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Bons du Trésor : l’encours global dépasse les 29 milliards de dinars en 2025

L’encours total des Bons du Trésor s’établit à 29,2 milliards de dinars, en hausse de 2,5 milliards de dinars par rapport à l’année précédente où il atteignait 26,7 milliards de dinars. Cette progression représente une augmentation de 9,36 %, le 29 mai 2025

Les Bons du Trésor à court terme (BTC) affichent un encours de 6,65 milliards de dinars, en forte baisse de 3,75 milliards de dinars par rapport aux 10,4 milliards de dinars enregistrés un an plus tôt. Soit un recul de 36,10 %.

À l’inverse, les Bons du Trésor Assimilables (BTA) connaissent une forte progression, passant de 16,3 milliards de dinars à 22,55 milliards de dinars. Soit une hausse de 6,26 milliards de dinars, correspondant à une croissance de 38,38 %.

A noter que ces données proviennent des dernières statistiques publiées par la Banque centrale de Tunisie.

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Crise immobilière : SIMPAR clôture 2024 avec 3,48 MD de pertes

SIMPAR convoque son Assemblée générale ordinaire dans un contexte sectoriel difficile.

La société immobilière et de participations SIMPAR annonce la tenue de son Assemblée générale ordinaire (AGO) le vendredi 20 juin 2025 à 15 heures, au siège de la Maison de l’entreprise.

Ce rendez-vous intervient après un exercice 2024 déficitaire de 3,48 millions de dinars, conduisant la société à renoncer à toute distribution de dividendes. Ce résultat reflète les difficultés persistantes du secteur immobilier, toujours en crise après plusieurs années de ralentissement. L’année 2024 a d’ailleurs marqué un véritable effondrement pour les sociétés immobilières cotées à la Bourse de Tunis, dont SIMPAR fait partie.

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Tunisie : Zina Jiballah réclame l’activation des décrets contre la sous-traitance

Dans un post Facebook daté du 2 juin 2025, la députée Zina Jiballah, membre de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), a annoncé avoir sollicité la présidence du gouvernement pour accélérer la publication des décrets d’application concernant l’interdiction de la sous-traitance.

Elle a réaffirmé son attente d’une réponse officielle, soulignant par ailleurs son engagement en faveur d’une plus grande justice sociale.

À noter que la loi encadrant les contrats de travail et prohibant la sous-traitance a été promulguée le 21 mai 2025, après son adoption par l’ARP à une large majorité (121 voix), et publiée au Journal officiel de la République tunisienne.

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Vient de paraître : Et si Fayrouz m’était contée

Marjorie Bertin rend hommage à cette cantatrice qui a enregistré plus de 800 chansons, sorti 50 albums, joué dans une vingtaine de films et comédies musicales, et été consacrée ambassadrice du Liban dans le monde. Symbole de paix et d’espoir, elle refusa de quitter le Liban pendant la guerre.

La Presse — Ils sont délicieux ces ouvrages que publie Ysabel Saïah Baudis aux éditions Orients. Une collection de petits formats soignés, illustrés avec recherche et consacrés aux mythes, icones et grands thèmes de l’Orient. 

Il y en a eu sur la philosophie des  couleurs en Islam, mais aussi Khalila va Dimna, Om Kalthoum, et la saga du café. 

Le dernier paru  s’attaque à la dernière légende vivante de la musique arabe : Fayrouz à laquelle on n’avait jamais consacré un livre en français.

Marjorie Bertin rend hommage à cette cantatrice qui a enregistré plus de 800 chansons, sorti 50 albums, joué dans une vingtaine de films et comédies musicales, et été consacrée ambassadrice du Liban dans le monde. Symbole de paix et d’espoir, elle refusa de quitter le Liban pendant la guerre.

De cette icône révérée dans tout le monde arabe, on sait, en fin de compte, peu de choses. Sinon que son époux, Assi Rahabani, et son frère Mansour, révolutionnèrent la musique arabe du XXe siècle, et que son fils, Ziad, enfant prodige de la scène libanaise, assurera le tournant jazz de la carrière de sa mère à partir des années 70. Ce petit ouvrage raconte Fayrouz qui n’a jamais voulu choisir de camp lorsque la guerre du Liban déchirait ses habitants, qui est revenue triomphale après dix-sept ans d’absence, à la fin de la guerre, et qui a refusé le pont d’or offert par l’Arabie saoudite. 

Il raconte Fayrouz, symbole vivant d’une nation, que son chant majestueux ne cesse d’apaiser.

