WMC LeMag 234 : Commerce, Tourisme, Education…
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TABC* aura eu le mérite, en 10 ans d’activité, d’ancrer dans les esprits la nécessité d’aller vers un panafricanisme économique. L’objectif d’une planification concertée à l’échelle du continent devient plausible.
FITA**, qui en est à sa huitième édition, s’est tenue à Tunis, les 6 et 7 mai. Pendant deux jours, Tunis a été, grâce à FITA, en quelque sorte the marketplace to be pour le continent.
TABC, organisateur de l’événement, lequel célèbre son dixième anniversaire, ne lâche pas prise. Il continue son combat pour le renforcement des échanges intra-africains. Et son appel fait écho. Ils étaient plus de 1 000 dirigeants du public et du privé à faire le déplacement.
L’Afrique veut s’auto-explorer. Elle garde de mauvais souvenirs de ses précipitations lors de son décollage économique improvisé, avec une regrettable inexpérience. Elle a été longtemps raillée par les observateurs malveillants, lesquels ironisaient sur « un continent mal parti ».
Longtemps terre promise et conquise pour les opérateurs internationaux, peu partageux, le continent entend impulser sa transformation. En toute souveraineté ! Cette expression peut à elle seule symboliser ce qui tient lieu d’Appel de Tunis.
L’ambition est légitime. Par conséquent, l’Afrique manifeste son souci de maîtriser ses transitions globales. Cela vaut pour l’énergie, l’agriculture et l’environnement autant que pour la diversité et le digital. Cri du cœur deviendrait-il cri de guerre ?
L’affluence à FITA 8 était abondante et variée. L’Afrique était majoritairement représentée. L’avantage est que le privé et le public font chorus. Ils deviennent accros à l’objectif d’un destin africain partagé. Cela devient leur credo. Ils le rallient avec engagement et passion.
Si le continent sait se donner une taille critique, il immuniserait son émancipation, car c’est bien de cela qu’il s’agit. Le « Temps de l’Afrique » appelle à un upgrading du statut du continent longtemps convoité. Et longtemps minoré dans ses intérêts vitaux. Logé à l’enseigne de l’échange inégal, il cherche à se joindre au tour de table afin de maîtriser la dynamique de sa transformation.
Oui, imposer sa souveraineté pour rester responsable de sa feuille de route est une résolution lucide. Les moyens sont abondants. Il reste à trouver la gouvernance dédiée.
L’Afrique jouit actuellement du profil idéal. Une population jeune à hauteur de 60 %. Des terres rares et parmi les plus précieuses, notamment pour le lithium. Et des superficies abondantes. Un Eldorado, en somme !
Avec une communauté d’affaires gagnée à l’idée d’une planification concertée.
Jusque-là, le continent s’est embourbé dans des flux d’échanges déséquilibrés. Sans la moindre intention de se fermer à la coopération internationale, il plaide pour un partenariat juste et équitable. Qu’il veut superviser, en souveraineté.
Le continent, étant à la croisée des transitions globales, cherche à commander sa transformation. La démarche est toute de discernement. Et, elle est recevable.
FITA s’emploie à unir les Africains quant à la philosophie de sa mise en œuvre. Mal partie, l’Afrique ? Qu’importe ! La voilà qui s’implique à corriger le tir. Outre que cela fait sens, accrochez-vous, cela pourrait faire boom économique.
Ali Driss
*TABC : Tunisian African Business Council
**FITA : ‘’Financing Investment and Trade in Africa’’
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Après la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne a longtemps incarné la puissance économique de l’Europe. Toutefois, au cours des deux dernières décennies, des vents contraires fondamentaux ont commencé à s’accumuler : des tendances démographiques défavorables, une réglementation et une fiscalité excessives, ainsi qu’un retard dans la modernisation des secteurs clés face à l’ère numérique et à un paysage mondial en mutation rapide. En conséquence, l’économie allemande a sous-performé, avec un PIB réel qui est resté inchangé au cours des cinq dernières années — une évolution peu flatteuse comparée à la croissance de 12,2 % aux États-Unis ou même à celle de 5 % dans le reste de la zone euro sur la même période.
