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Le Maroc rejoint la classe des « pays à développement humain élevé » (PNUD)

Une page historique vient d’être tournée dans l’évolution du Royaume. Dans son rapport mondial 2025, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a déclaré que pour la première fois, le Maroc est classé dans la catégorie des “pays à développement humain élevé“. Cette avancée est le fruit d’une dynamique continue de trente ans qui a permis à l’Indice de Développement Humain (IDH) marocain de passer de 0,456 en 1990 à 0,710 en 2023, dépassant ainsi la barre symbolique des 0,700 fixée par l’organisme onusien. Cette augmentation de 55,7% reflète des avancées notables dans les trois axes majeurs du progrès humain : santé, éducation et qualité de vie.

 

Le rapport mentionne aussi une diminution de l’Indice d’inégalité de genre (GII), signifiant une avancée graduelle vers l’égalité des sexes. Il est nécessaire de continuer à travailler sur la mortalité maternelle, la présence des femmes dans les organes décisionnels ainsi que leur accès à l’éducation et au marché de l’emploi.

Le PNUD a dévoilé à New York son Rapport mondial sur le développement humain, intitulé « Une question de choix : les individus et les opportunités à l’ère de l’intelligence artificielle ». Cette publication représente un point de basculement crucial pour le Maroc. Pour la seconde année consécutive, le pays conserve sa 120e place dans le classement mondial. Toutefois, il marque un jalon significatif en voyant son IDH franchir la barre des 0,700 – un événement sans précédent dans son histoire.

« Cette amélioration témoigne de progrès notables dans les axes essentiels du développement humain : la santé, l’éducation et le niveau de vie », déclare Otmane Gair, président de l’Observatoire national du développement humain (ONDH). Ses propos illustrent bien l’impact de cette réussite. Les experts s’accordent sur un aspect crucial : cette intégration au groupe des nations à développement humain élevé n’est pas le résultat d’un hasard, mais plutôt de stratégies gouvernementales menées sur le long terme.

Trente ans d’avancées continues et structurelles 

Le Maroc a patiemment gravi les échelons vers ce nouveau statut. De 1990 à 2023, le pays a maintenu une trajectoire particulièrement stable, modifiant graduellement ses structures sociales et économiques. En effet, cette performance a été reconnue dès 2010, lorsque le PNUD a classé le Royaume parmi les dix pays ayant connu la plus grande augmentation de leur IDH depuis 1970.

Otmane Gair souligne que « la solidité de la croissance indique une transformation structurelle graduelle des conditions de vie au Maroc ». Cette progression s’est traduite par des améliorations concrètes pour la population. Entre 1990 et 2023, l’espérance de vie à la naissance a fait un saut remarquable, augmentant de 10,5 ans. Cette avancée majeure reflète l’efficacité des stratégies de santé publique et l’amélioration de l’accès aux soins à travers le territoire.

Dans le domaine de l’éducation, les résultats sont également prometteurs. Durant cette période, la durée moyenne de l’éducation a augmenté de 3,4 ans, indiquant une accessibilité croissante de l’enseignement. On observe également une progression positive du nombre d’années d’éducation attendues, ce qui améliore les perspectives futures pour les nouvelles générations marocaines.

Le rapport du PNUD offre des perspectives éclairantes sur la provenance de ces progrès. Cette progression est le résultat de stratégies gouvernementales visant à améliorer le capital humain. À ce titre, Otmane Gair a déclaré : « L’évolution de l’IDH au Maroc témoigne de cette progression soutenue, soulignant le renforcement des initiatives de développement humain entreprises par le Royaume sous la direction visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI ».

Et de poursuivre : « Cette progression résulte de stratégies gouvernementales axées sur l’amélioration du capital humain, essentiel pour une croissance inclusive et pérenne ».

Des avancées sociales qui vont au-delà des indices économiques

L’inclusion du Maroc dans la classe des pays à développement humain élevé illustre une vision globale du progrès, qui va au-delà de l’évaluation purement économique. Le rapport classe le Royaume « parmi les pays où l’incidence de la pauvreté multidimensionnelle est faible », indiquant une amélioration globale des conditions d’existence pour une grande partie de la population. Cette perspective multidimensionnelle sur le progrès humain permet de comprendre de manière plus précise les réels progrès sociaux.

Au niveau régional, le Maroc se positionne désormais au milieu de la moyenne de la région arabe, tout en continuant à avancer dans sa dynamique de progression. Cette performance se distingue par rapport au ralentissement généralisé constaté à l’échelle internationale. Effectivement, le rapport du PNUD souligne « un frein au progrès global du développement humain, avec des traces de reculs de 2020-2021 encore visibles ».

