Le tennisman tunisien Moez Echargui, actuellement 191e mondial, s’est qualifié pour la finale du Challenger d’Hersonissos en Grèce, après sa victoire nette vendredi 22 août 2025 face au Français Robin Bertrand (315e mondial) sur le score de 6-4, 6-1. En finale, prévue samedi, Echargui affrontera le Français Dan Added (286e mondial). Tout au long du […]
Nouvelle escalade commerciale entre les États-Unis et l’Union européenne. Dans un message publié vendredi sur le réseau social Truth Social, le président américain Donald Trump a menacé d’imposer à partir du 1er juin 2025 des droits de douane de 50 % sur l’ensemble des produits importés de l’Union européenne. À une condition près : que ces biens ne soient ni construits ni manufacturés aux États-Unis.
« Je recommande des droits de douane de 50 % sur l’Union européenne (…). Il n’y aura pas de droits si le produit est construit ou manufacturé aux Etats-Unis », a déclaré Trump. Il reproche aux Européens une trop grande fermeté dans les négociations commerciales, estimant que Bruxelles agit depuis toujours au détriment de Washington.
Selon le milliardaire républicain, l’Union européenne aurait été « créée dans le but premier de profiter des États-Unis sur le commerce ». Un discours qu’il martèle depuis sa première campagne présidentielle en 2016. Cette fois encore, Trump n’a pas mâché ses mots, fustigeant les « barrières commerciales puissantes », les « taxes TVA », les « procès injustifiés contre les entreprises américaines » ou encore les « manipulations monétaires » de l’Union.
Il s’en est également pris à l’excédent commercial européen vis-à-vis des États-Unis, qui a atteint 192 milliards d’euros en 2024. À ses yeux, cette balance excédentaire serait la preuve que le partenariat transatlantique est déséquilibré — et qu’il est temps d’y mettre fin.
En 2022, les capitales européennes observaient Tunis avec une inquiétude grandissante. Les décisions du président Kaïs Saïed — gel du Parlement et refonte de la Constitution, avaient alors suscité une volée de critiques, parfois virulentes.
L’Union européenne, se posant en garante des principes démocratiques, semblait alors prête à prendre ses distances avec une Tunisie. Deux ans plus tard, le ton a radicalement changé : soutien financier, accords de coopération renforcée, visites de haut niveau… À quoi tient donc ce revirement ? Ont-ils, comme certains l’affirment, fini par céder ?
La réponse tient en un mot : migration. Ou plus précisément, en l’urgence de contenir les flux migratoires clandestins qui, depuis les côtes tunisiennes, prennent la mer vers l’Europe. L’Union européenne, et en premier lieu l’Italie, a rapidement compris que la Tunisie n’était plus seulement un voisin méditerranéen en crise politique, mais aussi un acteur-clé pour contenir un phénomène qui fragilise les équilibres internes des pays européens. En 2023, les arrivées de migrants par la mer ont battu des records. Et parmi les points de départ les plus actifs, les côtes tunisiennes figuraient en tête de liste.
Dès lors, la priorité a changé. L’obsession sécuritaire a pris le pas sur les positions politiques. L’accord signé en juillet 2023 entre la Tunisie et l’Union européenne — qui inclut une aide financière, un soutien logistique et un partenariat renforcé dans la lutte contre les passeurs — en est le symbole.
Cette realpolitik assumée peut choquer, mais elle n’est pas nouvelle. L’Europe a souvent préféré la stabilité à l’incertitude démocratique dans son voisinage sud. La Tunisie actuelle, bien que fragilisée économiquement reste un maillon indispensable pour l’Europe, à la fois comme barrage migratoire et comme partenaire énergétique potentiel.
Voyager en train à travers l’Europe est plus cher par rapport à l’avion dans 54% des cas, selon une étude de l’ONG Greenpeace Europe.
L’organisation non gouvernementale a analysé 109 voyages transfrontaliers et 33 voyages à l’intérieur d’un même pays. Dans tous les cas, le trajet en train était « raisonnablement » praticable, de jour comme de nuit.
