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Précisions sur les aides occasionnelles dans le secteur culturel

Précisions sur les aides occasionnelles dans le secteur culturel | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Social) – Le ministère des Affaires Culturelles a apporté des précisions sur le mécanisme d’attribution d’aides dans le secteur culturel, et ce en réponse aux « rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux autour de la suspension des aides occasionnelles attribuées à certains artistes et créateurs ».

Dans un communiqué publié, lundi soir, le ministère a apporté les précisions suivantes :

  • Des aides occasionnelles sont souvent attribuées aux artistes, créateurs et acteurs culturels «afin de les aider à affronter les éventuelles crises et dépenses sociales et sanitaires».
  • Les aides occasionnelles sont attribuées à tout artiste ou créateurs ayant fourni un dossier répondant aux critères avec les documents prouvant les difficultés sociales ou sanitaires auxquelles il fait face».
  • Elles sont fournis « afin de garantir leur dignité et dans le cadre du respect des principes de gouvernance et de transparence».
  • Mise en place d’une commission technique composée de représentants des ministères de la Santé et des Affaires sociales, chargée de l’examen et l’évaluation les demandes d’aides occasionnelles ou celles relatives à leur renouvellement en fixant les montants à attribuer pour chaque bénéficiaire.
  • L’attribution des aides se base sur de « critères objectifs, notamment l’affiliation de la personne concernée au secteur culturel ainsi que sa situation sociale ou sanitaire » lui permettant d’en bénéficier.

Le ministère a encore présenté des données chiffrées indiquant que depuis le début de l’année en cours, « 440 bénéficiaires ont reçu des aides occasionnelles pour une valeur totale s’élève à 397 mille dinars. »

« Depuis octobre 2024, le montant de la subvention mensuelle a connu une évolution de plus de 65% et les délais de l’examen des dossiers ont été raccourcis à environ 15 jours et ce à compter de la date du dépôt ».

Après les derniers affrontements, le poste frontière de Ras Jedir fermé du côté libyen

Le poste frontière de Ras Jedir est paralysé depuis minuit la nuit dernière, suite à une décision soudaine du gouvernement libyen de le fermer dans les deux sens, après les violents affrontements qui ont éclaté dans la capitale lundi.  Bien que le point de passage du côté tunisien soit toujours ouvert au transit, la circulation s’est pratiquement arrêtée en raison de la fermeture du point de transit, ce qui a perturbé les intérêts des voyageurs et des personnes qui voyagent  des deux côtés, en particulier les Tunisiens qui prévoyaient de retourner en Libye ou de s’y rendre.

Ce développement sécuritaire inquiétant intervient dans un contexte de tension accrue en Libye, suite à de nouveaux affrontements entre groupes armés à Tripoli, ce qui a ravivé les craintes que la situation ne bascule dans une nouvelle vague de violence et d’instabilité.

Ouverture ce soir du Festival de Cannes avec un tapis rouge… moins fantaisiste!!!

Ouverture ce soir du Festival de Cannes avec un tapis rouge… moins fantaisiste!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – Les organisateurs de la 78e édition du festival ont mis à jour le dress-code des invités pour la montée des marches, rappelant que la nudité totale était proscrite conformément à la loi française. Les équipes du festival ont précisé qu’il ne s’agissait pas « de réglementer les tenues vestimentaires, mais d’interdire la nudité totale sur le tapis rouge, dans le respect du cadre institutionnel de l’événement et de la loi française ». Pour ce qui est des robes « trop » volumineuses, elles se réservent le droit « de refuser l’accès aux personnes dont la tenue entraverait la circulation des invités ou compliquerait leur installation en salle ».

À Cannes, le dress code des projections au Grand Théâtre Lumière, où sont présentés les plus gros films de la sélection officielle, a longtemps demandé aux femmes qu’elles défilent en robe et en talons, suscitant souvent des remous. Plusieurs célébrités, comme Julia Roberts et Kristen Stewart, ont déjà défié cette règle « tacite » en marchant pieds nus sous l’œil des photographes, sans s’en faire interdire l’accès ni évacuer manu militari.

Même son de cloche chez les hommes, chez qui le smoking noir ou bleu marine doit en principe être de mise. En 2021, le rose avait envahi la palette de costumes de ces messieurs, comme sur JoeyStarr, Josh O’Connor et Spike Lee, alors président du jury. Bilal Hassani a, lui, osé un ensemble en jean pour sa montée des marches, l’année dernière. Aucun d’entre eux ne s’est fait recaler.

En l’absence d’un smoking, le règlement est pourtant formel. Ils doivent opter pour un costume sombre avec un nœud papillon ou une cravate d’une couleur similaire. Les femmes, si elles n’ont pas de robe de soirée, ont le choix entre une petite robe noire, une robe de cocktail, un tailleur-pantalon de couleur foncée ou un haut habillé avec un pantalon noir, et des chaussures élégantes ou des sandales.

