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Plan de développement 2026-2030

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh , a supervisé l’ouverture d’un séminaire de formation le 21 avril 2025 au Centre de formation et d’appui à la décentralisation (CFAD). Cet événement, destiné aux directeurs régionaux et aux représentants des structures de développement provincial, vise à renforcer les capacités des acteurs locaux pour l’élaboration du plan 2026-2030.

Le plan de développement s’inscrit dans une logique constitutionnelle visant un développement équitable et intégré; et ce, conformément aux orientations présidentielles tunisiennes. Il privilégie une approche ascendante (locale → régionale → nationale) pour répondre aux besoins concrets des citoyens. Tout en impliquant activement les conseils élus et les structures publiques dans la formulation des projets.

Pour sa part, Samir Abdelhafidh a insisté sur l’accompagnement des conseils locaux par les institutions publiques pour identifier les besoins réels et proposer des projets viables. Cette méthodologie rejoint celle évoquée lors du Conseil ministériel du 14 avril 2025, qui prévoit un système intégré d’évaluation et de suivi des programmes.

Au final, le plan 2026-2030 intègre une nouvelle division territoriale et des mécanismes renforcés de reddition des comptes. Ceux-ci s’alignent sur les principes de justice sociale et de répartition équitable des richesses.

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Accord ISIE – UMA pour le renforcement des capacités électorales

Farouk Bouasker, président de l’ISIE, s’est entretenu avec Tarek Ben Salem secrétaire général de l’Union du Maghreb arabe (UMA), accompagné d’une délégation officielle. La rencontre, tenue au siège de l’ISIE  en présence des membres du conseil d’administration, du directeur exécutif et du directeur du conseil d’administration, a abouti à la signature d’un accord de coopération entre les deux entités.

Objectifs clés de l’accord :

  • Renforcement des capacités : développement de formations spécialisées pour le personnel électoral et les experts.
  • Intégration régionale : coordination entre États membres sur les processus électoraux et le renforcement institutionnel.
  • Sensibilisation aux risques électoraux : lutte contre les pratiques de fraude et leurs impacts sociétaux.

Les deux parties ont mis l’accent sur l’importance de cet accord comme une étape fondatrice pour la coopération électorale maghrébine.

De son côté, Farouk Bouasker a souligné la volonté de créer un mécanisme d’échange d’expertises, incluant l’organisation de séminaires conjoints et l’harmonisation des bonnes pratiques. Alors que le secrétaire général de l’UMA, Tarek Ben Salem, a insisté sur la nécessité d’une approche collaborative pour garantir la transparence et la crédibilité des scrutins dans la région.

Selon le communiqué de l’ISIE, l’accord prévoit la mise en place de programmes structurés couvrant :

  • Des formations techniques sur la gestion des opérations électorales.
  • L’échange de données et de méthodologies pour l’observation des scrutins.
  • Des initiatives communes de sensibilisation citoyenne aux enjeux électoraux.

Cette coopération s’inscrit dans un contexte de dynamisation des partenariats intra-maghrébins, visant à répondre aux défis liés à la modernisation des systèmes électoraux dans la région.

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Bill Bazzi à Tunis : nomination entre enjeux géopolitiques et tensions diplomatiques

La désignation de Bill Bazzi, maire de Dearborn Heights et vétéran des Marines, comme nouvel ambassadeur américain à Tunis par le président Donald Trump, marque une étape diplomatique sensible dans un contexte bilatéral complexe. C’est ce qu’a révélé Elyes Kasri, l’ancien ambassadeur et analyste politique.

Sa nomination, soumise à la confirmation du Sénat à majorité républicaine conformément à la Constitution américaine, intervient alors que la politique tunisienne suscite de vives interrogations à Washington, notamment sur les questions de libertés publiques, d’alignement régional et de coopération sécuritaire. L’audition de Bazzi devant la commission des affaires étrangères du Sénat s’annonce déterminante, révélant les attentes et les crispations de la classe politique américaine face à la trajectoire tunisienne, sur fond de rivalités géopolitiques et de pressions croisées des lobbies néoconservateurs, pro-israéliens et du complexe militaro-industriel, dans une Méditerranée centrale redevenue hautement stratégique.

Elyas Kasri a posté comme suit:

« Le nouvel ambassadeur américain à Tunis Bill Bazzi, désigné par le président Donald Trump, devrait être confirmé par le sénat, selon l’article 2 (section 2) de la constitution américaine qui stipule que le président nommera les ambassadeurs …avec le consentement et conseil du sénat.

