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Huile d’olive: Le Cepex organise le 22 avril des rencontres B to B tuniso-néerlandaises

Des rencontres professionnelles B to B dédiées à la filière de l’huile d’olive tunisienne seront organisées, le 22 avril courant, à la maison de l’Exportateur, au profit d’une entreprise importatrice néerlandaise.

Ces rencontres seront organisées par le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), en partenariat avec l’Ambassade de la Tunisie à La Haye. Elles ont pour principal objectif de faciliter la mise en relation entre les exportateurs tunisiens de l’huile d’olive et l’entreprise néerlandaise, en vue de développer des opportunités de partenariat commercial et d’exportation vers les Pays-Bas.

Les entreprises tunisiennes souhaitant prendre part à cet évènement peuvent s’inscrire avant le 20 Avril 2025 via le lien suivant : httpss://forms.gle/uLmNY7DNLqgX3DR3A.

Avec TAP

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L’ANME et le CETIME s’associent pour créer un laboratoire d’analyses et d’essais des produits d’éclairage LED

Un contrat portant sur la mise en place d’un laboratoire d’analyses et d’essais des produits d’éclairage LED pour un coût total estimé à 1,5 million de dinars, a été signé, jeudi 17 avril, entre l’Agence Nationale pour la Maîtrise de l’Énergie (ANME) et le Centre Technique des Industries Mécaniques et Electriques (CETIME).

L’ANME a fait savoir que cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet de « Développement du marché tunisien de l’éclairage vers des technologies à haute efficacité énergétique », financé par le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) et mis en œuvre par l’agence en coopération avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

Lors de la cérémonie de signature, le directeur général de l’ANME, Fathi Hanchi a souligné l’importance de la coopération entre l’Agence et le Centre, qui a débuté depuis le milieu des années 1980, et qui s’est reflétée positivement sur les programmes d’action conjoints tels que le contrôle des marchés.

Il a mis l’accent sur la nécessité de consolider les domaines de coopération entre les deux institutions, notamment après l’adoption, en décembre 2024, des mesures relatives à la maîtrise de l’énergie dans les établissements publics.

Pour sa part, le directeur général du CETIME, Noureddine Guizani a affirmé que le centre est ouvert à tous les domaines de production en Tunisie, insistant sur l’importance de rationaliser la consommation d’énergie et de conjuguer les efforts pour assurer la réalisation des objectifs de la transition énergétique.

Avec TAP

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Le Tunindex clôture jeudi 17 avril en territoire positif

Le marché boursier a clôturé la séance de jeudi 17 avril en territoire positif, avec une légère progression du Tunindex de 0,02 %, à 11 107,25 points dans un volume soutenu de 9,4 MDT, selon l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Poursuivant son ascension, le titre ASSAD s’est placé au top line. L’action de l’accumulateur tunisien s’est appréciée de 3,3 % à 2,480 D dans un volume garni de 691 mille dinars.

Le titre DELICE HOLDING a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action du champion national des produits laitiers a gagné 3,2 % à 23,440 D. La valeur a amassé des échanges de 375 mille dinars sur la séance.

Du côté des baisses, le titre BTE a accusé une régression de 4,4 % à 6,880 D. L’action de la banque mixte a brassé un volume limité de 4 mille dinars sur la séance.

Mal orienté, le titre CELLCOM s’est délesté de 4,4 % à 1,760. L’action a été échangée à hauteur de 19 mille dinars sur la séance.

Le titre BNA a chapeauté le palmarès des échanges. L’action de la banque publique s’est effritée de 2,7 % à 9,250 D en alimentant le marché avec des capitaux de 1,8 MD.

Avec TAP

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Kef : Le projet de raccordement au gaz naturel prêt à redémarrer après la levée des blocages fonciers

La reprise imminente des travaux du projet d’approvisionnement en gaz naturel de la ville du Kef a été confirmée, après la levée de l’ensemble des obstacles ayant entravé son achèvement, a annoncé le chef de projet.

Le responsable du projet de raccordement au gaz naturel pour le Nord-Ouest, Mohamed Riadh Hellal, a précisé que toutes les autorisations administratives nécessaires ont été dûment obtenues, notant que le taux d’avancement des travaux a d’ores et déjà atteint 70%.

Il a souligné, lors d’une rencontre tenue, mercredi 17 avril, avec le gouverneur du Kef, Walid Kaâbique, que les travaux seront relancés dans les délais contractuels et conformément aux normes de sécurité en vigueur, et ce dès les prochaines semaines.

Pour sa part, le gouverneur du Kef a réaffirmé l’importance stratégique de ce projet pour la région, appelant à accélérer sa réalisation et à honorer les engagements pris, d’autant que toutes les problématiques foncières liées au passage des conduites, à la construction des stations de pompage et des stations de coupure ont été résolues.

En parallèle, un terrain domanial situé dans la localité de Zaâfrane, à l’est du Kef, a été officiellement attribué à la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG) pour y implanter une station de coupure du réseau.

