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Ce pays Schengen durcit ses règles de visa de travail : les Tunisiens et les autres ressortissants concernés

À compter du 1er juin prochain, la Pologne introduira une réforme majeure de sa politique d’immigration de travail. Cette nouvelle réglementation, promulguée par le président Andrzej Duda, impose des conditions plus strictes pour l’obtention de visas de travail, dans un contexte de débat croissant sur l’impact des travailleurs étrangers sur le marché local.

Le texte vise à encadrer plus strictement l’octroi des visas de travail, à réduire les abus constatés dans le système actuel, et à renforcer le contrôle des flux migratoires, tout en simplifiant les démarches via la numérisation.

Selon le site Schengen News, la réforme précise les situations dans lesquelles les étrangers peuvent travailler légalement en Pologne, identifie les secteurs économiques ouverts aux travailleurs étrangers, et exclut certains groupes de ces dispositifs. Elle clarifie aussi les rôles des autorités locales, des employeurs et des demandeurs d’emploi. Une attention particulière est portée à la réduction des délais de traitement des dossiers et à l’éradication des irrégularités.

En parallèle, les règles concernant les membres de la famille des travailleurs étrangers sont également modifiées, avec des restrictions accrues sur leur entrée en Pologne. Le gouvernement justifie cette évolution par la forte augmentation du nombre de travailleurs étrangers : 530 000 en 2023, contre 260 000 en 2022. Bien que ces travailleurs aient contribué à combler des pénuries de main-d’œuvre dans des secteurs clés, leur arrivée massive est perçue par certains syndicats comme une menace pour les emplois locaux.

La Pologne suit ainsi une tendance observée dans certains pays de l’espace Schengen, qui choisissent de durcir leur réglementation malgré des besoins criants en main-d’œuvre. Ce durcissement est motivé par une volonté de mieux maîtriser l’immigration de travail, tout en protégeant le marché de l’emploi national et en instaurant un système plus transparent, contrôlé et efficace.

Concernant l’impact sur les ressortissants tunisiens et plus généralement sur les pays d’Afrique du Nord, bien que la réforme ne cible pas spécifiquement ces régions, elle pourrait affecter indirectement les candidats de ces pays. Par exemple, la suppression du test du marché du travail signifie que les employeurs devront démontrer la nécessité d’embaucher un travailleur étranger, ce qui pourrait rendre l’accès au marché du travail polonais plus compétitif pour les ressortissants de pays tiers, y compris ceux d’Afrique du Nord.​

Il est donc conseillé aux candidats tunisiens intéressés par un emploi en Pologne de se préparer à des procédures de demande de visa plus strictes et de s’assurer qu’ils répondent pleinement aux nouvelles exigences.

Tourisme 2025 : La Tunisie vise les 11 millions de visiteurs

L’évaluation des performances des agences de voyages en 2024 ainsi que l’analyse des défis majeurs du secteur ont été au cœur des travaux de l’Assemblée générale ordinaire de la Fédération Tunisienne des Agences de Voyages et de Tourisme (FTAV), tenue ce dimanche 27 avril 2025 à Hammamet.
À cette occasion, le président de la FTAV, Ahmed Bettaieb, a souligné, dans une déclaration accordée aux médias, l’importance de cette rencontre pour les professionnels, qui constitue, selon lui, une plateforme d’échange cruciale pour identifier les moyens de dynamiser les agences de voyages, lever les obstacles et résoudre les problèmes persistants.
Bettaieb a en outre mis l’accent sur l’impératif de mettre en place des systèmes numériques performants dans les administrations partenaires des agences. Cette transformation digitale vise à améliorer l’efficacité, favoriser la concertation et établir une feuille de route commune entre l’administration et les professionnels pour relancer durablement le tourisme.

