ă©cologique.
  • 70 000 € — Montant maximal de la subvention par projet ADAPT.
  • 31 mars 2028 — Date limite pour dĂ©poser un projet au programme ADAPT.

 

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Politiques publiques du livre dans le monde arabe : une cartographie inédite dévoilée à Tunis

Les recommandations du projet d’étude sur les politiques publiques du livre dans le monde arabe portent sur l’importance de rĂ©former le cadre juridique en matiĂšre d’édition, promouvoir la libertĂ© d’expression, consolider la culture de respect de la propriĂ©tĂ© intellectuelle ainsi que de lutter contre le piratage.

Le soutien aux Ă©diteurs, – en particulier les Ă©diteurs indĂ©pendants-, la traduction et l’édition Ă©lectronique, la rĂ©alisation de statistiques officielles fiables et des Ă©tudes ainsi que le renforcement du dialogue entre les acteurs intervenants dans la mise en place de politiques dans le secteur du livre et de l’édition sont Ă©galement au cƓur des recommandations.

DĂ©voilĂ©e mardi Ă  la CitĂ© de la Culture Ă  Tunis, «la Cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe” constitue un Ă©vĂšnement majeur dans l’histoire du secteur du livre et de l’édition dans la rĂ©gion.

Trente maisons d’édition reprĂ©sentant 17 pays ainsi que des institutions publiques et des acteurs et professionnels du secteur du livre du monde arabe et de la francophonie prennent part au lancement de ce projet rĂ©alisĂ© sur cinq ans. OrganisĂ© du 23 au 27 juin, cet Ă©vĂ©nement se tient Ă  l’initiative de l’Alliance internationale de l’édition indĂ©pendante (AIEI), en partenariat notamment avec le ministĂšre des Affaires culturelles, de l’Alecso et de l’OIF.

L’Alliance internationale de l’édition indĂ©pendante est un collectif professionnel qui rĂ©unit plus de 980 maisons d’édition indĂ©pendantes prĂ©sentes dans 60 pays dans le monde. Créée sous forme d’association en 2002, elle s’articule en 6 rĂ©seaux linguistiques (anglophone, arabophone, francophone, hispanophone, lusophone et persanophone) et en groupes thĂ©matiques. Les membres de l’Alliance sont des maisons d’édition et des collectifs d’éditeurs nationaux.

Contraintes dans la réalisation de la cartographie

La cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe est prĂ©sentĂ©e par Samar Haddad (Atlas Publishing, Syrie), coordinatrice de ce projet pour le monde arabe et du rĂ©seau arabophone de l’Alliance, ainsi que par Hani Altelfah, auteur de l’étude.

L’objectif de la cartographie consiste notamment Ă  fournir des donnĂ©es sur les politiques publiques du livre dans les pays concernĂ©s, favoriser le dialogue et le Ă©changes entre les Ă©diteurs et les institutions et renforcer la circulation des livres et des idĂ©es. Une partie de cette Ă©tude a Ă©tĂ© consacrĂ©e au thĂšme de la propriĂ©tĂ© intellectuelle en prĂ©sentant un arsenal de lois locales, d’accords internationaux et des traitĂ©s relatifs au sujet.

Cette étude de 130 pages fait référence au paradoxe entre les textes de loi et leur application dans la plupart des pays arabes, en particulier les lois relatives à la propriété intellectuelle, la lutte contre le piratage du livre numérique et imprimé ainsi que celles relatives aux droits du traducteur.

L’étude a rĂ©vĂ©lĂ© la faiblesse du systĂšme d’enseignement et de la formation professionnelle constitue l’une des grandes lacunes dans l’industrie du livre dans le monde arabe oĂč elle n’est pas enseignĂ©e, le plus souvent.

L’éditrice syrienne Samar Haddad a prĂ©sentĂ© le contexte dans lequel a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e ce projet d’étude entamĂ© en 2017, Ă  partir de la collecte de donnĂ©es via un formulaire en ligne, les bases de donnĂ©es en ligne et des entretiens avec des Ă©diteurs et reprĂ©sentants des instituions publiques intervenantes dans le secteur du livre et de l’édition.

