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Salon international du tourisme à Oran : plus de 230 exposants pour booster le secteur en Algérie

La 15e édition du Salon international du tourisme, des voyages, du transport, des équipements, ainsi que des services liés à l’hôtellerie et à la restauration a été inaugurée, mercredi au Centre des conventions “Mohamed Benahmed” de la ville algérienne d’Oran, rapporte l’agence de presse algérienne APS.

La cérémonie d’ouverture de cet événement économique s’est déroulée en présence du Directeur de l’investissement touristique au ministère du Tourisme et de l’Artisanat, Ghoulamallah Boukabous, de la Directrice générale de l’Office national du tourisme, Saliha Bey Nacer, ainsi que du wali d’Oran, Samir Chibani.

Cette édition enregistre la participation de plus de 230 exposants venant d’Algérie et de plusieurs pays étrangers tels que la Tunisie, la Turquie, l’Egypte, la Jordanie, l’Ouganda, l’Italie et l’Inde.

Elle réunit différents acteurs du secteur touristique dans le but de promouvoir le tourisme algérien, de faire connaître les potentialités du pays dans ce domaine, d’échanger les meilleures pratiques pour le développement du secteur et de rechercher de nouvelles opportunités, selon les organisateurs.

Organisé par l’agence “Estra” d’Oran, l’événement est réparti sur deux pavillons, le premier regroupant les professionnels spécialisés dans le tourisme, les voyages et les transports (agences de voyages, centres de réservation, hôtels, compagnies de transport aérien et maritime, écoles de formation, startups, banques et assurances).

Le second pavillon est dédié aux opérateurs en équipements et services pour l’hôtellerie et la restauration, tels que les cuisines industrielles, l’aménagement des chambres d’hôtels, les arts de la table, le mobilier, les produits d’accueil et d’autres services mettant en valeur la production nationale dans ce domaine.

Des conférences sont également programmées, lors de ce salon, qui se poursuit jusqu’au 26 avril, traitant divers thèmes, notamment ” Le développement du tourisme durable en Algérie “, ” Les technologies modernes dans le secteur touristique ” et ” Les stratégies de marketing numérique pour attirer les voyageurs locaux et étrangers “.

Des ateliers pratiques seront aussi organisés sur des sujets spécifiques, tels que la réservation de billets de voyage en ligne, des sessions sur le design architectural dans l’hôtellerie, ainsi que l’impact des plateformes numériques sur l’industrie hôtelière et la restauration.

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Manouba : Démarrage des travaux de réalisation d’un centre de collecte de lait à Tebourba

Les travaux de réalisation d’un centre de collecte de lait au périmètre irrigué public de Chouigui à Tébourba (gouvernorat de Manouba) ont été lancés, mercredi.

Le coordinateur des projets de développement intégrés au gouvernorat, Mondher Ismaili, a indiqué à l’Agence TAP que ce projet d’une valeur de 1,189 million de dinars s’étend sur 2 hectares et comprend, notamment, un laboratoire et des unités de collecte, de refroidissement et de traitement.

De son côté, la directrice régionale de l’office de l’élevage et des pâturages, Mouna Romdhani, a souligné à l’Agence TAP que ce nouveau centre permettra de développer le secteur de l’élevage laitier et doubler la taille du cheptel constitué de 2900 têtes.

La région compte 5 centres de collecte de lait d’une capacité de stockage de plus de 85 mille litres. Le centre de collecte de Goumeryene à Tébourba traite 12 mille litres par jour provenant de 160 éleveurs bovins.

En 2024, la région a assuré une production laitière de 830 mille tonnes, soit une hausse de 5% par rapport à l’année 2023.

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Pourquoi l’Afrique a besoin de sa propre agence de notation, selon l’Observatoire Tunisien de l’Économie

L’Observatoire Tunisien de l’Economie (OTE) a mis l’accent sur la nécessité de créer une agence africaine de notation de crédit pour renforcer la souveraineté financière du continent et favoriser la réforme de la structure financière.

En effet, une agence de notation africaine permettrait de tenir compte des spécificités régionales et de refléter les conditions socio-économiques du continent et contribuerait à la facilitation de l’accès des pays africains aux marchés financiers internationaux sans se conformer totalement aux normes des agences de notation conventionnelles.

L’OTE a appelé dans son rapport « les notations souveraines entre évaluations injustes et nécessité d’une alternative africaine » publié, mercredi, à revoir le rôle des agences de souveraineté au vu des transformations que connait le système financier international.

L’Observatoire a critiqué l’absence d’approches méthodiques sur lesquelles sont basés les tableaux de notation et l’inexistence de bureaux des dites agences sur le Continent.

Toutefois, la même source a rappelé que Moody’s et Standard & Poor’s (SP) couvrent le Continent à partir de leurs bureaux en Afrique du Sud, tandis que Fitch Ratings ne dispose pas de représentation directe en Afrique.

L’OTE a souligné que cette absence institutionnelle conduit à une mauvaise compréhension de l’environnement économique réel des pays africains, citant à titre d’exemple le cas du Nigéria, pays qui a refusé la notation de Moody’s en janvier 2023 car il ne reflète pas ses politiques économiques.

