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Stagnation de la prospection énergétique en Tunisie

Le secteur énergétique tunisien comptait, à la fin du mois de mars 2025, un total de 15 permis actifs, soit 14 de recherche et un de prospection, selon le dernier rapport publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines. (Ph. Champ gazier de Nawara).

Par ailleurs, le pays recense 56 concessions d’exploitation, dont 44 sont actuellement en phase de production.

L’État tunisien détient une participation dans 34 de ces concessions, à travers l’Entreprise tunisienne d’activités pétrolières (Etap) et intervient directement dans trois autres.

Côté forages, un nouveau puits de développement, baptisé «Sharqi», a été creusé, tandis que les travaux sur le «Sidi Merzoug», lancés en 2023, se poursuivent.

En revanche, aucun nouveau projet d’exploration n’a été enregistré au cours du premier trimestre 2025, a précisé l’Observatoire, soulignant une phase de stagnation, en matière de prospection.

D’après Tap.

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Tunisie : 15 permis pétroliers en vigueur à fin mars 2025, dont 14 de recherche

Le nombre total de permis en cours de validité, à fin mars 2025, est de 15 dont 14 permis de recherche et 1 permis de prospection, selon le rapport sur la conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Le nombre total de concessions est de 56 dont 44 en production. L’Etat participe à travers l’ETAP dans 34 de ces concessions en production et directement dans 3.

S’agissant des permis de développement, l’observatoire a indiqué qu’à fin mars 2025, il y a un forage d’un nouveau puits de développement ( Chergui)outre la poursuite de forage d’un puits (Sidi Marzoug)entamé en 2023.

Pour ce qui est permis d’exploration, l’observatoire a fait savoir que pas de nouvelle opération d’exploration et d’opération d’acquisition sismique jusqu’à cette date.

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Avril 2025, marqué par des précipitations abondantes en Tunisie

Selon l’INM, Avril 2025 a été un mois particulièrement pluvieux, avec des précipitations largement supérieures aux moyennes saisonnières dans de nombreuses régions.

Jendouba, Le Kef, Siliana, Monastir, Thala, Kasserine et Gafsa, ont enregistré des cumuls pluviométriques dépassant deux fois la normale.

36 mm ont été relevés à Tabarka le 16 avril et 38 mm le 20 du même mois.

Monastir a enregistré 34,4 mm le 28; tandis que Siliana a été la plus arrosée avec un impressionnant total de 64,1 mm, le 27 avril.

Les régions du nord et du centre ne sont pas en reste puisqu’elles ont été les plus touchées. En effet, on a relevé des cumuls de 149,1 %. Il s’agit d’une augmentation de 191,7 % des normales mensuelles respectivement.

Selon la même source, le sud a, en revanche, connu un déficit pluviométrique pour le moins remarquable. En effet, il a été réduit de 40 % par rapport aux valeurs habituelles.

Cependant, en dépit de ces précipitations abondantes, les températures sont restées au-dessus des moyennes saisonnières, affichant une hausse de +0,8 °C.

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Maroc : 86 000 marchands ambulants intègrent le secteur formel

Ryad Mezzour, le ministre de l’Industrie et du Commerce, a révélé que 86 000 marchands ambulants avaient été intégrés dans le secteur formel grâce au Programme national d’intégration de la vente ambulante. A noter que 124 000 marchands opèrent à travers tout le pays.

 

Cette action fait partie du Programme national de contrôle du commerce ambulant, mis en œuvre sous la direction de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH). Malgré son caractère encourageant, cette initiative s’est heurtée à des contraintes structurelles inhérentes à la lutte contre l’informalité en milieu urbain. Cela nécessite l’élaboration d’une stratégie territoriale plus appropriée.

Selon les informations récentes fournies par Ryad Mezzour, ministre de l’Industrie et du Commerce, plus de 86 000 vendeurs ambulants ont été intégrés dans l’économie formelle parmi les 124 000 recensés.

En réponse à une question du groupe “Mouvement populaire“ à la Chambre des représentants, le ministre a précisé que cette action faisait partie intégrante du programme national de régulation du commerce ambulant, conduit sous l’égide de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) et sous la houlette des autorités locales.

 

Un domaine crucial pour l’économie du pays

Par ailleurs, cette dynamique fait partie d’un objectif plus vaste de renforcement du secteur commercial, considéré comme le second fournisseur d’emplois au Maroc.

