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L’inflation annuelle en Russie à 10,23% en avril

Dans le segment non alimentaire, les prix ont baissé dans un contexte de baisse accélérée des prix des produits électriques et autres appareils électroménagers, des voitures et des chaussures.

L’inflation annuelle en Russie en avril 2025 a été enregistrée à 10,23%, a déclaré, vendredi 16 mai, le ministère du Développement économique de la Fédération de Russie dans un rapport sur la situation actuelle des prix.

En avril 2025, l’inflation sur le marché de la consommation a continué de ralentir et s’est élevée à 0,40%. Dans le secteur alimentaire, le taux de croissance des prix a diminué à 0,71%…

Selon le ministère, dans le secteur non alimentaire, les prix ont baissé (-0,07%) dans un contexte de baisse accélérée des prix des produits électriques et autres appareils électroménagers, des voitures et des chaussures. Dans le secteur des services, la croissance des prix a ralenti à 0,53%.

En mars, le taux d’inflation annuel était de 10,34%, en février de 10,06%.

Le ministère du Développement économique prévoit que l’inflation en Russie se stabilisera à 4,5% en 2025, et à 4% en 2026-2027.

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Vers la création d’un méga-centre d’intelligence artificielle italo-émirati

La société de développement d’IA basée aux Émirats arabes unis « G42 » sera le principal financeur de la première phase du projet.

Le ministre italien de l’Industrie, Adolfo Urso, a déclaré, vendredi 16 mai 2025, que son pays et les Émirats arabes unis s’étaient convenus de développer un centre d’intelligence artificielle en Italie.

Cité dans un communiqué, il a précisé que le groupe G42 d’Abou Dhabi s’est associé à la société italienne iGenius pour construire « la plus grande infrastructure informatique d’IA en Europe ». Et G42 sera le principal financeur de la première phase du projet, a-t-il ajouté.

Lors d’un événement à Milan, Urso a expliqué que l’objectif de l’accord est de construire un supercalculateur, autrement dit un ordinateur géant capable de traiter des quantités massives de données et de stocker une énorme quantité d’informations et de programmes.

Il a déclaré qu’il y avait de « fortes opportunités » pour développer le centre dans la région des Pouilles, dans le sud-est de l’Italie.

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Dégradation de la note de crédit des États-Unis: Moody’s déclenche la colère de la Maison-Blanche

La présidence américaine a réagi, samedi 17 mai 2025, avec colère et agressivité à la nouvelle dégradation de la note de crédit du gouvernement américain par l’agence internationale de notation Moody’s vendredi.

Le directeur de la communication de la Maison-Blanche, Stephen Chang, s’en est pris sur Twitter à l’économiste Mark Zandi, « conseiller de (l’ancien président démocrate Barack) Obama » et « donateur de la candidate démocrate malheureuse à la présidentielle de 2016, Hillary Clinton », qu’il a décrit comme un adversaire juré du président Donald Trump.

« Personne ne prend son analyse au sérieux. Il a été maintes fois démenti », a ajouté M. Chang.

Cependant, le fait que cette agence de notation – la dernière des trois soi-disant « grandes » qui la maintenaient encore au niveau dit triple A – ait privé le public américain de sa meilleure note est considéré comme un coup dur pour l’administration Trump.

Pour la première fois, Moody’s a abaissé la note de crédit du gouvernement américain de AAA à Aa1 avec perspective stable, une décision justifiée par les déficits élevés, la lourde dette de Washington et le coût de son service.

Fitch avait abaissé la note de crédit des États-Unis en 2023 à AA+, invoquant des crises politiques répétées concernant la limite d’emprunt.

Standard and Poor’s a été la première à la dégrader, en 2011, à AA+, où elle la maintient toujours.

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Ukraine-Russie : accord sur l’échange de prisonniers, pas de cessez-le-feu à Istanbul

Les discussions entre la Russie et l’Ukraine, qui se sont achevées à Istanbul vendredi 16 mai dans l’après-midi, n’ont pas abouti sur un cessez-le-feu, mais ont permis quelques avancées malgré des tensions persistantes.

Un accord partiel sur les prisonniers de guerre

Malgré ces divergences, un accord concret a été trouvé : l’échange de 1 000 prisonniers de guerre de chaque côté, soit 2 000 personnes au total, a été annoncé par le ministre ukrainien de la Défense, Rustem Umerov. Ce dernier a également évoqué la possibilité d’une rencontre entre les présidents Zelensky et Poutine, ainsi qu’un futur cycle de négociations.

Vers un cessez-le-feu ?

Les deux parties ont discuté des contours d’un futur cessez-le-feu. Umerov a indiqué que ce point faisait partie des objectifs principaux de l’Ukraine lors des pourparlers, bien qu’aucun détail concret n’ait encore été communiqué. Les équipes poursuivront les discussions techniques à ce sujet.

