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LDC (1/4 de finale retour) : sur quelle chaîne regarder Real Madrid vs Arsenal en direct ?

Ce mercredi à 21h00 (heure de Madrid et 20h00 – heure de Tunis), le Real Madrid reçoit Arsenal au stade Santiago Bernabéu pour le quart de finale retour de la Ligue des champions (LDC), dans un match qui s’annonce électrique.

Battus lourdement à l’aller à l’Emirates Stadium le 8 avril (3-0), les hommes de Carlo Ancelotti doivent réaliser un véritable exploit pour se qualifier. Car ce score à l’aller était « anormal ».

Mais taillée pour la Ligue des Champions (avec 15 titres, record absolu), l’équipe du Real est capable de renverser la vapeur et de se qualifier pour les demi-finales. La remontada est possible.

Où regarder Real Madrid-Arsenal ?

La rencontre a lieu ce mercredi 16 avril à 21h00 (heure de Madrid) au Santiago Bernabéu, Madrid. On peut la regarder sur Canal+ Foot (France), Blue Sport 1 (Suisse),  Telefonica (Espagne) et TNT Sports (Angleterre).

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LDC Uefa (1/4 de finale retour) : où regarder Inter vs Bayern ?

Battu sur son terrain à l’Allianz Arena au match aller sur le score de 1-2 il y a une semaine, le Bayern Munich va tenter d’arracher sa qualification au San Siro pour les demi-finales de la Ligue des champions (LDC) devant l’Inter Milan.

Difficile ? Sans doute, mais pas impossible pour les hommes de Vincent Kompany. Certes, le Bayern n’est plus la machine de buts qu’on a connue par le passé. Mais le club possède une attaque capable de faire plier n’importe quelle défense, à l’instar de Harry Kane, Aleksandar Pavlovic ou Kingsley Coman.

Le match Inter Milan vs Bayern Munich aura lieu ce mercredi 16 avril à San Siro à partir de 21h00 (heure de Milan, 20h00 heure tunisienne). Il est à suivre sur Canal+ Foot et sur BeIN Sports.

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Pandémies : accord historique à l’OMS, sans les États-Unis

Il a fallu trois ans de négociations pour que les États membres de l’OMS parviennent à trouver un consensus autour d’un projet d’accord mondial pour prévenir et affronter les prochaines pandémies. Le texte a été salué comme « un tournant multilatéral, malgré des tensions sur le transfert de technologies aux pays du Sud ».

Les 194 pays membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont finalement approuvé, mercredi 15 avril 2025, un accord historique visant à mieux se préparer et lutter contre les futures pandémies.

« Les États membres de l’OMS ont fait un grand pas en avant dans les efforts visant à rendre le monde plus sûr face aux pandémies, en élaborant un projet d’accord qui sera examiné lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé en mai », lit-on dans un communiqué de l’organisme onusien.

Ce qui n’a pas manqué de réjouir le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui, après l’approbation du texte, a déclaré : « Les nations du monde ont écrit l’histoire aujourd’hui à Genève ». Et d’ajouter : « En parvenant à un consensus sur l’Accord sur la pandémie, non seulement elles ont mis en place un accord générationnel pour rendre le monde plus sûr, mais elles ont également démontré que le multilatéralisme est bien vivant, et que dans notre monde divisé, les nations peuvent encore travailler ensemble pour trouver un terrain d’entente et une réponse partagée aux menaces communes ».

Au passage, le chef de l’OMS dira qu’il ne faut pas perdre de vue l’essentiel : « Le coût de l’inaction est bien plus élevé » parce que « le virus est le pire ennemi, il pourrait être pire qu’une guerre ».

L’article 11, objet de frictions

Il faut souligner que les discussions des délégués – en conférence hybride – ont buté essentiellement sur l’article 11 qui concerne le transfert de technologies pour la production de produits de santé liés aux pandémies, en particulier au profit des pays en développement. Le sujet avait été au cœur des nombreux griefs des pays les plus démunis lors de la pandémie de Covid-19, quand ils voyaient les pays riches s’approprier les doses de vaccin et autres tests, comme le rappelle Ouest France.

En effet, la plupart des « pays, où l’industrie pharmaceutique pèse lourd dans l’économie, sont opposés à l’idée d’“obligation de transfert“ et insistent sur son caractère volontaire. Un consensus a finalement émergé autour du principe de transfert de technologies convenu d’un commun accord ».

Autre avancée de l’accord, celui-ci prévoit la création d’un « système d’accès aux agents pathogènes et de partage des avantages » (en anglais PABS – pour pathogen access and benefit-sharing), à savoir les produits de santé découlant de leur utilisation, comme des vaccins ou des tests par exemple. Il vise aussi à élargir l’accès à ces produits en établissant un réseau mondial de chaîne d’approvisionnement et de logistique.

