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Accident au lycée de Mezzouna : les deux élèves blessés transférés à Sfax sont dans un état stable

Le directeur régional de la santé à Sfax, Hatem Cherif, a affirmé que l’état de santé des deux blessés dans l’accident survenu à Mezzouna, suite à l’effondrement du mur d’un lycée secondaire dans le gouvernorat de Sidi Bouzid, est stable.

Dans une déclaration accordée ce lundi soir à l’Agence TAP, Hatem Cherif a précisé que le premier blessé, arrivé dans un état critique à l’hôpital universitaire Habib Bourguiba de Sfax, a immédiatement été pris en charge. Il a subi une intervention chirurgicale d’urgence pour stopper une hémorragie abdominale. L’opération s’est bien déroulée, et son état est désormais stable, en attendant une seconde opération prévue au niveau de la jambe.

Quant au second blessé, le même responsable a indiqué que son état est également stable. Il présente un traumatisme crânien sans gravité ni fracture, mais devra subir une intervention chirurgicale dans la nuit en raison d’une fracture au niveau de la main.

Les autorités sanitaires restent mobilisées pour assurer le suivi médical des deux victimes.

 

L’Espérance Sportive de Tunis réclame un arbitre européen pour le derby contre le Club Africain

L’Espérance Sportive de Tunis (EST) a exprimé, par le biais d’une correspondance officielle adressée à la Direction Nationale de l’Arbitrage, son exigence d’avoir un arbitre européen pour la rencontre du derby face au Club Africain. Cette demande concerne aussi bien l’arbitre central que l’arbitre VAR.

Le club a justifié sa requête par la volonté de garantir la transparence et l’équité dans un match d’une importance capitale pour le championnat. Selon l’EST, la demande d’un arbitre européen pour le derby s’inscrit dans le cadre de la réciprocité entre les deux clubs, étant donné que le match aller a été dirigé par un arbitre portugais.

L’Espérance Sportive de Tunis a précisé que l’absence d’un arbitre européen pour ce match confirmerait une politique à deux vitesses dans les désignations arbitrales, ce qui pourrait avoir un impact négatif sur le déroulement de la rencontre et, par conséquent, sur le résultat final. Le club a également souligné que cette situation ouvrirait la porte à des spéculations et des interprétations, particulièrement en cette phase décisive du championnat.

Dans cette même correspondance, l’EST a insisté sur la nécessité d’un contrôle rigoureux des désignations arbitrales, en particulier pour les équipes en lice pour le titre de champion. Le club a exprimé son mécontentement quant à certaines désignations effectuées lors de la dernière journée de championnat, qu’il juge “inappropriées”, et a demandé des mesures strictes pour éviter tout risque de partialité.

L’Espérance Sportive de Tunis a enfin réaffirmé sa position ferme sur cette exigence et n’a pas hésité à indiquer qu’elle serait prête à prendre des mesures drastiques si sa demande n’était pas satisfaite par la Direction Nationale de l’Arbitrage.

 

Tragédie à Boumhel : Un élève retrouvé pendu, une enquête ouverte

Le juge d’instruction près du tribunal de première instance de Ben Arous a ouvert une enquête ce lundi 14 avril après la découverte tragique du corps sans vie d’un élève de 16 ans, retrouvé pendu dans la région de Boumhel, au sud de Tunis.

L’élève, inscrit dans une section Économie et Gestion au lycée local, a été retrouvé ce matin dans un endroit boisé, près d’un oued. La victime, dont l’identité n’a pas encore été rendue publique, a été retrouvée dans des circonstances inquiétantes, ce qui a immédiatement conduit à l’ouverture d’une enquête pour éclaircir les causes de sa mort, rapporte Mosaïque Fm.

Le juge d’instruction a supervisé l’examen du corps de la victime avant d’ordonner son transfert au médecin légiste pour déterminer les causes exactes du décès. Les autorités compétentes poursuivent leur investigation afin d’établir si la mort de l’élève est liée à des circonstances criminelles ou à un geste désespéré.

 

 

Accident à Bizerte : Une élève perd la vie, plusieurs autres blessés dans une sortie de route

Un tragique accident de la route s’est produit cet après-midi à Bizerte, lorsqu’un véhicule privé transportant huit élèves a fait une sortie de route sur un virage situé près du parc “Le Riff” dans la zone de “La Grotte”, sur le front de mer de la ville. Les élèves, tous en classe de quatrième année dans la spécialité sport, se rendaient probablement d’un établissement scolaire local lorsqu’une perte de contrôle du véhicule a conduit à l’accident.

L’accident a fait une victime : une élève, identifiée sous les initiales A.Z., âgée de 14 ans, élève en quatrième année au collège Farhat Hached de Bizerte et originaire de la municipalité de Menzel Bourguiba, a succombé à ses blessures malgré les efforts des secours. Les autres élèves, blessés plus ou moins gravement, ont été rapidement pris en charge par les services de la protection civile.

