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Le ministre de l’éducation visite plusieurs établissements éducatifs à Kasserine

Le ministre de l’Éducation, Nourredine Nouri, a souligné, mardi 6 mai, en marge de sa visite au gouvernorat de Kasserine, que les visites de terrain dans les établissements scolaires portent sur plusieurs axes, notamment le suivi pédagogique, en particulier en ce qui concerne les examens nationaux, ainsi que l’inspection des infrastructures et l’autorisation des interventions urgentes.

Il a précisé, dans une déclaration à l’agence TAP, avoir visité, mardi 6 mai, plusieurs établissements scolaires de la région, notamment l’école primaire Ouled Barka dans la délégation de Foussana, qui a connu d’importants glissements de terrain ayant endommagé principalement le mur et certaines parois, et ce malgré des travaux de réhabilitation et d’entretien globaux.

Le ministre a assuré que les bureaux d’études et de contrôle sont intervenus « rapidement » pour sécuriser l’espace intérieur de l’école, et qu’une intervention immédiate est prévue pour le mur fissuré, soit par la démolition des parties endommagées, soit par l’installation de barrières de protection.

Pour les autres établissements scolaires de la région nécessitant des travaux de réhabilitation, le ministre a expliqué qu’ils ont été classés selon le niveau de danger. Le premier niveau concerne les établissements où le risque doit être éliminé par démolition ou fermeture, avec un démarrage des travaux prévu dans une à deux semaines.

Le deuxième niveau nécessite une réhabilitation confirmée à exécuter entre septembre et décembre 2025. Quant au troisième niveau, il concerne les établissements nécessitant une réhabilitation complète qui débutera en janvier 2026. Le ministre a souligné que l’objectif du ministère est d’atteindre un stade où seules des réparations mineures seront nécessaires, assurant ainsi un environnement scolaire sûr et attractif.

En ce qui concerne l’approvisionnement des écoles en eau potable, Nouri a précisé que cela se fait via le réseau de la SONEDE, les associations hydrauliques, les citernes ou les puits. Il a souligné que le ministère, en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, a opté pour le forage de puits comme solution durable, des centaines de puits ayant déjà été équipés, en attendant la finalisation complète du projet, avec des solutions temporaires mises en place.

Avec TAP

 

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Beit al-Hikma : Ruspina-Monastir – Regards croisés sur l’Antiquité

L’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts « Beit al-Hikma » a accueilli, lundi 5 mai, une rencontre consacrée à la présentation de l’ouvrage du professeur Nabil Kallala « Ruspina-Monastir romaine et tardo-antique: Une histoire nouvelle », le second livre sur cette ville antique après « Ruspina libyco-punique. Histoire, archéologie, patrimoine », publié en 2021.

L’ouvrage retrace l’histoire de cette ville au cours de cette longue période, s’étalant de 146 av. J.-C. à 698 ap. J.-C, date symbolique de la chute de Carthage, couvrant la période républicaine romaine, impériale, vandale et byzantine.

Dans cet opus « J’ai essayé de montrer que Ruspina aurait obtenu le statut de ville libre au lendemain de la victoire de Rome sur Carthage, lors de la troisième guerre punique, pour la récompenser de son alliance contre Carthage. Ce statut lui aurait permis de se développer tout au long de la République romaine, expliquant en partie qu’elle se soit alliée à César, en 46 av. J.-C. lors de la guerre civile qui l’a opposée à Pompée, en Afrique » note l’auteur.

La victoire du premier lui a assuré les conditions favorables de sa prospérité socio-économique qui lui aurait permis, selon son hypothèse (nouvelle), d’accéder possiblement au statut de municipe, probablement sous l’empereur Trajan, à l’instar des deux villes voisines Hadrumetum et Lepti Minus. Elle a participé en 238 à la révolte de Thysdrus, qui a conduit à la destitution de l’empereur Maximin et son remplacement par Grodien, le proconsul d’Afrique. Mais cette révolte éphémère s’est soldée finalement par un échec qui a eu des conséquences désastreuses sur la ville.

La fin de son histoire aurait été marquée par deux tremblements de terre, un, peut-être en 306-310, et un autre dévastateur, en 365, qui l’aurait détruite en grande partie. Les rescapés seraient allés s’installer, à Skanès, 5 km plus loin de Ruspina (Henchir Tennir) dans des exploitations agricoles, ne dépassant guère le cadre d’une bourgade, qui l’a caractérisée tout au long des périodes vandale et byzantine, au cours desquelles Ruspina a périclité, jusqu’à l’arrivée des Arabes, qui vont bâtir la ville de Monastir à sa place (résumé).