Voilà qui devrait intéresser la Tunisie qui compte une industrie pharmaceutique assez développée.

Lire aussi: La vaccination contre la rage accessible via la plateforme EVAX

De son côté, la coprésidente de l’organe de négociation et ambassadrice de France pour la santé mondiale, Anne-Claire Amprou, a salué «… un accord historique pour la sécurité sanitaire, l’équité et la solidarité internationale ».

Les États-Unis aux abonnés absents

Comme tout le monde le sait, le nouveau président des États-Unis (depuis le 20 janvier dernier), Donald Trump, a déjà signé un décret de sortie des États-Unis de l’OMS. Donc, la dernière partie « des négociations s’est déroulée dans un contexte de crise du multilatéralisme et du système de santé mondial, provoqué par les coupes drastiques dans l’aide internationale américaine décidée par le président Donald Trump, alors que les États-Unis étaient de très loin le principal donateur humanitaire ».

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2e édition du Hackathon El Mazraa-ESIAT, du 18 au 20 avril 2025

Après la réussite de la première édition, la société El Mazraa et l’École supérieure des industries alimentaires de Tunis (ESIAT) organisent, du 18 ou 20 avril 2025, la deuxième édition du Hackathon avicole sur le thème : « Advanced Technologies for Sustainable Poultry Meat Production ».

Objectif : donner de belles opportunités aux étudiants et aux jeunes diplômés de différentes institutions et disciplines d’exercer leurs talents et laisser libre cours à leurs esprits créatifs.

Les travaux seront axés sur le domaine avicole et basés sur la technologie alimentaire et le génie des procédés alimentaires, en synergie avec les aspects numérique, artistique et marketing.

Dans un cadre compétitif, offrant de nouveaux challenges et responsabilités, des groupes de travail seront formés pour tester des idées et/ou répondre à des problématiques en rapport avec le thème principal de ce hackathon.

Être réaliste mais aussi créatif, déployer des performances individuelles tout en respectant le travail d’équipe sont à faire valoir lors de ce challenge.

Sous forme de concours chronométré, trois équipes seront primées par un jury d’experts, à l’issue du temps imparti et recevront les récompenses d’encouragement allouées à ce hackathon, soit 2 000 DT pour le 1er prix, 1 250 DT pour le 2e prix et 750 DT pour le 3e prix.

Voici le déroulé du programme :

– 18 et 19 avril 2025 à El Mazraa : déroulement de l’événement ;

– 20 avril 2025 à l’ESIAT : pitching et clôture de l’événement.

Cette action s’inscrit dans le cadre de la politique de responsabilité sociétale d’El Mazraa et consolide son statut d’entreprise citoyenne ouverte sur son environnement.

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LDC Uefa (1/4 de finale retour): où regarder Dortmund – Barça?

Borussia Dortmund est en face à une montagne pour remonter un handicap de 4 buts encaissés lors du match aller contre l’ogre barcelonais il y a une semaine au Camp Nou. Autrement dit, mission quasi impossible.

Le match est à suivre sur les antennes de Canal+, BeIN Sports à partir de 21 heures (et 20H heure tunisienne) ce 15 avril 2025.

 

 

Diffusion TV – Borussia Dortmund vs FC Barcelone

🗓 Date : Mardi 15 avril

🕘 Heure : 21h (heure française)

🏟 Stade : Signal Iduna Park, Dortmund

📺 Chaîne TV : CANAL+ SPORT

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LDC Uefa (1/4 de finale retour): qui diffusera Villa-PSG?

Le Paris Saint-Germain, avec deux buts d’avance, se déplace sur le terrain d’Aston Villa, ce mardi 15 avril 2025, pour le match retour des quarts de finale de la Ligue des champions UEFA.

La rencontre sera diffusée sur les chaîne Canal+ Foot et sur BeIN Sports à partir de 20h (heure tunisienne).

Diffusion et informations pratiques :

🗓 Date : Mardi 15 avril 2025

🕘 Heure : 21h00

🏟 Lieu : Villa Park, Birmingham

📺 Diffusion : Canal+ Foot

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28 des 57 pays concernés par les droits de douane de Trump représentent chacun moins de 0,1 % des déficits américains

Soit Trump et son administration sont aveugles, soit ils s’en foutent éperdument des conséquences de leurs mesures sur le reste du monde. Ou bien les deux à la fois, au point de bouleverser les règles de l’économie mondiale dont l’Amérique est l’un des fondateurs.

La Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (CNUCED) s’inquiète aujourd’hui des effets négatifs des hausses des droits de douane annoncées par Donald Trump sur certaines économies. Mais le comble dans tout cela, explique l’organisme onusien, c’est que certains pays frappés par ces taxes ont un effet négligeable sur le déficit commercial américain. D’où l’appel de la CNUCED dans un nouveau rapport, publié lundi 14 avril, demandant que « les économies les plus pauvres et les plus vulnérables soient exemptées de droits de douane ».

