C’est le nombre de médailles récoltées par la sélection tunisienne d’haltérophilie aux championnats d’Afrique de la discipline, et ce, dès la première journée de ces épreuves qui se déroulent à l’île Maurice. Il s’agit de 3 or, 3 argent et 3 bronze.

Les médailles d’or ont été remportées par Mayssa Khadhraoui dans les épreuves de l’arraché, de l’épaulé-jeté et du total combiné dans la catégorie des 45 kg.

Les breloques d’argent sont revenues à Nour Khalfaoui dans la catégorie des 49 kg.

Pour sa part, Tasnim Ben Ouada a décroché les trois médailles de bronze dans la même catégorie des 49 kg.

Cette moisson pourrait se poursuivre, car les compétitions continueront dans l’après-midi de ce samedi avec la participation de trois haltérophiles tunisiens, à savoir Wassim Saïdani et Amenallah Berrini (55 kg) et Amine Bouhehba (61 kg).

La sélection féminine – 12 médailles lors de la dernière édition des Championnats d’Afrique 2024 à Ismailia, en Égypte – est composée de Mayssa Khadhraoui (45 kg), Tasnim Ben Ouada (49 kg), Nour Khalfaoui (49 kg), Eya Aouadi (55 kg), Ghofrane Belkhir (55 kg), Isra Béjaoui (59 kg), Chaima Rahmouni (64 kg), Jawaher Guesmi (71 kg) et Zaineb Ennaoui (87 kg).

Chez les garçons, on citera Wassim Saïdani (55 kg), Amanallah Berrini (55 kg), Mohamed Amine Bouhajba (61 kg), Ayoub Salem (67 kg), Karem Ben Henia (73 kg), Aymen Becha (109 kg), Ezzedine Maïek (109 kg).

Tout cela augure plusieurs médailles pour la sélection tunisienne lors de ces championnats.

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Lors de sa réunion du vendredi 25 avril 2025, le conseil d’administration de la Banque Zitouna a annoncé la nomination de Mounir Fakhet en tant que nouveau directeur général de l’établissement.

Pour commencer, il faut noter que sur le plan académique, Mounir Fakhet est titulaire d’une maîtrise en Hautes études commerciales de l’IHEC Carthage, d’un master professionnel d’Études supérieures bancaires de l’Institut technique de banque du Conservatoire national des Arts & Métiers à Paris, et d’un master en Risk Management de l’Institut Supérieur de Gestion de Tunis, en association avec l’APBEF. Excusez du peu !

Avec une expérience de 35 ans dans le secteur bancaire et financier, de la BNDT à la Banque Zitouna (en 2010) en passant par la STB, Mounir Fakhet apporte à la banque islamique une expertise solide et diversifiée.

À la Banque Zitouna, l’expert financier a exercé les fonctions de directeur pôle risques et secrétaire général.

Auparavant, Mounir Fakhet occupait le poste de directeur général de plusieurs filiales du groupe, notamment Zitouna Capital, Zitouna Finance et Excellia. Mais il assurait aussi le rôle d’administrateur au sein de plusieurs sociétés financières et industrielles.

Autrement dit, la Banque Zitouna, avec cette nomination, est sans doute entrée dans une nouvelle phase, dans l’objectif de consolider sa position sur le marché sous sa direction et son leadership.

Bon vent.

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La Tunisie s’apprête à élargir son offre de mobilité durable. Bientôt, une voiture électrique abordable, avec une autonomie de 330 km et au prix d’environ 45 000 dinars, sera disponible. Hassan Tekaya a annoncé que les procédures d’enregistrement sont en cours. Tout en soulignant l’engagement du pays envers la réduction de l’empreinte carbone.

Selon Hassan Tekaya, qui s’est exprimé sur Jawhara FM le 24 avril 2025, ce modèle de voiture électrique pourra être rechargé aussi bien à domicile que dans les stations de recharge déjà installées à travers le pays. Compact, ce véhicule mesure 3,72 m de long, 1,64 m de large et 1,505 m de haut. Et il propose des équipements modernes tels qu’un écran numérique de 10 pouces, la climatisation et une boîte automatique. Affiché à un prix d’environ 45 000 dinars, il se positionne comme une alternative électrique accessible pour les automobilistes tunisiens.

A cet égard, cette initiative marque une avancée majeure pour la Tunisie dans le domaine de la mobilité durable, en offrant une solution respectueuse de l’environnement et adaptée aux besoins actuels. Et ce, tout en contribuant à la réduction de l’empreinte carbone nationale.