L’arrivée au pouvoir du Chancelier Friedrich Merz pourrait marquer un tournant en matière de politique économique et de performance. Pendant des décennies, l’Allemagne s’est consacrée à la rigueur budgétaire et à l’austérité. En revanche, le nouveau gouvernement arrive avec un vaste plan de relance budgétaire qui pourrait atteindre 1 000 milliards d’euros, incluant des investissements dans les infrastructures et la défense, ainsi que des projets de réformes fiscales et du marché du travail.
Ce programme économique constitue un changement de paradigme par rapport au conservatisme budgétaire traditionnel de l’Allemagne et devrait stimuler la croissance à moyen terme. Toutefois, la nouvelle administration hérite de défis majeurs qui exigent des réformes profondes pour relancer durablement une économie stagnante. Cet article explore trois facteurs clés qui illustrent ces défis et étayent notre analyse.
Premièrement : Des défis structurels majeurs qui sapent la compétitivité et la productivité
Le Rapport mondial sur la compétitivité offre une évaluation utile de cette dimension. Il y a dix ans à peine, l’Allemagne occupait le 6e rang mondial ; elle est aujourd’hui tombée à la 24e place, en raison des lourdeurs réglementaires, d’une fiscalité contraignante, de lois rigides sur l’emploi et d’une complexité administrative excessive.
La bureaucratie coûte jusqu’à 146 milliards d’euros par an à l’économie allemande. La perte de compétitivité se reflète clairement dans les statistiques de productivité : depuis 2017, la production par travailleur a chuté de 2,5 %. Les chefs d’entreprise dénoncent une administration tentaculaire et une transition numérique trop lente. Ce ralentissement nuit particulièrement aux start-ups, pour lesquelles les retards administratifs peuvent décider du succès ou de l’échec d’un projet. Par conséquent, de plus en plus d’entreprises transfèrent leurs activités vers d’autres pays européens comme les Pays-Bas, la Suède, le Portugal ou la Pologne. Ces problèmes structurels continueront donc à freiner la croissance, et devront être traités par des mesures allant au-delà d’un simple stimulus fiscal.
Deuxièmement : La modernisation des infrastructures, un impératif pour la croissance future
Si l’Allemagne veut relancer sa croissance économique, elle doit impérativement moderniser ses infrastructures vieillissantes. Sa politique budgétaire ultra-conservatrice a conduit à une sous-finance chronique dans des domaines clés. En 2023-2024, l’investissement public représentait en moyenne 2,8 % du PIB, contre 4,3 % en France.
Faute d’investissements suffisants, les infrastructures de transport et d’énergie vieillissent, et les technologies numériques restent à la traîne, ce qui freine la croissance à long terme. Il est donc crucial de procéder à des mises à niveau massives. Dans le passé, les délais de planification et de passation de marchés ont souvent excédé ceux de la construction elle-même. En 2023, 76 milliards d’euros de ressources budgétaires sont restés inutilisés, en raison d’obstacles administratifs et réglementaires. La modernisation des infrastructures doit ainsi figurer en tête des priorités du nouveau gouvernement.
Par ailleurs, une réforme visant à réduire l’impôt sur les sociétés ne serait appliquée que progressivement, à partir de 2028.
Troisièmement : L’industrie manufacturière poursuit sa dégradation, pesant sur la croissance globale
Secteur clé de l’économie allemande, l’industrie manufacturière traverse une période prolongée de déclin, affectant la croissance générale. Entre 2000 et le pic de 2017, la composante industrielle du PIB réel augmentait de 1,9 % par an. Depuis, cette dynamique s’est brusquement inversée, sous l’effet de nombreux chocs : tensions commerciales mondiales, ralentissement de l’économie mondiale, pandémie de Covid, crise énergétique liée à la guerre en Ukraine, et déclin du secteur automobile.