Le poste-frontière de Ras Jedir fermé du côté libyen

Le poste-frontière de Ras Jedir fermé du côté libyen | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (NAT) – Le poste-frontière de Ras Jedir est fermé depuis hier soir à minuit que ce soit pour l’entrée ou la sortie vers et depuis la Libye. Cette décision a été prise par le gouvernement libyen à la suite des événements sanglants survenus dans la capitale, Tripoli, et dans ses banlieues.

Le commandant de l’Appareil de soutien et de stabilité du Conseil présidentiel, Abdul-Ghani al-Kikli, connu sous le nom de « Ghniwa », a été tué lundi soir au quartier général de la 444e brigade de combat dans la zone militaire de Tripoli.

A la suite de cet assassinat, la navigation aérienne a été placée sous surveillance, et un avion à destination de la Tunisie et un autre à destination de la Jordanie ont été empêchés de décoller, surtout qu’avec l’assassinat de Ghniwa al-Kikli, la guerre des milices dans l’est de la Libye risque de prendre une tournure qui entraîne la Libye vers l’inconnu.

A noter que le passage du côté tunisien est ouvert dans les deux sens, mais la vigilance est de rigueur et l’ambassade de Tunisie à Tripoli a lancé un avertissement aux citoyens tunisiens à Tripoli et dans d’autres zones de conflit de ne pas quitter leurs domiciles et a annoncé la suspension temporaire des cours dans les écoles tunisiennes.

L’homme d’affaires Youssef Mimouni sous mandat de dépôt

L'homme d'affaires Youssef Mimouni sous mandat de dépôt | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Justice) – Le premier juge d’instruction près le pôle judiciaire financier a émis un mandat de dépôt contre l’homme d’affaires Youssef Mimouni dans le cadre d’un litige juridique entre l’une de ses sociétés et une banque publique.

Le juge d’instruction du Pôle judiciaire financier avait auparavant émis un mandat de dépôt à l’encontre d’un avocat dans le cadre d’une enquête impliquant des avocats, des juges, des experts judiciaires et des fonctionnaires de la Banque centrale.

Un centre de formation dédié aux véhicules électriques et hybrides à Béja

Un centre de formation dédié aux véhicules électriques et hybrides à Béja | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Formation) – Face à l’essor des véhicules électriques et de l’économie circulaire, le centre de formation et d’apprentissage de Béja accélère la création de nouveaux métiers et de formations adaptées à la transition écologique. En effet, comme l’a précisé, Chafik Dridi, directeur du centre.

«L’entrée sur le marché des véhicules électriques et hybrides a conduit le centre à créer deux nouveaux métiers notamment pour les voitures électriques et hybrides. C’est une première en Tunisie. Dans un monde où la mobilité électrique redéfinit les normes de l’industrie automobile, les avancées technologiques ne cessent de révolutionner notre manière de concevoir et d’utiliser les véhicules. En réponse à cette transformation rapide, notre formation spécialisée en véhicules hybrides et électriques prépare nos jeunes à maîtriser ces technologies innovantes. Le centre vient d’acquérir l’équipement nécessaire à cette technologie. La première promotion entamera sa formation à partir de janvier 2026 ». (M.S) 

GATBIKE 2025 : Le grand rendez-vous sportif, culturel, écologique et solidaire au cœur de Carthage

La 4e édition de GATBIKE, organisée par GAT ASSURANCES et la Fédération Tunisienne de Cyclisme, se tiendra le dimanche 18 mai 2025 à partir de 8h30 au Théâtre de Carthage, site emblématique chargé d’histoire. Plus qu’une simple manifestation cycliste, GATBIKE est un rendez-vous annuel qui conjugue sport, culture, écologie et engagement solidaire, incarnant ainsi pleinement […]

Le déficit commercial continue de se creuser

Le déficit commercial aux prix courants s’est aggravé de 54%, passant de 4734,8 millions de dinars (MD), à fin avril 2024, à 7294,1 MD, à fin avril 2025. Ainsi, le taux de couverture s’est dégradé à 74%, contre 81,8%, une année auparavant, a annoncé, mardi, l’Institut National de la Statistique (INS).