Les agences de notation internationales ont été critiquées à maintes reprises à cause de leurs décisions instables et leurs évaluations qui ne tiennent pas compte du contexte africain, d’après le même document.

Et d’ajouter que le Mécanisme africain d’examen par les pairs (MAEP) a dénoncé la notation irrégulière du Kenya par Moody’s. Le Mécanisme qualifié ses dernières évaluations d’irresponsables et de hâtives notamment après l’abaissement, en juillet 2024, de la notation de ce pays, avant de la relever directement, en janvier 2025, sans passer par « les perspectives stables », ce qui démontre la contradiction des évaluation, a-t-on expliqué de même source.

« La Revue des notations souveraines en Afrique 2023/24 », un rapport semestriel conjoint du MAEP et de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) a mis en évidence une série de fautes méthodologiques dans les évaluations des principales agences internationales de notation de crédit (ARC), a-t-on rappelé.

En fait, les notations de cinq pays africains ont été abaissées sans tenir compte de leurs indicateurs de croissance positifs, a-t-on ajouté.

Les notations périodiques des ARC constituent une référence pour le marché financier international et les investisseurs en termes de prise de décision de financement ou d’investissement. Le rôle des agences de notation et la vérification de leur crédibilité ont été réclamés notamment avec l’aggravation de l’impact de leur notation.

En Tunisie, le pouvoir a considéré que ces agences accordent des notations en fonction de la dépendance des pays concernés aux diktats étrangers, soulignant que ces notations ne devraient pas être un critère déterminant la valeur d’un pays.

L’OTE est issu de l’initiative en 2012 d’un groupe de chercheurs, analystes et activistes s’intéressant aux politiques publiques tunisiennes.

Il œuvre entre autres à analyser et décrypter les politiques publiques et leurs enjeux économiques et à être une source de référence en termes de données et de documents sur l’économie en Tunisie pouvant être utiles pour tous les acteurs s’y intéressant (médias, universitaires, organismes publics ou privés, société civile).

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« Carte Blanche » : cinéma égyptien et tunisien en dialogue au Théâtre El Hamra

“Carte Blanche” est un programme de projections qui vient d’être lancé dans le cadre d’une collaboration artistique tuniso-égyptienne portée par l’association culturelle Sentiers-Massarib, Wekalet Behna (Alexandrie) et Archipels Images, en vue d’offrir une expérience cinématographique vivante et partagée entre les deux villes de Tunis et d’Alexandrie.

A Tunis, les projections auront lieu tous les deux mois dans le cadre d’une programmation spéciale du Ciné-club El Hamra, lancée à l’initiative du “El Hamra Théâtre de Tous les arts”, de l’Association ECHOS cinématographiques et de Sentiers, avec le soutien du projet Massari et du Fonds arabe pour les arts et la culture (AFAC).

La programmation à Tunis sera constituée de films égyptiens sélectionnés par la partie égyptienne, tandis qu’à Alexandrie, ce sont des films tunisiens et africains choisis par la partie tunisienne qui seront projetés.

La première séance du programme est prévue le jeudi 24 avril 2025 à 18h00 au Théâtre El Hamra avec le film “The City Will Pursue You” (2017) de l’égyptien Ahmed Nabil dans une projection sous-titrée en anglais.

Les événements du film se déroulent à Alexandrie, où Ossama suit les récits de bâtiments anciens en cours de démolition et de monuments historiques en voie de disparition. Il croise différents personnages qui racontent leurs rapports avec certains lieux de la ville, désormais menacés de disparition (synopsis).

Ahmed Nabil est un cinéaste documentaire, formateur en cinéma et programmateur de films, dont les films explorent souvent les thèmes de l’identité, de la mémoire et de l’expérience humaine. A travers ses documentaires, il s’engage à capter des récits authentiques, centrés sur les histoires personnelles et collectives.

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Trump ferme la Millennium Challenge Corporation : Fin de l’aide américaine pour les infrastructures ?

L’administration du président américain Donald Trump a annoncé mercredi sa décision de fermer la Millennium Challenge Corporation (MCC), une agence d’aide connue pour financer des projets d’infrastructure dans les pays en développement, selon des médias.

Les employés ont été informés lors d’une réunion du personnel que l’agence “fermait ses portes de manière ordonnée” et que tous les programmes en cours seraient interrompus. Cette annonce fait suite à une note de service adressée à l’ensemble du personnel, indiquant que le Département de l’efficacité gouvernementale, dirigé par Elon Musk, avait demandé une “réduction significative” des effectifs de la MCC.

Le calendrier exact de la fermeture n’a pas encore été divulgué.

Créée en 2004, la MCC a investi environ 17 milliards de dollars dans le cadre de ses programmes d’aide en faveur des pays en développement qui répondaient à ses critères de gouvernance.