Le livre, qui est une monographie régionale, s’est appuyé sur toutes sortes de sources littéraires et archéologiques, plus particulièrement sur les fouilles des thermes romains de Henchir Tennir et d’une nécropole tardo-antique à Skanès, de même que sur des inscriptions épigraphiques inédites, nouvellement découvertes.

Avec TAP

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Mahdia : la récolte céréalière estimée à près de 155 mille quintaux

La récolte céréalière à Mahdia devrait atteindre près de 155 mille quintaux, cette année. Soit une hausse de 35 % par rapport à l’année 2024. C’est qu’il ressort des estimations du commissariat régional au développement agricole.

Le commissaire régional au développement agricole, Imed Bech Hamba a indiqué à l’Agence TAP que la production est répartie entre 40 mille 130 quintaux de blé dur et 74 mille 140 quintaux d’orge.

Il a ajouté que les superficies programmées pour les grandes cultures dans la région ont atteint 35 mille ha et les superficies céréalières emblavées s’élèvent à 12 mille 160 ha.

La récolte céréalière sera stockée dans le centre de collecte d’El Jem d’une capacité de 7 mille quintaux. Sachant que la région compte 12 moissonneuses-batteuses, d’après la même source.

Avec TAP

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Blessés de la Révolution : Fidaa donne jusqu’au 16 mai aux 90 personnes non encore examinées

La Fondation Fidaa a appelé ce mardi 6 mai, les blessés de la Révolution non encore examinés par la commission médicale à se manifester dans un délai de 10 jours à compter du 6 mai 2025.

Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, la Fondation a détaillé les différentes modalités de contact : par e-mail à « fidaa@carthage.tn », par courrier postal à l’adresse du siège situé au 62, rue Salah Ben Youssef, El Manar 2, ou par téléphone au 71882000.

La Fondation a joint à son communiqué une liste de 90 blessés issus de toutes les régions du pays, invités à régulariser leur situation.

Lors d’une réunion fin avril, la Fondation Fidaa, chargée de l’accompagnement des victimes du terrorisme ainsi que des ayants droit des martyrs et blessés de la Révolution, avait déjà précisé que 80 % des blessés avaient déjà été examinés, et que leurs taux d’invalidité physique ont été déterminés.

Avec TAP

 

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ARP examine un prêt BAD de 270,9 millions de dinars pour moderniser les infrastructures routières

L’Assemblée des Représentants du Peuple a entamé, mardi matin au Bardo, l’examen d’un projet de loi n° 2025/21, portant approbation d’une convention de crédit d’un montant de 80,16 millions d’euros (270,9 millions de dinars), conclue le 24 janvier 2025 entre la République tunisienne et la Banque africaine de développement (BAD) pour la modernisation des infrastructures routières.

Ce crédit est remboursable sur 24 ans dont 8 ans de grâce avec un taux variable indexé sur un Euribor 6 mois plus la marge contractuelle. Cette facilité financière vise à financer la mise en œuvre de la phase 3 du Programme de modernisation des infrastructures routières. Ce projet dont le coût global s’élève à 86,21 millions d’euros (291,40 millions de dinars), consiste en la remise à niveau de 188,9 km de routes classées réparties sur 7 gouvernorats : le Kef, Kasserine, Sousse, Sfax, Kairouan, Siliana et Gafsa.

Le projet dont la mise en œuvre s’étalera sur la période 2025-2030, s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale du secteur de transport visant à garantir une infrastructure routière conforme aux normes internationales, à renforcer la sécurité sur les routes et à désenclaver les régions intérieures.

Avec TAP

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Annulation de la grève des agents de la SRTB

Une réunion de la commission régionale de conciliation tenue lundi au siège du gouvernorat de Bizerte entre la partie syndicale et l’administration de la Société régionale de transport de Bizerte, a abouti à l’annulation de la grève générale des agents de la société prévue pour le mercredi 7 mai 2025.

Selon le procès verbal de la réunion, il a été convenu de garantir le droit syndical et d’ouvrir les perspectives pour tous les agents et cadres notamment à travers la formation.

Par ailleurs, l’administration s’est engagée à régulariser la situation professionnelle des diplômés du supérieur en vue de les affecter dans les postes correspondant à leurs niveaux et à leurs qualifications.