Pour commencer, la CNUCED rappelle que « le système commercial mondial, jusqu’ici “fondé sur des règles“, a stimulé les échanges internationaux et contribué à une baisse progressive des droits de douane, une taxe que les pays prélèvent sur les marchandises importées ».

Cette demande fait suite à l’annonce récente par l’administration américaine de mesures tarifaires à l’encontre de 57 pays. Et ce, dans le but de rectifier le déficit commercial des États-Unis avec ses partenaires internationaux. Face au tollé provoqué par ces mesures, la Maison Blanche a fait volte-face, la semaine dernière, en annonçant un moratoire de 90 jours sur les hausses de droits de douanes, qui allaient de 11 % pour le Cameroun à 50 % pour le Lesotho par exemple.

A noter que ce revirement ne concerne cependant pas les produits chinois, toujours sous le coup des mesures tarifaires de Washington. Pékin a répliqué en augmentant ses droits de douane contre les exportations américaines, dans ce qui s’apparente de plus en plus à une guerre commerciale.

Dans son rapport, la CNUCED dit constater que, dans certains cas, l’imposition des droits de douane – que l’administration américaine qualifie de « réciproques » -, risque de dévaster les économies les plus pauvres et les plus vulnérables, sans réduire de manière significative les déficits commerciaux des États-Unis ni augmenter les recettes fiscales du pays.

La CNUCED note dans son rapport: « De l’Angola au Vanuatu, les 57 partenaires commerciaux concernés contribuent en effet de manière minime aux déficits commerciaux des États-Unis.

Parmi eux, 11 sont considérés comme faisant partie des pays les moins avancés et 28 représentent chacun moins de 0,1 % des déficits. Et pour 36 des 57 partenaires commerciaux, les droits de douane réciproques généreraient moins de 1 % des recettes tarifaires actuelles des États-Unis.

Toujours selon la CNUCED, plusieurs pays qui sont confrontés à des droits de douane réciproques potentiels exportent des produits agricoles que les États-Unis ne produisent pas et pour lesquels il existe peu de substituts. C’est le cas entre autres de la vanille de Madagascar ou du cacao de Côte d’Ivoire et du Ghana.

« En 2024, les États-Unis ont importé de la vanille de Madagascar pour une valeur totale de 150 millions de dollars. Les importations de cacao de Côte d’Ivoire ont atteint près de 800 millions de dollars. Tandis que les celles provenant du Ghana se sont élevées à 200 millions de dollars », ajoute la CNUCED.

Au final, l’augmentation des droits de douane sur ces produits, malgré les possibilités d’augmenter les recettes, risque d’entraîner une hausse des prix pour les consommateurs américains.

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Le Japon va renforcer le yen pour stimuler la compétitivité de l’industrie

Le Japon doit renforcer le yen pour stimuler la compétitivité de l’industrie nationale. Car la faiblesse de la monnaie a augmenté le coût de la vie pour les ménages japonais. C’est ce qu’a déclaré, dimanche 13 avril 2025, le principal planificateur politique du parti au pouvoir.

Avant le début des négociations commerciales avec les États-Unis, Itsunori Onodera, président du Conseil politique du Parti libéral-démocrate, a également déclaré que le Japon ne devrait pas procéder à des ventes massives de ses avoirs en titres du Trésor américain. Lesquels représentent le montant le plus élevé de tous les pays hors des États-Unis, en représailles aux tarifs douaniers imposés par le président Donald Trump.

« En tant qu’allié des États-Unis, le gouvernement ne devrait pas envisager d’utiliser délibérément les titres qu’il détient contre les États-Unis », a déclaré Onodera sur la chaîne publique NHK. Tout en rejetant la suggestion d’un député de l’opposition selon laquelle Tokyo utiliserait ses vastes avoirs en dette publique américaine comme monnaie d’échange dans les négociations commerciales bilatérales.

En affirmant que la faiblesse du yen est responsable de l’accélération de l’inflation, M. Onodera a envoyé le message que le gouvernement japonais considère la tendance à la baisse du yen, plutôt que sa récente reprise, comme le plus gros problème pour l’économie.

« La faiblesse du yen est l’un des facteurs qui ont poussé les prix à la hausse », a-t-il déclaré. « Si le yen se renforce, les entreprises japonaises se renforceront également ».

Par ailleurs, les négociations commerciales entre les États-Unis et le Japon débutent cette semaine. Et elles devraient inclure la question épineuse de la politique monétaire. Certains responsables affirmant que Washington demandera à Tokyo de renforcer le yen.

La lenteur avec laquelle la Banque du Japon relève ses taux d’intérêt à partir de niveaux extrêmement bas pourrait également être une cible pour les négociateurs américains, ont indiqué des sources à Reuters.