Avec TAP

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Lancement de la 2ème phase du projet « Actions préliminaires pour la constitution de bio-territoires », en mai 2025

La 2ème phase du projet « Actions préliminaires pour la constitution de bio-territoires tunisiens »,  sera lancée en mai 2025, a indiqué Khaled Sassi, Directeur Général de l’Agriculture Biologique au ministère de l’Agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche.

 La 2ème phase du projet consiste en la création de cinq zones bio-territoires pilotes, dans les gouvernorats de Nabeul à El Haouaria, de Kasserine à Majel Bel Abbès, de Bizerte à Sejnene, de Siliana à Kesra et de Tozeur à Hizoua, a déclaré ce responsable à l’Agence TAP, lors d’une journée d’information sur les projets de coopération en agriculture biologique tenue jeudi, en marge du Salon de l’agriculture biologique et de l’agroalimentaire BIOEXPO 2025 (du 17 au 19 avril 2025).

Et d’ajouter que le projet consiste en l’implantation d’initiatives de développement local pour soutenir les activités de production, d’entrepreneuriat et d’innovation des ces zones pilotes, à travers l’appui financier et les connaissances des différents intervenants.

 Il cible plusieurs catégories dans chacune de ces délégations, à savoir l’agriculteur biologique ou ayant des capacités de se convertir au mode agricole biologique, les petits artisans et les opérateurs dans l’agritourisme, pour vont constituer un noyau dur de bio-territoires. Cette phase du projet est financée à hauteur de 3,5 millions d’euros par l’Agence italienne de coopération au développement. Elle s’étalera sur trois ans pour prendre fin en 2028.

La 1ère phase qui avait été financée à hauteur de 1 million d’euros, a porté sur la réalisation d’une étude préliminaire qui a permis d’identifier ces 5 zones pilotes. Cette étude a été basée sur l’étude de 256 délégations  en Tunisie sur la base de plus de 40 critères environnementaux et économiques. Elle a permis, également, d’introduire des amendements au niveau de la loi relative de l’agriculture biologique créée en 1999, pour ajouter la notion de bio-territoires, a fait savoir le DG de l’Agriculture Biologique, précisant que la nouvelle loi sera publiée prochainement au JORT.

Sassi a mis l’accent sur les avantages des bio-territoires en matière de développement de l’économie aux différentes échelles locale, régionale et nationale.

Les résultats attendus de ce projet est de cibler plus de 2000 intervenants dans les 5 bio-territoires, en leur accordant l’appui financier et les connaissances, l’accompagnement juridiques pour qu’ils soient implantés dans un cadre légal.

Sassi a cité deux autres projets de coopération en cours, dans le domaine de l’agriculture biologique. Il s’agit du projet « BioREST », d’appui au développement d’une agriculture biologique durable et résiliente dans un contexte de changement climatique, financé par la coopération suisse,  d’une valeur de 4,5 millions de dollars, et mis en œuvre par l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Ce projet s’achèvera dans deux ans.

Il y a, en plus, le projet de développement d’une filière d’agritourisme bio, durable et équitable aux bénéfices des territoires tunisiens et de leur population  » BioTED », financé par le Royaume de Belgique à hauteur de 1,2 million d’euros, qui prend fin en août 2026

A cet égard, la coordinatrice du projet  « BioTED »,  Boutheina Majdoub Trabelsi a précisé que ce projet est le fruit d’un accord conclu entre la Tunisie et le Royaume de Belgique, pour la transformation des dettes en projets de développement. Il sera mis en œuvre par la direction générale de l’agriculture biologique avec un consortium belge, constitué de trois associations. Ce projet consiste à accompagner des exploitants agricoles dans 5 zones bio-territoires (Haouaria, Majel Bel Abbès, Sejnene, Kesra et Hizoua), ayant des gîtes ruraux dans les fermes agricoles, ou ceux qui se préparent à créer ce genre d’activité.

L’objectif, a-t-elle dit, est de permettre à ces exploitants à créer une valeur ajoutée économique, de développer leurs revenus et de se diversifier, en plus de la création de la valeur ajoutée sociale et environnementale en milieu rural.

L’agriculture biologique, qui est un secteur porteur, compte 7000 intervenants biologiques. En 2024, la superficie cultivée en mode agricole biologique est d’environ 235 mille hectares,  représentant 2% de la superficie agricole.

En 2024, la valeur des exportations agricoles biologiques est de 1130 millions de dinars (MD), soit une contribution du secteur à hauteur de 14% dans la valeur des exportations totales, contre  17,7%  en 2023. Près 90% de la production agricole biologique sont destinés au marché local et 10% au marché extérieur.

Avec TAP

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Retour volontaire en Guinée : 164 migrants quittent la Tunisie après l’échec de leur projet européen

Environ 164 migrants irréguliers de nationalité guinéenne ont été rapatriés ce jeudi 17 avril, depuis l’aéroport de Tunis-Carthage dans le cadre d’une opération de retour volontaire organisée en collaboration avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Cette initiative s’inscrit dans une stratégie plus large visant à gérer les flux migratoires en Tunisie.