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Fonds Elyssa 2025 : 19 artistes tunisiens récompensés par l’Institut français de Tunisie

L’Institut français de Tunisie (IFT) a annoncé les lauréats et lauréates du deuxième appel à candidatures à destination des artistes visuels et musiciens confirmés dans le cadre du Fonds d’aide à la création “Elyssa”, visant à soutenir et à accompagner les artistes, émergents confirmés, résidant en Tunisie dans les domaines des arts visuels et des musiques.

Douze artistes ont été retenus dans la catégorie “Arts visuels” et sept musiciens en début de carrière dans la catégorie “Musiques”, par un comité de professionnels composé de personnalités reconnues des scènes artistiques tunisienne, française et internationale.

Le comité “Arts visuels” est composé de Medhi Ben Cheikh, galeriste à la Galerie Itinerrance à Paris, Mohamed Ben Soltane, artiste visuel, commissaire d’exposition et co-fondateur de Jiser, Flora Boillot, cheffe de projets Arts visuels au Pôle des Saisons de l’Institut français à Paris, Julie Chenot, directrice de la Fondation Camargo, Elsa Despiney, historienne de l’art, Selma Feriani, galeriste à la Selma Feriani Gallery, Seif Eddine Nechi, illustrateur et auteur de bandes dessinées, ainsi que Beya Othmani, commissaire d’exposition et chercheuse au MoMA.

Le comité “Musiques” réunit quant à lui Mohamed Ben Said, fondateur d’AKACIA Production, Amine Bouhafa, compositeur de musiques de films, Khalil Hentati, compositeur, producteur et multi-instrumentaliste, Hamdi Makhlouf, luthiste, compositeur, poète et musicologue, et Amani Semaan, co-fondatrice et directrice de Beirut and Beyond.

Les lauréats dans le domaine des arts visuels sont Wafa Attiaoui (dessin, installation), Mariam Ayadi (peinture), Myriame Dachraoui (peinture), Kais Dhifi (sculpture, installation, land art), FYMA (binôme formé de Feriel Mesbah et Yosr Ammar, architecture), Achref Guesmi (vidéographie, photographie), Zeineb Kaabi (art lumineux, vidéo expérimentale, photographie et data visualisation), Bader Klidi (peinture, sculpture, installation, musique), Amira Lamti (photographie, vidéographie et installation), Mohamed Ali Ouertani (céramique, design écologique), Yassine Sellami (dessin, peinture, sculpture) et Bachir Tayachi (installation).

Du côté des musiciens, les artistes sélectionnés sont Nejia Abidi Malki (pop tunisienne), Soudani Chourouk (pop), Aymen Goubba (world music, traditionnel, electro), Mariem Hamrouni (ethno electro, deep folk), Dhirar Kefi (ethno electro jazz), Ahmed Litaeim (hybride, electro-acoustic fusion) et Chaima Mahmoud (Indie Pop).

Lancé au mois d’octobre 2024, le programme “Elyssa” d’une durée d’un an est demi, a été pensé comme un espace où se rencontrent création artistique et entreprenariat culturel. Conçu comme un véritable tremplin à la création, ce projet accompagne les artistes visuels et les musiciens tunisiens depuis la conception de leurs projets jusqu’à la réalisation concrète de leurs initiatives.

Les artistes bénéficieront d’un accompagnement personnalisé, destiné à les guider dans leur processus de création, à renforcer leur visibilité et à favoriser la diffusion de leurs œuvres. De plus, un appui financier et logistique sera apporté aux artistes, adapté en fonction des besoins spécifiques de chaque projet.

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Tunis célèbre la Journée de la danse avec les jeunes talents de cinq écoles chorégraphiques

A l’occasion de la Journée internationale de la danse (29 avril), le Théâtre municipal de Tunis accueille, le 27 avril à partir de 18H00, un concert réunissant les élèves de cinq écoles chorégraphiques en Tunisie avec au programme des performances de l’Ecole de danse classique “Sergueï Diaghilev “, de l’école de ballet russe “Matroshki”, de l’école de danse classique “Little Ballerina”, de l’école des arts “Ivan Aïvazovsky” ainsi que du studio de danse urbaine “Disasters Crew Club” de Béja.

Ce spectacle, qui mêle danse classique et contemporaine, incarne un moment de partage artistique, une rencontre vivante entre les cultures, les idées et les inspirations, mentionne la Maison Russe à Tunis.
Ouvert à un large public, l’événement vise à valoriser les jeunes talents et à encourager la créativité dans le domaine chorégraphique.

Instaurée en 1982 par le Conseil international de la danse (CID) auprès de l’UNESCO et par l’Institut international du théâtre (ITI), la Journée internationale de la danse est célébrée chaque 29 avril à travers le monde.

Le message de l’édition 2025 est rédigé par l’un des plus grands danseurs du XXème siècle, Mikhaïl Barychnikov, danseur, chorégraphe, directeur de ballet et acteur américano-letton.

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Discovery Rally 2024 : 3e étape du championnat moto entre Matmata et Tataouine

Les villes de Matmata et Tataouine accueilleront les 26 et 27 avril courant la troisième étape du Championnat national de rallye sur route, placé sous l’égide de la Fédération tunisienne des motocycles et activités affiliées (FTMAA) et avec l’organisation du Tunis Moto Club (TMC).