Elle a aussi réaffirmé son intention de renforcer la flotte par l’acquisition de 19 bus articulés et 49 autres bus de différentes catégories. Outre le recrutement de 30 agents sur un total de 34, qui commenceront leur formation dans les prochains jours.

Avec TAP

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Conseil de presse : Baisse de confiance du public envers les médias, les chroniqueurs pointés du doigt

Le Conseil de presse a rendu publique, lundi, une étude intitulée « confiance du public en les médias », conçue comme un baromètre permettant d’évaluer le niveau de confiance des Tunisiens envers les médias. Cette enquête vise à mesurer et suivre la perception et la crédibilité accordées par le public tunisien aux différents médias du pays. 

Bilan glaçant : l’échantillon de 1518 personnes a fait ressortir que 64 % des personnes interrogées « ne font pas confiance aux médias » et que ce taux s’élève à 77,8 % chez la frange des jeunes (âgés de 18 à 24 ans).

Selon l’étude, la baisse de cette confiance tient essentiellement aux chroniqueurs avec un taux de 82%. S’exprimant lors d’une conférence tenue au siège du syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse, la présidente du bureau sortant du Conseil de la presse, Itidal Majbri, (dont la nouvelle composition a été annoncée dans la même journée du lundi), a affirmé que le concept d’autorégulation échappe à une large frange du public (90 %) et que seulement 2,9 % du public interrogé sait qu’il existe aujourd’hui une structure dénommée « Conseil de la presse ».

S’agissant des médias traditionnels les plus fréquemment utilisés par les Tunisiens en tant que source d’information, l’étude révèle que la télévision se place en tête des médias traditionnels avec un taux 77 %, secondée par les quotidiens avec 5,9 %.

Pour les nouveaux médias, le réseau social Facebook arrive en premier lieu avec un taux de 96,9 % contre 45,5 % pour TikTok et 40,6 % pour YouTube.

Sur un autre plan, Majbri a indiqué que le Conseil de la presse avait élaboré une enquête en août 2024 visant à scruter l’avis des journalistes sur la présidentielle de 2024 et auquel ont pris part 133 journalistes, hommes et femmes, issus des différents médias de l’audiovisuel, du numérique, de la presse écrite, des agences de presse et de la presse associative.

Selon l’oratrice, l’enquête révèle que la majorité des journalistes sondés (71,5 %) ont éprouvé de sérieuses difficultés à dénicher l’information, ajoutant que le décret-loi n°54-2022 sur la lutte contre les infractions liées aux systèmes d’information et de communication a manifestement impacté le travail de 96 % des journalistes lors de la couverture de l’élection présidentielle de 2024.

La présidente a, par ailleurs, affirmé que 63% des médias n’ont pas établi un plan médiatique détaillé destiné à la couverture des élections, ajoutant que les journalistes interrogés ont déclaré avoir subi des pratiques de « censure et de contrôle » en l’absence d’une plateforme professionnelle et éthique habilitée à statuer sur le travail journalistique.

Avec TAP

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Météo : jusqu’à 39 °C attendus dans le sud de la Tunisie

Selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie, le temps sera, ce mardi 6 mai 2025, instable sur le nord du pays avec des nuages parfois denses accompagnés de pluies éparses, localement orageuses.

Les températures seront en baisse, variant entre 20 et 28°C sur le nord, le centre et l’est du pays, et entre 29 et 36°C ailleurs. Mais elles atteindront les 39°C sur l’extrême sud.

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Kaïs Saïed : la Tunisie refuse d’être un point de transit ou un lieu d’installation des migrants irréguliers

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, lundi 5 mai 2025 au palais de Carthage, la directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope.

Lors de cette réunion, cite un communiqué, le chef de l’Etat a réitéré la ferme position de principe de la Tunisie selon laquelle notre pays se refuse à être un point de transit ou un lieu d’installation pour les migrants irréguliers.

Il a saisi cette occasion pour rappeler que la montée en puissance de la migration irrégulière est loin d’être un phénomène « innocent », pointant des réseaux criminels à l’origine du trafic d’êtres humains et d’organes sur le continent africain et dans la rive nord de la Méditerranée.

« Nul ne peut croire que des milliers de personnes, dont des femmes, des femmes enceintes ou des personnes portant des nourrissons dans leurs mains, parcouraient des milliers de kilomètres vers la Tunisie et tout particulièrement vers certaines villes telles que Jebniana et Al-Amra s’il n’y avait pas eu un plan criminel préalablement et sciemment établi », a-t-il fait savoir.