La négociatrice commerciale de Tokyo et ministre du Soutien économique, Rosie Akazawa, rencontrera jeudi 17 avril le secrétaire américain au Trésor, Chuck Bessant.

Le Japon a toujours essayé d’empêcher une trop forte appréciation de sa monnaie, car un yen fort nuirait à son économie dépendante des exportations. Mais ces dernières années, alors que la Banque du Japon a poursuivi sa politique monétaire ultra-accommodante et que la Réserve fédérale a augmenté les taux d’intérêt américains, le yen est tombé à son plus bas niveau depuis trois décennies.

Ainsi, Tokyo est intervenu pour augmenter le taux de change du yen en 2022 et à nouveau l’année dernière. Et ce, lorsque le taux de change du dollar était passé à près de 160 yens. La monnaie japonaise a récemment progressé dans un contexte de forte baisse du dollar, qui est tombé à 142,895 yens vendredi, son plus bas niveau depuis septembre dernier.

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Gitex Africa 2025 : la tech africaine se donne rendez-vous à Marrakech

Le Gitex Africa revient pour une 3ème édition dans la ville marocaine de Marrakech; et ce, du 14 au 16 avril. L’occasion pour tout un continent de montrer son potentiel en matière d’innovation, comme le rapporte le site maddyness.com.

Naguère décrite comme le « continent de demain » par moult observateurs et autres spécialistes, l’Afrique est désormais en conversion de ce “contient de demain“ en « continent d’aujourd’hui et du futur».

On doit cette concrétisation à l’évolution technologique, dans ses différents aspects. Ainsi, « ce qui était formulé comme un vœu il y a encore quelques années, commence à se concrétiser en une ambition bel et bien réelle grâce à la vitalité croissante de l’écosystème tech en Afrique », écrit maddyness.com.

En tout cas, pour relever les nombreux défis qui s’imposent aux pays africains, il n’y a pas d’autres solutions qu’en se servant et développant les nouvelles technologies considérées comme « un levier à la force de frappe colossale afin de faire entrer le continent dans une nouvelle dimension ».

C’est du reste dans cette optique qu’ont vu le jour de nombreuses startups dans des domaines clés, entre autres l’e-commerce, l’inclusion financière, la souveraineté agroalimentaire ou encore la santé; mais aussi une chaîne de financement qui se met en ordre de bataille. C’est ce qui a permis à l’écosystème tech africain de se structurer et aborder désormais l’avenir avec optimisme.

Preuve de l’importance de cette chaîne de financement, de 2013 à 2023, pas moins de 20 milliards de dollars ont été investis sur le marché du capital-risque africain, dont 68 % rien que sur les trois dernières années de cette décennie d’investissements, nous apprend-on.

Maroc, un hub d’ouverture pour l’Afrique

Au vu donc des défis éminemment colossaux qui se dressent devant eux, les pays du continent tentent d’accélérer le développement de la tech africaine. Et des événements comme le Gitex Africa ont vu le jour dans l’objectif de « faire rayonner l’écosystème continental à l’échelle mondiale ».

En effet, « lancée en 2023, cette déclinaison nord-africaine du méga-salon dubaïote a vocation à faire du Maroc un épicentre africain de l’innovation ». D’ailleurs, la directrice du développement Export chez Bpifrance, Marie-Albane Prieur, à l’occasion d’un petit-déjeuner organisé par Frenchfounders sur les opportunités qui existent en Afrique pour les entrepreneurs français, affirmait que « le Maroc est un hub d’ouverture pour l’ensemble de l’Afrique ».

Cependant, attention à l’excès d’orgueil, met en garde Christian Byron, Head of Business Operations Markets Afrique, Moyen-Orient et Amérique latine chez Unilever, qui appelle à « arrêter de penser que l’Europe va sauver l’Afrique. Les Chinois et les Sud-Américains sont là », lors de ce même rendez-vous du réseau business francophone, rapporte la même source.

Marie-Albane Prieur abonde dans le même sens : « Il y a un risque d’arrogance à croire qu’on nous attend alors qu’on ne nous attend absolument pas. On peut aussi citer la Turquie et le Royaume-Uni qui sont présents. Il y a des opportunités, mais il faut être conscient et préparé. Il ne faut pas croire que c’est facile juste parce qu’on a la même langue. Et puis il faut avoir en tête que toutes les voies commerciales sont en train de se redessiner dans le contexte actuel ».

Rayonner au-delà du Maroc

De son côté, le Royaume chérifien compte bien capitaliser sur le Gitex Africa pour rayonner au-delà de ses frontières nationales et continentales. Pour ce faire, il mise entre autres sur l’intelligence artificielle, ce qui explique du reste le figure parmi les fondateurs de «Curent AI» – une coalition internationale qui vise à mobiliser 2,5 milliards de dollars sur cinq ans pour financer des projets d’intérêt général dans l’IA.