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Une cérémonie officielle s’est tenue au service des urgences de l’hôpital universitaire Tahar Sfar à Mahdia pour la mise en service du plus grand générateur d’oxygène du continent africain. Un équipement médical crucial offert par l’Arabie saoudite dans le cadre de la coopération bilatérale.

Le dispositif, d’une capacité de 80 mètres cubes par heure, comprend une unité de production, un système de refroidissement industriel et une infrastructure de stockage-distribution. Il renforce les capacités de l’établissement, en cours de modernisation, à Mahdia, pour les soins chirurgicaux et de réanimation.

Le Dr. Abdullah bin Abdulaziz Al-Rabiah, conseiller de la Cour royale saoudienne et superviseur du Centre Roi Salman d’aide humanitaire (KSrelief), a souligné que ce projet s’inscrit dans un « partenariat stratégique » visant à :

• Renforcer les compétences médicales locales;
• Développer l’échange d’expertises dans les spécialités complexes.

Il a rappelé les cinq générateurs fournis pendant la crise Covid-19, dont celui de Mahdia est le plus performant.

Initiatives complémentaires annoncées

Tout d’abord, il s’agit d’une mission chirurgicale. Ainsi, une équipe saoudienne spécialisée en implants cochléaires effectuera 50 interventions sur des enfants sourds tunisiens.

Ensuite, dans les collaborations futures, on retrouve des projets en discussion pour des missions de chirurgie cardiaque, transplantation d’organes et ophtalmologie.

De son côté, Abdelrazek Bouzouita, directeur général de la santé, a salué un « acquis majeur » pour améliorer les services dans des spécialités sensibles :

• Chirurgie pédiatrique;
• Oncologie infantile;
• Greffe de moelle osseuse.

Il a réitéré la volonté tunisienne de « multiplier les échanges de compétences » dans le secteur médical.

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Selon l’Institut d’études géologiques des Etats-Unis (USGS), un puissant séisme de magnitude 6,2, dont l’épicentre est situé en mer de Marmara, a secoué la Turquie ce mercredi 23 avril. Il n’a fait aucune victime ni de dégât, selon les autorités turques. « Un séisme de 6,2 s’est produit au large de Silivri, en mer de Marmara », ont relayé l’Agence nationale de la gestion des catastrophes AFAD et le ministre de l’Intérieur, Ali Yerlikaya.

Lire aussi: Turquie – Tremblements de terre : le coût des dommages évalué à 104 milliards de dollars

Par ailleurs, deux répliques ont été enregistrées par l’USGS : l’une dans la mer de Marmara (de magnitude 4,5) et l’autre dans les terres à l’ouest d’Istanbul (de magnitude 5).

Même si le séisme et ses répliques n’ont pas fait de victime, ils ont cependant créé une panique au sein de la population de la métropole d’Istanbul qui compte quelque 16 millions d’habitants, rapportent plusieurs médias.

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Selon Abdelmajid Douzi, chef de la station météorologique de Sidi Bouzid, un tremblement de terre d’une magnitude de 4 sur l’échelle de Richter a été détecté à minuit et 52 minutes, dans la localité de Souk El Jadid dans le gouvernorat de Sidi Bouzid.

Il a précisé qu’une autre secousse de magnitude 3,8 sur l’échelle de Richter a été enregistrée vers 00h49 dans la ville de Sidi Bouzid (à 35 km au nord et 9,5 km à l’est).

A noter qu’une troisième secousse de 2,3 degrés avait été enregistrée au sud de Souk El Jadid le mardi 22 avril 2025, vers 17h06.

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La présidente du Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM), Rym Ghachem Attia, a dévoilé des chiffres qui font froid dans le dos. Ainsi, entre 2017 et 2021, ce sont plus de 3 100 médecins tunisiens qui sont partis à l’étranger. C’est ce qu’a rapporté La Presse, lundi 21 avril 2025, citant la Radio nationale.

Les raisons des départs des médecins tournent autour des conditions de travail et de vie compliquées. Mais pas seulement.

La présidente du CNOM indique que les pays ciblés par les jeunes professionnels sont essentiellement la France, l’Allemagne, l’Arabie saoudite et le Qatar.

Ceci étant, Mme Ghachem se montre optimiste quant à l’avenir du domaine de la santé en Tunisie. Car, dit-elle, de nombreux médecins partis à l’étranger souhaitent revenir au pays pour exercer leur métier.

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Selon les dernières données de l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI), le taux de remplissage des barrages s’établissait à 36,5 % le 16 avril 2025. Les réserves en eau ont atteint 865,3 millions de m³, en hausse de 4 % par rapport à 2024 (832,8 millions de m³).

