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Gabès : L’hôpital universitaire renforcé par de nouveaux équipements de pointe

Le processus de renforcement de l’hôpital universitaire de Gabès se poursuit à travers l’acquisition de nouveaux équipements médicaux de pointe, dans l’objectif d’optimiser la qualité des prestations de soins prodiguées aux patients.

Dans cette perspective, le service d’anatomie et de cytologie a été doté d’équipements modernes, notamment d’un appareil de dernière génération destiné à la préparation des coupes histologiques. Cette acquisition permettra de rehausser la rapidité et la précision des diagnostics, selon un communiqué publié par la direction de l’hôpital sur sa page officielle Facebook.

Par ailleurs, l’unité d’imagerie par résonance magnétique (IRM) de l’hôpital universitaire de Gabès a été récemment dotée d’un respirateur à oxygène non magnétique.

Pour rappel, en mars dernier, le service de cardiologie a également été renforcé par des appareils d’échocardiographie pour améliorer le diagnostic des maladies cardiaques et aider les médecins à fournir des soins médicaux rapides et précis aux patients, et ce, dans le cadre du programme  »Essaha Aziza ».

Dans le cadre du même programme, le service de néonatologie a été équipé de cinq nouvelles couveuses pour améliorer les prestations dans ce service.

Avec TAP

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Tozeur : Réception provisoire du service d’IRM à l’hôpital régional Hédi Jaballah

L’hôpital régional Hédi Jaballah à Tozeur a réceptionné, lundi 28 avril, à la réception son nouveau service d’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM), une unité de pointe qui devrait être pleinement opérationnelle d’ici la fin de l’année 2025.

Le directeur de l’établissement, Bsiri Nefti, a indiqué à l’Agence TAP que cette nouvelle unité sera dotée des équipements médicaux nécessaires dont un appareil d’IRM.

Il a ajouté que l’hôpital régional Hédi Jaballah assurera la réalisation des examens de radiologie au profit des patients des gouvernorats de Tozeur, Gafsa et Kébili, notant qu’il est le seul établissement hospitalier public à être équipé d’un appareil IRM dans la région du sud-ouest.

Avec TAP

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L’ARP entame l’examen d’un projet de loi pour l’ouverture d’un bureau du Conseil arabe des spécialités médicales à Tunis

 L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a entamé, mardi 29 avril, l’examen d’un projet de loi relatif à l’approbation d’un accord de siège entre la Tunisie et le Conseil arabe des spécialités médicales pour l’ouverture d’un bureau de coordination à Tunis.

La séance plénière, présidée par Ibrahim Bouderbala, président de l’ARP, s’est déroulée en présence du ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, et la délégation l’accompagnant.

Ce projet de loi organique n°2025-04, initié par la présidence de la République, vise à renforcer les activités du Conseil et à rapprocher le système académique tunisien de formation médicale des standards professionnels arabes de référence.

Selon le rapport conjoint des commissions parlementaires concernées, l’ouverture de ce bureau permettra à la Tunisie de devenir un centre de coordination pour toutes les activités du Conseil au niveau du Maghreb arabe, élargissant ainsi son champ d’action aux pays francophones d’Afrique du Nord.

Parmi les objectifs visés figurent le renforcement du rôle tunisien dans les activités du Conseil, la promotion des programmes et services offerts, la coordination de la formation dans les centres accrédités et l’organisation des examens du Conseil en Tunisie qui servirait de centre d’examen pour les pays du Maghreb.

Avec TAP

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À El Jem et Dougga, la Fondation Arts & Culture by UIB mécène des arts et du patrimoine

Fidèle à sa raison d’être, la Fondation Arts & Culture by UIB annonce le renouvellement pour une durée de trois ans, de son mécénat et son appui au Festival international de musique symphonique d’El Jem et au Festival International de Dougga.