« Cette Ă©tude dont l’objectif Ă©tait de collecter des informations relatives Ă  18 pays arabes, a permis de collecter des donnĂ©es relatives Ă  11 pays uniquement, a indiquĂ© la coordinatrice du projet. Elle a expliquĂ© des contraintes qui sont dues au manque de connaissances relatives au cadre juridique par les professionnels du secteur du livre et de l’édition, la divergence entre les lois et leur application aussi bien que le manque d’information sur les donnĂ©es relatives au secteur, en particulier les statistiques officielles. Â»

Absence de politiques publiques nationales dans le secteur

Son compatriote Hani Talfah, chercheur sur les mĂ©dias, Ă©diteur et auteur de l’étude a Ă©voquĂ© « le lien Ă©troit entre les politiques publiques en rĂ©gion arabe en matiĂšre d’édition et la libertĂ© d’expression, citant Ă  cet effet la censure imposĂ©e Ă  certaines institutions arabes, en particulier la censure d’ordre administratif, judiciaire et Ă©lectronique aussi bien que l’autocensure Â».

S’agissant de l’importance des politiques publiques dans le secteur du livre et de l’édition dans le monde arabe, le chercheur a Ă©voquĂ© « des politiques qui sont le plus souvent exclusivement Ă©laborĂ©es par des organismes officiels et qui sont en mĂȘme temps l’autoritĂ© dĂ©finissant les politiques culturelles nationales Â».

Il a soulignĂ© le cas de certains pays oĂč « les politiques dans le secteur de l’édition sont quasi absentes alors que d’autres pays ne disposent mĂȘme de politiques culturelles, citant Ă  cet Ă©gard des pays comme le YĂ©men et le Soudan Â».

Il ressort de cette Ă©tude que « les politiques d’édition concernent l’éditeur et les acteurs directs dans l’industrie du livre aussi bien que toute la chaĂźne du secteur du livre et de l’édition Â».

Ce constat tĂ©moigne d’une faible implication des maisons d’édition et de la sociĂ©tĂ© civile dans l’élaboration des politiques publiques en matiĂšre d’édition et du livre. A cela s’ajoute, des contraintes en lien avec la non conformitĂ© des procĂ©dures fiscales et juridiques en vigueur avec la spĂ©cificitĂ© du secteur, avec notamment la plainte des Ă©diteurs de taux de TVA Ă  l’importation du livre.

Interventions d’éditeurs et un penseur tunisiens

Certains Ă©diteurs tunisiens membres de l’Alliance internationale de l’édition indĂ©pendante, Ă  l’instar de Nouri Abid et Elizabeth Daldoul, ont soulignĂ© les enjeux dans le secteur de l’édition et du livre, notamment l’Intelligence Artificielle dont l’usage pose une question d’ordre Ă©thique en lien avec les droits d’auteur et de propriĂ©tĂ© intellectuelle.

« Auparavant lancĂ©e en AmĂ©rique latine et en Afrique subsaharienne, le projet de la cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe est l’aboutissement d’un travail de longue haleine au sein de l’Alliance qui Ɠuvre Ă  la prĂ©paration de la carte mondiale des politiques Ă©ditoriales Â», a indique Nouri Abid.

Elizabeth Daldoul a Ă©voquĂ© rappelĂ© les rencontres professionnelles de solidaritĂ© organisĂ©es lundi consacrĂ©es aux partenariats Ă©ditoriaux solidaires entre maisons d’édition arabes et francophones, avec un accent particulier mis sur les ouvrages consacrĂ©s Ă  la Palestine ou publiĂ©s par des Ă©diteurs palestiniens.

Pour sa part, le professeur de philosophie Hamadi Jaballah est revenu sur l’histoire de la publication des livres et les restrictions et harcĂšlement auxquels faisaient face les penseurs contraints au dĂ©placement pour la diffusion de leurs idĂ©es, citant les grandes Ă©tapes au cours desquelles des livres ont Ă©tĂ© dĂ©truits des bibliothĂšques et lieux de culte incendiĂ©s.

 

 

 

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Tunisie : comment les diplomates tunisiennes s’imposent sur la scùne internationale ?

Les femmes occupent 36 % des postes diplomatiques en Tunisie, avec 11 femmes Ă  la tĂȘte de consulats et d’ambassades dans le monde, notamment aux États-Unis, en Inde, Ă  Oman, Ă  Belgrade et Ă  Helsinki, a affirmĂ© mardi le ministre des Affaires Ă©trangĂšres, de la Migration et des Tunisiens Ă  l’étranger, Mohamed Ali Nafti.

Il participait Ă  une rencontre Ă  l’AcadĂ©mie diplomatique marquant la cĂ©lĂ©bration de la JournĂ©e internationale de la femme dans la diplomatie.

En Tunisie, la femme diplomate a investi un domaine longtemps rĂ©servĂ© aux hommes, Ă  la faveur du principe de l’égalitĂ© des chances dĂ©fendu par l’Etat tunisien, a-t-il indiquĂ©.