Respect des règles du droit humanitaire

Il a, dans ce contexte, souligné qu’aucun Etat au monde ne tolère nullement qu’une partie de son territoire soit placée en dehors de sa législation et de sa souveraineté, rappelant à ce propos que les autorités tunisiennes ont veillé à ce que l’opération d’évacuation des camps des migrants irréguliers soit menée non seulement dans le respect des règles du droit humanitaire mais aussi et surtout selon les nobles valeurs éthiques et morales.

Si ces migrants irréguliers sont aujourd’hui en quête d’endroits sûrs, c’est parce qu’ils sont regrettablement des victimes d’un système économique mondial injuste dont la Tunisie n’a de cesse de le contester et dont elle est aussi une de ses victimes, explique le chef de l’Etat.

 

Refus de la Tunisie d'être un pays de transit

 

Tout en rappelant que la Tunisie est fière de son appartenance africaine, le chef de l’Etat a souligné que notre pays a porté haut le slogan selon lequel l’Afrique, terre de toutes les richesses, doit être en premier et dernier ressort la Terre des Africains, rien que les Africains.

Faciliter les retours volontaires

Le président de la République a, par ailleurs, saisi l’occasion pour appeler l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) à redoubler d’effort en vue de faciliter le retour volontaire de ces personnes déplacées et à œuvrer à leur apporter l’appui financier nécessaire afin qu’elles puissent s’installer dans leurs pays en toute sécurité.

Il a également exhorté l’organisation onusienne à œuvrer de concert avec toutes les parties concernées afin d’identifier le sort des disparus qui n’ont pas été retrouvés ni en mer ni sur terre. « La Tunisie a œuvré autant que possible, selon ses propres moyens, et a assumé autant de fardeaux », a tenu à rappeler le chef de l’Etat. Tout en soulignant qu’il n’est plus question que cette situation perdure. A ce propos, a-t-il ajouté, notre pays plaide toujours en faveur d’un nouvel ordre humanitaire qui rompt frontalement avec un système qui a consacré le pillage des richesses, la famine et les conflits récurrents.

La migration irrégulière préoccupe la communauté internationale

De son côté, la directrice générale de l’OIM a déclaré, à l’issue de sa réunion avec le chef de l’Etat, avoir été « très contente de rencontrer le président de la République », affirmant avoir abordé avec le chef de l’Etat la question de la migration irrégulière, qui, a-t-elle dit, n’a de cesse de préoccuper la communauté internationale tout entière.

« Nous avons convenu d’adopter une approche efficace qui pourrait nous permettre de trouver une solution pour sauver de nombreuses personnes et victimes de ce fléau », a-t-elle révélé, indiquant avoir tenté de parvenir à des propositions propres à faciliter le retour volontaire de ces migrants irréguliers dans leurs pays d’origine et à leur faire bénéficier d’une vie décente et au mieux leur offrir des opportunités d’emploi pour s’installer de façon durable et permanente dans leurs pays.

« Une telle action sera certes bénéfique et salutaire pour tous au triple plan national, régional et international », a conclu la première responsable de l’OIM.

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Saïed et Zaâfrani s’entretiennent sur la marche des services publics

La cheffe du gouvernement, Sarra Zâafrani Zenzeri, a été reçue en audience au palais de Carthage par le président de la République, Kaïs Saïed, dans l’après-midi du lundi 5 mai 2025.

Selon un communiqué de la présidence de la République, le chef de l’Etat a évoqué la question de la marche des services publics.

A cet égard, il a mis l’accent sur l’impératif qu’il y a à opérer plusieurs réformes et révisions et à œuvrer notamment à ouvrir la porte des recrutements après avoir purgé l’administration de ceux qui s’y sont infiltrés et qui se sont servis de leur position comme moyen pour se faire procurer des privilèges injustifiés dans un esprit de butin.

Par ailleurs, le président de la République a donné ses instructions en vue d’élaborer un projet de loi de finances pour l’année à venir s’inscrivant dans la perspective de la consécration du rôle social de l’Etat.

Avec TAP

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Bourse de Tunis : Le Tunindex entame la semaine sur une note positive(+0,68%)

 Le marché Boursier a entamé la semaine sur une note positive. L’indice de référence a bondi de 0,68 % à 11304,19 points, dans un modeste volume de 6,4 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, « Tunisie Valeurs ».