Depuis son pic en 2017, la production industrielle allemande a reculé de 18 %. En 2025, les nouvelles guerres commerciales lancées par l’administration Trump, conjuguées à l’incertitude géopolitique élevée, exerceront une pression supplémentaire sur les industries tournées vers l’exportation. Même si le secteur manufacturier devrait bénéficier des investissements dans les infrastructures et la défense, le nouveau gouvernement devra assurer un environnement plus stable pour compenser ces vents contraires majeurs.
En conclusion, Le gouvernement hérite d’un lourd passif qui pèse sur les perspectives de croissance. Le changement de paradigme en matière de politique budgétaire devrait permettre une mise à niveau essentielle des infrastructures et amorcer une reprise, stimulant ainsi la croissance à moyen terme. Toutefois, des réformes structurelles plus profondes seront nécessaires pour garantir une relance durable de l’économie allemande..
(SOURCE : REVUE ECONOMIQUE | QNB)
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Le rappeur Ahmed Laabidi, connu sous le nom de scène “Kafon”, est décédé ce samedi, selon une déclaration de son manager à la radio Jawhara FM.
Kafon s’était fait un nom en Tunisie grâce à sa chanson emblématique “Houmani”, interprétée en duo avec le chanteur Mohamed Amine Hamzaoui. Il s’est également illustré au fil des années avec plusieurs titres marquants tels que “Maalesh”, “El Ayem” ou encore “Nheb Neqlaa”. En plus de sa carrière musicale, il avait exploré le monde de la comédie, notamment à travers les séries “Nouba” et “Raqouj 1 et 2”.
Paix à son âme.
Ahmed Laabidi, plus connu sous son nom de scène Kafon, est né en 1983 à Tunis, dans le quartier populaire de Bab El Khadhra. Dès ses débuts dans les années 2000, il s’impose comme une figure montante de la scène rap underground tunisienne, avec un style brut, sincère et résolument engagé.
C’est en 2013 que Kafon atteint une notoriété nationale avec le titre “Houmani”, en duo avec Mohamed Amine Hamzaoui. Véritable phénomène sur les réseaux sociaux et dans les rues, cette chanson devient un hymne des quartiers populaires et une radiographie musicale des inégalités sociales et de la jeunesse marginalisée. Le clip dépasse rapidement le million de vues sur YouTube, une première à l’époque pour un morceau local.
À travers ses titres comme “Maalesh”, “El Ayem”, “Nheb Neqlaa” ou “Hkeyet Ettalyena”, Kafon construit une œuvre marquée par la réalité du quotidien, l’espoir, la colère et l’authenticité. Il parvient à conjuguer une parole crue à des mélodies accessibles, devenant l’un des rares artistes à faire le pont entre la rue et le grand public.
Malgré des périodes de silence liées à des soucis de santé et de justice, Kafon fait preuve d’une grande résilience artistique. Il diversifie aussi ses expériences, en apparaissant à l’écran, notamment dans des séries à succès comme “Nouba” (de Abdelhamid Bouchnak) et “Raqouj 1 et 2”, où il confirme son charisme en tant qu’acteur.
Kafon était plus qu’un artiste : un symbole générationnel, une voix sans filtre d’une Tunisie urbaine tiraillée entre résilience et frustration. Il est décédé le samedi 10 mai 2025, à l’âge de 43 ans, laissant derrière lui une empreinte indélébile dans la mémoire musicale du pays.
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L’ouverture partielle du barrage algérien de Oued Mellègue vers la Tunisie a suscité une vague d’inquiétudes sur les réseaux sociaux, certains craignant un gaspillage massif d’eau. Les autorités tunisiennes tiennent à rassurer : l’opération est maîtrisée et fait partie d’un plan de gestion hydrique concerté.
Selon Monir El Abidi, président de l’Union régionale de l’agriculture au Kef, « le déversement de l’eau depuis le barrage algérien ne signifie en aucun cas une perte de ressource. L’eau est redirigée vers les barrages tunisiens, sans rejet à la mer ».