Face aux dĂ©fis sĂ©curitaires que vit le monde d’aujourd’hui, la femme diplomate tunisienne est appelĂ©e Ă  jouer un rĂŽle important dans la recherche de solutions et dans le dĂ©veloppement de la diplomatie tunisienne, Ă  travers une approche fondĂ©e sur l’innovation, le dĂ©vouement et les valeurs humaines pour Ă©tablir la paix et la sĂ©curitĂ© dans le monde. La femme tunisienne a, t-il, relevĂ©, a prouvĂ© sa compĂ©tence dans ce secteur et mĂ©rite une reconnaissance mondiale.

Des organisations onusiennes concernĂ©es par la question ont pris par Ă  la rencontre qui s’est focalisĂ©e sur la rĂ©alitĂ© de la femme diplomate en Tunisie et dans le monde.

La coordinatrice des Nations unies en Tunisie Rana Taha a fait observer que l’organisation onusienne passe par la pĂ©riode la plus difficile jamais connue depuis sa crĂ©ation depuis prĂšs de 80 ans, et que la femme diplomate jouera un rĂŽle crucial dans l’établissement de la paix Ă  l’avenir.

Elle a saluĂ© la longue tradition de la diplomatie tunisienne depuis l’indĂ©pendance, rappelant que la Tunisie compte des pionniĂšres dans le domaine diplomatique, reconnues par les Nations unies, Ă  l’instar de l’activiste diplomatique Radhia Mestiri.

La reprĂ©sentante de l’ONU chargĂ©e des affaires des femmes tunisiennes et libyennes Florence Basty, a, de son cĂŽtĂ©, soutenu qu’il existe une reconnaissance internationale des grandes capacitĂ©s de nĂ©gociation de la femme tunisienne en diplomatie et que cette reconnaissance remonte Ă  plusieurs dĂ©cennies, lorsque l’État tunisien indĂ©pendant s’est engagĂ© sur la voie du modernisme.

Elle a soulignĂ© que la cĂ©lĂ©bration des femmes dans la diplomatie est l’occasion de mettre en avant les rĂ©alisations de la femme dans ce domaine et de penser les moyens de dĂ©velopper l’action diplomatique.

Les participants Ă  la rencontre ont assistĂ© Ă  la projection d’un documentaire intitulĂ© « La femme tunisienne et la diplomatie », comportant les tĂ©moignages de diplomates tunisiennes qui Ă©voquent leurs expĂ©riences professionnelles.

 

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Tunisie : le statut d’auto-entrepreneur prĂ©sentĂ© aux jeunes de Gafsa

Une journĂ©e d’information sur le statut d’auto-entrepreneur a Ă©tĂ© organisĂ©e, mardi, au siĂšge du gouvernorat de Gafsa.

Le directeur rĂ©gional de l’emploi, Mohamed Sniha a indiquĂ© Ă  l’Agence TAP que ce rendez-vous vise Ă  prĂ©senter les avantages sociaux, financiers et techniques offerts par ce rĂ©gime au profit des travailleurs qui en bĂ©nĂ©ficient.

Il a ajoutĂ© que le projet d’auto-entrepreneur vise Ă  renforcer le rĂŽle social de l’Etat, Ă  promouvoir le dĂ©veloppement et l’emploi et Ă  encourager les initiatives professionnelles individuelles.

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Tunisie : Vers un plan national pour l’autosuffisance en semences de pommes de terre

Le prĂ©sident de l’Union Tunisienne de l’Agriculture et de la PĂȘche, Moez Ben Zaghdane a appelĂ©, mardi, Ă  activer le plan national de production des semences locales de pommes de terre afin de rĂ©duire la dĂ©pendance Ă  l’égard des semences importĂ©es qui reprĂ©sentent entre 80% et 90% et de consacrer la sĂ©curitĂ© alimentaire.

Lors d’une journĂ©e portes ouvertes tenue sur le thĂšme “Les variĂ©tĂ©s de pomme de terre les plus rĂ©silientes au changement climatique”, le responsable a dĂ©clarĂ© que les conditions sont propices Ă  la production de la pomme de terre en Tunisie, devenue aujourd’hui possible pendant cinq saisons, grĂące notamment aux recherches, Ă  l’orientation, l’encadrement et l’accompagnement.

Selon lui, diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s de semences dont la variĂ©tĂ© d’origine nĂ©erlandaise ” La Spunta”, ont pu s’adapter au climat et sol locaux, soulignant l’impĂ©ratif d’intensifier davantage la multiplication de ses graines afin de prĂ©server les terres contre les maladies qui ont entravĂ© la production de cette variĂ©tĂ©.