Cet engagement est le reflet d’un accompagnement pérenne au service de la sauvegarde et de la valorisation du patrimoine ainsi que de la promotion de la création artistique. Il traduit, en même temps, l’attachement de la Fondation Arts & Culture by UIB aux valeurs d’ouverture, de dialogue
et de paix.

 

« La Fondation Arts & Culture by UIB maintient ainsi le cap qu’elle s’est donnée. Elle considère la culture – qui est un ensemble de systèmes au rang desquels se trouvent notamment l’art, la science, la religion et les rapports sociétaux – comme un moyen d’expression de la créativité et de l’identité avec le partage d’expériences culturelles qui favorisent le développement du comportement individuel et collectif en relation avec l’environnement tant interne qu’externe. La raison d’être de la Fondation ne perdra pas de son éclat car elle s’enracine dans une conviction confirmée, sincère, ne pouvant être asservie à une quelconque approche mercantile » a souligné monsieur Kamel Néji, président de la Fondation Arts & Culture by UIB.

Dans les écrins historiques classés au patrimoine mondial de l’UNESCO que sont le site archéologique de Dougga et l’amphithéâtre d’El Jem, les deux festivals offrent des expériences culturelles inédites et complémentaires.

À Dougga, une scène posée sur les ruines d’un théâtre antique, accueille une programmation éclectique, reflet de la richesse et de la diversité culturelle tunisienne et internationale.

À El Jem, les plus grands orchestres symphoniques internationaux investissent les pierres millénaires du Colisée, créant un dialogue entre musique classique et patrimoine architectural.

D’après communiqué

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L’UBCI tient son AGO 2025 et dévoile son plan stratégique

L’Union bancaire pour le commerce et l’industrie (UBCI) a tenu son Assemblée Générale Ordinaire le lundi 29 avril 2025 à l’hôtel Radisson Blu, à Tunis.

À cette occasion, le Président du Conseil d’Administration, Monsieur Hassine DOGHRI, a souhaité la bienvenue aux actionnaires présents, les remerciant pour leur fidélité et leur engagement constant aux côtés de la Banque. Dans son allocution d’ouverture, il a salué la résilience de la Banque au titre de l’exercice 2024 et mis en avant la dynamique de transformation engagée par l’UBCI, visant à renforcer sa position sur le marché, à accompagner ses clients dans une démarche de développement durable et à contribuer activement à l’essor de l’économie nationale.

Monsieur Mohamed KOUBAA, Directeur Général de l’UBCI, a dressé le bilan de l’exercice écoulé, mettant en lumière une trajectoire de croissance pérenne et des fondamentaux solides, soutenus par une gestion rigoureuse des risques. Un ensemble de résultats qui témoigne de la résilience du modèle économique de l’UBCI.

Il a également partagé les grandes avancées stratégiques de l’année, notamment un jalon structurant, constitué par la migration réussie vers le nouveau système d’information Flexcube. Ce chantier d’envergure marque l’achèvement de la désimbrication des anciens systèmes. Cette évolution technologique majeure dote désormais la Banque d’une autonomie informatique totale, renforçant son agilité, sa capacité d’innovation et son indépendance.

Dans le cadre de la poursuite de son plan de transformation, l’UBCI a réorganisé son pôle Business afin de renforcer la dynamique commerciale, développer son portefeuille clients, notamment auprès des TPME et accroître ses parts de marché. Cette nouvelle organisation vise également à optimiser l’orientation client et les processus décisionnels, tout en maintenant une gestion rigoureuse des risques.

Dans cette phase clé de transformation, l’UBCI a dévoilé son plan stratégique à horizon 2029 : « Émergence 2029 ». Fruit d’une démarche participative et collective, cette vision trace les contours d’un nouveau cycle de développement, pour positionner l’UBCI comme une banque universelle et citoyenne, résolument tournée vers la performance durable et l’impact positif. Portée par ses valeurs fondatrices – Innovation, Qualité et Durabilité – l’UBCI ambitionne de renforcer la confiance de ses parties prenantes, d’accroître son rayonnement commercial et de générer une prospérité inclusive.

