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Trump et son cabinet de flagorneurs

Du jamais vu par le public américain. Au début de ce mois de mai, Trump et ses ministres étaient en réunion à la Maison Blanche, et les débats étaient transmis en direct par la chaine C-Span. C’était l’occasion de voir le président et ses ministres au travail.

Divers sujets ont été abordés par le président et les ministres du gouvernement fédéral américain. Mais chaque sujet abordé par l’un ou l’autre des ministres était immanquablement suivi par le maniement de la brosse à luire à l’intention du président qui a accompli des « choses extraordinaires » dans les premiers cent jours de sa présidence. Un écho sans doute à la célèbre fanfaronnade de Donald Trump quelques jours plus tôt quand il s’est permis d’affirmer le plus sérieusement du monde : « Ce que j’ai accompli pour l’Amérique en cent jours n’a jamais été accompli par aucun autre président dans l’histoire de notre pays »…

Cet ego hypertrophié et cette suffisance sans commune mesure du président américain ont été entretenus et nourris en direct tout au long de la réunion par ses ministres qui ont rivalisé de flagornerie. C’était à qui rend le plus grand hommage au président, à qui lui tresse les meilleurs lauriers, à qui formule la plus originale flatterie en direction du président.

Trump, qui se délectait visiblement des fleurs que lui lançaient les flagorneurs qui l’entouraient, les laissait parler à leur guise sans les interrompre. Mais qu’on l’approuve ou qu’on le désapprouve, Trump a accompli sur le plan intérieur certaines de ses promesses électorales : il a réduit le budget fédéral à un niveau choquant pour des millions d’Américains ; il a fermé la frontière sud du pays ; il a endigué le flux des migrants vers les Etats-Unis. Il a expulsé vers les prisons du Salvador des milliers de ce qu’il appelle « les criminels, les voleurs et les violeurs », etc.

On le voit, un bilan peu glorieux, mais que Trump considère comme « une réalisation extraordinaire qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait pu accomplir en si peu de temps, et que ses ministres le qualifient de “bilan exceptionnel d’un homme exceptionnel“ ».

Le premier laurier tressé l’a été par le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, qui a déclaré avoir « hérité d’une armée démoralisée, incapable de recruter et perçue comme faible après les événements d’Afghanistan et d’ailleurs, à cause de Joe Biden. Depuis l’élection du président Trump, on assiste à une véritable renaissance du recrutement… Les hommes et les femmes aux Etats-Unis veulent rejoindre l’armée américaine dirigée par le président Donald Trump ».

Le conseiller à la Sécurité nationale, Michael Waltz, s’est révélé plus professionnel dans le maniement de la brosse à reluire. Il a affirmé en fixant Trump dans les yeux : « C’est un honneur de servir dans votre administration. Je pense que le monde va beaucoup mieux et est devenu un endroit beaucoup plus sûr depuis votre élection ».

Juste quelques jours plus tard, Waltz était viré de son poste et nommé loin de Washington au poste de représentant des Etats-Unis à l’ONU. Pourquoi ? Au moment même où il tressait son laurier au président, il était en train de comploter contre lui avec Benyamin Netanyahu pour le déclenchement d’une guerre contre l’Iran dans laquelle les deux comploteurs espéraient mettre Trump devant le fait accompli…

La palme d’or de la flagornerie revient sans conteste à la procureure générale, Pam Bondi, qui affirma sans rougir : « Monsieur le président, vos cent premiers jours ont largement dépassé ceux de toute autre présidence dans ce pays. Je n’ai jamais rien vu de tel. Merci. Votre directive pour moi était très simple : assurer la sécurité de l’Amérique. C’est ce à quoi nous nous employons. Par ailleurs, nous continuons à vous défendre dans plus de 200 procès civils intentés contre vous. Nous allons réussir. Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour assurer la sécurité de l’Amérique conformément à vos instructions ».

