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Tunisie – Plan de développement 2026-2030 : une nouvelle méthodologie axée sur les régions et la justice sociale

La cheffe du Gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a présidé lundi, au Palais du gouvernement à la Kasbah, un conseil ministériel consacré à l’examen du Plan de développement 2026-2030.

D’après un communiqué, publié par la présidence du Gouvernement, le Plan du développement 2026- 2030 se base sur une nouvelle méthodologie, laquelle repose sur une planification progressive dans le cadre de l’unité de l’État. La conception du Plan se fera, dans ce cadre, à l’échelle régionale, puis locale, et nationale, ce qui est en mesure de réaliser une intégration économique et sociale globale et équitable.

Ladite approche permettra, ainsi, d’assurer le suivi du processus de planification aux niveaux local et régional, de concevoir des politiques et des programmes (locaux, régionaux, sectoriels, nationaux) en fonction de leur priorité et de leur niveau de faisabilité, et d’élaborer des plans de développement régionaux en fonction de la nouvelle division territoriale.

Elle favorisera, aussi, d’adopter un système intégré pour l’élaboration, le suivi et l’évaluation des projets, d’assurer la cohérence des approches de développement, et de garantir l’efficience de la méthodologie de propositions de projets d’investissement.

A l’issue de la réunion, le Conseil a recommandé de faire impliquer toutes les structures publiques intervenantes dans l’effort d’accompagnement, tout au long du processus d’élaboration du Plan de développement.

Il a été recommandé, en outre, de préparer un programme de formation au profit des conseils locaux, des conseils régionaux et des conseils de districts, ainsi que de suivre le niveau d’avancement au niveau de l’élaboration du Plan de développement et de veiller à surmonter les difficultés qui peuvent entraver le travail des conseils locaux, régionaux et provinciaux.

La cheffe du Gouvernement a souligné, à cette occasion, que le nouveau Plan de développement concrétise les principes de la Constitution relatifs à l’instauration d’un développement réel, global et équitable.

Elle a estimé, également, que ce plan incarne la vision du président de la République, Kais Saied, qui accorde un rôle central aux conseils locaux, régionaux et de districts, ainsi qu’au Conseil national des régions et des districts (CNRD) dans la planification et l’élaboration des projets économiques futurs.

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Tunisie-Italie : 30 projets transfrontaliers financés par l’UE à hauteur de 1,2 million d’euros

Le Comité Mixte de Suivi (CMS) du Programme de Coopération Transfrontalière Tunisie-Italie a adopté, récemment à Tunis, 30 projets communs qui seront financés moyennant un don variant entre 800 mille euros et 1,2 million d’euros qui sera accordé par l’Union européenne (UE).

Le ministère de l’Economie et de la planification a précisé dans un communiqué publié, lundi, que 72 entreprises tunisiennes dont 9 partenaires de choix et 76 sociétés italiennes dont 21 associés de choix participeront à ces projets.

Les projets portent sur les domaines de Recherche et de l’Innovation, l’appuis aux Petites et moyennes entreprises (PME) et aux startups, la protection de l’environnement, les énergies renouvelables et la gestion des eux, la santé, l’accompagnement des jeunes et de la femme et la gouvernance locale.

 

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Réunion ministérielle au Caire : la Tunisie défend une migration humaine et solidaire dans le cadre du processus de Khartoum

Le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, a conduit la délégation tunisienne ayant pris part, mercredi, au Caire, aux travaux de la 2ème réunion ministérielle du processus de Khartoum (Initiative sur la route migratoire UE-Corne de l’Afrique).

Ce processus constitue un cadre interrégional de dialogue et de coopération autour de questions relatives à la migration. Il réunit des pays de l’Afrique et de l’Union européenne, indique un communiqué du département des Affaires étrangères.

Dans son intervention, le secrétaire d’État a mis l’accent sur les fondements de l’approche tunisienne relative au traitement de la migration irrégulière, qui s’attaque aux causes profondes de ce phénomène et ne se limite pas aux solutions sécuritaires.

Ben Ayed a appelé, dans ce sens, à renforcer la coopération entre les États et les organisations membres de ce processus en vue de faire face aux défis liés aux flux migratoires irréguliers.