Le train coûte jusqu’à 26 fois plus cher que l’avion, selon les comparaisons faites par Greenpeace, qui cite l’exemple extrême d’une ligne Barcelone-Londres, fermée il y a un mois : 389 euros pour le train contre 14,99 euros pour l’avion.
« Il est clair que les gens sont encouragés à prendre l’avion pour se rendre en Europe, même lorsqu’il existe une liaison ferroviaire abordable », souligne l’ONG environnementale. Les trains de nuit sont, selon l’ONG, « la meilleure option pour les voyages longue distance respectueux du climat », même s’ils sont « généralement plus chers » que les vols low cost.
La France est le pays où les voyages transfrontaliers en train sont plus chers que les vols, où « 95% de tous les trajets étaient plus chers au moins 6 jours sur 9 », selon le même rapport.
Greenpeace espère que le transport ferroviaire deviendra « systématiquement moins cher sur tous les itinéraires à travers l’Europe » et dénonce le fait que le kérosène ne soit pas taxé, alors que « les compagnies ferroviaires sont soumises à des taxes sur l’énergie, à la TVA et à des frais d’accès élevés dans de nombreux pays ». Le train est l’un des moyens de transport qui émet le moins de CO2 par passager-kilomètre, contrairement à l’avion, plus polluant.
En revanche, à l’échelle nationale, les liaisons ferroviaires sont moins chères que celles par avion pour « 70% d’entre elles », selon Greenpeace Europe.
Le sommet de l’OTAN de La Haye, fin juin, restera dans les mémoires moins pour ses avancées stratégiques que pour la mise en scène d’une Europe soumise aux humeurs de Donald Trump. Pour éviter que le président américain ne sabote la réunion, les chefs d’État ont réduit leurs ambitions à peau de chagrin : une déclaration courte, pas un mot sur la guerre en Ukraine, et surtout une promesse spectaculaire – mais irréaliste – de porter les dépenses de défense à 5 % du PIB d’ici 2035.
Cette concession, présentée comme un “accord 5 pour 5” (réaffirmation de l’article 5 du traité de Washington contre 5 % de budgets militaires), illustre la fragilité de l’Alliance. “Ce n’était pas la dissuasion l’objectif, mais la survie”, résume une experte de la Carnegie. Aux yeux de nombreux observateurs, l’OTAN ressemble désormais à une “North Atlantic Trump Organization”, où tout est pensé pour flatter l’ego du président américain.
La scène qui a le plus marqué les esprits fut sans doute celle où le secrétaire général Mark Rutte a qualifié Trump de “Daddy”. Geste maladroit ou révélateur d’une attitude générale ? Beaucoup y ont vu le symbole d’une servilité européenne, contrainte d’offrir loyauté et sacrifices budgétaires en échange de la protection américaine. Comme l’a relevé la presse allemande, la manière “dégradante” dont s’est conclu l’accord montre qu’il ne peut être question de véritable souveraineté européenne.
Pourtant, 81 % des citoyens européens souhaitent une défense commune. Mais leurs dirigeants continuent de quémander la bienveillance de Washington, au risque d’ignorer ce désir d’autonomie. Derrière l’affichage d’unité, le malaise est profond : l’Europe finance son réarmement, mais reste dépendante du “père protecteur” américain. Et tant que cette dépendance perdure, l’OTAN demeure l’ombre d’elle-même – plus une scène d’humiliation que de puissance collective.
Kia continue de repousser les limites d’endurance des VE avec EV4, son tout dernier modèle compact 100% électrique. Le véhicule a réalisé un essai de 10 000 kilomètres sur le Nürburgring dans des conditions d’utilisation intensives et de recharge rapides.
Conçu dans un souci de durabilité, EV4 intègre des innovations destinées à garantir des performances stables sur longues distances, dans des conditions climatiques difficiles et en cas d’utilisation prolongée.