De ce fait, l’IA sera mangée à toutes les sauces lors du Gitex Africa 2025 de Marrakech. Selon les organisateurs dudit Salon, « 40 % des entreprises présentes proposent des solutions liées à l’IA ».

Et côté visiteurs, cette 3ème édition du Gitex Africa dans la ville ocre s’attend à 45 000 visiteurs venant de 130 pays – ils étaient 32 000 lors de la première édition. En outre, quelque 350 investisseurs seront de la partie, dont 50 % sont des acteurs internationaux et un quart d’entre eux qui vont découvrir le Maroc pour la première fois.

On citre entre autres Ben Marrel (co-fondateur et CEO de Breega). C’est un fonds français qui a lancé en 2024 un véhicule d’investissement de 74 millions d’euros en vue de soutenir des startups africaines en pré-amorçage et en amorçage. « Les principaux écosystèmes visés sont : le Nigeria, l’Égypte, l’Afrique du Sud et le Kenya, mais aussi des pays d’Afrique francophone comme le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Cameroun et le Maroc bien entendu ».

Partech, un autre fonds français, avait dégainé lui aussi, dès 2018, une cagnotte de 125 millions d’euros, avant d’en mettre un autre sur orbite de 245 millions en 2023.

Outre des fonds, d’autres pépites et jeunes pousses françaises seront présentes à Marrakech, parmi lesquelles « OVHcloud qui aura sûrement à cœur d’élargir ses parts de marché en dehors de l’Europe et de l’Amérique du Nord ».

Gitex Africa Nigeria?

Plusieurs startups marocaines seront également de la partie lors de ce Gitex Africa.

Autre annonce importante, et ce n’est pas une bonne nouvelle pour le Royaume : une autre déclinaison du Gitex verra le jour en septembre prochain au Nigeria. « Une manière de créer de l’émulation d’un bout à l’autre du continent africain ».

Malheureusement, aucune information ne circule quant à la présence de startups tunisiennes au Gitex Africa 2025 à Marrakech.

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Un GPS trompeur ! 

Même BMW arrive parfois à être « non performante » par son GPS. On vous explique tout.

Ce couple se souviendra très longtemps de cette journée du vendredi 11 avril 2025. Le site radiolac.ch raconte une histoire insolite à propos d’un GPS défectueux qui fait froid dans le dos, mais, heureusement, qui s’est bien terminée.
« Un couple miraculé après avoir traversé un pont en construction à cause d’une défectuosité. Leur BMW a fait un vol plané avant de retomber indemne ».
L’épouse, une certaine Carole, en a profité « pour partager ses propres mésaventures avec les  anomalies, soulignant l’importance de rester vigilant et de ne pas suivre aveuglément les indications technologiques ».
Moralité : même BMW peut embarquer des outils défectueux. Alors, la confiance n’exclut pas le contrôle, nous conseille une sagesse française.

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Droits de douane américains : nouvelle (petite) reculade de Trump face à la Chine

Les smartphones et les ordinateurs fabriqués en Chine et importés aux Etats-Unis sont exemptés de la salve des droits de douane américains. En a ainsi décidé, encore une fois, le chef de la Maison Blanche. Mais tout le reste sera taxé un taux de droits de douane à hauteur de 145%. Sacré Trump!

« Les Américains continuent à mettre de l’eau dans leur vin. En pleine guerre commerciale avec la Chine, écrivent nos confrères de France TV Info, les Etats-Unis ont décidé d’exempter les smartphones et les ordinateurs des récentes surtaxes douanières imposées par Donald Trump… ».

Ces exemptions s’appliquent notamment à des produits électroniques importés aux Etats-Unis depuis la Chine, à laquelle Donald Trump a infligé des droits de douane de 145%, ajoute la même source. Les semi-conducteurs sont eux concernés par une exemption de la surtaxe de 10% appliquée depuis le 5 avril à la quasi-totalité des produits importés aux Etats-Unis. « Pétrole, gaz, cuivre, or, argent, platine, palladium, bois de construction, produits pharmaceutiques et minéraux introuvables sur le sol américain sont également exemptés. L’acier, l’aluminium et les voitures importés ne sont pas non plus concernés, mais ils sont déjà visés par un taux de 25% de taxes douanières ».

A rappeler que Pékin a annoncé, vendredi 11 avril, une mesure de rétorsion en portant à 125% de droits de douane sur l’ensemble des produits américains entrant dans son territoire, une mesure prenant effet samedi.

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Top 5 des pays les plus attractifs au monde en 2025, selon le baromètre Kearney

Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, Japon et l’Allemagne. Voilà le Top 5 pays les plus attractifs à l’échelle mondiale en 2025, selon le 7ème baromètre du cabinet international de conseil en stratégie « Kearney ».