Des exigences russes jugées excessives

Heorhii Tykhyi, porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères, a confirmé que la Russie avait formulé de nouvelles exigences, plus strictes que celles émises lors des précédentes discussions. Certaines d’entre elles sont jugées « inacceptables » par Kiev. Malgré cela, les responsables ukrainiens ont adopté une posture calme durant les échanges.

Une satisfaction russe modérée

Le chef de la délégation russe, Vladimir Medinsky, a déclaré être « satisfait » des discussions et a assuré que Moscou était prêt à poursuivre les négociations. Il a confirmé l’accord sur l’échange de prisonniers et pris note de la demande ukrainienne d’un sommet entre les deux chefs d’État.

Un rôle accru pour la diplomatie turque

Le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, a salué la réunion comme « un jour important pour la paix mondiale ». Il a souligné l’importance de l’échange de prisonniers comme « mesure de confiance » et a annoncé que les deux camps s’étaient engagés à transmettre par écrit leurs conditions pour un cessez-le-feu.

Position commune des leaders occidentaux

Depuis Tirana, en Albanie, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réaffirmé la volonté de son pays de progresser rapidement vers la paix. Il a insisté sur la nécessité d’un cessez-le-feu total et inconditionnel, faute de quoi des sanctions renforcées contre la Russie devraient suivre.

Le Premier ministre britannique Keir Starmer, qui a participé au sommet de la Communauté politique européenne, aux côtés de Macron, Merz, Tusk et Zelensky, a dénoncé la position russe, jugée inacceptable. Une conversation à ce sujet a eu lieu avec le président américain Donald Trump. Macron a rappelé qu’il était « inacceptable » que la Russie ignore pour la seconde fois les appels conjoints des Européens et des Américains à un cessez-le-feu.

Ursula von der Leyen et Antonio Costa ont réaffirmé leur soutien total à l’Ukraine. La présidente de la Commission européenne a promis d’accroître la pression sur Moscou, notamment via de nouvelles sanctions, pour forcer Vladimir Poutine à revenir à la table des négociations.

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Tsahal lance l’opération « Chars de Gideon » sur Gaza

L’armée israélienne a annoncé, vendredi 16 mai, le début des premières étapes d’une nouvelle offensive de grande envergure sur Gaza, baptisée opération « Chars de Gideon », un développement qui intervient le jour même où le président américain Donald Trump a achevé sa visite dans la région.

« Au cours de la dernière journée, nos forces ont lancé des attaques intensives et mobilisé leurs forces pour prendre le contrôle de zones stratégiques dans la bande de Gaza, dans le cadre des premières étapes de l’opération Véhicules blindés de Gideon et de l’extension de la campagne à Gaza, pour atteindre tous les objectifs de la guerre à Gaza, y compris la libération des otages et la défaite du Hamas », indique Tsahal dans un communiqué.

Cette évolution intervient après que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a récemment annoncé que les habitants de Gaza seraient déplacés vers le sud à la suite de l’approbation par le cabinet de sécurité d’une opération militaire élargie qu’un ministre a décrite comme un plan visant à « conquérir » la bande de Gaza.

Jeudi 15 mai, l’armée israélienne a intensifié ses opérations à travers Gaza, tuant plus de 100 personnes, et promettant de poursuivre les bombardements, alors même que Trump proposait de créer une « zone de liberté » dans la bande de Gaza.

Selon la Défense civile de Gaza, de nombreuses victimes sont tombées à Jabalia, dans le nord de Gaza, et à Khan Younis, dans le sud.

Désaccords avec les États-Unis

La nouvelle attaque de Tsahal survient dans un contexte de désaccords croissants entre les gouvernements américain et israélien. Trump a dernièrement déclaré qu’il souhaitait mettre fin à la « guerre brutale » à Gaza. À noter au passage qu’il n’a pas visité Israël lors de sa tournée au Moyen-Orient.

Il a également contourné Israël à deux reprises ce mois-ci en concluant des accords bilatéraux avec le Hamas, qui a libéré un otage américano-israélien, et avec le groupe Houthi au Yémen, qui a accepté un cessez-le-feu sur les navires américains en mer Rouge tout en s’engageant à continuer de combattre Israël.

« J’ai de très bonnes idées pour Gaza. Je pense que c’est une zone de liberté. Laissons les États-Unis intervenir et en faire simplement une zone de liberté », a-t-il indiqué lors de l’étape de Qatar.

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Géopolitique de l’énergie : les USA relâchent la pression sur la Russie

Le gouvernement américain a autorisé, jeudi 15 mai 2025, les entreprises américaines et internationales à reprendre leurs activités pétrolières dans le cadre d’un important projet lié à la Russie visant à approvisionner le marché mondial en pétrole de la mer Caspienne. La licence, qui lève les restrictions pesant sur le Consortium du pipeline de la mer Caspienne (CPC) et la société kazakhe Tengizchevroil (TCO), a été délivrée par le département du Trésor.

