Une équipe médicale et paramédicale de l’Hôpital Idrissa Pouye de Dakar a participé à une greffe de rein réussie à l’hôpital universitaire Fattouma Bourguiba de Monastir.

Cette coopération tripartite, associant l’établissement tunisien, l’hôpital sénégalais et le Centre national pour la promotion de la transplantation d’organes, vise à accompagner le Sénégal dans la réalisation de ses premières greffes rénales sur son territoire avant fin 2025.

L’expertise tunisienne, reconnue comme leader en Afrique dans le domaine des transplantations d’organes, constitue le pilier de cette initiative.

Le partenariat s’appuie sur l’échange de compétences, l’autofinancement et la souveraineté sanitaire africaine, avec un focus sur la formation des équipes sénégalaises et le transfert technologique. Cette collaboration s’inscrit dans une vision élargie de coopération médicale continentale, incluant d’autres spécialités comme la chirurgie cardiovasculaire et la neurochirurgie.

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Dans un communiqué rendu public mercredi 16 avril 2025, le ministère de la Santé a annoncé que l’équipe médicale de l’Hôpital pour enfants Bechir Hamza avait réalisé avec succès la première opération cardiaque microchirurgicale sur un nourrisson de trois mois dans le tout nouveau service de chirurgie cardiaque pédiatrique de l’hôpital.

Le ministère de Santé précise que cette opération a été supervisée par une équipe pluridisciplinaire des départements de chirurgie cardiaque pédiatrique, de réanimation et d’anesthésie. Avec un suivi médical étroit de la part des équipes spécialisées de Gabès, Sfax et Tunis.

La réussite de l’opération est expliquée par l’intégration des compétences et des capacités techniques modernes. Et cette réalisation scientifique constitue « un pas important vers la réduction de la liste d’attente, l’amélioration de la gestion des cas cardiaques pédiatriques complexes et la réduction de la nécessité d’un traitement à l’étranger », souligne-t-on.

A noter que le service de chirurgie cardiaque pédiatrique de l’hôpital universitaire Béchir Hamza est l’un des nouveaux services modèles équipés des dernières technologies. Et ce, dans le cadre de la stratégie de soutien aux spécialités et de développement de l’infrastructure sanitaire dans le pays.

D’ailleurs, le ministère de la Santé n’a pas manqué de féliciter, dans son communiqué, le personnel médical, paramédical et administratif pour leur grand professionnalisme et leur esprit d’équipe.

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Avec une production d’environ 14 000 tonnes de fraises cette saison, la région de Nabeul – en pleine récolte actuellement – devrait maintenir un rendement similaire à celui de l’année précédente. Et ce, en dépit d’une baisse des surfaces cultivées (350 hectares contre 380 hectares). A souligner que Nabeul représente 90 % de la production nationale de fraise.

Imed Bey, le président de l’Union régionale de l’agriculture et de la pêche (URAP) à Nabeul, annonce que la récolte est excellente. D’autant plus que la production n’a pas régressé; malgré la réduction des surfaces cultivées.

En outre, les fraises sont disponibles en quantités suffisantes sur le marché et à des prix raisonnables. Le kilogramme étant actuellement vendu entre 3 et 4 dinars, explique-t-il.

La même source indique que le rendement par hectare est passé de 35 tonnes lors de la précédente saison à 40 tonnes. Une hausse qui s’explique par l’adoption de nouvelles techniques agricoles et l’utilisation de sources alternatives pour atténuer les effets du manque d’eau d’irrigation.

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L’école primaire d’Oued Essfar, située au sud de Gafsa, a abrité une caravane de santé pluridisciplinaire, dimanche 13 avril 2025.

La caravane médicale a été organisée grâce à une collaboration entre la section locale du Croissant-rouge tunisien, l’Association des médecins de Gafsa et la Direction régionale de la santé.

Citée par directinfo.com, la présidente de la section locale du Croissant-rouge, Hager Chafchar, a souligné que cette initiative humanitaire a permis à plus de 350 habitants des villages de la région d’accéder à des consultations médicales gratuites dispensées par une équipe de 15 médecins spécialistes.

Parmi les domaines d’expertise, on cite la médecine générale, la médecine interne, la gynécologie-obstétrique, la pneumologie, l’allergologie, l’endocrinologie, la gastro-entérologie, la dermatologie, la pédiatrie, la néphrologie, la rhumatologie et l’odontologie, selon la même source.

En marge de la caravane médicale, a été organisée une collecte de sang sous la supervision du Centre régional de transfusion sanguine. 

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La 15e édition du Salon international de l’agriculture biologique et de l’agroalimentaire « Bio-Expo 2025 » se tiendra du 17 au 19 avril 2025 au siège de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA).

Plus de 100 exposants sont attendus pour cet événement, organisé par International Fairs and Exhibitions Tunisia (IFE-Tunisia) en collaboration avec la Direction générale de l’agriculture biologique.