2024 : Une année référence pour le tourisme tunisien

L’année 2024 a été qualifiée d’année de référence pour le tourisme en Tunisie. Selon Bettaieb, les performances ont dépassé celles de 2019, avec une croissance supérieure à 7 %. Cette progression touche plusieurs indicateurs : chiffre d’affaires, nombre de nuitées, afflux touristique (+8 à +9 %), et un regain d’intérêt pour les marchés traditionnels, ceux d’Europe de l’Est, ainsi que le maintien du dynamisme du marché algérien.
Sur un autre plan, il a souligné que plusieurs défis prioritaires s’imposent. Dans ce cadre, Bettaieb a indiqué que la FTAV travaille sur la digitalisation des procédures, l’actualisation des cahiers des charges, l’adoption rapide d’un cadre réglementaire pour le tourisme alternatif et durable, la réforme de la législation encadrant la profession d’agent de voyages, etc.
“Le secteur reste confronté à de nombreuses contraintes structurelles, notamment ses relations avec la Banque centrale, la réglementation autour de la Omra, les moyens de transport, la gestion environnementale et les interactions numériques avec les services publics”, a-t-il encore précisé.
En ce qui concerne l’évolution du cadre légal des paiements, en particulier la réforme des chèques, Bettaieb a précisé que cette dernière a fortement perturbé l’activité, entraînant une baisse de 20 à 30 % du volume des transactions pour les agences. Face à cette situation, la FTAV appelle à des alternatives concrètes, comme des solutions de paiement différé et en plusieurs fois.

Attirer 11 millions de touristes

Pour sa part, le directeur général de l’Office National du Tourisme Tunisien (ONTT), Mehdi Haloui, a affirmé que la présence de l’administration à cette assemblée traduit une volonté de renforcer la coopération avec les professionnels. Il a réitéré l’engagement commun à atteindre l’objectif de 11 millions de touristes durant la saison 2025.
Haloui a aussi précisé que l’administration œuvre activement à la révision des textes législatifs, à la promotion de la destination tunisienne, et à l’encouragement des investissements. Des cahiers des charges actualisés sont en cours d’élaboration, notamment celui encadrant l’hébergement touristique alternatif, dont la publication est imminente.
Concernant les problèmes de transport touristique, des comités mixtes travaillent sur des solutions concrètes pour faciliter l’investissement et améliorer l’organisation des voyages, notamment les pèlerinages. Un accent particulier est mis sur l’amélioration de la qualité des services proposés aux clients.
Sur le plan du tourisme saharien, il a indiqué que l’ouverture de la ligne aérienne Tozeur–Paris a généré une nouvelle dynamique. Elle a incité plusieurs investisseurs à relancer leurs projets, dont deux établissements touristiques actuellement en phase de rénovation et prêts à rouvrir bientôt.

IWG – Nouveau centre pour le travail hybride à Tunis : Se préparer à l’expansion régionale

L’inauguration du nouvel espace s’inscrit dans le cadre de la stratégie d’expansion de l’entreprise en Tunisie, où elle est présente depuis 2020 avec six centres, et marque le début de son introduction sur tout le territoire tunisien.

International Workplace Group (IWG), leader mondial des solutions de travail hybride, a inauguré récemment un tout nouveau centre de travail moderne à Tunis : Spaces « Le Golfe de Tunis ». À l’occasion de cette ouverture, un événement a été organisé pour les médias afin de présenter les spécificités de cet espace de travail de nouvelle génération.

Une offre complète

Selon Nesrine Bziouech, Country Lead pour IWG en Tunisie, cette inauguration marque une étape importante dans la stratégie d’expansion du groupe. Présent en Tunisie depuis 2020, IWG compte aujourd’hui six centres de coworking à travers le pays, dont trois sous la marque Regus. D’ici la fin de l’année, un nouveau centre ouvrira ses portes à Sfax, marquant ainsi l’introduction de la marque en Tunisie et surtout en dehors de la capitale.

« Spaces Le Golfe de Tunis », un espace de 2.079 m², est conçu pour répondre aux besoins des entreprises modernes et des entrepreneurs. Complet et entièrement aménagé, le centre offre des bureaux « clés en main » avec des services inclus, tels que la gestion des factures, des salles de réunion équipées des dernières technologies, etc. Les utilisateurs de cet espace bénéficient, également, de la flexibilité et des synergies offertes par un environnement collaboratif, où ils peuvent interagir avec d’autres entreprises et entrepreneurs », a précisé Bziouech.