Dans ce contexte, il a souligné la nécessité de conjuguer les efforts de toutes les parties prenantes en vue de faire réussir le programme de retour volontaire des migrants vers leurs pays d’origine, dans le cadre du respect des droits de l’homme et les engagements internationaux en matière de migration.

Par ailleurs, il a mis en garde contre les répercussions du phénomène de l’exode des cerveaux sur les processus de développement dans les pays du sud.

Cette réunion ministérielle a été conclue par l’adoption de la “Déclaration du Caire” qui a été axée sur une série de recommandations dont notamment, le traitement des causes profondes du phénomène de la migration irrégulière et le renforcement des capacités de développement dans les pays d’origine, de transit et de destination.

La déclaration prévoit, également, de renforcer les voies de migration régulière, de développer des partenariats et des programmes de coopération dans le domaine de la migration et de la mobilité des personnes et d’adopter une approche participative et globale pour lutter contre la traite des personnes et démanteler les réseaux criminels.

La réunion s’est également soldée par l’adoption du « Plan d’action du Caire » pour la prochaine phase du processus de Khartoum, dont la présidence sera assurée par la France, succédant ainsi à l’Égypte.

En marge de cette réunion, le secrétaire d’État aux Affaires étrangères a tenu une série de rencontres avec plusieurs chefs de délégations de pays et d’organisations internationales participantes.

Ces entretiens ont permis de réaffirmer l’importance de soutenir les efforts de la Tunisie pour faire face au phénomène de la migration irrégulière et à ses lourdes répercussions sur les plans économique, social et sécuritaire, et ce, conformément au principe du partage des responsabilités et des charges.

Dans ce cadre, il a appelé les partenaires de la Tunisie à renforcer leur appui au programme de retour volontaire des migrants en situation irrégulière, mis en œuvre par l’Organisation internationale pour les migrations, en tant que meilleure option pour assurer le retour des migrants dans leurs pays d’origine dans des conditions humaines, respectueuses de leur dignité.

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Tunisie : l’ARP plaide au Caire pour une législation arabe unifiée contre la migration irrégulière

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a pris part, les 7 et 8 avril courant, au Caire, aux travaux de la sous-commission issue de la Commission des affaires législatives, juridiques et des droits de l’Homme relevant du Parlement arabe.

Ces travaux ont porté sur le suivi de l’élaboration d’une loi arabe directrice relative à la migration irrégulière.

Aymen Boughdiri, membre du Parlement arabe et président de la Commission des relations extérieures, de la coopération internationale, des affaires des Tunisiens à l’étranger et de la migration à l’ARP a souligné, dans son intervention, l’importance d’unifier les efforts législatifs arabes pour faire face au phénomène de la migration irrégulière et à ses retombées sécuritaires, économiques et sociales sur les pays arabes.

Il a, à ce propos, appelé à l’adoption d’une approche globale et humanitaire axée sur le traitement de ses causes profondes, telles que la pauvreté, le chômage et les conflits, mettant l’accent sur la nécessité de renforcer la coopération économique entre les pays arabes.

Boughdiri a, en outre, souligné le rôle fondamental de la législation dans la lutte contre les réseaux criminels impliqués dans la traite des personnes et le trafic de migrants.

L’Assemblée des représentants du peuple a précisé que cette participation s’inscrit dans le cadre de sa volonté de contribuer à la mise en place de cadres législatifs arabes unifiés et équitables, qui garantissent les droits de l’Homme, préservent la souveraineté des États et protègent les sociétés arabes contre les défis liés à la migration irrégulière.

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Budget 2025 : La Tunisie ajuste ses prévisions face à la conjoncture internationale

Le département des Finances se penche, actuellement, sur la mise à jour du budget de l’Etat pour l’exercice 2025, en veillant à ce que les hypothèses s’adaptent au mieux avec la conjoncture économique internationale, a annoncé, mardi, la ministre des finances Michket Slama Khald.