Un vol spécial a été organisé ce jour pour ces ressortissants guinéens, qui ont choisi de regagner leur pays après avoir renoncé à leur projet de migration vers l’Europe. C’est ce qu’a affirmé une source de l’OIM qui a préféré garder l’anonymat.

Plusieurs migrants interrogés par l’agence TAP ont exprimé leur volonté de rentrer dans leur pays d’origine, parce que n’ayant pas réussi à « réaliser le rêve » qui les avait amenés en Tunisie : migrer vers l’Europe. Certains étaient même installés depuis plus de dix ans en Tunisie dans cette perspective.

« Je suis resté en Tunisie pendant trois ans sans trouver de travail, alors j’ai préféré rentrer », a témoigné un migrant guinéen accompagné de sa femme et de leur bébé. Une autre migrante guinéenne, mère de deux enfants, a expliqué avoir passé six mois en Tunisie avant de renoncer face à « l’impossibilité » d’atteindre son objectif.

Depuis le début de l’année, 1 544 migrants ont bénéficié de programmes de retour volontaire. Tels sont les chiffres annoncés par le président de la République, Kaïs Saïed, lors d’un entretien avec le ministre des Affaires étrangères Mohamed Ali Nafti en mars dernier.

En janvier dernier, le Secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ben Ayed, avait révélé que la Tunisie avait organisé, en 2024, le rapatriement volontaire de 7 250 migrants irréguliers d’Afrique subsaharienne. Et ce en coordination avec l’OIM, les pays voisins (Algérie et Libye) et leurs pays d’origine.

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Zaghouan : 4,2 MDT pour la construction de 176 citernes domestiques

Les services du commissariat régional au développement agricole (CRDA) de Zaghouan ont alloué un montant de 4,2 millions de dinars (MDT) pour la réalisation de 176 citernes domestiques (majels) destinées au stockage de l’eau. Et ce, dans le cadre de la poursuite du projet de développement et de promotion des systèmes agricoles.

Ce projet bénéficie aux familles démunies dans les zones défavorisées souffrant de pénurie d’eau. De même qu’il s’inscrit dans une démarche de soutien à la femme en milieu rural et de renforcement du développement dans les zones vulnérables.

Le coordinateur régional du projet, Mohsen Boumaïza, a souligné à l’Agence TAP que les bénéficiaires ont été sélectionnés par des comités locaux, sur la base de critères précis. Notamment l’éloignement du logement par rapport aux réseaux ou sources d’eau et le nombre de familles concernées.

Il a précisé que 41 familles dans la délégation d’El Fahs, 38 à Nadhour, 32 à Bir Mcherga, 29 à Zaghouan, 27 à Zriba et neuf à Saouaf bénéficieront de ces majels.

Chaque majel aura une capacité de 20 m3, a-t-il fait savoir, notant que les travaux devraient démarrer l’été prochain.

À noter que le projet de développement et de promotion des systèmes agricoles dans le gouvernorat de Zaghouan, dont le coût total est estimé à environ 106 millions de dinars, est financé par la Banque africaine de développement (BAD) avec une contribution de l’État.

Ce projet a été lancé en février 2019 et vise principalement à développer certaines filières agricoles de la région, telles que les secteurs du lait, des olives et de l’élevage.

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Colloque international à l’ISES à la Manouba sur « l’intelligence artificielle et l’inclusion des personnes handicapées »

Un colloque international ayant pour thème « L’intelligence artificielle : progrès et handicap » organisé par l’Institut supérieur de l’éducation spécialisée à la Manouba (ISES) a démarré, jeudi 17 avril, au siège de l’institut.

Des experts de Tunisie, de Palestine, de Libye, d’Algérie et du Togo participent à ce colloque, organisé les 17 et 18 avril courant par l’Institut supérieur de l’éducation spécialisée, en partenariat avec le laboratoire de recherche scientifique  » handicap et inadaptation sociale ».

La directrice de l’ISES, Neila Bali, a indiqué dans une déclaration à la TAP que ce colloque international a pour objectif de sensibiliser à l’importance des technologies numériques et offre un espace d’échange des connaissances et des expériences scientifiques sur l’IA au bénéfice de l’inclusion sociale des personnes handicapées.

Elle a précisé que le programme de ce colloque s’articule autour de quatre axes fondamentaux, à savoir : « La gouvernance de l’IA : problématiques et défis pour une approche intégrée »; « L’IA et l’apprentissage en faveur des personnes handicapées : perspectives et défis »; « L’IA et l’autonomisation économique des personnes handicapées »; et « L’IA sport et divertissement au profit des personnes handicapées. »

Elle a souligné l’importance de ces thèmes qui permettront de consolider l’interaction sociale et de débattre des problématiques liées à l’intelligence artificielle et le handicap. Et ce, de manière à renforcer la recherche scientifique et à trouver des solutions innovantes pour favoriser l’inclusion des personnes handicapées au sein de la société.