D’après une note publiée par l’INS, cette aggravation est expliquée par la baisse des exportations de 2,4%, pour ne pas dépasser 20,7 milliards de dinars, contre une hausse importante des importations de 7,8%, atteignant plus de 28 milliards de dinars, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.La diminution des exportations résulte essentiellement, de la régression des exportations du secteur de l’énergie de 33% sous l’effet de la chute de nos ventes de produits raffinés (105,8 MD contre 621,2 MD), ainsi que celles des industries agro-alimentaires de 19,2%, en raison de la baisse de nos ventes de l’huile d’olive de 28% à 1758,6 MD.S’agissant de la hausse des importations, elle résulte surtout de l’accroissement des importations des biens d’équipement de 22,1% et des matières premières et demi-produits de 11,3%, ce qui laisse présager une amélioration future de l’investissement et de l’appareil productif. De même, les importations des  biens de consommation ont enregistré une évolution de 15,7%, contre la baisse des importations des produits énergétiques de 14,2%.Ainsi, le déficit provient principalement de l’énergie (un déficit de près de 3,7 milliards de dinars), des matières premières et demi-produits (environ 2,5 milliards de dinars), des biens d’équipement (1,1 milliard de dinars) et des biens de consommation (0,6 milliards de dinars).Il importe de souligner que le déficit de la balance commerciale hors énergie s’est réduit à 3,6 milliards de dinars, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.

Le secteur automobile recrutera 12 mille demandeurs d’emploi

« Quelque 12 mille demandeurs d’emploi seront recrutés dans le secteur privé et ce, en vertu d’une convention signée entre l’Agence nationale pour l’emploi et le travail indépendant (ANETI) et de grandes entreprises économiques opérant en Tunisie », a annoncé, mardi, le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Riadh Chaoued. Il s’agit d’une dizaine d’entreprises actives dans le domaine de la fabrication de composants automobiles, établies en Tunisie, dont certaines appartiennent à des investisseurs étrangers et d’autres à des Tunisiens, selon le ministre.

Affaire de corruption : Le tribunal refuse la libération de l’ex-syndicaliste des forces de sécurité

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès du tribunal de première instance de Tunis a rejeté la demande de mise en liberté présentée par la défense de Nabil Ayari, ancien secrétaire général du syndicat des forces de sécurité intérieure. L’audience a été reportée à une date ultérieure.

Ayari a comparu devant la juridiction en compagnie d’autres prévenus. Il est poursuivi pour des faits présumés de trahison qualifiée, de complicité, de blanchiment d’argent ainsi que pour des soupçons de corruption financière et administrative. Les accusations portent notamment sur la gestion des revenus et des dépenses du syndicat durant son mandat.

Pour rappel, un mandat de dépôt avait été émis à son encontre en 2023 par le juge d’instruction du pôle judiciaire financier, dans le cadre d’une enquête sur de graves irrégularités présumées liées aux finances du syndicat.

Service national des jeunes nés en 2000 : appel à régulariser la situation avant le 4 juillet

Le ministère de la Défense nationale a annoncé jeudi l’ouverture du deuxième tour de recrutement pour le service national pour l’année 2025. Cet appel concerne les jeunes hommes nés au cours du deuxième trimestre 2005, ainsi que tous ceux nés entre 2000 et 2005 qui n’ont pas régularisé leur situation juridique vis-à-vis du service national. Le stage devrait débuter le lundi 2 juin 2025 et se poursuivre jusqu’au vendredi 4 juillet 2025, date à laquelle des comités de recrutement seront mis en place dans les différents gouvernorats.  Le ministère a appelé les jeunes hommes concernés à rejoindre les centres de recrutement à Tunis, Sousse, Baja, Gabès et Kasserine, munis de leur carte d’identité nationale.

Ce stage s’inscrit dans le cadre des efforts continus du ministère pour régulariser la situation juridique des jeunes gens concernés, que ce soit par l’enrôlement direct, l’ajournement ou l’exemption, afin d’éviter les complications juridiques et administratives résultant de l’absence de régularisation de leur situation. Ceux qui sont nés avant l’an 2000 ont été exemptés en vertu de la loi n° 15 du 22 février 2024, concernant les dispositions exceptionnelles d’exemption du service national pour les personnes nées entre 1991 et 1999.

Dans ce contexte, Le colonel Hatem Soussi, directeur général du recrutement et de la mobilisation au ministère de la Défense nationale a déclaré au journal Al-Sabah que tout jeune homme ayant atteint l’âge de 20 ans est tenu de régulariser son statut juridique, soit en demandant à faire son service, soit en demandant une exemption ou un report, en soulignant la nécessité de fournir des documents prouvant les raisons du report ou de l’exemption, telles que des preuves éducatives, sanitaires ou sociales.

Selon les données du ministère de la Défense, on estime à 280 000 le nombre de jeunes intéressés par l’enrôlement ou la régularisation de leur situation, alors que la campagne précédente a enregistré une participation variable selon les régions, avec une forte participation dans les gouvernorats  du Grand Tunis et du Sahel, et une faible participation dans les régions de l’intérieur.

Aggravation du déficit commercial à 7,3 milliards de dinars, à fin avril 2025

Le déficit commercial aux prix courants s’est aggravé de 54 %, passant de 4 734,8 millions de dinars (MDT), à fin avril 2024, à 7 294,1 MDT, à fin avril 2025. Ainsi, le taux de couverture s’est dégradé à 74 %, contre 81,8 % une année auparavant. C’est ce qu’a annoncé, mardi 13 mai, l’Institut national de la statistique (INS).