Le titre CIMENTS DE BIZERTE s’est retrouvé en haut de l’affiche. L’action de la cimenterie publique s’est bonifiée de 3,3 % à 0,620 D, dans un maigre volume de 3 mille dinars.

Le titre ATTIJARI BANK a figuré quant à lui parmi les plus grands gagnants de la séance. Dans un flux de 274 mille dinars, l’action de la filiale groupe ATTIJARIWAFA BANK a pris +3,1 % à 60,800 D.

De son côté, SOTIPAPIER a accusé la moins bonne performance de la séance. L’action du producteur du papier Kraft et Testliner a reculé de -5,9 % à 3,500 D. Sur la séance, la valeur a amassé de faibles échanges de 95 mille dinars.

Pour sa part, le titre NEW BODY LINE a entamé la semaine du mauvais pied. L’action du spécialiste des vêtements intelligents a régressé de -2,7 % à 4,620 D avec une valeur transigée à hauteur de 7 mille dinars seulement sur la séance.

Par ailleurs, ASSURANCES MAGHREBIA VIE a été la valeur vedette de la séance. Faisant du quasi-surplace à 6 D, l’action de la compagnie d’assurance a chapeauté le palmarès des échanges sachant que la valeur a alimenté le marché avec des capitaux de 1,5 MD.

Avec TAP

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Conseil de presse: Composition du nouveau bureau

La composition du nouveau bureau du Conseil de presse a été annoncée, lundi 5 mai 2025, au cours d’une conférence de presse organisée par le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse.

Ci- dessous la composition du nouveau bureau:

Mannoubi Marrouki

Mohamed Laâroussi Ben Salah

Najet Zammouri

Mouna Mtibaâ

Omar Oueslati

Khalil Jelassi

Fatine Ben Hafsia

Hanène Zbiss

Taoufik Ahmed.

Le Conseil de presse est un organisme privé, indépendant à caractère non lucratif. Il œuvre à l’autorégulation des médias sur la base du code de la déontologie journalistique, de la protection de la liberté de la presse et de la défense du droit des citoyens à obtenir des informations de bonne qualité.

Avec TAP

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Gafsa: Trois vols programmés pour le transport des pèlerins vers les lieux saints

Le directeur régional des affaires religieuses à Gafsa, Mehrez Snani, a annoncé lundi, que trois vols aériens sont prévus cette année pour assurer le transport des 304 pèlerins du gouvernorat vers les lieux saints.

Mehrez Snani a précisé que le premier vol, prévu le 21 mai courant, depuis l’aéroport international Tozeur-Nefta, concernera 40 pèlerins de la délégation de Métlaoui.

Un deuxième vol, au départ de l’aéroport international Gafsa-Ksar le 22 mai, transportera 254 pèlerins provenant de Gafsa-ville et des délégations avoisinantes.

La troisième desserte, programmée pour le 28 mai depuis l’aéroport international Sfax-Thyna, sera dédiée aux 10 pèlerins de la délégation de Belkhir.

L’ensemble des pèlerins de Gafsa ont parachevé toutes les démarches administratives et sanitaires nécessaires via le guichet unique, dès le mois de février.

Ces formalités ont inclus la vaccination, le paiement des frais de séjour et de transport, l’achat des billets d’avion ainsi que les procédures de devises, que ce soit via les bureaux de poste ou les agences bancaires.

Selon la même source, des sessions de formation religieuse et de sensibilisation ont été dispensées aux pèlerins, avant et après le mois de Ramadan, afin de les préparer au bon accomplissement des rites d’El Hajj.

Une opération de simulation du pèlerinage est également prévue la semaine prochaine, au profit des pèlerins de Gafsa et de plusieurs gouvernorats voisins.

Avec TAP

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MSB : triple accréditation internationale

La Mediterranean School of Business (MSB), relevant de la SMU (South Mediterranean University) et dont le campus se situe à Tunis aux Berges du Lac 2, franchit une étape historique : elle vient en effet de recueillir les trois accréditations internationales les plus prestigieuses dans le secteur, attribuées respectivement par l’AACSB, l’EFMD et l’AMBA. Ce qui fait d’elle désormais la première et unique école de business en Tunisie et en Afrique francophone à rejoindre le cercle très restreint des 1 % des écoles de business accréditées à ce niveau dans le monde.