D’après le ministre, ce domaine engage 1,6 million d’individus, soit 15,6% de la population active, et produit une valeur ajoutée annuelle évaluée à 151 milliards de dirhams (environ 14,5 milliards d’euros). Néanmoins, malgré son importance économique, il est toujours entravé par la montée du commerce parallèle, qui nuit autant aux commerçants formels qu’à la qualité des prestations proposées aux clients.

Ryad Mezzour souligne que le commerce ambulant, malgré son statut hors des circuits officiels, joue un rôle crucial : il répond aux exigences de proximité des habitants et constitue une source de revenus directe, de surcroît dans les zones populaires. C’est pourquoi le programme national de contrôle du commerce ambulant est essentiel, une action déjà lancée, mais dont les effets demeurent jusqu’à présent mitigés.

 

Les obstacles à la mise en œuvre du plan de lutte contre l’économie informelle

Ainsi, les analyses effectuées par le ministère de l’Intérieur et le Conseil économique, social et environnemental (CESE) concernant les initiatives prises dans ce secteur ont révélé plusieurs obstacles : pénurie de terrains, problèmes d’engagement de certains bénéficiaires et, surtout, une différence notable entre le nombre initialement recensé de vendeurs ambulants et leur présence réelle sur place, ce qui a entravé l’efficience des actions mises en œuvre.

Confronté à ces observations, le ministre exhorte les municipalités et les conseils élus à mener une analyse détaillée de la structure du commerce itinérant. Il recommande un examen détaillé de ses chaînes d’approvisionnement, de ses points de tension et des particularités locales afin d’établir des solutions plus appropriées et pérennes.

 

L’auto-entrepreneuriat comme outil d’intégration

Simultanément, l’administration mise sur l’expansion du statut d’auto-entrepreneur pour inciter les travailleurs du secteur informel à intégrer l’économie structurée. En effet, ce statut leur donne la possibilité de profiter d’avantages fiscaux simplifiés et d’accéder à la protection sociale, une amélioration significative en termes de couverture et de reconnaissance des petits emplois.

Bien que l’incorporation graduelle des vendeurs ambulants dans le secteur officiel représente un progrès, cela met également en évidence les contraintes des méthodes centralisées face à une diversité locale. L’enjeu est désormais d’assurer une coordination efficace entre les collectivités, l’État et les acteurs économiques afin de mettre en place une régulation flexible, équitable et durable, adaptée aux défis sociaux et économiques du commerce local.

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La Grande-Bretagne durcit les règles de la migration

Le Premier ministre, Keir Starmer, a annoncé une nouvelle salve de mesures visant à durcir le système migratoire britannique, affirmant que de nombreux immigrants devraient attendre plus longtemps avant d’obtenir le statut dont ils ont besoin pour prétendre à l’aide sociale en Grande-Bretagne.

Le gouvernement de Starmer, qui doit publier ce lundi ses plans pour une nouvelle législation visant à réduire l’immigration en Grande-Bretagne, est sous pression pour contrer la montée en popularité du parti de droite anti-immigration Reform UK de Nigel Farage.

Au cours du week-end, la ministre de l’Intérieur, Yvette Cooper, a annoncé son intention de restreindre les visas de travailleurs qualifiés aux candidats diplômés, d’empêcher les entreprises du secteur des soins de recruter à l’étranger et d’exiger des entreprises qu’elles augmentent la formation des travailleurs locaux.

Le Premier ministre britannique, Keir Starmer

« Tous les aspects du système d’immigration, y compris le travail, la famille et les études, seront renforcés afin que nous puissions mieux contrôler les choses […] Les contrôles seront plus stricts que jamais et le nombre de migrants diminuera », a déclaré Starmer dans un communiqué.

En vertu de ces changements, l’installation automatique et la citoyenneté des personnes qui s’installent en Grande-Bretagne s’appliqueront après 10 ans, contre cinq ans actuellement. Même si les travailleurs hautement qualifiés – tels que les infirmières, les médecins, les ingénieurs et les experts en IA – bénéficieront d’une procédure accélérée.

Les migrants qui se trouvent au Royaume-Uni avec un visa ne sont généralement pas éligibles aux prestations sociales et au logement social.

L’anglais obligatoire

Le gouvernement a également annoncé son intention de renforcer les exigences en matière de maîtrise de l’anglais pour tous les adultes à charge, qui devront démontrer une compréhension élémentaire de cette langue. Ce changement favoriserait l’intégration et réduirait les risques d’exploitation.