Premier enseignement de ce classement : le bond du Japon, qui passe du 7ème au 4ème rang. Deuxième fait saillant : la rétrogradation de la Chine de la 3ème à la 6ème place.

Pour sa part, la France perd une place, passant de la 6ème place (qu’elle occupait depuis 3 ans successivement) à la 7ème.

Dans le monde arabe, trois pays sont classés dans le Top 15 mondial en termes d’attractivité en d’investissements directs étrangers. Il s’agit des Emirats arabes unis – qui occupe la 9ème position échelle mondiale -, et l’Arabie saoudite, classée 13ème.

Le baromètre Kearney montre également que les marchés développés dominent largement le classement, occupant 19 des 25 premières places. Comprendre que « les investisseurs privilégient la stabilité dans un environnement mondial marqué par la volatilité ».

Concernant les marchés émergents, le baromètre Kearney place la Chine en 1ère position, suivie des Émirats arabes unis, de l’Arabie saoudite, du Brésil, de l’Inde et de l’Egypte.

A souligner que le baromètre « Kearney », qui se base sur les perceptions de dirigeants de grandes entreprises mondiales, évalue les 25 pays les plus attractifs à l’échelle mondiale, économies développées et émergentes confondues, et ce selon leur capacité à attirer les flux des IDE.

A cet effet, les facteurs qui comptent le plus dans les décisions des investisseurs sont l’efficacité des systèmes juridiques et réglementaires, la performance économique nationale, les capacités technologiques et d’innovation, la facilité de transfert des capitaux, la fiscalité, ainsi que la qualité des infrastructures.

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Beït al-Hikma : À la rencontre des écrivains siciliens de Tunisie

Un colloque international intitulé « Écrivains siciliens de Tunisie d’expression française » se tiendra le mardi 22 avril 2025 au palais de l’Académie Tunisienne des Sciences, des Lettres et des Arts, Beït al-Hikma, à Carthage.

Ce colloque sera consacré à l’étude des œuvres d’auteurs tunisiens d’origine sicilienne. Les écrivains siciliens, après l’indépendance de la Tunisie, ont poursuivi leur parcours en France ou en Italie, et ont en grande partie écrit en langue française, indique l’Institut culturel italien de Tunis dans sa newsletter du samedi 12 avril.

Dans le cadre de ce colloque prévu toute la journée, la salle de l’Agora La Marsa abritera, à 19h00, une projection exceptionnelle du film sorti en 2024 « La Bocca dell’Anima » de Guiseppe Carleo.

Ce long-métrage de fiction (109′), écrit et réalisé par Guiseppe Carleo, est inspiré d’une histoire vraie dans la Sicile rurale de l’après-guerre. Il sera présenté en version originale sous-titrée en français.

La séance se déroulera en présence du réalisateur Giuseppe Carleo et de l’acteur principal Maziar Firouzi, suivie d’un débat modéré par Mariangela Intorre.

Cet évènement sera organisé par en collaboration entre la Chaire Sicile pour le Dialogue des Cultures et Civilisations de l’Université de La Manouba, l’Académie Beït al-Hikma, l’ICC de Tunis, la section culturelle à l’ambassade d’Italie et l’ambassade de France en Tunisie, L’alliance française de Tunis et la cimenterie Cat Colacem.

L’ouverture des travaux du colloque aura lieu en présence du président de l’Académie Beit al Hikma, de l’ambassadrice de France, du directeur de l’IIC de Tunis et du président de l’Université de la Manouba.

Des allocutions seront prononcées par les auteurs et Pr. à l’Université de la Manouba, Kamel Gaha, Pr. émérite, membre de l’Académie Beit al Hikma, et Alfonso Campisi, Pr. en Philologie Romane et Italienne et président de la Chaire de Langue et Culture Siciliennes.

Né à Trapani en Italie, Campisi est un philologue et méditerranéiste, spécialiste de langue et de culture siciliennes, qui s’intéresse à la Sicile, à la Méditerranée, au Maghreb et notamment à la Tunisie et au dialogue entre cultures et civilisations.

Trois sessions et des interventions dans le cadre des Chaires Alfonso Campisi, Cyrine ben Amor et Mariem Douib à l’Université de la Manouba sont au programme du colloque.

La première séance sera consacrée aux thématiques suivantes : « La francophonie à l’épreuve de la littérature pluriculturelle au Maghreb » (Falviano pisanelli), « Palais Disca : une saga captivante sur l’émigration sicilienne en Tunisie (Jean Louis Amiel) et « De Tunisie en France : itinéraire d’une famille sicilienne » (jean Bevinetto).