La nomination de l’ambassadeur Bazzi a été communiquée à la commission des affaires étrangères du sénat depuis le 24 mars et attend de se voir fixer une date pour l’audition de confirmation qui risque d’être houleuse tant la majorité républicaine et la minorité démocrate au sénat ont accumulé des griefs au fil des ans contre la politique intérieure et surtout la politique étrangère de la Tunisie avec la perception américaine d’un militantisme pro-palestinien en démarcation avec le consensus arabe, surtout les pays clés à l’exception d’une Algérie en voie d’endiguement et de marginalisation, en plus d’une éventuelle perception d’une proximité suspecte avec un Iran en voie d’être réduit à sa plus simple expression après la sérieuse dégradation de son axe de la résistance de Damas à Gaza, au Sud Liban, en passant par le Yemen et autres satellites.
Les sentences prononcées récemment à Tunis à la suite des procès pour atteinte à la securite de l’état seront très probablement évoquées par les sénateurs américains qui exigeront une évaluation unambigue par l’administration Trump de la situation politique en Tunisie et une ligne de conduite conforme aux appréciations et désidératas des cercles influents en matière de politique étrangère américaine dans notre région principalement les néoconservateurs avec leur penchant islamiste, les milieux pro-israéliens avec le credo des accords d’Abraham ainsi que le complexe militaro-industriel soucieux de garder la Tunisie dans le giron de l’OTAN en raison de sa situation stratégique sur le détroit de Sicile (143 km), point de contrôle de tout passage de la Méditerranée orientale, proche du Moyen Orient et riche en hydrocarbures et en marchés d’armement, à la Méditerranée occidentale débouchant sur l’océan Atlantique, zone de securite existentielle pour l’occident.
La séance de confirmation de l’ambassadeur Bill Bazzi par le sénat américain dont la date n’a pas encore été annoncée, sera un véritable indicateur du sentiment de la classe politique américaine au sujet de la situation en Tunisie sous ses multiples facettes et les lignes directrices de la mission du nouvel ambassadeur américain en Tunisie.
S’il y a lieu de s’attendre à une certaine inflexion en raison d’un éventuel lobbying de la part de l’italienne Giorgia Meloni se prévalant d’une certaine proximité personnelle avec le président Trump et qui semble gagner en popularité en raison de sa politique migratoire et des arrangements conclus notamment avec la Tunisie, il reste que les groupes de pression et d’influence à Washington pourraient se prévaloir d’arguments de nature à surpasser l’argument migratoire de notre chère amie italienne. »

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Berbérités : un voyage au cœur des traditions du sud tunisien

Une culture ne se développe jamais en vase clos ; elle puise sa richesse dans un contexte plus vaste, fait de rencontres, d’échanges et de traditions ancestrales. » C’est dans cette dynamique que l’exposition Berbérités nous invite à explorer le sud tunisien, berceau de la culture berbère, à travers une série de photographies qui révèlent la richesse des traditions, la spiritualité et la tolérance de ses communautés. Un voyage visuel et humain pour mieux comprendre les racines et les héritages qui façonnent encore aujourd’hui la société tunisienne.

L’artiste photographe Pierre Gassin a mis en lumière son exposition intitulée Berbérités invitant à un voyage introspectif au cœur du sud tunisien, à la découverte des structures sociales d’autrefois. À travers une série de photographies, elle met en lumière les symboles et les gestes du quotidien qui témoignent des traits communs à plusieurs villages et villes du sud, tels que Medenine, Ghomrassen, Chenini, Zammour et Tamezret. Ces images révèlent la richesse des traditions, la spiritualité et la tolérance qui caractérisent ces communautés.

Résidant à Kerkennah, Pierre Gassin a consacré du temps à approfondir cette démarche dans cet archipel chargé d’histoire, où les habitants perpétuent encore aujourd’hui des rites et des pratiques sociales communautaires.

Présentées hors contexte et encadrées, ces photographies invitent à une observation attentive des signes et des gestes, suscitant une réflexion sur notre époque.

Cette exposition s’adresse notamment à la jeunesse tunisienne. En collaboration avec des enseignants, des groupes d’élèves et d’étudiants participeront à des visites guidées suivies de débats, afin d’échanger sur ce qui perdure des cultures originelles.

Par ces échanges, il souhaite sensibiliser, responsabiliser et engager les jeunes à vivre en harmonie avec la nature, à l’image de leurs ancêtres.

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Khalil Zaouaia réélu secrétaire général d’Ettakatol pour un nouveau mandat

À l’issue de son quatrième congrès, tenu les 19 et 20 avril 2025 sous le slogan « Citoyens libres… non sujets », le parti Ettakatol a réélu Khalil Zaouia au poste de secrétaire général lors de la séance de clôture, dimanche 20 avril 2025.