Dans une déclaration à l’Agence TAP, Mohamed Ben Messaoud, porte-parole du TMC, a indiqué que cette étape, Baptisée “Discovery Rally”, verra la participation d’environ 60 compétiteurs ainsi que 120 accompagnateurs. Il a précisé que toutes les mesures ont été prises sur le plan de la logistique pour garantir un parcours conforme aux normes de sécurité routière.

Et le porte-parole d’ajouter: “la course débutera le 26 avril dans la ville de Matmata sur une distance de 80 km, avant de reprendre le lendemain avec un circuit partant de Matmata en direction de Tataouine, puis retour vers Matmata sur un trajet total de 360 km”.

Ben Messaoud a, également, souligné que la course inclut un aspect touristique et promotionnel pour les régions du désert tunisien. Un rallye touristique sera, d’ailleurs, organisé le 27 avril avec la participation de coureurs d’Algérie et de Libye, afin de promouvoir les zones désertiques de la Tunisie. Le rallye touristique poursuivra ensuite son parcours de Tataouine vers Tabarka.

De son côté, le secrétaire général de la FTMAA, Mongi Boughdiri, a indiqué que le Championnat national des motocycles a été lancé dans sa nouvelle formule en 2016, avec la victoire du club “Motargia”. Il a précisé que chaque édition du championnat comprend au moins trois étapes, chacune organisée par un club local sous la supervision de la Fédération.

La saison actuelle a commencé avec la première étape en janvier à Matmata, organisée par le club “Predator”, suivie de la deuxième étape en février à Monastir, exceptionnellement organisée par la Fédération elle-même. La troisième étape se tiendra les 26 et 27 avril à Matmata et Tataouine, sous l’organisation du Tunis Moto Club. Quant à la quatrième et dernière étape, elle sera organisée par le Club des Motocycles de Kairouan en septembre prochain.

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Madrid 2024 : Ons Jabeur retrouve les courts face à Uchijima après un mois d’absence

La joueuse de tennis tunisienne, Ons Jabeur (28e mondiale), affrontera la Japonaise Moyuka Uchijima (56e mondiale), vendredi, au 2e tour du tournoi de Madrid qu’elle avait remporté en 2022.

Jabeur a été exempte du premier alors que la Japonaise Moyuka Uchijima a battu l’Américaine Robin Montgomery (100e mondiale) 2-1 (1-6, 6-4, 6-3), mercredi.

Ons Jabeur est absente des terrains depuis sa participation en mars dernier au tournoi de Miami (WTA 1000), après avoir contracté une blessure à la jambe gauche lors de son match contre l’Italienne Jasmine Paolini, qui l’a contrainte à abandonner au troisième tour du tournoi.

La tenniswoman tunisienne avait, également, dû déclarer forfait pour le tournoi de Stuttgart (WTA 500) en raison de sa convalescence.

Le tournoi de Madrid fait partie des tournois WTA 1000 et se déroule sur terre battue.

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WIFAK BANK renforce l’expansion de la taille de son réseau et annonce l’ouverture de sa 51ème Agence : « Agence WIFAK BANK Manouba »

Wifak Bank ambitionne de renforcer son positionnement de Banque Islamique, partenaire d’excellence et démontrant un engagement fort à contribuer au financement de la croissance et du développement dans divers secteurs de l’économie. Elle envisage ainsi une expansion progressive de la taille de son réseau durant les années à venir avec une couverture élargie du territoire et une amélioration continue de la présence géographique par zone et par gouvernorat.

A cet effet, Wifak Bank annonce l’ouverture officielle de sa 51ème agence « Agence WIFAK BANK Manouba », sise à 15, Avenue Hédi Chaker, Manouba 2010, à partir de jeudi 24 Avril 2025.

Cette nouvelle ouverture, vient renforcer la présence de WIFAK BANK dans le Grand Tunis et représente une marche en avant vers une couverture élargie du territoire afin de rapprocher davantage la banque de ses clients (particuliers, TRE, professionnels et entreprises), de répondre à leurs attentes et de leur offrir des produits et services adaptés conformes aux principes de la finance islamique : des solutions digitales sécurisées, des cartes, des comptes, des offres, des placements et investissements, des financements, des plans d’épargne, des services de transfert d’argent, des opérations à l’international et bien plus.

A travers, ce nouveau point de contact, WIFAK BANK, confirme l’orientation accordée à l’expérience client comme un indicateur de performance et de création de valeur ajoutée et veille à fédérer ses clients autour d’une expérience unifiée, fluide, personnalisée et leur propose le conseil et l’accompagnement nécessaires.

L’agence « WIFAK BANK Manouba » est équipée d’un DAB pour permettre aux clients d’effectuer les opérations de retrait d’argent 7jours/7 et 24h/24 ainsi que des écrans dynamiques pour communiquer sur les cours de change, les produits et services et d’autres informations utiles.

Toute l’équipe de WIFAK BANK sera honorée de vous accueillir dans sa nouvelle agence « WIFAK BANK Manouba » et espère vous compter parmi sa nouvelle clientèle et profiter de la gratuité des frais de tenue de compte pour les 50 premiers clients.