L’UBCI continue d’illustrer l’efficacité de son modèle de gestion des risques, reposant sur une politique d’octroi rigoureuse et un suivi renforcé du recouvrement. Cette approche a permis une amélioration continue de la qualité du portefeuille, avec un taux de créances douteuses (NPL) réduit à 5 % et un taux de couverture supérieur à 76 %, parmi les meilleurs du secteur.

Dans ce contexte de performance soutenue, l’Assemblée Générale de l’UBCI a également approuvé la distribution d’un dividende de 1,250 dinar brut par action, dont le paiement interviendra à partir du 7 mai 2025.

L’UBCI remercie l’ensemble de ses actionnaires pour leur confiance renouvelée et réaffirme son engagement à poursuivre sa dynamique de transformation dans un esprit d’innovation, de responsabilité et de performance durable.

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Kef : inauguration du service de pédiatrie à l’hôpital local de Tajerouine

Le nouveau service de pédiatrie à l’hôpital local de Tajerouine au Kef a été inauguré, lundi 28 avril.

Le directeur régional de la santé, Moncef El Houani, a indiqué à l’Agence TAP que cette unité dotée d’une capacité de 10 lits prend en charge les enfants de moins de 15 ans.

Il a ajouté que la fin des travaux de construction d’un bloc opératoire et d’une salle de chirurgie générale, entamés en février 2025, est prévue pour février 2026.

L’hôpital local de Tajerouine offrira, désormais, des services médicaux dans cinq spécialités au profit des patients de Kaâlet Senan, Kalaâ Khasba, Jérissa et Tajerouine.

Avec TAP

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Signature d’une convention de coopération entre l’ISIE et l’UTMA

Une convention de coopération entre l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) et l’Union tunisienne des médias associatifs (UTMA) a été signée ce mardi 29 avril, à Tunis.

La convention a pour objectif de renforcer, d’une part, le partenariat entre l’ISIE et l’UTMA et de définir, d’autre part, un dispositif de suivi et d’évaluation des programmes de coopération entre les deux parties, mis en place à l’occasion des échéances électorales.

Il s’agit aussi d’évaluer les activités organisées conjointement en matière de formation électorale et médiatique; ainsi que les campagnes de sensibilisation et d’information visant à encourager la participation aux élections. En particulier celle des jeunes, des femmes et des personnes en situation de handicap. C’est ce qu’indique l’ISIE dans un communiqué.

Le président de l’Instance électorale, Farouk Bouasker, s’est félicité de la coopération établie entre l’ISIE et l’UTMA.  « Ce partenariat s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération avec les différentes composantes de la société civile », précise-t-il.

Avec TAP

 

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FILT : « Le Bisht », un savoir-faire du patrimoine arabe ancestral qui rayonne

Événement culturel incontournable, la Foire Internationale du Livre de Tunis (FILT) s’impose comme un rendez-vous annuel ouvert sur les cultures et les arts du monde entier. Outre la littérature, les traditions autour du patrimoine et des métiers artistiques occupent une place importante dans cette fête du livre ouverte sur l’histoire des peuples et des nations, dans une mosaïque de couleurs intemporelle.

Au pavillon saoudien, le fameux Bisht Hassawi, en référence à la ville d’Al-Ahsa, au Sud du Royaume, est un patrimoine vestimentaire par excellence qui se déploie en couleurs et tissus ornés de motifs, argentés ou dorés, tissés à la main.

L’espace aménagé à l’entrée du pavillon et accueillant ce savoir-faire ancestral, capte la curiosité de voir de près le tissage de ce vêtement traditionnel sous forme de manteau long sans manches que l’Arabie saoudite œuvre à promouvoir, avec d’autres métiers, à travers l’instauration de l’année de l’artisanat en 2025.

D’ailleurs, le Bisht est proposé pour inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco dans le cadre d’une candidature multinationale réunissant plusieurs pays arabes qui partagent ce patrimoine immatériel.