Remarquablement documenté pour un petit format, joliment illustré de photos d’époque, cet ouvrage à la maquette fluide et claire est une édition réussie.

Le Salon de l’Économie Verte 2025 mise sur l’inclusion économique des femmes

Le Salon de l’Économie Verte 2025 se concentrera sur l’entrepreneuriat féminin et l’inclusion financière.

La deuxième édition du Salon de l’Économie Verte, de la Finance Responsable et du Développement Durable aura lieu les 16 et 17 octobre 2025 à Tunis. L’événement placera cette année l’entrepreneuriat féminin, l’inclusion économique et l’accès au financement au cœur de ses préoccupations.

Cette manifestation nationale entend mettre en évidence les difficultés auxquelles font face les femmes tunisiennes dans leur démarche entrepreneuriale, particulièrement concernant l’accès aux ressources financières. L’objectif affiché consiste à promouvoir des solutions concrètes, inclusives et durables pour répondre à ces défis.

L’organisation s’appuie sur un partenariat élargi réunissant les acteurs économiques concernés, les institutions financières, les incubateurs, les réseaux associatifs ainsi que plusieurs partenaires internationaux. Le Salon ambitionne de créer une plateforme d’échanges, de réflexion et de collaboration entre les entrepreneures, les acteurs économiques et les décideurs publics.

Le programme de ces deux journées comprendra des panels thématiques abordant les obstacles au financement, les dispositifs existants et les alternatives innovantes telles que la microfinance, les technologies financières, le financement participatif et le capital à impact. Des ateliers pratiques et des master class seront également proposés pour renforcer les compétences des femmes entrepreneures.

L’événement intégrera par ailleurs des sessions de présentation de projets, des rencontres accélérées et des espaces d’exposition destinés à valoriser les initiatives portées par des femmes. Une dimension prospective sera assurée par la formulation de recommandations à l’attention des institutions publiques et privées.

En rassemblant l’ensemble des acteurs de l’écosystème comprenant les banques, les startups, les bailleurs de fonds, les institutions publiques, les incubateurs et les associations, le Salon vise à contribuer à l’édification d’un environnement plus équitable et favorable au développement de l’entrepreneuriat féminin en Tunisie.

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Ridha Chkoundali met en garde contre les risques économiques de la réforme du travail

L’universitaire et économiste Ridha Chkoundali est revenu sur la réforme du code du travail dans un post publié sur son compte officiel du réseau social Facebook, le 1er juin 2025. Il soulève des inquiétudes quant aux conséquences économiques de la nouvelle loi sur la sous-traitance. Selon l’expert, ce texte, bien que visant à améliorer les conditions sociales des travailleurs, pourrait fragiliser la compétitivité des entreprises et l’équilibre macroéconomique du pays.

Dans son analyse, M. Chkoundali souligne que « cette nouvelle loi sépare artificiellement la dimension économique de la dimension sociale ». Il explique : « La stabilité sociale, qui repose sur un revenu décent, ne peut être atteinte sans progrès économique. Les deux sphères sont liées par une relation dialectique, non unidirectionnelle. » L’économiste regrette que le texte impose des droits aux travailleurs sans mentionner leurs devoirs envers les entreprises. Ce qui pourrait, selon lui, déséquilibrer le système.

Le gouvernement défend pourtant une réforme nécessaire pour lutter contre la précarité. La loi oblige les entreprises à titulariser les travailleurs sous-traitants, une mesure saluée par les syndicats comme une avancée historique. Un porte-parole du ministère des Affaires sociales affirme qu’elle permettra « de réduire l’emploi informel et d’élargir l’assiette des cotisations sociales ».

Mais les craintes exprimées par M. Chkoundali trouvent écho dans le milieu des affaires. Plusieurs chefs d’entreprise redoutent une hausse des coûts salariaux qui se répercuterait sur les prix, alimentant l’inflation. Dans le secteur public, la titularisation massive des sous-traitants pourrait alourdir la masse salariale de l’État, déjà sous tension.

Déjà, des effets pervers se manifestent. « La peur de l’obligation de titularisation a poussé de nombreuses entreprises à licencier en amont », constate l’économiste. Une situation qui illustre, selon lui, « l’urgence de repenser cette réforme pour concilier protection sociale et performance économique ».

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Aux éditions Arabesques : L’eveil de Selma Ben Romdhane, pilote-poète

Elle a toujours écrit, à ses moments perdus, mais c’est avec ce temps mort que nous a offert le Covid qu’elle s’y est mise avec passion, ardeur et constance.

