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Assurances Hayett : un taux de rendement de 6,8 % pour ses clients en 2024

Assurances Hayett affiche un rendement en hausse pour ses clients en 2024. Afin de valoriser l’épargne de ses clients, Assurances Hayett annonce, en début d’année, le taux de participation aux bénéfices distribué à ses assurés au titre de l’année précédente.

La compagnie poursuit sa politique de revalorisation de la rémunération de ses produits phares et offre, pour 2024, un taux de 6,8 %, en hausse de 0,2 point par rapport à 2023.

Pour 2025, Assurances Hayett garantit à ses clients un taux de rendement minimum de 5,5 %, an de préserver leur pouvoir d’achat.

Pour plus d’informations sur les produits et services, veuillez visiter le site web :
https://www.hayett.tn/hayett-assurance/notre-engagement

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Textile : La Tunisie, 9e fournisseur de l’UE et leader en Afrique du Nord

La Tunisie occupe la neuvième place parmi les fournisseurs d’habillement de l’Union européenne(UE). Le secteur du textile et de l’habillement (TH) représente, ainsi, 16% des exportations industrielles nationales, avec une valeur d’exportation estimée à environ 9 000 millions de dinars (MD), à fin 2024, atteignant, un taux de couverture de 127 %, a indiqué la ministre de l’Industrie, des mines et de l’énergie, Fatma Thabet Chiboub.

Intervenant, mardi, lors des travaux du « Sommet tuniso-européen du textile » organisés, au gouvernorat de Monastir, Thabet a ajouté que le secteur du textile offre 29 % d’emplois dans le secteur industriel, avec plus de 150 mille postes et regroupe 1400 entreprises industrielles, soit 31 % du total des entreprises industrielles, a fait savoir le département de l’Industrie.

La ministre de l’Industrie a souligné, à cette occasion, l’importance de cet événement, qui contribuera à renforcer davantage le partenariat euro-méditerranéen en vue de garantir une industrie textile durable, innovante et écologiquement responsable.

Elle a pris connaissance des composantes du programme mondial sur les textiles et l’habillement (GTEX/MENATEX) mis en œuvre par le Centre du commerce international(ITC) et financé par le Secrétariat d’Etat Suisse à l’Economie(SECO).Il vise à renforcer la compétitivité à l’export du secteur du textile et de l’habillement dans 5 pays dont la Tunisie.

 

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Tunisie-Madagascar : Vers un renforcement des échanges commerciaux et des investissements

Une délégation malgache conduite par la directrice générale du Conseil de développement économique de Madagascar et le directeur du développement des investissements de l’Agence régionale du COMESA effectuent actuellement une visite en Tunisie.

Au programme de la visite plusieurs réunions avec les structures administratives et professionnelles concernées, dans le cadre du rôle de l’Agence en tant que réseau des organismes chargés d’investir dans les États membres et d’explorer le climat des affaires en Tunisie ainsi que les avantages préférentielles offerts aux investisseurs.

La délégation malgache s’est entretenue, mardi, avec le ministre du Commerce et du Développement des Exportations, Samir Abid. La réunion a porté sur la volonté des deux parties de renforcer les relations commerciales et la nécessité d’exploiter les opportunités d’échanges, de l’investissement et du partenariat entre la Tunisie et Madagascar durant la période à venir, en intensifiant les rencontres et renforçant les relations bilatérales dans l’intérêt commun, selon un communiqué publié mardi par le ministère du Commerce.

Pour sa part, La Directrice générale du Conseil de développement économique de Madagascar a passé en revue le rôle du Conseil, les principaux mécanismes législatifs et les réformes ainsi que les facilités mises en place par son pays pour attirer les acteurs économiques et les encourager à investir, soulignant l’importance des échanges des expériences entre les deux pays et la multiplication des missions des hommes d’affaires dans les deux pays.

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Recherche scientifique : vers une alliance arabe pour innover ensemble

L’initiative de l’Alliance arabe pour la recherche scientifique et l’innovation a été au centre d’un entretien tenu, mardi, entre le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaïd, et le secrétaire général de l’Union des conseils de recherche scientifique arabes relevant de la Ligue des États arabes, Abdelmajid Ben Amara.

Selon un communiqué publié sur la page officielle du département, Belaïd a réaffirmé son soutien à toutes les initiatives contribuant au développement des programmes et au renforcement de la coopération arabe dans le domaine de la recherche scientifique.

Pour sa part, Abdelmajid Ben Amara a souligné que l’initiative de l’Alliance arabe pour la recherche scientifique et l’innovation est une action de coopération arabe multilatérale dans le domaine de la recherche scientifique et de l’innovation.

Il a ajouté que parmi les principaux objectifs de cette initiative figurent la création d’équipes de recherche travaillant sur les priorités les plus urgentes de la recherche scientifique dans les pays arabes, la promotion de la publication scientifique conjointe arabe, ainsi que le renforcement des échanges scientifiques entre les pays arabes.

