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Le plan de développement 2026-2030, constitue une opportunité pour la construction (ministre de l’Economie et de la planification)

Le ministre de l’Economie et de la planification, Samir Abdelhafidh a souligné que le processus d’élaboration du plan de développement 2026-2030, devrait être une opportunité pour la construction basée sur de bonnes pratiques en matière de planification, en évitant les lacunes qui ont entravé la réalisation des objectifs souhaités et qui ont créé des disparités remarquables entre les régions et les catégories, d’où la nécessité d’identifier des solutions et de nouvelles approches qui sont à même de renforcer une croissance intégrée et équitable dans le cadre de l’unité de l’Etat.

Le ministre qui a présidé, vendredi, le 4ème forum régional des gouvernorats Sfax, Sidi Bouzid, Gafsa et Tozeur pour l’élaboration du plan de développement 2026-2030, a précisé que l’élaboration du nouveau plan s’inscrit dans le cadre de l’édification d’un système centré sur le citoyen, ou les conseils locaux, régionaux et ceux des districts élus qui jouent un rôle prépondérant et harmonieux, précisant que ces derniers sont chargés d’élaborer les propositions de projets des plans de développement, tout en consacrant leur rôle dans un processus progressif qui consacre l’unité de l’Etat.

Et d’ajouter que les autorités et les structures publiques vont œuvrer à garantir l’accompagnement pour les conseils locaux et régionaux, ainsi qu’aux conseils de districts, en mettant à leur disposition tous les moyens pour élaborer les plans de développement, soulignant que tous les services du ministère de l’Economie et de la planification et les structures y afférents, ainsi que les départements et les structures publiques concernés fourniront les études, les statistiques et les données disponibles, en plus de l’appui technique, à travers l’organisation de sessions de formation au profit des membres des conseils locaux et régionaux, ainsi que ceux des districts.

L’objectif, a-t-il dit, est de préparer le processus des plans de développement, selon une méthode scientifique et une action cohérente et efficace.

Le ministre a fait savoir que les structures du ministère ont entamé, au début de cette semaine, l’organisation de sessions de formation au profit des membres des conseils locaux dans tous les gouvernorats, outre des séances de formation au profit des membres des conseils de districts à la fin de la semaine écoulée, et ce en coopération avec le Centre de Formation et d’Appui à la Décentralisation (CFAD) et le ministère de l’Intérieur.

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Tunisie – TIA : vers une réforme stratégique de l’investissement axée sur les zones économiques et les incitations ciblées

La Tunisia Investment Authority (TIA) a présenté jeudi, lors de sa 21ème session de son Conseil Stratégique, le projet du rapport d’évaluation de la politique d’investissement 2024 qui évalue l’environnement d’investissement tunisien. Plusieurs recommandations stratégiques et opérationnelles ont été issues de cette évaluation de la politique d’investissement 2024.

Il s’agit principalement de la simplification administrative via l’instauration d’une autorisation tacite et la digitalisation des procédures, l’optimisation des incitations fiscales par leur ciblage sur les secteurs stratégiques, et l’amélioration de l’offre foncière à travers la création de zones économiques spécialisées notamment dans les industries créatives comme l’industrie cinématographique et le gaming.

La TIA a souligné que ce rapport s’appuie sur une analyse comparative internationale et les retours des acteurs publics et privés, complétées par une analyse économétrique du système d’incitations à l’investissement et une enquête de perception pour Identifier les principaux risques rencontrés par les investisseurs, a indiqué la TIA dans un communiqué

Il identifie également les principaux défis structurels – complexité administrative et incitations, autorisations et accès aux marchés, accès limité au foncier et efficience des incitations – tout en dressant le bilan des réformes de 2024.

La 21ème session du conseil stratégique de la TIA, tenue sous la présidence de Namia Ayadi, est une plateforme de dialogue public-privé qui a pour vocation de proposer des réformes structurantes afin d’améliorer l’environnement d’investissement en Tunisie, en s’appuyant sur des évaluations annuelles, une veille stratégique et des benchmarks internationaux.

La session a débuté par une présentation du Directeur Général de KOTRA Alger (Korea Trade-Investment Promotion Agency), Myoung Chul JANG, sur les axes stratégiques de la politique d’investissement coréenne.

Il a mis en lumière les secteurs prioritaires pour une coopération renforcée entre les deux pays, notamment les technologies vertes, l’industrie automobile, les énergies renouvelables et les industries créatives (Gaming). Cette présentation a permis d’identifier des pistes concrètes pour intensifier les échanges commerciaux et les flux d’investissements directs.