La responsable a ajouté que le modèle de travail proposé par IWG repose sur une approche flexible, où les entreprises n’ont à se soucier ni de la logistique ni de la gestion des infrastructures. « Avec plus de 4.000 centres dans le monde, les clients IWG peuvent accéder à des services similaires dans n’importe quelle ville du globe. Cette dimension internationale est au cœur de l’offre de l’entreprise, qui continue de se développer à un rythme soutenu », a-t-elle encore souligné, tout en rappelant qu’en 2024, pas moins de 899 nouveaux centres seront ouverts dans le monde entier.

Outre sa présence à Tunis, IWG envisage d’élargir son réseau à d’autres villes tunisiennes, telles que Sousse, Nabeul, Gabès et Djerba, dans un objectif clair: favoriser la croissance des entreprises et des entrepreneurs locaux, qu’ils soient indépendants ou de grande taille. Avec des solutions adaptées aux besoins spécifiques de chaque client, IWG permet ainsi à chacun de trouver un environnement de travail flexible et optimisé.

Une flexibilité pour plus de confort

« La flexibilité reste l’un des principaux atouts d’IWG : les entreprises peuvent ajuster la taille de leurs espaces de travail en fonction de l’évolution de leurs besoins, un avantage considérable par rapport aux baux traditionnels à long terme, souvent contraignants », a encore précisé Nesrine Bziouech, tout en rappelant qu’avec plus de 4.000 centres dans plus de 120 pays, IWG permet aux entreprises et aux entrepreneurs d’accéder à des espaces de travail flexibles, modernes et parfaitement équipés, adaptés à leurs besoins en constante évolution.

Pour sa part, Adel Tlili, promoteur du projet, a partagé sa vision d’un espace de travail innovant et durable. « Cette décision a été motivée par la volonté de créer un environnement propice au développement de réseaux d’entrepreneurs, locaux et internationaux. Le IQ Smart Building a été conçu pour accueillir des entreprises de toutes tailles et de divers secteurs, avec un accent particulier sur les énergies renouvelables, domaine où plusieurs locataires sont déjà présents… Ce bâtiment reflète donc une approche éco-responsable et innovante. Il intègre des solutions de récupération de l’énergie solaire et des aménagements favorisant l’efficacité énergétique, permettant ainsi de réduire les besoins en chauffage et en climatisation.

L’espace a été conçu pour offrir un cadre de travail confortable et agréable, dans un environnement qui répond aux exigences des startup  et des petites entreprises », a-t-il expliqué. Il a dans ce même cadre ajouté que cette initiative s’inscrit dans la volonté de promouvoir la Tunisie comme une plateforme économique stratégique pour les marchés africains et européens, tout en offrant aux entrepreneurs, qu’ils soient locaux ou étrangers, un espace adapté à leurs besoins, tout en soutenant le développement économique de la région et la transition vers un avenir plus durable.

Gouvernance, climat, migration… : Les nouveaux axes de la coopération suisse en Tunisie

Ce programme, qui s’inscrit dans la continuité de celui de 2021-2024, adopte une approche plus ciblée et intégrée. Il vise à renforcer la résilience économique et sociale du pays tout en introduisant de nouvelles priorités, telles que
l’adaptation au changement climatique et la gestion des migrations.

L’ambassade de Suisse en Tunisie a officiellement lancé, ce jeudi 24 avril 2025, son programme de coopération pour la période 2025-2028, marquant une nouvelle étape dans les relations bilatérales entre les deux pays. Cet engagement s’inscrit dans la continuité du programme précédent (2021-2024), tout en introduisant de nouvelles priorités stratégiques, notamment l’adaptation au changement climatique et la gestion des migrations.​

Un partenariat historique renforcé

Lors de la cérémonie de lancement, l’ambassadeur de Suisse en Tunisie, S.E. Josef Renggli, a souligné la solidité et la longévité des relations entre les deux pays. «La Suisse et la Tunisie entretiennent d’excellentes relations depuis plusieurs décennies. L’année prochaine, nous célébrerons 69 ans de relations diplomatiques, établies peu après l’indépendance tunisienne», a-t-il rappelé. 