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Tunisie : débat autour de l’interdiction de la sous-traitance et ses impacts sur le public et le privé

La Commission de la santé, des affaires de la femme et de la famille, des affaires sociales et des personnes handicapées a auditionné mardi des représentants de la Présidence du gouvernement au sujet du projet de loi sur l’organisation des contrats de travail et l’interdiction de la sous-traitance.

A cette occasion, les députés ont souligné que l’interdiction de la sous-traitance permettrait de mettre fin à l’exploitation de la main-d’œuvre, tant dans le secteur privé que public. Ils ont, toutefois, appelé le gouvernement à régulariser la situation des agents sous-traitants travaillant dans les administrations publiques et de mettre en place des mécanismes efficaces pour les intégrer, parallèlement à la discussion de ce projet de loi.

Des députés ont également appelé à réfléchir à la mise en place de mécanismes adéquats permettant l’intégration des agents de sous-traitance dans des grades correspondant à leurs qualifications et niveaux académiques, afin de remédier aux injustices contenues dans les contrats de travail qu’ils ont signés. Ils ont signalé que certains diplômés sont recrutés à des postes largement en dessous de leur niveau d’études.

Selon les députés, l’État devra donner l’exemple en mettant fin à toutes les formes d’emploi précaire, ce qui faciliterait l’application de la loi dans le secteur privé.

Les députés ont également averti que l’interdiction totale de la sous-traitance pourrait nuire aux entreprises du secteur privé, notamment en matière d’investissement étranger, étant donné que de nombreuses entreprises tunisiennes opèrent en tant que sous-traitants pour des sociétés étrangères.

Ils se sont interrogés sur le sort des entreprises de sous-traitance existantes si leur situation n’est pas régularisée dans un délai de trois mois conformément à l’article 10 de la loi, un délai jugé insuffisant.

En réponse aux interrogations des députés, les représentants de la Présidence du gouvernement ont indiqué qu’un comité technique, composé de représentants des différents ministères concernés, travaille actuellement à l’élaboration d’un projet de décret visant à régulariser la situation des travailleurs sous-traitants dans le secteur public et la fonction publique, en tenant compte des différents scénarios possibles.

Ils ont reconnu que certains articles doivent être clarifiés davantage afin d’éviter toute fausse interprétation.

Ils ont souligné que l’élimination de l’emploi précaire est une priorité pour le gouvernement précisant que le projet de loi en question a été présenté parallèlement au lancement de la mise en place de mécanismes pour régulariser la situation des agents de sous-traitance dans le secteur public, et à un suivi quotidien des programmes visant à résoudre la situation des agents des chantiers, dans le but de garantir les droits des agents et de consacrer le concept d’État social.

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Tozeur : Des projets hydrauliques en cours pour garantir l’eau potable à l’été 2025

Une série de projets hydrauliques pour l’amélioration de l’approvisionnement en eau potable sont en cours de réalisation dans le gouvernorat de Tozeur, en prévision de la saison estivale 2025.

Le chef du district de la SONEDE à Tozeur, Ahmed Sassi a indiqué que les travaux concernent notamment l’installation de nouvelles canalisations sur une distance de 2 km (700 mille dinars), ajoutant que les travaux ont atteint jusqu’à présent un taux d’avancement de 90%.

Pour la zone rurale Fej Bouzaiène-El Ferid-Mghatta, les travaux portent en particulier sur la mise en place de canalisations d’une longueur de 2 km (300 mille dinars). Ils ont atteint un taux d’avancement de 20%, selon la même source.

Les autres projets sont axés surtout sur le renforcement de l’alimentation en eau potable à El Hamma du Djérid et Chébika, l’entretien des ouvrages hydrauliques (50 mille dinars) et la maintenance du réseau de distribution d’eau potable dans la région (1 million de dinars).

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Une start-up tunisienne transforme les grignons d’olives en énergie propre

Pour une merveilleuse invention tunisienne, c’en est vraiment une. La presse française a été, hélas, la première à en parler, abondamment. L’invention à l’actif d’une startup tunisienne dénommée Bioheat consiste en la transformation en énergie les grignons d’olives, sous produits de l’oléiculture appelé communément “Fitoura” par les tunisiens.

Dans le détail, il s’agit, selon Yassine Khelifi, ingénieur-inventeur-fondateur de Bioheat de « transformer des grignons d’olives en briquettes de chauffage, alternative au bois et source énergétique vitale dans un pays fortement dépendant de ses importations de gaz et pétrole ».

Cette invention, pour peu qu’elle soit industrialisée à grande échelle, peut contribuer de manière significative à la réduction de la pollution générée par l’usage dont on a fait jusqu’ici de la fitoura.

Il n’est pas besoin de rappeler que les grignons d’olive, ces déchets de pressage des olives,  sont certes utilisés en partie pour allumer des feux multiusages  (bains maures, boulangeries, cuisine…),  le plus souvent, ils sont rejetés dans la nature polluant sols et nappes souterraines.