D’après une note publiée par l’INS, cette aggravation de ce déficit commercial s’explique par la baisse des exportations de 2,4 %, pour ne pas dépasser 20,7 milliards de dinars. Et ce, contre une hausse importante des importations de 7,8 %, atteignant plus de 28 milliards de dinars, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.

A  cet égard, la diminution des exportations résulte essentiellement de la régression des exportations dans deux secteurs. Tout d’abord, celle du secteur de l’énergie de 33 % sous l’effet de la chute de nos ventes de produits raffinés (105,8 MDT contre 621,2 MDT). Ainsi que celles des industries agro-alimentaires de 19,2 %, en raison de la baisse de nos ventes d’huile d’olive de 2 8 % à 1 758,6 MDT.

S’agissant de la hausse des importations, elle résulte surtout de l’accroissement des importations des biens d’équipement de 22,1 % et des matières premières et demi-produits de 11,3 %. Ce qui laisse présager une amélioration future de l’investissement et de l’appareil productif.

De même, les importations des  biens de consommation ont enregistré une évolution de 15,7 %; contre la baisse des importations des produits énergétiques de 14,2 %.

Ainsi, le déficit provient principalement de : l’énergie (un déficit de près de 3,7 milliards de dinars); matières premières et demi-produits (environ 2,5 milliards de dinars); biens d’équipement (1,1 milliard de dinars) et des biens de consommation (0,6 milliards de dinars).

Enfin, il est important de souligner que le déficit de la balance commerciale hors énergie s’est réduit à 3,6 milliards de dinars; et ce, durant les quatre premiers mois de l’année 2025.

L’article Aggravation du déficit commercial à 7,3 milliards de dinars, à fin avril 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

UBCI 2024 : Une année de croissance, d’ambition et de résilience!!!

UBCI 2024 : Une année de croissance, d’ambition et de résilience!!! | Univers News

 

  • Une Banque qui confirme sa vision d’avenir !!!
  • Un appui concret à l’économie réelle (Crédits en hausse de +11%) et une banque humaine, au cœur de l’économie
  • Positionnement de l’UBCI comme acteur majeur du financement des ménages, des PME et des grandes entreprises
  • UBCI : la puissance de la finance, la simplicité du digital !!!
  • La banque inscrit pleinement sa stratégie dans une logique d’impact durable, en phase avec les objectifs ESG et les attentes sociétales
  • L’UBCI Trace la Voie d’une Banque Moderne, Solide et Engagée !!!

TUNIS – UNIVERSNEWS –  ➡En 2024, l’Union Bancaire pour le Commerce et l’Industrie (UBCI) a franchi un nouveau palier. Dans un environnement économique sous tension, la banque a su faire preuve d’agilité, d’audace et de rigueur. Grâce à une stratégie bien définie et une gouvernance efficace, elle boucle l’année avec des résultats financiers en nette progression, une dynamique de croissance continue et une transformation digitale accélérée.

➡ Avec des résultats probants, une gestion rigoureuse, une transformation numérique bien engagée et une forte responsabilité sociale, UBCI s’impose comme l’un des piliers les plus solides du secteur bancaire tunisien.

➡les chiffres phares de l’exercice 2024 :

✅ Produit Net Bancaire (PNB) : 320,7 MD → +6,2%

✅ Résultat d’exploitation : 87,4 MD → +6,5 %

✅ Résultat net : 54,1 MD,

✅ Total Bilan : 5,17 Milliards de Dinars → en hausse de +13,7 % par rapport à 2023

✅ Crédits à la clientèle : 3,29 Milliards de Dinars → +11 %

✅ Dépôts clientèle : 3,78 Milliards ds Dinars → +11,4 %

✅ Fonds propres : 548,4 MD → +5,6 %

💡 Appui concret à l’économie réelle

➡ L’UBCI a pleinement joué son rôle de soutien au financement de l’économie nationale. Les crédits à la clientèle ont progressé de +11% pour atteindre 3,29 milliards de dinars, soit une augmentation de près de 327 MDT par rapport à 2023.

➡ En parallèle, les dépôts de la clientèle ont bondi de +11,4%, s’établissant à 3,78 milliards de dinars.

🔸 Encours de crédits 2024 : 3 290,6 MDT

🔸 Dépôts clientèle : 3 779,7 MDT

Cette performance confirme le positionnement de l’UBCI comme acteur majeur du financement des ménages, des PME et des grandes entreprises tunisiennes.

💪 Une Banque qui Se Réinvente

➡ 2024 marque un tournant numérique pour l’UBCI. La banque a engagé une refonte profonde de ses services :

✔ Déploiement d’une nouvelle application mobile intuitive et sécurisée

✔ Automatisation de parcours client (prêts, virements, ouverture de comptes)

✔ Élargissement des services en ligne pour entreprises et particuliers.