Beaucoup de commentateurs américains se sont exprimés avec beaucoup d’embarras. D’autres ont exprimé leur colère de voir la réunion du cabinet de l’Etat fédéral américain se rapprocher beaucoup plus de ce qui se passe dans les républiques bananières que dans les pays démocratiques qui se respectent.

Le plus mesuré dans ses commentaires est Seymour Hersh qui a écrit sur son site : « Il n’y avait pas grand-chose à apprendre de cette réunion du cabinet à la Maison Blanche, si ce n’est que le président était parfaitement disposé à laisser ses chefs de cabinet s’exprimer sans trop les interrompre, tant qu’il s’agissait de son propre leadership exceptionnel. Inévitablement, l’événement fut marqué par des flatteries outrancières et des inexactitudes absurdes ».

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Guerre des gazoducs au Maghreb : où en sont les deux projets rivaux ?

Engagés dans une guerre de gazoducs pour relier les réserves du Nigeria au marché européen, l’Algérie et le Maroc ne manquent pas d’atouts pour remporter ce mégaprojet. Explications. 

Coup dur pour le projet algérien de gazoduc transsaharien dans la bataille énergétique qui se joue entre Alger et Rabat, alors que les deux frères ennemis du Maghreb s’affrontent durement autour de deux projets concurrents visant à acheminer le gaz du Nigeria vers l’Europe. Le premier, porté par Alger, suit un tracé de 4 128 kilomètres en transitant par le Niger sur environ 841 km. Le second, défendu par Rabat, vise à relier le Nigeria à l’Europe via la côte atlantique ouest-africaine. Long de 5 660 kilomètres, ce gazoduc partira de Dakhla pour se connecter au réseau nigérian, avant de remonter vers l’Europe en traversant 13 pays africains.

Volte-face

En effet, selon les dernières nouvelles, et alors que les partenaires Algérie/Niger/Nigeria ont formalisé leur engagement par des accords bilatéraux et des protocoles techniques – dotant l’initiative d’un socle institutionnel robuste, d’autant plus  qu’Alger bénéficie d’un réseau d’infrastructures existantes déjà facilitant le raccordement aux terminaux méditerranéens -, le Niger a officiellement suspendu, jeudi 8 mai, sa participation à ce projet titanesque porté par l’Algérie et conçu pour transporter jusqu’à 30 milliards de m³ de gaz par an vers l’Europe. Et ce, dans un contexte de climat tendu entre Niamey et Alger, marqué notamment par l’affaire du drone malien abattu par l’armée algérienne.

Cet incident a entrainé la détérioration des relations diplomatiques entre Alger et le Mali, le Niger, le Burkina Faso, trois pays africains réunis au sein de l’Alliance des États du Sahel (AES) et déclenché une réaction diplomatique en chaîne, marquée notamment par des rappels d’ambassadeurs et des fermetures d’espaces aériens.

Un soutien émirati de poids

En revanche, le projet concurrent de gazoduc entre le Nigeria et l’Europe via le Maroc vient d’enregistrer un soutien de poids. En effet, la ministre de la Transition énergétique, Leila Benali, a révélé lundi 5 mai devant le Parlement que les Émirats arabes unis contribueront au financement du chantier estimé à 25 milliards de dollars, aux côtés de partenaires tels que la Banque européenne d’investissement, la Banque islamique de développement et le Fonds de l’OPEP.

La ministre a par ailleurs confirmé l’attribution d’un contrat à la société chinoise Jingye Steel Group pour la fourniture des conduites. Elle a précisé que le Maroc a finalisé toutes les études de faisabilité et d’ingénierie.

Défis majeurs

La contribution des Émirats au financement du projet gazoduc Maroc Europe marocain lui redonnera-t-elle un second souffle ? Rappelons à cet égard que la décision finale d’investissement pour ce projet a été reportée à début 2026 pour plusieurs facteurs.

D’abord, certaines études techniques, notamment celles concernant les tronçons les plus sensibles du tracé, n’ont pas encore été finalisées.