D’où l’importance et l’enjeu de cette invention d’énergie propre. Elle va contribuer à aider la Tunisie à respecter l’environnement et à s’adapter au réchauffement climatique.

Au plan économique, les débouchés à l’exportation sont énormes lorsqu’on sait que la Tunisie est un grand pays producteur d’huile d’olive. A titre indicatif, une production annuelle de 340 mille tonnes d’huile d’olive peut générer une quantité de grignons de 600 mille tonnes.

La seule frustration prévisible, c’est de voir cette start up quitter le pays pour chercher des fonds ailleurs. Malheureusement, c’est l’option qu’a prise  l’écrasante majorité des  startups tunisiennes dès la confirmation et la reconnaissance de leurs inventions à l’échelle internationale.

ABS 

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Banque centrale de Tunisie : Hausse de 2,4% des produits d’intervention sur le marché monétaire en 2024

Les produits des opérations d’intervention sur le marché monétaire de la Banque centrale de Tunisie (BCT) réalisées, en vertu de l’article 25 de la loi n°35 de l’année 2016,  régissant le fonctionnement de l’Institut d’émission et son indépendance , ont atteint 1277,9 millions de dinars (MD) en 2024, contre 1247,6 MD, un an auparavant, selon les états financiers de la BCT arrêtés au 31 décembre 2024 et le rapport des commissaires aux comptes publiés mardi.

La hausse des produits des opérations d’intervention sur le marché monétaire, dont le poids dans le total des produits de la Banque s’élève à 52,3%, est de l’ordre de  30,3 MD ou de 2,4%. Cette hausse est due principalement à la progression des produits sur titres achetés ferme, qui ont enregistré une hausse de 192,8 MD, passant de 533,7MD en 2023 à 762,5 MD en 2024.

Selon les états financiers 2024 de la BCT, le poids des produits des opérations d’intervention sur le marché monétaire s’élève à 52,3%.

L’état de résultat de la BCT a fait ressortir un bénéfice de 1363,3 MD, alors que la charge de personnel est de l’ordre de 152,7 MD, soit une hausse de 14,9 MD par rapport à l’année écoulée, soit l’équivalent de 10,9%.

Le Bilan de la BCT à fin décembre 2024 montre, également, une  hausse des capitaux propres avant résultat comptable, pour s’établir à 1568,7 MD, alors que la valeur des billets et monnaies  en circulation est de l’ordre de 22594 MD.

Une proposition d’une loi annulant la loi régissant l’indépendance de la BCT a été présentée en octobre 2024  par  27 députés à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).

Les auteurs de la proposition ont souligné que cette indépendance a causé une perte de plus de 67 milliards de dinars aux contribuables ( coût des intérêts et baisse du cours du dinar) et une perte de plus de 46 MD pour l’économie tunisienne ( sortie de devises sans contrepartie), outre la hausse importante des dettes et la dépendance du pays vis-à-vis des donateurs étrangers.

La proposition  des députés intervient suite à l’appel du Chef de l’Etat Kaïs Saïed visant à hâter la révision de la loi n° 35 de l’année 2016 régissant le fonctionnement de la Banque centrale et son indépendance, dans l’objectif d’identifier une solution à la  contradiction entre l’indépendance de la BCT et son rôle consistant à soutenir le processus de développement.

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Salon MEDIBAT 2025 : plus de 15 pays attendus à Sfax pour booster le secteur de la construction

La 18ème édition du Salon Méditerranéen du Bâtiment, « MEDIBAT », se tiendra du 21 au 24 Mai 2025 à Sfax. Organisé à l’initiative de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Sfax, ce salon biennal réunira tous les acteurs et toutes les composantes de l’industrie du bâtiment, de la construction et des services connexes afin de trouver de nouveaux marchés en particulier sur le continent africain.

Une rencontre a été organisée mardi pour présenter les derniers préparatifs pour la tenue de cette édition. A cette occasion, le président de la Chambre de Commerce et d’industrie de Sfax Habib Hammami a souligné que “la situation économique internationale actuelle nécessite de soutenir le partenariat avec les frères et voisins”, mettant l’accent sur l’importance du Forum Economique tuniso-Algéro-Libyen qui aura lieu pour la première fois au salon.

De son côté, le Directeur Général de la CCI de Sfax, Hichem Elloumi a estimé que cette édition sera prometteuse dans la mesure où elle accueillera le Forum tuniso-Algéro-Libyen qui constitue une opportunité aux acteurs économiques du domaine du bâtiment et de la construction de nouer des liens de partenariat avec leurs homologues en Algérie et en Libye, à la faveur de la relation stratégique importante avec les pays voisins.

Au moins une quinzaine de pays dont la Chine, la Turquie, l’Italie, l’Algérie, la France, la Libye et la Pologne seront représentés à cet événement.