« Il s’agit d’une rupture nette avec le passé et cela garantira que l’installation dans ce pays est un privilège qui doit être mérité, et non un droit », a indiqué Starmer. « Et lorsque les gens viennent dans notre pays, ils doivent également s’engager à s’intégrer et à apprendre notre langue », a-t-il précisé.

Brexit et diminution des migrants

Le nombre de migrants de l’Union européenne en Grande-Bretagne a fortement diminué après le Brexit, mais les nouvelles règles de visa, l’augmentation du nombre de personnes arrivant d’Ukraine et de Hong Kong et le nombre net plus élevé d’étudiants étrangers ont entraîné une augmentation générale ces dernières années.

A noter que le solde migratoire annuel – le nombre de personnes entrant au Royaume-Uni moins celles qui en sont sorties – s’élevait à 728 000 en juin 2024, contre 184 000 arrivées au cours de la même période en 2019, lorsque la Grande-Bretagne était encore dans l’UE.

Les groupes d’employeurs craignent que le durcissement des règles sur les travailleurs étrangers ne rende plus difficile pour les entreprises de pourvoir les postes vacants. « Cette intervention majeure sur le marché du travail laissera de nombreux employeurs craindre qu’en s’attaquant aux préoccupations liées à l’immigration, le gouvernement ne s’attaque à la mauvaise cible », a déclaré Neil Carberry, directeur général de la Recruitment and Employment Confederation (REC).

Être ouvert aux travailleurs qualifiés était essentiel pour la Grande-Bretagne, « mais il en va de même pour un système d’immigration contrôlé, abordable et réactif qui maintient le flux d’investissement vers le Royaume-Uni », a déclaré Carberry.

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OMT : Habib Ammar propose un programme mondial pour l’égalité femmes-hommes dans le tourisme

Le candidat tunisien au poste de Secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), Habib Ammar a présenté un programme visant à renforcer la place de la femme dans le secteur touristique, et ce, en se basant sur trois initiatives.

Dans une interview réalisée au studio TV de l’agence TAP, il a ajouté que ces initiatives concernent le lancement d’un programme des Femmes leaders dans le tourisme en incluant des bourses d’études, du mentorat et du financement, l’annonce d’un programme mondial pour l’égalité et la mise en œuvre des actions pour promouvoir l’emploi des jeunes dans les métiers du tourisme.

Ammar a souligné, à cette occasion, que le tourisme favorise l’inclusion des femmes, des jeunes et de toutes les catégories démunies. Il constitue, également, un moteur important pour les économies nationales et l’économie mondiale.

Evoquant les mécanismes nécessaires pour combler le fossé numérique, il a évoqué que le secteur touristique connait une révolution numérique ce qui nécessite son alignement en vue de permettre aux visiteurs de mieux découvrir les destinations souhaitées, au-delà des mécanismes de promotion traditionnels.

« Il demeure inévitable de poursuivre l’évolution technologique mais il faut réfléchir à surmonter certains risques, notamment, la protection des données personnelles et la réduction de l’écart du fossé numérique entre les pays développés et ceux en retard sur le plan technologique » a ajouté Ammar.

Il a proposé, ainsi, la mise en place de nouvelles politiques pour réduire le fossé numérique et améliorer la capacité des pays peu expérimentés dans ce domaine.

Et de poursuivre que sa vision future, présentée dans le troisième point de son programme, prévoit la création d’un accélérateur numérique du tourisme pour financer l’adoption des technologies dans les pays en développement, et collaborer avec les grandes entreprises afin de fournir des solutions abordables aux acteurs du secteur touristique.

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OMT : Habib Ammar veut porter la voix de l’Afrique pour un tourisme plus équitable

La part de l’Afrique dans l’activité touristique mondiale ne dépasse pas les 5%, ce qui place le continent en queue de peloton, selon l’ancien ministre du Tourisme, candidat de la Tunisie au poste de secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme Habib Ammar.

Invité au studio de télévision de l’agence TAP, Ammar a indiqué que l’activité touristique mondiale n’est pas répartie de manière équitable dans la mesure où le continent européen accapare à lui seul une part estimé à 54%, suivi de l’Asie qui détient 17%, puis les Amériques (15 %).