La Presse — Est-ce de fréquenter les cieux, de courser les nuages et de suivre la route des oiseaux migrateurs qui a donné à Selma Ben Romdhane ce goût de la poésie, ce rythme du verbe et cet engouement pour les vers ?

Le fait que cette élégante jeune femme qui porte avec assurance et panache l’uniforme des conquérants du ciel, assurée et concentrée quand elle intègre la cabine de pilotage, s’envole vers d’autres univers dès qu’elle met pied à terre. Janus à deux faces, elle mène de front deux vies dans deux univers : celui de la technique maîtrisée et celui du rêve débridé. 

En fait, elle a toujours écrit, à ses moments perdus, mais c’est avec ce temps mort que nous a offert le Covid qu’elle s’y est mise avec passion, ardeur et constance.

«En écrivant, j’ai découvert une partie de moi-même que j’avais totalement occultée. Les mots venaient  seuls, avec fluidité, à n’importe quel moment du jour ou de la nuit, sans que je puisse contrôler le temps de l’écriture. J’ai essayé de maintenir ce côté instinctif de l’écriture. C’était pour moi une réelle thérapie».

Mais l’écriture peut être dangereuse quand elle n’est pas contrôlée. C’est ce qui s’est passé dans le parcours poétique de Selma Ben Romdhane. Envisageant cette expérience comme une thérapie bénéfique, elle a très vite découvert un mal-être insoupçonné, que ni elle ni son entourage n’avaient décelé.

« J’ai tout de même voulu aller au bout de cette démarche, sans forcément être prête à le faire. C’était un terrain inconnu, non sécurisé. Bien sûr, c’était dangereux, et ma vie a totalement changé. Je ne suis plus du tout la même qu’il y a cinq ans. J’ai découvert le vrai moi et non celui que l’on voulait que je sois. Ce moi, le vrai, a des parties sombres, d’autres lumineuses. J’ai appris à l’aimer, sans attendre le regard des autres ».

Une telle expérience a remis de nombreuses choses en question pour Selma Ben Romdhane. Sa relation aux autres a changé. Elle, qui versait souvent dans la victimisation, se sentait incomprise, trahie, abandonnée, a appris à ne pas attendre des gens des choses qu’ils ne pouvaient donner. Alors, bien sûr, dans son entourage, on a pu se sentir remis en question, mis en accusation, rejetés. D’autres ont compris, ont d’eux-mêmes réajusté leurs rapports. «Mes propres enfants m’ont cru devenue folle, puis ont compris mon cheminement. Ils me guident. Je ne suis pas parfaite, eux non plus. Nous nous améliorons les uns les autres, en étant dans la bienveillance».

« La loi sur les chèques critiquée : vers un retour en force de l’argent liquide ?

Lors de son passage sur les ondes de Diwan FM, dimanche 1er juin 2025, l’économiste Ridha Chkoundali n’a pas mâché ses mots pour dénoncer les « impacts négatifs » de la nouvelle loi sur les chèques. Il a souligné que cette réforme avait perturbé les circuits de paiement officiels tout en favorisant l’expansion de l’économie parallèle.

Selon ses analyses, cette loi figurait parmi les plus « néfastes jamais adoptées par l’actuelle assemblée », freinant l’activité économique et pénalisant autant les vendeurs que les acheteurs. Il a expliqué que le texte avait eu pour effet principal de réduire considérablement l’usage du chèque comme moyen de paiement, incitant ainsi au recours accru aux transactions en espèces. Or, ces dernières, échappant au système bancaire, se révèlent bien moins traçables et contribuent à alimenter le secteur informel.

L’expert a alerté sur la corrélation directe entre la circulation du cash hors des banques et l’ampleur de l’économie souterraine en Tunisie. Plus les échanges en liquide se multiplient, moins l’État parvient à exercer un contrôle sur les flux financiers, a-t-il insisté.

Par ailleurs, il s’est dit préoccupé par les files d’attente interminables observées devant les guichets bancaires et les distributeurs automatiques, symptôme selon lui d’un retour en force des paiements en argent liquide. Une telle situation représenterait, à ses yeux, une véritable perte pour l’économie tunisienne, affectant la fiscalité, la traçabilité des opérations, la sécurité des transactions et l’inclusion financière.

Il a également pointé du doigt la brutalité avec laquelle la réforme avait été mise en œuvre, déplorant l’absence d’accompagnement et de période transitoire suffisante. Les nouvelles procédures imposées aux professionnels – restitution des anciens carnets de chèques, vérifications prolongées, demandes de réapprovisionnement fastidieuses – plongeraient de nombreux commerçants et artisans dans une paralysie économique, les privant parfois de moyens de paiement pendant plusieurs semaines.