Le CPC compte parmi ses actionnaires de grandes compagnies pétrolières américaines telles que Chevron et ExxonMobil et facilite principalement l’exportation du pétrole kazakh à travers la Russie et son expédition à l’international.

La nouvelle licence générale n° 124 autorise toutes les transactions qui ont été bloquées en vertu d’une décision du 10 janvier interdisant certains services pétroliers impliquant des infrastructures énergétiques liées à la Russie.

La CPC exploite un important oléoduc qui transporte le pétrole de l’ouest du Kazakhstan jusqu’à la côte russe de la mer Noire, d’où il est expédié dans le monde entier par pétrolier. Cet oléoduc de 1 511 kilomètres est l’une des principales voies d’exportation du pétrole kazakh, acheminant plus de 80 % des exportations de brut du pays.

Le pipeline est détenu conjointement par plusieurs entreprises et gouvernements. La Russie détient une participation de 24 % par l’intermédiaire de l’opérateur public Transneft. Parmi les autres actionnaires majeurs figurent Chevron, ExxonMobil, le russe Lukoil et la compagnie pétrolière nationale kazakhe KazMunayGas. Plusieurs petites entreprises internationales détiennent également des parts.

La licence générale n° 121, délivrée en janvier, autorisait déjà temporairement certains services pour CPC et TCO. Cette licence reste valable jusqu’au 28 juin 2025, mais la nouvelle licence semble clarifier et réaffirmer que les entreprises peuvent poursuivre leur participation à ces projets sans pénalité jusqu’à cette date.

Selon le Trésor américain, la licence couvre des activités telles que le forage, le raffinage, le transport et la commercialisation du pétrole, à condition qu’elles soient liées à CPC ou à Tengizchevroil.

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Trump demande à Apple de ne pas construire en Inde

Le président américain a conseillé à Tim Cook d’éviter d’étendre les opérations de fabrication de l’Apple en Inde.

Le président américain Donald Trump a conseillé, le 15 mai, au PDG d’Apple, Tim Cook, d’éviter d’étendre les opérations de fabrication de l’entreprise en Inde, selon plusieurs sources.

« J’ai eu un petit problème avec Tim Cook hier », aurait déclaré Trump à Doha jeudi, selon CNBC« Je lui ai dit : « Mon ami, je t’ai très bien traité. Tu arrives ici avec 500 milliards de dollars, mais j’entends maintenant que tu construis partout en Inde ». Je ne veux pas que tu construises en Inde ».

Trump a affirmé qu’à la suite de sa conversation avec Cook, Apple augmenterait sa production aux États-Unis, toujours selon la même source.

Apple a étendu ses opérations en Inde, où elle renforce sa production locale

De son côté, Reuters a rapporté en avril qu’Apple prévoyait de fabriquer la majorité des iPhones vendus aux États-Unis en Inde d’ici la fin de 2026. Les médias locaux ont dernièrement rapporté qu’Apple avait déclaré au ministère indien des Communications qu’il prévoyait de déplacer l’assemblage de tous les iPhones vers le pays depuis la Chine.

Les observateurs du secteur estiment que la dernière directive de Trump à Apple de cesser la production en Inde simplifie à outrance les complexités des chaînes d’approvisionnement mondiales et risque d’avoir des conséquences économiques imprévues.

Par ailleurs, implanter la production d’iPhone aux États-Unis, où Apple ne dispose pas d’installations existantes, nécessiterait beaucoup de temps et d’investissements, a déclaré à RT Sonam Chandwani, associé directeur de KS Legal & Associates.

Mardi, l’Inde a contacté l’Organisation mondiale du commerce (OMC) avec une proposition visant à imposer des droits de rétorsion contre les États-Unis en raison des tarifs américains sur l’acier et l’aluminium.

Toutefois, New Delhi met actuellement la dernière main à un accord commercial bilatéral avec Washington. Le vice-président américain J.D. Vance a annoncé le mois dernier, alors en visite en Inde, que les deux pays s’étaient mis d’accord sur les termes de négociations commerciales bilatérales. Tout en qualifiant cela de feuille de route vers un accord final.

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L’UE et les États-Unis vont intensifier les négociations en vue d’un accord

L’Europe est prête à conclure un accord avec les États-Unis de Trump pour éviter une guerre commerciale plus large. Mais elle semble aussi prête à réagir en cas d’échec.

L’UE et les États-Unis ont convenu d’intensifier les discussions sur un éventuel accord commercial. C’est ce qu’a indiqué, jeudi 15 mai 2025, le commissaire européen au Commerce, Maroš Šefčovič.

« J’ai eu une autre conversation constructive avec le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick. Nous avons convenu d’intensifier notre collaboration au niveau technique. Et je suis en contact régulier avec lui. Je pense que nous nous rencontrerons très prochainement, probablement ici à Bruxelles ou lors des réunions de l’OCDE », a-t-il souligné.