Ce déversement est intervenu après que le barrage algérien a atteint 100 % de sa capacité. Pour éviter tout risque de débordement, les autorités ont décidé de libérer une partie des eaux via l’oued Mellègue, en direction du territoire tunisien.
Le barrage historique de Mellègue, situé au Kef, est vieillissant et ne peut plus absorber de grandes quantités d’eau. Il affiche actuellement un taux de remplissage de 48 %, ce qui correspond à environ 25 millions de mètres cubes.
Mais la bonne nouvelle vient du barrage de Mellègue Supérieur, en construction depuis plusieurs années. “Les travaux sont achevés à 95 %, et sa mise en service est prévue d’ici la fin de l’année”, affirme El Abidi.
Le flux d’eau en provenance de l’Algérie devrait se poursuivre dans les prochaines semaines, d’autant que les prévisions météorologiques annoncent encore des pluies pour mai et juin. Cela permettra de consolider les réserves hydriques en prévision de l’été, une période critique pour les agriculteurs et les zones rurales.
La scène de l’ouverture du barrage algérien a été largement relayée par l’Observatoire tunisien du climat à travers une vidéo virale, montrant un torrent d’eau se déversant dans l’oued Mellègue. Un spectacle impressionnant, mais qui n’annonce pas une catastrophe, selon les autorités.
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EN BREF
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Le Tennis Club de Tunis a tenu ce jeudi une conférence de presse pour présenter les derniers préparatifs de la 20e édition de l’Open KIA de Tunis, prévue du 12 au 17 mai. Cette édition anniversaire réunira plus de 50 joueurs issus de 25 pays, avec un prize money total de 100 000 dollars.
Le tournoi accueillera des talents internationaux de renom, à l’image du Français Valentin Royer, 117e joueur mondial, ainsi que les meilleurs espoirs tunisiens. La finale aura lieu le samedi 17 mai.
Partenaire historique de l’événement, KIA Tunisie, représentée par la société City Cars, renouvelle son engagement pour trois éditions supplémentaires. Son directeur général, Riadh Annabi, a déclaré que cette 20e édition est l’aboutissement de 16 années de partenariat, marquant ainsi “le début d’un nouveau cycle d’engagement”.
Une nouveauté cette année : le soutien individuel au jeune espoir tunisien Aziz Dougaz.
“Nous savons combien le tennis tunisien manque de soutien. En adoptant cette approche, nous voulons tester un modèle de soutien direct aux joueurs. Si c’est concluant, nous continuerons”, a expliqué Annabi.
Au-delà des matchs, le tournoi proposera tout au long de la semaine un programme d’animations et d’activités destinées à tous les publics, transformant le Tennis Club en véritable village festif.
Répartition des prix :
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L’international tunisien Naim Sliti (Al-Shamal) a contribué, mercredi, à la qualification de son club aux quarts de finale de la coupe de l’Emir du Qatar de football, en battant Al-Arabi (3-1).
Sliti a inscrit le deuxième but d’Al-Shamal à la 59e donnant l’avantage à son équipe (2-1).
Au prochain tour, Al-Shamal affrontera Om Sallal qui a éliminé Al-Wakrah (4-1).
L’article Coupe de l’Émir du Qatar : Naïm Sliti mène Al-Shamal à la victoire contre Al-Arabi (3-1) est apparu en premier sur WMC.
Le 8 mai 2025, l’Église catholique a élu son 267ᵉ souverain pontife : le cardinal américain Robert Francis Prevost, qui a choisi le nom de Léon XIV. Cette élection marque une étape historique, car il devient le premier pape originaire des États-Unis et le premier membre de l’Ordre de Saint-Augustin à accéder au trône de Saint Pierre.
Né le 14 septembre 1955 à Chicago, Robert Francis Prevost est issu d’une famille aux racines françaises, italiennes et espagnoles. Après des études en mathématiques à l’université Villanova, il rejoint l’Ordre de Saint-Augustin en 1977 et est ordonné prêtre en 1982. Il poursuit ensuite des études en droit canonique à Rome, obtenant un doctorat en 1987.