Dans une rencontre, lundi 28 avril, avec l’agence TAP, l’artisan Habib Mohamed Khothor a offert un large aperçu de ce savoir-faire du Bisht. Un héritage de plusieurs générations, mis en avant sur le pavillon de son pays où est également visible un autre élément emblématique du patrimoine du pays, le « Ogal ».

Costume traditionnel et produit synonyme d’authenticité mais aussi de luxe, le Bisht et ses appellations multiples dont la plus connue est celle de « Abaya », se décline en plusieurs modèles et couleurs, notamment dans les tons particuliers du vert et du Camel. Ces couleurs de la terre renvoient vers une géographie du désert racontant la résilience humaine et la capacité de l’homme à se nourrir de son environnement dans des créations qui défient le temps.

Originaire de la ville d’Al Ahsa, ville abritant le plus grand oasis au monde qui est classé au patrimoine mondial, et berceau du Bisht, l’artisan en Abaya blanche avec et les fameux « coiffe » et « ogal » saoudiens, raconte fièrement l’histoire d’un vêtement « porté depuis des siècles par les hommes et les femmes de son pays et soigneusement confectionné à la main, avec passion et patience, sur une durée de 15 à 20 jours ».

Ce travail implique de nombreux artisans dont « le nombre va jusqu’à huit personnes qui se partagent les tâches jusqu’à la dernière trame tissée sur un costume hautement sollicité par les clients, chacun selon ses moyens ». Ce produit de qualité reproduit la culture du peuple et ses fils argentés ou dorés revisitent les ruisseaux d’eau dans l’Oasis et les branches des palmiers.

Le Bisht est un costume de prestige et de statut social

Grâce à sa longue expérience dans la fabrication du Bish et nourri du sens du détail et de la précision, il parle dans les moindres détails sur un métier qu’il pratique avec dévouement. Habité qu’il est par une volonté infaillible de  perpétuer cet art pour les générations futures dans son pays.

Beaucoup plus qu’un simple costume, le Bisht est un costume de prestige et de statut social. Les fils en usage dans le tissage, en or et en argent, sont généralement importés de pays comme l’Allemagne pour les produits de luxe. Alors que les Abayas normales sont assez souvent brodées par le fils importé de l’Inde ou de France.

La fabrication du Bisht a profité de l’emplacement de la région, carrefour traditionnel pour le commerce dans la péninsule arabique et les pays voisins. Historiquement, il était le costume des princes et des dignitaires du pays avant de devenir progressivement un costume à la portée de la population. Selon M.Khodhor « les prix les plus élevés peuvent atteindre les 10 mille dollars ».

Ces dernières années, « le Bisht hassawi attire les maisons de couture modernes qui se précipitent pour l’introduire dans leurs créations. Et ce, en lui insufflant une touche moderne; tout en préservant ce qui fait son authenticité », avance l’artisan.

Passage obligatoire pour tout visiteur de son atelier temporaire au coeur du pavillon saoudien, une photo avec le Bisht sur les épaules créée un dialogue et un contact direct avec une culture millénaire, beaucoup plus qu’un simple souvenir sur les rayons du livre.

Avec TAP

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Régulations numériques et modèles économiques : enseignements européens pour le Maghreb

La révolution numérique modifie en profondeur les modèles économiques traditionnels. Plateformes de streaming, cryptomonnaies, services de paiement dématérialisés, jeux en ligne : de nombreux secteurs évoluent aujourd’hui en dehors des cadres classiques. Dans ce contexte, les États doivent adapter leurs réglementations pour assurer à la fois sécurité, souveraineté et innovation.

L’Europe, et en particulier la Suisse, offre des exemples intéressants d’équilibres réussis. Le Maghreb, en quête de diversification économique et de maîtrise des usages numériques, pourrait y puiser des enseignements précieux.