Ce Salon offre une plateforme idéale aux producteurs et transformateurs de produits biologiques, leur permettant de présenter leurs produits à un large public de professionnels et de consommateurs. Il vise à renforcer les liens entre producteurs, agriculteurs et experts issus de diverses régions du pays, tout en créant de nouvelles opportunités de partenariat et en élargissant les réseaux nationaux et internationaux.

L’objectif principal est de promouvoir l’industrie biologique en Tunisie et d’anticiper les tendances du marché local et euro-méditerranéen, en favorisant le dialogue entre agriculteurs, producteurs, transformateurs et décideurs.

En parallèle, des conférences animées par des experts de renom dans le domaine de l’agriculture biologique seront organisées, ainsi que des ateliers éducatifs pour sensibiliser les élèves aux bienfaits des produits biologiques sur leur santé.

Un concours de dégustation de la meilleure huile d’olive biologique, intitulé « Dido Kids », sera également organisé pour encourager l’appréciation de la qualité dès le plus jeune âge.

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Avec 1 250 immatriculations à fin mars, Hyundai poursuit sa course en tête des marques les plus vendues en Tunisie au cours du premier trimestre 2025. C’est ce que révèlent les chiffres de l’Agence technique des transports terrestres (ATTT).

Toyota, qui a vendu 1 139 voitures durant la même période suit sur la deuxième marche du podium.

Puis, la marque italienne Fiat se hisse à la troisième position avec un total de 1 047 immatriculations lors du premier trimestre de l’année.

Enfin, en quatrième et cinquième positions, on retrouve Renault (groupe ARTES) et Kia, avec respectivement 1 010 et 910 unités au cours des trois premiers mois de l’année 2025.

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La décision du président américain Donald Trump d’augmenter les tarifs douaniers sur les importations aux États-Unis a provoqué un impact significatif, entraînant une baisse des marchés boursiers mondiaux. Selon Mosaïque FM, ces mesures affectent environ 185 nations et régions, dont la Tunisie, qui subit un taux de 28 %. Cela soulève des questions sur la pertinence de ces mesures, notamment dans des zones peu peuplées ou inhabitables.

Une anecdote sur les réseaux sociaux concernant les îles Heard-et-McDonald, en Antarctique, a circulé, affirmant qu’elles seraient soumises à une taxe supplémentaire de 10% en raison des manchots.

Cette histoire a incité la Maison Blanche à revoir sa liste quelques heures avant l’entrée en vigueur des nouveaux droits de douance.

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En Tunisie, une start-up révolutionne l’énergie en transformant les déchets d’olives. Fondée en 2022 à Sanhaja, près de Manouba, l’entreprise Bioheat recycle les résidus d’olives pour produire des briquettes de chauffage. C’est ce qu’a révélé France 24 via un reportage publié le 3 avril 2025.

Cette initiative offre une alternative au bois et constitue une solution énergétique précieuse pour un pays fortement dépendant des importations de gaz et de pétrole.

Toujours d’après France 24, Yassine Khelifi, ingénieur tunisien de 36 ans et fondateur de Bioheat, explique avec fierté son projet : « Nous extrayons de l’énergie et générons des revenus à partir de déchets organiques abandonnés. »

Dans son atelier, une machine transforme les grignons d’olives en briquettes cylindriques. Ces résidus, appelés localement fitoura, sont compressés sous forme de pâte avant d’être moulés et séchés pendant 30 jours. Une fois prêtes, les briquettes sont emballées et expédiées aux clients. »

Traditionnellement, la fitoura était utilisée pour allumer des foyers, cuisiner ou nourrir le bétail, mais la majorité des résidus pollue les sols. La Tunisie, classée parmi les cinq premiers producteurs mondiaux d’huile d’olive avec une production de 340 000 tonnes pour la saison 2024-2025, génère également environ 600 000 tonnes de déchets d’olives cette année.

De son côté, Yassine Khelifi a constaté que cette matière brûle longtemps et a eu l’idée de la convertir en énergie afin de réduire l’usage du bois dans un pays confronté à la déforestation et au réchauffement climatique.

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Le lundi 7 avril 2025, plusieurs dizaines d’élèves et d’étudiants tunisiens ont organisé une manifestation. Et ce, dans le cadre d’une grande marche nationale pour exprimer leur solidarité avec le peuple palestinien en général et à Gaza en particulier.

A Tunis, ils ont parcouru l’Avenue Mohammed V en passant par le Centre culturel turc et celui d’Italie et devant l’ambassade de Libye.

Les manifestants scandaient des slogans dénonçant les attaques barbares israéliennes sur Gaza, et par ricochet leur soutien indéfectible à la cause palestinienne.

Des drapeaux de la Palestine à la main, mais également des affiches invitant à l’arrêt des violences et un cessez-le-feu…

Cette marche fait partie d’une série de protestations internationales demandant un arrêt immédiat des hostilités et la levée du siège imposé à Gaza.

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