Sa vocation missionnaire le conduit au Pérou dès 1985, où il œuvre pendant plus d’une décennie comme formateur, enseignant et juge ecclésiastique. En 1998, il est élu provincial des Augustins de Chicago, puis devient, en 2001, prieur général de l’Ordre, fonction qu’il occupe pendant deux mandats jusqu’en 2013.
En 2014, il est nommé administrateur apostolique de Chiclayo au Pérou, puis évêque de ce diocèse en 2015. Il acquiert la nationalité péruvienne la même année, renforçant ainsi ses liens avec l’Amérique latine. En 2023, le pape François le nomme préfet du Dicastère pour les évêques, un poste clé au sein de la Curie romaine, chargé de la nomination des évêques dans le monde entier. La même année, il est créé cardinal, puis élevé au rang de cardinal-évêque en février 2025.
Le choix du nom de Léon XIV fait écho à Léon XIII, pape réformateur connu pour son engagement en faveur de la justice sociale. Dans son premier discours, le nouveau pape a souligné son désir de poursuivre l’œuvre de son prédécesseur, le pape François, en mettant l’accent sur la paix, l’inclusion et la solidarité envers les plus vulnérables.
Polyglotte, parlant couramment l’anglais, l’espagnol, l’italien, le français et le portugais, Léon XIV incarne une Église universelle, attentive aux réalités des différentes cultures. Son élection a été saluée tant aux États-Unis qu’au Pérou, témoignant de son engagement profond auprès des communautés locales et de son ouverture au dialogue interculturel.
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En ces temps de défis mondiaux, le pontificat de Léon XIV s’annonce comme une continuation des réformes entreprises, avec une attention particulière portée aux questions sociales, à la transparence au sein de l’Église et à l’engagement envers les périphéries du monde.
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Le Tournoi international de tennis Open de Tunis s’apprête à vivre sa 20e édition, du 12 au 17 mai 2025, sur les courts du Tennis Club de Tunis. Classé dans la catégorie ATP Challenger 75, le tournoi est doté de 100 000 dollars et attribue jusqu’à 75 points ATP au vainqueur en simple.
La directrice du tournoi, Salima Ben Mustapha, a annoncé la présence de 50 joueurs issus de 25 pays, parmi lesquels figurent plusieurs noms bien classés dans le circuit ATP, à l’image du Français Valentin Royer (117e mondial). Le tournoi se jouera en simple et en double sur terre battue.
Cette compétition, selon les organisateurs, représente une étape clé dans la préparation à Roland-Garros, offrant une vitrine aux jeunes talents du circuit professionnel.
La Tunisie sera représentée en simple par Adem Nagoudi, Ala Trifi, Ahmed Darmoul et Omar Knani dans les qualifications, et par Aziz Dougaz, Aziz Ouakaa et Moez Chargui dans le tableau principal. En double, la participation de Skander Mansouri reste incertaine pour raisons médicales. Il pourrait faire équipe avec Ouakaa. Une autre paire potentielle : Dougaz – Paire (FRA).
Le président du Tennis Club de Tunis, Kheireddine Kechrid, a rappelé que le tournoi, lancé en 1982, s’inscrit dans une tradition sportive de plus de 40 ans, marquée par des interruptions durant la pandémie. Le club, vieux de 102 ans, dispose de 15 courts en terre battue, dont un central pouvant accueillir 2800 spectateurs.
La présidente du comité, Chiraz Elloumi, a annoncé que l’entrée sera gratuite, et a appelé à une mobilisation du public et des médias pour faire rayonner davantage le tournoi.
Simple : Vainqueur : 14 200 $ / 75 pts
Finaliste : 8 330 $ / 44 pts
Double : Équipe gagnante : 4 980 $ / 75 pts
Finalistes : 2 880 $ / 50 pts
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Il n’aura fallu que 52 minutes à la N°2 mondiale Iga Swiatek pour lancer son tournoi à Rome de manière fracassante. La tenante du titre s’est imposée 6-1, 6-0 face à l’Italienne Elisabetta Cocciaretto (82e mondiale), jeudi, lors de son entrée en lice au WTA 1000 de Rome.