Par ailleurs, la participation de délégations officielles de hauts fonctionnaires et de représentants de structures professionnelles, de chambres de Commerce et d’institutions de nombreux pays africains étrangers, tels que le Cameroun, le Nigeria, le Sénégal et l’Afrique du Sud ainsi que la République démocratique du Congo, le Congo Brazzaville et le Mali, a été confirmée, selon les organisateurs du salon.

D’après la même source, la Libye a réservé un pavillon s’étendant sur une superficie de 350 mètres carrés et comprend 17 exposants et délégations professionnelles et officielles de Tripoli, Misrata et Benghazi. Un autre pavillon d’environ 200 mètres carrés est consacré à l’Algérie, en plus de la participation de représentants de structures professionnelles internationales de renom telles que l’Association des Chambres de Commerce et d’Industrie de la Méditerranée (ASCAME) qui regroupe 300 chambres des pays méditerranéens.

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FTF : Calendrier complet de la fin de saison 2024-2025 pour la Ligue 1, Ligue 2 et la Coupe de Tunisie

La Fédération tunisienne de football (FTF) a dévoilé, mercredi, le calendrier du reste de la saison sportive 2024-2025, pour ce qui est du championnat de la Ligue 1 du football professionnel et de la Coupe de Tunisie.

Voici le programme:

Championnat de la Ligue 1
27e journée : les 19 et 20 avril 2025
Match à rejouer (13e journée) EGS Gafsa – ESS: Le 23 avril 2025
28e journée: Les 3 et 4 mai 2025
29e journée : les 10 et 11 mai 2025
30e et dernière journée : les 14 et 15 mai 2025

Championnat de la Ligue 2
22e journée: Les 26 et 27 avril
Matchs en retard de la 22e J: 30 avril
23e journée: Les 3 et 4 mai
24e journée: Les 10 et 11 mai
25e journée: Les 14 et 15 mai
26e journée: Les 20 et 21 mai

Coupe de Tunisie
Huitièmes de finale : 26 et 27 avril 2025
Quarts de finale : 17 et 18 mai 2025
Demi-finales : 24 et 25 mai 2025
Finale : 31 mai 2025

 

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Challenger Abidjan : Aziz Dougaz en huitièmes de finale, Ouakaa et Chargui éliminés

Le joueur de tennis tunisien Aziz Dougaz s’est qualifié pour les huitièmes de finale du tournoi d’Abidjan, qui fait partie de la série des tournois Challenger, après sa victoire sur le Britannique Toby Samuel en deux sets (6-3, 6-4) mardi lors des seizièmes.

Dougaz, tête de série numéro un du tournoi, affrontera en huitièmes le vainqueur du match interrompu en raison des mauvaises conditions météorologiques entre le Français Florent Bax et l’Indien Karan Singh.

Pour sa part, En revanche, Aziz Ouakaa a été éliminé du tournoi après sa défaite en seizièmes de finale face au Turc Ergi Kırkın en deux sets (5-7, 5-7). Ouakaa avait accédé au tableau principal après avoir remporté ses matchs de qualification contre l’Italien Massimo Giunta (2-0) et le Marocain Younes Lalami Laaroussi (2-1).

Par ailleurs, Moez chargui a, également, quitté le tournoi après sa défaite face à l’Ukrainien Vadym Ursu en trois sets (1-6, 6-3, 3-6).

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Indice de croissance inclusive de 2025 : La Tunisie classée 14ème au niveau africain

La Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le développement (CNUCED) a publié dernièrement la dernière édition de «indice de croissance inclusive».

Lancé en 2022 et étendu à 134 pays (contre 129 lors de la précédente édition), cet indice vise à évaluer la manière dont la croissance économique d’un pays bénéficie à l’ensemble de sa population, notamment en ce qui concerne la réduction des inégalités et la promotion du développement humain.

Avec un score global de 27 sur 100 en 2023 (contre 28,7/100 en 2021), la Tunisie se positionne au 95ème rang mondial, en recul de 13 places par rapport à 2021(82ème rang mondial).

Cette détérioration est principalement due à la forte dégradation de la composante « égalité des revenus », qui chute de 39,9 en 2021 à 25 en 2023.

La CNUCED impute cette dégradation au cadre législatif régissant les mutations économiques et au retour de l’Etat social.

Elle a relevé l’engagement du gouvernement à lever les obstacles entravant les projets en stand Bye, à encourager l’innovation et à instaurer un climat économique plus compétitif.

ABS

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Doctrine économique Trump : la Tunisie pourra-t-elle éviter le choc des titans du commerce mondial ?

TrumpAlors que le monde entre dans une nouvelle phase de turbulences économiques et géopolitiques, la Tunisie, bien que modeste dans le concert des nations, se retrouve en première ligne face aux effets du “Printemps Américain” – une guerre commerciale lancée par Donald Trump qui, depuis son investiture a mis le monde en haleine soufflant le chaud et le froid.