Les équipes de secours de la protection civile de Bizerte ont été immédiatement dépêchées sur les lieux de l’accident. Deux ambulances ont transporté les blessés à l’hôpital universitaire Habib Bougatfa de Bizerte, où ils ont reçu les premiers soins. Selon les informations fournies par les autorités médicales, tous les autres élèves blessés ont été stabilisés et ont pu quitter l’hôpital après traitement.

 

La TRANSTU réceptionne 80 nouveaux bus dans le cadre d’un partenariat franco-tunisien

La Société des Transports de Tunis (TRANSTU) a réceptionné, ce lundi matin 14 avril 2025, la première tranche de 80 bus urbains, sur un total de 165 véhicules, dans le cadre d’un programme de coopération internationale initié par l’accord signé le 27 janvier 2025 entre la TRANSTU, Île-de-France Mobilités et la Régie Autonome des Transports Parisiens (RATP). Cette aide, issue des Jeux Paralympiques de Paris, vise à renforcer le système de transport public urbain de la capitale tunisienne.

La livraison des 80 premiers bus, adaptés aux spécificités du réseau urbain tunisien, s’inscrit dans une démarche de modernisation et de développement du transport collectif. Ces véhicules entreront en service dans les semaines à venir, contribuant ainsi à l’amélioration de la qualité de vie des usagers et à la fluidification du trafic urbain. La deuxième tranche de 85 bus est prévue pour une livraison ultérieure.

Cette initiative fait partie d’un projet plus large visant à moderniser le transport public en Tunisie, dans le cadre de la politique nationale d’amélioration du réseau de transport urbain. Selon le communiqué officiel de la TRANSTU, ces nouveaux autobus permettront de renforcer l’offre en matière de transport public collectif et de répondre à une demande croissante dans le secteur du transport urbain à Tunis.

La réception des bus a eu lieu au port de La Goulette, en présence du Directeur de Cabinet du Ministère des Transports, du Président-Directeur Général de la TRANSTU, ainsi que de plusieurs responsables ministériels et représentants de l’entreprise.

Conditions météorologiques dangereuses : L’Observatoire de la sécurité routière conseille des précautions strictes pour les usagers de la route

L’Observatoire National de la Sécurité Routière a lancé un appel à la prudence pour les usagers de la route dans un communiqué de prévention publié ce lundi 14 avril 2025. À partir d’aujourd’hui, les conditions météorologiques seront caractérisées par une instabilité, avec des pluies éparses qui toucheront en particulier les régions de l’Est du pays, en fin de journée. Ces averses pourraient être parfois accompagnées de chutes de grêle, notamment dans les zones du nord-ouest.

Selon le communiqué, ces conditions météorologiques devraient persister jusqu’au mercredi. Mardi, des pluies éparses et ponctuellement orageuses toucheront les régions de l’Est, tandis que mercredi, les précipitations, également orageuses, concerneront principalement les zones de l’Ouest avant de s’étendre vers l’Est du pays, avec un risque de grêle dans des zones localisées.

Face à ces conditions, l’Observatoire recommande vivement aux conducteurs d’adopter une conduite prudente en ajustant leur vitesse et en augmentant la distance de sécurité, surtout en cas de pluie, pour éviter les risques de glissades et de perte de contrôle du véhicule. Il est également conseillé de vérifier le bon fonctionnement des essuie-glaces afin d’assurer une visibilité optimale.

Dans des conditions de faible visibilité, l’Observatoire conseille d’allumer les phares de croisement ou les feux antibrouillard et d’éviter l’usage du téléphone portable, qui peut nuire à la concentration au volant. En outre, les conducteurs doivent éviter les arrêts brusques et l’utilisation soudaine des freins, afin de prévenir les risques d’accidents.

En cas de fortes pluies, il est recommandé de s’arrêter dans un endroit sûr et d’attendre que les conditions météorologiques s’améliorent. L’Observatoire rappelle également l’importance de vérifier la présence d’équipements de sécurité dans le véhicule, tels que le triangle réfléchissant, un extincteur et une trousse de premiers secours. De plus, les conducteurs sont invités à éviter les flaques d’eau et à ne pas emprunter les routes secondaires non adaptées aux conditions actuelles.

L’Observatoire de la Sécurité Routière souligne qu’une attention particulière doit être accordée aux piétons et aux conducteurs de deux-roues, dont la sécurité peut être particulièrement mise en péril par ces conditions météorologiques difficiles.

 

Violente tempête de sable à Kébili : Poteaux électriques et arbres endommagés, circulation perturbée

La Commission Régionale de Lutte contre les Calamités, de leur Prévention et de l’Organisation des Secours, réunie cet après-midi, poursuit ses efforts pour coordonner les interventions suite à la violente tempête de sable qui a frappé ce lundi 14 avril 2025 le gouvernorat de Kébili. Ce phénomène météorologique a provoqué des dégâts matériels importants, notamment la chute de plusieurs poteaux électriques à haute tension, ainsi que de nombreux arbres, entraînant des interruptions temporaires de la circulation sur certaines routes.