Répondant aux interventions des élus lors d’une séance plénière à l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP), consacrée à l’examen du projet de loi portant application des statut particuliers relatifs au président de l’ARP et de ses membres, au président et membres de la deuxième chambre législative, le conseil national des régions et des districts, Khaldi a fait savoir que son département est en train de finaliser le projet de la Loi de Finances 2026, lequel sera soumis aux différents ministères et structures de l’Etat, dans les plus brefs délais, pour d’éventuelles propositions d’amendements.

Elle a réitéré, dans ce cadre, que l’orientation actuelle de l’Etat consiste à limiter le recours à l’emprunt extérieur, et à compter sur soi, en mobilisant ses propres moyens, d’où l’impératif de rationaliser ses dépenses budgétaires et de booster la croissance économique.

«Ainsi, l’Etat œuvre à rationaliser les avantages fiscaux, à faire face au commerce parallèle et à lutter contre l’évasion fiscale », a-t-elle dit.

Sur un autre registre, elle a rappelé que l’Etat a œuvré à assurer l’équité fiscale, à travers, notamment, l’ajustement du barème de l’impôt sur le revenu, dans la Loi des Finances 2025. «Plus de 60% de personnes physiques, notamment parmi les fonctionnaires, ont bénéficié de la réduction de leurs impôts, dans le cadre de cette mesure, dont le coût est estimé à 693 millions de dinars (MD) pour le budget de l’État».

Par ailleurs, la ministre a fait savoir que le nouveau Code des Changes est presque prêt et il sera présenté à l’ARP, prochainement, pour adoption.

Pour rappel, ce projet de loi s’inscrit dans le cadre de l’application de la Constitution du 25 juillet 2022 qui consacre le système des deux chambres dans son article 56.

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Siliana: Projets sociaux et économiques achevés grâce à l’Union européenne

Une cérémonie de clôture du programme spécifique de la municipalité de Bou Arada a eu lieu, mardi, à la municipalité de la place, sur le slogan “Contribuer à l’amélioration des conditions économiques et sociales des habitants de la municipalité de Bou Arada”, financé par l’Union européenne.

Le secrétaire général de la municipalité, Neji Oueslati, a indiqué à l’Agence TAP, que le coût total du projet est estimé à 1,394 million de dinars, mis en œuvre dans le cadre d’un contrat de partenariat entre la municipalité de Bou Arada et l’Union européenne.

Ce projet a démarré avec la mise en œuvre du plan de développement local (2019-2021) pour déterminer les priorités de la région.

Parmi les projets les plus importants réalisés dans ce cadre, l’aménagement d’un terrain de football et d’un terrain de basket-ball, d’une valeur totale de 282 mille dinars, ainsi que l’aménagement d’un mini-terrain de football, avec un coût de 194 mille dinars.

Le projet d’éclairage public a également été mis en œuvre, couvrant toutes les zones rurales pour un montant de 40 mille dinars ainsi que les zones urbaines pour un coût de 115 mille dinars.

De plus, cinq terrains d’écoles primaires dans le milieu rural ont été aménagés pour un coût de 148 mille dinars, tout comme des classes préparatoires pour un montant de 30 mille dinars.

Oueslati a également mentionné l’installation de 6 stations dans les zones rurales dans le cadre du soutien au réseau de transport, le soutien à plusieurs associations, et l’aide aux familles nécessiteuses pour un montant de 60 mille dinars au titre d’amélioration du logement, au profit de 20 familles, ainsi que le soutien à 8 femmes pour la création de petits projets.

De son côté, la représentante de l’Union européenne en Tunisie, Marina Marchetti, a souligné l’importance de la coopération dans le domaine du développement local et dans d’autres domaines, notamment les secteurs social et économique.

Il est à noter que la clôture du programme spécifique s’est déroulée sous la supervision du secrétaire général de la municipalité de Bou Arada, en présence de plusieurs secrétaires généraux de municipalités, de représentants des conseils municipaux, d’un représentant du Conseil national des régions et des districts, ainsi que de membres de la société civile et de représentants de l’Union européenne.

Lors de cette cérémonie, une exposition artisanale a été organisée pour promouvoir une gamme de produits naturels, de poterie et d’Alfa.

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