Ensuite, le budget initial du projet, estimé à 25 milliards de dollars, a été revu à la hausse, dépassant désormais les 30 milliards de dollars.

Enfin, le fait que le projet marocain traverse plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et du Nord implique des défis diplomatiques et logistiques considérables, notamment la coordination entre ces nations, la sécurisation des contrats, ainsi que la mobilisation des financements.

À tous ces obstacles, s’ajoute une difficulté majeure : l’absence d’engagements fermes de la part d’acheteurs européens, condition essentielle pour garantir la rentabilité du projet. Or, sans ces accords à long terme, aucun investisseur ne s’engagera sur un chantier de cette ampleur.

Les atouts de l’Algérie

Par contre, le gazoduc transsaharien, projet lancé dès les années 1980 mais relancé en force ces dernières années par Alger, dispose déjà d’un vaste réseau de gazoducs, d’unités de compression, de stations de transit, ainsi que d’un accès direct aux marchés européens via ses terminaux en Méditerranée.

Au final, le gazoduc transsaharien, avec ses accès directs vers l’Italie et l’Espagne, présente un profil bien plus attractif. Cependant, la décision soudaine du Niger de suspendre sa participation au projet porté par l’Algérie pourrait ralentir momentanément son avancement, mais sur le long terme, ce partenaire essentiel, sur lequel transitent environ 841 km de pipelines, finira par privilégier ses intérêts économiques à la solidarité politique avec les pays voisins du Sahel. Realpolitik oblige.

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Conflit Inde-Pakistan : le pire est à craindre…

En représailles à l’attentat au Cachemire, l’Inde menace de « couper l’eau » des fleuves qui irriguent la province du Pendjab, le cœur agricole du Pakistan. « Un acte de guerre », prévient Islamabad.

Vive inquiétude de la communauté internationale suite à la flambée de violence entre les deux belligérants asiatiques, dotés de surcroit de l’arme atomique. Pour rappel, l’Inde et le Pakistan sont des puissances nucléaires rivales qui se sont affrontées dans trois guerres majeures (1947, 1965, 1971), principalement autour du Cachemire. A savoir une région à majorité musulmane que les deux pays revendiquent depuis la partition de l’Inde en 1947. Un événement historique majeur qui marqua la fin de la domination coloniale britannique en Inde et la naissance de deux nations indépendantes : l’Union indienne et le Pakistan. Une partition traumatisante qui s’est déroulée à l’époque dans un contexte de tensions religieuses, politiques et communautaires dont les blessures, de part et d’autre, sont encore vivaces.

Frappes ciblées

Ainsi, dans la nuit du 6 au 7 mai, la tension est montée d’un cran entre les deux frères ennemis. En représailles à l’attentat du 22 avril qui a tué 26 touristes à Pahalgam, au Cachemire indien-et que New Delhi impute à des djihadistes pakistanais soutenus par Islamabad- l’armée indienne a mené une série de frappes ciblées sur des sites présentés comme des « infrastructures terroristes » au Pakistan et au Cachemire sous administration pakistanaise.

En effet, le ministère indien de la Défense a publié un communiqué à 1h44 du matin pour annoncer que : « Les forces armées ont lancé l’opération Sindoor et frappé des cibles terroristes au Pakistan ainsi que dans la partie du Cachemire occupée par le Pakistan. […] Aucune infrastructure militaire n’a été ciblée. L’Inde a fait preuve d’énormément de retenue en choisissant les cibles et la méthode pour les détruire. »

Des avions indiens abattus?

Islamabad, qui nie toute responsabilité dans cet attentat sanglant, aura riposté par des tirs d’artillerie et dit avoir abattu cinq avions indiens après des bombardements contre son territoire dans la nuit de mardi à mercredi. Parmi lesquels on relève trois Rafale de fabrication française, un MiG-29, un SU-30 et un drone. Une affirmation non confirmée par l’Inde ni vérifiée de manière indépendante.