Site web : WIFAK BANK

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Balance alimentaire : un excédent en chute libre, un signal d’alerte pour l’économie tunisienne

huile d'oliveL’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI) a révélé dans sa dernière publication une baisse significative de l’excédent de la balance commerciale alimentaire au premier trimestre 2025.

Celui-ci s’établit à 614,8 millions de dinars, contre 1,115 milliard de dinars à la même période en 2024. Le taux de couverture des importations par les exportations chute ainsi à 134,7 %, contre 161,6 % un an plus tôt. Sans sombrer dans l’alarmisme, les chiffres parlent d’eux-mêmes : la dynamique excédentaire s’essouffle.

En 2024, l’huile d’olive à elle seule avait rapporté près d’un milliard de dinars. En 2025, la donne a changé. L’ONAGRI précise que les exportations alimentaires ont reculé de 18,4 %, quand les importations n’ont baissé que de 2,1 %. Une désynchronisation qui pourrait s’expliquer par la forte chute des exportations d’huile d’olive (-23,3 %), de dattes (-18,7 %) et de produits de la pêche (-31,6 %). Et ce, malgré un recul notable des importations de céréales (-18,3 %), de sucre (-33,4 %) et d’huiles végétales (-50,6 %).

« L’excédent alimentaire ne suffit plus à masquer la fragilité de notre modèle agricole. Ce que nous exportons aujourd’hui ne compense plus ce que nous importons demain. »

 

Le principal facteur de ce déséquilibre ? La dégringolade du prix de l’huile d’olive, dont le cours moyen à l’export a chuté de 54,5 %, passant à 12,52 DT/kg. À l’échelle nationale, le litre s’échange aujourd’hui autour de 12,500 DT, contre 27 DT l’an dernier. À cette crise des prix s’ajoute un scandale judiciaire qui a éclaboussé un des principaux exportateurs d’huile d’olive labellisée. Une affaire qui, au-delà des frontières, a réjoui certains concurrents européens, en prime les Italiens, ravis de reprendre des parts de marché perdus parce que la qualité de l’huile d’olive tunisienne labellisée est l’une des meilleures au monde.

Quelles conséquences pour le marché intérieur ?

Si la baisse des importations peut être perçue comme une bonne nouvelle pour la balance commerciale, elle soulève une question cruciale : le marché local tiendra-t-il le choc ?

Certains produits essentiels enregistrent des baisses inquiétantes en volume importé. L’orge, par exemple, a vu ses importations chuter de 55,7 %, passant de 268 700 tonnes au 1er Trimestre 2024 à 119 000 tonnes cette année. Le maïs suit la même tendance avec une baisse de 1,3 % sachant que ces produits sont importants pour les fourrages et peuvent impacter les filières avicoles ou bovines provoquant l’augmentation des prix s’ils ne sont pas en quantités suffisantes sur le marché. Les huiles végétales, pourtant indispensables à de nombreux produits transformés, ont été réduites de plus de moitié (31700 tonnes contre 76400 tonnes en 2024).

« En quelques mois, l’huile d’olive tunisienne est passée de fleuron exporté à prix d’or à produit dévalorisé sur le marché international. Ce revers n’est pas conjoncturel, il est structurel. »

 

Et maintenant ?

Dans un contexte économique où la balance commerciale globale se dégrade grimpant de 66,8 % au premier trimestre 2025, atteignant -5 050,5 MD, contre -3 027,4 MD un an plus tôt. Dans un contexte où les importations totales ont augmenté de 5,5 %, dominées par les produits énergétiques et les matières premières qui représentent à eux seuls plus de 50 % des importations, où les exportations globales ont reculé de 4,4 %, les exportations alimentaires, bien qu’elles représentent 15,6 % des ventes totales, ne suffisent plus à rééquilibrer la balance.

«Pour garantir notre souveraineté alimentaire et notre stabilité économique, il faut investir dans l’innovation agricole, la gouvernance des filières et la confiance avec les producteurs.»

 

L’excédent de la balance commerciale alimentaire a certes permis d’amortir partiellement la dégradation du solde global – à hauteur de 24,7 % selon l’ONAGRI, mais cela ne saurait masquer une tendance de fond inquiétante : une dépendance accrue aux aléas des marchés internationaux, combinée à une fragilité structurelle de nos filières agricoles.

Il est urgent de repenser les politiques agricoles et commerciales, revaloriser les filières locales, diversifier les débouchés à l’export, renforcer la transparence et la gouvernance des circuits de distribution, rétablir la confiance avec les agriculteurs et les industriels dans l’agroalimentaires, améliorer le climat d’affaires et rassurer les opérateurs loin de la chasse aux sorcières et d’une ineptie devenue aujourd’hui la règle : “Coupable dans l’attente des preuves de l’innocence”.

Serait-ce possible dans la Tunisie d’aujourd’hui ?