EV4 doit principalement son endurance au système de batterie de quatrième génération de Kia. Ce dernier associe une technologie de gestion thermique avancée à un système optimisé de répartition du liquide de refroidissement sur l’ensemble des cellules de la batterie.
Une batterie hautement performante
Ces améliorations garantissent un fonctionnement de la batterie à des niveaux de température optimaux, et ce, même sous des contraintes élevées. Ainsi, le système permet d’accroître la durée de vie de la batterie, tout en conservant des performances homogènes.
Après des essais d’endurance complets, incluant un test de durabilité de 110 000 kilomètres sur les routes européennes et un essai de 10 000 kilomètres sur le Nürburgring destiné à simuler 90 à 95% des performances maximum du véhicule, EV4 présentait une usure minimale et avait su préserver l’efficacité de sa batterie.
Sur le Nürburgring, les sessions répétées de recharge rapide ont accentué les contraintes exercées sur le système de batterie. Toutefois, EV4 a réussi à maintenir des performances impressionnantes tout au long des essais.
«Pour proposer à nos clients un VE fiable au quotidien, il nous fallait valider la durabilité de EV4 à la fois en conditions réelles et dans des environnements extrêmes», explique
Stephan Hoferer, responsable du développement et des essais d’endurance au centre technique de Hyundai Motor Europe. Il ajoute : «Après ces tests rigoureux – allant des routes verglacées au circuit, nous sommes convaincus qu’EV4 offrira des performances fiables qui répondront parfaitement aux attentes de nos clients au quotidien.»
Les ingénieurs ont mesuré l’état de santé de la batterie (SOH) à 95% après 10 000 kilomètres d’essais sur circuit et 110 000 kilomètres de tests sur route.
Un système de freinage régénératif
Tout le programme d’essais d’endurance de Kia confirme donc que EV4 est un VE fiable et résistant, qui s’adresse aux clients en quête d’un véhicule adapté à un usage sur le long terme.
Outre sa batterie hautement performante, EV4 bénéficie du système de freinage régénératif. Ce système contribue à accroître l’efficience à long terme en réduisant les contraintes exercées sur la batterie et en récupérant jusqu’à 25% de l’énergie pendant les phases de décélération.
Grâce à son design robuste et à son système de gestion intelligente de l’énergie, EV4 est assurée de conserver au moins 70% de la capacité de sa batterie après 160 000 kilomètres parcourus ou huit ans d’utilisation.
Louis Vuitton a décidé d’élever le petit-déjeuner au rang d’expérience de luxe en lançant une pâte à tartiner chocolat-noisette au prix extravagant de 1 500 dollars. Présentée dans un pot en verre épais, finement gravé du célèbre monogramme et surmonté d’un couvercle doré, cette création ressemble davantage à un flacon de parfum haut de gamme […]
Les humiliations que Trump ne cesse de faire subir aux Européens en négociant derrière leur dos, et à leurs dépens, avec la Russie, la Chine et l’Inde, c’est-à-dire avec ceux qui comptent, vont-elles réveiller l’Europe et l’inciter à accélérer sa construction politique pour ne plus être un appendice négligeable des politiques américaines ? (Les Etats-Unis et l’Union européenne : Quand le «grand» parle, les «petits» n’ont qu’à bien se tenir.)
Cherif Ferjani *
En adepte du néolibéralisme et de la révolution conservatrice, Trump mène une politique identitaire –America First, voire Only America ! – appliquant la conception politique du conservateur Carl Schmitt fondée sur l’opposition «ami/ennemi», les rapports de force et la loi du plus fort – ou de la jungle –, et nullement sur le droit, la délibération, la concertation rejetés comme entraves à l’exercice de la «souveraineté» de celui qui a le pouvoir.
L’Etat de droit, la démocratie, le respect des institutions sont balayés aussi bien au niveau de la politique intérieure que sur le plan des relations internationales.