Un retour au calme après la claque reçue à Madrid en demi-finale, où la Polonaise avait subi une lourde défaite contre Coco Gauff (6-1, 6-1). À Rome, sur une surface qu’elle affectionne, Swiatek semble vouloir remettre les pendules à l’heure.
Objectif : enchaîner avant Roland-Garros
Au 3e tour, elle affrontera soit l’Américaine Danielle Collins (35e), soit la Roumaine Elena-Gabriela Ruse (88e). Une étape clé sur la route de Roland-Garros, où la Polonaise a déjà remporté quatre des cinq dernières éditions.
Si elle s’est imposée trois fois à Rome (2021, 2022 et 2023), Iga Swiatek n’a pas encore soulevé de trophée cette saison, un fait rare pour celle qui a dominé le circuit ces dernières années.
L’article Tennis – WTA 1000 de Rome : Swiatek balaie son adversaire, Collins ou Ruse l’attendent est apparu en premier sur WMC.
Après trois mois d’absence liée à une suspension pour dopage, le numéro 1 mondial Jannik Sinner s’apprête à faire son grand retour sur les courts samedi, dans son pays natal, à l’occasion du Masters 1000 de Rome. Il affrontera l’Argentin Mariano Navone (99e mondial), tombeur du jeune espoir italien Federico Cina jeudi au premier tour (6-3, 6-3).
Navone, 24 ans, a déjà fait parler de lui sur terre battue : il avait atteint les finales à Rio et Bucarest en 2024 et a signé cette saison un quart de finale à Buenos Aires.
Le retour de Sinner est particulièrement scruté : absent depuis sa victoire en finale de l’Open d’Australie, le 26 janvier contre Alexander Zverev, il avait été suspendu début février par l’Agence mondiale antidopage (AMA) pour un contrôle positif à un anabolisant, dû à une contamination accidentelle, selon les termes d’un accord négocié avec l’agence.
Âgé de 23 ans, Sinner avait réalisé en 2024 une saison exceptionnelle avec 8 titres, dont l’Open d’Australie, l’US Open, et le Masters ATP à Turin, marquant ainsi son premier sacre sur sol italien.
À Rome, son meilleur résultat reste un quart de finale en 2022, perdu face à Stefanos Tsitsipas. Cette édition 2025 marque donc un double enjeu pour l’Italien : réintégrer le circuit avec éclat et briller enfin à domicile dans ce tournoi majeur sur terre battue.
L’article Tennis : Dopage, rédemption et ambition, le retour très attendu de Jannik Sinner à Rome est apparu en premier sur WMC.
Le temps s’annonce instable ce jeudi soir et durant la nuit sur une bonne partie du territoire tunisien, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM).
Des pluies éparses et parfois orageuses sont attendues, notamment sur le Nord et localement le Centre du pays. Ces précipitations pourraient s’intensifier par moments, notamment au Nord-Ouest, avec un risque de chutes de grêle sur des zones limitées.
Le ciel restera passagèrement nuageux sur le reste des régions.
Vents soutenus et mer agitée sur les côtes Est
Les vents souffleront de secteur Est, avec une intensité relativement forte sur les côtes Est et au Sud, où des tourbillons de sable pourraient survenir localement. Ailleurs, le vent restera faible à modéré.
La mer sera peu agitée au Nord, mais agitée à très agitée sur les côtes Est, notamment entre Sfax et Zarzis.
Écarts de températures sensibles selon les régions
Les températures nocturnes varieront entre 16 et 20°C au Nord, au Centre et sur les zones Est du Sud. Elles pourront descendre jusqu’à 14°C sur les hauteurs de l’Ouest, et grimper entre 21 et 25°C dans les autres régions. L’extrême Sud pourrait enregistrer jusqu’à 30°C durant la nuit.
L’article Météo: Des pluies éparses et orageuses sur le Nord est apparu en premier sur WMC.