Il a également mis en lumière l’ancienneté du partenariat dans le domaine de la coopération, soulignant l’existence d’un accord bilatéral en vigueur depuis 1972. «Ce texte témoigne de notre engagement bien avant la Révolution. Mais c’est surtout à partir de 2011 que la Suisse a considérablement renforcé son soutien à la Tunisie, en accompagnant activement sa transition démocratique et économique. La Tunisie est depuis lors un pays prioritaire de notre coopération internationale», a-t-il ajouté.​

Revenant sur les réalisations du programme 2021–2024, l’ambassadeur a salué la qualité du dialogue instauré avec les institutions tunisiennes. «La semaine dernière, nous avons tenu un comité de pilotage très riche en échanges, avec une participation impressionnante de nombreux ministères. Les discussions ont permis d’évaluer les résultats obtenus, qui sont globalement très positifs», a-t-il encore précisé, tout en ajoutant que ce programme est le résultat d’un dialogue continu, transparent et constructif et s’inscrit dans une logique de continuité, en cohérence avec les priorités nationales de la Tunisie.​

Une approche intégrée pour une résilience accrue

En effet, le programme 2025–2028 repose sur une approche intégrée visant à renforcer la résilience économique et sociale de la Tunisie. Il met l’accent sur trois axes principaux : la gouvernance, le climat et la migration. Fabrizio Poretti, responsable de la coopération internationale, a présenté les grandes lignes de ce programme stratégique, qui s’inscrit dans la continuité des efforts menés entre 2021 et 2024, tout en introduisant de nouveaux axes d’intervention prioritaires.​

«Nous avons élargi notre champ d’action pour inclure des thématiques cruciales telles que le changement climatique et la gestion des migrations, qui sont désormais au cœur de nos priorités», a indiqué Poretti, dans une déclaration accordée à La Presse. 

Il a en outre précisé que la stratégie de la coopération suisse repose sur une approche intégrée, visant à promouvoir simultanément la prospérité économique, la cohésion sociale et la durabilité environnementale. Le programme soutiendra ainsi des projets favorisant la création d’emplois, l’amélioration de l’employabilité, le renforcement du tissu économique local, ainsi que l’inclusion des populations vulnérables.​

L’un des volets majeurs du programme concerne le soutien aux régions les plus défavorisées du pays. «Notre objectif est de réduire les inégalités régionales et d’encourager un développement territorial équilibré. Pour cela, nous allons concentrer nos efforts sur ces régions en difficulté tout en poursuivant notre partenariat avec les institutions nationales à Tunis», a précisé Poretti.​

Le programme met également un accent particulier sur les thématiques transversales du genre et de la gouvernance, qui seront intégrées dans l’ensemble des projets financés. «Ces dimensions ne sont pas secondaires. Elles constituent le socle même de notre intervention. La stabilité passe par une meilleure inclusion des femmes et par une gouvernance locale et nationale plus transparente et plus participative», a-t-il souligné.​

D’un point de vue financier, le programme est doté d’un budget de 210 millions de dinars tunisiens, soit une légère réduction par rapport au cycle précédent (baisse estimée entre 20 et 30 %). Cette contraction s’explique par un contexte global de resserrement des budgets d’aide publique au développement. Toutefois, la Suisse entend compenser cette baisse par une meilleure efficacité des interventions, notamment à travers des partenariats de confiance, une sélection rigoureuse des projets et une mobilisation des ressources locales. «Nous avons vu des municipalités et des communautés locales s’impliquer et même cofinancer des initiatives. Cela montre que cette coopération est bien vécue comme un partenariat, pas comme une assistance unilatérale», a affirmé Poretti.​