« Le parfum envoûtant du jasmin » (Flavian Errera), « « les editions arabesques et les Siciliens de Tunisie » (Moncef Chebbi), « scalesi : les soliloques tératologiques ? » (Manoubia ben Ghedahem) et « Terres promises. De Flavignana à Tunis » (Alfonso Campisi) sont au cœur de la deuxième séance.

La troisième séance prévue l’après-midi, prévoit des communications sur : « 100 ans en Tunisie : un passé récomposé » (Marie Giaramidaro), « migrations italiennes en Tunisie : histoire des Montelatici au début du XIXème siècle » (Rosamaria Maggio), « Rayan ben Abdallah, : un inspecteur en Tunisie, entre fiction et réalité » (Giorgia Gritti) et « Migrance et insularité dans les écrits d’Alfonso Campisi » (Bassem Aloui).

L’IIC présente un colloque qui offrira une plateforme d’échange sur les thématiques de la double appartenance et du lien culturel entre les deux rives de la Méditerranée. Les auteurs invités y présenteront leurs publications et participeront à des discussions enrichissantes autour de leurs expériences littéraires et identitaires.

Avec TAP

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L’APII dévoile les résultats d’une étude sur les secteurs économiques prometteurs en Tunisie

L’Agence de promotion de l’industrie et de l’innovation (APII) dévoilera, mardi 15 avril à Tunis, les résultats d’une étude identifiant les secteurs économiques prometteurs et les opportunités de projets pour la Tunisie, dans le cadre de la stratégie industrielle et d’innovation à l’horizon 2035.

Organisée sous l’égide du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, en collaboration avec l’Agence de coopération allemande (GIZ), cette rencontre vise à diversifier l’économie nationale, renforcer la compétitivité et identifier des leviers de développement à court et moyen terme.

Les participants discuteront des secteurs clés et des opportunités de projets susceptibles de relancer l’économie tunisienne.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du programme d’accompagnement des entreprises locales pour stimuler l’innovation et explorer de nouveaux créneaux de croissance.

Avec TAP

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Attention au rat affamé !

Notre titre n’est pas pour faire joli, ou faire rire, mais reflète un fait avéré. Lisez la suite, et vous vous rendrez compte de quoi il s’agit.

Selon un site web Actu Normandie/Caen, le 9 avril dernier, les abonnés à la fibre situés au niveau du port de plaisance de Caen dans le Calvados, ont été, pendant plusieurs heures, brutalement privés de connexion… internet bien sûr.

Mais qu’est-ce qui a causé cette panne ? Selon notre source, il ne s’agit pas d’une panne classique ni d’une opération de maintenance qui a causé l’interruption. Un sabotage peut-être russe ? Non. Alors quoi ? « Ce sont des rats qui ont endommagé les câbles de fibre optique ». Avec des dégâts assez importants.

L’opérateur Orange – ah, ça vous alerte – en charge du réseau au niveau du port de plaisance de Caen apporte des éléments de réponse. « Les rongeurs auraient été attirés par les gaines des câbles, recouvertes d’un matériau contenant de l’amidon, un véritable festin pour ces petits mammifères ». Orange ajoute même que ce phénomène n’est pas nouveau et que les rongeurs s’attaquent souvent aux câbles des télécommunications.

Alors, pour nous Tunisiens, prompts à imaginer des scénarios de films de science-fiction sortis d’Hollywood, si d’aventure cela nous arrivait, il ne faudrait pas s’étonner.

Revenons à la panne internet de Caen pour dire que celle-ci, même si elle n’a été que “temporaire“, elle aurait affecté l’activité de plusieurs professionnels et riverains. « Le service a pu être rétabli dans un délai de quatre heures, mais l’incident souligne une fragilité persistante des infrastructures urbaines face à la faune souterraine ».

On apprend également, en vue de rassurer ses abonnés, que l’opérateur a engagé des opérations d’inspection pour «… évaluer les zones sensibles et envisager des protections supplémentaires. Mais les opérateurs comme les usagers le savent : ce genre d’incident pourrait bien se reproduire ».

À bon entendeur, salut !

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L’artisanat tunisien vers un nouveau label de haute qualité

Dans une interview accordée au site spécialisé tourismag.com, Leila Msellati, directrice générale de l’ONAT, annonce le lancement, prochainement, d’un label national dénommé « Art and Craft from Tunisia ». Avec l’objectif de «… faire rayonner le savoir-faire tunisien au-delà des frontières ».

La patronne de l’ONAT (Office national de l’artisanat tunisien), Leila Msellati, estime qu’il est important de structurer l’offre artisanale autour de critères exigeants. Et d’expliquer : « Nous avons déjà instauré un système de certification et de labellisation, notamment pour des produits emblématiques comme le tapis estampé. Il s’agit désormais d’aller plus loin ».