La cérémonie d’ouverture a lieu dans la journée du samedi 19 avril ayant rassemblé de nombreux militants, des personnalités politiques ainsi que des défenseurs des droits humains tunisiens, arabes et africains, dont Mustafa Barghouthi, secrétaire général de l’Initiative nationale palestinienne.

Le congrès a également procédé à l’élection des membres du nouveau Conseil national du parti.

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Affaires sociales: Plaidoyer pour une économie arabe diversifiée, numérique et sociale

Le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, a prononcé le discours de la Tunisie lors de l’ouverture de la 51e session de la Conférence arabe du travail au Caire, le 19 avril 2025. Il a mis en lumière les défis économiques et sociaux auxquels sont confrontés les pays arabes.

Il a souligné la nécessité de diversifier les économies arabes et d’adopter l’économie numérique pour un développement durable et équitable, insistant sur l’importance d’investir dans le capital humain et de réviser les stratégies nationales afin de promouvoir une transformation économique et sociale structurelle basée sur la gouvernance participative, la justice sociale et la réduction des inégalités.

Selon le communiqué du ministère, il a également présenté les initiatives tunisiennes visant à encourager l’économie sociale et solidaire, notamment à travers un décret présidentiel sur les entreprises domestiques garantissant des conditions de vie décentes, l’inclusion sociale et la protection sociale. Il a évoqué les stratégies intégrées de la Tunisie, telles que la stratégie nationale d’économie verte et le soutien à l’innovation numérique et aux start-ups, ainsi que les efforts pour attirer les investissements étrangers dans les secteurs prometteurs comme les énergies renouvelables et les technologies de l’information.

Il a réaffirmé l’engagement de la Tunisie à soutenir le rôle social de l’État, fondé sur le principe de justice sociale, comme moteur du développement humain et d’un avenir plus juste. Il a aussi exprimé la solidarité tunisienne envers le peuple palestinien, dénonçant les injustices à Gaza et appelant à un soutien accru pour leur droit à une vie digne et à un État indépendant avec Jérusalem comme capitale.

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Tempête solaire majeure : un risque croissant de catastrophe mondiale en 2025

Le monde fait face à un risque croissant d’une tempête solaire majeure pouvant frapper la terre à tout moment, ce qui entraînerait de nombreux problèmes et catastrophes ressentis par l’humanité, ainsi qu’une interruption soudaine de nombreux aspects de la vie et services essentiels.

Un rapport publié par le journal britannique Daily Mail, consulté par Al Arabiya, indique que les scientifiques avertissent qu’une « énorme tempête solaire pourrait frapper la Terre à tout moment avec une force capable de provoquer une catastrophe sur Internet, de perturber les satellites et de paralyser l’approvisionnement en eau potable ».

Selon ces experts, cette tempête pourrait couper l’électricité dans les stations de traitement des eaux usées, tandis que les aliments conservés dans les réfrigérateurs et congélateurs commenceraient rapidement à se détériorer.

Les personnes voyageant à haute altitude dans les régions polaires seraient exposées à des doses accrues de radiation, et la couche d’ozone protectrice pourrait subir des dommages à long terme.

Le seul effet positif de cette tempête serait la visibilité spectaculaire d’aurores boréales, potentiellement observables partout dans le monde, comme le souligne le Daily Mail.

Ces risques sont confirmés par les recherches scientifiques qui montrent que des éruptions solaires puissantes peuvent détruire les réseaux électriques, perturber les télécommunications et les satellites, et causer des dommages économiques majeurs, comparables à ceux d’une catastrophe planétaire.

 

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25 avril 2025: le sourire des astres

Dans les premières heures de l’aube du vendredi 25 avril 2025, le ciel offrira un spectacle astronomique rare appelé « conjonction triple », où Vénus et Saturne apparaîtront aux côtés du croissant de Lune, formant une figure évoquant un visage souriant, selon les prévisions de la NASA. 

Vénus et Saturne, deux planètes particulièrement brillantes, seront facilement visibles à l’œil nu, tandis que l’utilisation d’un télescope ou de jumelles permettra d’observer plus en détail le croissant de Lune qui complète ce « sourire céleste »25. Mercure pourrait également être visible, située plus bas sous ce trio lumineux, à condition de bénéficier d’un horizon parfaitement dégagé, bien qu’elle soit très basse et donc plus difficile à distinguer. 