Le ministre allemand des Finances, Lars Klingbeil, a déclaré le même jour que l’UE devait s’unir contre les tarifs douaniers américains. De même qu’elle était prête à agir si les négociations avec Washington ne conduisaient pas à une solution. « Nous devons répondre aux tarifs américains avec unité et détermination », a-t-il dit devant les parlementaires allemands. Avant de préciser : « Nous espérons que les négociations […] aboutiront à un bon résultat. Mais je voudrais également préciser très clairement que nous sommes prêts à agir si cela n’aboutit pas. »

Un rapport de Politico publié mercredi 14 mai indique que Washington a envoyé une lettre à la Commission européenne. Ce qui constitue une première indication de sa volonté d’engager des négociations avec les 27 pour trouver une solution à leur guerre commerciale.

Selon le même média, il s’agit du premier signe positif et substantiel d’engagement de la part de l’administration Trump. Et ce, depuis que les deux parties ont fait une « pause » dans l’imposition de leurs tarifs douaniers et de leurs mesures de rétorsion.

Au final, la lettre est une réponse à une liste de concessions possibles que l’Union européenne s’est déclarée en privé prête à offrir, indiquent des sources diplomatiques.

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Chine : plus de 70 % des sociétés cotées ont été rentables au premier trimestre

Malgré l’instabilité économique mondiale, les sociétés chinoises cotées en Bourse ont enregistré des rendements solides au premier trimestre 2025. Ils sont portés par la dynamique des dépenses de consommation; mais aussi par des progrès constants en matière d’innovation technologique.

Parmi les 5 400 sociétés cotées e Chine qui ont publié leurs résultats financiers au premier trimestre de l’année, plus de 70 % étaient rentables. C’est ce que confirment les données de la société d’information financière Wind publiées jeudi 15 mai.

Le bénéfice net total, distribué aux actionnaires de toutes les sociétés cotées, a été enregistré à 1,49 trillion de yuans (environ 190 milliards d’euros), avec une augmentation annuelle de 3,64 %.

Par ailleurs, les analystes financiers estiment que les rapports sur la performance financière des sociétés cotées au premier trimestre de l’année reflètent une augmentation des tendances de consommation émergentes, ainsi que de l’innovation technologique. Tout en soulignant l’évolution de l’économie chinoise vers un développement économique de haute qualité.

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Les Émirats vont investir 1 400 milliards de dollars aux États-Unis sur une décennie

Les Émirats arabes unis ont confirmé jeudi 15 mai qu’ils investiraient 1,4 billion de dollars aux États-Unis sur une décennie.

Le président des Émirats arabes unis, Cheikh Mohammed ben Zayed, a déclaré, jeudi 15 mai, à son homologue américain, Donald Trump, que son pays avait l’intention d’investir 1,4 billion de dollars (c’est-à-dire 1 400 milliards de dollars) « dans les dix prochaines années », principalement dans les secteurs de l’énergie, des technologies avancées et de l’intelligence artificielle.

A rappeler cependant que cette promesse a été faite en mars dernier. Ben Zayed a précisé que son pays souhaitait « élargir » son amitié avec Washington pour le bénéfice des deux pays.

Il a également indiqué que les Émirats cherchent à continuer de travailler avec les États-Unis pour la paix et la stabilité dans la région.

Par ailleurs, les Émirats arabes unis et les États-Unis sont sur le point de signer un accord-cadre qui donnera à Abou Dhabi un accès élargi aux semi-conducteurs d’intelligence artificielle avancés en provenance des États-Unis.

A noter que Trump s’est rendu jeudi à Abou Dhabi, dernière étape de sa tournée dans les pays du Golfe.

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L’Égypte dans le Top 15 des destinations de voyage pour l’été 2025

Alors que les voyageurs du monde entier se tournent vers l’est, de nouvelles données du Mastercard Institute for Economics, publiées le 14 mai 2025, révèlent des évolutions surprenantes dans le paysage mondial du voyage pour l’été 2025. Les villes asiatiques dominent la liste des destinations à la croissance la plus rapide. Tandis que l’Égypte bénéficie d’une présence notable avec deux villes côtières parmi les 15 premières destinations estivales émergentes.

La capitale japonaise, Tokyo, arrive en tête de la liste des destinations à la croissance la plus rapide en termes de réservations de vols pour l’été 2025, suivie d’Osaka, confirmant ainsi l’attrait croissant du Japon pour les touristes du monde entier. Les experts attribuent cette demande à la baisse de la valeur du yen japonais, qui a fait du Japon une destination « bon marché », notamment pour les voyageurs en provenance de Chine, d’Europe et des États-Unis.

Parmi les 15 destinations estivales émergentes, huit sont asiatiques, dont Shanghai, Pékin, Séoul et Singapour, ainsi que Nha Trang au Vietnam et Fukuoka au Japon. Paris, classée troisième, a connu une baisse relative de la demande en raison de l’accueil des Jeux olympiques d’été de 2024. Ce qui a incité certains voyageurs à éviter les foules et les prix élevés.