Félicitant tout le staff enseignant pour cet accomplissement exceptionnel, Mahmoud Triki, président-fondateur de la SMU, a déclaré que « cette triple reconnaissance souligne l’engagement constant de la MSB pour l’excellence académique, l’innovation pédagogique et la formation de leaders aptes à relever les défis d’une économie mondialisée ». Il a également indiqué qu’elle renforce également son positionnement comme référence incontournable de l’enseignement supérieur en Tunisie et au-delà.

Les accréditations obtenues par MSB

La première est celle l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business) qui est une référence mondiale fondée en 1916, reconnue pour son exigence et son impact sur l’éducation en management. Uniquement 6 % des Business Schools dans le monde ont réussi à obtenir cette prestigieuse accréditation.

La deuxième a été attribuée par l’EFMD (European Foundation for Management Development) : il s’agit d’une accréditation européenne valorisant l’internationalisation, la connexion au monde professionnel et la responsabilité sociétale.

La troisième a été décernée par l’AMBA (Association of MBAs) : basée à Londres, cette accréditation récompense les MBA et Executive MBA les plus prestigieux au monde. AMBA accrédite uniquement les programmes des 2 % des meilleures écoles de commerce sur plus de cinq continents.

Une célébration à la hauteur de l’accomplissement

Pour marquer cet événement exceptionnel, la MSB a organisé une série de rencontres réunissant étudiants, alumni, professeurs, partenaires et familles. Parmi les moments forts, un workshop dédié aux parents et futurs bacheliers a été animé par des experts internationaux en enseignement supérieur. L’objectif : éclairer le processus de choix d’une école de business en mettant en lumière les critères clés, notamment la valeur des accréditations internationales.

Hanane El Kouari, Associate Director International à l’IESEG School of Management, a souligné l’importance de cette initiative, rappelant que « les accréditations, la reconnaissance internationale et la qualité académique sont des éléments essentiels pour un choix éclairé ».

Sarah Vaughan, Senior Expert en enseignement supérieur, a partagé sa vision inspirante : « Choisir son école de business, c’est apprendre à se connaître, à rêver grand et à tracer un chemin à son image. »

Inauguration du « SMU Accreditation Wall »

La semaine de célébration s’est clôturée avec l’inauguration du SMU Accreditation Wall : un symbole fort de l’engagement continu de la South Mediterranean University (SMU) envers l’excellence académique et la qualité de l’enseignement.

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Ben Arous : les préparatifs se poursuivent pour réussir la saison céréalière

Le commissaire au développement agricole à Ben Arous, Mondher Rebaiî a indiqué que les pluies qui se sont abattues sur la région, au cours des mois de mars et avril, ont été bénéfiques pour l’amélioration du rendement des cultures céréalières.

Il a indiqué, à l’Agence TAP, que les prévisions de la production céréalière seront établies, ultérieurement. Tout en ajoutant que la région compte 24 moissonneuses-batteuses, 60 machines pour lier le foin, 90 mille sacs et 300 tonnes de fil de fer.

La récolte céréalière sera stockée dans des centres de collecte à Zaghouan, d’après la même source.

Avec TAP

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Plus de 3500 établissements éducatifs raccordés au réseau de fibre optique à haut débit

Le nombre d’établissements éducatifs connectés au réseau de fibre optique à haut débit a dépassé les 3500 établissements, a indiqué Radhy Maâoui, chargé du développement des contenus pédagogiques numériques et de la formation au Centre national des technologies en l’éducation (CNTE).

M. Maâoui a indiqué, dans une déclaration à l’Agence TAP, en marge de la participation du Centre à la 39ème édition de la Foire internationale du livre de Tunis, que le projet de raccordement des établissements éducatifs au réseau haut débit s’inscrit dans le cadre d’un programme mis en place par le ministère des Technologies de la communication, qui vise à faciliter les services administratifs pour les citoyens. Tout en soulignant que le projet concerne plusieurs secteurs, dont celui de l’éducation.

Il a précisé que le projet baptisé « GovTech » est mis en œuvre par la Tunisie en coopération avec la Banque mondiale, Ajoutant encore que la partie du projet relative au raccordement des établissements éducatifs au réseau de fibre optique vise à couvrir 3 600 établissements éducatifs en haut débit. Le ministère de l’Éducation se penche actuellement sur le raccordement de plus de 60 établissements restants. Le nombre d’établissements déjà connectés a atteint 3 540.