Un marché numérique en pleine expansion

Les services numériques pèsent aujourd’hui des centaines de milliards de dollars dans l’économie mondiale. Qu’il s’agisse d’e-commerce, de streaming, de plateformes de jeu ou de finance décentralisée, l’évolution est rapide, souvent en avance sur les lois en vigueur. L’adoption massive des smartphones et le développement des infrastructures internet ont favorisé l’essor d’un écosystème digital transfrontalier.

Cette mutation crée des opportunités de revenus, mais elle expose aussi les utilisateurs à de nouveaux risques : arnaques, collecte abusive de données, addiction ou contournement fiscal. Face à ces défis, certains pays ont choisi de prendre les devants, en imposant des régulations strictes à des secteurs spécifiques du numérique.

Régulation en Suisse : encadrer pour mieux maîtriser les usages digitaux

La Suisse fait figure de pionnière en matière de régulation numérique ciblée. En 2019, elle a adopté une législation spécifique sur les jeux d’argent en ligne, interdisant les plateformes non autorisées et créant un cadre clair pour les acteurs agréés. Cette décision ne visait pas seulement la moralisation du secteur, mais aussi sa formalisation économique.

Aujourd’hui, un casino en ligne suisse comme Casino777 peut opérer légalement, sous la supervision de la Commission fédérale des maisons de jeu. Les utilisateurs y bénéficient d’une protection renforcée (limites de mise, auto-exclusion, cryptage des données), tandis que l’État perçoit des recettes fiscales et contrôle les flux financiers.

Ce modèle, fondé sur la transparence, la responsabilité et la fiscalisation, démontre qu’il est possible d’encadrer efficacement des activités numériques souvent jugées difficiles à maîtriser.

Des usages massifs, mais peu encadrés au Maghreb

Dans les pays du Maghreb, les pratiques numériques sont en forte croissance. La jeunesse est connectée, les usages mobiles explosent, et de nombreuses plateformes internationales sont utilisées au quotidien. Cependant, les cadres réglementaires sont souvent lacunaires ou inadaptés.

Certaines activités numériques, comme les jeux d’argent en ligne, les cryptomonnaies ou les services de paris, se développent dans un flou juridique. Cela ouvre la porte à :

  • Une perte de contrôle étatique sur les flux économiques ;
  • Une absence de protection des usagers contre les dérives ou escroqueries ;
  • Une fiscalité contournée, faute d’instruments adaptés ;
  • Une concurrence déloyale pour les acteurs locaux régulés.

Ce décalage entre pratiques réelles et réglementation existante constitue un frein à la souveraineté numérique et à la transformation économique.

Structurer les marchés numériques : entre défi juridique et potentiel fiscal

La régulation des marchés numériques ne se résume pas à une logique de contrôle. Elle permet aussi de :

  • Créer un environnement économique stable, propice à l’investissement ;
  • Fournir un cadre légal aux acteurs nationaux souhaitant innover ;
  • Générer des recettes fiscales utiles au financement des politiques publiques ;
  • Préserver la sécurité des utilisateurs, notamment les plus jeunes.

Les pays du Maghreb, en pleine transition économique, ont donc tout intérêt à définir des cadres légaux modernes pour encadrer les plateformes numériques, à commencer par celles qui brassent des flux importants. L’expérience suisse, dans le domaine des jeux en ligne, prouve qu’une telle régulation est possible, rentable et bénéfique pour l’ensemble des parties prenantes.

Vers une gouvernance régionale des pratiques numériques ?

Au-delà des cadres nationaux, l’émergence d’un marché numérique maghrébin intégré pourrait renforcer la position des États face aux géants du numérique. Une harmonisation des régulations (comme cela a été initié dans l’Union européenne) permettrait :

  • De lutter plus efficacement contre les pratiques illégales transfrontalières ;
  • De renforcer la cybersécurité à l’échelle régionale ;
  • D’attirer des investissements structurants dans l’économie digitale ;
  • De développer des plateformes locales compétitives et responsables.

