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Discours du Président Saïed au sommet arabe : Soutien indéfectible de Saïed aux justes causes arabes sur la scène internationale

Confirmant son engagement et son rôle incontournable au sein du monde arabe, la Tunisie a participé, hier, au 5e Sommet économique et social arabe et au 34e Sommet arabe qui se sont tenus dans la capitale irakienne, Bagdad, où le MAE a prononcé le discours du Chef de l’Etat

La Presse — Présidant la délégation tunisienne à ces deux joutes, Mohamed Ali Nafti, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger a prononcé, au nom du Président de la République, Kaïs Saïed, les discours pour réaffirmer la volonté de la Tunisie à promouvoir un développement durable dans le monde arabe et à relever les défis régionaux et réitérer la position ferme et constante de notre pays en faveur de la Palestine.

Dans l’allocution présidentielle au 34e Sommet arabe, la Tunisie a réitéré son soutien indéfectible à la lutte du peuple palestinien pour la récupération de ses droits légitimes et la création d’un État souverain et indépendant sur l’ensemble du territoire palestinien, avec Al-Qods Al-Charif pour capitale. 

La Tunisie a dénoncé, par ailleurs, avec fermeté, les crimes de génocide perpétrés quotidiennement à Gaza par l’entité sioniste, ainsi que les agressions en Cisjordanie. Tout en rejetant les tentatives destinées à déporter le peuple palestinien afin de compromettre sa cause juste.

En outre, et actualité oblige, le ministre des A.E. a exprimé, au nom de la Tunisie à ce même Sommet arabe, la profonde préoccupation quant à la tournure grave prise par les événements à Tripoli, capitale de la Libye, tout en renouvelant l’appel à un arrêt immédiat de l’escalade dans toutes les régions du pays et à privilégier l’intérêt national en vue de permettre l’aboutissement à un consensus entre les diverses composantes politiques libyennes.

Dans l’allocution présidentielle au 5e Somment sur le développement social et économique, la Tunisie a mis en exergue l’importance du “développement, dans ses diverses dimensions, en tant que moyen essentiel et efficace pour faire face aux défis de toutes sortes, dont notamment ceux sécuritaires et sociaux, d’où l’obligation de conjuguer les efforts dans le but évident d’augmenter les échanges commerciaux intra-arabes, tout en réduisant, au maximum, les écarts avec l’Occident en matière de développement, de savoir-faire et de nouvelles technologies.

Dans le même discours du Chef de l’Etat, la Tunisie a mis l’accent sur la nécessité de répondre positivement aux attentes et aux besoins sociaux et économiques des peuples arabes dans le sens où l’Homme arabe représente, indéniablement, la principale richesse à promouvoir, d’où la primauté qu’il faut accorder aux valeurs de réforme, de bonne gouvernance, de répartition équitable des richesses, et de justice sociale.

Dans le même ordre d’idées, la Tunisie a appelé à la mise en place d’initiatives et autres projets pour servir les intérêts des peuples arabes ainsi qu’à la transformation des recommandations du sommet économique et social arabe en programmes concrets et réalisables.  

Pout tout dire, la Tunisie vient de crier haut et fort qu’elle tient à assumer, depuis son adhésion à la Ligue des États arabes, son rôle, qualifié d’incontournable ainsi que ses responsabilités dans la promotion de l’action arabe commune et dans le soutien des justes causes arabes sur la scène internationale.

Pour une agriculture résiliente et inclusive en Tunisie

Considérée, à juste titre, comme la colonne vertébrale de l’économie nationale, l’agriculture constitue un vecteur déterminant pour le développement global et durable en Tunisie dans le sens où elle concerne de près toutes les régions et tous les citoyens du pays.

En effet, l’Etat met tout en œuvre pour renforcer les capacités de production en privilégiant les innovations en la matière, dont notamment l’agroécologie, un moyen efficace pour la promotion d’une agriculture résiliente et inclusive, grâce à la tenue de workshops ayant permis l’échange d’expériences entre les jeunes entrepreneurs.