Avec TAP

 

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Tataouine : appel à renforcer l’unité de dialyse à l’hôpital régional

Une source médicale à l’hôpital régional de Tataouine a souligné que l’unité de dialyse a besoin d’être renforcée en personnel et en logistique. Et ce, de manière à répondre au besoin accru des patients souffrant d’insuffisance rénale chronique (IRC).

Cette unité, créée en 2003 et composée de 20 générateurs d’hémodialyse, accueille à présent 65 patients (18-80 ans). Ces derniers ont besoin de médecins spécialistes pour traiter leur maladie. Sachant que la région compte, également, deux unités de dialyse privées, a indiqué la même source.

Les patients résidant, notamment, à Remada et Dhiba sont contraints de parcourir une distance de 160 à 260 km en aller-retour pour bénéficier d’un accès aux soins.

Avec TAP

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Rapatriement de trois Tunisiens détenus au Myanmar

Trois Tunisiens, victimes de détention forcée au Myanmar (ex-Birmanie), ont été évacués à partir de l’aéroport international de Bangkok en Thaïlande. Et ce, grâce à l’intervention du ministère des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, en étroite collaboration avec l’ambassade de Tunisie à Jakarta, en Indonésie.

Les trois Tunisiens ont été transférés vers la Thaïlande via la frontière terrestre avec le Myanmar, avant d’être rapatriés à partir de l’aéroport international de Bangkok. C’est ce qu’indique un communiqué publié, jeudi 17 avril, par le département des Affaires étrangères.

En effet, une fois informés de la situation des Tunisiens détenus, des agents de l’ambassade tunisienne à Jakarta se sont déplacés vers une ville thaïlandaise frontalière du Myanmar. Et ce, afin de rencontrer les autorités locales, les représentants de l’armée, ainsi que des responsables du ministère thaïlandais des Affaires étrangères.

Objectif : assurer le bon déroulement du transfert et l’évacuation des citoyens tunisiens, ajoute le communiqué.

Cette opération s’est déroulée en faveur de l’appui des autorités thaïlandaises et d’une coordination active avec plusieurs missions diplomatiques à Jakarta, ainsi qu’avec les forces armées et de sécurité thaïlandaises.

Le ministère a réaffirmé son engagement à protéger les citoyens tunisiens où qu’ils se trouvent, soulignant que leur sécurité et leur dignité restent une priorité.

Avec TAP

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Les professionnels de la santé refusent d’être le bouc-émissaire d’un système défaillant

Médecins, cadres paramédicaux et pharmaciens du secteur public, ont organisé ce jeudi 17 avril, un sit-in de protestation devant le siège du ministère de la Santé. Et ce, pour dénoncer la dégradation des conditions de travail, qui a conduit plusieurs d’entre eux à assumer des responsabilités pour remédier aux défaillances du système de santé et qui ont été ensuite poursuivis en justice, selon des déclarations concordantes de l’agence TAP.

Observé en réponse à l’appel de la fédération générale de la santé et le syndicat général des médecins, pharmaciens et dentistes hospitalo-universitaires ainsi que le syndicat général des médecins, pharmaciens et dentistes de la santé publique, le sit-in a été soutenu par le Conseil national de l’Ordre des médecins, le Conseil national de l’Ordre des médecins dentistes de Tunisie, le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens et le Conseil national de l’Ordre des ingénieurs.

Dans une déclaration à l’agence TAP, le secrétaire général du syndicat des médecins, pharmaciens et dentistes de la santé publique, Imed Khelifi, a souligné que ce mouvement de protestation n’a pas empêché la poursuite du travail dans les établissements publics de santé.

Il a ajouté que ce mouvement est observé pour dénoncer « l’injustice subie par le personnel de santé ». Faisant référence au jugement émis récemment contre trois professionnels de la santé dans l’affaire des 14 nourrissons décédés à la maternité de l’hôpital la Rabta en 2019.

M. Khelifi a estimé que le jugement n’a pas pris en compte la dégradation des conditions de travail, ni le manque de ressources. Et ce, malgré les alertes adressées aux autorités compétentes à ce sujet depuis 2017 pour assurer des services de qualité conformes aux normes.

Dans ce contexte, il a souligné l’urgence de réformer le système de santé, de mobiliser les ressources nécessaires et de revoir les jugements émis contre les accusés dans cette affaire, en se basant sur le rapport des experts qui les a exonérés.

De son côté, la présidente du Conseil national de l’Ordre des médecins, Rim Ghachem, a déclaré à l’agence TAP que l’organisation de ce sit-in de protestation vise à exprimer la colère de tous les professionnels de la santé dans les secteurs public et privé qui se trouvent aujourd’hui responsables des conséquences des mauvaises conditions de travail.

Avec TAP

 

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Près de 615 MDT d’excédent de la balance commerciale alimentaire

La balance commerciale alimentaire a enregistré, au cours du premier trimestre de l’année 2025, un excédent de 614,8 millions de dinars (MDT); contre un excédent de 1,116 milliard de dinars durant la même période de 2024. C’est e que révèlent les données publiées par l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI).