Dans ce rapport 2025, Achim Steiner, le dirigeant du PNUD, lance d’ailleurs un avertissement : « Nous étions sur la voie de parvenir à un haut niveau de développement humain d’ici 2030 pendant des décennies, mais ce ralentissement pose une menace tangible pour l’évolution mondiale ». Dans ce cadre mondial morose, la performance du Maroc se distingue d’autant plus.

Il subsiste encore des défis, en particulier en ce qui concerne l’égalité de genre. Bien que le passage du seuil de 0,700 soit un jalon crucial, le rapport du PNUD souligne également les obstacles qui demeurent. L’Indice d’inégalité de genre révèle effectivement « une tendance à la diminution », suggérant ainsi « un avancement graduel vers l’égalité des sexes ». Cependant, selon les spécialistes du PNUD, « le Royaume doit prioriser la diminution des taux de mortalité maternelle, l’élévation du nombre de femmes dans les postes décisionnels et l’amélioration de leur accès à l’éducation et aux emplois ».

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Ridha Chkoundali : malgré une diminution générale de l’inflation, le pouvoir d’achat du Tunisien s’effondre

Au passage sur les ondes de la radio Jawhara FM, mardi 6 mai 2025, l’économiste Ridha Chkoundali a commenté a récente diminution de l’inflation en Tunisie. Il a mis l’accent sur le fait que les indicateurs macroéconomiques « ne traduisent pas du tout la réalité quotidienne des Tunisiens ».

L’économiste a souligné que le taux d’inflation déclaré est une donnée globale, pertinente pour les organismes internationaux ou l’élaboration de politiques économiques. « Toutefois, pour l’individu, cela n’a aucune signification tangible ». Il soutient, à ce titre, que la diminution de l’inflation générale ne doit pas occulter la hausse persistante des prix des produits de première nécessité.

Et l’économiste de poursuivre : « Nous devons faire la différence entre l’indice global et ce que je nomme l’inflation alimentaire ou l’inflation des produits de première nécessité. Ce sont ces données précises qui captivent l’attention des Tunisiens, et non les moyennes théoriques ».

Lire aussi: INS: prix alimentaires et habillement freinent l’inflation

Dans le même registre, Ridha Chkoundali a mentionné particulièrement des augmentations notables sur les articles de consommation quotidienne : l’augmentation des légumes s’élève à 17,5 %, celle des fruits secs à 15,3 %, celle des vêtements a grimpé de 10 %, les chaussures de 9,4 %, les livres et revues de 8 %, et enfin, les services de restauration ont connu une hausse de 11,5 %.

De plus, l’économiste exprime son regret face à la dégradation du pouvoir d’achat des Tunisiens, arguant que les salaires ne s’alignent pas sur la progression des prix. Il se réfère à Numbeo, un site mondial, qui évalue qu’une famille de quatre membres nécessite plus de 5 500 dinars mensuellement pour subsister en Tunisie, excluant le coût du logement. « Qui gagne cette quantité d’argent actuellement ? », s’interroge-t-il. Et de répondre : « Seules quelques familles tunisiennes ».

Par ailleurs, l’économiste a également fait référence aux données de la Banque mondiale : en termes de dollars constants, le revenu moyen mensuel du citoyen tunisien a diminué de 334 dollars en 2015 à 329 dollars en 2025. « Nous sommes même sous le niveau de 2010, qui s’élevait à 358 dollars. Ce déclin démontre que, malgré une diminution générale de l’inflation, le pouvoir d’achat lui-même s’effondre ».

Selon Ridha Chkoundali, la classe moyenne en Tunisie est en train de disparaître. « Elle se déplace petit à petit vers les catégories en situation de vulnérabilité ». Actuellement, deux professeurs, deux juristes ou deux docteurs, partageant la même habitation, ne parviennent plus à terminer le mois avec confort ». Et de conclure : « Ce ne sont pas les dépenses inutiles qui croissent, mais celles concernant la nourriture, la santé, l’éducation et même les impôts et taxes locales ».

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Moez Hadidane prédit une nouvelle réduction du taux d’intérêt directeur par la BCT

L’analyste financier Moez Hadidane, intervenant sur les ondes de radio Express FM, lundi 5 mai 2025, a prédit que la Banque centrale de Tunisie réduira à nouveau son taux d’intérêt directeur dans le cas où l’inflation reste inférieure à 6 % pendant trois mois.

La Banque centrale de Tunisie a réduit son taux d’intérêt directeur de 50 points de base à 7,5 % contre 8 %, à l’issue de la réunion de son conseil d’administration tenue mercredi 26 mars 2025.

Le taux d’inflation sous la loupe

Dans ce cadre, Moez Hadidane a suggéré que la réduction serait d’environ 7 %, expliquant que le taux d’inflation en Tunisie provient principalement d’une insuffisance de l’offre par rapport à la demande, en plus de raisons d’ordre monétaire.