Les équipes des municipalités, de la protection civile, des équipements et de l’habitat, ainsi que celles de la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG), ont été mobilisées avec le soutien des forces de sécurité et d’autres départements régionaux. Leur priorité a été de dégager les voies, de rétablir l’alimentation en électricité dans plusieurs quartiers et de réparer les infrastructures endommagées.

Bilan des dégâts matériels et perturbations

Selon une source officielle, la tempête de sable a causé la chute de plusieurs arbres aux alentours du marché hebdomadaire de la ville de Kébili et sur la route de Gabès. Des dégâts ont également été constatés sur les toitures des classes des écoles Bildat et Bichli, situées dans la délégation de Kébili Sud, mais aucune victime n’a été enregistrée.

En outre, des poteaux électriques à haute tension sont tombés entre les régions de Fawar et Dergine, ainsi que dans la délégation de Régim Maatouk, affectant les quartiers de Jarsine et de Janoura dans la délégation de Kébili Sud, ainsi que la région de Limakès, à Kébili Nord. La station de dessalement de Krad, dans la délégation de Duz Nord, a dû interrompre son fonctionnement en raison de la coupure d’électricité affectant certains puits.

Les conditions climatiques extrêmes ont également endommagé un grand nombre de serres agricoles dans les projets de cultures géothermiques situés à Fawar et Kébili Nord. Plusieurs palmiers ont été déracinés dans les oasis publiques et privées, et des panneaux solaires utilisés par les agriculteurs pour pomper l’eau des puits ont été endommagés, affectant ainsi l’irrigation dans les zones d’expansion agricole.

La commission continue de suivre de près la situation et assure que toutes les mesures nécessaires sont prises pour restaurer la normalité dans les plus brefs délais.

 

Zuckerberg appelé à témoigner dans un procès à haut risque pour Meta : Vers la fin du trio Facebook–Instagram–WhatsApp ?

Un procès aux enjeux considérables s’est ouvert lundi 14 avril 2025 contre Meta Platforms, la maison mère de Facebook, accusée de pratiques anticoncurrentielles présumées sur les réseaux sociaux avec l’acquisition d’Instagram et de WhatsApp, que les autorités américaines de la concurrence cherchent à annuler.

Le groupe américain a acquis Instagram et WhatsApp après avoir échoué à concurrencer les deux applications, a déclaré Daniel Matheson, l’un des avocats de la Commission fédérale américaine du commerce (FTC), à l’ouverture du procès à Washington.

Il a également reproché au géant technologique d’avoir mis en place des “barrières à l’entrée” qui, pendant plus d’une décennie, ont protégé la position dominante de Meta.

« Les consommateurs n’ont pas de solutions alternatives raisonnables vers lesquelles se tourner », a-t-il ajouté.

La FTC avait déposé plainte contre Facebook une première fois en décembre 2020, à la fin du premier mandat du président Donald Trump.

La FTC veut contraindre Meta à restructurer ou à vendre une partie de ses activités, notamment les réseaux Instagram et WhatsApp.

La directrice juridique de Meta, Jennifer Newstead, a déclaré dimanche dans un billet de blog que le dossier contre le géant de la tech était faible et aurait un effet dissuasif sur les investissements dans le secteur.

“Il est absurde que la FTC tente de démanteler une grande entreprise américaine au moment même où l’administration essaie de sauver l’entreprise chinoise TikTok”, a-t-elle écrit.

L’affaire fait peser une menace existentielle sur Meta, qui, selon certaines estimations, tire environ la moitié de ses recettes publicitaires américaines d’Instagram.

Meta a fait plusieurs concessions à Donald Trump depuis son élection, notamment la suppression de politiques de modération de contenu considérées comme de la censure par les républicains, et a effectué un don d’un million de dollars à son fonds d’investiture. Mark Zuckerberg, fondateur et président-directeur général de Meta, s’est également rendu à la Maison-Blanche à plusieurs reprises au cours des dernières semaines.

“ La FTC (…) est on ne peut plus prête pour ce procès”, a déclaré Joe Simonson, porte-parole de la Commission.

“ Nous avons la chance d’avoir certains des avocats les plus travailleurs et les plus intelligents du pays, qui travaillent jour et nuit”, a-t-il ajouté.

 

ZUCKERBERG APPELÉ À TÉMOIGNER

 

Mark Zuckerberg devrait témoigner lors du procès. Il sera notamment interrogé sur des courriels dans lesquels il propose d’acquérir l’application Instagram afin de neutraliser un concurrent potentiel de Facebook, et exprime ses craintes que le service de messagerie cryptée WhatsApp ne puisse se transformer en réseau social.