Le taux de couverture a atteint ainsi 134,7 % à fin mars 2025; contre 161,6 % à fin mars 2024. En termes de valeur, les exportations alimentaires ont enregistré une baisse de 18,4 %; alors que les importations ont baissé de 2,1 %.

La régression observée résulte principalement, d’une part, de la diminution des exportations d’huile d’olive (-23,3 %), de dattes (-18,7 %) et des produits de la pêche (-31,6 %). Et ceci, malgré la baisse des importations des céréales (-18,3 %), de sucre (-33,4 %) et des huiles végétales (-50,6 %), d’autre part.

Les prix à l’exportation ont diminué de 54,5 % pour l’huile d’olive et de 9,6 % pour les produits de la pêche. Tandis qu’ils ont augmenté de 1,3 % pour les dattes et de 30,3 % pour les agrumes, par rapport à la même période de l’année précédente.

Les prix à l’importation des produits céréaliers ont baissé de 18,5 % pour le blé dur et de 3,5 % pour le blé tendre. Tandis qu’ils ont augmenté de 4,7 % pour l’orge et de 7,7 % pour le maïs.

Le prix du sucre a également chuté de 34,9 %. Alors que les prix des huiles végétales ont augmenté de 19 % et ceux du lait et des dérivés de 10,8 %.

Pour rappel, le déficit de la balance commerciale globale du pays au cours du premier trimestre de l’année 2025 a enregistré une hausse de 66,8 % avec (-5 050,5 MDT) à fin mars 2025; contre (-3 027,4 MDT) à fin mars 2024.

Le total des importations est passé de 19 315,3 MDT à fin mars 2024 à 20 375,5 MDT à fin mars 2025. Soit une hausse de 5,5 %. Les deux groupes de produits celui de l’énergie et celui des matières premières et demi produits ont représenté ensemble 50,3 % des importations totales du pays.

Les importations alimentaires ont représenté 8,7 % des importations totales à 10 169,2 MDT. Les exportations alimentaires ont représenté 15,6 % des exportations totales.

Enfin, l’excédent de la balance commerciale alimentaire a participé à baisser le déficit de la balance commerciale globale de 24,7 %.

Avec TAP

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Crédit logement : le CBF clarifie sa position sur les prêts à long terme

Les banques sont engagées dans l’application de l’ensemble des dispositions de l’article 412 ter de la loi n°2024-41 du 2 août 2024. En particulier l’abattement de 50 % des intérêts à taux fixe, dont le taux de satisfaction des demandes éligibles est passé de 93 % au 25 mars 2025 à 95,2 % au 14 avril 2025. C’est ce qu’a indiqué le Conseil Bancaire et Financier (CBF).

Le CBF a réitéré l’engagement des banques à respecter la réglementation en vigueur et les orientations de l’Etat en matière de financement de l’économie, d’une part; et à assurer leur responsabilité sociale pour soutenir les usagers des services bancaires, d’autre part.

Le CBF interviendrait pour accélérer la résolution des réclamations, en sa qualité de représentant des banques et des établissements financiers. De même qu’il rappelle qu’il met à la disposition des clients du secteur bancaire le dispositif de réception des réclamations dont un numéro vert : 80 100 280; ainsi qu’un espace citoyen : httpss://reclamation.cbf.org.tn/

Il a souligné par ailleurs que les banques continuent à booster l’activité économique et à octroyer des crédits d’habitat pour des durées pouvant aller jusqu’à 25 ans dans le cadre des plans d’épargne; et ce, conformément à la réglementation en vigueur.

Lire aussi : ECLAIRAGES – Banques tunisiennes : Le logement ? Trop risqué, Merci Bien !

Par ailleurs, la BCT et le CBF sont actuellement en concertation pour mettre en place des produits financiers en vue de booster l’accès au financement de l’habitat, compte tenu de la dégradation du pouvoir d’achat. En outre, les banques ont lancé de nouveaux instruments de paiement digital, à l’instar des solutions de paiement différé, mises à la disposition de la clientèle depuis octobre 2024.

D’après les statistiques publiées le 14 avril 2025 par le CBF, 89 026 demandes d’abattement des intérêts ont été reçues. 57 686 demandes ont été traitées, 2 904 demandes sont en cours de traitement et 28 436 ont été rejetées pour non-éligibilité.

Avec TAP

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Béja : la récolte s’annonce prometteuse suite aux dernières précipitations

Le commissaire régional de l’agriculture à Béja, Bader Dahri a indiqué que les pluies qui se sont abattues sur la région, aux mois de mars et avril dernier, sont bénéfiques pour les grandes cultures et le couvert végétal.

Il a ajouté, à l’agence TAP, que ces précipitations, qui ont varié entre 54 à 62 mm, avaient un impact positif sur l’amélioration du rendement des cultures dans le gouvernorat de Béja.

Ainsi, « la pluviométrie enregistrée dans la région, de septembre 2024 à avril 2025, augure d’une bonne saison agricole. Et ce, bien que les niveaux records n’aient pas été atteints », a estimé encore la même source.