🏆 Une Banque responsable au service du développement durable

➡ Fidèle à ses valeurs, UBCI a poursuivi ses actions pour :

– L’inclusion financière des jeunes et des zones rurales

– Le financement de projets verts et d’économie sociale

– La formation et la montée en compétence de ses collaborateurs

La banque inscrit pleinement sa stratégie dans une logique d’impact durable, en phase avec les objectifs ESG et les attentes sociétales.

🏆 Perspectives 2025 : Croissance, Innovation et Performance Durable

➡ Portée par des fondamentaux solides, une rentabilité soutenue et une vision stratégique claire, l’UBCI vise en 2025 :

✔ Une croissance soutenue du portefeuille clientèle

✔ L’intensification des financements verts et responsables

✔ Le renforcement de son réseau digital et la cybersécurité

Une amélioration continue de l’efficacité opérationnelle

 

 

 

 

 

 

 

 

19e Congrès de l’Union Panarabe de Neurologie à Hammamet

19e Congrès de l'Union Panarabe de Neurologie à Hammamet | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Santé) – Le 19e Congrès de l’Union Panarabe de Neurologie (PAUNS – Pan Arab Union of Neurological Societies) se tiendra les 23 et 24 mai 2025 à Hammamet, en Tunisie, marquant un jalon historique avec son 50e anniversaire.

Placé sous l’égide de la Fédération Mondiale de Neurologie (WFN), cet événement majeur sera encadré également par une Journée spéciale MENASO (réseau dédié aux AVC dans la région Moyen-Orient/Afrique du Nord) consacrée à l’Afrique du Nord le 25 mai.

D’après le site Web de l’Union Panarabe de Neurologie, le congrès rassemblera des neurologues de la région Moyen-Orient/Afrique du Nord (MENA) ainsi que des experts internationaux pour des échanges autour des dernières avancées scientifiques et cliniques en neurologie. Les thématiques centrales du congrès porteront sur la maladie de Parkinson, la neuropédiatrie, la sclérose en plaques (SEP) et les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Le programme, particulièrement riche et diversifié, comprendra des sessions parallèles consacrées à l’épilepsie, l’intelligence artificielle appliquée à la neurologie, les démences et les céphalées et une exposition sur l’histoire de la cette discipline. Il proposera des conférences plénières, des symposiums – notamment sur les AVC et la SEP –, des ateliers pratiques ainsi que des présentations orales et posters permettant aux jeunes chercheurs de valoriser leurs travaux.

Cette édition anniversaire représente un tournant pour l’avenir de la neurologie arabe et africaine, en favorisant les collaborations internationales et en mettant en lumière les progrès récents dans la recherche et la pratique clinique neurologique.

Fondée en 1975, l’Union Panarabe de Neurologie (PAUNS) joue un rôle dans la promotion des neurosciences dans le monde arabe, en mettant l’accent sur la recherche, la formation et la collaboration internationale.

Migration, frontière, souveraineté et fracture nationale

Il y a, dans les visages épuisés des migrants, une énigme persistante. Ce n’est pas seulement la misère, ni même l’appel à l’aide. C’est autre chose : un déplacement du monde, une faille psychique. Ce que l’on appelle aujourd’hui «crise migratoire» n’est pas seulement un flux de corps en mouvement. C’est une confusion du sens.  (Ph. Camp de migrants subsahariens à El-Amra, Sfax).

Manel Albouchi *

Les frontières ne sont pas de simples découpages géographiques. Elles sont des membranes entre les mondes, des structures d’intégration psychique, des seuils. Et chaque fois qu’on les traverse sans cadre, c’est un désordre plus profond qui s’installe : géopolitique, symbolique, psychique. 

La visite d’Amy Pope, directrice de l’OIM, au palais de Carthage a ravivé une tension structurelle : comment articuler aide humanitaire, dignité des migrants et survie d’un État fragile ? 

Le président Kaïs Saïed, en affirmant que la Tunisie ne deviendra ni un camp de rétention ni un sas migratoire pour l’Europe, a été jugé dur par certains. Mais il faut entendre ce qui se dit sous les mots : la Tunisie est un petit pays exposé, économiquement précaire, historiquement fragmenté, dont le tissu social ne peut absorber une pression migratoire incontrôlée sans s’effondrer. 

Ce n’est pas un refus de l’Autre. Mais un rappel fondamental : tout seuil non nommé, non respecté, non traversé avec conscience, devient une intrusion. Une irruption brutale dans un espace sans consentement. Et ce qui aurait pu être rencontre devient effraction, blessure, mémoire traumatique. 

La frontière est l’archétype du contenant 

En psychanalyse, Didier Anzieu décrit le Moi-peau comme une interface vivante : la peau du corps devient métaphore de la frontière psychique. Elle contient, protège, limite, tout en permettant l’échange. 