Il a fait observer que l’activité touristique dans la région du Moyen-Orient occupe entre 7 et 8% de l’ensemble de l’activité mondiale dans ce domaine.

Habib Ammar a expliqué que la faible croissance du secteur touristique en Afrique, malgré l’importance des ressources que recèle le secteur et la richesse de son patrimoine historique, culturel et social, est principalement due à l’absence d’infrastructures et au manque de ressources humaines dans le secteur, en plus de la situation sécuritaire dans certaines zones.

Abordant son programme de candidature au poste de secrétaire général de l’OMT, Habib Ammar a parlé d’un plan ambitieux visant à booster l’investissement en Afrique et qui repose sur l’élaboration d’une étude de faisabilité et d’un diagnostic de la situation actuelle du secteur dans le continent et les perspectives de son développement.

Selon lui, le développement du tourisme en Afrique doit s’ériger en priorité pour le secrétaire général de l’OMT. Il a formé le vœu de voir ce poste revenir, pour la première fois dans l’histoire de l’organisation, à l’Afrique.

Il est à noter que Habib Ammar, le candidat tunisien, a été choisi sur la base de sa longue expérience dans le domaine du tourisme en Tunisie, qui l’a qualifié aujourd’hui pour être le premier tunisien à participer à cette course parmi 5 autres candidats du Ghana, La Grèce, la Géorgie, les Émirats et le Mexique.

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Tunisie : une plateforme numérique pour la gestion transparente du domaine public hydraulique en préparation

Une plateforme numérique de gestion du domaine public hydraulique est en cours de préparation par le ministère de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche en collaboration avec la direction générale de la gouvernance à la présidence du gouvernement et ce, afin de renforcer la transparence dans le secteur de l’eau, a affirmé le secrétaire d’Etat chargé des ressources hydrauliques Hamadi Lahbib.

Cette démarche s’inscrit également, dans le cadre du rapprochement des services administratifs relatifs aux autorisations d’exploitation du domaine public hydrauliques et la simplification des procédures de manière à limiter le nombre des intervenants dans le processus d’obtention des autorisation de prospection des eaux souterraines et à mettre des délais pour chaque étape, a-t-il ajouté, lors d’un atelier de formation sur la sécurité hydrique en Tunisie : défis et solutions » tenu au CAPJC.

Le département projette aussi, d’encourager les demandeurs de services à avoir des autorisations légales, de lutter contre le fourrage anarchique des puits, de renforcer la transparence en matière d’obtention des autorisations tout en encourageant l’investissement et la réduction des coûts dans ce domaine, a-t-il noté.

Le département œuvre en outre, en collaboration avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique à lutter contre l’évaporation de l’eau aux niveaux des ouvrages hydrauliques de surface, a-t-il indiqué, affirmant qu’une équipe de travail a été chargée de mener une expérience pilote dans ce domaine au laboratoire du Centre de recherches et des technologies des eaux (CERTE).

Selon Lahbib, une autre plateforme numérique destinée à aider à la prise de décision en matière de gestion instantanée des ressources hydrauliques sera également, créée en collaboration avec le ministère des technologies de la communication, afin de collecter les données hydrologiques (sur les pluies, les eaux pluviales, les réserves des barrages de manière à favoriser la gestion rationnelle des ressources dans ce domaine.

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Tunisie : l’ARP débat des terres collectives et du Code des domaines de l’État

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) tiendra une séance plénière demain, lundi, à partir de dix heures du matin, consacrée à un dialogue avec le ministre des Domaines de l’État et des Affaires foncières.

Selon un communiqué publié dimanche par l’Assemblée, cette plénière coïncide avec la célébration par la Tunisie du 61e anniversaire de l’évacuation agricole.

Le ministre des Domaines de l’État et des Affaires foncières, Wajdi Hedhili, avait déjà participé à une séance plénière en février dernier consacrée à l’examen du plan du ministère pour résoudre les diverses problématiques liées notamment au recensement foncier obligatoire et facultatif des terres collectives, à la séparation de ces terres des biens de l’État, ainsi qu’à la fixation de la valeur locative des terres agricoles.

Il a également été question de la stratégie du ministère concernant la régularisation des situations des agglomérations construites sur des terres domaniales dans différentes régions du pays, ainsi que de l’avancement dans la préparation du projet du Code des domaines de l’État et des différents projets s’inscrivant dans le cadre des réformes législatives dans ce domaine.