Ridha Chkoundali a rappelé qu’en Tunisie, moins de 40 % de la population disposait d’un compte bancaire, et que parmi eux, beaucoup ne l’utilisaient que pour retirer de l’argent liquide. Une réalité qui limite drastiquement la capacité de l’État à suivre les flux financiers, contrairement à d’autres pays où ceux-ci sont monitorés presque en temps réel.

En conclusion, l’économiste a appelé à une révision urgente de la loi, jugée contre-productive. Il a plaidé pour une approche plus progressive et concertée avec les acteurs économiques, afin de préserver la fluidité des échanges et d’éviter de renforcer les pratiques informelles. Beaucoup espèrent désormais un assouplissement du texte, a-t-il souligné, insistant sur la nécessité de ne pas creuser davantage le fossé entre l’économie formelle et les réalités du terrain.

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Accès gratuit aux musées et sites archéologiques ce dimanche 1er juin 2025

L’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC) a annoncé que l’entrée aux sites historiques, monuments et musées publics sera gratuite ce dimanche 1er juin 2025 pour les citoyens tunisiens et les résidents étrangers.

Cette gratuité, valable sur présentation d’une pièce d’identité nationale ou d’un titre de séjour, s’applique également :

  • Les jours fériés

  • Le premier dimanche de chaque mois

  • La Journée internationale des sites et monuments (18 avril)

  • La Journée internationale des musées (18 mai)

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les Indiscrétions d’Elyssa

La mer versus l’humain

La mer porte plainte contre l’humain qui ne cesse de la polluer et de piller ses richesses. Tel est le sujet de débat et de procès proposé comme exercice à une classe de collège du lycée de La Marsa, dont les élèves seront, le temps du procès fictif, avocats d’accusation et de défense. Ce lundi, le jugement sera rendu.

70 ans d’amitié

L’an prochain, la Tunisie et la Suisse célèbreront le soixante-dixième anniversaire de leur amitié. Une amitié indéfectible qui commença dès notre indépendance, la Suisse ayant été le premier pays à reconnaître cette indépendance. Ce qui offrit à Bourguiba l’occasion de remercier ce geste précurseur en offrant à la Suisse une ambassade au sein du terrain du Palais de Carthage. Demeure dont la propriété ne put jamais être remise en question, ni changée ni déplacée, en dépit de quelques tentatives mal venues en d’autres temps.

Stambeli à …Perpignan

C’est à Perpignan, en effet, dans le cadre de Nostre Mare, festival SOS Racisme, que sera projeté le film d’Augustin Legall et Théophile Pillaut : «Stambeli, dernière danse des esprits». Cela en présence d’Augustin Legall, auteur et coréalisateur.

Cette mini-série montre l’attrait que peut avoir sur les jeunes générations de musiciens électroniques ce culte en voie de disparition.

On aimerait qu’elle soit projetée à Tunis 

200 femmes artistes et 35 pays au grand Egyptian Museum

La semaine dernière, au musée du Caire, un forum international célébrait la culture et favorisait les échanges entre artistes femmes du monde entier, leur offrant un espace de dialogue, de création et de solidarité. Parmi celles-ci, trois artistes tunisiennes portaient haut et fort les couleurs de l’art contemporain de notre pays : Alia Derouiche, Aziza Guermazi et Houda Daoudi

Sidi Blue à Paris

La tradition est désormais bien ancrée. Au cœur du Marais, quartier arty de Paris, s’invite chaque année Sidi Blue et ses couleurs tunisiennes. Mode, design, senteurs et saveurs font souffler sur ces rues anciennes un air de fraîcheur et de douceur. Tunisiens de l’autre rive, mais aussi Parisiens bon ton se pressaient pour «quelques jours de découvertes, de kiff et de vibes», comme le promettaient les jeunes et dynamiques organisateurs.

Digitalisation avez-vous dit ?

On annonce à cor et à cri la digitalisation des services administratifs, et il faut avouer qu’il en est fort temps. Amusez-vous donc à demander une légalisation de signature aux guichets d’une municipalité, service lambda et supposé aisé. Le préposé tire un premier cahier sur lequel il griffonne longuement, vous le donne à signer, prend un deuxième cahier sur lequel il recopie ce qu’il y a sur le premier, signe et contre-signe, vous envoie faire la queue à la caisse, vous rédige un reçu, reprend votre feuille, aligne deux ou trois cachets, tamponne consciencieusement, donne à signer à un autre préposé, pour enfin vous rendre votre papier. 