Tous les espoirs sont permis

Amel Belhadj Ali

EN BREF

Baisse inquiétante de l’excédent alimentaire en Tunisie (T1 2025)

  • Excédent alimentaire en chute : 614,8 MD contre 1,115 milliard au T1 2024.
  • Recul des exportations : -18,4 %, surtout huile d’olive (-23,3 %) et produits de la pêche (-31,6 %).
  • Prix moyen de l’huile d’olive à l’export divisé par deux : 12,52 DT/kg.
  • Importations d’orge -55,7 %, huiles végétales -50,6 %.
  • «Ce que nous exportons aujourd’hui ne compense plus ce que nous importons demain.»
  • Risques pour le marché intérieur et appel à repenser la stratégie agricole nationale.

 

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Carthage Cement : croissance du bénéfice malgré un recul des revenus

Les états financiers 2024 de la société Carthage Cement, arrêtés le 21 avril 2025, par son Conseil d’Administration, ont fait ressortir un résultat net bénéficiaire en augmentation de 27,3% par rapport à l’année 2023, à 70, 2 millions de dinars (MD).

Il en ressort également, d’après un communiqué de la société, un résultat brut d’exploitation de l’ordre de 164, 8 MD, en hausse de 5,43 % par rapport à l’année 2023.

Le chiffre d’affaires total de la société en 2024 a atteint  421,5 MD, contre 431,5 MD en 2023 soit une diminution de 3%.

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Bourse de Tunis : Le Tunindex progresse de 0,67 % porté par ARTES et Délice Holding

Le marché boursier a clôturé la séance de mercredi sur une progression de 0,67 % à 11 168,06 points dans un volume de 7,4 MD, selon l’intermédiaire en bourse Tunisie Valeurs.

ARTES s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action du concessionnaire de la marque au losange s’est bonifiée de 5,8 % à 11,180 D dans un volume de 292 mille dinars.
Le titre DELICE HOLDING a terminé la séance sur une note d’optimisme.

L’action du champion national des produits laitiers s’est adjugée une hausse de 5,7 % à 24,000 D. Les échanges sur la valeur ont été bien garnis, s’établissant à 562 mille dinars sur la séance.

Le titre BTE a accusé la plus forte baisse de la séance. Dans un faible volume de 5 mille dinars, l’action de la banque mixte a reculé de 4,5 % à 5,740 D.

Le titre BH a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action de la banque publique s’est repliée de 2,9 % à 10,090 D. La valeur a été échangée à hauteur de 26 mille dinars sur la séance.

Le titre TPR a chapeauté le palmarès des échanges. S’appréciant de 1,1 % à 9,400 D, la valeur a alimenté le marché avec des capitaux de 609 mille dinars (soit 8 % du flux de la cote).

Site web : BTE

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Phosphogypse : vers la fin du rejet en mer et une valorisation économique en Tunisie

Le phosphogypse tunisien ne représente pas de risque de toxicité sur l’environnement et la santé humaine, mais continuer à le déverser dans la mer pendant de longues années aura des effets négatifs sur l’écosystème marin, a révélé le comité scientifique chargé de l’étude de cette substance, lors d’une journée d’étude scientifique organisée mercredi au siège de l’ARP, au Bardo.

Dans une déclaration à l’agence TAP, le président du comité scientifique et professeur de chimie à l’université de Gafsa, Imam Aloui, a indiqué que la radioactivité naturelle du phosphogypse tunisien est de l’ordre de 270 becquerels/kg, soit un niveau inférieur aux valeurs standards fixées par l’Agence internationale de l’énergie atomique à 1000 Bq/kg et à la radioactivité naturelle du phosphogypse dans d’autres pays.

Il a expliqué que les résultats des recherches menées pendant 8 mois par le comité scientifique et l’analyse de 170 publications scientifiques ont montré que les concentrations d’arsenic, de plomb et de mercure dans le phosphogypse tunisien sont très faibles ou négligeables, étant donné que le phosphate tunisien ne contient pratiquement pas, ces métaux lourds.

Le phosphogypse tunisien se compose, principalement, de gypse, mais aussi, de faibles concentrations de certains métaux (classés comme métaux lourds), tels que l’arsenic, le mercure et le plomb, en plus de composants secondaires moins concentrés tels que les terres rares (par exemple le cadmium)…

Nécessité de mettre fin au déversement du phosphogypse dans la mer

Le comité scientifique a souligné la nécessité de mettre fin au déversement du phosphogypse dans la mer, qui perdure depuis la fin des années 1970, car l’accumulation de cette substance à un endroit donné pendant une longue période constitue un danger pour l’environnement.

Il a expliqué que ce risque est particulièrement lié à l’accumulation d’impuretés insolubles, après la dégradation complète de son principal composant, le sulfate de calcium (forme dihydratée), qui représente 96 % des composants du phosphogypse.

Le comité a fait savoir qu’environ 2,8 millions de tonnes de phosphogypse ont été déversées dans la mer dans la région de Gabès entre 2011 et 2023, tandis que 1,6 million de tonnes ont été stockées à Skhira (Sfax) et 0,6 million de tonnes à Mdhila (Gafsa).