Meta a fait valoir, dans des documents, que les rachats d’Instagram en 2012 et de WhatsApp en 2014 ont profité aux utilisateurs et que les déclarations passées de son PDG ne sont plus pertinentes dans un contexte de concurrence accrue avec TikTok, YouTube et l’application de messagerie d’Apple.

Comment les clients utilisent-ils les réseaux sociaux, et les considèrent-ils comme interchangeables ? Ces questions seront au centre du procès, lors duquel Meta devrait affirmer que l’augmentation du trafic vers Instagram et Facebook pendant la brève fermeture de TikTok aux États-Unis en janvier prouve que la concurrence existe, selon des documents judiciaires.

La FTC affirme que Meta détient un monopole sur les applications de messagerie, alors que ses principaux concurrents aux États-Unis sont Snapchat et MeWe, une petite application lancée en 2016. Les plateformes de diffusion de contenu telles que X, TikTok, YouTube et Reddit n’ont pas les mêmes objectifs et ne sont donc techniquement pas interchangeables, a fait valoir la FTC.

En novembre dernier, le juge James Boasberg avait conclu que, bien que la FTC dispose de suffisamment de preuves pour aller de l’avant, il doutait de sa « capacité (…) à résister à un procès ».

Le procès devrait durer jusqu’en juillet. Si la FTC obtient gain de cause, elle devra prouver, lors d’un second procès, que des mesures obligeant Meta à vendre Instagram ou WhatsApp pourraient rétablir la concurrence.

La perte d’Instagram, en particulier, pourrait s’avérer catastrophique pour les résultats de Meta.

Bien que Meta ne publie pas les revenus publicitaires spécifiques à ses applications, la société de recherche Emarketer a estimé en décembre qu’Instagram devrait générer 37,13 milliards de dollars (32,58 milliards d’euros) cette année, soit un peu plus de la moitié des revenus publicitaires de Meta aux États-Unis.

Instagram génère également plus de revenus par utilisateur que toute autre plateforme, y compris Facebook, selon Emarketer.

À ce jour, WhatsApp n’a contribué qu’à une infime partie du chiffre d’affaires de Meta, mais il s’agit de l’application comptant le plus grand nombre d’utilisateurs

Droits de douane : l’UE suit la trêve de 90 jours annoncée par Trump

La riposte de l’Union européenne aux droits de douane américains a été suspendue jusqu’au 14 juillet, afin de laisser une chance aux négociations avec le président américain Donald Trump, a indiqué l’exécutif européen ce lundi 14 avril 2025.

Après avoir été visée à trois reprises par des taxes américaines, l’Union européenne avait adopté mercredi dernier ses premières mesures de rétorsion, notamment des taxes sur une série de produits américains, tels que les motos, le soja ou encore la volaille, en réponse aux droits de douane imposés sur les métaux.

Cependant, quelques heures plus tard, le président Donald Trump a annoncé la suspension de certains droits de douane pour une période de 90 jours.

L’Union européenne a décidé de s’aligner sur cette trêve américaine, afin d’ouvrir la voie à un dialogue avec l’administration américaine, sans pour autant communiquer de calendrier précis.

Le commissaire européen au Commerce, Maros Sefcovic, se rend ce lundi à Washington pour entamer des discussions avec les responsables américains sur ce dossier sensible.

 

La Presse avec Agences

L’UTAP appelle à accélérer le versement des indemnités agricoles pour 2024

Le Conseil des régions de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (UTAP), réuni le 14 avril 2025, a appelé à accélérer le versement des indemnités dues aux agriculteurs au titre de l’année 2024, soulignant l’attachement des agriculteurs au Fonds d’indemnisation des dégâts agricoles causés par les catastrophes naturelles, considéré comme un acquis majeur pour le secteur.

Le Conseil a également insisté sur la nécessité de coordonner les efforts pour assurer le succès de la prochaine récolte, ainsi que des opérations de collecte, de dégagement et de stockage.

Par ailleurs, l’UTAP a exhorté les autorités à accélérer la promulgation de l’arrêté saisonnier relatif à la campagne céréalière, en maintenant la prime exceptionnelle de 10 dinars et en l’intégrant dans la prime de livraison rapide, compte tenu du coût élevé de la production et des années successives de sécheresse.

Le Conseil a également insisté sur la nécessité de : garantir une répartition géographique équitable des centres de collecte, selon les capacités de production des différentes régions, renforcer les efforts dans les opérations de dégagement, pour éviter la saturation des centres, désenclaver les exploitations agricoles en réhabilitant les circuits agricoles, nettoyer les abords des routes pour limiter les risques d’incendie.