Transposé au plan collectif, la frontière nationale est à un peuple ce que la peau est au Moi : une enveloppe de cohésion. Sans elle, la nation devient poreuse à toutes les projections, tous les fantasmes, toutes les intrusions. Elle perd sa forme. Elle devient vulnérable, insécure, exposée. 

Anzieu écrivait que lorsque le Moi-peau est fissuré, le sujet souffre d’angoisses de morcellement, de perte d’unité. Il en va de même pour les peuples. Une nation sans frontière intégrée souffre d’un trouble du contenant. Elle ne sait plus qui elle est, ni où elle commence. 

Les risques psychiques d’une frontière effondrée 

Lorsqu’un pays perd la symbolisation de ses limites géographiques, culturelles, politiques, ce ne sont pas seulement les institutions qui s’effondrent, mais aussi la psyché collective. 

On peut alors observer : 

  • une montée généralisée de l’angoisse, du sentiment de débordement, d’impuissance; 
  • une prolifération des discours polarisants, clivants, paranoïaques;
  • des projections massives sur l’Autre, vécu comme envahisseur ou menace, 
  • une dissociation du lien social, où la cohésion nationale devient un mirage. 

Et en terme de troubles cela se traduit par : 

  • des troubles anxieux (TAG, phobies sociales); 
  • des troubles de l’adaptation (retrait, colère, sentiment d’injustice); 
  • des syndromes dépressifs liés à l’épuisement identitaire et à l’impuissance; 
  • des troubles post-traumatiques liés à la mémoire coloniale, aux guerres ou à l’exil; 
  • des troubles dissociatifs, perte de repères ou identification à des idéologies extrêmes. 

Comme le Moi-peau individuel, la frontière nationale contient et protège l’imaginaire collectif. Sans elle, le risque est de voir surgir une société dissociée, fragmentée, incapable de penser l’accueil autrement que comme une blessure ou une invasion. 

Poser une limite claire, juste, expliquée, ce n’est pas une fermeture pathologique. C’est un geste de santé psychique. 

L’oubli des frontières naturelles est une faute historique 

L’histoire nous a appris, encore et encore, que lorsque les frontières naturelles sont ignorées, cela engendre des catastrophes : 

  • Les accords Sykes-Picot ont redécoupé le Levant sans tenir compte des dynamiques tribales et spirituelles. 
  • Le traité de Lausanne a redéfini des États sans consultation des peuples. 
  • L’Afrique, morcelée par des lignes tracées au compas, n’a jamais guéri des fractures imposées. 

Chaque fois, la carte a trahi le territoire. Et chaque fois, le chaos s’est répondu. 

Une Tunisie encore vulnérable 

La Tunisie est bordée de seuils naturels puissants : désert au sud, mer au nord, montagnes à l’ouest. Ces limites sont fondatrices. Les effacer revient à ouvrir un corps sans peau. 

La France, l’Allemagne ou l’Italie malgré leurs crises internes, reposent sur des récits nationaux et disposent de structures solides, de souverainetés historiques, de marges de manœuvre.  

Elles peuvent absorber des flux, ériger des frontières extérieures, externaliser leurs conflits. Elles peuvent choisir. 

La Tunisie, elle, agit dans l’urgence, la peur et la fatigue. Elle n’a pas fini de construire son identité. Son récit national est encore fragile, hétérogène, saturé de blessures post-coloniales et de couches historiques non intégrées. 

Son identité est encore en construction. Elle porte des couches historiques éparses, pas totalement unifiées. Et toute pression supplémentaire peut menacer cette structure inachevée. 

Avec un peu de recul, il s’est avéré qu’accueillir tous les flux, toutes les formes, tous les récits, ce n’est pas de l’humanisme. C’est de l’abandon. 

La terre sacrée 

Le sol tunisien n’est pas neutre. Il est saturé de mémoire : punique, romaine, byzantine, arabe, ottomane, française. Une mémoire composite, parfois contradictoire, pas encore totalement digérée. 

Le sol est sacré car il garde les morts. Il contient les pactes invisibles. L’ouvrir sans mesure, sans dialogue, sans reconnaissance, c’est briser cet équilibre. C’est faire de la terre un lieu sans fond.  

La souveraineté ? 

Ce qui se joue aujourd’hui dépasse le seul enjeu migratoire. Ce qui est enjeux est l’idée même de territoire sacralisé, de peuple conscient, de parole fondatrice.  

La souveraineté n’est pas un geste de fermeture. C’est la conscience de ses limites, de son rythme. C’est le pouvoir de dire «Voici ce que je peux accueillir sans me perdre». C’est une maturité politique d’un peuple capable de différencier l’accueil du sacrifice. 

* Psychothérapeute, psychanalyste.