Des secteurs stratégiques pour un développement durable

Parmi les secteurs stratégiques identifiés figurent aussi le tourisme durable, l’agriculture biologique, l’économie circulaire, ainsi que le textile éco-responsable, un secteur clé à moderniser pour qu’il consomme moins d’eau et d’énergie. Une collaboration étroite est également prévue avec l’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (Anme), notamment pour capitaliser sur l’audit énergétique réalisé dans 350 municipalités lors de la phase précédente.​

Poretti a aussi insisté sur la dimension à long terme de cette coopération. «Nos projets sont pensés pour durer. Beaucoup d’entre eux s’étendent sur huit à douze ans. Il s’agit de construire des bases solides, d’accompagner les idées jusqu’à leur concrétisation, et d’assurer leur pérennité», a-t-il assuré.

Il est à rappeler que le programme 2025–2028 est le fruit d’une coordination étroite entre trois offices fédéraux suisses : la Direction du développement et de la coopération (DDC), le Secrétariat d’État à l’économie (Seco) et le Secrétariat d’État aux migrations (SEM). Et en cohérence avec le plan de développement national tunisien, la Suisse renforce ainsi son appui aux réformes macroéconomiques favorisant un climat des affaires attractif, un secteur privé résilient et compétitif, ainsi qu’une transition énergétique efficace. Le soutien à la formation professionnelle, à la cohésion sociale et au développement urbain fait également partie intégrante de cette feuille de route, avec une attention particulière accordée aux régions de l’intérieur, souvent marginalisées.

Par ailleurs, à l’occasion du lancement du programme, une délégation officielle suisse s’est rendue dans plusieurs régions du pays pour rencontrer les partenaires tunisiens et visiter des projets phares appuyés par la Suisse. Cette visite a permis de constater sur le terrain l’impact concret de la coopération suisse sur la vie des citoyens tunisiens, en particulier dans les domaines de l’emploi, de l’énergie renouvelable, de la gestion des déchets, ou encore de l’entrepreneuriat social. Ces visites ont aussi été l’occasion d’identifier de nouvelles pistes d’amélioration et d’adaptation des projets en fonction des réalités locales.

«Ce programme triennal n’est pas seulement un acte diplomatique : c’est une déclaration de confiance en l’avenir de la Tunisie, en sa jeunesse, en son potentiel économique et social, mais aussi en la capacité des deux pays à construire ensemble un partenariat solide, juste et porteur d’espoir».

Y compris les Tunisiens et Algériens : Ce pays lance un visa pour “nomades numériques” afin d’attirer les travailleurs étrangers

Les Philippines vont introduire un visa destiné aux “nomades numériques” pour attirer les travailleurs étrangers souhaitant résider temporairement dans le pays tout en exerçant une activité à distance.

Selon un communiqué du Bureau de la communication présidentielle, le président Ferdinand Marcos Jr. a signé un décret exécutif établissant un cadre juridique visant à faciliter l’entrée de ces travailleurs mobiles, dans l’objectif de stimuler le tourisme et l’économie nationale.

Pour être éligibles, les candidats doivent être âgés d’au moins 18 ans, prouver qu’ils exercent une activité professionnelle à distance via des technologies numériques, justifier de revenus suffisants provenant de l’étranger et présenter un casier judiciaire vierge.

Grâce à son coût de la vie abordable et à ses nombreux sites touristiques, les Philippines deviennent un véritable havre pour les travailleurs à distance. En 2023, le Forum économique mondial a classé le pays parmi les sept premières destinations mondiales à la croissance la plus rapide pour le télétravail.

Dans la région d’Asie du Sud-Est, des pays comme la Thaïlande, l’Indonésie et la Malaisie proposent déjà des visas similaires pour séduire ces professionnels nomades.

Le décret ne mentionne aucune restriction basée sur la nationalité. Par conséquent, les citoyens tunisiens, algériens, marocains et d’autres pays peuvent postuler, à condition de remplir les critères définis.

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