« Les agissements inconsidérés de l’Inde ont rapproché deux puissances nucléaires d’un conflit majeur. Le Pakistan se réserve le droit de répondre de manière appropriée quand et où il le décidera ». Ainsi a prévenu le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué cette nuit.

Le bilan est donc provisoire mais peut exploser d’un moment à un autre. En effet,  les affrontements ont fait au moins 26 morts côté pakistanais dont une fillette de trois ans et huit autres côté indien.

Guerre de l’eau

Et c’est dans ce contexte explosif que New Delhi a décidé de jeter de l’huile sur le feu en annonçant, mardi 6 mai, par la voix de son Premier ministre Narendra Modi, que son pays allait « couper l’eau » des fleuves qui prennent leurs sources sur son territoire et irriguent en aval le Pakistan en représailles à l’attentat meurtrier commis au Cachemire indien.

« L’eau appartenant à l’Inde s’écoulait jusque-là vers l’extérieur, elle sera désormais stoppée pour servir les intérêts de l’Inde et sera utilisée pour le pays », a déclaré le nationaliste hindou.

Cette déclaration incendiaire et lourde de conséquences s’ajoute à la décision unilatérale de l’Inde de suspendre  sa participation à un traité de partage des eaux signé en 1960 avec le Pakistan.

Signé sous l’égide de la Banque mondiale à cette date, le Traité des eaux de l’Indus accorde à l’Inde l’usage exclusif des trois rivières de l’Est (Ravi, Beas, Sutlej) et au Pakistan l’usage exclusif des trois rivières de l’Ouest (Indus, Jhelum, Chenab), bien que ces dernières prennent leur source en Inde, notamment au Cachemire.

Casus belli

Réaction immédiate d’Islamabad à cette menace existentielle : toute tentative de perturber le débit de ces fleuves serait considéré comme « un acte de guerre », a prévenu le Pakistan. Il a accusé l’Inde de modifier le débit du fleuve Chenab, l’un des trois placés sous son contrôle d’Islamabad selon le traité de 1960.

« On a remarqué des changements sur le Chenab qui n’ont rien du naturel débit du fleuve, normal, et qui a été considérablement réduit du jour au lendemain ». C’est ce qu’a déclaré pour sa part Kazim Pirzada, ministre de l’Irrigation du Pendjab.

En effet, il s’agit d’une question de vie ou de mort pour cette province située à la frontière de l’Inde et habitée par  près de la moitié des 240 millions de Pakistanais et qui est le cœur agricole du pays. Le traité de l’Indus accorde à New Delhi le droit d’utiliser les fleuves partagés pour ses barrages ou ses cultures. Mais il lui interdit de détourner des cours d’eau ou d’altérer le volume d’eau en aval.

Réactions internationales

Appelant à la désescalade et rappelant que « la solution ne peut être militaire », le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a exhorté l’Inde et le Pakistan à « éviter une confrontation militaire ». Tout en jugeant que les tensions étaient « à leur plus haut niveau depuis des années ».

Pour sa part, le président Donald Trump a qualifié la situation de « honteuse », en exprimant l’espoir d’un retour rapide au calme.

De son côté, le secrétaire d’État Marco Rubio a déclaré suivre les développements « de très près », encourageant  les deux pays « à maintenir un canal de communication ouvert ».

Soulignons enfin que la tension entre l’Inde et le Pakistan autour de l’eau est effectivement considérée par de nombreux experts comme un exemple précurseur des conflits à venir autour de cette précieuse ressource vitale.

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Les islamistes marocains à la rescousse… pour fourrer leur nez dans les affaires de la Tunisie!!!