Égypte… la surprise de la liste

À la surprise générale des amateurs de tourisme égyptien, Hurghada et Charm el-Cheikh sont entrées dans la liste des destinations à la croissance la plus rapide au monde, se classant respectivement 14e et 15e. Cette présence avancée reflète un fort retour du tourisme balnéaire en Égypte, porté par des infrastructures améliorées, des activités marines diversifiées et des prix compétitifs par rapport aux destinations méditerranéennes.

Les observateurs estiment que l’inclusion d’Hurghada et de Charm el-Cheikh dans cette liste reflète un changement d’humeur des touristes internationaux, qui recherchent désormais des expériences authentiques, des plages immaculées et des services de haute qualité à des prix raisonnables. La proximité géographique de l’Égypte avec l’Europe et son accessibilité facile en font un choix idéal pour les vacances d’été.

Le rapport montre que les fluctuations des taux de change jouent un rôle important dans la détermination des destinations de voyage, en particulier pour les voyageurs en provenance d’Asie. Au Japon, une baisse de 1 % du yen a entraîné une augmentation de 1,5 % du nombre de visiteurs en provenance de Chine, tandis que les voyages en provenance du Royaume-Uni n’ont pas été affectés dans la même mesure malgré des changements monétaires similaires.

Top 15 des destinations de voyage mondiales :

  1. Tokyo, Japon
  2. Osaka, Japon
  3. Paris, France
  4. Shanghai, Chine
  5. Palma de Majorque, Espagne
  6. Séoul, Corée du Sud
  7. Pékin, Chine
  8. Madrid, Espagne
  9. Rio de Janeiro, Brésil
  10. Singapour, Singapour
  11. Nha Trang, Vietnam
  12. Reykjavik, Islande
  13. Fukuoka, Japon
  14. Hurghada, Égypte
  15. Charm el-Cheikh, Égypte.

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Petite baisse de l’or de 0,8 % à 3 153 dollars

Les prix de l’or sont tombés, jeudi 15 mai 2025, à leur plus bas niveau depuis plus d’un mois. Alors que les investisseurs attendaient les données de l’indice des prix à la production américain pour obtenir de nouveaux indices sur la direction de l’économie.

L’or au comptant a chuté ce matin de jeudi 15 mai de 0,8 % à 3 153,09 dollars l’once. Et ce, après avoir atteint son plus bas niveau depuis le 10 avril plus tôt dans la séance. Les contrats à terme sur l’or américain ont chuté de 1 % à 3 156,90 dollars, a rapporté Reuters.

A rappeler que les États-Unis et la Chine ont convenu de réduire considérablement leurs tarifs douaniers mutuels et une suspension de 90 jours. Apaisant ainsi la guerre commerciale entre les deux plus grandes économies du monde. Toutefois, les marchés mondiaux restent prudents quant à ce qui pourrait se passer après les 90 jours.

Les marchés attendent désormais les données de l’indice des prix à la production américain, dont la publication est prévue dans la journée. Alors que les investisseurs recherchent de nouveaux indices sur la voie à suivre par la Réserve fédérale après des données de consommation plus faibles que prévu. On s’attend à ce que les taux d’intérêt soient réduits de 50 points de base cette année, à partir d’octobre.

Par ailleurs, l’or est souvent considéré comme une couverture en période d’incertitude économique et politique. Il augmente dans un environnement de taux d’intérêt bas.

Quant aux autres métaux précieux : l’argent au comptant a chuté de 0,7 % à 31,98 $ l’once; le platine a augmenté de 0,5 % à 980,35 $; et le palladium a augmenté de 0,1 % à 951,90 $.

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La hausse des stocks de brut aux États-Unis fait chuter le pétrole

Les prix du pétrole ont baissé mercredi 14 mai après que des données gouvernementales ont montré que les stocks de pétrole brut aux États-Unis ont augmenté de manière inattendue la semaine dernière, suscitant des inquiétudes des investisseurs quant à une offre excédentaire.

Les contrats à terme sur le brut Brent ont clôturé en baisse de 54 cents. Soit environ 0,81 %, à 66,09 dollars le baril. Le brut américain West Texas Intermediate a glissé de 52 cents, soit 0,82 %, à 63,15 dollars.

Les deux indices de référence se sont négociés près de leur plus haut niveau en deux semaines lors de la séance précédente, portés par une réduction temporaire des tarifs douaniers entre les États-Unis et la Chine.

Les indices de référence ont chuté après que les données de l’Energy Information Administration ont montré que les stocks de brut ont augmenté de 3,5 millions de barils pour atteindre 441,8 millions de barils la semaine dernière.

Importations nettes de pétrole brut des États-Unis

La production a augmenté la semaine dernière de 422 000 barils par jour, a indiqué l’EIA. Les données de l’industrie API ont également montré une importante accumulation de 4,3 millions de barils de stocks de brut la semaine dernière, ont indiqué mardi des sources du marché.