Rappelons d’ailleurs que l’inflation à la consommation au titre de mars 2025 a légèrement augmenté à hauteur de 5,9 %, contre 5,7 % en février, selon les chiffres annoncés par l’Institut national de la statistique (INS) du 6 avril dernier.

L’INS a, à cet effet, indiqué dans un communiqué que, coïncidant avec le mois de Ramadan, « le mois de la consommation par excellence », le taux d’inflation du groupe alimentaire a atteint 7,8 % en mars, contre 7 % en février 2025. Tandis que le taux d’inflation du groupe vêtements et chaussures a atteint 11,7 %, contre 9,7 % en février 2025. L’inflation implicite de mars 2025, hors énergie et alimentation, est restée stable à 5,7 %. Alors que les prix des produits libres ont augmenté de 7,2 % contre 1,6 % pour les produits réglementés.

Baisse d’exportation entraînant une baisse de croissance

Dans un autre registre, l’analyste financier a souligné l’importance des échanges commerciaux de la Tunisie avec l’Union européenne. Et ce, en notant que les exportations tunisiennes vers l’Europe ont atteint 69 %; tandis que les importations ont atteint 43 % en 2024.

Et de poursuivre : « Une baisse de 1 % des exportations tunisiennes vers l’Europe entraîne une baisse de 0,3 % de la croissance économique. Et tout ralentissement ou baisse de 1 % en Europe coûte 0,6 % de croissance à la Tunisie », précisant que ces chiffres sont considérés comme relatifs.

Par ailleurs, s’agissant des prévisions du Fonds monétaire international (FMI) portant sur une stabilisation de la croissance du PIB tunisien à 1,4 % pour l’année en cours ainsi que pour 2026, Moez Hadidane a expliqué que ces prévisions ne tenaient pas compte des décisions tarifaires du président américain Donald Trump. Suggérant ainsi que les taux de croissance seraient probablement plus négatifs si ces décisions étaient incluses.

Les données divulguées dans le rapport « Perspectives de l’économie mondiale » révèlent que le taux de croissance de la Tunisie pour l’année en cours est nettement inférieur aux 3,6 % attendus pour les pays importateurs de pétrole du Moyen-Orient et de l’Asie centrale. Toutefois, la Tunisie figure parmi les pays les moins inflationnistes à cet égard, étant donné que le taux d’inflation des pays importateurs de pétrole de la région devrait atteindre 12,4 % en 2025, selon la même source.

A ce titre, Moez Hadidane a souligné que le ralentissement des économies mondiales se traduira par un ralentissement des échanges commerciaux de la Tunisie avec l’Europe. Ce qui, selon lui, aura un impact direct sur la croissance.

En outre, l’analyste financier a indiqué que les exportations de la Tunisie – hors mesures de Trump – ont diminué de 5,9 %, en raison d’une baisse des exportations du secteur agricole (huile d’olive), ainsi que du secteur des industries mécaniques et électriques (-2,4 %), et du secteur du phosphate et dérivés.

Impact sur les exportations de la Tunisie

Moez Hadidane a estimé que les conséquences des décisions tarifaires de Trump auront des répercussions sur l’économie nationale dans les prochains mois, notamment sur le secteur des composants automobiles. Il a souligné que 30 % des exportations tunisiennes vers l’Europe seront affectées si l’Union européenne décide de revoir ses échanges commerciaux avec les Etats-Unis ou délocalise ses usines vers des pays concurrents de la Tunisie, comme l’Egypte et le Maroc.

L’analyste financier a déclaré que si la croissance dans l’Union européenne devait diminuer, les intentions d’investissement en Tunisie seraient directement impactées, et l’option actuelle doit être de chercher de nouveaux marchés.

A titre de référence, la valeur des ventes de la Tunisie vers les pays de l’Union européenne au cours du premier trimestre 2025 a été estimée à environ 10,74 milliards de dinars (70,1 % des exportations totales), contre 11,62 milliards de dinars au cours du premier trimestre 2024.

Dans les détails, les exportations de la Tunisie vers l’Allemagne ont augmenté de 7,8 % et vers les Pays-Bas de 13,4 %. En revanche, elles ont diminué vers certains partenaires européens, notamment vers la France de 5,7 %, l’Italie de 11,3 % et l’Espagne de 35,3 %.

Au niveau arabe, les résultats ont montré une augmentation des exportations vers la Libye de 39,6 %, vers le Maroc de 38,6 %, vers l’Algérie de 15,3 % et vers l’Egypte de 155,7 %.