De son cÎté, le directeur du Centre Technique de la Pomme de Terre, Rachid Khalifa a fait savoir que quarante trois variétés de pommes de terre ( 29 néerlandaises, 11 françaises, deux allemandes, et une tunisienne ) ont été expérimentées depuis le début de cette année.

Et d’ajouter que les changements climatiques requiĂšrent de diversifier les variĂ©tĂ©s de pomme de terre, d’exploiter les superficies cultivĂ©es qui s’étalent du Nord au sud et de miser sur les variĂ©tĂ©s les plus rĂ©silientes au climat et les plus rentables.

L’objectif Ă©tant de dĂ©velopper la production dont la moyenne dĂ©passe les 350 mille tonnes sur une surface estimĂ©e Ă  25 mille hectares durant toutes les saisons.

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Tunisie : Comment les créances bancaires peuvent-elles financer le développement local ?

Les créances douteuses des banques publiques, à savoir la Société tunisienne de banque (STB) , la BH BANK, et la Banque nationale agricole (BNA) , sont estimées à 50,9 % de la valeur des revenus attendus de la réconciliation pénale, laquelle est estimée à 13 500 millions de dinars (MD).

Ainsi, la valeur des crĂ©ances douteuses reprĂ©sente 6874,4 millions de dinars, selon les indicateurs des rapports d’activitĂ© de ces banques au titre de l’exercice 2024 publiĂ©s sur le site du Conseil du marchĂ© financier (CMF).

La valeur des crĂ©ances douteuses est dĂ©terminĂ©e selon un ensemble de textes et de rĂ©fĂ©rences juridiques, notamment la circulaire de la Banque Centrale n° 91-2024 du 17 dĂ©cembre 1991 relative Ă  la division, la couverture des risques et le suivi des engagements, et la circulaire de l’autoritĂ© d’émission n° 06 du 28 novembre 2006 relative Ă  la gestion des systĂšmes de contrĂŽle interne.

Afin de soutenir le dĂ©veloppement dans le cadre de la rĂ©cupĂ©ration des fonds acquis de maniĂšre illĂ©gale, la loi n° 3 du 18 janvier 2024, en date du 18 janvier 2024, modifiant le dĂ©cret n° 13 du 2022, en date du 20 mars 2022, rĂ©glemente les mĂ©canismes de la rĂ©conciliation pĂ©nale et l’affectation de ses produits.

Selon les dispositions de la loi, les produits de la rĂ©conciliation pĂ©nale sont distribuĂ©s selon un critĂšre bien dĂ©terminĂ©. Ainsi 80% de ces produits sont allouĂ©s Ă  des projets de dĂ©veloppement dans les dĂ©lĂ©gations, par ordre de classement, des plus pauvres aux moins pauvres, et une partie peut ĂȘtre utilisĂ©e pour financer des projets d’importance et d’intĂ©rĂȘt national, tandis que 20 % sont allouĂ©s aux communautĂ©s locales pour contribuer au capital des entreprises locales ou rĂ©gionales, ayant la vocation des sociĂ©tĂ©s citoyennes, conformĂ©ment Ă  la lĂ©gislation en vigueur.

Le recouvrement des crĂ©ances douteuses des trois banques publiques est Ă  mĂȘme de soutenir cette dĂ©marche.

Les valeurs les plus importantes des créances irrécouvrables reviennent à la STB (3159 MD), la BH (2048,4 MD) et la BNA (1667 MD).

A rappeler que le prĂ©sident de la RĂ©publique, KaĂŻs SaĂŻed a toujours mis l’accent, lors de ses rĂ©unions avec les responsables du gouvernement, sur la nĂ©cessitĂ© de poursuivre la politique d’autonomie et de recouvrement des fonds spoliĂ©s au peuple tunisien, afin de consolider davantage le rĂŽle social de l’Etat, ce qui nĂ©cessite la conjugaison des efforts de toutes les institutions de l’Etat, notamment bancaires et financiĂšres, aux fins de contribuer efficacement Ă  l’effort de dĂ©veloppement et de soutenir le budget.

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Plan quinquennal 2026-2030 : Quels projets seront intégrés au budget 2026 ?

Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du ministĂšre de l’Économie et de la Planification, Fawzi Ghrab, a soulignĂ© que le document prĂ©liminaire du plan de dĂ©veloppement 2026-2030 sera prĂȘt avant la fin de 2025, et qu’il sera examinĂ© par les deux chambres lĂ©gislatives au dĂ©but de l’annĂ©e prochaine en l’absence d’un dĂ©lai constitutionnel.