Mme Msellati poursuit : « Le nouveau label viendra encadrer et valoriser les produits artisanaux selon un cahier des charges rigoureux, garantissant non seulement leur qualité, mais également leur origine authentiquement tunisienne. Une démarche qui s’inscrit dans la continuité d’une tradition ancrée, tout en répondant aux attentes des marchés internationaux en quête de traçabilité et d’excellence ».

Pour montrer le sérieux qui encadre cette initiative, la DG de l’ONTT affirme que le label sera incessamment publié dans le JORT (Journal officiel de la République tunisienne), ce qui constituera une « étape décisive vers une reconnaissance institutionnelle de cette démarche qualité ».

Mais Mme Msellati tient également à ajouter que « ce projet ne se limite pas à une simple distinction symbolique. Il s’agit d’un véritable outil de développement économique pour les artisans tunisiens », selon tourismag.com.

C’est donc une nouvelle vitrine pour les créateurs artisanaux qui allie héritage, innovation et fierté nationale, visant «… un pas de plus vers un artisanat structuré, visible et surtout durable ».

Dans la suite de l’interview, Leila Msellati apporte d’autres précisions sur cette initiative.

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LDC d’Europe (1/4 de finale aller): Dortmund contre FC Barça

Ce mercredi 9 avril 2025, le club allemand de Borussia Dortmund, finaliste de la dernière édition, va croiser les fers avec les Catalans du FC Barcelone, en match aller des quarts de finale de la Ligue des Champions UEFA 2024/2025.

Prévue à 21 heures (heure d’Europe), la rencontre sera retransmise sur les antennes de RMC, Canal+ Foot et BeIN Sports.

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Des viandes rouges « made in Italia » produites en Algérie

Fabrizio Saggio, conseiller diplomatique de la présidente du Conseil des ministres italien, Giorgia Meloni, chargé du Plan « Mattei pour l’Afrique« , était en visite de travail, mardi 8 avril, à Alger.

A cette occasion, il a notamment rencontre le ministre algérien de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Youcef Cherfa, pour examiner « les voies et moyens d’élargir le projet agricole intégré algéro-italien BF El Djazaïr dans la wilaya de Timimoun pour inclure la production de viandes rouges dans le Sud », rapporte aps.dz, citant un communiqué du ministère de l’Agriculture.

Etaient présents lors de cette rencontre, l’ambassadeur d’Italie à Alger, Alberto Cutillo, et des cadres des ministères des Affaires étrangères, de l’Agriculture et de l’Enseignement supérieur (du Conseil national de la recherche scientifique et des technologies – CNRST).

BF El Djazaïr en force

Le communiqué précise que « cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations de coopération et de partenariat entre l’Algérie et l’Italie, notamment dans le domaine agricole ».

Dans ce cadre, Algériens et Italiens ont évalué l’état d’avancement du projet intégré de production de céréales, de légumineuses sèches et de pâtes alimentaires dans la wilaya de Timimoun au sud algérien. A noter que ledit projet, qui s’étale sur une superficie de 36 000 hectares, est réalisé par la société algéro-italienne « BF El Djazaïr« .

Le communiqué rappelle que ce projet a été lancé durant la saison agricole 2024-2025, avec la culture de blé dur et de légumineuses, et ce dans le cadre de la signature de l’accord-cadre avec le groupe italien « Bonifiche Ferraresi BF » en juillet 2024.

Production de viandes rouges

La rencontre a permis aux deux parties de discuter de la possibilité d’étendre ce projet pour inclure l’activité de production de viandes rouges au Sud, à la demande du partenaire italien BF, ainsi que de l’état d’avancement du projet de réalisation d’un centre régional de formation, de recherche et d’innovation agricole « Enrico Mattei » dans la wilaya de Sidi Bel Abbès.

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Tunisie-Algérie : Ahmed Attaf en visite officielle à Tunis

A l’invitation du ministre des Affaires étrangères, de l’Immigration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, le ministre algérien des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, effectue une visite de travail en Tunisie, les 9 et 10 avril 2025. Cette visite s’inscrit dans une dynamique de concertation et de coordination régulière entre les deux pays.

Au cours de cette visite, Attaf aura des entretiens avec son homologue tunisien, visant à renforcer la coopération bilatérale et à en élargir les horizons.

Il s’agit, en d’autres termes, de préparer les prochaines échéances communes et d’explorer de nouvelles opportunités de collaboration dans des domaines clés, au rang desquels la coopération économique, culturelle et diplomatique

En outre, la visite du chef de la diplomatie algérienne visite revêt également une grande importance pour aborder plusieurs questions régionales et internationales. On discutera notamment de sécurité et de stabilité dans la région du Maghreb.

Nafti et Attaf se pencheront également sur les défis actuels auxquels sont confrontés la Tunisie et l’Algérie, et des moyens de coordonner leurs efforts pour y faire face.

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