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Diminution du chômage au Maroc de 0,4 point à fin mars 2025

Selon les récentes statistiques du HCP (Haut Commissariat au Plan du Maroc), le taux de chômage a diminué de 13,7 % à 13,3 %, ce qui représente une réduction de 0,4 point. Cette progression est stimulée par une importante génération d’emplois urbains, mais elle se trouve compensée par la fragilité du secteur agricole et l’accroissement du sous-emploi, en particulier dans les zones rurales.

Les chiffres rendus publics rapportent qu’entre le premier trimestre de l’année 2024 et celui de 2025, il a été enregistré la création nette de 282 000 emplois, contre la suppression de 80 000 postes l’année précédente. Cette réalisation découle essentiellement de l’environnement urbain, qui a créé 285 000 emplois, alors que le secteur rural a subi une diminution de 3 000 postes. En raison du type de travail, 319 000 postes payés ont été créés, en opposition à une disparition de 37 000 emplois non rémunérés.

L’agriculture, secteur le plus touché

Cette dynamique a été alimentée par tous les secteurs, à l’exception remarquée de l’agriculture. Ce dernier a connu une diminution de 72 000 postes, représentant une réduction de 3 % du volume d’emplois dans ce domaine. En revanche, les services ont engendré 216 000 postes de travail (+4 %), stimulés par les services sociaux (+74 000), les activités financières et techniques (+66 000) et le secteur du commerce (+48 000).

Quant au secteur industriel, il a créé 83 000 postes (+6 %), tandis que le BTP a généré 52 000 emplois (+4 %).

Les hommes plus affectés que les femmes

La baisse est plus prononcée chez les hommes (-0,5 point pour atteindre 11,5 %) comparativement aux femmes (-0,2 point pour se fixer à 19,9 %). En contrepartie, le taux de chômage chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans connaît une hausse significative, passant de 35,9 à 37,7 % (+1,8 point), alors qu’il diminue dans d’autres catégories d’âge, de surcroît chez ceux de 45 ans et plus dont le taux a baissé de 4,5 % pour atteindre 3,9 %.

Les diplômés du supérieur tirent leur épingle du jeu

La tendance à la baisse du chômage des diplômés est également de mise, avec une diminution de 0,9 point pour atteindre 19,4 %. On constate en outre une amélioration plus notable chez les titulaires de diplômes de techniciens et cadres intermédiaires (-3,9 points à 24 %) ainsi que ceux possédant une qualification professionnelle (-3,6 points à 21,9 %).

Toutefois, il convient de tempérer cette progression par l’augmentation significative du sous-emploi (une situation où une personne occupe un emploi, mais travaille moins qu’elle le désire ou est capable de faire, ou son travail ne correspond pas à ses compétences ou ne produit pas un revenu suffisant), qui passe de 1 069 000 à 1 254 000 individus au niveau national. Le sous-emploi au niveau national augmente, passant de 10,3 % à 11,8 %, avec une progression plus marquée en zone rurale (de 12,5 % à 14,8 %) qu’en zone urbaine (de 9 % à 10 %).

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Mnaouer Sghairi : la controverse sur les prix du mouton ne traduit pas la réalité du marché

Mnaouer Sghairi, directeur de l’unité de production animale à l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (Utap), s’est exprimé vendredi 2 mai 2025 sur les ondes de Jawhara FM pour évoquer les prix de vente des moutons en prévision de l’Aïd el-Kébir.

 

À ce titre, Mnaouer Sghairi a déclaré qu’« il ne faut pas oublier, lorsque nous parlons des moutons, que nous avons traversé une période de sécheresse de huit ans. Néanmoins, nous réussissons à répondre à notre besoin chaque année ».

Il a par la suite indiqué qu’au lieu de faire endosser la responsabilité aux agriculteurs quant à cette augmentation des prix, il serait plus judicieux de se questionner sur la vulnérabilité du pouvoir d’achat. « Pourquoi n’avons-nous pas tenté d’améliorer la production et les investissements ? », a-t-il affirmé.

Par ailleurs, Mnaouer Sghairi a évoqué la crise de 2012, pendant laquelle la Tunisie avait été contrainte d’importer près de 70 000 moutons, ce qui avait engendré des pertes considérables. Il souligne que la demande sur le marché tunisien demeure stable.

Le directeur de l’unité de production animale a aussi rappelé que, récemment, les coûts des aliments pour animaux ont diminué, précisant que la controverse actuelle concernant les tarifs du mouton ne correspond pas à la véritable situation du marché.

Et Mnaouer Sghairi d’affirmer que la bourse des prix du mouton est actuellement stagnante, et la fourchette de prix ne commencera à se définir qu’après une dizaine de jours ».

Dans le même propos, le directeur de l’unité de production animale a conclu son intervention en précisant qu’il ne peut pas communiquer les prix des moutons actuellement, car toute évaluation anticipée pourrait avoir un impact négatif sur le comportement du consommateur.

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