Ghrab a ajoutĂ©, dans une interview rĂ©alisĂ©e au studio de l’agence TAP, sur l’avancement de la mise en place du plan quinquennal de dĂ©veloppement, que la prioritĂ© sera donnĂ©e au budget de l’État pour l’annĂ©e 2026 qui sera examinĂ© par l’AssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple et le Conseil national des rĂ©gions et des districts, Ă  condition qu’une attention soit plus tard accordĂ©e au plan de dĂ©veloppement.

Dans le mĂȘme contexte, il s’est rĂ©fĂ©rĂ© au document prĂ©liminaire pour le plan de dĂ©veloppement quinquennal qui pourrait ĂȘtre examinĂ© par le Conseil des ministres avant la fin de cette annĂ©e et approuvĂ© conformĂ©ment aux exigences de la circulaire n° 10 du chef du gouvernement de 2025, publiĂ©e le 22 avril 2025, liĂ©e au plan de dĂ©veloppement quinquennal 2026-2030.

« Le plan de dĂ©veloppement n’est pas soumis Ă  des dĂ©lais constitutionnels, comme c’st le cas pour le budget de l’État, et le document peut ĂȘtre discutĂ© par le Conseil national des rĂ©gions et les districts, et l’AssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple, au cours de la premiĂšre pĂ©riode de l’annĂ©e 2026.

Pour le responsable, il y a une certaine flexibilitĂ© au niveau de la relation entre le budget de l’État et le plan de dĂ©veloppement. « Il y a une tendance Ă  prendre en considĂ©ration certaines propositions de projets et Ă  les inclure dans le projet de budget de l’État pour l’annĂ©e 2026, si leur maturitĂ© est confirmĂ©e », a-t-il affirmĂ©.

Il a estimĂ© que l’inclusion, pour la premiĂšre fois, du niveau interrĂ©gional, qui est basĂ© sur 5 districts dans le prochain plan de dĂ©veloppement, contribuera Ă  renforcer les relations entre les rĂ©gions ainsi que la compĂ©titivitĂ© des rĂ©gions.

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Comment la Tunisie compte-t-elle financer son plan de dĂ©veloppement 2026-2030 sans dĂ©pendre de l’emprunt ?

La Tunisie qui parie sur la dimension sociale du plan quinquennal de dĂ©veloppement et sur le principe du compter sur soi, demeurera ouverte sur toutes les formes de coopĂ©ration constructives et compte de nombreux partenaires actifs, a affirmĂ© le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du ministĂšre de l’Economie et de la Planification, Fawzi Ghrab.

Dans une interview rĂ©alisĂ©e au studio de l’agence TAP , le responsable a indiquĂ© que le plan quinquennal de dĂ©veloppement, visant Ă  augmenter davantage la croissance Ă©conomique, Ă  amĂ©liorer les performances de nombreux secteurs stratĂ©giques et Ă  prĂȘter attention aux dossiers de l’éducation, la santĂ©, l’enseignement et l’emploi, fait face Ă  des dĂ©fis financiers et climatiques.

Ghrab a soulignĂ© que la Tunisie Ɠuvre Ă  rĂ©aliser des projets qui nĂ©cessitent des ressources propres , en dĂ©veloppant les ressources de la trĂ©sorerie gĂ©nĂ©rale pour qu’elle puisse ĂȘtre une source de financement pour les projets publics, mais en contrepartie, elle entretient des partenariats solides avec de nombreux partenaires financiers internationaux. La plupart des bailleurs de fonds sont prĂȘts Ă  soutenir le dĂ©veloppement en Tunisie, a-t-il encore fait savoir.

Et d’ajouter que le rĂŽle du secteur privĂ© reste nĂ©cessaire pour impulser le processus du dĂ©veloppement en Tunisie .

En clair, l’investissement privĂ© permet la crĂ©ation de richesse et d’opportunitĂ©s d’emplois, mais la Tunisie s’appuie plus sur le principe du compter sur soi que sur l’emprunt.

Ghrab a notĂ© que les dĂ©fis les plus importants auxquels fait face le plan de dĂ©veloppement quinquennal 2026-2030 consistent Ă  miser sur des mĂ©canismes pour la reprise de la croissance Ă©conomique et l’impulsion des secteurs vitaux tels que le Phosphate, le textile, les industries mĂ©caniques et Ă©lectriques, le tourisme, et le secteur du tourisme alternatif.