Qu’en est-il de la Tunisie dans un contexte mondial où c’est la boussole Trump qui décide des orientations et de la vitesse des vents économiques ? La Tunisie où nombre de décideurs dans l’exécutif et même des législateurs pensent pouvoir gommer le tout et établir un nouvel ordre économique populiste à souhait criant à tout va les slogans d’une justice sociale sans en avoir les moyens et encore moins les stratégies ?

Une fois de plus l’ARP, nous a donné toute la mesure de sa méconnaissance -pour ne pas dire ignorance- des risques encourus par l’économie nationale rejetant le projet d’un prêt de 80 millions d’euros pour soutenir les PME qui suffoquent sous prétexte que le gouvernement doit assumer ses responsabilités !

Face à la guerre commerciale mondiale menée par Trump, la Tunisie vacille. Analyse des risques et des leviers pour éviter le naufrage économique.

 

Un prêt dont le taux d’intérêt est de 3,1% par an avec 5 années de grâce et un remboursement qui s’étale sur 20 ans. Nous sommes loin des prêts accordés par l’Afreximbank remboursables sur 5 ans avec des garanties et des taux d’intérêts encore plus élevés que les fonds dont bénéficient l’État tunisien.

Encore heureux que le ridicule ne tue pas !

Pendant ce temps, l’Egypte affermit ses relations avec la France profitant de la générosité de l’État français qui projette d’y construire 100 établissements scolaires francophones, d’y édifier un hôpital pour le traitement du cancer avec des technologies françaises, un partenariat approfondi dans l’IA et la sécurité cybernétique et plus que tout l’élévation des investissement français sur place de 4 milliards d’euros à 7 milliards d’Euros !!!

Mais la Tunisie, elle, a les moyen de compter sur ses propres ressources ! Ressources ???

Nous n’arrivons pas à identifier lesquels car il faut reconnaître que le pays est en perte de vitesse s’agissant d’une ressource vitale : la matière grise ! Il faut dire qu’il y en a qui s’accommodent plus de la bêtise que de la compétence et l’intelligence !

Et pendant que Trump mène sa guerre contre la Chine, des économies comme la Tunisie, fortement liées aux marchés européens et mondiaux risquent de devenir des dommages collatéraux en l’absence de ripostes économiques intelligentes et réfléchies adossées sur une vision du monde beaucoup plus large que celle de nombre d’abrutis couvrant les vastes espaces des réseaux sociaux et certains médias du désert de leur ignorance.

« Refuser un prêt à taux préférentiel pour soutenir nos PME étouffées, c’est condamner notre tissu économique au silence sous prétexte de morale budgétaire. Une posture populiste qui coûte cher. »

 

Pour Trump, explique le financier Arbi Bouhali l’objectif est clair : construire un nouveau système économique mondial, basé sur la domination du dollar et réduire la dépendance commerciale des États-Unis vis-à-vis d’économies fortes telle celle de la Chine.

Il cherche à imposer un « Nouveau Bretton Woods », réorganisant les règles du commerce mondial tout en maintenant le dollar comme monnaie de réserve et le pétrodollar comme pivot. Dans cette guerre commerciale, pourrait être le perdant estime M. Benbouhali faisant écho aux affirmations de plusieurs économistes de renom, comme Joseph Stiglitz, Jeffrey Sachs, et Paul Krugman, qui soulignent que les réels perdants de cette guerre sont les consommateurs américains, déjà affectés par une stagflation persistante depuis deux ans.

Le piège pourrait aussi se refermer sur la Tunisie !

Le piège pourrait aussi se refermer sur des pays éloignés géographiquement des États-Unis, comme la Tunisie. L’un des principaux défis réside dans la baisse des exportations vers l’Europe, qui représente le principal marché pour les produits tunisiens.

En raison des tarifs douaniers de Trump, la demande européenne va se contracter, ce qui affectera directement les recettes des exportations tunisiennes. De plus, les transferts d’argent des expatriés tunisiens en Europe risquent de chuter en raison de la suppression d’emplois dans les pays européens, déjà durement touchés par les conséquences économiques de la guerre commerciale. La situation pourrait se détériorer davantage avec les risques géopolitiques provenant des tensions croissantes avec la Chine, la Turquie, et l’Algérie.

Alors que ces pays, et particulièrement la Chine, ont déjà engagé une guerre monétaire contre les États-Unis, leur capacité à vendre des produits moins chers sur le marché mondial pourrait aggraver le déficit commercial de la Tunisie.

« Face aux tsunamis géopolitiques, ce n’est pas le populisme qui sauve une économie, mais l’intelligence, la compétence, et la capacité à penser au-delà des slogans. »

 

De plus, le marché tunisien pourrait se retrouver inondé de produits chinois et turcs à bas prix, ce qui nuira à la compétitivité de la production locale. Un autre facteur qui pourrait peser lourdement sur l’économie tunisienne est la situation en Libye, un marché clé pour les exportations tunisiennes.

La dévaluation du dinar libyen de 13,3 % par rapport au dollar américain aura des effets immédiats, réduisant les dépenses libyennes en produits tunisiens et impactant négativement le tourisme tunisien estime Arbi Benbouhali qui interpelle le président Kaïs Saïed pour le sauvetage de l’économie tunisienne.