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Gafsa : le « lézard Rouge  » signe son grand retour

Smaoui, a confirmé sur Mosaïque, mardi 13 mai 2025, que le train touristique « Lézard rouge » est de nouveau opérationnel après plus de huit ans de suspension. Depuis septembre 2023, les wagons ont été réparés et entretenus dans les ateliers de la Société Nationale des Chemins de Fer Tunisiens à Sidi Fathallah dans la capitale. Ce retour coïncide avec le lancement des Journées de promotion touristique de Gafsa ce week-end, du 16 au 18 mai, sous la tutelle du ministère du Tourisme.

Imed Charfeddine : « La Tunisie doit jouer la carte du véhicule électrique et de l’innovation »

Imed Charfeddine, vice-président de la TAA, a dressé un tableau des défis et opportunités du secteur automobile tunisien. Entre essor du véhicule électrique et attractivité croissante pour les investisseurs asiatiques et américains.

« L’industrie s’adapte au marché et à la consommation », a rappelé Imed Charfeddine en ouverture de son intervention, lors de l’événement « Le secteur automobile face aux transformations mondiales », organisé à Tunis le 13 mai 2025 par la Chambre tuniso-française de l’industrie et du commerce (CTFCI). Face à un marché européen en net recul — « le nombre de véhicules produits ces dernières années est tombé à 1,8 million, et on annonce déjà des chiffres en dessous du milliard d’euros » —, le responsable a souligné l’urgence d’une redéfinition stratégique.

Les marchés traditionnels s’essoufflent, poussant les industriels à explorer de nouveaux débouchés. « Nos clients changent, se tournent vers de nouveaux marchés », a-t-il prévenu, citant notamment l’essor des constructeurs asiatiques, en particulier chinois.

Un tissu industriel déjà solide, mais en mutation

La Tunisie peut compter sur un socle industriel conséquent : plus de 100 000 emplois dans le secteur automobile, en grande partie dans le câblage. Toutefois, ce modèle est en pleine mutation. « On voit émerger des technologies électroniques, l’informatique embarquée, la connectivité. Et nous accompagnons cette transformation », a indiqué M. Charfeddine.

L’industrie locale se tourne vers des compétences plus pointues, intégrant le software, la maintenance prédictive et les bancs de tests électroniques. Il reconnaît toutefois des perturbations récentes dans certains pôles industriels, laissant entendre que des troubles ont freiné certaines dynamiques.

Vers une industrie 4.0 et des alliances stratégiques

Pour le vice-président de la TAA, l’avenir passe par l’innovation. Il appelle les pouvoirs publics à « inciter les entreprises à se transformer vers l’industrie 4.0 ». Et ce, tout en évoquant la nécessité d’un projet universitaire dédié à la montée en compétences : « Il faut former les talents qui accompagneront les nouvelles technologies et les besoins des consommateurs en connectivité et mobilité ».

Par ailleurs, la Tunisie peut tirer parti de ses accords commerciaux avec l’Europe et l’Afrique : « Ce sont des avantages à exploiter pour accompagner le développement du secteur automobile vers de nouveaux marchés ».

Attractivité croissante pour les investisseurs étrangers

Les évolutions du marché mondial ouvrent aussi des perspectives pour la Tunisie en tant que base industrielle stratégique. Face à la nécessité de raccourcir les chaînes d’approvisionnement, les géants asiatiques et américains montrent un intérêt accru pour le pays. Ainsi, « depuis vingt ans, les acteurs asiatiques rachètent des entreprises européennes. Aujourd’hui, ils viennent en Tunisie pour prospecter et envisager l’installation de nouvelles usines », poursuit-il.

M. Charfeddine cite également l’intérêt des acteurs américains et japonais, notamment dans la fabrication de composants pour véhicules électriques. « Le véhicule électrique est plus accessible à produire et à intégrer. C’est une carte que nous devons jouer », a-t-il insisté.

Compétences locales et enjeux de souveraineté technologique

L’écosystème tunisien est en mesure de répondre à ces nouveaux défis : « Plus de 8 000 ingénieurs sont formés chaque année. Nos centres universitaires, professionnels et de recherche ont permis l’émergence d’une filière de compétences remarquable ».

Des entreprises comme Leoni ou Coficab ont investi dans des centres de développement en Tunisie, certains employant plus de 1 000 ingénieurs. « Le coût des ingénieurs en Tunisie reste compétitif, avec une excellente adaptabilité aux technologies émergentes ». La proximité géographique avec l’Europe, l’usage croissant des outils numériques et l’absence de décalage horaire renforcent encore l’attractivité du pays.

Le logiciel, nouveau cœur de la voiture connectée

« La voiture de demain sera un concentré de software », a souligné Imed Charfeddine, évoquant le rôle croissant des fabricants de téléphones dans l’automobile. « Regardez les véhicules conçus par ces entreprises : ils sont vendus dans les mêmes magasins que les smartphones et misent sur l’ergonomie. »

Dans un monde où la voiture devient un terminal mobile, la Tunisie a une carte à jouer : celle de la compétence numérique appliquée à l’automobile.