Dans sa rĂ©ponse Ă  une question liĂ©e Ă  l’ampleur de l’intĂ©rĂȘt pour l’économie circulaire et la transition Ă©nergĂ©tique, Ghrab a soulignĂ© que la Tunisie accorde une grande attention aux transitions numĂ©riques et technologiques.

Cette transition numérique, a-t-il dit, est un axe fondamental dans le prochain plan, outre les efforts déployés en en vue de fournir de nouveaux outils pour réduire le déficit énergétique et encourager les énergies alternatives.

Pour le responsable, la Tunisie, consciente de l’importance des dĂ©fis climatiques, notamment son impact sur les ressources en eau, dont la raretĂ© a affectĂ© de nombreux secteurs et la vie des citoyens, Ɠuvre Ă  mettre en place des politiques pour assurer la sĂ©curitĂ© hydraulique et l’adaptation au changement climatique.

Il a, dans ce contexte, soulignĂ© que le dĂ©partement ministĂ©riel de l’Economie Ɠuvre Ă  accompagner le Conseil des rĂ©gions et des districts, en fournissant une formation sur la planification territoriale, soulevant ainsi de nombreuses questions liĂ©es Ă  la rationalisation de la consommation des richesses en eau.

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Comment la Tunisie élabore-t-elle son plan 2026-2030 à partir des priorités locales et régionales ?

Jusqu’à prĂ©sent, il n’est pas possible de fixer ni les hypothĂšses du plan de dĂ©veloppement 2026-2030 ni le coĂ»t total de son financement, mais ceci sera possible, dĂšs l’achĂšvement de toutes les Ă©tapes de synthĂšse et la formulation du document prĂ©liminaire, a dĂ©clarĂ© le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du ministĂšre de l’Economie et de la Planification, Faouzi Ghrab.

Dans une interview tĂ©lĂ©visĂ©e rĂ©alisĂ©e au studio de l’agence TAP, Ghrab a prĂ©cisĂ© que le plan quinquennal de dĂ©veloppement est Ă©laborĂ© de maniĂšre participative et progressive dans le cadre d’une relation partant du niveau local pour atteindre le central.

Il a soulignĂ© que les institutions de l’Etat ont fourni uniquement l’accompagnement et la formation , ainsi que les documents nĂ©cessaires pour aider ces conseils. Le plan de dĂ©veloppement, a-t-il dit, devrait traduire les aspirations des citoyens et rĂ©pondre aux orientations qui seront appliquĂ©es par les politiques publiques , prĂ©cisant qu’il s’appuie principalement sur la planification du territoire.

Les structures du ministĂšre de l’Economie et de la planification, les offices de dĂ©veloppement, les directions rĂ©gionales au dĂ©veloppement, et le rĂ©seau des coordinateurs des bureaux du programme de dĂ©veloppement intĂ©grĂ© ont participĂ© au processus d’accompagnement et Ă  l’organisation , sachant que le ministĂšre a indiquĂ© avoir assurĂ© environ 1200 opĂ©rations d’accompagnement des sessions tenues au niveau des conseils locaux jusqu’au 10 juin 2025.

Il a soulignĂ© que les grandes orientations et les axes de dĂ©veloppement seront mis en Ɠuvre d’abord au niveau local puis au niveau rĂ©gional, en passant par le niveau rĂ©gional, prĂ©cisant Ă  cet Ă©gard que les ministĂšres ne proposeront plus de projets au niveau local, comme c’était le cas auparavant.

Il a, par ailleurs, ajoutĂ© que chaque ministĂšre, dans le cadre des orientations du nouveau plan, fournira un rapport sur les politiques publiques, Ă©tant donnĂ© que chaque ministĂšre dispose d’études prospectives et de politiques publiques approuvĂ©es, et que les ministĂšres proposeront quelques grands projets uniquement dans le cadre du plan.

Et d’ajouter qu’à cette phase, commence l’opĂ©ration de synthĂšse entre les rapports locaux, rĂ©gionaux et des districts, ainsi que les politiques publiques issues des ministĂšres , ce qui permettra d’identifier les grands thĂšmes du plan de dĂ©veloppement et d’élaborer un draft de projet d’un document complĂ©mentaire.

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Quelles sont les priorités du plan tunisien 2026-2030 pour un développement inclusif ?

Le plan de dĂ©veloppement 2026/2030, Ă©laborĂ© dans un nouveau cadre institutionnel, a Ă©tĂ© achevĂ© dans sa phase locale, tandis que le volet rĂ©gional devrait ĂȘtre finalisĂ© d’ici un mois, a indiquĂ© le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du ministĂšre de l’Economie et de la Planification, Faouzi Ghrab.