Cette coopération régionale pourrait s’appuyer sur les structures existantes (UMA, Union africaine) et viser à créer un socle commun de régulation numérique, incluant les jeux, les services financiers, les données personnelles et les plateformes de contenu.

Conclusion : poser les fondations d’une souveraineté numérique maghrébine

Le développement des services numériques dans les pays du Maghreb est une réalité incontournable. Plutôt que de le subir, il est temps de le structurer. Cela suppose de s’inspirer des modèles ayant fait leurs preuves, comme celui de la Suisse avec son casino en ligne sous licence, mais aussi de développer une vision propre, ancrée dans les réalités locales.

La régulation des plateformes numériques, si elle est bien pensée, peut devenir un outil puissant au service de l’innovation, de la justice fiscale et de la protection des citoyens. Le Maghreb a une carte à jouer : il lui reste à poser les bonnes bases pour bâtir une souveraineté numérique durable.

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Marokko – Atlantik-Gaspipeline mit Nigeria nimmt Gestalt an.

Mega - PipelineEin milliardenschweres Infrastrukturprojekt rückt näher an die Umsetzung: Die geplante Gaspipeline zwischen Nigeria und Marokko ist in der technischen Vorbereitungsphase weit fortgeschritten und soll eine neue Energieachse zwischen Afrika und Europa schaffen. Rabat – Der geplante Afrika-Atlantik-Gasodukt, der Nigeria mit Marokko und anschließend mit Europa verbinden soll, zählt zu den bedeutendsten Energieprojekten des afrikanischen Kontinents. […]

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Marokko – Rabat leistet Stromhilfe für Südeuropa nach Blackout

StromnetzNach einem weitreichenden Stromausfall auf der Iberischen Halbinsel leistet Marokko grenzüberschreitende Unterstützung – die Energiesolidarität mit Europa gewinnt an strategischer Bedeutung. Madrid, Lissabon, Rabat – Am Montag, den 28. April 2025, kam es zu einem großflächigen Stromausfall, der weite Teile Spaniens, Portugals und Teile Südwestfrankreichs betraf. Zahlreiche Städte meldeten Ausfälle bei der Stromversorgung, Bahnbetrieb und […]

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Kaïs Saïed : La lutte pour la libération, un combat entre le peuple et un système en crise »

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu lundi 28 avril 2025 au Palais de Carthage Sarra Zaâfrani Zenzri, cheffe du gouvernement. Lors de cette rencontre, le président a insisté sur la nécessité de donner une priorité absolue aux projets de lois et décrets visant à résoudre de manière définitive toutes les questions sociales, sans retour en arrière possible. Il a souligné que cette étape de l’histoire tunisienne exige que toute personne au sein des institutions de l’État qui ne travaille pas à répondre aux revendications du peuple tunisien soit tenue responsable.

Kaïs Saïed a expliqué que la lutte pour la libération nationale est aujourd’hui une bataille entre le régime choisi par le peuple et un système dont le seul souci est de se redresser et d’attiser les tensions par tous les moyens. Il a également mis en avant la jeunesse tunisienne capable de contribuer activement, ainsi que la conscience populaire qui a démasqué ceux qui feignaient l’hostilité depuis une décennie, mais qui se sont finalement révélés eux-mêmes et ont été rejetés par l’histoire et le peuple.

Enfin, le président a affirmé que les efforts déployés et les solutions en cours de mise en œuvre sont radicales, réelles et non illusoires ou factices, contrairement à celles prétendument défendues par les anciens adversaires qui se présentent aujourd’hui comme alliés œuvrant à leur réalisation.

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Kaïs Saïed rejette fermement l’ingérence étrangère : « La Tunisie n’est ni un domaine ni un verger »

Le président de la République, Kaïs Saïed, a affirmé, lors de sa rencontre lundi 28 avril 2025 au Palais de Carthage avec  Mohamed Ali Nafti, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, que les déclarations et communiqués émanant de parties étrangères sont rejetés dans la forme et dans le fond, et constituent une ingérence flagrante dans les affaires intérieures tunisiennes.