Comment ?

Plusieurs mesures d’urgence semblent indispensables, estime-t-il. D’abord, la chute des prix du pétrole, qui a actuellement atteint 60 dollars le baril alors que le budget tunisien avait prévu 74 dollars, représente une occasion à saisir. Cette différence pourrait être utilisée pour accorder des réductions fiscales et stimuler la demande intérieure.

Dans le même temps, Saïed pourrait solliciter une aide européenne, à l’instar de ce qu’a obtenu la Turquie en matière de soutien à la gestion des flux migratoires. Demander une révision des conditions de financement du FMI est aussi valable. La Tunisie, qui a une note de crédit supérieure à celle de l’Argentine (CCC), pourrait plaider pour une aide financière plus avantageuse, notamment à un taux d’intérêt inférieur à celui proposé par des institutions comme l’Afreximbank. Cela permettrait d’obtenir des ressources financières pour soutenir les investissements et éviter la crise de liquidité.

Les réformes internes cruciales et nécessaires !

Des réformes internes s’avèrent cruciales pour rétablir la stabilité économique à long terme. L’un des leviers les plus importants serait une amnistie fiscale touchant surtout l’économie informelle et permettant de régulariser l’argent liquide détenu par les citoyens.

“Cela pourrait générer plusieurs milliards de dinars et renforcer le système bancaire tunisien, vital pour la relance économique. Par ailleurs, la Banque centrale de Tunisie (BCT) pourrait jouer un rôle central en émettant des obligations islamiques (Sukuks) pour stimuler les réserves en devises. Ces fonds pourraient être utilisés pour investir dans des entreprises publiques et soutenir l’économie tunisienne dans des secteurs stratégiques comme l’agriculture. Cette stratégie permettrait de diminuer la dépendance de la Tunisie aux importations alimentaires et de renforcer son indépendance économique”.

« Tandis que des pays comme l’Égypte consolident leurs partenariats stratégiques, la Tunisie s’enlise dans ses certitudes, refuse l’aide, ignore les opportunités et s’éloigne des leviers de puissance. »

 

La Tunisie est aujourd’hui confrontée à nombre de défis mais elle dispose aussi de leviers économiques et politiques importants pour se défendre face à ce contexte international incertain. En prenant des mesures audacieuses et ciblées et en évitant des orientations socioéconomiques populistes et exagérément courtermistes, elle pourrait non seulement surmonter la crise mais aussi se positionner comme un acteur majeur de la Méditerranée, capable de résister à la tempête mondiale et d’en sortir renforcée.

Face au tsunami Trump, la Tunisie dispose-t-elle d’une clé ouvrant la porte des solutions pour naviguer dans ce chaos planétaire et sécuriser l’avenir économique du pays ?

Amel Belhadj Ali

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Hamid Zénati exposé à B7L9 : un voyage sensoriel entre couleurs, motifs et mémoire

“Les oiseaux chantent au dessus de l’arbre” évoque la toute première leçon d’arabe apprise par l’artiste germano-algérien Hamid Zénati sur les bancs de l’école primaire en Algérie.

Aujourd’hui, cette phrase a inspiré le titre de l’exposition-hommage “The Birds Are Chirping Above the Tree”, première rétrospective maghrébine dédiée à la mémoire de Hamid Zénati (1944–2022) qui a réalisé durant près de six décennies, plus de mille œuvres d’art.

Portée par La Fondation Kamel Lazaar, en collaboration avec Hamid Zénati Estate et le Goethe-Institut Tunis, l’exposition ouvrira ses portes du 18 avril au 20 juillet 2025 au Centre d’Art B7L9, à Bhar Lazreg à Tunis.

Cette rétrospective rassemble une sélection rare d’œuvres de l’artiste, mises en dialogue avec des pièces majeures de la collection de la Fondation Kamel Lazaar, ainsi qu’avec des œuvres d’artistes de renom, dont les créations résonnent profondément avec celles de l’univers sans limites de Zénati, où couleurs vives, motifs complexes et surfaces indomptées composent un voyage sensoriel et émotionnel, entre résistance, espoir et métamorphose.

Dialogue entre œuvres

Considéré un créateur inclassable, Hamid Zénati a façonné une œuvre libre de toute filiation académique, explorant inlassablement les matières, les formes, les motifs et les couleurs. Plutôt que de se plier aux normes du marché de l’art, il bâtit un monde habité par la mémoire et l’intuition, où chaque motif et chaque couleur sont porteurs d’un souffle vivant.

Sous le commissariat de Nadine Nour El Din, avec le soutien d’Anna Schneider et la scénographie de Bechir Riahi, l’exposition réunit un ensemble impressionnant d’œuvres : tissus peints à la main, fresques murales, carnets, céramiques, photographies, vêtements et objets du quotidien transformés.