Dans une interview rĂ©alisĂ©e au studio TV de l’agence TAP, Ghrab a rappelĂ© que le plan en question est Ă©laborĂ© dans le cadre d’une relation partant du niveau local pour atteindre le central. Cette approche n’était pas adoptĂ©e dans les plans prĂ©cĂ©dents qui ont Ă©tĂ© axĂ©s sur un systĂšme central prĂ©sentant des propositions et des orientations de dĂ©veloppement, a-t-il encore prĂ©cisĂ©.

Le responsable a soulignĂ© que le plan 2026/2030 intervient dans un cadre politique et institutionnel basĂ© sous le signe « construction et Ă©dification » et basĂ© sur la concrĂ©tisation des objectifs de la constitution, notamment, le rĂŽle social de l’Etat et du compter sur soi tout en accordant une importance aux volets local et rĂ©gional dans la proposition des politiques de dĂ©veloppement.

Il a rappelĂ© que le Conseil national des rĂ©gions et des districts qui constitue la deuxiĂšme chambre parlementaire, est dotĂ© de prĂ©rogatives en termes d’élaboration et d’adoption de plans de dĂ©veloppement.

Et d’ajouter que le rĂŽle des ministĂšres et des autoritĂ©s publiques dans l’élaboration du plan porte sur l’accompagnement, la formation et la mise Ă  disposition des outils nĂ©cessaires.

Au sujet de l’état d’avancement de l’élaboration dudit plan, le responsable a soulignĂ© que le ministĂšre Ɠuvre Ă  respecter les dĂ©lais du circulaire de la prĂ©sidence du gouvernement.

Il a fait savoir que le plan 2026/2030 est basé sur un processus ascendant accordant aux conseils locaux et régionaux un rÎle important dans la proposition des projets de développement, vu que ces structures reflÚtent la voix du citoyen et transmettent ses avis.

Dans sa contribution Ă  l’élaboration du plan, chaque conseil passe par trois Ă©tapes; Ă  savoir le diagnostic de la situation de dĂ©veloppement, l’identification des problĂ©matiques et la mise en place des listes des prioritĂ©s ou des projets, a-t-il prĂ©cisĂ©.

Des rapports sont par la suite soumis aux conseils régionaux qui devront à leur tour présenter un rapport de synthÚse à la date du 22 juillet, a-t-il encore expliqué.

Il fait remarquer que l’accent est mis sur la proposition de projets rĂ©alisables en s’appuyant sur des donnĂ©s et des Ă©tudes techniques, ajoutant que le ministĂšre fournit des fiches techniques de projets pour faciliter l’opĂ©ration de proposition par les conseils locaux.

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Tunisie : Mohamed Ali Nafti réaffirme le soutien indéfectible à la cause palestinienne

Le ministre des Affaires Ă©trangĂšres de la migration et des tunisiens Ă  l’étranger Mohamed Ali Nafti a dĂ©clarĂ© mardi que la position diplomatique de la Tunisie est une position de principe qui s’appuie sur politique constante de condamnation de toutes les agressions perpĂ©trĂ©es contre les pays islamiques.

Lors d’une confĂ©rence, organisĂ©e Ă  l’AcadĂ©mie diplomatique, le ministre a soulignĂ© que la Tunisie adopte une diplomatie qui rompt avec la violence et dĂ©fend les causes justes, dont en premier lieu la cause palestinienne.

Lors de son allocution, Nafti a insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© de veiller Ă  ce que la cause palestinienne soit prĂ©sente dans l’action diplomatique afin que le peuple palestinien puisse recouvrer ses droits lĂ©gitimes sur l’ensemble de ses terres historiques, avec al Qods pour capitale.

Dans un communiquĂ© publiĂ© par le dĂ©partement des affaires Ă©trangĂšres, dans la nuit de lundi Ă  mardi, la Tunisie a rĂ©itĂ©rĂ© sa ferme condamnation de toute agression visant les ressources, l’intĂ©gritĂ© et la souverainetĂ© nationale de l’Iran et la sĂ©curitĂ© de son peuple frĂšre, soulignant en contrepartie qu’elle fait part de sa solidaritĂ© avec l’État frĂšre du Qatar.

La Tunisie a exhortĂ© les diffĂ©rentes parties Ă  Ɠuvrer en vue de dĂ©jouer les projets de l’entitĂ© sioniste visant Ă  semer la discorde et la division entre les pays et Ă  dĂ©stabiliser la sĂ©curitĂ© et la stabilitĂ© de la rĂ©gion.