Il faut dire que, dans ce cadre, plus de 300 professionnels du secteur agricole sont attendus au cours de la semaine prochaine dans la localité d’Aïn Draham, pour participer aux rencontres agro-écologiques ayant pour thème “L’accélération de la transition agroécologique par l’échange, la formation et le réseautage », sans oublier l’exposition de programmes variés et autres nouvelles techniques.

Il n’est pas inutile de savoir que cette édition n’est pas la première du genre puisqu’elle vient succéder à celle tenue, en février dernier, à Zarzis en vue de s’initier à la fabrication de biofertilisants et au greffage en visitant un site de référence pour une agriculture régénérative.

En effet, le Réseau tunisien de la transition agro-écologique (Rtta), coorganisateur de cet événement, a déjà largement contribué à l’organisation, au début de ce mois, d’une session intitulée “La convergence de l’agroécologie” qui constitue une opportunité pour échanger les expériences entre agriculteurs et professionnels sérieusement engagés dans l’agriculture durable face aux changements climatiques.

Il faut dire que, selon les experts, l’agroécologie est un système de production prôné par les organisations paysannes en y voyant une réponse aux changements climatiques dans la mesure où elle se propose de produire des aliments sains dans le respect de l’environnement et des humains. 

Cette méthodologie est présentée comme un ensemble de pratiques agricoles, une science intégrant des connaissances servant la pratique agricole, outre la recherche d’une rénovation du système alimentaire dans son ensemble, dont les rapports économiques et sociaux entre producteurs, consommateurs et pouvoirs publics.

En somme, la production agricole intensive est jugée comme polluante car elle mise sur l’utilisation massive des engrais chimiques et des intrants minéraux tout en étant très énergivore, ce qui incite les autorités compétentes à opter pour une agriculture pérenne et résistante aux aléas climatiques.

Pas de place pour les comploteurs et autres esprits malveillants

LE Chef de l’Etat a présidé, mercredi au Palais de Carthage, la cérémonie de prestation de serment du nouveau gouverneur de Ben Arous, Abdelhamid Boukadida, et qui a été une opportunité pour réaffirmer les constantes du projet et des approches du Président Kaïs Saïed pour la Tunisie nouvelle, tout en démentant les rumeurs et les allégations mensongères. 

Ainsi, il a réitéré que l’Etat tunisien est uni avec une politique homogène marquant ses différents rouages aussi bien à l’échelle nationale que régionale, dans le sens où la chose publique est régie par les lois applicables à tous et pour tous, sans aucune distinction.

D’ailleurs, renouvelant ses consignes au nouveau gouverneur, le Président de la République lui a indiqué qu’il représente l’Etat central dans la région et qu’il est appelé, par voie de conséquence, à être juste et équitable avec tous les citoyens avant de réaffirmer que la Tunisie est un Etat uni, indépendant et souverain.

Le Président Kaïs Saïed a renouvelé sa détermination à poursuivre la bataille de libération sur tous les fronts dans la mesure où il reste plein de bonne volonté pour répondre aux attentes et aux aspirations du peuple qui demeure maître de ses destinées vers un avenir prometteur et prospère.

Et après avoir martelé qu’il travaille jour et nuit en vue de garantir à toutes les Tunisiennes et tous les Tunisiens les meilleures conditions d’une vie digne, loin des manigances des lobbies malfaisants et que l’Etat est déterminé à éradiquer, le Chef de l’Etat a martelé qu’il n’y a pas de place pour les comploteurs et autres esprits malveillants qui continuent leurs manipulations en usant de ces stratagèmes des réseaux sociaux et autres “pages facebookiennes” pour semer la discorde et répandre les intox.