Ce phénomène sera observable dans le monde entier, à condition d’avoir une vue dégagée vers l’est juste avant le lever du soleil, pendant environ une heure avant que la lumière du jour ne le rende invisible. 

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Fête culinaire 2025 : célébration des saveurs méditerranéennes et du patrimoine gastronomique »

La gastronomie est bien plus qu’un simple plaisir gustatif : elle incarne l’identité culturelle, le patrimoine et les valeurs sociales d’une communauté tout en favorisant les échanges et la cohésion entre les peuples. C’est dans cet esprit que la Fête Culinaire 2025, qui se tiendra du 25 au 27 avril au village gastronomique du MG MAXI sur la route de La Marsa, célèbre la richesse des cuisines tunisienne et italienne à travers un programme riche en découvertes, rencontres et animations.

 

Pendant trois jours, les visiteurs pourront vivre une expérience immersive mêlant show cooking, concours de cuisine et pâtisserie, animés par des chefs renommés comme Mounir Arem, ambassadeur de la cuisine tunisienne, et Feres Brini, expert en cuisine italienne. Ce festival met à l’honneur les traditions culinaires méditerranéennes tout en créant un espace d’échanges culturels et gastronomiques, renforçant ainsi le rôle social et économique de la gastronomie.

 

Au-delà des saveurs, la Fête Culinaire propose aussi des ateliers pour enfants, des spectacles et une ambiance festive avec de la musique live, offrant une expérience conviviale et familiale. Ce rendez-vous illustre parfaitement comment la gastronomie, en tant que vecteur de patrimoine et de lien social, contribue à la valorisation des cultures locales et à la promotion du tourisme gastronomique, tout en suscitant le plaisir et la découverte.

 

En somme, la fête culinaire 2025 est une célébration incontournable de la diversité et de la richesse des traditions culinaires, un véritable voyage sensoriel et culturel à partager avec tous les amoureux de la bonne cuisine.

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ELM à GITEX Africa 2025

ELM, spécialiste des solutions numériques, a marqué sa participation à GITEX Africa 2025 à Marrakech par la signature de quatre partenariats stratégiques avec des entités marocaines et internationales, dont le Ministère de la Transition Numérique et de la Réforme de l’Administration, l’Agence de Développement du Digital, le groupe Kuba, Algo Consulting Group et TELEPAC Technology.

Ces accords visent à créer un écosystème collaboratif pour soutenir la transformation digitale et la croissance des économies numériques émergentes.
Sur son stand, ELM a présenté des solutions technologiques innovantes, notamment un service d’archivage numérique, le modèle d’intelligence artificielle « Nouha », et le projet « Stade numérique » intégrant IoT et IA pour optimiser l’expérience sportive.

Forte de plus de 500 projets réalisés, pour plus de 140 clients, 80 produits développés, cinq brevets enregistrés et 27 en cours de dépôt, ELM confirme son engagement pour le leadership numérique et l’innovation. Sa participation à GITEX Africa 2025 renforce sa volonté d’être un partenaire de confiance pour la transformation digitale, en proposant des solutions intégrées adaptées aux défis spécifiques de chaque marché.

Majed bin Saad Al Arifi, porte-parole officiel et vice-président exécutif du marketing chez ELM, a souligné que cette dynamique s’inscrit dans la stratégie 2025–2028 de l’entreprise, axée sur une expansion intelligente et des solutions flexibles, adaptées aux besoins locaux et internationaux.
ELM réaffirme ainsi son ambition de jouer un rôle clé dans l’évolution numérique du continent africain, en misant sur le partenariat, l’expertise et la technologie avancée pour bâtir un avenir numérique performant et durable.

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Visa pour les États-Unis : ce que vous devez savoir

Les citoyens tunisiens se posent de nombreuses questions concernant le processus de demande de visa américain, notamment sur les bonnes pratiques à adopter. Lors de la conférence de presse tenue à l’ambassade des États-Unis en Tunisie, le 18 avril 2025, Caroline Corcoran, vice-consule auprès de l’ambassade, a insisté sur le fait que l’honnêteté et le respect rigoureux des étapes officielles sont les fondements essentiels d’une demande réussie.

Caroline Corcoran, vice-consule auprès de l’ambassade des USA à Tunis

Elle a expliqué que les demandeurs doivent remplir un formulaire détaillé (le formulaire DS-160) qui inclut leurs voyages antérieurs, activités, lectures et langues parlées.

Elle a ajouté que les réponses orales sont systématiquement comparées aux informations fournies dans ce formulaire. Par conséquent, toute incohérence entre les déclarations écrites et orales peut entraîner un refus de visa.