Répartition géographique

• Nord : 90,4 % des réserves nationales (782,4 millions de m³).
• Centre : 7,3 % (62,8 millions de m³).
• Cap Bon : 2,3 % (20,1 millions de m³).

Ainsi entre le 1ᵉʳ septembre 2024 et le 16 avril 2025, les apports totaux se sont élevés à 737,8 millions de m³. Soit en baisse de 53,2 % par rapport à la moyenne historique (1 576,5 millions de m³).

Répartition journalière au 16 avril

• Nord : 89,7 % des apports.
• Centre : 7,3 %.
• Cap Bon : 3 %.

Plus encore, les barrages du nord concentrent 90,4 % des réserves nationales (782,4 millions de m³). Et ce, contre 7,3 % (62,8 millions) dans le centre et 2,3 % (20,1 millions) au Cap Bon, précise l’ONAGRI.

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En prévision de l’Aïd el-Adha 2025, les autorités algériennes ont fixé le prix des moutons importés. Ce tarif est inférieur à ceux des années précédentes. Le président  algérien Abdelmadjid Tebboune a décidé d’importer un million de moutons pour permettre aux habitants de se les procurer à moindre coût. Des appels d’offres internationaux ont été lancés et une première livraison de 15 000 moutons roumains a été reçue au port d’Alger ce dimanche. Un deuxième bateau avec 12 000 ovins arrivera demain.

Selon une annonce de l’agence officielle APS, diverses actions sont prévues dans plusieurs ports nationaux de l’Algérie dans les jours à venir. Les moutons débarqués au port d’Alger seront orientés vers des zones de quarantaine avant leur répartition dans les points de vente. Les standards sanitaires et de sécurité seront respectés. Les employés des entités gouvernementales et des entreprises d’État peuvent se porter candidats pour acheter des moutons importés. Lors d’un Conseil des ministres, le président a fixé les tarifs à 40 000 dinars. Soit un prix plus abordable que ceux du marché national, où le prix a dépassé 100 000 dinars ces dernières années.

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Une équipe médicale et paramédicale de l’Hôpital Idrissa Pouye de Dakar a participé à une greffe de rein réussie à l’hôpital universitaire Fattouma Bourguiba de Monastir.

Cette coopération tripartite, associant l’établissement tunisien, l’hôpital sénégalais et le Centre national pour la promotion de la transplantation d’organes, vise à accompagner le Sénégal dans la réalisation de ses premières greffes rénales sur son territoire avant fin 2025.

L’expertise tunisienne, reconnue comme leader en Afrique dans le domaine des transplantations d’organes, constitue le pilier de cette initiative.

Le partenariat s’appuie sur l’échange de compétences, l’autofinancement et la souveraineté sanitaire africaine, avec un focus sur la formation des équipes sénégalaises et le transfert technologique. Cette collaboration s’inscrit dans une vision élargie de coopération médicale continentale, incluant d’autres spécialités comme la chirurgie cardiovasculaire et la neurochirurgie.

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Dans un communiqué rendu public mercredi 16 avril 2025, le ministère de la Santé a annoncé que l’équipe médicale de l’Hôpital pour enfants Bechir Hamza avait réalisé avec succès la première opération cardiaque microchirurgicale sur un nourrisson de trois mois dans le tout nouveau service de chirurgie cardiaque pédiatrique de l’hôpital.

Le ministère de Santé précise que cette opération a été supervisée par une équipe pluridisciplinaire des départements de chirurgie cardiaque pédiatrique, de réanimation et d’anesthésie. Avec un suivi médical étroit de la part des équipes spécialisées de Gabès, Sfax et Tunis.

La réussite de l’opération est expliquée par l’intégration des compétences et des capacités techniques modernes. Et cette réalisation scientifique constitue « un pas important vers la réduction de la liste d’attente, l’amélioration de la gestion des cas cardiaques pédiatriques complexes et la réduction de la nécessité d’un traitement à l’étranger », souligne-t-on.

A noter que le service de chirurgie cardiaque pédiatrique de l’hôpital universitaire Béchir Hamza est l’un des nouveaux services modèles équipés des dernières technologies. Et ce, dans le cadre de la stratégie de soutien aux spécialités et de développement de l’infrastructure sanitaire dans le pays.

D’ailleurs, le ministère de la Santé n’a pas manqué de féliciter, dans son communiqué, le personnel médical, paramédical et administratif pour leur grand professionnalisme et leur esprit d’équipe.

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