Le chef de l’État a souligné que la Tunisie n’est ni un domaine privé ni un verger, et que si certains regrettent l’exclusion des observateurs internationaux, la Tunisie pourrait, elle aussi, envoyer des observateurs auprès de ces parties qui ont exprimé leur prétendue inquiétude et insomnie, et leur demander de modifier leurs législations et de changer leurs procédures.

Il a ajouté que ces parties ne s’inquiètent que lorsqu’elles choisissent de montrer de l’inquiétude, mais ne souffrent pas d’insomnie lorsqu’elles considèrent leur propre présent avant leur passé.

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Marokko – Neue Botschafter für EU und Afrika durch König ernannt.

KönigRabat entsendet neue diplomatischer Vertreter. Rabat will seine außenpolitische Präsenz in Brüssel und auf dem afrikanischen Kontinent stärken. Rabat – König Mohammed VI. hat im Königspalast in Rabat mehrere neue Botschafter ernannt. Die feierliche Übergabe der Ernennungsurkunden erfolgte im Beisein von Außenminister Nasser Bourita, wie die staatliche Nachrichtenagentur MAP berichtete. Besondere Aufmerksamkeit gilt der Ernennung […]

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Marokko – König gratuliert Benkirane zur Wiederwahl an PJD-Spitze

KönigKöniglicher Glückwunsch mit politischer Botschaft. Zwischen Loyalität zum Königshaus und innerparteilicher Erneuerung – Die islamisch-konservative Partei ringt um ihre politische Rolle im marokkanischen Machtgefüge Rabat – Am gestrigen Montag richtete König Mohammed VI. eine offizielle Botschaft an Abdelilah Benkirane, in der er dem langjährigen Vorsitzenden der Partei für Gerechtigkeit und Entwicklung (PJD) zur Wiederwahl als […]

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Marokko – König Mohammed VI. empfängt Außenminister der Sahel-Allianz

KönigSignal der außenpolitischen Priorität – Rabat setzt auf vertiefte Zusammenarbeit mit Burkina Faso, Mali und Niger – trotz internationaler Spannungen Rabat – Am gestrigen Montag (28. April 2025) hat König Mohammed VI. von Marokko im Königspalast in Rabat die Außenminister von Burkina Faso, Mali und Niger empfangen – eine diplomatische Geste, die weit über das […]

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Top départ de la 13ème cohorte du programme d’incubation du Lab’ess

Le Lab’ess a ouvert les candidatures pour la 13ème édition de son programme d’incubation. Ce programme vise à accompagner les entrepreneurs en leur offrant un appui technique et financier, afin de renforcer l’impact positif de leurs projets sur la durabilité environnementale et économique.

Il propose notamment :

– Un programme de formations complet incluant des formations pratiques en lien avec l’entrepreneuriat à impact environnemental ;

– Un accompagnement individuel et personnalisé ;

– Une mise en réseau avec des partenaires spécialisés en entrepreneuriat et en financement ;

– Un financement allant jusqu’à 37 000 dinars par projet, accordé sous forme de prêt d’honneur ;

– Une évaluation de l’impact.

A noter que le dernier délai de dépôt des candidatures est fixé au 25 mai 2025 via le lien suivant : https://www.labess.tn/incubation/

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Tunisie : ambitions aéronautiques et inauguration nautique

La Tunisie s’impose comme un acteur incontournable de l’aéronautique sur le continent, combinant excellence industrielle, innovation technologique et formation de haut niveau. Avec plus de 80 entreprises, 17 000 emplois directs et une chaîne d’approvisionnement certifiée aux standards internationaux, le pays attire les géants du secteur et multiplie les succès, du lancement de satellites 100 % locaux à la fabrication de composants de haute précision. Soutenue par un écosystème éducatif robuste et des partenariats stratégiques, l’industrie aéronautique tunisienne s’affirme comme un moteur de croissance, de transfert de technologie et de rayonnement international. 