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FITA 8 : L’Afrique, sera-t-elle au Rendez-vous de l’IA ?

Le continent entend aller du digital à l’intelligence Artificielle, en toute souveraineté. Il s’agit d’une course d’obstacles. L’Afrique doit déjà se réapproprier sa Data logée à 85 %  sur cloud hors de ses frontières.

Le parcours que doit effectuer le Continent pour aller du digital, qu’il ne maitrise pas totalement, vers l’IA qu’il découvre à peine, est au cœur de sa transformation. Et c’était l’une des priorités figurant à l’agenda de TABC.

FITA 8 a réservé à cette thématique deux panels. Le premier évoque la manière ‘’d’exploiter le numérique pour stimuler l’innovation et la compétitivité’’. Le second s’intéresse à la façon d’aller ‘’vers un nouveau modèle de développement agile et résilient’’. Deux exercices de méthodologie portant sur l’art et la manière de triompher du défi de la Tech’.

L’Etat de l’art sur le continent

L’affaire se présente mal pour l’Afrique, les classements internationaux, ne lui sont pas favorables. L’île Maurice, en pointe du Continent arrive 169 ème sur 193 pays ! Nous occupons les derniers wagons. C’est sans surprise diront certains panélistes. Ils y voient la résultante du retard de nos universités et de la faiblesse de notre tissu économique.

« Encore un domaine où nous ne dérogeons pas à la malédiction du statut postcolonial : preneurs de solutions et non entrepreneurs de Tech’. »

 

Misère ! Encore un domaine où nous ne dérogeons pas à la malédiction du statut post colonial : Preneurs de solutions et non entrepreneurs de Tech’. Le plus rageant est que la formation en IA est en open source. C’est-à-dire qu’elle est accessible et gratuite. Réveillons-nous il va falloir en mettre un coup ! D’autant que le temps de maturité des nouvelles technologies se raccourcit, creusant davantage la fracture numérique. Il faut se hâter.

Pas d’IA sans Data !

Des préalables à la conquête de l’IA, il n’en manque pas. Le premier est  la disponibilité de la Data. Or celle-ci est faiblement collectée et peu traitée. Un handicap de taille. Pire que tout le cloud sur le continent est à 85 % entre les mains d’opérateurs internationaux.

Le Continent a de quoi s’inquiéter pour sa souveraineté si cette première ressource lui échappe en grande majorité. Pour s’en sortir, les états africains, doivent lancer les registres publics essentiels tel le registre d’état civil, le cadastre, le Registre des Entreprises, pour ne citer que ceux-là.

« Le cloud sur le continent est à 85 % entre les mains d’opérateurs internationaux. »

 

Et dans tous les cas de figure il faudra y aller méthodiquement en lançant les use cases indispensables en entreprises. Et hâter le ‘’e-Gov’’ ainsi que ‘’l’open-Gov’’ pour les services publics. La décision est d’ordre stratégique. C’est l’affaire des premiers dirigeants. Aux DSI de transformer l’essai.

Une autorité continentale pour la Tech’ ?

L’on voit qu’il y a un peloton d’une dizaine de pays qui s’activent sur la voie de transformation numérique. Toutefois, les performances en la matière ressemblent à nos classements internationaux.

Le Continent compte 54 pays mais si peu de licornes. Votre serviteur est bien incapable d’en citer une en dehors d’Insta Deep, laquelle a d’ailleurs été raflée par Bion’Tech.  Les observateurs sévères soutiennent que le continent traine, à ce jour, les séquelles de sa politique inappropriée en matière d’électrification de ses territoires. Gare à ne pas reproduire la même faille. C’est un challenge existentiel.

« SMART Africa sert déjà de coach technologique : faut-il lui conférer un véritable statut d’autorité continentale ? »

 

Tous les pays peuvent se doter de stratégies numériques. Le tout est de savoir les optimiser sur terrain. La maitrise d’œuvre est une chose redoutable. En la matière SMART Africa logée au Ruwanda, a été d’un bel apport de discipline et de convergence pour les normes technologiques. Elle sert de coach aux pays africains. Ne faut-il pas lui conférer un statut d’autorité continentale pour harmoniser la transformation numérique du Continent ?

Chiffres clés

  • 85 % : part des données africaines hébergées hors du continent.
  • 169ᵉ/193 : classement de l’île Maurice en matière de numérique (meilleure performance africaine).
  • 54 : nombre de pays africains, mais très peu de licornes technologiques.
  • 0 € : coût d’une formation en IA en open source, pourtant encore sous-utilisée.
  • 10 : nombre de pays africains vraiment engagés dans la transformation numérique.

 

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