Par ailleurs, l’Assemblée tiendra une séance plénière mardi 13 mai prochain pour examiner le projet de loi organique n°022/2025 relatif à l’approbation de l’accord entre la République tunisienne et la République italienne concernant la reconnaissance mutuelle des permis de conduire.

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Rencontres CEPEX 2025 : 30 opérateurs africains attendus pour renforcer les échanges Tunisie-Afrique

Des rencontres de partenariat africain auront lieu les 23 et 24 juin prochain, en Tunisie, en présence de représentants de 10 pays et de 30 opérateurs africains, et ce, à l’initiative du Centre de promotion des exportations (Cepex).

L’accent sera mis au cours de ces rencontres sur le partenariat professionnel dans les secteurs des services, les TIC, la promotion immobilière et l’industrie agroalimentaire, a affirmé à l’Agence TAP le directeur général du Cepex Mourad Ben Hassine, notant que ces rencontres ont pour objectif de renforcer la présence des produits tunisiens sur les différents marchés africains.

Il a également mis l’accent sur l’importance des groupements régionaux dans ce domaine à l’instar du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA) et la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) notant que la Tunisie compte parmi les pays les plus exportateurs vers l’Afrique sub-saharienne en utilisant le certificat d’origine avec plus de 270 produits tunisiens adressés à plusieurs pays africains jusqu’à fin avril 2025.

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L’Afrique en queue de peloton (5%)… du tourisme mondial!!!

L’Afrique en queue de peloton (5%)… du tourisme mondial!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) – C’est un contraste vraiment étonnant… L’Afrique qui dispose d’un riche patrimoine culturel et naturel, au niveau de la faune et de la flore, ainsi que des circuits féériques et des sites archéologiques, n’arrive pas à faire valoir ses atouts et caracole en queue de peloton concernant le tourisme mondial. Le pire est que les pays africains se mènent une guerre acharnée, pour récolter les miettes, alors qu’ils devraient établir des programmes et des stratégies pour faire monter ces taux, par rapport aux autres continents.

La part de l’Afrique dans l’activité touristique mondiale ne dépasse pas les 5%, ce qui place le continent en queue de peloton, selon l’ancien ministre du Tourisme, candidat de la Tunisie au poste de secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme Habib Ammar.

Il a indiqué que l’activité touristique mondiale n’est pas répartie de manière équitable dans la mesure où le continent européen accapare à lui seul une part estimé à 54 pc, suivi de l’Asie qui détient 17%, puis les Amériques (15 %).

Il a fait observer que l’activité touristique dans la région du Moyen-Orient occupe entre 7 et 8% de l’ensemble de l’activité mondiale dans ce domaine.

Habib Ammar a expliqué que la faible croissance du secteur touristique en Afrique, malgré l’importance des ressources que recèle le secteur et la richesse de son patrimoine historique, culturel et social, est principalement due à l’absence d’infrastructures et au manque de ressources humaines dans le secteur, en plus de la situation sécuritaire dans certaines zones.

Abordant son programme de candidature au poste de secrétaire général de l’OMT, Habib Ammar a parlé d’un plan ambitieux visant à booster l’investissement en Afrique et qui repose sur l’élaboration d’une étude de faisabilité et d’un diagnostic de la situation actuelle du secteur dans le continent et les perspectives de son développement.

Selon lui, le développement du tourisme en Afrique doit s’ériger en priorité pour le secrétaire général de l’OMT. Il a formé le vœu de voir ce poste revenir, pour la première fois dans l’histoire de l’organisation, à l’Afrique.

Il est à noter que Habib Ammar, le candidat tunisien, a été choisi sur la base de sa longue expérience dans le domaine du tourisme en Tunisie, qui l’a qualifié aujourd’hui pour être le premier tunisien à participer à cette course parmi 5 autres candidats du Ghana, La Grèce, la Géorgie, les  Émirats et le Mexique.

Menace de grève à l’ATTT les 4 et 5 juin 2025

Menace de grève à l’ATTT les 4 et 5 juin 2025 | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (NAT) Les syndicats de l’Agence technique des transports terrestres (ATTT) ont menacé de faire grève les 4 et 5 juin dans tous les lieux de travail du pays, en raison du mépris des autorités pour leurs revendications, qui comprennent la publication de leur statut actualisé et le règlement de la question du fonds social.

Guerre commerciale… et Pékin rabat le caquet de Trump!!!