L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et les producteurs alliés, connue sous le nom d’OPEP+, ont augmenté l’offre sur le marché.

L’OPEP a toutefois revu à la baisse, mercredi 14 mai, ses prévisions de croissance de l’offre de pétrole des États-Unis et d’autres producteurs extérieurs au groupe OPEP+ cette année. « Ils ne modifient pas leur profil de demande, mais ajoutent des barils ». C’est ce qu’a déclaré Bob Yawger, directeur des contrats à terme énergétiques chez Mizuho. Tout en ajoutant qu’ « à un moment donné, l’offre va tout simplement submerger la demande et faire chuter le marché. »

Un rebond du dollar américain

Le raffermissement du dollar a également pesé sur les prix mercredi. Le pétrole libellé en dollars est devenu plus cher pour les investisseurs détenant d’autres devises. Ce qui a pesé sur la demande.

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USA – Syrie: Trump rencontre al-Charaa et lui demande de reconnaître Israël

Le président américain Donald Trump a rencontré, mercredi 14 mai 2025, en Arabie saoudite le président syrien, Ahmed Al-Charaa. Il l’a exhorté à normaliser ses relations avec Israël, un ennemi de longue date. A noter au passage que les États-Unis ont annoncé la levée de toutes les sanctions contre la Syrie. 

Après la déclaration de Trump de lever les sanctions contre la Syrie, qui cherche à se reconstruire après plus d’une décennie de guerre civile, il a rencontré, mercredi, le président par intérim, Ahmed al-Charaa. Celui-ci ayant accédé au pouvoir à la tête d’un groupe que Washington a qualifié d’organisation terroriste et qui a jadis prêté allégeance à Al-Qaïda.

Trump a affirmé aux journalistes qu’al-Charaa avait déclaré qu’il serait prêt à rejoindre à terme les Accords d’Abraham – un accord négocié par les États-Unis en 2020 qui a vu les Émirats arabes unis, Bahreïn et le Maroc normaliser leurs relations avec Israël.

« Je lui ai dit : « J’espère que tu nous rejoindras quand la situation sera réglée ». Il a répondu : « Oui ». Mais ils ont beaucoup de travail à faire », indique un document de la Maison Blanche.

Des photos publiées à la télévision d’État saoudienne montrent les deux hommes se serrant la main en présence du prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane.

Inquiétudes israéliennes

Le voyage de Trump au Moyen-Orient- qui n’inclut pas de visite à Jérusalem- a alimenté les doutes en Israël sur la position du pays dans les priorités de Washington.

La Syrie est l’un des plus grands ennemis d’Israël, et les responsables israéliens continuent de décrire al-Charaa comme un djihadiste, bien qu’il ait rompu ses liens avec Al-Qaïda en 2016. Il avait rejoint le groupe pour la première fois en Irak, où il avait passé cinq ans dans une prison américaine. Les États-Unis avaient levé une prime de 10 millions de dollars sur sa tête en décembre dernier.

Israël s’oppose à la levée des sanctions contre la Syrie, qui ouvrirait la voie à un engagement accru des organisations humanitaires et stimulerait les investissements étrangers. D’ailleurs, Israël a intensifié ses frappes militaires en Syrie depuis l’arrivée au pouvoir d’al-Charaa, après le renversement de l’ancien président Bachar el-Assad en décembre.

L’administration Trump mène également des négociations nucléaires avec son autre ennemi, l’Iran.

Trump a déclaré aux journalistes que le fait qu’il entretienne des relations avec des pays du Moyen-Orient est « très bon pour Israël ».

Les États-Unis espèrent que l’Arabie saoudite, poids lourd régional, rejoindra également les Accords d’Abraham. Mais les discussions ont été interrompues après le déclenchement de la guerre à Gaza et le royaume insiste sur le fait qu’il ne peut y avoir de normalisation sans un État palestinien.

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Pourparlers de paix Moscou-Kiev : Trump et Poutine ne seront pas à Istanbul

Le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine ont indiqué qu’ils ne participeraient pas aux premiers pourparlers de paix directs entre Moscou et Kiev depuis trois ans. Le Kremlin a envoyé à la place un groupe de technocrates expérimentés.

Dimanche 11 mai 2025, Poutine a proposé des négociations directes avec l’Ukraine jeudi 15 courant à Istanbul en Turquie, « sans aucune condition préalable ». Dans la soirée de mercredi, le Kremlin a annoncé que la délégation comprendrait le conseiller présidentiel, Vladimir Medinsky, et le vice-ministre de la Défense, Alexandre Fomine. Donc sans Poutine.

Pour sa part, la délégation américaine en Turquie comprenait le secrétaire d’État Marco Rubio et les envoyés de haut rang Steve Witkoff et Keith Kellogg.