Ces pièces dialogueront avec des œuvres choisies dans la collection de la Fondation Kamel Lazaar et celles d’artistes prestigieux tels que Ammar Farhat, Abdelaziz Gorgi, Abderrazak Sahli, Baya, Nja Mahdaoui, Safia Farhat, Néjib Belkhodja, Brahim Dhahak, Mahmoud Sehili, Ali Bellagha, Dia Azzawi, Adel El Siwi, Larbi Cherkaoui, Souhila El Bahar.

Une expérience synesthétique sur les traces de Zénati

Dana El Masri, parfumeuse et artiste interdisciplinaire, a conçu pour l’exposition deux fragrances originales : Life et Joy. Elles prolongent l’expérience synesthétique et invitent à s’immerger dans l’univers olfactif de Hamid Zénati. La scénographie de Bechir Riahi dessine un espace ample, fluide et mouvant : des voiles suspendus, des sons mêlés d’Algérie et d’Allemagne, et une bibliothèque rassemblant les livres de l’artiste. Ce parcours invite à ressentir avant de comprendre, à se laisser porter par les sortilèges de ce vaste empire des sens.

Hamid Zénati a laissé derrière lui un chemin tissé de couleurs, de motifs, d’étoffes et de lumières. Sa pratique artistique, motivée par une impulsion anarchique de création, s’étendait de la peinture aux textiles, du design d’intérieur et de mode à la photographie.

Né en 1944 à Constantine (Algérie), Hamid Zénati émigre dans les années 1960 vers l’Allemagne de l’Ouest et s’installe à Munich où il est décédé en 2022. Bien qu’il soit resté largement méconnu de son vivant, sa perspective singulière -remettant en cause les frontières entre styles, genres, arts dits majeurs et appliqués- a récemment été redécouverte. Elle a fait l’objet d’expositions telles que “Soft Power” au Das Minsk à Potsdam, “Hamid Zénati” au Nottingham Contemporary et “Hamid Zénati All-Over and Beyond” au Museum Angewandte Kunst de Francfort.

L’exposition “The Birds Are Chirping Above the Tree” au B7L9 à Tunis est la première rétrospective à offrir, en Afrique du Nord, un aperçu aussi complet de l’univers de l’une des voix artistiques les plus inventives et profondes d’Afrique du Nord, en vue de contextualiser ses racines culturelles et à inscrire son œuvre dans l’histoire de l’art moderne de la région.

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“Petit Pays, je t’aime beaucoup” : une expo photo célèbre le patrimoine architectural de Sfax

Du haut de ses bâtisses monumentales, aux techniques architecturales uniques, de ses fameux souks (poissons, tapis, cuir, bijoux, tissages, laines, etc.) couverts de voûtes en berceau, jusqu’à son port et ses exportations d’huile d’olive, la région de Sfax sera célébrée dans le cadre de l’exposition photographique collective “Petit Pays, je t’aime beaucoup”, dans son édition 2025.

Cap sur Sfax, du 17 au 20 avril 2025, à Dar Ezzit, en plein centre-ville, pour raconter l’histoire de la Tunisie à travers le regard sensible et pluriel d’un collectif de photographes tunisiens et belges : Mehdi Ben Temessek, Sameh Bouchaala, Kai’s, Mona Fekih Khouaja, Dhia Guermit, Yasmine Hadhri, Helmi Jerbi, Charles Siala, Terry Taieb, Alain Van Haverbeke et Skander Zarrad.

Portée par Selima Kriaa Mdhaffer en tant que commissaire et l’artiste Wadii Mhiri dans la scénographie, l’exposition rend hommage à la ville de Sfax, à ses bâtisses historiques et à son patrimoine architectural.

A cette occasion, une grande collection d’anciennes cartes postales sera exposée. Le public pourra également découvrir une vidéo réalisée par un collectif d’architectes sur “Souk Kriaa”, véritable joyau de l’architecture locale, témoin du génie des savoir-faire locaux.

Lancée dans une première édition à Tunis en septembre 2024, à l’initiative de L.I.V Advisory avec le soutien notamment de la délégation générale de Wallonie-Bruxelles en Tunisie, cette aventure photographique entame désormais sa tournée dans plusieurs régions de Tunisie.

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Tunisie : un Tunisien sur dix atteint de maladie rénale, 1500 en attente de greffe

Un Tunisien sur dix est atteint d’une maladie rénale, et plus de 1500 patients sont en attente d’une greffe rénale, a indiqué le président de la Société Tunisienne de Néphrologie, Dialyse et Transplantation rénale (STNDT), et chef du service de néphrologie au CHU de Monastir, Habib Sakhri.

Il a également indiqué que plus de 14 000 patients Tunisiens sont dialysés, dont 30 % ont besoin d’une greffe, a-t-il déclaré à l’Agence TAP, en marge du démarrage des travaux du 18ème Congrès de l’Association Africaine de Néphrologie (AFRAN) qui se poursuivra jusqu’au 18 avril 2025 et réunira des spécialistes de renom, des décideurs et des acteurs de la santé pour discuter des innovations en néphrologie et des stratégies pour garantir un accès équitable aux soins rénaux.