Trump, depuis sa réélection, se comporte comme les cowboys qui ne tiennent compte que de ceux qui ont la force de se faire respecter et de rendre coup pour coup. On l’a vu, à titre d’exemple, aussi bien à travers sa politique douanière, concernant les taxes, que dans ses rencontres au sujet la guerre en Ukraine. Volodymyr Zelensky a été humilié ouvertement lors de sa première rencontre avec Trump, retransmise en direct, contrairement à Poutine pour qui le tapis rouge fut déroulé et avec qui l’échange se déroula à huis clos, pour ménager les susceptibilités des protagonistes.
Lors de la dernière réunion à la Maison Blanche avec Volodymyr Zelensky, à laquelle les dirigeants européens se sont invités pour ne pas laisser celui-ci tout seul face au cowboy, les entretiens étaient entrecoupés de coups de fil entre le patron de la Maison Blanche et le Maître du Kremlin, comme pour lui dire que tout se passait conformément à leurs accords en Alaska et que les «petits» ont été bien roulés dans la farine. Il en est de même pour les taxes : avec les puissants, Trump négocie et cherche des compromis; avec les «petits» – dont l’Europe paralysée par ses divisions, son incapacité à parler d’une seule voix, et sa difficulté à rompre les liens de soumission aux Etats-Unis – Trump passe en force et impose ses décisions.
L’Europe n’a pas compris que pour Trump et les isolationnistes américains de l’AFC (America First Comittee) qui l’ont porté au pouvoir, l’Occident ne veut rien dire, sinon un moyen pour imposer l’hégémonie des Etats-Unis à ceux qu’ils ont maintenus, depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, dans la peur d’un Orient à géométrie variable, selon l’ennemi du moment.
Pour l’AFC inspirant la politique de Trump, l’Occident est devenu un fardeau pour les Etats-Unis qui ne leur apporte plus rien, ou pas autant qu’ils le souhaitent.
Les Européens n’ont pas encore compris que l’Occident, comme l’a bien montré Georges Corm (‘‘L’Europe et le mythe de l’Occident’’, Paris, La Découverte, 2009), n’est qu’un mythe battu en brèche par l’évolution du monde à l’ombre du triomphe de la mondialisation du néolibéralisme et de la révolution conservatrice. Seules les victimes de cette mondialisation, au Nord, dont l’Europe, et au Sud, croient encore en cette chimère. L’Europe a encore du mal à réaliser que ce mythe ne correspond plus à aucune réalité; c’est cette illusion qui la fait encore courir derrière les Etats-Unis, malgré toutes les humiliations qu’ils lui font subir, en croyant qu’ils peuvent la protéger dans le cadre d’un Otan qui n’a plus aucune raison d’être depuis la disparition du Pacte de Varsovie et l’implosion de l’Union Soviétique.
Les humiliations que Trump ne cesse de faire subir aux Européens en négociant derrière leur dos, et à leurs dépens, avec Poutine, la Chine et l’Inde, c’est-à-dire avec ceux qui comptent, vont-elles réveiller l’Europe et l’inciter à accélérer sa construction politique pour ne plus être un appendice négligeable des politiques américaines ? Pour cela, il faut beaucoup de conditions dont la première est de renoncer au dollar comme monnaie d’échange internationale à l’instar du choix des pays du Brics; car le dollar était le principal moyen de domination des Etats-Unis depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale et, surtout, depuis 1971, suite à la décision unilatérale de la Maison Blanche mettant fin à sa convertibilité en or, condition de son adoption comme monnaie internationale à Bretton Woods, en 1944. Les dirigeants qui continuent à se faire humilier par la Maison Blanche auront-ils le courage de prendre une telle décision ? Espérons-le, pour l’intérêt de leur pays et, surtout, pour renforcer la lutte contre l’hégémonisme et l’arrogance des Etats-Unis.