Après l’annonce de la délégation du Kremlin, un responsable américain a déclaré que Trump, qui effectue actuellement une tournée dans trois pays du Moyen-Orient, ne participerait pas à la réunion. Le dirigeant américain a toutefois fait savoir que s’il y a de progrès tangibles, il pourrait se rendre à Istanbul, vendredi 16 mai.

Mais l’absence des présidents russe et américain réduit les attentes d’une avancée majeure dans la guerre que la Russie a déclenchée en février 2022.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait mis au défi Poutine de participer aux négociations « s’il n’a pas peur »…

Alors que le dirigeant de Kiev était en route pour la Turquie mercredi soir, a déclaré un responsable ukrainien, il avait déclaré qu’il ne participerait aux discussions que si Poutine y assistait.

Trump souhaite que les deux parties signent un cessez-le-feu de 30 jours pour mettre un terme à la plus grande guerre terrestre en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Parallèlement, un législateur russe a déclaré qu’il pourrait également y avoir des discussions sur un vaste échange de prisonniers de guerre.

Plus de sanctions contre la Russie?

Trump, qui est de plus en plus frustré par la Russie et l’Ukraine alors qu’il tente de les pousser vers un accord de paix, a souligné qu’il « envisageait toujours » des sanctions secondaires contre Moscou s’il pensait qu’elle bloquait le processus.

Les responsables américains ont évoqué d’éventuelles sanctions financières ainsi que d’éventuelles sanctions secondaires contre les acheteurs de pétrole russe…

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Les startups allemandes attirent les talents étrangers

Le secteur des startups allemandes cherche à capitaliser sur les turbulences aux États-Unis sous Donald Trump en attirant davantage de talents étrangers.

Selon une étude menée par l’Association allemande des startups et la Fondation Friedrich-Naumann publiée le 13 mai, les fondateurs de startups étrangers pourraient jouer un rôle important dans le secteur en Allemagne. « Ils stimulent l’innovation, construisent des entreprises tournées vers l’international et posent les bases du succès économique », indique l’étude, citée par l’agence de presse allemande dpa.

Selon l’étude, 14% des fondateurs de startups allemandes sont nés à l’étranger et 23% des fondateurs d’entreprises de plusieurs milliards de dollars sont nés à l’étranger. Les principaux pays d’origine sont l’Ukraine, la Pologne, la Russie, les pays d’Europe occidentale et l’Inde.

En revanche, les étrangers représentent 44% des fondateurs de startups milliardaires aux États-Unis, et l’Association allemande des startups voit les turbulences sous Trump comme une opportunité pour le secteur en Allemagne.

« Les changements géopolitiques actuels pourraient être l’occasion de nous positionner de manière attractive dans la compétition mondiale. Le contexte politique actuel aux États-Unis pourrait entraîner un changement dont l’Allemagne et l’Union européenne devraient tirer profit », indique l’étude.

Les fondateurs issus de l’immigration sont souvent hautement qualifiés, environ 90% d’entre eux étant titulaires de diplômes universitaires, dont la moitié (56%) dans des disciplines recherchées telles que les mathématiques, l’informatique, les sciences naturelles et la technologie, souligne l’étude.

Défis linguistiques et fiscaux

L’étude a basé ses données sur l’indice allemand des startups 2024, qui comprenait 1 828 participants, dont 255 fondateurs issus de l’immigration. 80% des participants évaluent positivement la qualité de vie, la sécurité et la stabilité en Allemagne. Mais seulement 17% des fondateurs issus de l’immigration considèrent que les conditions d’immigration sont bonnes, 34% trouvent que les exigences linguistiques sont bonnes et 55% évaluent positivement l’ouverture sociale.

En revanche, les conditions aux États-Unis ont été jugées plus attractives par deux tiers des répondants (67%), notamment au vu de la forte pression fiscale et des exigences en matière de compétences linguistiques en Allemagne.

L’Allemagne, en tant que lieu d’implantation des startups, pourrait devenir plus attractive à l’international grâce à des événements organisés en anglais, tels que des événements de réseautage, de conseil et de financement. « Nous avons besoin de toute urgence de meilleures conditions-cadres, de procédures de visa plus rapides, d’offres multilingues et d’un état d’esprit international », a déclaré Magdalena Oehl, vice-présidente du conseil d’administration de l’association.

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États-Unis : l’inflation chute de manière inattendue à 2,3% en avril

L’inflation américaine a affiché un rythme légèrement plus lent que prévu en avril, apaisant les craintes concernant les pressions sur les prix résultant des tarifs douaniers de Trump.

En particulier, l’indice des prix à la consommation aux États-Unis a légèrement ralenti en avril, passant de 2,4 à 2,3% sur un an, alors que l’estimation moyenne des analystes s’attendait à ce qu’il reste inchangé.

Dans la comparaison mars-avril, l’indice a légèrement augmenté de 0,2% par rapport à l’estimation moyenne d’une hausse de 0,3%, après la baisse mensuelle précédente de 0,1%.