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Sijoumi : une étude de 24 mois pour aménager les rives du lac et améliorer la qualité de vie

Le ministre de l’Équipement et de l’Habitat, Slah Zouari, a annoncĂ©, mardi, le lancement de l’étude stratĂ©gique pour le dĂ©veloppement intĂ©grĂ© des rives du lac de Sijoumi.

Cette Ă©tude, qui s’étalera sur 24 mois et qui sera Ă©laborĂ©e sous la supervision d’un bureau d’études tunisien, constitue une Ă©tape importante dans la dĂ©marche de la Tunisie pour amĂ©liorer la situation environnementale, sociale et Ă©conomique de la rĂ©gion, a prĂ©cisĂ© Zouari, lors d’une journĂ©e d’information organisĂ©e Ă  Tunis, consacrĂ©e au lancement de cette Ă©tude.

Cette Ă©tude servira de document dĂ©finissant les grandes options futures Ă  moyen et long termes, s’appuyant sur une vision prospective pour une exploitation optimale du lac de Sijoumi. Elle sera Ă©laborĂ©e avec la participation des diffĂ©rents intervenants publics de la rĂ©gion, des reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© civile et sous l’encadrement d’un groupe d’experts.

Le ministre a soulignĂ© que la zone humide de Sijoumi reprĂ©sente une partie importante de la banlieue ouest du Grand Tunis, couvrant une superficie d’environ 3 000 hectares et Ă©tant adjacente Ă  plusieurs quartiers rĂ©sidentiels abritant prĂšs de 600 000 habitants. De plus, elle est classĂ©e parmi les sites relevant de la convention de Ramsar en tant que zone humide d’importance internationale.

Zouari a signalĂ© que l’État vise Ă  amĂ©nager un plan d’eau au cƓur d’un tissu urbain, contribuant ainsi Ă  une coexistence harmonieuse entre la ville moderne et la nature sous toutes ses formes.

L’objectif est de crĂ©er un espace intĂ©grĂ© et attractif offrant une qualitĂ© de vie amĂ©liorĂ©e, accessible Ă  toutes les catĂ©gories sociales, avec des infrastructures de dĂ©tente et de bien-ĂȘtre pour une vie meilleure.

Il a Ă©galement rappelĂ© que le ministĂšre avait prĂ©cĂ©demment Ă©tĂ© chargĂ© de prĂ©parer une Ă©tude de valorisation et d’amĂ©nagement de la sebkha de Sijoumi, qui a conduit Ă  une orientation visant Ă  augmenter la capacitĂ© du milieu naturel Ă  absorber les eaux pluviales provenant de plusieurs points, afin de protĂ©ger les zones avoisinantes des inondations.

Cette hypothĂšse comprend Ă©galement l’assainissement de la zone humide des sources de pollution, la suppression des rejets anarchiques, ainsi que la promotion de la biodiversitĂ© et de l’équilibre Ă©cologique pour un environnement sain.

De son cĂŽtĂ©, Nadia Gouider Trabelsi, directrice gĂ©nĂ©rale des services aĂ©riens et maritimes au ministĂšre de l’Équipement et de l’Habitat, a prĂ©cisĂ© que la rĂ©alisation du projet de dĂ©veloppement intĂ©grĂ© des rives du lac de Sijoumi nĂ©cessitera des financements importants estimĂ©s Ă  prĂšs de 400 millions de dinars, ce qui impliquera la recherche d’investisseurs et la mise en place d’un partenariat public-privĂ©.

Elle a ajoutĂ© que cette Ă©tude permettra d’établir une vision pour rĂ©soudre le problĂšme de pollution dans la rĂ©gion de Sijoumi et de promouvoir des projets rĂ©sidentiels et industriels verts.

L’objectif est de rendre les rives du lac attractives afin de dĂ©velopper les services et de crĂ©er des emplois pour amĂ©liorer les conditions de vie des habitants de la rĂ©gion, a-t-elle notĂ©.

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Tunisie-Nouvel An de l’HĂ©gire 2025 : un jour de congĂ© pour les agents de l’État

A l’occasion du Nouvel An de l’HĂ©gire les agents de l’État, des collectivitĂ©s locales et des Ă©tablissements publics Ă  caractĂšre administratif bĂ©nĂ©ficieront d’un jour de congĂ©, annonce la prĂ©sidence du gouvernement.

Ce jour de congĂ© sera accordĂ© soit le jeudi 26 juin, soit le vendredi 27 juin 2025, en fonction de l’observation lunaire et conformĂ©ment au communiquĂ© qui sera Ă©mis Ă  cet effet par e Mufti de la RĂ©publique.

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