En outre, encore une fois, le Président Kaïs Saïed a rappelé que tous ceux qui tentent de “dépecer” l’Etat n’ont pas de place dans le pays et seront “jetés dans les poubelles de l’histoire” car la Tunisie ne sera pas dirigée par les “statuts” et ces moyens dits de communication alors qu’il s’agit, en fait, de “réseaux de traîtrise” manipulés par des forces occultes gérées de l’étranger.

Le Chef de l’Etat vient donc de tracer et fixer, de nouveau, les lignes pour la gestion des affaires de la Tunisie qui reste une citadelle inexpugnable face aux tentatives déstabilisantes et demeure un pays stable et sûr pour tous les citoyens.

Activités présidentielles : Suivi immédiat des décisions engageant l’avenir de la Tunisie

Encore une fois, le Président de la République prouve, si besoin est, qu’il demeure fidèle à son approche consistant à mettre en œuvre son projet pour le développement durable et global sur le plan social et économique, tout en optant pour des idées nouvelles et un processus marqué par un esprit nouveau rompant avec les pratiques du passé, notamment au cours de la sombre décennie entre 2011 et 2021.

La Presse — Parmi ces constantes, on signale la crédibilité caractérisant les promesses faites par le Chef de l’Etat, immédiatement suivies par des décisions tranchantes comme cela a été démontré lors de la visite inopinée effectuée, dans la soirée du 11 mai 2025, dans plusieurs localités du gouvernorat de Ben Arous.

En effet, dans un communiqué officiel, la Présidence de la République a annoncé que ce déplacement-surprise a constitué une occasion idoine de constater bon nombre de défaillances sur le terrain, ce qui a conduit à la décision du limogeage du gouverneur de la localité et son remplacement par une nouvelle personnalité, sachant que Ben Arous représente, à n’en point douter, un des gouvernorats stratégiques du pays.

Il s’agit d’une décision qui vient réaffirmer le degré d’efficacité à conférer à l’administration régionale et le rôle essentiel du poste de gouverneur dans la mise en œuvre de la gestion de la chose publique, tout en témoignant .de la présence d’une Présidence à l’écoute des attentes du peuple, avide de concrétiser ses aspirations, loin des simples déclarations et autres slogans creux. 

Rappelons, dans ce cadre, l’insistance du Président Kaïs Saïed quant à la nécessité pour chaque responsable d’assumer entièrement ses responsabilités en prenant l’initiative de surmonter les difficultés et de dépasser les obstacles. 

Ainsi, confirmant son souci de privilégier les actions concrètes et le suivi sur le terrain, le Chef de l’Etat a assuré qu’il ne faut pas se contenter de l’adoption de simples textes législatifs, mais de faire en sorte de marquer un nouveau tournant et de créer un nouveau chapitre de l’histoire, l’objectif final étant de  transformer concrètement la réalité du pays.

Le Président de la République a clairement mentionné, lors de l’audience accordée à la Cheffe du gouvernement le 28 mars dernier, soit il y a un mois et demi, que l’État et ses institutions ne resteront pas les bras croisés face à ceux qui freinent le bon fonctionnement de l’administration et l’accomplissement des attentes populaires. 

Plus encore, le Chef de l’Etat a été incisif en assurant que des milliers de jeunes diplômés, bien que parfois manquant d’expérience, sont prêts à prendre le relais des individus qui se considèrent comme appartenant à une classe spéciale et qui bloquent de nombreux projets. «L’ère des lobbys au sein des institutions publiques, a insisté le Président en substance, est désormais révolue, d’où l’impératif pour qu’elle prenne fin dans les plus brefs délais…».

L’approche présidentielle est ainsi plus que jamais confirmée en vue de rompre, une fois pour toutes, avec les pratiques des forces occultes et rétrogrades ainsi qu’avec les lobbies qui tentent encore de faire obstruction à l’action normale des institutions de l’Etat marqué par son unicité et sa détermination à aller de l’avant sur le chemin du développement et du progrès.

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