Enfin, l’UTAP a appelé à l’inventaire et à l’inspection des superficies ensemencées en blé destiné à l’ensemencement, fournies par l’Office des céréales, en remplacement des semences sélectionnées épuisées. Elle a souligné que ce blé contient une part importante d’orge, un facteur à prendre en compte lors du calibrage et de l’évaluation des impuretés.

 

Tunisie-Algérie : un “saut qualitatif” visé dans la recherche scientifique

Les ministres tunisien et algérien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaïd et Kamel Baddari, ont souligné l’importance de renforcer la coopération bilatérale dans ces domaines stratégiques, à l’occasion de la deuxième session de la Commission mixte algéro-tunisienne, tenue en Algérie les 13 et 14 avril 2025.

À l’issue des travaux, les deux parties ont signé le procès-verbal de la Commission et réaffirmé leur volonté de dynamiser le partenariat, notamment dans les domaines de la recherche scientifique, de l’innovation et de l’enseignement supérieur.

Selon un communiqué du ministère, les deux pays ambitionnent de réaliser un “saut qualitatif” dans leur coopération, afin de répondre aux aspirations communes et relever les défis socio-économiques partagés.

Mondher Belaïd a plaidé en faveur d’une coopération renforcée, fondée sur l’élaboration de politiques adaptées aux enjeux sociaux, tout en valorisant les expériences respectives des deux pays.

De son côté, Kamel Baddari a mis l’accent sur la nécessité d’exploiter pleinement les opportunités existantes pour insuffler un “nouvel élan” à cette coopération.

Au cours de cette visite de deux jours, la délégation tunisienne a visité plusieurs établissements algériens d’enseignement supérieur, notamment l’Université des sciences de la santé, l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumédiène, l’École nationale supérieure en intelligence artificielle, le Musée national du Moudjahid et l’Université d’Alger.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des efforts continus d’institutionnalisation et de pérennisation des initiatives de coopération académique et scientifique entre la Tunisie et l’Algérie.

Séisme de magnitude 5,2 dans le sud de la Californie

Un tremblement de terre de magnitude 5,2 a été enregistré ce lundi 14 avril 2025 dans le sud de la Californie, aux États-Unis, ont indiqué les autorités locales.

L’épicentre de la secousse a été localisé près de Julian, une petite ville située à un peu plus d’une heure de route de San Diego, selon l’Institut américain de géophysique (USGS). L’institut a précisé qu’il est peu probable que le séisme ait causé des victimes ou des dégâts matériels importants.

“De manière générale, la population de cette région réside dans des structures conçues pour résister aux secousses sismiques, bien que certaines constructions vulnérables puissent exister”, a précisé l’USGS.

 

La Presse avec Agences

Tunisie : STB BANK clôture 2024 avec un bénéfice de plus de 82,5 millions de dinars

La Société Tunisienne de Banque (STB BANK) a clôturé l’exercice 2024 avec un bénéfice de 82 500 256,985 dinars, selon un communiqué publié lundi 14 avril 2025 sur le site de la Bourse de Tunis.

Le Conseil d’administration de la banque a récemment arrêté les états financiers relatifs à l’exercice 2024, lors de sa dernière réunion.

Il a également décidé de convoquer une Assemblée Générale Ordinaire, prévue pour le 30 avril 2025, au cours de laquelle il sera appelé à statuer sur la proposition de non-distribution de dividendes.

 

 

Tunisie – Abattement des intérêts à taux fixe : 95,2 % des demandes satisfaites

Le taux de satisfaction des demandes d’abattement des intérêts à taux fixe, ayant donné lieu à un nouvel échéancier, a atteint 95,2 % au 14 avril 2025. Cette mesure s’inscrit dans le cadre de l’application de l’article 412 ter de la loi n°2024-41 du 2 août 2024, modifiant et complétant certaines dispositions du Code de commerce, a indiqué, lundi 14 avril 2025, le Conseil Bancaire et Financier (CBF).

Selon les statistiques publiées par le CBF, un total de 89 026 demandes d’abattement des intérêts ont été reçues. Parmi elles, 57 686 ont été traitées, 2 904 sont en cours de traitement, tandis que 28 436 ont été rejetées pour non-éligibilité.

Pour rappel, l’article 412 ter de la loi n°2024-41 impose aux banques de réduire les taux d’intérêt fixes appliqués aux crédits en cours de remboursement ou aux nouveaux crédits dont la durée initiale de remboursement dépasse sept ans, si les intérêts payés par le client au cours des trois années précédant la demande excèdent 8 % du capital restant dû.

Cette disposition concerne principalement les crédits immobiliers à long terme (plus de 15 ans), généralement contractés à taux fixe. Toutefois, tout autre prêt à taux fixe répondant aux critères de durée et de niveau d’intérêts est également éligible.

 

Tunisie : Khaled Othmen nommé PDG de la Société de Djebel Djerissa

Le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie a annoncé, ce lundi, la nomination de Khaled Othmen au poste de Président-directeur général de la Société de Djebel Djerissa.