Il a souligné l’imporance de considérer le phosphogypse tunisien comme un coproduit à part entière offrant des opportunités de valorisation dans divers secteurs économiques et non pas comme déchet, mettant l’accent sur la nécessité de mettre en place des solutions appropriées pour arrêter le déversement du phosphogypse dans les eaux côtières et de le stocker en terrils, en respectant les normes et les conditions de stockage en vigueur pour protéger l’environnement marin et préserver ce « coproduit » en vue de sa valorisation.

Il a appelé à inciter les acteurs économiques à valoriser ce sous-produit dans divers domaines (matériaux de construction, routes, ciment), en plus de son utilisation dans le domaine agricole pour améliorer la qualité des sols, soulignant que le processus de valorisation sera progressif en raison de l’importance des quantités produites.

Le président de la Commission de l’Industrie, du commerce, des richesses naturelles, de l’énergie et de l’environnement, Chokri Ben Bahri, a souligné que l’organisation de cette journée d’étude au Parlement, vise à ouvrir la porte au dialogue et à parvenir à une décision nationale qui concilie la valorisation, la justice et les droits environnementaux.

« Nous ne sommes pas contre le développement, mais il ne peut y avoir pas de développement au détriment de l’environnement », a-t-il déclaré, « nous craignons que la valorisation du phosphogypse ne se transforme d’une opportunité économique en un risque sanitaire et environnemental».

Et d’ajouter « depuis les années 1970, les usines de transformation n’ont pas assumé leurs responsabilités à l’égard des communautés touchées par l’impact de leurs activités polluantes. Pendant des décennies, les tunisiens ont assisté à l’érosion des plages, à la propagation de maladies, à la pollution de l’eau et de l’air et à la fuite de métaux lourds et de radiations, sans reddition des comptes».

Le 5 mars 2025, la présidence du gouvernement a approuvé le retrait du phosphogypse de la liste des déchets dangereux et de le classer comme matériau réutilisable.

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Une étude choc révèle l’impact des microplastiques sur les cultures de blé, riz et maïs

“Les microplastiques perturbent les écosystèmes desquels dépend notre existence. Sans une action universelle audacieuse et sans instruments contraignants, la crise du plastique va s’aggraver et menacera les vies, les moyens de subsistance et les écosystèmes”, a déclaré Farah Al Hattab, chargée de campagne et chercheuse spécialisée en droit auprès de Greenpeace Moyen-Orient et Afrique du Nord, établie à Beyrouth.

Sa déclaration intervient en réaction aux résultats d’une nouvelle étude qui révèle que les microplastiques perturbent les photosynthèses des végétaux et exposent, par conséquent, 400 millions de personnes à la famine.

Al Hattab, citée dans un communiqué de Greenpeace Moyen-Orient et Afrique du Nord, a ajouté, que les dirigeants, les décideurs et les négociateurs dans la région MENA, devraient pousser, lors du deuxième round des négociations dans du Comité de négociation intergouvernemental sur la pollution par les matières plastiques, y compris dans le milieu marin (INC-5), prévu en aout 2025, vers un traité universel juridiquement contraignant pour résoudre, à la source, le problème du plastique à la source.

Ce traité devrait prévoir une réduction de la production du plastique et aussi des produits en plastique à usage unique, soutenir la réutilisation et aussi les mécanismes de financement garantissant une transition juste et équitable vers des économies zéro déchets, à même de protéger la santé humaine et la planète.

En effet, l’étude, publiée dans la revue “Proceedings of the National Academy of Sciences”, révèle que les microplastiques réduisent la croissance des cultures essentielles comme le blé, le riz et le maïs, compromettant ainsi la sécurité alimentaire mondiale.

“Si rien n’est fait, jusqu’à 400 millions de personnes pourraient être exposées à la famine d’ici vingt ans. Une crise silencieuse se joue sous nos yeux, menaçant à la fois l’agriculture, les écosystèmes et la stabilité du climat”, alertent les auteurs de l’étude.

Les microplastiques, issus de la dégradation des déchets plastiques, perturbent la photosynthèse des plantes en bloquant l’absorption de lumière et de nutriments. Cette pollution réduit les rendements agricoles et la production marine, aggravant l’insécurité alimentaire mondiale. Sans action rapide, des millions de personnes pourraient être menacées de famine.
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Selon l’étude, la capacité des plantes à convertir la lumière en énergie chute en moyenne de 12 %. Cela entraîne une baisse de rendement estimée entre 4 % et 14 % pour trois des cultures les plus consommées au monde : le blé, le riz et le maïs.

Les pertes de récoltes liées aux microplastiques pourraient égaler celles dues à la crise climatique, compromettant la sécurité alimentaire mondiale, prévient encore l’étude.

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Kef : 10 000 hectares de cultures touchés par la grêle, les agriculteurs réclament des indemnisations

Les superficies agricoles touchées par les chutes de grêle enregistrées en début de semaine dans plusieurs délégations du gouvernorat du Kef, ont été estimées à environ 10 mille hectares, sur un total de 160 mille ha emblavés pour la campagne agricole en cours.

Selon ses précisions, les zones les plus affectées se situent notamment dans les délégations de Tajerouine, Dahmani et El Ksour, a indiqué, mercredi à la TAP, le membre de l’Union régionale de l’agriculture et de la pêche (URAP), Abdelkarim Hidri.