Cependant que les cahiers vont rejoindre l’énorme pile branlante de cahiers entassés sur des étagères poussiéreuses où il sera humainement impossible de retrouver n’importe quel renseignement ou référence.

Artes rebondit avec un bénéfice net consolidé de 42,2 millions de dinars

Le Groupe Artes renoue avec une croissance spectaculaire en 2024, affichant des performances financières record et consolidant sa position parmi les leaders du marché automobile tunisien.

Lors de son Assemblée générale ordinaire du 30 mai 2025, la direction a présenté des résultats en nette amélioration, marquant un tournant après des années de perturbations liées à la crise sanitaire et aux pénuries de composants. Mustapha Ben Hatira, président du conseil d’administration, a souligné que le groupe avait retrouvé son dynamisme et figurait désormais parmi les entreprises les plus performantes du secteur.

Le chiffre d’affaires du groupe a atteint 257,3 millions de dinars en 2024, contre 142,6 millions l’année précédente, soit une progression remarquable. La société mère a enregistré un résultat net de 40,4 millions de dinars, en hausse par rapport aux 27,1 millions en 2023. Sur une base consolidée, incluant ses filiales ARTEGROS, ADEV et Wallys Services, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 307,4 millions de dinars, contre 178,7 millions en 2023, tandis que le résultat net consolidé s’est établi à 42,2 millions de dinars, en progression de 57%. Avec 5 222 véhicules immatriculés, Artes a capté 9,14% du marché automobile tunisien, contre seulement 5,41% en 2023, ce qui lui permet de réintégrer le top 5 des acteurs du secteur.

ARTEGROS a dégagé un bénéfice net de 6,67 millions de dinars, ADEV de 3,54 millions, et Wallys Services de 0,38 million. Les dividendes perçus des filiales ont contribué à hauteur de 10,2 millions de dinars au résultat net, tandis que les produits de placement se sont élevés à 15,58 millions, en léger recul par rapport aux 18,85 millions de 2023. En raison de ces performances, le groupe propose un dividende de 0,800 dinar par action, soit un montant total de 30,6 millions de dinars, contre 0,500 dinar distribué en 2023.

Face à une concurrence asiatique croissante, notamment sur les véhicules hybrides et électriques, Mustapha Ben Hatira a insisté sur la nécessité de renforcer les compétences des équipes et d’améliorer la qualité de service pour maintenir la position du groupe sur un marché en pleine mutation. La formation et la fidélisation clientèle restent des priorités pour assurer une croissance durable.

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La BNA affecte 214,6 millions de dinars de bénéfices, dont 64 millions en dividendes

Lors de son Assemblée générale ordinaire, la Banque nationale agricole (BNA) a arrêté la répartition de son bénéfice distribuable pour l’année 2024, marquée par une distribution de dividendes et des réserves stratégiques.

Le résultat net de l’exercice s’élève à 254,6 millions de dinars, auquel s’ajoute un report à nouveau de 1 million de dinars. Après déduction des ajustements comptables, le bénéfice à répartir atteint 214,6 millions de dinars.

La BNA a décidé d’allouer 64 millions de dinars au paiement des dividendes, soit 1 dinar par action, dont la mise en paiement interviendra à partir du 17 juin 2025. Par ailleurs, 100 millions de dinars ont été affectés aux réserves de réinvestissement exonérées, tandis que 50,1 millions de dinars sont destinés aux réserves extraordinaires. Une enveloppe de 500 000 dinars a également été réservée au fonds social.

Cette répartition équilibrée témoigne de la politique de la banque visant à concilier rendement pour les actionnaires et consolidation de ses fonds propres.

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El Seed : De Gabès… et le monde à portée de main !

Dans la sérénité de l’oliveraie, El Seed prépare de grands projets : une fresque géante sur douze ou treize étages dans le 13 ième, à Paris,en réplique à la fameuse fresque de Obey « Liberté, égalité, fraternité». Il ouvre un nouvel espace en Arabie saoudite. Et il sort un livre en Italie.

La Presse — A Gabès, Faouzi Khlifi, plus connu sous le célèbre nom de El Seed, est un homme heureux. Au milieu des oliviers centenaires que planta son arrière grand- père, il mène la vie simple et fruste des agriculteurs du lieu, se passionne pour la récolte de l’année, presse son huile, et retrouve ses réflexes d’artiste pour offrir à cette huile le plus beau des flacons, signé et numéroté, œuvre d’art qui s’arrache à prix d’or.