Guerre commerciale… et Pékin rabat le caquet de Trump!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) Les Chinois ont rabattu le caquet du président américain Donald Trump, au vu du revirement à 180° opéré dans l’imposition de droits de douanes sur les produits importés de la Chine par les Etats-Unis.

Washington et Pékin ont convenu de réduire leurs tarifs douaniers d’environ 115 % pendant 90 jours, une étape majeure qui pourrait désamorcer une guerre tarifaire qui menace de couper les échanges commerciaux entre les deux plus grandes économies du monde.

En vertu de l’accord conclu à Genève, les États-Unis réduiront les droits de douane sur les produits chinois de 145 % à 30 %, et la Chine réduira les droits de douane sur les importations américaines de 125 % à 10 %.

Cela survient alors que les deux pays sont empêtrés dans une guerre commerciale croissante depuis début avril, lorsque Trump a augmenté les droits de douane sur les importations chinoises et que la Chine a imposé des droits de douane en représailles.

Selon la déclaration faite lors de la conférence de presse tenue aujourd’hui, lundi.

  • Les droits de douane américains sur la plupart des importations chinoises seront réduits de 145 % à 30 %.
  • En échange, la Chine réduira ses droits de douane sur les produits américains de 125 % à 10 %.
  • Les décisions seront mises en œuvre à partir du 14 mai.

Il convient de noter que les tarifs américains actuels de 30 % incluent 20 % supplémentaires que les États-Unis ont imposés à la Chine jusqu’à ce qu’elle cesse de faire passer du fentanyl en contrebande, selon leurs allégations.

Le ministre du tourisme et de l’Artisanat prédit une saison touristique exceptionnelle

Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat Sofiane Tekaya, a estimé que la saison touristique actuelle sera exceptionnelle au vu de ce qu’il a qualifié du nombre important de réservations effectuées par des tours opérateurs étrangers et des agences de voyage locales.

Dans une déclaration sur Radio  El Kef, le ministre a souligné que les efforts conjoints avec les fédérations professionnelles de tourisme se poursuivent afin  d’offrir aux tunisiens, qui résident dans le pays ou à l’étranger des prestations de qualité aux meilleurs prix, tout en assurant les meilleurs services à tous les visiteurs venant en Tunisie.

D’autre part, le ministre a souligné que des travaux sont également en cours pour créer de nouvelles unités touristiques dans toute la région du nord-ouest et intégrer les 2000 maisons d’hôtes dans le secteur du tourisme de manière légale, après  l’élaboration d’un nouveau cahier des charges qui réglemente le secteur, ce qui contribuera à la réouverture de l’aéroport international de Tabarka de manière régulière tout au long de l’année et soutiendra l’activité touristique dans toute la région du nord.

Les négociations commerciales USA-Chine saluées par le investisseurs   

Les investisseurs ont salué le ton conciliant des négociations commerciales entre les Etats-Unis et la Chine le week-end dernier, visant à apaiser la guerre commerciale entre les deux plus grandes économies du monde et à dissiper une partie de l’incertitude qui pèse sur les marchés financiers… 

Signe du soulagement des investisseurs à l’idée que le pire d’une guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine pourrait être évité, les contrats à terme sur actions américaines ont progressé dimanche 11 mai. Les obligations E-mini du S&P 500 ont progressé de 1,3 %; tandis que les contrats à terme sur le Nasdaq ont gagné 1,6 %.

Les deux parties ont refusé de donner plus de détails sur les négociations, affirmant que de plus amples détails seraient publiés ce lundi. Bien que le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent, et le représentant au Commerce, Jamieson Greer, aient déclaré qu’un accord avait été conclu avec la Chine pour réduire le déficit commercial américain.

Le vice-Premier ministre chinois, He Lifeng, qui a rencontré ses homologues américains à Genève, a qualifié la réunion de « franche » et de première étape importante. « C’est un pas dans la bonne direction, montrant que les deux parties sont intéressées à parvenir à une conclusion constructive et à développer une meilleure relation commerciale ». C’est ce qu’a déclaré Eric Kuby, directeur des investissements chez North Star Investment Management Corp à Chicago. « Les détails sont encore flous, mais je pense que la direction semble être plus coopérative que combative, et je pense que nous devons considérer cela comme un point positif » a-t-il poursuivi.