De son côté, le président de l’Union régionale de l’agriculture, Chokri Djebbi, a souligné que ces quantités de pluie ont permis d’améliorer le rendement des cultures céréalières. De même, il a estimé que la récolte serait bonne et satisfaisante pour cette saison.

A cet égard, notons que la superficie réservée à la céréaliculture dans le gouvernorat de Béja s’élève à 214 mille ha cette saison (2024-2025), dont 155 mille ha de blé.

Enfin, la situation générale des grandes cultures est considérée jusqu’à présent comme étant « bonne (70 %) à moyenne (20 %) ». C’est ce qu’il ressort des estimations du commissariat régional au développement agricole.

Avec TAP

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Profits des banques publiques en hausse, financement des PME en panne

Les banques publiques ont réalisé, en 2024, des bénéfices importants, en dépit de la conjoncture économique difficile. C’est ce qu’il ressort de leurs états financiers publiés récemment sur le portail électronique de la Bourse des Valeurs Mobilières de Tunis (BVMT).

En fait, la Banque Nationale Agricole (BNA) a enregistré un résultat net de 254,5 millions de dinars (MDT), soit une augmentation de 34 % par rapport à 2023.

Pour sa part, la BH Bank a vu son résultat s’élever à 108,5 MDT.

Quant aux bénéfices de la Société Tunisienne de Banque (STB BANK), ils ont atteint 82,5 MDT, mais son produit net bancaire (PNB) et son financement de l’économie ont pourtant baissé. Et ce au vu des crédits et des financements accordés aux opérateurs économiques qui ont baissé de 7,04 % pour s’établir à 9,8 milliards de dinars.

En dépit de ces bénéfices, les banque n’ont pas créé jusqu’à ce jour la ligne de financement des Petites et moyennes entreprises (PME) prévue dans le cadre de l’article 412-III de la nouvelle loi sur les chèques. Ce texte prévoit en effet la création de lignes de financement à court terme d’une durée maximale de deux ans. Celles-ci seront financées par 8 % des bénéfices nets des banques afin de soutenir les PME, les porteurs de petits projets et les particuliers à des conditions avantageuses.

La marche des établissements bancaires sur la table de Carthage

Par ailleurs, le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, mercredi 16 avril, au Palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzeri et la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi.

La réunion a porté sur la marche de certains établissements financiers et la nécessité d’identifier les moyens nécessaires permettant de garantir la réhabilitation et l’entretien d’un nombre d’établissements scolaires et culturels, cite un communiqué de la présidence.

A rappeler que le chef de l’Etat avait discuté, le 8 mars 2025, lors d’une audience accordée à la ministre des Finances, Mechket Slama Khaldi, des équilibres financiers de l’État de manière générale.

Il avait affirmé dans ce cadre que les banques publiques, en particulier, doivent jouer leur rôle national en soutenant les efforts de l’État pour mettre en œuvre sa politique sociale.

Il avait également insisté sur la nécessité de poursuivre la lutte contre les réseaux de corruption, selon le texte du communiqué.

Avec TAP

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Bilan et perspectives de la coopération suisse en Tunisie 2025-2028

La 14ème réunion annuelle du Comité de pilotage du programme de la Coopération suisse en Tunisie s’est tenue le 16 avril 2025. Elle réunissait notamment Lotfi Fradi, Chef du cabinet du ministre de l’Économie et de la Planification, et Josef Renggli, Ambassadeur de Suisse en Tunisie. Cette réunion avait pour objectif de faire le bilan de la coopération bilatérale 2021-2024 et de présenter la nouvelle stratégie pour la période 2025-2028.

Le programme précédent (2021-2024) s’articulait autour de trois axes principaux : développement économique, gouvernance et migration. Plus d’une soixantaine de projets ont été réalisés, générant près de 30 000 emplois. Tout en mobilisant environ 200 millions de dinars tunisiens (TND) sous forme de dons.

Bilan 2021-2024

Quelques résultats marquants incluent :

  • La formation professionnelle : 38 partenariats avec le secteur privé; 34 offres de formation dans 12 secteurs; bénéficiant à 7 000 jeunes avec un taux d’insertion de 75 %.
  • L’efficacité énergétique : audits réalisés dans les bâtiments de 350 communes, bases pour de futurs investissements.
  • Le tourisme durable : création de Destination Management Organisations (DMO). Soit environ 1 000 emplois créés et20 % d’augmentation des visiteurs dans la région du Dahar.
  • Les produits du terroir : 2 000 emplois créés (80 % pour des femmes); 124 nouveaux produits certifiés générant plus de 21 millions de TND.
  • Le développement local : 109 projets socio-économiques; désenclavement de 17 villages; amélioration de l’accès aux services sociaux de base.

Nouveau programme 2025-2028

Par ailleurs, le programme 2025-2028, élaboré en concertation avec les partenaires tunisiens, est mis en œuvre conjointement par trois offices fédéraux suisses : la Direction du développement et de la coopération (DDC); le Secrétariat d’État à l’économie (SECO); et le Secrétariat d’État aux migrations (SEM).