Fier de son cru, il réunissait famille et amis pour le goûter à grands renforts de tabouna, et nous expliquait la jolie idée d’associer huile et œuvre d’art, se proposant d’éditer chaque année un flacon d’artiste. Et si lui signait le premier, il avait invité l’artiste marocain Hassan Hajjaj, déjà séduit, à dessiner le second. Hassan Hajjaj, quant à lui, était totalement immergé dans cette oliveraie, exposant une magnifique collection de photos réalisées et exposées sur place, au milieu des arbres, en une étonnante installation.

Mais l’oléiculteur éveillé en lui a incité El Seed à allier son art à la vie dans l’oliveraie. C’est ainsi qu’il est en train de préparer une résidence d’artiste qui recevra trois fois par an quatre artistes contemporains dont un Tunisien pour chaque session. Ceux-ci seront invités à passer deux mois à Gabès, rencontrer les gens du cru, travailler, exposer peut-être…

«Gabès a changé ma vie. J’y viens le plus souvent possible, et je souhaite qu’on en parle, qu’on y vienne, qu’on la découvre. J’essaye de créer des événements. C’est ainsi que j’ai invité le photographe marocain Hassan Hajjaj qui y a fait des photos magnifiques, le sculpteur portugais Vhils qui, lui aussi d’une famille d’agriculteurs, s’est cru au Portugal. Nous allons d’ailleurs réaliser une collaboration artistique : lui sculptera le portrait de mon père cependant que je peindrai sur une fresque celui de son grand-père.   

En fait, je crois que tous les oliviers du monde parlent le même langage et que l’agriculteur a pour mission de le traduire. Vhils signera, d’ailleurs, la troisième édition de flacons.»

A Gabès, dans la sérénité de l’oliveraie, El Seed prépare de grands projets : une fresque géante sur douze ou treize étages dans le 13e, à Paris,en réplique à la fameuse fresque de Obey «Liberté, égalité, fraternité». Il ouvre un nouvel espace en Arabie saoudite. Et il sort un livre en Italie.

Mais, bien sûr, le projet de ses rêves, c’est à Gabès qu’il souhaite le réaliser : «Je voudrais ouvrir un musée d’art contemporain à Gabès. Ce qui ferait de Gabès, où personne ne vient, une vraie destination artistique». Quand il disait que Gabès avait changé sa vie, El Seed avait raison.

Tabagisme en Tunisie : un constat alarmant et des stratégies à revoir

À l’occasion de la Journée mondiale sans tabac, une table ronde organisée par la plateforme médicale med.tn et  animée par  le journaliste Malek Aouni a réuni des experts pour évaluer les stratégies de lutte contre le tabagisme en Tunisie. Les intervenants, le cardiologue Dr. Dhaker Lahidheb et le psychologue Dr. Anas Laouini, ont dressé un constat sévère : malgré les efforts, le pays régresse dans ce combat de santé publique.

Avec près d’un homme adulte sur deux fumeur (49,8 %), la Tunisie affiche l’un des taux de tabagisme les plus élevés d’Afrique et de la région Méditerranée orientale, selon l’OMS. Chez les jeunes, la situation est critique : 14 % des 15-17 ans fument régulièrement, et l’âge d’initiation peut descendre jusqu’à 7 ans. Les cigarettes électroniques gagnent du terrain chez les mineurs, avec plus de 17 % d’utilisateurs en 2023.

Si la prévalence globale stagne chez les hommes adultes, elle augmente chez les 20-24 ans (49,9 % en 2023 contre 44 % en 2018) et les 35-39 ans (58,9 % contre 47,5 %). Le tabagisme reste majoritairement urbain, et le taux de mortalité prématurée lié au tabac a bondi de 20 % depuis 2010.

Pourquoi la Tunisie échoue-t-elle ?

Les experts pointent plusieurs échecs : non-application des lois (interdiction de fumer dans les cafés, écoles et hôpitaux), campagnes de sensibilisation inefficaces et prohibitionnistes, et normalisation du tabac via les séries télé et réseaux sociaux. « Les campagnes actuelles manquent d’empathie et ne proposent pas d’alternatives », déplore le Dr. Laouini, qui regrette les tournées éducatives des années 2000, aujourd’hui disparues.

Une addiction multidimensionnelle

Le tabagisme n’est pas qu’une habitude, mais une dépendance complexe, mêlant aspects comportementaux, cognitifs et émotionnels. Les thérapies cognitives et comportementales (TCC) offrent des résultats durables, mais 70 % des rechutes sont liées à des déclencheurs sociaux (cafés, fêtes).