Fondée en 1899 sous le nom de Boujabeur, la Société de Djebel Djerissa est une société anonyme spécialisée dans l’exploitation du minerai de fer en Tunisie. Elle a adopté son nom actuel en 1905.

La société dispose de deux centres de production : la mine de Tamera-Douahria, située au nord-est du pays, et la mine de Djebel Djerissa, dans le nord-ouest. Elle possède également un bureau à Tunis.

 

 

La suspension des prêts à long terme menace le marché immobilier tunisien, selon Moez Soussi

Le Professeur en sciences économiques, chercheur universitaire et expert en économie du travail et en développement régional, Moez Soussi, a déclaré, ce lundi 14 avril 2025, que la décision des banques de suspendre les crédits à long terme aurait des répercussions significatives sur le marché immobilier.

Dans une déclaration accordée à la radio nationale, Soussi a souligné l’importance de réformer la politique monétaire de l’État et de revoir le taux directeur, actuellement jugé trop élevé. Selon lui, cette situation conduit à une augmentation des taux d’intérêt sur les prêts et, par conséquent, des charges financières pour les emprunteurs.

Moez Soussi a également averti que cette décision des banques, qui interdisent les prêts dont la durée de remboursement excède cinq ans, affecterait non seulement le secteur immobilier, mais également d’autres secteurs clés de l’économie, tels que l’agriculture.

Rafraf : deux plantations de pavot découvertes, deux suspects arrêtés

Rafraf : deux plantations de pavot découvertes, deux suspects arrêtés

 

Les unités de la brigade de police judiciaire de Ras Jebel, appuyées par le poste de sûreté nationale de Rafraf, ont procédé à l’arrestation de deux individus impliqués dans la culture et la détention de substances stupéfiantes, suite à une série d’opérations coordonnées avec le parquet de Bizerte et menées après obtention des autorisations légales nécessaires.

Lors de la première intervention, les forces de l’ordre ont découvert une culture illégale de pavot à opium à l’intérieur d’un domicile. La fouille a permis de saisir environ 13 kilogrammes de plantes de pavot, quatre doses d’opium prêtes à l’usage, deux sachets contenant une autre substance suspecte, ainsi qu’une somme de 6 650 dinars, soupçonnée de provenir du trafic.

L’intervention a également permis la saisie de deux carabines à air comprimé et d’un fusil de chasse, gardés à disposition de l’enquête.

Le même jour, un second suspect a été interpellé pour avoir cultivé et récolté du pavot sur une parcelle agricole lui appartenant dans la région de Rafraf. La plantation a été arrachée et saisie sur place.

Les deux individus ont été placés en garde à vue sur ordre du parquet, pour “possession, culture et détention de substances stupéfiantes inscrites au tableau B”, a précisé la Direction générale de la sûreté nationale.

Les investigations se poursuivent pour identifier d’éventuelles ramifications locales ou régionales de ce réseau de production artisanale d’opiacés.

Pollution, criminalité et harcèlement : Les trois fléaux des autoroutes de la mer

Pollution plastique, transport illicite de migrants, trafic de stupéfiants, piraterie et harcèlement des femmes marins…
Ces mots résonnent presque comme des événements ordinaires. Ces activités criminelles se sont toutes intensifiées au cours des dernières années avec un point commun : celui de se dérouler sur les mers et les navires.

Car la mer, espace de liberté, d’échanges, de communication et de commerce, est aussi celui de tous les risques. À l’instar des 90% de marchandises qui inondent les quatre coins de la planète, c’est la voie maritime la plus prisée pour le transport de produits illicites.

Que l’on parle de trafic d’armes, de stupéfiants, de biens de contrefaçon ou encore de traite d’êtres humains, le constat est le même: les trafiquants savent que la mer offre le meilleur moyen d’accomplir leurs sombres desseins. Noyées dans la masse des quelque 27 millions de tonnes qui sillonnent les océans chaque jour, leurs cargaisons sont ainsi acheminées en toute discrétion.

Pollution plastique : un massacre sous l’eau

Chaque minute, ce sont 17 tonnes de déchets plastiques, soit l’équivalent d’un camion poubelle qui sont déversées dans la mer. La pollution plastique, c’est 9 à 12 millions de tonnes de déchets plastiques chaque année. Chaque année 1,5 million d’animaux marins meurent à cause du plastique. L’on recense 1.400 espèces affectées. En 2050, si nous n’agissons pas, la mer contiendra plus de plastiques que de poisson. 