Il a ajouté que 60% des exploitations céréalières présentent actuellement un état jugé bon, contre 30% en état moyen, selon les estimations.

Il a par ailleurs souligné que les visites de terrain effectuées, mercredi, par une commission conjointe composée de représentants du Commissariat régional au développement agricole (CRDA) et de l’URAP, ont permis de constater l’ampleur des dégâts causés par cet épisode de grêle, particulièrement intense dans la région de Aïn Fdhil (délégation d’El Ksour) et dans celle de Garn El Halfaya (délégation de Tajerouine).

Il a également fait état des dégâts importants sur les arbres fruitiers, notamment les oliviers actuellement en phase de floraison, une situation préoccupante pour les agriculteurs.

Ces derniers ont réclamé des indemnisations urgentes, appelant à l’activation du nouveau régime du Fonds des catastrophes naturelles, dont l’adoption par l’Assemblée des représentants du peuple est attendue prochainement, selon les déclarations du ministre de l’Agriculture, Ezeddine Ben Cheikh, lors de sa visite au Kef, lundi dernier.

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Autonomisation économique : une vitrine digitale pour les produits des femmes rurales tunisiennes

La commission participative chargée de la conception et la réalisation de la plateforme nationale pour la commercialisation des produits des femmes et des filles rurales s’est réunie mercredi au siège du ministère de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées.

A cette occasion, la ministre de la famille Asma Jebri a souligné que cette plateforme numérique est destinée aux femmes et aux filles rurales, bénéficiaires des programmes du ministère de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées pour l’autonomisation économique et le leadership féminin “Raidet” ainsi qu’à toutes les femmes entrepreneures en milieu rural, appelant à la nécessité d’accélérer la mise en place de cette plateforme en garantissant toutes les conditions de qualité et de sécurité.

A noter que, cette plateforme numérique est composée d’un site commercial et d’un système facilitant les transactions, d’un espace virtuel sur la gestion des affaires et de commercialisation en ligne.

La ministre a indiqué que la mise en place de cette plateforme nationale s’inscrit dans le cadre de l’engagement national visant à renforcer et encourager la vente en ligne des produits des filles et femmes rurales au niveau national et à l’étranger et à soutenir leurs efforts en vue de préserver la pérennité de leurs projets.

Cette réunion s’est déroulée en présence du directeur de cabinet du ministère de la famille, de représentants des ministères des technologies de communication, du commerce, de l’agriculture, de la santé, du tourisme et des offices des postes et de l’artisanat, de la famille et de la population et de l’agence nationale de sécurité cybernétique.

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Tozeur : 20 millions de dinars pour renforcer la qualité et l’approvisionnement en eau

Une série de projets dans le secteur de l’eau potable est en cours de réalisation dans le gouvernorat de Tozeur, portant sur le renforcement des ressources en eau, le renouvellement des réseaux, et l’amélioration de la qualité de l’eau distribuée.

Parmi les initiatives les plus importantes, figure le projet d’amélioration de la qualité de l’eau distribuée à Deguech et El Hamma du Jérid, inscrit dans la deuxième phase du programme national d’amélioration de la qualité de l’eau potable dans le sud du pays, selon le chef du district de la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (SONEDE), Ahmed Sassi.

Ce projet comprend deux volets, le premier, consiste à renforcer les ressources en eau à travers le forage, l’électrification et l’équipement d’un puits profond, une étape désormais parachevée et mise en exploitation.

Le second volet concerne la réalisation d’une station de dessalement d’eau potable d’une capacité de 1000 m3/jour, actuellement en phase d’appel d’offres, avec un financement alloué de 20 millions de dinars.

D’autres projets visant à renforcer les ressources hydrauliques sont également en cours dans différentes zones du gouvernorat, avec des taux d’avancement variés. Parmi eux, le projet de renforcement de l’approvisionnement en eau à El Hamma du Jérid par le forage, l’équipement et l’électrification d’un puits profond (El Hamma 1), d’un coût de 1,5 million de dinars.

La région de Chebika (délégation de Tamaghza) bénéficie également d’un projet de renforcement des ressources en eau, impliquant le forage, l’équipement et l’électrification d’un puits profond, avec un financement de 150 mille dinars, a indiqué la même source, notant que les travaux devraient démarrer début juin 2025.

Afin d’améliorer l’approvisionnement dans les zones élevées de la ville de Nefta, la construction d’un réservoir semi-enterré d’une capacité de 1 000 m³ est en cours, ainsi que d’une station de pompage, avec un taux d’avancement avoisinant les 40%.

A cet effet, Sassi a noté que le système hydraulique du gouvernorat de Tozeur ne souffre actuellement pas d’un manque de ressources, étant principalement basé sur des puits profonds. Cependant, la majorité des problèmes proviennent des coupures d’électricité ou de la fréquence élevée des fuites et des cassures. Il a également fait remarquer que la dette des abonnés envers la SONEDE dans la région s’élève à 10 millions de dinars.

 

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