Les jeunes, cible vulnérable

Un adolescent sur trois fume par imitation, séduit par des arômes fruités ou l’image de maturité associée à la cigarette. Les filles fument désormais autant que les garçons dans certains groupes, avec des risques spécifiques (infertilité, cancers). « Parents, enseignants et influenceurs ont une responsabilité dans cette normalisation », insiste le Dr. Laouini.

Tabac chauffé et cigarette électronique : un débat clivant

Le Dr. Lahidheb défend ces alternatives comme outils de réduction des risques : « Elles diminuent de 90 % les substances toxiques et aident les fumeurs dépendants. » Il cite l’exemple du Royaume-Uni et de la Nouvelle-Zélande, où la vape est intégrée dans les programmes de sevrage.

Le Dr. Laouini met en garde : « Ces produits ne doivent pas devenir une porte d’entrée pour les jeunes. » Un consensus émerge : ces alternatives doivent être réservées aux fumeurs adultes, dans un cadre médicalisé.

Vers une stratégie nationale intégrée

Les experts appellent à une approche globale : prévention précoce, messages clairs, alternatives encadrées et mobilisation des médias, enseignants et influenceurs. « Le tabagisme est un enjeu de santé publique, pas un vice individuel », concluent-ils. La Tunisie doit agir vite : sans politique courageuse, la chaîne du tabac ne sera pas brisée.

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Riadh Hajjej : « Investir dans la culture jeunesse, c’est bâtir l’avenir »

L’ATB réaffirme son engagement en faveur de la littérature arabe pour enfants à l’occasion de la 16e édition du Prix Mustapha Azouz

Le directeur général de l’Arab Tunisian Bank (ATB), Riadh Hajjej, a présidé ce jeudi  30 mai 2025 une conférence de presse au siège de la banque pour  revenir sur les grandes ligne de la 16e édition du Prix Mustapha Azouz de littérature arabe pour l’enfant et du Forum arabe de littérature pour enfants. Ces deux événements culturels majeurs se dérouleront les 3 et 4 juin 2025 à la Cité de la culture à Tunis. Il s’agit de deux événements qui bénéficient de l’appui financier  de la banque.

Dans son discours d’ouverture, Riadh Hajjej a tenu à saluer les efforts  des membres de l’Association du Forum de littérature pour enfants qui organisent l’événement. Le directeur général a rappelé l’engagement historique de l’ATB en faveur de la littérature jeunesse, un engagement qui s’inscrit dans une démarche de responsabilité sociétale. « Notre soutien à cette initiative n’est pas seulement un parrainage, mais une conviction profonde que l’avenir de la Tunisie et du monde arabe repose sur l’éducation et la culture de nos enfants », a-t-il déclaré. Il a également rendu hommage à Mustapha Azouz, figure emblématique de la pédagogie et de la littérature enfantine en Tunisie, dont le prix perpétue la mémoire.

Cette année, le Prix Mustapha Azouz a enregistré une participation record, avec 117 auteurs et créateurs en compétition, venant de Tunisie et de divers pays arabes. Parallèlement, des ateliers de lecture et d’écriture seront organisés en collaboration avec le ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées, impliquant des enfants de différentes régions du pays.

Les lauréats du prix se partageront une enveloppe globale de 26 000 dinars. Le premier prix est doté de 12 000 dinars, le deuxième de 8 000 dinars et le troisième de 5 000 dinars. Trois prix d’encouragement, d’une valeur de 1 000 dinars chacun, seront également décernés à de jeunes talents prometteurs.

Le Forum arabe de littérature pour enfants, qui accompagne traditionnellement le Prix Mustapha Azouz, se penchera cette année sur le thème de l’humour, de la satire et du jeu dans la littérature enfantine. Une dizaine d’interventions sont prévues, animées par des experts tunisiens et arabes, afin d’explorer les enjeux de la création littéraire pour les jeunes publics.

Le  président de l’Association du Forum de littérature pour enfants, a salué le rôle clé de l’ATB dans la pérennisation de ce projet culturel. « Sans le soutien indéfectible de la banque, cette initiative n’aurait pas pu atteindre un tel niveau de reconnaissance », a-t-il affirmé. Il a également rappelé les origines du prix, initié par feue Souad Abbès avant d’être repris et développé par l’ATB à partir de 2012.

