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Affaire de corruption : Le tribunal refuse la libération de l’ex-syndicaliste des forces de sécurité

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès du tribunal de première instance de Tunis a rejeté la demande de mise en liberté présentée par la défense de Nabil Ayari, ancien secrétaire général du syndicat des forces de sécurité intérieure. L’audience a été reportée à une date ultérieure.

Ayari a comparu devant la juridiction en compagnie d’autres prévenus. Il est poursuivi pour des faits présumés de trahison qualifiée, de complicité, de blanchiment d’argent ainsi que pour des soupçons de corruption financière et administrative. Les accusations portent notamment sur la gestion des revenus et des dépenses du syndicat durant son mandat.

Pour rappel, un mandat de dépôt avait été émis à son encontre en 2023 par le juge d’instruction du pôle judiciaire financier, dans le cadre d’une enquête sur de graves irrégularités présumées liées aux finances du syndicat.

Belhassen Trabelsi condamné à 16 ans de prison ferme

Belhassen Trabelsi condamné à 16 ans de prison ferme

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès de la Cour d’appel de Tunis a confirmé un jugement par contumace condamnant Belhassen Trabelsi à seize ans de prison ferme. Par ailleurs, la même chambre a décidé de réduire la peine d’un homme d’affaires connu à cinq ans de réclusion et de classer […]

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Corruption financière : peines confirmées dans l’affaire Carthage Cement

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès de la Cour d’appel de Tunis a rendu ce lundi son verdict dans l’affaire de détournement de fonds au sein de la société Carthage Cement.

La cour a confirmé la condamnation de Belhassen Trabelsi à 16 ans de prison ferme, avec exécution immédiate, pour son implication dans des faits de corruption financière et de dilapidation de fonds publics.

La peine de l’homme d’affaires Lazhar Sta a été réduite à trois ans de prison, au lieu des huit ans prononcés en première instance. Il a toutefois été condamné à une amende de 45 millions de dinars.

Par ailleurs, la cour a décidé de classer les charges à l’encontre de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali et de l’accusé Noureddine Ferchou, tous deux décédés

Détournement à l’hôpital de Mahdia : quatre agents et un commerçant placés en détention

Cinq personnes, dont quatre agents de l’hôpital universitaire Taher Sfar de Mahdia et un commerçant, ont été placées en détention provisoire pour leur implication dans une affaire de détournement de biens publics.

Selon les informations rapportées par Diwan FM, les mis en cause sont accusés de formation d’un groupe en vue de porter atteinte aux personnes et aux biens, ainsi que de détournement de matériel par un agent public.

L’enquête a révélé que les suspects se sont emparés d’environ une demi-tonne de cuivre, récupérée lors des travaux de réaménagement de l’établissement, avant de la vendre à un marchand de biens d’occasion.

Par ailleurs, la direction de l’hôpital avait lancé une vente aux enchères de lits médicaux. À cette occasion, elle a découvert un déficit dans le stock prévu, révélant par la suite que les prévenus s’étaient illégalement approprié 50 lits médicaux usagés.

Une enquête judiciaire est en cours pour déterminer l’ampleur des détournements et les responsabilités exactes de chacun.

La peine de Chafik Jarraya ramenée à 4 ans après un cumul de 101 ans de prison

L’homme d’affaires Chafik Jarraya a bénéficié d’une réduction de peine drastique, passant d’un cumul impressionnant de 101 ans à seulement quatre ans.

L’annonce a été faite ce vendredi 9 mai 2025 par son avocat, Faycel Jadlaoui, via une publication sur sa page Facebook dans laquelle, il s’est par ailleurs adressé aux critiques de son client suite à cette décision inattendue.

Arrêté le 23 mai 2017, Chafik Jarraya avait été accusé de complot contre l’État, haute trahison et intelligence avec une armée étrangère dans une affaire visant également les hauts cadres sécuritaires Imed Achour et Saber Laajili. Ils obtiendront ensuite un non-lieu dans cette affaire, mais l’homme d’affaires restera lui en prison pour d’autres affaires de corruption et de falsifications de contrats de vente de biens confisqués.

Le cumul de ces peines avait atteint le chiffre astronomique de 101 ans de prison dans une vingtaine d’affaires distinctes, avant la réduction annoncée, ce vendredi 9 mai.

Y. N.

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Lutte contre la corruption : la CNAM au cœur d’un scandale financier

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès du tribunal de première instance de Tunis a prononcé des peines de prison allant de deux à six ans à l’encontre de cinq anciens responsables de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM), reconnus coupables de détournement de fonds publics.

Selon une source judiciaire citée par Diwan FM, les prévenus ont également été condamnés à verser des amendes dépassant 11 000 dinars tunisiens, en réparation des préjudices subis par l’État.