La réunion en Suisse pourrait marquer l’un des événements les plus importants depuis que le président américain Donald Trump a lancé des tarifs douaniers drastiques le 2 avril, qui ont plongé le paysage commercial mondial dans le chaos et déclenché une volatilité extrême des marchés.

Récemment, les investisseurs ont exprimé leur optimisme quant au fait que les pires scénarios commerciaux ne se produiraient pas et ont souligné les signes de désescalade entre les États-Unis et la Chine comme raison du rebond des actions.

« Les marchés pourraient être encouragés par un accord, mais cela restera tributaire de la publication de détails supplémentaires », a déclaré Gennadiy Goldberg, responsable de la stratégie des taux américains chez TD Securities à New York.

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Participation tunisienne à la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025)

Le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX) organise la participation tunisienne à la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025), “l’événement incontournable du commerce continental”, qui se tiendra à Alger (Algérie) du 4 au 10 septembre 2025, dans le cadre de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf).

L’objectif étant, selon le centre, d’accéder à de nouvelles opportunités commerciales dans le marché africain. Selon le CEPEX, IATF 2025 est la plateforme idéale pour mettre en lumière l’offre des entreprises tunisiennes, valoriser leur expertise et capter l’attention des acheteurs et investisseurs africains.

Il s’agit de développer des alliances stratégiques et d’échanger avec les décideurs de premier plan, les importateurs, les distributeurs, les acteurs industriels et institutionnels, et d’explorer des opportunités de collaboration à haute valeur ajoutée.

Ce salon réunit plus de 1 600 exposants et plus de 35 000 visiteurs professionnels issus de tout le continent, garantissant un accès privilégié aux marchés à fort potentiel.

La date limite d’inscription est le 16 Mai 2025, via la plateforme E-CEPEX, sur :

-Le lien d’inscription : httpss://www.e-cepex.tn/c/foires-et-salons/details/336

/Lien d’inscription (Artisans) : httpss://www.e-cepex.tn/c/foires-et-salons/details/338

/Lien d’inscription (Start-ups) : httpss://www.e-cepex.tn/c/foires-et-salons/details/337

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Gestion de l’eau en Tunisie : vers une utilisation accrue des eaux traitées dans l’agriculture

Le ministère de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche prépare en collaboration avec le ministère de l’environnement un programme pour l’irrigation de 20000 hectares avec de l’eau traitée en vue de réaliser la sécurité alimentaire, selon le secrétaire d’Etat chargé des ressources hydrauliques Hamadi Lahbib.

Un autre programme portant sur l’irrigation de 11500 hectares de terres domaniales en eaux usées sera également mené en collaboration avec l’Italie et en coordination avec le ministère de l’environnement, a-t-il dit, lors d’un atelier de formation sur la sécurité hydrique en Tunisie : défis et solutions » tenu au CAPJC.

La Tunisie compte 127 stations de traitement des eaux produisant 292 millions m3 d’eau, a-t-il ajouté notant que l’eau produite par 61 stations est utilisée dans l’irrigation des arbres fruitiers, des grandes cultures et des aliments pour bétail, des espaces verts et des terrains de golf.

Environ 14 millions m3 d’eau traitée sont utilisées dans le secteur agricole, a ajouté Lahbib notant que le programme d’extension de l’utilisation des eaux usées dans la production des fourrages d’été est mené avec les directions concernées et les gouverneurs.

Le ministère de l’agriculture est soucieux d’assurer une gestion optimale des eaux de manière à assurer l’équilibre entre l’offre et la demande outre la révision des aspects juridiques notamment le code des eaux et la mobilisation des ressources d’eau conventionnelles.

A cet égard, il a affirmé notamment que le ministère donne la priorité aux eaux potables et à la préparation des plans de rationalisation de la consommation de l’eau avec les différents ministères rappelant que selon un rapport international paru en 2015, la Tunisie compte parmi les 33 premiers pays exposés au stress hydrique.

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Précipitations éparses sur le Centre et le Sud

Selon l’Institut national de la météorologie (INM), le ciel sera partiellement couvert. Des averses éparses sont attendues dans l’après-midi sur les régions du Centre et du Sud du pays.

L’INM prévoit un vent qui soufflera près des côtes et dans le sud du pays. Il restera, cependant, faible à modéré dans les autres régions de la Tunisie.

Quant aux températures, elles oscilleront entre 19 et 24°C dans le Nord, entre 25 et 30°C dans le reste du pays. Elles atteindront 33°C à l’extrême Sud.