Le Prix Mustapha Azouz de littérature arabe pour l’enfant a été créé au début des années 2000 pour encourager la production d’œuvres de qualité destinées aux jeunes lecteurs. Au fil des éditions, il est devenu une référence dans le monde arabe, couronnant des ouvrages dans des catégories variées, telles que la poésie, le théâtre et le conte. Son association avec un forum de réflexion permet, chaque année, d’approfondir les débats sur les défis et les perspectives de la littérature enfantine.

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Banque mondiale : 125 millions de dollars pour renforcer la résilience sanitaire en Tunisie

La Tunisie obtient un financement de 125 millions de dollars de la Banque mondiale pour renforcer son système de santé.

Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale a approuvé, mercredi 28 mai 2025, un financement de 125,16 millions de dollars en faveur de la Tunisie. Ce montant comprend une subvention de 17,16 millions de dollars accordée par le Fonds de prévention des pandémies.

En effet, ce financement s’inscrit dans le cadre d’un projet visant à améliorer l’accès à des services de santé résilients. Le projet vise également à renforcer la préparation du pays face aux pandémies.

Les fonds en question serviront également à :
• Améliorer la gestion des urgences sanitaires;
• Moderniser les soins de santé primaires;
• Promouvoir la gouvernance et la numérisation du système de santé publique.

Au final, la Banque mondiale précise que cette initiative contribuera à rendre le système de santé tunisien plus réactif.

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Ridha Grira renvoyé en justice pour corruption foncière

Selon Mosaïque FM, la Chambre d’accusation spécialisée dans les affaires de corruption financière à la Cour d’appel de Tunis a décidé, mardi, de renvoyer l’ancien ministre Ridha Grira, ainsi qu’un deuxième accusé, devant la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière au Tribunal de première instance de Tunis.

La Chambre a également ordonné l’arrêt des poursuites à l’encontre de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali, en raison de son décès. Cette affaire concerne des soupçons de corruption financière et administrative dans la cession d’un terrain agricole dépendant du domaine de l’État, impliquant une intervention présumée de Ben Ali à l’époque.

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Pré-congrès du Massar : le parti tente de se positionner comme alternative progressiste

Le Parti du Courant Démocratique Social (Massar) dénonce les violations des droits et la détérioration socio-économique en Tunisie

Les 24 et 25 mai 2025, le Conseil central élargi du Parti du Courant Démocratique Social (Massar), présidé par son secrétaire général Fathi El-Chaâbi, s’est réuni à Tunis pour évaluer l’activité du parti et discuter de la situation politique, économique et sociale du pays. Les débats ont également porté sur les préparatifs du quatrième congrès national du parti.

 Le parti a vivement dénoncé « l’escalade des violations des libertés, les arrestations arbitraires et les procès politiques visant notamment des militants sociaux et écologistes à Gabès ». Il a réitéré son appel à la libération des « prisonniers d’opinion » et à l’abrogation du décret-loi 54, accusé d’être instrumentalisé pour réprimer les opposants. Le Conseil a exprimé son soutien à la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH), cible d’une « campagne de diffamation par les partisans du pouvoir », et salué son initiative pour un congrès national sur les libertés. 

Le parti a alerté sur la « dégradation alarmante des conditions de vie », marquée par une inflation incontrôlée, l’effondrement des services publics et l’absence de dialogue social. Il a critiqué la gestion « erratique » de l’économie par les autorités, qualifiant leurs promesses de « slogans creux ».

Le Massar a réaffirmé son soutien à l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), exhortant à l’unité de ses rangs face aux « tentatives de marginalisation ». Un dialogue économique inclusif, s’appuyant sur les données récentes, a été réclamé pour sauver le pays de l’asphyxie financière.

Le Conseil s’est dit préoccupé par la recrudescence des violences en Libye voisine, appelant les autorités tunisiennes à sécuriser les frontières contre toute infiltration terroriste. Par ailleurs, le parti a condamné avec fermeté les crimes de guerre israéliens à Gaza, rendant hommage à la résistance palestinienne et appelant à intensifier les mobilisations de solidarité.

En vue de son quatrième congrès, le Massar organisera une assemblée générale préparatoire et adoptera un règlement interne. Le parti entend renforcer son rôle comme « force progressiste » face à la crise multidimensionnelle que traverse la Tunisie.

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Handball : Un duo du Club Africain rejoint Al Ahli Tripoli

Le club libyen d’Al Ahli Tripoli a annoncé l’arrivée, sous forme de prêt, du duo du Club Africain de handball, Oussama Rmiki et Taha Smmoui. Les deux joueurs participeront à la phase finale du championnat libyen. Cette phase de couronnement débutera aujourd’hui mercredi 28 mai.

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