Il vise deux objectifs étroitement liés :

  • La prospérité : promouvoir un développement économique durable et résilient; soutenir les réformes macroéconomiques favorables aux affaires et à la compétitivité des entreprises; tout en intégrant les défis climatiques.
  • La stabilité : renforcer la cohésion sociale et la paix sociale via un développement social inclusif. Et ce, en appuyant la société civile, le dialogue entre secteurs public et privé, le développement territorial et l’accès équitable aux services de base de qualité.

Un budget d’environ 60 millions de francs suisses (environ 210 millions de dinars tunisiens) sous forme de dons est alloué à ce programme quadriennal. Témoignant ainsi de l’engagement fort de la Suisse à accompagner la Tunisie dans ses transformations économiques et sociales.

Au final, cette 14ème réunion illustre une coopération bilatérale solide. Avec un accent particulier sur l’inclusion, la durabilité et la consolidation de la stabilité sociale en Tunisie. 

Avec communiqué

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L’UBCI confirme sa croissance en 2024 avec un résultat net de 54 millions de dinars

L’Union Bancaire pour le Commerce et l’Industrie (UBCI) publie ses résultats financiers pour l’exercice 2024.

Une croissance solide du bilan de l’UBCI

À la clôture de l’exercice 2024, l’UBCI atteint un total bilan de 5 175 millions de dinars, franchissant la barre symbolique des 5 milliards de dinars. Soit une croissance annuelle de 13,7 %, témoignant de la solidité financière de la banque. Les dépôts ont également connu une évolution notable, atteignant 3 778 millions de dinars. A savoir une augmentation de 11,4 %, accompagnée d’une amélioration de la structure des dépôts, qui demeure parmi les meilleures du secteur. Les crédits nets à la clientèle ont progressé de 11,2 %, s’élevant à 3 290 millions de dinars. Surpassant ainsi la performance moyenne des banques cotées.

Une gestion maîtrisée du risque

Dans un environnement économique délicat, l’UBCI poursuit une gestion proactive du risque. Les indicateurs de qualité d’actifs ont été améliorés, avec une réduction du taux de créances non performantes (NPL) à 5 %, et un taux de couverture des créances non performantes maintenu à un niveau robuste de 76,4 %, parmi les meilleurs ratios du secteur. Les ratios de solidité financière de l’UBCI demeurent élevés et conformes aux exigences réglementaires, garantissant ainsi la pérennité de la Banque.

Résilience et rentabilité

Le Produit Net Bancaire a augmenté de 6,1 %, s’établissant à 321 millions de dinars. Les charges opérationnelles ont enregistré une hausse maîtrisée de 8 %. Ce qui a permis à la banque de maintenir un contrôle rigoureux de ses coûts dans une période d’investissements. Le Résultat Net pour l’année atteint 54,1 millions de dinars, en progression de 2,2 %. Illustrant ainsi la capacité de la banque à concilier croissance et gestion optimale des risques.

Convocation à l’Assemblée Générale Ordinaire

Enfin, suite à la réunion de son Conseil d’Administration, l’UBCI convoque ses actionnaires à l’Assemblée Générale Ordinaire (AGO). Laquellese tiendra le 29 avril 2025 à l’hôtel Radisson Blu de Tunis (ex LAICO).

D’après communiqué

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Afrique du Nord et de l’Ouest : la ZLECAf professionnalise les douanes

Du 14 au 16 avril 2025, le Secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), en collaboration avec le ministère du Commerce et du Développement des exportations, la Direction Générale des Douanes en Tunisie, et l’Organisation mondiale des douanes, a organisé à Tunis, sous l’égide du directeur général des douanes tunisiennes, un atelier régional de renforcement des capacités dédié aux mesures de facilitation des échanges pour les Opérateurs économiques agréés (OEA).

Cet atelier marque la première initiative du Secrétariat de la ZLECAf en Tunisie depuis l’adhésion du pays à l’accord de la ZLECAf.

Cet événement a été honoré par la présence de hauts responsables, notamment le directeur général des douanes tunisiennes par intérim, les contrôleurs généraux à la direction générale des douanes, les directeurs des départements centraux des douanes, ainsi qu’une représentation de la Direction de la coopération avec les pays africains et de l’Union africaine et de la Direction générale de la coopération économique et commerciale au sein du ministère du Commerce.

 

L’événement a réuni des représentants des administrations douanières de plus de 12 pays d’Afrique du Nord et de l’Ouest, notamment la Tunisie, la Mauritanie, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Cap-Vert, la Gambie, le Ghana, la Côte d’Ivoire, l’Algérie, l’Égypte, le Maroc, le Nigeria et le Togo, dans le but de renforcer leurs connaissances sur la mise en œuvre du programme OEA dans le cadre de l’accord de la ZLECAf.

Cet atelier fait partie intégrante de la Stratégie continentale de renforcement des capacités douanières mise en œuvre par la Direction de l’administration douanière du Secrétariat de la ZLECAf, en collaboration avec ses partenaires techniques et institutionnels. Il s’inscrit dans une série d’activités régionales visant à accompagner les États parties dans l’application efficace des annexes douanières de l’Accord.