Quand un bateau de plaisance jette l’ancre le long des côtes, c’est comme couper quatre arbres dans une forêt pour garer sa voiture. Alors que dans huit cas sur dix on peut mouiller à côté sur le sable. L’ancre jetée arrache les posidonies sur, des kilomètres. Pourtant, les vastes forêts sous-marines que forme cette plante à fleurs — les herbiers de Posidonie, — fournissent des services écosystémiques d’une valeur inestimable. Elles constituent en premier lieu une source de nourriture ; de nombreuses espèces de poissons et de crustacés viennent s’y nourrir et s’y reproduire. Poumons de la Méditerranée, les posidonies produisent de l’oxygène et permettent la vie aquatique et une bonne qualité des eaux littorales. Elles sont en même temps une arme contre le réchauffement climatique. 

Des dauphins sont pêchés par milliers accidentellement, des tortues de mer échouent dans les filets. L’homme est responsable à 75% de la dégradation de l’écosystème terrestre. Il est à l’origine de la disparition de 85% des zones humides, il est la cause de la disparition de 32 millions d’hectares de forêt tropicale entre 2010 et 2015. Le continent africain, qui subit de plein fouet la grande sécheresse et ses conséquences environnementales, connaît mieux que quiconque les effets néfastes du changement climatique : déforestation, disparition du couvert végétal et d’espèces rares, avancée à grands pas du désert, assèchement des plaines, le tout corroboré par la réduction paradoxale du lac Tchad dont la superficie est passée de 25.000 km2  dans les années 60 à moins de 3.000 km2 actuellement !

Une richesse précaire

Le bassin méditerranéen est le deuxième lieu au monde le plus riche en termes de biodiversité : riche en diversité végétale avec plus de 25.000 espèces de plantes. Les forêts méditerranéennes et les autres terres boisées de la région apportent une contribution vitale au développement rural, à la réduction de la pauvreté et à la sécurité alimentaire, ainsi qu’aux secteurs de l’agriculture, de l’eau, du tourisme et de l’énergie. Cependant, les espaces protégés ne couvrent que 9 millions d’hectares, soit 4,3% de la superficie totale de la région.

Et les crimes contre la biodiversité sont commis depuis des siècles en mer ou sur terre mais il y a aussi d’autres crimes qui voient le jour.

Criminalité en mer

En effet, transport illicite de migrants, trafic de stupéfiants, piraterie… ces mots résonnent presque comme des événements ordinaires. Ces activités criminelles se sont toutes intensifiées au cours des dernières années avec un point commun : celui de se dérouler sur les océans.

Car la mer, espace de liberté, d’échanges, de communication et de commerce, est aussi celui de tous les trafics. À l’instar des 90% de marchandises qui inondent les quatre coins de la planète, c’est la voie maritime la plus prisée pour le transport de produits illicites.

Que l’on parle de trafic d’armes, de stupéfiants, de biens de contrefaçon ou encore de traite d’êtres humains, le constat est le même : les trafiquants savent que la mer offre le meilleur moyen d’accomplir leurs sombres desseins. Noyées dans la masse des quelque 27 millions de tonnes qui sillonnent les océans chaque jour, leurs cargaisons sont ainsi acheminées en toute discrétion.

Une recrudescence criminelle

Et ces activités criminelles ne datent pas d’hier. Qualifiés d’«ennemis communs à tous» par Cicéron, les pirates sévissaient déjà durant l’Antiquité. Très répandue, la piraterie permettait alors d’alimenter les marchés d’esclaves. Jules César lui-même aurait été capturé pendant sa jeunesse au large de Pharmacuse, petite île grecque de la mer Égée. Ce véritable fléau est d’ailleurs à l’origine des premières lois antipirate adoptées en l’an 1011 et 102.

Plus récent, le narcotrafic n’a vu le jour qu’au XIXe siècle. Il s’est progressivement développé pour acquérir une dimension planétaire et devenir un réel phénomène globalisé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Opium, morphine, cocaïne, cannabis… tous ces stupéfiants ont emprunté et continuent d’emprunter la mer, véritable «voie royale» dont les avantages sont multiples. Plus rentable, plus sûre, plus discrète; la solution maritime s’impose nettement face au transport par avion ou par être humain.

Peu onéreuse, elle offre également l’avantage de permettre l’acheminement d’importantes quantités de stupéfiants sur des embarcations aussi diverses que variées : voiliers, mini-submersibles, go-fast, navires de commerce, cargos, céréaliers, porte-conteneurs… Ils recèlent tous un nombre considérable de cachettes potentielles pour dissimuler la marchandise prohibée. Et il faut dire qu’en la matière, les trafiquants ne manquent pas d’imagination : double coques, cloisons, faux plafonds, réceptacles étanches soudés sur la partie immergée de la coque… Chaque centimètre carré est susceptible d’être exploité et détourné de sa fonction initiale.