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Cryptomonnaies │Basculement progressif vers les actifs numériques au Maghreb

Le Maghreb, autrefois réticent face aux cryptomonnaies, semble désormais amorcer un virage vers l’acceptation et la régulation de ces actifs numériques. Le Maroc, en particulier, est en pleine transformation sur ce sujet.

Latif Belhedi

Autrefois considéré comme un pays opposé aux cryptomonnaies, le Royaume chérifien cherche aujourd’hui à rattraper son retard pour rester compétitif dans l’innovation financière.

Jusqu’à récemment, les cryptomonnaies étaient interdites au Maroc. En novembre 2017, la banque centrale du Maroc, Bank Al Maghrib (BAM), en collaboration avec l’Office des Changes, avait qualifié l’usage des cryptomonnaies, comme le Bitcoin, de «violation des réglementations de change». Cette décision faisait suite à la crainte de voir se développer des transactions non réglementées et des risques pour la stabilité financière.

Cependant, malgré cette interdiction, les citoyens n’ont jamais cessé d’utiliser les cryptomonnaies de manière informelle, contournant les restrictions gouvernementales. Ce phénomène s’est amplifié ces dernières années, faisant du Maroc l’un des pays d’Afrique du Nord les plus actifs en matière de cryptomonnaies.

Un contexte international favorable

Face à cette adoption croissante, le gouverneur de la banque centrale marocaine, Abdellatif Jouahri, a récemment annoncé que son institution travaillait sur un projet de loi visant à encadrer l’utilisation des cryptomonnaies. Ce changement d’attitude résulte non seulement de la pression interne mais également de la dynamique mondiale. Le règlement MiCA en Europe et les initiatives similaires dans d’autres pays poussent le Maroc à s’aligner sur ces nouvelles normes internationales.

Alors que les États-Unis, l’Europe et d’autres régions avancent sur la régulation des actifs numériques, l’Afrique du Nord ne souhaite pas rester en marge. La mondialisation des échanges financiers impose aux pays maghrébins de ne pas rester à l’écart des innovations monétaires. À quelques jours de l’entrée en vigueur du règlement MiCA dans l’Union européenne, le Maroc se prépare à légiférer pour donner un cadre légal à ces transactions. Les autorités marocaines estiment qu’une régulation proactive est nécessaire pour protéger les utilisateurs tout en favorisant l’innovation.

La volonté de créer une monnaie numérique de banque centrale (MNBC) est également un signe d’ouverture vers l’avenir numérique. Cette initiative s’inscrit dans un contexte où de plus en plus de pays envisagent la mise en place de MNBC afin de renforcer leur souveraineté monétaire.

L’impact des événements récents

En septembre 2023, le Maroc a vécu un séisme dévastateur, entraînant des pertes humaines et matérielles considérables. Dans ce contexte de crise, la cryptomonnaie a joué un rôle inattendu lorsque Binance Charity a mobilisé 3 millions de dollars en BNB pour venir en aide aux sinistrés. Cette mobilisation rapide des fonds a démontré l’efficacité et la portée des cryptomonnaies pour des actions humanitaires, notamment dans les zones touchées par des catastrophes naturelles. Cet événement a sans doute accéléré la volonté des autorités de normaliser l’usage des cryptomonnaies, en reconnaissant leur utilité potentielle lors de crises. Les décideurs marocains y voient également une opportunité de diversifier les moyens de financement et d’accélérer la digitalisation des transactions financières en cas d’urgence.

Quel avenir pour les cryptomonnaies au Maghreb ?

Le Maroc n’est pas seul dans cette dynamique. D’autres pays du Maghreb suivent de près l’évolution réglementaire mondiale. La Tunisie et l’Algérie, bien que plus prudentes, envisagent également de réguler ces actifs numériques. La course vers l’innovation financière est lancée, et les gouvernements cherchent à concilier sécurité financière et adoption technologique. Pour les jeunes investisseurs de la région, cette transition est perçue comme une opportunité unique d’investissement, notamment dans le domaine du trading crypto. À mesure que la régulation se précise, les plateformes de trading devraient connaître une adoption accrue. Le basculement vers les actifs numériques au Maghreb reflète une prise de conscience des avantages potentiels des cryptomonnaies. La régulation en cours au Maroc n’est que le début d’un mouvement plus large visant à intégrer ces nouvelles technologies dans les économies locales.

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