Elle souligne également l’importance de posséder un passeport valide –  d’un minimum de six mois à partir de la date d’entrée prévue – pour l’entrée aux États-Unis.

Concernant le passeport biométrique, elle a précisé qu’aucun passeport biométrique spécifique n’est exigé. Et « un nouveau système de prise de rendez-vous et de paiement a été mis en place depuis le 8 février 2025, visant à simplifier et sécuriser la procédure », indique la diplomate.

Par ailleurs, pour toute demande de report d’entretien, il est impératif d’envoyer une demande au moins une semaine à l’avance.

Concernant les visas d’affaires (catégorie B1/B2), Mme Corcoran rappelle que le traitement est identique à celui des autres types de visas, sans possibilité d’accélération. Il est donc essentiel de prendre rendez-vous suffisamment tôt pour ne pas compromettre ses projets professionnels. 

D’ailleurs, elle souligne qu’à partir du 1er mai 2025, un nouveau dispositif sera mis en place pour limiter les fraudes liées à certaines sociétés intermédiaires. De ce fait, « les demandeurs de visa doivent exclusivement traiter avec les canaux officiels, sans recourir à des intermédiaires, afin d’éviter tout risque de fraude ou d’annulation de rendez-vous. Et ce, pour  garantir la transparence et l’intégrité du processus ».

Et pour finir, il convient de rappeler que les frais de visa s’élèvent à 185 dollars, plus au moins 611 dinars. Sachant que la validité du visa peut atteindre 10 ans selon le type de séjour.

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Solidarité des journalistes : unis pour défendre la liberté de la presse à Gaza

Face à l’hécatombe sans précédent de journalistes palestiniens à Gaza, la solidarité de la profession se manifeste avec force. En effet, dans l’après midi du mercredi 16 avril 2025 à Strasbourg, journalistes, photographes, et dessinateurs de divers médias (Le Monde, Rue 89 Strasbourg, Libération, Arte, France 3, DNA, Pokaa, etc.), ainsi que les organisations syndicales SNJ, CFDT, et SNJ-CGT, et le MRAP se sont rassemblés. Ils ont répondu à l’appel de sociétés de rédacteurs, d’organisations professionnelles et d’associations de défense des journalistes pour exprimer leur soutien aux journalistes palestiniens et défendre la liberté de la presse. Malgré un nombre modeste de participants, ce rassemblement a uni des acteurs clés du paysage médiatique local dans un message de solidarité et de soutien envers leurs collègues palestiniens.

 Ce mouvement de solidarité vise à briser le black-out médiatique imposé à Gaza, à soutenir les journalistes palestiniens qui témoignent avec courage, et à exiger l’accès de la presse internationale à ce territoire. Ensemble, les journalistes s’engagent à relayer les voix de Gaza et à lutter contre l’impunité des auteurs de ces crimes.

Il convient de rappeler que ce large collectif se compose des principaux syndicats de journalistes (SNJ, SNJ-CGT et CFDT-Journalistes), de la Fédération internationale des journalistes (FIJ), de la Fédération européenne des journalistes (FEJ), de Reporters sans frontières, du Prix Albert Londres, du collectif Reporters solidaires et de la commission journalistes de la SCAM.

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Décès du Dr Zakaria Bouguerra

Le Dr Zakaria Bouguerra est décédé ce jeudi 17 avril 2025 à son domicile familial situé à La Marsa, comme l’a confirmé son père, le Dr Hechmi Bouguerra, dans une déclaration à la radio Jawhara FM. La famille a découvert son corps sans vie à l’intérieur de la maison. La mort serait naturelle, sans aucune trace de violence.

Cependant, le Parquet près le Tribunal de première instance de Tunis a ordonné l’ouverture d’une enquête pour déterminer les circonstances exactes du décès. Les forces de sécurité de La Marsa ont été alertées et un représentant du ministère public, accompagné du juge d’instruction, s’est rendu sur place pour effectuer les constatations nécessaires. Le corps a ensuite été transféré au médecin légiste pour une autopsie afin de préciser les causes scientifiques du décès.

Rappelons que le Dr Zakaria Bouguerra était un médecin connu pour ses interventions médiatiques fréquentes et alarmistes concernant la pandémie de COVID-19. Notamment par son insistance sur la nécessité d’un confinement total pour éviter un effondrement sanitaire.

Dans la foulée, il avait du reste porté plainte contre plusieurs responsables politiques pour leur gestion de la crise sanitaire.

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Affaire des nourrissons : boucs émissaires et défaillances du système

L’affaire du décès de quatorze nourrissons dans un hôpital de Tunis, en mars 2019, est un drame national. Depuis des années, médecins et professeurs en médecine ont dénoncé haut et fort la dégradation du système de santé publique.