Cette constatation vaut également pour le transport d’armes, véritable fléau contre lequel il est techniquement très difficile de lutter au regard des formidables quantités de marchandises que peuvent transporter les géants des mers au quotidien. Seul un très faible pourcentage de conteneurs peut être inspecté à leur arrivée dans les ports. Ce contrôle étant principalement effectué sur des cargaisons ayant éveillé les soupçons, les trafiquants d’armes ont su à nouveau se parer contre cette éventualité. Plutôt que de faire appel à des transporteurs peu scrupuleux qui pourraient susciter la méfiance des agents douaniers et portuaires, ils recourent à des armateurs de renommée mondiale. Les nouvelles technologies peuvent également trouver leur place dans ce marché criminel : entre 2011 et 2013, des trafiquants ont piraté le système informatique du port d’Anvers pour effacer la trace de certains conteneurs au chargement clandestin avant de les soustraire aux transporteurs maritimes en toute discrétion.

Harcèlement

Selon Cleopâtra Doumbia-Henry, directrice du Département des activités sectorielles du BIT, « les femmes ne représentent que 1 à 2% du 1,25 million de marins recensés dans le monde ». Cependant, « elles constituent 17 à 18% des effectifs des navires de croisière. 94% des femmes marins travaillent dans le transport de passagers (dont 68% sur des ferries et 26% sur des bateaux de croisière) et 6% dans le transport de marchandises (porte-conteneurs, pétroliers, etc.).

Quant à leurs emplois, certaines sont capitaines, chefs mécaniciens ou officiers. Mais, dans l’ensemble, les femmes font partie du personnel hôtelier des navires qui transportent des passagers », souligne-t-elle. Parmi celles-ci, 51,2% sont originaires de pays de l’Organisation de coopération et de développement économique (Ocde), 23,6% de l’Europe de l’Est, 9,8% de l’Amérique latine et de l’Afrique, 13,7% de l’Extrême- Orient et 1,7% de l’Asie du Sud et du Moyen-Orient.

Harcèlement et autres agressions

Face à cette prolifération du nombre de femmes à bord, on assiste dans le monde entier à une prise de conscience croissante concernant la violence et le harcèlement à bord des navires, y compris le harcèlement sexuel, les actes d’intimidation et les agressions sexuelles, qui viennent s’ajouter à des conditions de travail déjà difficiles pour ces femmes. 

D’ailleurs, pour soutenir les actions encourageant les femmes  à pénétrer le domaine maritime, le Secrétaire général de l’OMI, M. Arsenio Dominguez, a déclaré à Londres : «Nous restons inébranlables dans notre engagement à créer un environnement de travail sûr et respectueux à bord». Reconnaissant qu’il s’agit non seulement d’un impératif moral, mais aussi d’une nécessité pratique pour la croissance durable du secteur, nous nous engageons à prévenir et à combattre les actes d’intimidation et le harcèlement dans le secteur maritime. «Notre objectif commun est clair : répondre aux attentes des gens de mer, du secteur, des administrations et du grand public en faisant en sorte que le secteur des transports maritimes soit exempt de toute forme d’agression». Pour sa part, le Directeur du Département des politiques sectorielles de l’OIT (Sector), M. Frank Hagemann, a souligné à ce propos qu’il est «essentiel que nous fassions tout ce qui est en notre pouvoir pour résoudre les problèmes qui peuvent amener les gens de mer expérimentés à quitter la mer ou dissuader les jeunes femmes d’embrasser la profession. Toute forme d’actes d’intimidation, de harcèlement ou de violence est en contradiction directe avec le concept même de travail décent. Il doit y avoir une tolérance zéro à l’égard de ce type de comportement».

A cet effet, le Secrétaire général de l’OMI encourage les États Membres,  dans son message,  à agir pour que «les femmes puissent être formées au même titre que les hommes dans leurs instituts maritimes et acquièrent ainsi le haut niveau de compétence exigé pour travailler dans le secteur».

D’ailleurs, l’OMI agit en faveur de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes en octroyant des bourses à des femmes, en leur permettant d’accéder plus facilement à des formations techniques de haut niveau dans le secteur maritime des pays en développement et en créant un environnement favorable à l’identification et à la sélection de femmes, par l’intermédiaire des autorités dont elles dépendent, pour une évolution de carrière dans les administrations maritimes, les ports et les établissements de formation maritime.

Campagne de sensibilisation internationale

Le lancement d’une campagne internationale conjointe OIT-OMI, avec le soutien des États membres de l’OIT et de l’OMI, des gens de mer, des propriétaires de navires, des organisations gouvernementales et non gouvernementales, afin de sensibiliser le public à cette question, a aussi été évoqué. Il s’agit d’encourager les gouvernements à lancer des campagnes nationales en collaboration avec les partenaires sociaux et d’autres organisations nationales.

Le Groupe de travail tripartite mixte a demandé aux Secrétariats de l’OMI et de l’OIT d’étudier les moyens de collecter des données, de manière appropriée, sur la violence et le harcèlement, y compris le harcèlement sexuel, les actes d’intimidation et les agressions sexuelles dans le secteur maritime.
M.KN

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