La championne tunisienne de tennis, Ons Jabeur, s’est qualifiée jeudi pour le troisième tour du tournoi WTA 1000 de Rome, sans avoir à disputer son match du jour. Son adversaire, la Tchèque Petra Kvitova, classée 830e mondiale, a déclaré forfait.
Exemptée du premier tour en raison de son classement (36e mondiale), Jabeur bénéficie donc d’un départ idéal dans ce tournoi prestigieux sur terre battue, où elle avait déjà brillé en 2022 en atteignant la finale. Cette année-là, elle s’était inclinée contre la numéro 1 mondiale, Iga Swiatek.
Dans son prochain match, Ons Jabeur affrontera la gagnante de la confrontation entre l’Italienne Jasmine Paolini (5e mondiale) et la Néo-Zélandaise Lulu Sun (83e). Ce duel s’annonce décisif pour la suite du parcours de la Tunisienne, qui ambitionne de retrouver son meilleur niveau après une saison marquée par des blessures.
L’objectif est clair : faire mieux qu’en 2022 et s’imposer à Rome, l’un des tournois les plus convoités de la saison sur terre battue avant Roland-Garros.
L’article Masters 1000 de Rome : Jabeur qualifiée sans jouer, qui sera son adversaire ? est apparu en premier sur WMC.
Le mois de mai 2025 s’annonce particulièrement instable et pluvieux, selon les dernières prévisions du Centre tunisien de météorologie et du climat. D’après les modèles européens et américains les plus récents, la Tunisie pourrait revivre un scénario comparable à celui de mai-juin 2023… en plus marqué.
Le centre annonce des pluies abondantes, susceptibles d’entraîner le gonflement des oueds dans plusieurs régions, notamment Mellègue et la Medjerda, avec un écoulement important vers les barrages.
Des perturbations prévues dès la deuxième décade de mai
Les météorologues tablent sur des épisodes d’instabilité quotidienne dès cette semaine et jusqu’à la fin de la prochaine. Un système dépressionnaire d’envergure est attendu à la mi-mai, apportant des précipitations généralisées sur une grande partie du territoire.
Pas de canicule en vue, températures proches des normales
Le reste du mois de mai devrait rester sous l’influence d’un temps humide, avec des températures autour ou en dessous des normales saisonnières. Bonne nouvelle pour les agriculteurs et les consommateurs : aucune vague de chaleur n’est attendue à court terme.
L’article Pluies diluviennes en vue ? Le scénario de mai-juin 2023 pourrait revenir en force est apparu en premier sur WMC.
Le ministère de l’Éducation a annoncé la clôture de l’année scolaire 2024-2025. Les élèves quitteront les bancs de l’école le samedi 28 juin 2025, tandis que les enseignants termineront leurs missions pédagogiques à partir du lundi 30 juin 2025, une fois toutes les obligations liées à la fin d’année accomplies.
Voici les principales échéances prévues dans la calendrier des examens du troisième trimestre :
Collège (7ᵉ, 8ᵉ années + 1ʳᵉ, 2ᵉ et 3ᵉ secondaires)
9ᵉ année (Diplôme national de fin de l’enseignement de base)
Lycée secondaire
Enseignement primaire
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Lundi 5 mai 2025, la Chambre tuniso-espagnole de commerce et d’industrie (CTECI) a tenu son Assemblée générale. Bilan, bilan moral, bilan financier. Mais surtout : un regain de volonté, un appel à la dynamique. La salle est studieuse, mais les ambitions sont claires.
Un mot d’ordre : coopération économique à haute valeur ajoutée
Nabhen Bouchaala, président de la chambre, sonne la marche : forums économiques, missions d’affaires, veille stratégique, accompagnement des membres. L’objectif ? Connecter davantage les entreprises tunisiennes et espagnoles. Sur la table, des secteurs d’avenir : numérique, énergies renouvelables, agroalimentaire, tourisme durable. Des priorités solides, une ligne de conduite.