Les discussions ont permis aux membres du conseil d’échanger sur les implications de ces évolutions pour la Tunisie. Cette session vise à renforcer la démarche stratégique et à guider les interventions futures en vue d’élaborer une stratégie nationale d’attraction des investissements.

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Samir Abdelhafidh : pas de surendettement, mais une stratégie de financement ciblée et maîtrisée

Une dynamique particulière en matière de réalisation des projets et d’avancement de certains projets, dont les routes express, a été soulevée par les investisseurs internationaux, témoignant ainsi d’un bon usage et exploitation des crédits mobilisés, a fait savoir mardi le ministre de l’économie et de la planification, Samir Abdelhafidh.

Dans sa réponse aux questions des députés lors d’une plénière consacrée à l’examen du projet de loi relatif à l’accord de crédit entre la Tunisie et la Banque Africaine de Développement (BAD), Abdelhafidh a précisé que son département s’attache à identifier les priorités et à obtenir des crédits avec des taux préférentiels, en plus d’autres ressources mobilisées sous formes de dons.

Le ministère s’attache à la réalisation des projets dans les délais requis, a encore dit le ministre expliquant que la lenteur dans la réalisation des projets entraine, des coûts supplémentaires voire une augmentation du coût du projet, ce qui nécessite la recherche d’autres lignes de financement.

En plus des crédits, le ministère fait recours à ses propres ressources en les revalorisant et en rationalisant la gestion des coûts, a-t-il encore expliqué.

Il a ajouté : « Nous avons remboursé un certain nombre de prêts, et nous œuvrons à rembourser d’autres prêts, et nous comptons sur nous-mêmes, et l’État s’emploie à optimiser la gestion des prêts afin qu’ils aient un impact économique et social en plus de la capacité de les rembourser. »

Le ministre a noté qu’il n’y a pas d’ “excès” dans le taux d’endettement, précisant que la Tunisie n’a pas encore atteint des taux élevés qui dépassent ceux enregistrés dans les pays ayant un niveau économique similaire.

Par ailleurs, il a déclaré que le département ministériel de l’Économie consacre des crédits pour les programmes de développement régional, en s’appuyant sur une clé de répartition réglementée et scientifique.

Dans le cadre de ses plans stratégiques, le département ministériel de l’Equipement met en œuvre de nombreux projets et coordonne avec le ministère de l’économie et de la planification pour fournir des fonds, afin d’étendre le réseau routier rural sur environ 58 mille km, dont environ 28,5 mille km sont réhabilités.

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Diaspora tunisienne : levier stratégique pour l’économie nationale et le développement durable

Un atelier de travail international s’est tenu aujourd’hui, mardi, au siège de l’Académie diplomatique à Tunis, sur le thème : « La contribution des diasporas à la promotion de l’investissement et à la réalisation du développement durable », en présence de 350 participants, dont des experts internationaux, des responsables gouvernementaux et des représentants de la société civile (associations et d’organisations actives dans le domaine de la migration), à l’initiative du ministère des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, et de l’Organisation internationale pour les migrations.

Le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, et la directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations, Amy Pope, ont conjointement présidé cet atelier.

La directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations a affirmé que les diasporas constituent une force motrice importante pour l’investissement dans les économies des pays d’origine, soulignant le soutien de l’organisation aux initiatives du gouvernement tunisien visant à offrir des solutions innovantes pour renforcer la contribution des migrants tunisiens résidant à l’étranger à toutes les activités économiques.

Elle a considéré que les bénéfices communs que peuvent générer ces migrants ne se limitent pas aux transferts financiers, mais englobent aussi l’investissement, appelant à mobiliser les efforts pour une bonne gouvernance de la migration, à une meilleure valorisation des capacités des migrants, et à un renforcement de leur accès au secteur privé.

De son côté, le gouverneur de la Banque centrale, Fathi Nouri, a souligné que les Tunisiens résidant à l’étranger représentent « une force stratégique combinant compétences de haut niveau et influence culturelle », indiquant qu’ils constituent un acteur actif dans l’économie nationale.

Nouri a divisé les migrants tunisiens en deux catégories : la première génération, composée des migrants des années 1980, qui formaient une main-d’œuvre peu qualifiée ayant largement contribué à la construction des économies européennes ; et la génération des années 2000, formée de spécialistes dans des domaines nécessitant une formation scientifique comme la médecine, l’ingénierie et l’enseignement, et qui contribuent à leur tour à la croissance économique des pays d’accueil.