Dans ce contexte, Mercury Marine, filiale du groupe Brunswick Corporation et leader mondial de l’industrie nautique, signe son grand retour en Tunisie avec l’inauguration d’un showroom multifonctionnel ayant eu lieu le 24 avril 2025, Route de la Marsa, km 11. Cette relance ambitieuse est portée par un trio de partenaires complémentaires : Walid Manaa (Directeur Général, entrepreneur du nautisme et du retail), Hédi Gharbi (ancien champion de Tunisie de voile, double olympien) et Frédéric Augugliaro (expert Mercury et acteur clé du développement régional dans la zone MENA). 

Après une période d’absence, Mercury Marine Tunisie, désormais sous la structure Fred Marine, ambitionne de retrouver la position historique de la marque sur le marché tunisien, où 80 % des bateaux étaient équipés de moteurs Mercury dans les années 90. L’objectif affiché : redevenir la référence aussi bien auprès des professionnels que des plaisanciers tunisiens

A cet effet, Walid Manaa, Directeur Général, entrepreneur du nautisme et du retail a fait savoir que  80 % des bateaux tunisiens étaient équipés de moteurs Mercury dans les années 90, L’objectif selon lui,  est de retrouver cette place historique sur le marché, aussi bien auprès des professionnels que des plaisanciers. 

Développer des partenariats exclusifs avec des chantiers navals tunisiens

Il convient de noter que le nouveau showroom va bien au-delà de l’exposition. Ainsi il propose l’ensemble des gammes de moteurs Mercury, un stock permanent de pièces de rechange, mais encore un atelier technique pour interventions rapides et formations spécialisées, et sert de point de contact stratégique pour la Marine Nationale ainsi que les Gardes-côtes ou encore les Nations Unies.

Une chose est sûre: il s’agit d’un signal fort. Au delà de l’engagement local, cela permet également de développer des partenariats exclusifs avec des chantiers navals tunisiens, où  la fabrication de bateaux 100 % made in Tunisia constitue  un véritable atout pour la relance du secteur. 

Il convient de rappeler entre autres qu’il s’agit d’un réseau national structuré de quatre concessionnaires régionaux (Bizerte, Hammamet/Nabeul, Sousse, Gabès) qui sera déployé pour renforcer la proximité et la qualité de service

 

 

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Le marché boursier termine en légère hausse

Le marché boursier tunisien a clôturé en légère hausse (+0,03 %) à 11 182 points, avec un volume d’échanges modeste de 6,5 millions de dinars (MD).

La séance a été marquée par une transaction de bloc sur le titre STA, qui a dominé les échanges.

Les valeurs phares de la séance

  • STA : Le concessionnaire officiel de Chery a enregistré une progression de 2,1 % à 24,400 D, avec un volume d’échanges de 1,5 MD, grâce à une transaction de 1,4 MD.

  • MONOPRIX : Meilleure performance du jour, le titre a grimpé de 4,4 % à 4,300 D, dans un flux de 24 000 dinars.

  • ASSAD : Bien orienté, le titre a gagné 4,4 % à 2,150 D, avec 252 000 dinars échangés.

Les principales baisses

  • TUNINVEST : La SICAR a subi la plus forte correction (-4,5 %) dans un volume limité (4 000 dinars).

  • BH LEASING : Le leaseur lié à BH BANK a reculé de 3,2 % à 4,600 D, avec seulement 7 000 dinars échangés.

Actualité corporate : MONOPRIX publie ses résultats

Lors de sa réunion du 25 avril 2025, le Conseil d’Administration de MONOPRIX a annoncé :

  • Un chiffre d’affaires individuel de 732,6 MD en 2024 (+7,1 %).

  • Un résultat net individuel de 6,8 MD.

  • Un résultat consolidé (part du groupe) de 6,9 MD.

La société proposera un dividende de 0,150 D par action (contre 0,100 D en 2024) lors de son Assemblée Générale Ordinaire du 12 juin 2025.

Avec TAP

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