Les islamistes marocains à la rescousse… pour fourrer leur nez dans les affaires de la Tunisie!!! | Univers News

  • Benkirane, les islamiste, les invités nahdhaouis et les slogans hostiles à la Tunisie
  • Le monarque marocain a la rancune très dure envers la Tunisie et utilise tous les moyens de déstabilisation
  • Le parti de Othmani et Benkirane veut retrouver sa « virginité perdue », après tous les scandales moraux, politiques et financiers possibles qu’il a connus

Tunis, UNIVERSNEWS (Politique)  – Le Maroc et son monarque ont la rancune trop dure envers la Tunisie et ils usent de tous les moyens pour enquiquiner la Tunisie… au point qu’il ne regarde pas à la manière et utilise les islamistes du Maroc qui sont une arme à double tranchant, pour atteindre les objectifs escomptés. Ces derniers n’ont pas trouvé mieux que d’appeler la confrérie à la rescousse… en invitant des membres du mouvement Ennahdha qui est dans un état lamentable, pour s’immiscer dans les affaires intérieures de la Tunisie… ce qui n’est pas vraiment amical de leur part !!!

Il semble que le « Makhzen marocain » ait mis de côté les problèmes de ses « sujets » marocains, comme il le fait depuis des décennies, et ait décidé de poursuivre son « hobby » auquel il s’accroche depuis belle lurette, pour contribuer à entraver le développement de la Tunisie, notamment dans les secteurs où les deux pays sont en concurrence, notamment le phosphate, le tourisme et certains produits agricoles.

Le propriétaire du « Makhzen marocain », le bon souverain qui se prévaut d’être le descendant du prophète Mohamed n’avait pas manqué de répondre à l’appel des USA pour nouer des relations diplomatiques avec l’entité sioniste a soutenu ceux qui ont œuvré au renversement du régime avant le 14 janvier 2011, et plusieurs informations pointent vers son implication dans la « motivation » de certains de ceux qui ont plongé le secteur tunisien des phosphates dans un labyrinthe dont il n’est pas sorti à ce jour. L’une des ironies de cette période est que le « Makhzen marocain », avec tout son bilan noir dans le domaine des libertés et des droits de l’homme, était devenu, à cette époque, un « modèle » dont certains courtiers en place en Tunisie se vantaient et qu’ils fréquentaient.

La gauche marocaine et ceux qui prévalent d’être des défenseurs des droits de l’homme dans ce pays ont joué un rôle-clé dans la mise en œuvre des «plans du Makhzen», qui ne cache pas son lien étroit avec l’entité sioniste dans «l’encadrement» de ceux qui avaient joué un rôle dans la version tunisienne du «printemps arabe». Il suffit de mentionner le séjour prolongé du roi Mohammed VI, qui était loin de son peuple, en Tunisie, et la soumission et la servilité dont a fait preuve le provisoire » Mohamed Moncef Marzouki à son égard.

Le fameux « Parti de la justice et du développement » marocain membre à part entière de la nébuleuse islamiste, étroitement lié à l’organisation mondiale des Frères musulmans, est une «copie conforme » du Parti turc de la justice et du développement. Il s’est cherché une place dans la configuration du souverain marocain et s’est placé de manière à mettre, aussi, son nez dans les affaires intérieures tunisiennes, en marquant son attachement au mouvement Ennahdha dont il avait accueilli des dirigeants à maintes reprises.

Bien que ses efforts aient toujours été vains, surtout que le mouvement Ennahdha n’est plus que l’ombre de ce qu’il avait été, ce « parti » a recommencé à s’immiscer dans les affaires intérieures de la Tunisie, lors de sa dernière conférence transformée en tribune pour les figures de deuxième rang d’Ennahdha, en particulier celles qui ont lancé des slogans contre la Tunisie.

Par ce biais, le parti de Othmani et Benkirane veut retrouver sa « virginité perdue ». Ces dernières années, il a connu toutes sortes de scandales moraux, politiques et financiers possibles, et il est devenu clair pour tout le monde qu’il n’est qu’une façade bon marché pour le propriétaire du «Makhzen marocain».

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