Sept ans plus tard, la justice a condamné à dix ans de prison ferme trois responsables hospitaliers — une directrice, un directeur chargé de la maintenance et un chef de service — « pour homicide involontaire ». Cette décision a suscité une vive contestation de la part des syndicats et de nombreux professionnels de santé. Lesquels estiment que ces condamnations font peser sur ces seuls individus la responsabilité d’un système défaillant dans son ensemble, incluant les politiques publiques et les conditions matérielles.

La Fédération générale de la Santé, par la voix de son secrétaire général adjoint Hassen Mezni, a annoncé une journée de colère le 17 avril 2025, suivie d’une grève générale sectorielle le 24 avril 2025. Ces actions visent à protester contre la condamnation à dix ans de prison ferme de plusieurs responsables hospitaliers dans l’affaire de la mort de nourrissons au centre de maternité et de néonatologie de la Rabta en 2019. Une condamnation « jugée injuste par les syndicats qui estiment que ces décès résultent du manque d’équipements et de ressources, et non de la responsabilité directe des condamnés. Les syndicats dénoncent aussi l’inaction du ministère de la Santé, qui aurait ignoré les alertes sur les défaillances matérielles et humaines. Tout en ordonnant aux médecins de continuer à travailler dans ces conditions. »

Les syndicats appellent à un dialogue urgent

Par ailleurs, ces mouvements s’inscrivent dans un contexte de blocage depuis octobre 2023 dans l’élaboration d’une loi fondamentale sur le statut des agents de santé, attendue depuis plus de trente ans, et considérée comme essentielle pour améliorer l’organisation et les services du secteur. Malgré un accord signé en février 2021 et des travaux engagés, les négociations sont suspendues en raison de désaccords persistants.

Les syndicats appellent à un dialogue urgent pour réformer le secteur, clarifier les responsabilités dans les hôpitaux publics, et protéger les droits des professionnels de santé, tout en mobilisant l’ensemble des acteurs publics et privés pour défendre l’avenir du système de santé.

Nazih Zghal, médecin, a déclaré à leconomistemaghrebin.com qu’il ne souhaitait pas commenter la décision de justice en elle-même, mais qu’il mettait en lumière la responsabilité globale du système de santé, du ministère et de chaque employé pour les défaillances passées et présentes. Il souligne que chercher à désigner uniquement quelques professionnels comme boucs émissaires est une manière facile mais injuste de se dédouaner.

Il rappelle que les infections nosocomiales sont un risque inhérent aux soins, existant dans tous les établissements sanitaires, publics ou privés, à travers le monde, et que ce risque concerne patients, soignants et administration. Dans le contexte particulier d’une unité de réanimation néonatale, où la survie est déjà très fragile, attribuer ces décès uniquement à une infection nosocomiale, si infection il y a, et en faire la seule responsabilité des soignants, revient à ignorer les réalités scientifiques.

Enfin, il précise que la responsabilité médicale doit être fondée sur une faute avérée dans l’action du médecin ou du soignant, et non sur des imputations faites faute d’avoir identifié d’autres causes, ce qui permettrait d’éluder les responsabilités plus larges du système.

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Métro léger : sécurité et modernisation en priorité

Face à la situation préoccupante de la sécurité du métro léger, il est important de détecter les failles et les risques qui pèsent sur le réseau. D’où le lancement d’une enquête technique approfondie, un véritable coup de projecteur sur la fiabilité et la sûreté du métro léger de Tunis, afin d’assurer à chaque usager un voyage serein et sécurisé. Tel est l’objectif de la rencontre entre le ministre du Transport, Rachid Amri, et les responsables du réseau ferroviaire de la Société tunisienne de transport et bien d’autres.

L’enjeu est de taille : évaluer la situation des installations liées à la sécurité du métro léger de Tunis, particulièrement à la suite des récents incidents sur ce réseau.

Le ministre a rappelé que la sécurité des usagers est une priorité absolue et une responsabilité collective. Tout en mettant l’accent sur l’importance des mesures nécessaires pour prévenir la récurrence de ces incidents. En outre, il a demandé un diagnostic technique complet afin d’identifier précisément leurs causes.

Par ailleurs, M. Amri a souligné le rôle crucial du transport ferroviaire comme levier de développement national, appelant à une gestion modernisée et compétente dans les domaines de l’exploitation, de l’entretien et de l’utilisation optimale des infrastructures existantes. Il a insisté sur la nécessité d’identifier clairement les besoins pour exploiter au mieux le réseau actuel, tout en intégrant de nouveaux équipements adaptés à l’échelle et à la configuration du réseau.