Par ailleurs, le représentant permanent de la Colombie auprès des Nations Unies, Gustavo Gallón, président du Forum mondial sur la migration et le développement prévu cette année à Barranquilla (Colombie), a déclaré lors de sa participation à cet atelier que sa présence reflète l’intérêt que porte son pays, en tant qu’organisateur du sommet, au renforcement de la coopération dans le domaine migratoire, soulignant que la migration régulière est un droit qui nécessite une gestion rigoureuse à travers des mesures concrètes.

Le responsable colombien a indiqué que l’atelier organisé à Tunis sur la contribution des diasporas à la promotion de l’investissement et au développement durable s’inscrit dans le cadre de la préparation du forum, et a rassemblé des experts pour examiner les questions liées à une migration sûre, régulière et organisée.

Il a également présenté l’expérience de son pays dans la gestion des affaires migratoires, révélant que la majorité des migrants en Colombie sont originaires du Venezuela, avec un effectif atteignant 18 millions de personnes.

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Forum régional de l’investissement au Kef : relancer l’économie et soutenir l’initiative privée

Le forum régional de l’investissement qui s’inscrit dans le cadre de la concrétisation des orientations politiques nationales visant essentiellement à redynamiser le cycle économique dans les régions de l’intérieur, regagner la confiance dans l’économie nationale et à promouvoir l’initiative privée, a été organisé, lundi, dans la ville du Kef.

Ce conclave constitue une occasion pour présenter les opportunités d’investissement et les moyens disponibles pour créer des projets privés dans le gouvernorat du Kef, selon un exposé présenté, à cette occasion, par les autorités régionales.

Intervenant lors de ce forum, le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, a rappelé qu’une série de réformes sont en cours d’élaboration en vue d’améliorer le climat de l’investissement, notamment, la modernisation du cadre législatif du système d’investissement, la suppression de plusieurs autorisations administratives et la révision des cahiers de charges.

L’objectif est de simplifier l’accès aux marchés, de soutenir l’initiative privée et de parachever la numérisation de plusieurs services.

Il a, également, évoqué les efforts déployés par l’État pour améliorer les infrastructures d’investissement afin d’attirer les projets stratégiques et de signer des contrats dans le domaine des énergies renouvelables pour la production d’électricité.

Les participants à ce forum, ont été unanimes à souligner l’impératif d’accorder plus d’importance aux infrastructures et d’encourager l’investissement à travers la présentation de projets innovants et l’aménagement des zones industrielles, outre que la réalisation de projets miniers à forte productivité. Ils ont appelé, à cette occasion, les banques à contribuer au financement des projets industriels, agricoles ou innovants.

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Gabès accueille le Forum arabe de l’investissement touristique

La ville de Gabès abrite, du 7 au 9 mai courant, le Forum arabe pour l’investissement touristique et économique, qui sera organisé à l’initiative de l’Association Horizon pour le tourisme, la culture, le développement et la coopération internationale.

Cet événement vise à dynamiser l’investissement dans le secteur touristique au sud de la Tunisie, en particulier dans la région de Gabès. Il réunira plusieurs investisseurs venus de divers pays arabes.

Au programme du forum, des visites de terrain dans des sites emblématiques tels que Chenini, les grottes d’El Hamma-Ouest, où un projet d’une station thermale sera mis en place, ainsi que Toujane, Zarat et la plage de Limaoua, site retenu pour l’aménagement d’une zone touristique écologique intégrée. Les participants découvriront également les anciens quartiers de El Menzel et Jara.

En plus des visites, plusieurs communications sont prévues autour du rôle des agences de voyages dans le développement du tourisme arabe, des opportunités d’investissement dans la région et des mécanismes de soutien disponibles.

Dans le cadre de cette manifestation dédiée à la promotion du tourisme à Gabès, plusieurs interventions seront présentées autour de l’importance de la coopération entre les agences de voyages pour le développement du tourisme arabe, des opportunités d’investissement touristique dans la région de Gabès, ainsi que des mécanismes de soutien et avantages disponibles dans ce domaine.

Le forum se tiendra au Centre de stages, de vacances et de camping de Chela, à Chenini (Gabès). Il sera aussi marqué par des ateliers consacrés à l’artisanat local, véritable vitrine du savoir-faire traditionnel de la région.

 

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