Il a expliqué que l’acheminement du haut débit internet concerne, outre les établissements éducatifs répartis dans différentes régions du pays, les structures gouvernementales et non gouvernementales telles que les municipalités, les bureaux de poste et les autres services administratifs, qui bénéficieront également de ce service, dans toutes les régions.

Avec TAP

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Türkiye : déjà plus de 8,8 millions de visiteurs pour 9,5 milliards $ de recettes

La Türkiye a accueilli 8,844 millions de visiteurs internationaux et a généré 9,5 milliards USD de recettes touristiques entre le 1er janvier et le 31 mars 2025. Mehmet Nuri Ersoy, ministre turc de la Culture et du Tourisme, a annoncé lors d’une conférence de presse à Istanbul que le pays avait réalisé sa meilleure performance jamais enregistrée au cours du premier trimestre.

Ersoy a déclaré : « Selon les données de l’ONU Tourisme, la Türkiye est devenue le quatrième marché touristique mondial en 2024. Nous avions initialement prévu d’accueillir 60 millions de visiteurs internationaux l’année dernière, mais nous avons terminé l’année avec un record de 62,2 millions. Notre objectif pour la fin de l’année 2025 est d’accueillir 65 millions de visiteurs et de générer 64 milliards de dollars de recettes touristiques. Nos prévisions pour le mois d’avril et au-delà, ainsi que nos recettes touristiques, qui ont augmenté de 5,6 % au cours des trois premiers mois de 2025, confirment que nous sommes sur la bonne voie pour atteindre nos objectifs.

Au cours des trois premiers mois de 2025, 733 000 Iraniens, 601 000 Russes, 572 000 Allemands, 560 000 Bulgares et 304 000 Britanniques ont visité la Türkiye. Ces visiteurs sont restés en moyenne 11 nuits et ont dépensé environ 98,90 USD par nuit.

Avec communiqué

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Quelle est l’ampleur des déséquilibres extérieurs liés aux États-Unis ?

Ce n’est un secret ni pour les analystes ni pour les investisseurs que le président américain Donald J. Trump affiche une nette préférence politique pour réformer le système commercial et financier mondial actuel. Depuis des décennies, bien avant de devenir politicien, Trump a exprimé de manière véhémente ses opinions négatives sur les importants déficits courants américains et sur la position nette de débiteur du pays vis-à-vis du reste du monde, soutenant également le rapatriement de l’industrie manufacturière sur le sol américain.

Cependant, au cours de son premier mandat présidentiel (2017-2021), Trump n’a pas agi de manière trop agressive pour traduire ses préférences politiques en actions gouvernementales. À l’époque, le président américain était freiné par des obstacles administratifs, un capital politique limité, un manque d’expérience, ainsi qu’une dépendance plus importante envers des conseillers traditionnels partageant des vues classiques sur le commerce et la finance.

Dans une rupture plus nette avec le consensus libéral d’après-guerre sur le libre-échange, le programme de Trump pour 2025 semble adopter sa vision « mercantiliste » ou « protectionniste » qui présente le commerce mondial comme un champ de bataille pour l’appropriation et l’accumulation de richesse nationale. Au cœur de cette réorientation se trouve un diagnostic très particulier : les déséquilibres extérieurs du pays seraient le résultat de relations économiques asymétriques, à savoir un accès non réciproque aux marchés, des subventions étrangères persistantes, le vol de propriété intellectuelle, et le poids supporté par les États-Unis pour la fourniture de « biens publics mondiaux », de la monnaie de réserve à la sécurité militaire.

C’est dans ce cadre qu’il faut interpréter ce qu’on appelle le « Jour de la Libération » du 2 avril, ce qui aide partiellement à expliquer la logique politique derrière l’introduction d’un tarif minimum de base de 10 % sur toutes les importations américaines, ainsi que des tarifs « réciproques » supplémentaires à l’encontre de certains partenaires commerciaux, comme la Chine. En outre, cela s’est ajouté à d’autres tarifs sectoriels. Bien que plusieurs exemptions aient déjà été annoncées après les répercussions du « Jour de la Libération » sur les principales classes d’actifs américaines, les tarifs américains restent néanmoins à des niveaux multiples par rapport aux normes des quatre dernières générations.

Cette semaine, afin de mieux comprendre les défis que la politique tarifaire de Trump cherche à relever, nous allons examiner l’ampleur globale et la taille des déséquilibres extérieurs des États-Unis. À notre avis, deux facteurs principaux expliquent les vulnérabilités américaines et permettent de comprendre pourquoi certains groupes politiques estiment qu’il est peut-être temps de prendre des risques élevés pour les atténuer.