La tendance était similaire au niveau structurel, la mesure plus étroite qui n’inclut pas les prix volatils de l’énergie et des aliments frais augmentant légèrement plus lentement que prévu sur une base mensuelle.

Plus précisément, dans la comparaison mars-avril, l’inflation sous-jacente a augmenté de 0,2% par rapport aux prévisions de 0,3%, après la hausse mensuelle précédente de 0,1%.

En comparaison annuelle, le taux de l’indice structurel des prix à la consommation est resté à 2,8% comme prévu.

Dans les composantes individuelles de la mesure, les coûts du logement ont de nouveau été le principal moteur de la hausse de l’indice, puisque les +0,3% affichés devraient constituer la moitié de la hausse mensuelle plus large de l’inflation.

Les prix de l’énergie ont également ajouté quelques pressions inflationnistes, qui, après avoir chuté de 2,4% en mars, se sont redressés en avril avec une augmentation de 0,7%. En revanche, l’indice alimentaire a enregistré une légère baisse de 0,1%.

Cependant, comme le note Reuters, les données ne reflètent qu’une partie des tarifs douaniers de Trump, principalement ceux qu’il a imposés avant ledit « Jour de la Libération », comme il l’a appelé le 2 avril. Malgré cela, elles incluent la taxe de 20% sur les produits importés par les États-Unis en provenance de Chine, les tarifs liés au fentanyl et les +25% sur les véhicules importés.

Depuis lors, Trump a « gelé » la plupart des tarifs « réciproques » qu’il a imposés à chaque pays, mais une taxe horizontale de 10% sur tous les produits importés est maintenue, les économistes estimant que cet effet commencera à se refléter dans les indicateurs d’inflation à partir de mai.

Quoi qu’il en soit, les marchés accueillent avec optimisme les données de mesure d’avril, les contrats à terme sur indices de Wall Street tentant de passer en territoire positif après les pertes enregistrées plus tôt…

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L’UE a « verrouillé » le 17e paquet de sanctions contre la Russie

L’Union européenne a approuvé, mercredi 14 mai 2025, le 17e paquet de sanctions contre la Russie, comme l’a annoncé le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Il a souligné que l’UE travaillera sur de nouvelles mesures plus strictes contre Moscou, en coordination avec les États-Unis. 

Concrètement, l’accord préliminaire sur les nouvelles sanctions contre la Russie – le 17e paquet depuis le début de la guerre en Ukraine – a été « verrouillé » dans la matinée du mercredi 14 mai, lors d’une réunion des ambassadeurs de l’UE, et devrait être officiellement approuvé par les ministres des Affaires étrangères la semaine prochaine, selon Euronews.

La Hongrie, qui a pourtant critiqué les restrictions économiques imposées à la Russie, ne s’est pas opposée aux sanctions.

Selon les mêmes informations, la « flotte fantôme » russe est ciblée. Jusqu’à présent, l’UE a imposé des sanctions à 153 pétroliers, qui se sont vu refuser l’accès aux ports de l’UE, tandis qu’avec le nouveau paquet, environ 200 navires sont ajoutés à la liste, portant ainsi le nombre total à plus de 350.

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Libye : reprise des affrontements et évasion de prisonniers à Tripoli

La capitale libyenne, Tripoli, a connu une escalade significative des affrontements armés pour la deuxième nuit consécutive entre les forces affiliées au Gouvernement d’unité nationale (GUN) et les éléments de la Force de dissuasion pour la lutte contre la criminalité et le terrorisme, sur fond d’avertissements locaux et internationaux de graves répercussions sur les civils et la paix sociale.

Des sources sur le terrain ont rapporté mercredi matin que les forces de la ville de Zawiya (à l’ouest de Tripoli) ont ouvert le feu sur les forces du Gouvernement d’unité nationale pour tenter de soulager la pression sur les forces de dissuasion dans le centre-ville.

Au cours des dernières heures, des forces rivales ont échangé des positions au nord et au sud de la capitale. Les affrontements ont fait des morts, des blessés et des dommages aux biens publics et privés.

La prison d’Al-Jadida à Tripoli a également été le théâtre d’une évasion massive des prisonniers purgeant de lourdes peines.

Pendant ce temps, quatre municipalités de la capitale ont décidé de suspendre le travail et l’école en raison des affrontements. Les autorités ont également décidé de détourner tous les vols arrivant à l’aéroport international de Mitiga (à l’est de Tripoli) vers l’aéroport international de Misrata.

De son côté, le Croissant-Rouge libyen a déclaré l’état d’urgence à Tripoli et a élevé son niveau d’alerte au niveau maximum, affirmant qu’il s’engage à fournir un soutien humanitaire avec un esprit de responsabilité et une neutralité totale.

A noter que ces développements surviennent un jour après des affrontements sanglants au cours desquels le chef de l’Appareil de soutien et de stabilité, Abdelghani al-Kikli (Ghaniwa), a été tué.

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