De ce fait, cette équipe devra aussi veiller à la mise à niveau complète de la flotte avec des dispositifs garantissant le fonctionnement automatique des aiguillages, afin d’assurer la sécurité du métro léger.

Cette réunion s’inscrit dans une dynamique plus large de réforme et de modernisation du secteur ferroviaire, où le ministre a déjà pris des mesures pour renforcer la maintenance, améliorer la coordination entre les différentes entités ferroviaires et instaurer des unités régionales de maintenance pour une intervention rapide sur le réseau national. Ces efforts visent à améliorer la disponibilité des équipements et la sécurité du transport ferroviaire à l’échelle du pays.

In fine, la question de savoir quand les citoyens pourront bénéficier d’un transport digne et fluide à Tunis reste cruciale, car malgré les mesures annoncées et les plans de sauvetage, la réalité quotidienne demeure un véritable parcours du combattant.

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Reconstruction de Gaza et coopération culturelle au cœur des travaux de l’ALECSO et de la Ligue arabe

La 57ème session du Comité de coordination suprême pour l’action arabe commune a démarré le 16 avril 2025 au siège de l’ALECSO à Tunis, sous la présidence d’Ahmed Aboul Gheit, Secrétaire général de la Ligue arabe.

De son côté, Mohamed Ould Amar, Directeur général de l’ALECSO, a souligné l’examen des défis éducatifs et culturels arabes, avec des recommandations attendues sur l’amélioration des systèmes éducatifs, le développement d’une industrie culturelle commune et le renforcement de la coopération interarabe dans ces domaines.

Par ailleurs, la session a consacré une part importante de ses travaux à la situation palestinienne, incluant une analyse des récentes évolutions politiques et humanitaires. Hossam Zaki, Secrétaire général adjoint de la Ligue arabe, a précisé que les discussions portent également sur les plans de reconstruction à Gaza et en Syrie, dans un contexte de crises prolongées.

Cette réunion s’inscrit dans un agenda diplomatique chargé, marqué par les 80 ans de la Ligue arabe et les préparatifs du sommet de Bagdad prévu en mai 2025. La Tunisie, hôte de l’événement, y réaffirme son engagement en faveur d’une action arabe concertée, notamment sur la question palestinienne.

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L’EUNIC et l’IFT à la foire du livre de Tunis : plurilinguisme, littérature et ouverture sur le monde

La 39e édition de la Foire internationale du livre de Tunis, qui se tiendra du 25 avril au 4 mai 2025 sous le slogan « Nous lisons pour construire », mettra en lumière le rôle essentiel de la diversité et de l’éducation linguistiques dans la promotion d’une culture de paix, de coexistence et de démocratie.

Dans ce contexte, l’EUNIC Tunisie (European Union National Institutes for Culture) a organisé une conférence de presse le mercredi 16 avril 2025 au siège de la Délégation Wallonie-Bruxelles, soulignant l’importance de l’apprentissage des langues et de la lecture multilingue pour renforcer les liens culturels.

Divers intervenants ont pris la parole lors de cette conférence.

L’importance de l’amour de la littérature a été soulignée, ainsi que la nécessité de dialoguer avec le monde. Germinal Gil De Gracia, directeur de l’Institut Cervantes de Tunis, a mis l’accent sur le plurilinguisme comme moyen de promouvoir la tolérance et l’interculturalité, encourageant les jeunes à apprendre des langues pour des raisons culturelles et économiques. Tout comme il a abordé l’importance des cours d’espagnol en Tunisie où on note 157 mille étudiants qui apprennent cette langue. 

Marielle Morin, attachée pour le livre et les médiathèques à l’Institut français de Tunisie (IFT), présentera sa programmation annuelle à la foire, axée sur la francophonie, l’amour du livre, le dialogue, l’ouverture et la paix.

Parmi les temps forts de la programmation de l’IFT :

  • Annonce du Prix littéraire du Quai d’Orsay le 25 avril, célébrant la fiction francophone engagée.
  • Présentation des ouvrages de Mazarine Pingeot, « Vivre sans » et « Onze quai Branly », le 25 avril.
  • Participation au parcours francophone avec Hector Sonon (Bénin) et Samy Jack (Togo).
  • Activités jeunesse, ateliers et heures du conte, avec des autrices-illustratrices jeunesse.
  • Collaboration avec des éditeurs francophones tunisiens, avec Cécile Oumrani, Ahmed Ben Saleh, Mouha Harmel et Akbar Benden.