 

Un programme orienté vers la mise en œuvre

Pendant trois jours, les participants ont suivi des sessions techniques interactives autour de thématiques clés telles que :

  • Les critères d’éligibilité au statut OEA dans le contexte de la ZLECAf,
  • Les avantages douaniers associés à ce statut,
  • La procédure de certification et les mécanismes de contrôle,
  • La coopération régionale pour une reconnaissance mutuelle entre États.

L’atelier a également été l’occasion de partager les expériences nationales, de favoriser les échanges entre pairs et de recueillir des recommandations pratiques pour l’adoption et l’harmonisation des programmes OEA dans la région.

Le statut OEA permet d’instaurer une relation de confiance entre les administrations douanières et les entreprises certifiées. C’est un outil de facilitation des échanges, mais aussi de sécurisation des chaînes d’approvisionnement.

En Afrique du Nord et de l’Ouest, de nombreux pays ont déjà entamé des démarches. Cet atelier permet de consolider les acquis, d’identifier les défis communs et de promouvoir des approches régionales cohérentes.

 

Des visites terrain pour illustrer les bonnes pratiques

L’un des moments forts de l’atelier a été la visite de la Direction générale des douanes tunisiennes, où les participants ont pu observer le fonctionnement des procédures simplifiées pour les entreprises certifiées OEA. Une deuxième visite a permis de découvrir les pratiques d’une entreprise tunisienne bénéficiant du statut OEA, illustrant les avantages concrets du dispositif, tels que la réduction des contrôles physiques et documentaires, et un traitement prioritaire au niveau des postes frontaliers.

« Cette visite a permis de visualiser l’impact positif de l’OEA sur la compétitivité des entreprises. Elle montre aussi que la collaboration entre le secteur public et le secteur privé est essentielle pour réussir sa mise en œuvre.

Une dynamique régionale au service de l’intégration continentale

L’OEA est reconnu par l’Organisation mondiale des douanes (OMD) comme un outil stratégique de facilitation des échanges, de gestion des risques et de sécurisation du commerce international. Son intégration dans l’architecture de la ZLECAf est une étape importante vers une gestion plus fluide et coordonnée des flux commerciaux intra-africains.

Grâce à ce type d’ateliers, le Secrétariat de la ZLECAf entend renforcer l’appropriation de l’Accord par les administrations douanières nationales, encourager l’échange d’expériences entre régions, et soutenir les États membres dans le développement de cadres réglementaires alignés aux standards internationaux.

L’atelier de Tunis est le premier d’une série d’activités de renforcement des capacités prioritaires à mettre en œuvre chaque année, une pour chaque région, conformément aux priorités exprimées par les États parties lors de la dernière réunion des directeurs généraux des douanes.

Avec communiqué

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Neila Benzina dans le top 50 des femmes les plus influentes en 2025, selon Forbes France

La Tunisienne Neila Benzina, CEO de Wimbee France, une entreprise spécialisée dans l’intelligence artificielle (IA), figure dans le classement 2025 « 50 Over 50 », lancé par Forbes France en partenariat avec L’Oréal Paris, se distinguant par son engagement en faveur de l’innovation technologique et de l’inclusion.

Neila Benzina place la technologie au service de la transformation des entreprises et au-delà. Selon le rapport de Forbes France, « le leadership visionnaire de Neila Benzina guide les organisations vers une adoption éthique et inclusive de l’IA, redéfinissant les standards de l’innovation ».

Forbes France rappelle que Neila Benzina est cofondatrice de Holberton School Tunisia et de Campusna, qui sont deux initiatives pionnières dédiées à la formation des talents numériques africains, et ancienne CEO de Business Decision MEA. Autrement dit, elle investit dans la formation des talents numériques de demain.

Ces initiatives éducatives ont pour but de combler le fossé technologique entre l’Afrique et le monde occidental, tout en offrant des opportunités d’apprentissage accessibles et de qualité, préparant ainsi une nouvelle génération de leaders technologiques du continent.

En outre, Neila Benzina est engagée pour l’entrepreneuriat féminin, et de ce fait elle préside également French Tech Tunis (FTT) et le réseau Entreprendre Tunisie. Rien que cela !

Il faut noter que Neila Benzina a créé en 2022, avec un groupe de figures du monde de l’entreprise, l’Association de soutien aux startups technologiques en Tunisie (ASSTT), dont l’objectif est de mettre en avant la dynamique existante entre la Tunisie, la France, les pays d’Afrique francophone et le Réseau international de la technologie dans le tissu des startups.

Rappelons par ailleurs qu’elle a récemment été élue au poste de représentant des actionnaires minoritaires au sein du conseil d’administration d’Attijari Bank pour un mandat de trois ans (2024-2026).

Comme son nom l’indique, le classement “50 Over 50“ de Forbes France met en lumière « les 50 femmes influentes, engagées, visionnaires de plus de 50 ans, récompensées pour leur talent, leur impact et leur audace ».

 

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