Les faits reprochés concernent la gestion frauduleuse de ressources financières appartenant à la CNAM, dans le cadre d’un réseau de malversations mis au jour par les autorités judiciaires. L’enquête, toujours en cours, a révélé l’existence de montants supplémentaires présumés détournés, qui font actuellement l’objet d’analyses comptables et d’expertises approfondies.

Les investigations ont été conduites dans le cadre de la politique nationale de lutte contre la corruption, visant à protéger les deniers publics et à rétablir la transparence dans la gestion des institutions publiques.

Scandale dans l’organisation de la Omra : un ex-ministre, un patron de chaîne et un voyagiste devant la justice

La chambre d’accusation spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès de la Cour d’appel de Tunis a ordonné le renvoi devant la chambre criminelle d’un ancien ministre des Affaires religieuses, d’un propriétaire de chaîne de télévision privée ainsi que d’un responsable d’agence de voyages.

Selon une source judiciaire citée par Diwan FM, les trois prévenus sont impliqués dans une affaire portant sur de graves soupçons de corruption financière et administrative. L’enquête concerne notamment l’attribution irrégulière de licences pour l’organisation de la Omra, le petit pèlerinage vers les lieux saints de l’islam.

Le dossier a été transmis à la chambre criminelle spécialisée du tribunal de première instance de Tunis, compétente en matière de délits économiques et financiers.

 

Tunisie | Deux policiers condamnés à 6 ans de prison pour corruption

La chambre pénale auprès de la Cour d’appel de Tunis a condamné à 6 ans de prison ferme deux agents de l’ordre accusés d’avoir perçu une importante somme d’argent d’un commerçant de boissons alcoolisées pour lui éviter des poursuites judiciaires.

Selon Diwan FM qui a publié l’information ce lundi 5 mai 2025, les prévenus vont également payer une lourde amende avec interdiction de travailler dans la fonction publique.   

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«Les ressources de la Tunisie sont importantes et ses richesses ignorées», estime Saïed

Suite à sa visite à Dahmani, avant-hier, où il a constaté l’état de délabrement d’une minoterie qui employait des dizaines de citoyens dans cette petite ville du nord-ouest tunisien, Saïed a appelé à prendre des mesures urgentes pour sauver des établissements négligées à cause des décennies de corruption et de mauvaise gestion.

C’est ce qu’a indiqué le président de la république, en recevant hier, vendredi 2 mai 2024, au Palais de Carthage, la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar et le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzeddine Ben Cheikh.

Selon un communiqué de la présidence de la république, le chef de l’État a souligné, encore une fois, la nécessité de passer à la vitesse supérieure et de «rompre avec les méthodes traditionnelles qui consistent à créer des commissions et des sous-commissions dont les travaux restent sans effet ou résultat ou aggravent la situation sur le terrain».

Kaïs Saïed, qui semble prêcher dans le désert, tant ses recommandations tardent à être mises en application par une administration qui avance à pas de tortue, a plaidé pour «la mise en place de nouvelles méthodes de travail basées sur une pensée novatrice, permettant de raccourcir les délais et d’accélérer la mise en œuvre des réformes».

Il a, dans ce contexte, appelé à trouver des solutions urgentes aux établissements qu’il a visités, récemment, notamment la minoterie de Dahmani, l’usine de plastique de Mezzouna, «ainsi que d’autres infrastructures dans les régions longtemps marginalisées à cause de politiques injustes et inéquitables», indique le communiqué.

«Le diagnostic est clair, les causes sont connues, et les solutions doivent être rapides, transparentes et inspirées de la révolution et des attentes du peuple tunisien», a insisté le président, qui s’impatiente de voir ses paroles traduites en actes par un gouvernement qui conjugue mutisme et manque de réactivité.

Saïed a, en outre, indiqué – au cas où on aurait douté de sa maîtrise des sujets qu’il évoque – qu’il suit de près les moindres détails de plusieurs dossiers, et œuvre à mobiliser les financements nécessaires.

«Les ressources de la Tunisie sont importantes et ses richesses ignorées. Les bénéfices qui en sont tirés doivent revenir au peuple, après le démantèlement des réseaux de corruption qui gangrènent plusieurs structures administratives», a-t-il dit, selon le communiqué.

Il reste à espérer que ces «réseaux» soient mis hors d’état de nuire dans les meilleurs délais, car la machine administrative semble encore grippée et le président est le premier à s’en plaindre, sans que l’on sache s’il a vraiment une stratégie pour débloquer la situation. Car depuis le temps qu’il s’en plaint, sans que l’on entende la moindre explication de la part des membres du gouvernement des blocages ainsi constatés, les citoyens commencent à s’impatienter voire à désespérer.

I. B.

  

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