Nouvelles approches autour du livre : livre numérique et bibliothérapie.

Par ailleurs, la présence italienne n’est pas en reste. Fabio Rugirello, directeur de l’Institut culturel italien, rappelle que l’Italie, après avoir été le pays invité d’honneur en 2024, maintient sa présence à la Foire internationale du livre de Tunis avec trois initiatives :

Table ronde sur l’intelligence artificielle (27 avril) : avec la participation de l’écrivaine italienne Valentina Federici, qui a publié un livre comparant l’écriture humaine à celle de l’IA. La discussion portera sur les relations entre l’industrie de l’édition et l’intelligence artificielle. (En français)

Présentation du livre « Calvino en Tunisie » (28 avril) : résultat d’une série d’initiatives organisées en 2023 pour le centenaire de la naissance d’Italo Calvino. Des écrivains tunisiens (Chokri Mabkhout, Azza Filali) ont été invités à réfléchir sur son œuvre. Le livre est dédié à la mémoire de l’écrivain tunisien Ali Becher.

Spectacle de marionnettes pour enfants (3 mai) : une compagnie de Milan présentera « Farce Meneghine », un spectacle mettant en scène un personnage typique de Milan. Un événement autour de Mario Scalesi sera organisé en octobre lors de la semaine de la langue italienne.

En conclusion, l’apprentissage des langues est un moyen d’approfondir les liens culturels et de favoriser le développement personnel et professionnel, comme le soulignait Charlemagne : « Celui qui a une autre langue possède une deuxième âme ».

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Sami Jallouli appelle à un fonds spécial pour la maintenance des écoles

Sami Jallouli, juriste senior, politologue et consultant en image politique, dresse un état des lieux de la situation  des écoles suite au tragique effondrement du mur d’une école à Mezzouna, dans le gouvernorat de Sidi Bouzid, qui a coûté la vie à plusieurs élèves. 

Il part du constat selon son post fb, que chaque année, près de 14,4 millions de dinars sont collectés en Tunisie au titre des frais d’inscription dans les écoles primaires, collèges et lycées. Ce montant, bien que modeste, représente une ressource importante qui pourrait être mieux exploitée.

Il précise dans ce contexte que dans les écoles primaires, environ 1,1 million d’élèves sont inscrits dans 4 583 écoles primaires. Tout en ajoutant que chaque élève paie environ 4 dinars de frais d’inscription. Ce qui  représente un total d’environ 4,4 millions de dinars, soit en moyenne environ 960 dinars par école.

Parallèlement dans les collèges et lycées, il souligne qu’ environ 1,26 million d’élèves sont inscrits dans 1 467 établissements entre collèges et lycées. Ce qui fait chaque  élève paie environ 8 dinars de frais d’inscription. Ce qui représente un total d’environ 10,08 millions de dinars, soit en moyenne environ 6 871 dinars par collège ou lycée.

 les écoles primaires et secondaires collectent environ 14,4 millions de dinars

Chaque année, les écoles primaires et secondaires collectent environ 14,4 millions de dinars au titre des frais d’inscription. .

Selon lui, il faudrait affecter ces fonds à un usage transparent et ciblé, par exemple en créant un fonds spécial dédié à la maintenance et aux activités récréatives dans les établissements scolaires

 En effet, selon lui, ces fonds pourraient être affectés à un usage transparent et ciblé, par exemple via la création d’un fonds spécial dédié à la maintenance et aux activités récréatives dans les établissements scolaires.

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Suspension des prêts longs : un coup dur pour l’accès au crédit

Sofiène Lourimi, expert du secteur bancaire, a indiqué sur les ondes de Mosaïque fm ce mardi 15 avril 2025 que la suspension possible par les banques de l’octroi de nouveaux prêts d’une durée supérieure à 15 ans était prévisible et avait déjà été annoncée à plusieurs reprises. Et ce en raison des conséquences de la récente révision de certains articles du Code de commerce.

Il a précisé que l’octroi et les types de prêts sont encadrés par les circulaires de la Banque centrale, notamment celle concernant les crédits à taux fixe dont la durée dépasse 15 ans, même d’un jour.

Par crainte de l’application de l’article 412 du Code de commerce, qui permet à l’emprunteur d’un prêt à taux fixe d’une durée supérieure à sept ans de demander, après trois ans de remboursement, une réduction de moitié du taux d’intérêt, les banques pourraient choisir de suspendre ces prêts.

Selon lui, cette modification législative entraînera une baisse des revenus et des bénéfices des banques issus des prêts. Ce qui risque de priver les citoyens de leur accès à ces crédits.

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