Déficits courants structurels des États-Unis
((Données trimestrielles, en % du PIB, 1970-2024)

Premièrement, le solde du compte courant américain, qui mesure les flux de biens, services, revenus et transferts courants entre un pays et le reste du monde, présente des déficits structurels importants. En fait, au cours des 48 dernières années, les États-Unis n’ont enregistré des excédents que durant trois années seulement, et aucun depuis 1991. Il est important de noter qu’après une amélioration significative des déficits courants en pourcentage du PIB après la crise financière mondiale (GFC) et la révolution du schiste de 2007 à 2019, les déficits se sont à nouveau creusés après la pandémie. En valeur nominale, les déficits ont atteint 1,1 billion de dollars l’année dernière et affichaient un solde négatif sur tous les principaux composants du compte courant, à l’exception des services (voyage, éducation, services financiers). Cela signifie qu’en somme, les ménages, les entreprises et le gouvernement américains consomment plus qu’ils ne produisent, nécessitant un financement externe. La poursuite de cette dynamique peut accroître la vulnérabilité des États-Unis vis-à-vis des flux de capitaux et des décisions d’investissement des non-résidents.

Deuxièmement, l’accumulation sur plusieurs décennies de déficits courants a également engendré un déséquilibre important dans la position d’investissement international nette (PIIN) des États-Unis, c’est-à-dire l’écart entre les actifs détenus à l’étranger par des résidents américains et les actifs détenus par des non-résidents aux États-Unis. En d’autres termes, les États-Unis sont actuellement un débiteur net important vis-à-vis du reste du monde, en particulier envers des puissances industrielles prospères comme l’Allemagne, le Japon et la Chine. La situation s’est également fortement détériorée, puisque la PIIN des États-Unis est passée d’un chiffre négatif marginal d’environ 9 % du PIB au début de la GFC à 88 % du PIB à la fin de l’année dernière. Cela suggère que les États-Unis sont de loin le pays où les déséquilibres économiques mondiaux tendent à se concentrer le plus. Avec le temps, ce niveau d’exposition croisée pourrait devenir inconfortable tant pour les créanciers que pour les débiteurs, nécessitant un ajustement.

En résumé

Il existe d’importants déséquilibres économiques mondiaux liés aux États-Unis, à la fois en termes de flux (déficits courants) et de stocks (positions croisées d’actifs). Plus ces déséquilibres se creusent, plus les risques d’un ajustement désordonné à l’avenir augmentent. Bien que les politiques tarifaires de Trump semblent avoir été conçues pour répondre au moins partiellement à ces problèmes, les déséquilibres en cours et accumulés sont si importants que des mesures unilatérales ou bilatérales sont peu susceptibles de suffire à garantir un ajustement en douceur. Tout comme pour d’autres réponses majeures aux grands défis mondiaux dans le passé, la direction politique optimale pour traiter ces problèmes nécessitera probablement un bon niveau de coordination et de coopération à l’échelle mondiale.

Source : QNB

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La directrice générale de l’OIM Amy Pope en visite officielle en Tunisie

La directrice générale de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) Amy Pope effectue une visite de travail en Tunisie les 5 et 6 mai 2025, sur invitation du ministre des Affaires Etrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger Mohamed Ali Nafti.

Au cours de cette visite, la responsable onusienne tiendra plusieurs rencontres de haut niveau en vue d’assurer le suivi de la mise en œuvre des programmes de coopération existants avec l’Organisation et discuter des moyens de soutenir ces programmes dans les domaines d’intérêt commun.

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la proclamation de 2025, année de consolidation de l’action multilatérale et d’ouverture sur des partenariats internationaux et onusiens durables.

Amy Pope participera également, le 6 mai, à un atelier international organisé par le département des Affaires étrangères, en collaboration avec l’OIM sur la contribution des communautés à la promotion de l’investissement et à la réalisation du développement durable.

Cet atelier s’inscrit dans le cadre de la préparation du 15e Forum Mondial sur la Migration et le Développement qui se tiendra cette année à la ville de Barranquilla, en Colombie.

Des responsables gouvernementaux, des experts internationaux, des représentants d’organisations internationales et d’institutions financières, ainsi que des personnalités éminentes des communautés tunisiennes à l’étranger, participeront aux travaux de cet atelier.

Avec TAP

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