En 2024, les Tunisiens ont dépensé près de 55 millions de dinars en frais de visas “Schengen”, un investissement lourd dont une part importante s’est soldée par des refus. Sur les 177.951 demandes déposées, plus de 38.000 ont été rejetées, soit un taux global de 21,39%, équivalant à un cinquième des dossiers. Ces rejets représentent […]
Le président américain Donald Trump, âgé de 79 ans, a déclaré avec une pointe d’humour que ses chances d’« entrer au paradis » étaient faibles, mais qu’il espérait que la réalisation de la paix en Ukraine pourrait lui ouvrir cette voie. Lors d’une interview télévisée diffusée sur Fox News, il a expliqué vouloir donner un […]
L’Espagne traverse une tragédie humaine liée à l’intensité des vagues de chaleur. Selon les estimations du système MoMo, géré par l’Institut de recherche en santé publique Carlos III, la dernière vague de chaleur, qui s’est abattue sur le pays du 3 au 18 août 2025, aurait provoqué 1 149 décès. Bien que ce mécanisme ne […]
L’exacerbation de la crise en Europe et la marginalisation internationale de son premier partenaire économique ne manqueront pas d’avoir des retombées négatives sur une Tunisie qui connaît depuis une quinzaine d’années une conjoncture difficile et peine à se relancer.
Elyes Kasri *
Le sommet américano-russe du 16 août 2025 en Alaska a été accueilli par moultes gesticulations euro-otaniennes prétendument pour soutenir un président ukrainien ayant dépassé son mandat et qui est reconnu par de nombreux observateurs comme un pion de l’Otan doublé d’un despote et d’un corrompu de haut vol.
Les préparatifs de la réunion de Washington censée être bipartite Trump-Zelensky et les tentatives puériles d’incrustation de l’Europe pour y participer et tenir la main au satrape ukrainien en dépit de la réticence de la Maison Blanche, révèlent l’inadéquation de l’Europe avec le nouvel ordre mondial qui a du mal à surmonter la bipolarité russo-américaine de la guerre froide en dépit des prétentions d’autres puissances émergentes mais qui ne peuvent cacher leur statut encore secondaire dans le conflit russo-ukrainien qui a cumulé sur le terrain les attributs d’un conflit élargi à l’Otan, l’Europe et l’Asie.
Vanité et hypocrisie
Les déclarations du président français Macron et de la présidente de la commission européenne Von Der Leyen à la veille du sommet de Washington avec les dirigeants européens et ukrainien face au président américain montrent s’il le fallait encore une fois la vanité et l’hypocrisie de l’Europe dont les leaders ne cessent de crier sur les toits leur attachement inébranlable au respect du droit international et l’interdiction morale et légale de toute légitimation de l’acquisition de territoires par la force et autres professions de foi qui ne semblent pas s’appliquer à Israël en dépit des preuves accablantes du génocide palestinien et de son mépris flagrant du droit international et de toute morale humaine.
En plus de sa faillite morale, démasquée à Gaza avec ce que beaucoup considèrent comme une complicité dans un génocide confirmé par la Cour Internationale de Justice, l’Europe est désormais confrontée à sa marginalisation internationale et aux nombreux indices de son insignifiance géostratégique.
Exacerbation de la crise
Le problème que cela pose à la Tunisie, c’est qu’il s’agit d’un voisin proche (la capitale la plus proche de Tunis étant européenne en l’occurrence Rome) et son principal partenaire économique et destination migratoire qui en plus de sa marginalisation géostratégique s’enferre dans une logique belliciste qui dépasse ses moyens militaires et économiques.
Il est indéniable que l’exacerbation de la crise européenne ou pire une guerre européenne généralisée ne manqueront pas d’avoir des retombées négatives et même tragiques sur une Tunisie qui connaît depuis une quinzaine d’années une conjoncture difficile qui a considérablement exacerbé sa vulnérabilité à toute dégradation supplémentaire de son environnement international.