L’Espagne affiche la cadence
Son ambassadeur, Francisco Javier Puig Saura, le dit sans détour : « Nous sommes le moteur de la croissance en Europe ». 3,2 % en 2024. 2,3 % attendus cette année. La Tunisie peut – doit – en capter les retombées. Surtout que l’offshore fonctionne bien sous nos latitudes, a-t-il souligné.
La finance, elle, est déjà en action
Maria Sonsoles Valle Muñoz annonce une ligne de crédit de 25 millions d’euros. Déjà 42 projets financés. Il en reste 11 millions. Taux avantageux. Délai de grâce. Mode d’emploi fluide. Les PME tunisiennes n’ont plus qu’à s’en saisir.
La CTECI, elle, affine sa feuille de route
Statuts à uniformiser. Communication à muscler. Visas à fluidifier. Image à valoriser. Coopération à intensifier. C’est clair : la chambre se métamorphose en plateforme d’influence.
Et en toile de fond, un sujet qui mord : l’empreinte carbone
Rami El Golli rappelle : le MACF arrive. Janvier 2027. L’Europe ne veut plus de carbone sous-douané. C’est à nous d’anticiper.
L’article CTECI : Une dynamique renforcée pour les entreprises tuniso-espagnoles est apparu en premier sur WMC.
La Tunisie connaîtra ce lundi 6 mai un temps instable et contrasté selon les régions. Le ciel sera passagèrement à fortement nuageux sur l’ensemble du pays, avec des averses isolées attendues au nord et localement au centre. Ces pluies pourraient prendre un caractère orageux dans l’après-midi, accompagnées par endroits de chutes de grêle, selon les prévisions de l’INM.
Le vent soufflera du secteur nord sur les régions nord et centre, et du secteur est sur le sud. Il sera relativement fort dans les zones méridionales, tandis qu’il restera modéré à faible ailleurs.
Côté mer, les conditions seront agitées dans le Golfe de Gabès et moutonneuses sur les autres côtes.
Les températures maximales varieront fortement : entre 21 et 28°C au nord, au centre et au sud-est, entre 29 et 34°C ailleurs, et pourraient atteindre 38°C à l’extrême sud, où un pic de chaleur est attendu.
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Carlos Ghosn alerte sur l’avenir de Nissan et la perte de leadership occidental dans l’automobile
Dans un entretien exclusif accordé à BFM Business, Carlos Ghosn, l’ancien patron emblématique de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, livre une analyse sévère mais lucide de l’état actuel de l’industrie automobile mondiale. S’il revient sur les circonstances qui ont conduit à son éviction et à sa situation judiciaire, c’est surtout le sort de Nissan et les nouvelles dynamiques industrielles qui retiennent son attention.
Nissan à la dérive, Renault à la croisée des chemins
Pour Ghosn, les pertes colossales enregistrées par Nissan (plus de 4 milliards d’euros) étaient prévisibles dès 2020. Il fustige la rupture de synergies avec Renault, l’absence de vision stratégique et la perte d’influence sur des marchés clés comme la Chine. Quant à Renault, bien que stabilisé sous la direction de Luca de Meo, il se serait replié sur son statut historique de constructeur européen, perdant l’envergure mondiale acquise sous son ère.
Un marché en recomposition, dominé par la Chine
L’émergence de géants comme BYD symbolise, selon Ghosn, une inversion des rapports de force. L’ex-patron appelle les constructeurs occidentaux à repenser leurs alliances pour rester compétitifs dans un monde dominé par l’électrique et l’innovation chinoise. Il évoque même la possibilité d’un rapprochement entre Nissan et Honda, dans une logique de survie industrielle.
Un homme en exil, toujours en lutte judiciaire
Toujours bloqué au Liban, sous le coup d’une notice rouge d’Interpol émise par le Japon, Carlos Ghosn affirme n’avoir ni accès aux dossiers judiciaires français, ni de soutien clair des autorités françaises. Il poursuit son combat pour rétablir sa réputation, dénonçant les dysfonctionnements judiciaires et l’acharnement politico-industriel.
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