Il a également souligné, dans ce même contexte, que les médecins tunisiens ont réalisé depuis 1986 jusqu’à aujourd’hui environ 2500 transplantations rénales, affirmant que cette maladie, surnommée « la maladie silencieuse », deviendra dans les prochaines années la troisième cause de mortalité.

Il a souligné l’importance de la prévention et du dépistage précoce de la maladie rénale, en réalisant les analyses nécessaires au moins une fois par an pour les personnes en bonne santé, c’est-à-dire celles qui ne souffrent d’aucune maladie, et une fois tous les six mois pour les personnes âgées, les personnes atteintes de diabète, de HTA, et celles atteintes d’infections ou de malformations des voies urinaires, de maladies héréditaires, d’obésité, ainsi que pour les fumeurs.

Le 18ème congrès de l’Association Africaine de Néphrologie (AFRAN), qui se tient du 15 au 18 Avril 2025 conjointement avec le 9ème congrès Nord-Africain de Néphrologie et le 12ème congrès de la STNDT, se déroule sous l’égide du Ministère Tunisien de la Santé.

Plusieurs experts de renommée seront parmi les conférenciers. ils vont traiter de sujets d’actualité dont les avancées scientifiques et technologiques relatives au diagnostic et au traitement des maladies rénales.

Leur interaction avec les participants, acteurs et décideurs impliqués dans la prise en charge de ces maladies, ne font que promouvoir les stratégies à entreprendre dans nos pays pour garantir la formation appropriée permettant un accès équitable aux soins et élaborer les mesures préventives afin d’aplanir l’impact socio-économique de ces maladies.

Le programme, comporte 137 conférences qui vont être assurées par 97 intervenants répartis sur 36 séances.

Plus de 600 participants sont attendus de différents pays Maghrébins, Africains, du moyen orient, de l’Europe, de l’Amérique du Nord et d’autres régions.

Le 18ème Congrès de l’AFRAN représente une occasion pour la communauté néphrologique du continent Africain, en partenariat avec des sociétés scientifiques régionales et internationales, pour mettre en avant les dernières avancées scientifiques innovations technologiques réalisées dans différents domaines :la néphrologie clinique et interventionnelle, le diagnostic et la prise en charge des maladies rénales familiales, les avancées en transplantation rénale et dialyse, l’onco-néphrologie et la néphrologie verte, l’hypertension, la nutrition rénale, le dépistage et la prévention des maladies rénales chroniques, la place de la technologie et des moyens de communication modernes, dans
l’apprentissage, l’éducation et la prestation des soins, les solutions pour un accès équitable aux soins rénaux en Afrique.

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Enseignement supérieur : vers un renforcement des liens entre les universités tunisiennes et arabes

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaid, a reçu aujourd’hui mardi une délégation de l’Union des universités arabes, conduite par le secrétaire général Amr Ezzat Salama.

La rencontre a porté sur les moyens susceptibles d’encourager les universités tunisiennes à participer et à s’engager dans les activités de l’Union, Selon un communiqué publié par le ministère.

Les deux responsables ont examiné, lors de cette réunion tenue au siège du ministère de l’Enseignement supérieur à Tunis, la possibilité d’établir des partenariats avec les universités tunisiennes dans le cadre de la coopération arabe commune, tout en s’ouvrant à d’autres réseaux académiques internationaux.

Le ministre a salué, à cette occasion, l’importance des initiatives et des activités conjointes avec l’Union des universités arabes, ainsi que la participation active des universités tunisiennes à ces actions.

De son côté, Salama a présenté les principales activités menées par l’Union, telles que le classement et l’accréditation des universités arabes.

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Tunisie–OMS : vers un renforcement du partenariat pour un système de santé plus efficace et inclusif

Le ministre de la Santé, Moustapha Ferjani, a rencontré hier, lundi, la directrice régionale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la Méditerranée orientale, Hanan Balkhy, dans le cadre d’une visite officielle en Tunisie à l’invitation du gouvernement, afin de discuter des moyens permettant de développer le partenariat entre les deux parties.

Lors de cette rencontre, le ministre de la Santé a souligné l’importance d’un partenariat efficace et flexible, appelant à un soutien sur des dossiers clés tels que la production locale de médicaments et de vaccins, la numérisation, la lutte contre les addictions, et la formation des ressources humaines, selon un communiqué du ministère.

Pour sa part, la directrice régionale de l’OMS pour la Méditerranée orientale a exprimé l’appréciation de l’organisation des efforts déployés par la Tunisie, affirmant sa volonté de poursuivre le soutien technique et stratégique, et d’accompagner le pays dans la construction d’un système de santé plus efficace et inclusif.

Il a également été convenu d’élargir la coopération pour inclure la préparation aux situations d’urgence et la lutte contre les impacts des changements climatiques sur la santé.

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