Un incident pour le moins insolite a frappé un groupe de 47 touristes israéliens en Bosnie, après que leurs passeports ont été jetés par erreur dans une poubelle puis transférés vers une décharge. Selon le quotidien Yediot Aharonot, les voyageurs, qui devaient rentrer samedi en Israël, se retrouvent désormais bloqués à l’hôtel, en attendant la […]
PARIS — La course à la Ligue des champions entre dans sa phase finale. Les barrages aller, qui se disputeront les mardi 19 et mercredi 20 août, sont l’ultime étape pour les équipes qui rêvent de rejoindre l’élite du football européen. Ces rencontres, dont le retour aura lieu les 26 et 27 août, détermineront les sept derniers clubs qualifiés pour le tableau final.
Parmi les affiches à suivre, le duel entre les géants turc Fenerbahçe et portugais Benfica s’annonce particulièrement intense. Les deux équipes se battront pour décrocher leur ticket, tout comme les clubs écossais, les Glasgow Rangers et le Celtic, qui affronteront respectivement Club Bruges et Kairat Almaty. D’autres confrontations mettront aux prises des équipes inattendues comme Ferencvaros et Qarabag, tandis que le Bâle suisse tentera de s’imposer face au FC Copenhague.
Les sept équipes qui sortiront victorieuses de ces confrontations rejoindront les 29 clubs déjà qualifiés pour la phase de groupes. Le tirage au sort de cette nouvelle saison de la Ligue des champions aura lieu le 28 août, marquant le début d’une compétition qui s’annonce déjà passionnante.
La Première ministre danoise, Mette Frederiksen, a déclaré que Benjamin Netanyahou constitue désormais « un problème en soi », estimant que la politique menée par le Premier ministre israélien a conduit son pays beaucoup trop loin dans la guerre contre Gaza. Elle a affirmé que, dans le cadre de la présidence danoise de l’Union européenne, […]
ANCHORAGE (États-Unis), 16 août — La rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine, vendredi en Alaska, marque un tournant diplomatique. Après près de trois heures d’entretien sur la base militaire Elmendorf-Richardson, le président américain a affirmé que la responsabilité d’un accord de cessez-le-feu revenait désormais au président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Dans une interview à Fox News, Trump a annoncé qu’une réunion trilatérale entre lui-même, Poutine et Zelensky devrait se tenir prochainement, sans préciser ni lieu ni date. «Nous avons de bonnes chances d’y parvenir», a-t-il assuré, tout en pressant l’Ukraine de « faire avancer les choses ».
Le locataire de la Maison-Blanche a également exhorté les pays européens à « s’impliquer davantage », tout en insistant sur le rôle central de Kiev dans la recherche d’une issue.
Cette rencontre, la première entre Trump et Poutine depuis 2021, survient dans un climat international tendu où les pressions pour mettre fin au conflit ukrainien se multiplient.
EN BREF
Trump et Poutine se sont rencontrés trois heures en Alaska, première entrevue depuis 2021.
Trump affirme que la responsabilité d’un cessez-le-feu repose sur Zelensky.
Une réunion trilatérale Trump-Poutine-Zelensky est annoncée, sans détails.
Les Européens sont invités à « s’impliquer davantage » dans la résolution du conflit.
Le président américain se dit confiant sur les chances d’un accord.
La rencontre tant attendue entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine, tenue vendredi en Alaska, n’a débouché sur aucun accord concernant la guerre en Ukraine. Malgré des échanges qualifiés de « constructifs » par les deux dirigeants et une réunion de près de trois heures, aucune avancée concrète n’a été […]
La police suédoise a annoncé, ce vendredi, que plusieurs personnes ont été blessées lors d’une fusillade survenue à proximité d’une mosquée dans la ville d’Örebro, à l’ouest de Stockholm. L’alerte a été donnée vers 13 h 45, conduisant les forces de l’ordre et les équipes de secours à intervenir rapidement sur les lieux, tout en […]
Le député français de La France insoumise, Sébastien Delogu, a récemment relancé la polémique en publiant sur Instagram la photo d’un tatouage qu’il arbore sur son mollet : une carte de la Palestine accompagnée d’une inscription en arabe exprimant son amour pour la Tunisie, rendant hommage au poète palestinien Mahmoud Darwich, figure emblématique de la […]